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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:29

Ca va très très mal, la France est dans une posture économique très mauvaise, cependant elle trouve des acheteurs de sa dette. Mais cela ne suffira pas, les niveaux de déficits sont tellement gigantesques qu'il va falloir puiser dans les épargnes Européennes, aussi le prétexte de guerre et d'économie de guerre est un moyen de dissimuler la déconfiture des finances publiques organisées par les branquignols qui nous gouvernent

Bruno Le Maire n'a jamais été économiste, ni financier, et pourtant on l'a encensé comme le Mozart de l'économie. Quand on voit la situation on peut se poser des questions. Les mandats Macron auront été les pires de la cinquième République au niveau économique, mais aussi au niveau social.

Ces gens là sont dangereux ! puisque pour dissimuler leurs bêtises ils n'hésiteront pas à nous porter vers la guerre.

Henry

 

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Philippe Béchade: « L’économie de guerre » correspond à une norme assez précise : 10 à 15% du PIB du pays (contre 2 à 2,5% actuellement en Europe). Vous comprenez mieux la tentative de captation par Le maire de 10.000MdsE « d’épargne qui dort » ? Suffit de relier les points : tout est sous nos yeux!

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:27

______________________________

 

 

L’Allemagne confirme ce soir l’authenticité des conversations captées entre hauts dignitaires de l’armée allemande

L’Allemagne confirme ce soir l’authenticité des conversations captées entre hauts dignitaires de l’armée allemande

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:20

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:20
3è guerre mondiale : le plan fou de Macron et l’OTAN dévoilé ! L'Arméee dit NON !
Il faut écouter le vent des opinions de toutes parts ! Il semble bien que seule l'élite est affairée  à la guerre !

 

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Guerre. Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient de France, s’exprime sur l’envoi de troupes en Ukraine ; a écouter !
 
Évènements liés ?
 

 

Évènement 1 : Les sénateurs américains ont reçu des téléphones satellite.

 

 

 

 

Événement 2 : le directeur du FBI met en garde contre des cyberattaques généralisées chinoises.
 

Événement 3 : Plusieurs fournisseurs de réseau en panne…

 

 

Ça commence… Découvrez également comment AT&T est le principal réseau pour les intervenants/services d’urgence. C'est une menace !

De la nourriture, de l'eau, une trousse de premiers secours, des armes et des munitions…
 
 
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DIRECT – 🗣 "Nous allons décider demain de mettre ensemble notre capacité de production de défense. Nous devons passer en mode économie de guerre afin de fournir ce dont l'Ukraine a besoin mais aussi pour notre propre sécurité" annonce le commissaire européen Thierry Breton… pic.twitter.com/obZ5vs0De3

— franceinfo (@franceinfo) March 4, 2024

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:19

CETTE INFORMATION VITALE est destinée aux FRANÇAIS dans leur ensemble,

Et  à  nos  députés afin que ce texte soit partagé avec tous les députés des GROUPES RESPECTIFS qui vont participer au vote de la LMP 2024 – 2030 (Loi de programmation militaire).

MOTIF :

Nous sommes contre l’article 23 de la LOI DE PROGRAMMATION MILITAIRE 2024-2030

“La rédaction du nouvel article L.2212-1 du Code de la défense dans l’actuel projet de loi, est intégralement réécrite, ce qui est inhabituel car l’usage du législateur est de remplacer des termes ou des morceaux de phrases.

Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. »

Les perspectives possibles d’application de la loi

La motivation autorisant la réquisition apparaît floue, très large et permet au gouvernement (au président ?) d’y mettre ce qu’il veut : la menace peut être actuelle ou simplement prévisible (comment définir qu’une menace soit prévisible ?

Tout d’abord, sur un plan strictement militaire, l’actuel conflit ukrainien et l’implication croissante de l’UE et de l’OTAN sont de nature à conduire la France dans un engrenage fatal. La réquisition des personnes physiques pourrait permettre au président, sur un simple décret, de réquisitionner par exemple, des personnes pour les envoyer combattre, selon des critères physiques et psychiques décidés par le gouvernement.

Une urgence pandémique, compte tenu des accords en cours avec l’OMS pourrait avoir les mêmes effets, surtout si l’on considère que le gouvernement a classé les vaccins anti-Covid parmi les biens à double usage, faisant l’objet d’un contrôle pour l’exportation. Or, les biens à double usage concernent directement la défense nationale. Donc ce texte, s’il est adopté, pourra être appliqué lors de la prochaine pandémie déclarée par l’OMS. Comme la réquisition s’applique aux personnes physiques, on peut imaginer qu’en cas de pandémie du type Covid-19, il soit possible de déplacer les personnes refusant une vaccination imposée par le gouvernement, dans des camps d’internement. Cela s’est vu en Australie.”

Je parle au nom  de tout  le peuple français  qui est  scandalisé par cet article 23 sur les réseaux sociaux.

NOUS  SOMMES  D’ ACCORD  AVEC le Docteur en DROIT Olivier Frot (Olivier Frot est diplomé de Saint-Cyr et docteur en droit.) https://edition.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-lpm-imperative-serait-elle-le-dernier-masque-en-date-d-un-coup-d-etat:

https://www.mondialisation.ca/la-loi-de-programmation-militaire-imperative-vers-un-coup-detat-masque/5679256/embed#?secret=0IO60TuPT6#?secret=AQ5DOYG77M

 

l’article 23 de cette LPM  n’a pas lieu de remplacer l‘article sur les réquisitions  22 12  1 et  22  12  2 du Code de la Défense  existant :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006071307/LEGISCTA000006166920/#LEGISCTA000006166920

Cet article 23 du Projet de Loi  LPM est une  ré-écriture complète de l’article  22 21 1  du Code de la Défense, c’est un  trou noir, un cavalier législatif  pouvant donner  lieu sans aucun doute  à des dérives ne concernant  pas  que la Guerre,  et /ou  (fait  nouveau ) a un engagement autoritaire  des citoyens français  pour  satisfaire  des actions de l ‘OTAN

L’article 23 émet de plus des sanctions ahurissantes et coercitives  en  cas de ‘ refus de réquisition  ‘ 500 000 euros d’amende, 5 ans de prison. 

Et pour quelle type de menace  ‘prévisible »?

L’Article 23 ne précise pas pour quel type de ‘ menace ”,  les réquisitions peuvent être activées, par simple DÉCRET
il  parle de menaces “pas actuelles mais prévisibles” ce qui est arbitraire.

L’ARTICLE  23 i  ouvre une autoroute  à toute dérive  possible  sous  prétexte , notamment, SANITAIRE
et non pas   juste la Défense  de notre pays dans une Guerre , décidée par la France.

1  ) « Compte tenu des accords en cours avec l’OMS, pourrait avoir les mêmes effets, surtout si l’on considère que le gouvernement a classé les vaccins anti-Covid parmi les biens à double usage, faisant l’objet d’un contrôle pour l’exportation. Or, les biens à double usage concernent directement la défense nationale. »

2)  le rapport du Sénat  739 du  14  JUIN  2023 précise bien que ce texte est liée à des menaces autres que la Guerre en Ukraine, comme :  UNE  CRISE  SANITAIRE
https://www.senat.fr/rap/l22-739/l22-7391.pdf

“CHAPITRE III : Économie de défense Article 23 Régime des réquisitions

Cet article modernise le régime des réquisitions. La commission a adopté cet article sans modification. –
84 – 1. Le dispositif proposé Une modernisation du régime des réquisitions Le régime actuel des réquisitions est détaillé dans l’étude d’impact du projet de LPM. Cette étude d’impact souligne, en particulier, que « ce régime est à la fois imprécis et très englobant : il vise à remédier à toutes les atteintes aux besoins généraux de la Nation, sans énumérer les différentes hypothèses dans lesquelles celles-ci pourraient survenir ».

L’étude d’impact décrit, par ailleurs, le cadre constitutionnel dans lequel s’inscrit cette réforme du régime des réquisitions. Le régime des réquisitions distingue traditionnellement les réquisitions militaires et les réquisitions pour les besoins généraux de la nation.

La distinction repose sur des critères dont la portée est parfois incertaine, appelant donc une clarification.
Le dispositif proposé vise, dès lors :

– à clarifier les cas de recours possibles au régime des réquisitions, tout en les adaptant au contexte actuel, c’est-à-dire en tenant compte de la guerre en Ukraine et de la crise sanitaire, qui démontrent la nécessité de pouvoir intervenir le plus en amont possible pour être efficace ;

 à simplifier les dispositions en vigueur, dans un souci de plus grande lisibilité ; – à redéfinir le régime d’indemnisation ;

 à compléter des dispositifs connexes aux réquisitions.

Le régime proposé distingue entre deux types de réquisitions :

– Les réquisitions visant à faire face aux menaces, actuelles ou prévisibles, pesant sur les activités essentielles à la vie de la nation. Elles sont décidées par décret en Conseil des ministres.

– En cas d’urgence, les réquisitions ayant pour objet la sauvegarde des intérêts de la défense nationale. Elles sont ordonnées par le Premier ministre par décret.”

Cela ne vous suffit pas pour voter contre l’article 23 ?

3  ) La loi d’urgence sanitaire de  2020  comportait deja un article   similaire  portant sur des réquisitions :
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000041746313/

« Art. L. 3131-15.-Dans les circonscriptions territoriales où l’état d’urgence sanitaire est déclaré, le Premier ministre peut, par décret réglementaire pris sur le rapport du ministre chargé de la santé, aux seules fins de garantir la santé publique :

« 1° Restreindre ou interdire la circulation des personnes et des véhicules dans les lieux et aux heures fixés par décret ;
« 2° Interdire aux personnes de sortir de leur domicile, sous réserve des déplacements strictement indispensables aux besoins familiaux ou de santé ;
« 3° Ordonner des mesures ayant pour objet la mise en quarantaine, au sens de l’article 1er du règlement sanitaire international de 2005, des personnes susceptibles d’être affectées ;
« 4° Ordonner des mesures de placement et de maintien en isolement, au sens du même article 1er, à leur domicile ou tout autre lieu d’hébergement adapté, des personnes affectées ;
« 5° Ordonner la fermeture provisoire d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion, à l’exception des établissements fournissant des biens ou des services de première nécessité ;
« 6° Limiter ou interdire les rassemblements sur la voie publique ainsi que les réunions de toute nature ;
« 7° Ordonner la réquisition de tous biens et services nécessaires à la lutte contre la catastrophe sanitaire ainsi que de toute personne nécessaire au fonctionnement de ces services ou à l’usage de ces biens. L’indemnisation de ces réquisitions est régie par le code de la défense ;  

Nous  somme ceux qui vous ont ÉLU et le PEUPLE  EST  SOUVERAIN.

Nous demandons  EXPRESSÉMENT  que cet article  23  soit annulé  et  que le code de la Défense  reste le CODE  DE LA  DÉFENSE .

Qu’aucune dérive possible ne puisse être introduite ou autorisée par un nouvel article.

CONCLUSION :

La coupe est pleine, le Peuple n’acceptera pas d’être livré à nouveau en pâture  à Mr Macron ou à Ursula Von der Leyen ou à  l’Otan  ou  à l’OMS  et ses  ‘vaccins’  armes biologiques ou à un « agenda  climatique « démesuré par ses coercitions.

L’ OMS avec qui la France a déjà des engagements internationaux et des accords  prépare un TRAITÉ  des PANDÉMIES   Global et coercitif prenant le pas sur les décisions des Etats et bien sur celles des personnes humaines, sur leur  liberté inaliénable, leur libre  consentement, celui  des hommes des femmes, des femmes enceintes, des travailleurs, des personnes âgées en Ehpads  ou chez elles, et même celui des enfants et des bébés..

Monsieur Macron a dit lors de la  ‘ crise sanitaire’: « Nous sommes en guerre »

Nous ne doutons pas , vu les documents consultés ci dessus que l’amalgame entre ‘ guerre ‘et  ‘crise sanitaire’ est très actuel.

De plus l’hypothèse d’aller se faire massacrer par décret pour  l’ OTAN dirigée par les Anglo-saxons dans une guerre  mortelle contre la Russie, n’est pas une option au 21ème siècle Nucléaire ni pour les personnes  ni pour aucune Nation du monde ni pour notre Planète.

Le  PEUPLE NE VEUT PLUS ET NE VEUT PAS et  NE VOUDRA PAS.

Nous demandons donc à TOUS LES DÉPUTÉS, SÉNATEURS UN VOTE CONTRE CET ARTICLE  23  ou DES ARTICLES   IMPLIQUANT LES  MENACES CLAIRES QUE NOUS VENONS  D’EXPOSER.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Theara TruthNews, Mondialisation.ca, 2023

Source : Mondialisation.ca

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:17

La France, qui se réclame de la démocratie et ne se prive jamais de donner des leçons par la voix de ses dirigeants, est surtout et avant tout un état de droit. -en théorie-

Or, le 24 février 2022, début de la guerre entre l’Ukraine et la Russie, l’Ukraine n’est pas un pays de l’Union Européenne, ni un membre de l’OTAN et n’a aucun accord de défense avec la France. Celle-là n’a pas non plus d’intérêts vitaux en Ukraine. Il eut été pertinent de se poser la question de savoir si la France devait intervenir. Mais le choix politique fait par le Président de la République d’aider l’Ukraine n’est pas le sujet de ce papier.

En revanche, la question de la légalité de notre engagement se pose.

Tout d’abord, ce choix politique n’a pas été suivi d’un choix législatif et judiciaire.

Par l’article 411-3 du code pénal révisé par l’Ordonnance du 19-11-2000, nous nous interdisons de livrer des moyens militaires au détriment de la défense nationale.

Par la Résolution du 30 novembre 2022 (303 voix sur 399 votants), l’Assemblée Nationale réaffirma son soutien à l’Ukraine par le double biais de l’U.E. (article 12) et celui du gouvernement (article 20).

Si en toute rigueur ces deux dispositions ne sont pas contradictoires, dans les faits, le prélèvement de matériels militaires dans certaines unités constitue une infraction qui révèle la caution sinon la complicité des votants, le législateur laissant enfreindre la loi qu’il a lui-même rédigée.

De fait il y a bien illégalité gravissime à enfreindre la loi délibérément. Surtout pour un législateur !

Puis, l’accord de sécurité signé à Paris le 16 février dernier entre, non pas la France et l’Ukraine, mais entre les présidents respectifs, témoigne d’un degré supplémentaire dans l’illégalité.

Notons les réactions immédiates de, d’une part, Messieurs Nicolas DUPONT-AIGNAN et Alain HUPERT qui s’insurgeaient qu’eux seuls sur 952 parlementaires aient réagi face à cette initiative personnelle sans consultation de la représentation nationale, ainsi que la déclaration publique conjointe de Messieurs Hubert VEDRINE et Jean-Pierre CHEVENEMENT qui réclamaient un débat sur le fond en en saisissant le Parlement ; soient deux signaux clairs que cette initiative outrepassait sinon violait l’état de Droit. De nos droits.

Cet accord quasi personnel entre deux hommes n’a aucune valeur juridique. Il n’a fait l’objet d’aucune consultation comme l’article 53 de la constitution l’eût exigé, ni d’une loi assortie d’un décret d’application et bien sûr… d’aucune publication dans le Journal Officiel.

En clair, cet accord n’est pas seulement illégal mais purement « a-légal ». Un vide juridique.

Sans écarter une basse manœuvre de notre Président pour tromper son visiteur, fort improbable d’ailleurs, ce texte a quand même des conséquences potentielles gravissimes que nous allons voir.

Ensuite, ayant proclamé « qu’il ne fallait pas laisser gagner la Russie », le Président MACRON a fait état d’une « européisation de notre dissuasion nucléaire » (déclaration VEDRINE-CHEVENEMENT) lors de son voyage en Suède, plaçant ainsi la France, déjà considérée comme cobelligérante par la Russie, en position de cible numéro Un dans le cas d’un conflit direct entre l’OTAN et la Russie.

Enfin, le 26 février dernier, le chef de l’état, peut-être par le réflexe de ceux qui pour tenter de retrouver une popularité qui leur échappe désignent un ennemi extérieur, a franchi un degré de plus vers la guerre en déclarant possible l’envoi de troupes occidentales face à la Russie.

Alors, veut-il la guerre ? Est-ce seulement une gesticulation imprudente mais dangereuse ?

Dans son article L 4122-1 du code de la Défense, il est stipulé qu’un militaire n’est pas obligé et a même le devoir de ne pas obéir à un ordre manifestement illégal, ce qui est avéré ici, de par le vide juridique montré plus haut.

L’accord du 16 février précise expressément prendre effet à compter de la date de la signature (!). Le Président a-t-il, peut-il et va-t-il donner des ordres pour sa concrétisation ?

Quoi qu’il en soit et de notre point de vue ce texte apporte et doit poser un réel problème de conscience aux militaires. Si les échelons subalternes, le nez dans le guidon, comme souvent ne voient pas forcément la gravité autant que le caractère ubuesque de la situation, les hauts échelons de la hiérarchie ne peuvent l’ignorer et la ligne rouge à ne pas franchir ne peut que les inciter à appeler le chef des armées à la raison.

Toujours très légalistes, ils ne peuvent que constater l’état de droit ici bafoué. Ils le doivent !

Pourquoi ?

Un jour viendra où certains de nos gouvernants et hauts responsables auront à rendre des comptes au peuple qui selon l’article 3 de notre Constitution détient seul la souveraineté nationale confiée le temps limité de leur mandat à ses représentants, non pour être trahi mais pour avoir une gouvernance conforme à ses vœux et surtout intérêts.

Posons-nous tous, d’urgence, la double question solennelle suivante :

Qui veut mourir en et/ou pour l’Ukraine ?

Qui veut mourir à cause du délire d’un tyran ?

Le 27 février 2024.

Général (2S) André COUSTOU.

Président d’honneur de Place d’armes.

SOURCE

Source : Morzhed-hoch

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:16

Macron et sa cour ; ça en dit long sur le personnage, mais ça en dit encore plus long sur la direction que prend la France avec un agité de cette espèce ! Nous avons donc de quoi nous inquiéter !

 

Henry

Macron et le climat à l’Élysée
 
 
 
 
 
Lourde charge dans le Point, sur la présidence Macron et le climat a l’Élysée

« Sa Cour le protège (…). Un député se scandalise du comportement de son entourage en voyage présidentiel à Stockholm : ”se peut-il qu'un ministre se comporte de manière aussi obséquieuse à l'égard de celui qui l'a nommé, qui plus est en public ?”
”La courtisanerie à l'état pur. Des jeux de pouvoirs propres à la fonction, auquel le chef de l'État a eu la faiblesse de prendre goût”
Et comme Macron est assez rancunier, dans son entourage, ”il ne reste plus que les cireurs de pompes, il est coupé de tout.” Un président ”enfermé dans une toile théorique tissée par des conseillers sans expérience du terrain.”


Mais l’Elysée est aussi une vraie pétaudière : le ”chaos” du Salon de l’agriculture ?
”Le président nous a donné 2 semaines pour trouver un schéma qui tienne la route,” alors que lui-même n'avait même pas la moindre idée, comme pour la coalition anti-Hamas.

Ce ”président en majesté, artisan du dépassement et grand réconciliateur de deux mondes aux antipodes,” dont ”le narcissisme et l’orgueil" va jusqu'à croire pouvoir réconcilier mouvements écologistes radicaux et secteur agricole…

La gaffe de l’invitation des Soulèvements de la Terre a été mise sur le dos de ses conseillers, mais on apprend que ”le président a de toute façon pour habitude de ne jamais sermonner ses collaborateurs”…

« Des gens viennent de la droite, de la gauche, les idées se confrontent. C'est une maison où on débat, on construit des solutions »

Ajoutons une bonne dose de tergiversations présidentielles, et on apprend que ”même le tout-puissant AlexisKohler, réputé être le seul qui résiste aux fulgurances du Président, rencontre de plus en plus de difficultés à colmater les brèches.”

C’est donc ”un quinquennat sans boussole,”
”l’infatigable séducteur ne séduira plus…”

Un membre du gouvernement pense que ”il doit disparaître… On n'en peut plus de le voir, il va nous plomber.”

Pour un élu macroniste, ”il est dans le refus d'admettre qu'il n'est plus aux commandes, dans le fantasme de la toute-puissance.” Fantasme, ou cynisme ?

”On ne sait jamais, avec le président, s'il fait un coup politique, ou s'il croit vraiment pouvoir plier le réel à sa volonté,”
Quoi qu’il en soit, ”le réel ne plie jamais.”

 
Sources :
 
 
_____________________________
 

NOUVEAU RECORD HISTORIQUE
DU DÉFICIT DE L'ÉTAT
Il a atteint -25,74 Mds € en janvier.
Pour que la France reste dans l'euro,la BCE, soutenue par,va exiger des coupes budgétaires colossales et sans précédent.
La France est sur une poudrière financière,politique et sociale.
https://t.co/Dvyry7KQgP

— François Asselineau (@UPR_Asselineau) March 4, 2024

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:10

Le Dr David Martin met sur table des brevets qui ont permis de fabriquer le SARS COV 2 par l'armée Américaine, ç'est une arme, rien de plus ! Ce virus est une atteinte à l'humanité entière !

 

 

 

The Gathering Storm when voice of reason is silenced

Le docteur Martin a intitulé son intervention : "L'orage qui gronde, lorsque la voix de la raison est réduite au silence".
Ca
 

SOMMET/COVID - Après la 1ère édition en Italie, à Rome (2021), après la 2ème édition en France, à Marseille (2022), la 3e édition de l'International Covid Summit (ICS 2023) s'est déroulée en Belgique, au Parlement européen à Bruxelles, du 2 au 4 mai dernier. Si cet événement ne correspond pas, bien évidemment, à une séance plénière capable de légiférer, celui-ci a bien sa place dans l’agenda de la vie démocratique européenne. Organisé par plusieurs parlementaires, le sommet a permis plusieurs interventions d’experts et de professionnels issus du monde scientifique et médical afin d’évoquer la gestion (ou l'origine en l'occurrence) de la crise sanitaire de SARS-CoV-2. L’un des orateurs a particulièrement provoqué l’effervescence sur les réseaux sociaux, le docteur David E. Martin. Selon ce spécialiste des dépôts de brevets, cette pandémie ne doit rien au hasard et n’est pas "naturelle". Elle serait le fruit de dizaines d’années de recherches commencées au milieu des années 60, pour réaliser une guerre biologique contre l’humanité. Quelle démonstration et quels faits pour appuyer cette thèse ? 

Le docteur canadien Stephen Malthouse, chargé de l’allocution de bienvenue à l’ICS 2023 donne le ton. “L’assistance va être surprise”, annonce-t-il avant de demander aux participants d’ouvrir “leur esprit et leur cœur” afin d’écouterles professionnels et les experts(avec parmi eux le professeur Christian Perronne ou de l’anesthésiste-réanimateur Louis Fouché. France-Soir reviendra ultérieurement sur leurs prestations, ndlr), dont les “propos se basent sur des études scientifiques”.

Le premier intervenant est le docteur David E. Martin. Et à l’écoute de ses propos, il faut en effet être prêt d'emblée : “Le coronavirus est un acte de guerre biologique préparé de longue date”. Sa “libération” aurait été faite “intentionnellement” et impliquerait plusieurs établissements de recherches étasuniens, dont celui d’Anthony Fauci, le NIAID (l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses).

Back in the 60's

Conséquence : la pandémie de 2020 “ne s’est pas produite du jour au lendemain”, mais remonte d’après lui “au milieu des années 60”. Composée d’une succession de recherches et de mises au point, son but serait faire accepter l’idée d’un vaccin “universel” à la population, basé sur la technologie de l’ARNm. Il s’agirait là, à ses yeux, d’une “guerre contre l’humanité”, du fait de la bio-militarisation “de la nature” contre elle, en dehors de toute éthique.

 

Le docteur Martin n’a pas oublié de diffuser par diapositives des sources scientifiques (qui seront ici citées en lien ou en notes) qui étayent son discours. Celui-ci, relativement clair mais très dense quant à un éventuel “acte de guerre biologique” n’offre pas toutes les clefs au problème ainsi disposé. Toutefois, les nombreuses cordes à l’arc du docteur David E. Martin laissent entrevoir des pistes d’analyse de la pandémie incontournables.

Qui est-il pour réaliser de telles déclarations fracassantes ? Docteur, diplômé du Goshen College dans l’Indiana, titulaire d’une maîtrise en Sciences de la Ball State University de Virginie, David E. Martin est le fondateur et président-directeur général de M.CAM. Fondée en 1998, cette société internationale a pour activité le “capital immatériel”. Soit tout ce qui englobe les éléments non monétaire et non physique qui développe de la valeur de par les informations ou les connaissances qui peuvent y être associées : par exemple, les brevets intellectuels qui, indéniablement, sont une composante du déroulement de la crise pandémique et des découvertes liées à l’ensemble des virus de type SARS-CoV. Dr Martin en est un spécialiste.

"Il y a environ dix ans, j'ai alerté le monde sur ce qui allait arriver"

Figure des médias mainstream (dont la chaîne Bloomberg, CNBC), avant que ne surgisse la pandémie qui allait lui “faire perdre son audience” et de nombreuses relations professionnelles de par ses prises de position, Martin a personnellement créé l’indice CNBC IQ100. Celui-ci est considéré comme un indicateur économique majeur dans le secteur de l’innovation aux États-Unis et tout autour du monde. C’est au cours de son activité d’entrepreneur que David E. Martin apprend à connaître les subtilités du Congrès américain avec qui il doit composer vis-à-vis de la réglementation commerciale ou financière et des agences de régulation. C’est sur ce même terrain qu’il va échanger avec l’Union Européenne (UE).

L’UE, dont il avait déjà visité le Parlement : “C’est particulièrement intéressant pour moi de me trouver ici aujourd’hui, étant donné qu’il y a environ une décennie, j’ai alerté le monde sur ce qui allait arriver”. Jadis reçu par le groupement politique Les Verts/ALE (Alliance Libre Européenne), il est cette fois invité à l’initiative du groupe ECR, réunissant les conservateurs et réformistes européens, qui se compose de partis de droite et de la droite nationaliste sur l’échiquier politique (1).  

David E. Martin n’a pas tenu ce type de propos au Parlement européen pour la première fois. Lors d’un entretien mené par l’avocat allemand Reiner Fuellmish, initiateur du procès dit “Nuremberg 2.0” et de class actions devant la justice américaine, le PDG de M.CAM avait déjà indiqué la plupart de ses propos (cf. le Verbatim du 20 juillet 2021, “Pandemic Fraud”), dont certains sulfureux. Le “buzz”, notamment sur les réseaux sociaux, provoqué par cette nouvelle intervention, ne doit pas faire oublier qu’une analyse débattue et disputée des faits et de la thèse soutenue est nécessaire.

Des manipulations sur l'homme très précoces

Par rapport à 2021, la vision de David E. Martin s’est approfondie dans le temps. De façon détaillée, il remonte “à 1965” (l’étude des chercheurs à l’origine de cette découverte est publiée en 1966). Cette année-là, cet “agent pathogène est isolé” et associé, légitimement, à un rhume dans sa description (avant le coronavirus dénommé SARS-Cov 2, plusieurs autres coronavirus circulent déjà par exemple sur le continent européen et sont à l’origine de cette maladie plus ou moins bénigne pour les patients).

Selon David E. Martin, à l’époque, ce virus aurait intéressé pour ses propriétés associées à un “modèle infectieux et reproductible” qui ouvrent la porte à des expérimentations sur l’homme en la matière. Toujours d’après l’intervenant, dès 1966, les États-Unis et le Royaume-Uni “échangent des données” sur ce virus. Il devient alors l’objet d’une “manipulation” sur l’homme. Et en 1967, les premières inoculations d’individus (voir note 77 du lien) avec un coronavirus “modifié” ont eu lieu d’après lui, sans davantage de précision dans son discours.

Pour autant, dans tous les cas de figure, une absence d’information au grand public présente un premier problème moral. Ce virus “modifié” avait-il le droit de traverser l’Atlantique pour des expériences qui peuvent présenter un danger pour l’humanité ? Selon certaines manipulations opérées sur des virus en laboratoire, certaines peuvent s’avérer être dangereuses, que cela soit sur l’influenza responsable de la grippe ou les coronavirus responsables du rhume ou de ce qui a été appelé en 2020 “la Covid-19”. Aux yeux de David E. Martin, cela est “une violation des traités sur les armes biologiques et chimiques”.

Pouvait-il présenter alors après les expériences menées un danger du niveau d’une arme ? Le Dr Martin affirme que le coronavirus responsable du rhume est transformé en “chimère”, autrement dit concerné par des modifications entreprises par l’homme “dans les années 70”. Le terme “chimère” renvoie théoriquement à la combinaison de deux virus pathogènes. Le but est d’augmenter la létalité du nouveau virus obtenu, alors envisagé comme arme biologique. David E. Marin n’a pas le temps de préciser son propos.

Continuation des expériences sur les animaux

En 1975, toujours sans débat éthique, certains scientifiques ont trouvé comment modifier le virus en l’inoculant à des animaux, en l’occurrence, des porcs et des chiens. Ce qui ne se produit pas sans déclarer chez les animaux des problèmes gastro-intestinaux. Des problèmes qui vont apparaître au sein même des élevages industriels de chiens et de porcs au début des années 1990.

Intervient alors le laboratoire pharmaceutique Pfizer qui souhaite trouver une solution au problème et capter un beau marché en perspective. Il lance son premier modèle de vaccin recourant à la protéine Spike et dépose le brevet (à une date manifestement ultérieure à celle édictée par le Dr Martin (2)).

Cette technologie ne serait ainsi selon le docteur nullement nouvelle mais aurait déjà été testée il y a plus de trente ans et rendues ainsi opérationnelle… ou pas : Pfizer découvre alors “que les vaccins ne marchent pas” sur les animaux, selon Dr Martin. Pourquoi ? “Parce qu’il s’avère que le coronavirus est un type de virus très malléable”. Autrement dit, il mute souvent. “Il change et il mute au cours du temps”. L’échec est total : "de 1990 à 2018, la moindre étude publiée conclut que le coronavirus échappe à l’impulsion du vaccin”. 

Un vaccin qui ne marche pas... Des brevets déjà prêts 

David E. Martin évoque d’une part un virus qui mute “trop vite” pour disposer d’un vaccin efficace. Une thèse défendue rapidement par le professeur Didier Raoult qui, avant tout le monde, a observé la mutation des coronavirus à l’été 2020, confirmant son analyse préliminaire (théoriquement bien connue de la science), lorsque le ministre de la Santé Olivier Véran ou d’autres professeurs comme Karine Lacombe affirmaient de façon surréaliste que cela n’existait pas...

On peut aussi d’autre part évoquer la question de l’“échappement immunitaire” : si un vaccin n’est pas pleinement efficace contre un virus, celui-ci lui laisse alors l’opportunité de “fuir” et de se diversifier, voire se renforcer et devenir plus dangereux. Une possibilité (bien connue de la science là-encore) qui, dans le cas du SARS-Cov-2 a été soutenue par le prix Nobel Luc Montagnier. 

Quoi qu’il en soit ce type de vaccins “ne marche pas, c’est la science et cette science n’a jamais été disputée” avec, à l’appui, des “milliers d’études indépendantes”.  

Un tournant apparaît cependant en 2002. Un brevet est déposé par l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill : The mRNA Vaccine "model" is patented as "an infectious, replication defective clone". Krisopher M. Curtis, Boyd Yount, U S, Patent 7, 279, 327, April 2002.

Soit : un “clone infectueux, à la réplication défectueuse”. Pour David E. Martin, cela signifie “une arme”, ni plus ni moins. Dont la propriété serait de “cibler un invididu” sans en toucher un autre. Le docteur indique alors immédiatement la source du financement qui a permis la recherche : le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) dirigé par Anthony Fauci. 

Dans un effet de manche, David E. Martin fait un rapprochement avec l’apparition du SARS-CoV, une année après ce dépôt. Et il soutient que ce virus n’est “pas un phénomène naturel”, mais a été réalisé sous ingénierie à l’Université de Caroline du Nord. 

Cette affirmation est délicate. En effet, les études épidémiologiques, appuyées par la suite par les données recueillies au sein de l’arbre phylogénétique des coronavirus montrent que l’origine du SARS-CoV-1 est liée aux civettes palmées, hôte intermédiaire du réservoir à coronavirus par excellence et bien réel : les chauves-souris. 

Le CDC corrompu ?

Le Dr Martin revient sur son terrain de prédilection. Il traite d’une demande de dépôt de brevet en 2003 par le Centers for Disease Control and Prevention (CDC, Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) pour “isoler” le SARS-CoV-1. Il peste une nouvelle fois une violation des traités contre les armes biologiques et chimiques. Mais détaille aussi la subtilisation d’une séquence découverte en Chine, sur laquelle l’administration américaine aurait déposé ce brevet : “Cela est un crime”. Selon lui, l’office chargé des dépôts de brevets a refusé à deux reprises son enregistrement, pour cette raison. Avant que, finalement, le CDC soit littéralement “soudoyé” pour changer d’avis, acté en 2007.

Le Dr Martin varie de sujet et en vient aux tests RT-PCR et un système de classification qui renforcerait la piste d’un calcul “militaire” derrière la mise en place de techniques (cf. la diapositive numéro 2 de l’exposé, qui indique les “signaux d’alerte” selon l’intervenant. Tout cela “ne ressemble pas à de la médecine, mais à une arme pour éliminer l’humanité”, pense-t-il.

Un sinistre projet qui aurait été financé par "10 milliards de dollars" apportés via l’administration Fauci et qui seraient, selon le docteur Martin, plus important encore que les références à la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency, DARPA, - "Agence pour les projets de recherche avancée de défense"), qui serait à l'origine des premiers essais de vaccins à ARNm, ou à Alliance EcoHealth, la fameuse agence impliquée dans un scandale autour, justement, de l'origine du virus. N'oublions-nous pas quelque peu les enquêtes en cours, qui ont besoin d'être approfondies, et révèlent au fur et à mesure de leurs avancées des faits tangibles hors normes et scandaleux ?

Puis, David E. Martin revient sur la problématique des “gains de fonction”, qui sont en rapport direct avec la façon de rendre plus dangereux des virus par l’intervention de l’homme. Il nous apprend qu’en 2014, le NIAID aurait écrit à l’Université de Caroline du Nord pour que celle-ci poursuive l’étude de gains de fonction sur des virus nonobstant un moratoire décidé sur ces derniers. Comment ? Du fait que les subventions allouées à cette recherche avaient été distribuées auparavant… L’université obtient alors “une exemption” pour continuer ses recherches qui posent tant question moralement et scientifiquement.

Dans un exposé de plus en plus rapide et dense, le Dr Martin revient sur le terrain des brevets une nouvelle fois après avoir insisté sur une idée qui, dès 2016, apparaissait au sein des recherches menées par la NIAIS et l’Université de Caroline : “Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle du virus”.

Nature préméditée de la pandémie

À ce moment-là, les recherches en gain de fonction sont aussi menées (et donc en partie financée par cette administration américaine dirigée par Fauci) par le laboratoire de Wuhan de la province du Hubei en Chine. En 2019, comme se préparant à cette “fuite”, Moderna dépose un brevet pour “un agent pathogène respiratoire”, qui n’était pas encore censé exister…

Pour le Dr Martin, c’est ce qui expliquerait la nature préméditée de la pandémie... D’autres pistes existent : les risques de fuite de laboratoire étaient parfaitement connus depuis très longtemps au sein du monde scientifique occidental et des alertes étaient faites régulièrement à ce propos. Une enquête plus approfondie ou, peut-être plus de temps laissé à David E. Martin pourrait aider à éclaircir certains faits présents au sein de son exposé.

Comme le dernier présenté : le but réel de la pandémie serait d’amener un “vaccin universel” tout en permettant aux industriels de se retrouver intéressés à l’affaire d’une société qui évoluerait en ce sens. Le projet du vaccin universel est ancien, évoqué classiquement (par exemple par l'Organisation Mondiale de la Santé) à propos de vaccins contre les virus responsables de la grippe. Mais il peut aussi s’agir d’un rêve d’industriel de la pharmacie, qui grâce à l’ARNm, aimerait voir une technologie pratique à mettre en place et leur garantissant de beaux profits. 

Le rôle des médias

Quel ciment pour relier tout cela ? Les médias et leur rôle de caisse de résonance de ce qui ne serait qu’une propagande aux yeux du docteur. Ce dernier finit son intervention par un appel solennel afin "d'en finir avec les expériences de gain de fonction", "d'en finir avec la 'militarisation' de la nature". Car la nature, comme la science ont été "piratées". Empêcher les entreprises privées de soutenir des études qui peuvent défendre ses propres produits, rendre celles-ci "responsables" paraît être une proposition très raisonnable.

Dans son entretien de 2021, David E. Martin ne remontait pas aussi loin pour décrire ici une “ingénierie” de près de 60 ans. L’état de la science comme les techniques de recherche d’alors n’étaient pas les mêmes, certaines non encore imaginées et peuvent, a priori, difficilement faire entendre “un continuum” tendant vers un seul but : l'intentionnalité indiquée par le docteur Martin reste, à l’évidence, à démontrer s’il s’agit d’évoquer “un plan” pour amener à la pandémie de coronavirus telle qu’elle a été connue en 2019/2020.

   

 

Notes :

(1) MEMBRES DU PARLEMENT EUROPEEN

M. IVAN VILIBOR SINČIĆ, Député non-inscrit au Parlement européen - CROATIE
MME. FRANCESCA DONATO, Membre non-inscrit au Parlement européen - ITALIE
M. MISLAV KOLAKUŠIĆ, Député non inscrit au Parlement européen - CROATIE
MME. CHRISTINE ANDERSON, Identité et Démocratie - ALLEMAGNE
M. CRISTIAN TERHEȘ, Conservateurs et Réformistes européens - ROUMANIE

(2) Pfizer Patents CoV S-protein U.S. Patent 6, 372, 224 November 2000.
 

Matériel de l'exposé :

 

Diaposition 1

 

Diaposition 2

 

Diaposition 3

 

Diaposition 4

article modifié le 12 juin 2023 : ajout du lien odyssé pour la vidéo de David Martin

 

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:07

Au cœur du développement industriel et financier des États-Unis et par extension, du monde, se trouve l’histoire fascinante et complexe de la famille Rockefeller. Cette dynastie, souvent enveloppée d’une aura de mystère, a établi l’un des plus grands empires financiers de l’histoire, influençant de manière indélébile l’économie mondiale, la politique et même la philanthropie. La trajectoire de cette famille illustre comment le pouvoir, la richesse et l’influence peuvent se tisser à travers les générations, façonnant non seulement le paysage économique mais aussi le tissu social et politique à l’échelle globale.

L’ascension des Rockefeller n’est pas simplement une histoire de réussite financière; elle est intimement liée à des monopoles historiques, des stratégies de richesse ingénieuses, et à une influence mondiale qui a parfois flirté avec la conspiration économique. Leur empire a démarré dans le pétrole, avec la création de la Standard Oil, une compagnie qui a rapidement dominé l’industrie pétrolière, donnant naissance à ce que beaucoup considèrent comme le premier grand monopole américain. Cette domination n’était pas seulement économique; elle reflétait une nouvelle forme de pouvoir et de politique, où les milliardaires influents pouvaient façonner les politiques publiques et les marchés mondiaux.

Au-delà de leur empire financier, les Rockefeller ont également joué un rôle clé dans la création et le soutien d’un réseau global d’élites, connectant des leaders politiques, des entrepreneurs et des philanthropes dans un échange mutuel d’influence et d’intérêts. Cette interconnexion a souvent été perçue comme un leadership secret, orchestrant des changements à une échelle globale sous le voile de la philanthropie et du pouvoir.

La philanthropie, en particulier, a été un domaine où les Rockefeller ont laissé une empreinte indélébile, fondant d’innombrables institutions et soutenant des initiatives éducatives, scientifiques et culturelles à travers le monde. Toutefois, cette générosité n’était pas exempte de critiques, certains y voyant une stratégie pour consolider davantage leur pouvoir et influencer, un moyen de légitimer leur place au sein de la société et de modeler les discours sur la richesse, la culture et la gouvernance.

Les guerres pétrolières et les stratégies d’expansion mondiale de la Standard Oil ont également souligné comment les entreprises peuvent jouer un rôle central dans les affaires mondiales, influençant les politiques énergétiques, les relations internationales et même les conflits armés. Ces actions ont posé des questions sur l’équilibre entre le pouvoir corporatif et la souveraineté nationale, une thématique qui reste d’actualité.

Enfin, la notion d’une économie cachée prend forme dans l’héritage des Rockefeller. Leur capacité à naviguer dans les eaux de la finance mondiale, à établir des monopoles et à influencer les politiques à leur avantage révèle un aspect souvent occulté du capitalisme, où les familles dynastiques comme les Rockefeller jouent un rôle disproportionné.

L’histoire des Rockefeller est donc bien plus qu’une saga familiale; elle est le reflet d’une ère où l’empire financier et le pouvoir politique se sont entremêlés d’une manière qui continue de façonner notre monde. Derrière chaque acte de philanthropie, chaque stratégie d’expansion et chaque interaction avec le pouvoir politique se cache une leçon sur les dynamiques de pouvoir et d’influence qui transcendent les époques et les frontières.

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:03

Il n'y a pas que Blackrock, Blackstone est nettement plus discret, aussi faut il s'en méfier davantage !

 

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Dans cette vidéo immersive, nous plongeons au cœur de Blackstone, le colosse de la haute finance souvent surnommé « le pape de Wall Street ». Peu connu du grand public mais vénéré dans l’arène financière new-yorkaise, Stephen Schwarzman, le cerveau derrière Blackstone, a bâti un empire financier redoutable, dominant le monde de l’immobilier et bien au-delà. Parti de rien, Schwarzman est aujourd’hui à la tête du plus grand hedge fund du monde avec une fortune personnelle estimée à 37.3 milliards de dollars. Blackstone, avec ses 1.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion et une capitalisation boursière qui défie les géants comme Goldman Sachs et Morgan Stanley, révèle une histoire fascinante de croissance, d’opportunités saisies et de stratégies d’investissement audacieuses. Rejoignez-nous pour un voyage au sein de l’un des fonds spéculatifs les plus puissants du globe, découvrez ses secrets, ses stratégies, et pourquoi il devrait figurer sur votre radar d’investisseur.

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