Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 171 541 visiteurs 276 832 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

8 février 2022 2 08 /02 /février /2022 11:46

 

D’après un sondage récent, Valérie Pécresse devancerait Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle du mois d’avril 2022. Alors qu’on nous annonce un peu partout la fin du mondialisme, il est curieux de voir ces deux personnes se retrouver en finale.

Leurs cursus sont assez voisins. Valérie Pécresse, tout comme Emmanuel Macron, sort de l’ENA. Tous les deux ont été distingués comme « young leader » par la French American Foundation. Valerie Pécresse le fut en 2002 et Emmanuel Macron en 2012. Ils sont aussi tous les deux passés par le Bilderberg, Macron en 2014  et Pécresse en 2012.

Qui sont les « young leaders » ?

Certains y voient « la fabrique des présidents ». On peut les comprendre. Comment sont-ils recrutés ? Apparemment, cela se fait assez discrètement. On constate simplement que tous ont en commun un parcours qui les a amenés à côtoyer les cercles de pouvoir. Beaucoup ont fait l’ENA, mais pas tous. D’après certains témoignages, l’approche initiale se fait par l’ambassade américaine dans le cadre des « international visitors », qui est un programme d’échange entre jeunes français et américains, mais qui existe aussi entre les Etats-Unis et de nombreux autres pays. Une inflexion sensible dans la sélection  a été faite après le 11 septembre 2001 pour ouvrir « à la diversité » ces voyages d’études. Certes, tous ces brillants jeunes gens ne deviendront pas « young leaders » mais, hasard ou intention, beaucoup en sont issus.

Il est intéressant de constater la liste des gens à qui la la fondation franco-américaine a décerné cette distinction qui, d’une manière évidente, facilite la trajectoire de ceux qui, rapidement, feront partie de l’élite politico-médiatique et qui trouveront des rôles de premier plan dans notre société.

Il est curieux de constater comment un groupe de gens aussi restreint, (quelques centaines tout au plus) tient une telle place dans la vie politique française. Et vous remarquerez que seuls très rares récipiendaires font état de cette distinction. Il y en a également qui ont le sentiment de s’être fourvoyés dans cette aventure qui est aux antipodes du patriotisme national.

Des « young leaders » au Club des Bilderberg

Ce club très fermé a été fondé par David Rockefeller et le Prince Bernhard des Pays-Bas en 1954, précisément à l’hôtel du Bilderberg. Au départ créé pour renforcer la crédibilité de l’OTAN auprès des Européens, ce club très fermé s’est progressivement transformé en support du mondialisme.

Et ce n’est pas que le mondialisme économique qu’il défend. Les choses vont beaucoup plus loin puisqu’il préconise, par la voix de son fondateur, la mise en place d’un vrai gouvernement mondial, et cet exécutif planétaire devrait être aux mains de chefs d’entreprise.

Voici un court extrait de ses Mémoires (P 405)

« Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être. »

On peut également lire, prononcée en 1994, la phrase suivante, dont le coté prophétique est saisissant :

« La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial.»

Enfin, parlant des conférences du Bilderberg, il s’est adressé à la presse par ces mots :

« Nous sommes reconnaissants envers le Washington Post, le New-York Times et le magazine Times, ainsi que les autres publications dont les directeurs étaient présents à nos réunions et qui ont promis de garder le silence pendant près de 40 ans. Il aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été sous les feux des projecteurs. Maintenant, le monde est plus évolué et mieux préparé pour une marche forcée vers un futur gouvernement mondial. »

Il est difficile d’être plus clair.

Alors, pourquoi le faire à l’insu des peuples ? Qu’y a-t-il de si inavouable dans ce projet ?

La face cachée du mondialisme

Guy Boulianne, sur son site, nous fournit une explication assez complète :

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude.

« Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé  – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction. »

Quoi de plus simple que d’inventer une fausse concurrence entre deux candidats dont on peut penser, compte-tenu de leur parcours respectif, qu’ils seront nécessairement dans la continuité de ce plan dont le but est d’installer un gouvernement mondial dont on ne voit pas comment celui-ci pourrait être issu d’un processus démocratique.

Electeurs, après avoir bien tout ceci en tête avant de déposer votre bulletin dans l’urne, ne faites pas en sorte de condamner à jamais cette démocratie à laquelle nous sommes si attachés.

Jean Goychman

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

____________________________________________

 

Valérie Pécresse est membre de la Grande Loge Féminine de France (GLFF). Elle a participé à la réunion du Bilderberg en 2013. Et elle est Young Leader 2002 de la French American Foundation.

 

Lorsqu'elle était ministre :

  • Valérie Pécresse a été invité par la loge maçonnique Dialogue et démocratie française (D&DF) sur le thème "Quel Université pour demain ?"
  • Valérie Pecresse a créée au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) une Chaire de criminologie qui a été immédiatement attribuée à Alain Bauer, ancien Grand Maitre  du Grand Orient de France (GODF).

 

Valérie Pécresse est favorable :

_ aux expériences génétiques sur les personnes âgées.

_ à la recherche sur les embryons

_ au travail dominical

- elle est également pour la vaccination obligatoire

Corruption : nos chefs d’Etat sont de merveilleuses marionnettes
 

Volte-face et incohérences des chefs-d’État nous font douter : le font-ils exprès ? Réponse de Normand : oui et non. Le vilain petit canard Philippe Huysmans, le 5 février 2022, nous explique la vie des marionnettes qui nous gouvernent.


« Ces petits cercles d’élites, principalement basées aux USA et au Royaume-Uni ont donc conçu un système de cooptation des hommes de pouvoir en s’assurant de leur totale soumission.   Comment?  En usant d’un moyen vieux comme le monde, le chantage.  Et si vous voyez Bill Gates comme un des marionnettistes, détrompez-vous, ce n’est qu’un pion à leur service, et il est tenu par le chantage (cfr. affaire Epstein). Pourquoi croyez-vous que la Reine d’Angleterre a pris la décision inouïe de retirer tous ses titres, honneurs et privilèges à son fils favori, Andrew ? Tout simplement parce que la révélation du contenu du dossier aurait pu faire tomber la monarchie. On pourrait continuer avec Justin Trudeau, qui avait pu échapper à des poursuites pour viol sur mineur au moment où il exerçait encore la profession d’enseignant. Tout ceci ne constitue qu’une toute petite partie de ce que je crois être un système mis en place patiemment au fil des années par les marionnettistes. Petit à petit, ils ont placé des pions à eux, des gens sur qui ils ont barre, recrutés via des officines comme le Forum Économique Mondial et les Young Leaders. Leur dépravation n’est pas la conséquence de leur pouvoir, mais bien la condition sine qua non pour y être élevé. »

La marionnette Trudeau

– En août 2000, Trudeau a peloté une très jeune journaliste. Il s’est excusé auprès d’elle : « Si j’avais su que vous faisiez un reportage pour un journal national, je n’aurais jamais été aussi direct ». Autrement dit pourquoi se gêner avec l’envoyée d’un petit journal local ! En 2018 l’affaire est exhumée et confirmée à CBC par un communiqué de la journaliste concernée, Rose Knight, « rédigé à contrecoeur, en réponse à la pression médiatique croissante« .

– L’ex-ministre de la Justice, Jodie Wilson-Raybould, a dénoncé, au début 2019, le Premier ministre Trudeau d’avoir fait pression pour qu’elle intervienne afin d’éviter un procès à la société SNC-Lavalin (9000 salariés au Canada, dont 3000 au Québec).
Accusé de corruption au Canada et en Libye, le groupe d’ingénierie a plaidé coupable et paiera 280 millions de dollars canadiens (192 millions d’euros) sur cinq ans. Il évite ainsi un procès pénal. Les accusations de « corruption d’agent public étranger », qui aurait valu à l’entreprise d’être bannie des contrats publics pendant dix ans, sont abandonnées.

Trudeau a donc des choses à se reprocher. Obéissant fidèlement à Big Pharma, il va jusqu’à cette déclaration bien clivante : « Mais il y a aussi des gens qui sont farouchement opposés à la vaccination, qui ne croient pas en la science, qui sont souvent misogynes, souvent racistes. C’est un petit groupe mais qui prend de la place. Et là, il faut faire un choix, en tant que leader, en tant que pays : est-ce qu’on tolère ces gens-là ? »

La marionnette Macron

La vie des marionnettes sous le chantage de Big Brother et Big Pharma n’est pas tous les jours facile. Cette contrainte est visible lors des discours télévisés débités par un Macron robotisé, et lorsque Francis Kalifat l’a coincé au Crif.

Baroud d’honneur du soldat Macron, les déclarations provocatrices au moment où le gouffre entre la propagande et la réalité est creusé au maximum : « Eh bien, là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. »

Macron au CRIF 2019
Macron au CRIF 2019

Les casseroles dont parlent les médias

L’État profond semble vouloir se débarrasser des pions devenus inutiles. Il attaque Macron, mais seulement sur des points de détail :
– Les gestes barrières non respectés : « Scandale après l’embrassade de Brigitte Macron à Line Renaud. La toile crie au scandale pour non-respect des gestes barrière, en pleine 5e vague du Covid-19. »
– Cela ne suffit pas vraiment. Alors on passe à Complément d’enquête. Dans People et politiques, petits services entre amis ? sur France 2 revient sur l’utilisation du budget de fonctionnement du ministère de l’Économie. Ça sent quand même un peu le réchauffé. Marion L’Hour et Frédéric Says, dans leur livre Dans l’enfer de Bercy (JC Lattès), paru le 25 janvier 2017, l’avaient déjà expliqué en long et en large. Le ministre de l’économie « a utilisé à lui seul 80 % de l’enveloppe annuelle des frais de représentation accordée à son ministère » (soit au moins 120 000 des 150 000 euros) avant sa démission du gouvernement, le 30 août 2016.

De quoi les médias ne parlent surtout pas

Ce qui pourrait gêner les généreux donateurs de Macron est toujours passé sous silence. Après la loi Macron (article 34) de 2015, de défiscalisation des stock options (une économie de 900 millions d’euros pour les cadres du CAC 40), en 2017, tous les banquiers, tous les médias de milliardaires (organigramme) et les grands patrons du CAC 40 étaient pour Macron.

Les propriétaires des médias en France.
Les propriétaires des médias en France.

La Haute autorité pour la transparence de la vie publique trouve d’ailleurs le patrimoine de 675 000 € d’Emmanuel Macron tout à fait conforme (pas de bien immobilier, pas de voiture, une vie simple). De même en 2017 après les doutes émis par l’association Anticor, la HATVP n’y avait déjà pas vu malice.

Et pourtant il y en a des casseroles !

Où sont passés les millions empochés lors de la cession Pfizer-Nestlé gérée par Macron chez Rothschild ?

Dans quel paradis fiscal a fini l’argent de la vente du palais de Marrakech chez Christies (propriétaire : François Pinault) en 2014 ?

Le sujet super tabou

L’omerta est totale sur la vente par Emmanuel Macron en novembre 2014 de la branche énergie d’Alstom à General Electric, amputant ainsi la France de son indépendance énergétique et de son autonomie stratégique. Le rapport déposé le 19 avril 2018 et les transcriptions des auditions par la commission d’enquête parlementaire menée par le député LR Olivier Marleix ont mis en évidence qu’Emmanuel Macron avait menti en expliquant que lors de l’offensive de General Electric. Le gouvernement français aurait été mis devant le fait accompli en apprenant l’opération en avril 2014 par l’intermédiaire d’une dépêche de l’agence Bloomberg. Nommé ministre de l’Économie et des Finances au cœur de l’été 2014, il n’aurait donc eu d’autre choix que d’apposer sa signature pour la vente d’Alstom. Or il fut établi qu’Emmanuel Macron avait en fait œuvré, en liaison constante avec la banque Rothschild, au démantèlement d’Alstom dès le mois d’octobre 2012, c’est-à-dire, dès son arrivée à l’Élysée comme secrétaire général adjoint du cabinet de François Hollande. Encore une fois, c’est dans la chronologie des faits que se nichait le mensonge. Emmanuel Macron est apparu comme la pierre angulaire de ce complot contre les intérêts français.

Le Canard Enchaîné publia à l’époque un article très complet sur le rôle central de la banque Rothschild, tout à la fois ancien employeur d’Emmanuel Macron, conseil de Martin Bouygues (vendeur de ses parts dans Alstom) et de Patrick Kron, le PDG d’Alstom, mais cet article n’a bizarrement pas eu le même écho que celui sur l’emploi d’assistant parlementaire de Pénélope Fillon…

Pour se débarrasser d’une marionnette il faut :

1. Des moyens de chantage,
2. Une omerta totale sur ce qui mettrait en difficulté la stratégie économique et politique en cours.

Après Alstom à General Electric, Macron a vendu Alcatel à Nokia, la France (sécurité sociale, hôpitaux, etc.) à Vanguard, BlackRock et State Street par le biais de la dette. La France est devenue le pays le plus endetté d’Europe… devant la Grèce, conclut Guy de la Fortelle, fondateur de la newsletter L’Investisseur sans costume.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

Partager cet article
Repost0

commentaires

Pages