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6 avril 2021 2 06 /04 /avril /2021 08:54

Klaus Schawb :

 

"Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infectera nos corps avec de la “Smart Dust” et dans laquelle la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise Covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la “Grande Réinitialisation” ou le “Grand Reset”.

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004.

Mais le fascisme du 21e siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base qui consiste à remodeler l’humanité en fonction du capitalisme par des moyens ouvertement autoritaires. Ce nouveau fascisme est aujourd’hui mis en avant sous le couvert de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la « quatrième révolution industrielle ».

Schwab, un octogénaire, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, est au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante.

Le projet fasciste initial, en Italie et en Allemagne, consistait en une fusion de l’État et des entreprises.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des entreprises et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie ! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme se serte de l’État pour protéger et promouvoir les intérêts de l’élite fortunée. Schwab poursuivait cette approche dans un contexte d’après-guerre dénazifié, lorsqu’il a fondé en 1971 le European Management Forum, qui tenait des réunions annuelles à Davos en Suisse.

Ici, il y promeut son idéologie du capitalisme « stakeholder » (un capitalisme des parties prenantes) dans lequel les entreprises sont amenées à coopérer plus étroitement avec le gouvernement. Le capitalisme des parties prenantes est décrit par le magazine Forbes comme « l’idée qu’une entreprise s’attache à répondre aux besoins de toutes ses parties prenantes : clients, employés, partenaires, communauté et la société dans son ensemble ».

Même dans le contexte d’une entreprise en particulier, il s’agit invariablement d’une étiquette vide. Comme l’indique l’article de Forbes, cela signifie en fait seulement que les « entreprises peuvent continuer à verser de l’argent à leurs actionnaires et à leurs dirigeants en privé, tout en maintenant une façade public d’une sensibilité sociale remarquable et d’un altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept des parties prenantes est encore plus néfaste, car il écarte toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, au profit d’un gouvernement par des intérêts corporatifs. La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab a défini cet agenda en 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Modern Enterprise Management in Mechanical Engineering), où son utilisation du terme « parties prenantes » a effectivement redéfini les êtres humains non pas comme des citoyens, des individus libres ou des membres de communautés, mais comme des participants secondaires dans une entreprise commerciale massive.

Le but de la vie de chacun était «parvenir à une croissance et une prospérité à long terme » pour cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste. Tout cela est devenu encore plus clair en 1987, lorsque Schwab a rebaptisé son European Management Forum en World Economic Forum."

 

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