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28 juin 2022 2 28 /06 /juin /2022 17:08

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28 juin 2022 2 28 /06 /juin /2022 16:58
Macron vient de réaffirmer aux Européens son engagement sur la retraite à 65 ans…
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28 juin 2022 2 28 /06 /juin /2022 16:48

Olivier Marleix lâche une bombe : la France s'est pliée à la règle communautaire consistant à lier le prix de son #électricité (nucléaire) sur celui du #gaz (dont le prix explose) par soumission à l'Allemagne qui ne voulait pas que nos entreprises aient un avantage compétitif https://t.co/Jp36ERMidu

— Philippe Herlin (@philippeherlin) June 28, 2022

Les dirigeants des trois énergéticiens français TotalEnergies, EDF et Engie appellent ensemble dimanche les Français à réduire «immédiatement» leur consommation de carburant, pétrole, électricité et gaz face au risque de pénurie et de flambée des prix qui menacent «la cohésion sociale» l'hiver prochain.

 

Un hiver à venir sous haute tension. Les leaders de l'énergie en France appellent toute la population à un effort collectif pour réduire immédiatement leur consommation d'énergie, la seule manière d'éviter une pénurie de gaz, d'électricité et de pétrole l'hiver prochain.

«L'effort doit être immédiat, collectif et massif. Chaque geste compte», indiquent dans une rare tribune commune publiée par le Journal du Dimanche, Patrick Pouyanné (TotalEnergies), Jean-Bernard Levy (EDF) et Catherine MacGregor (Engie), alors que la France, comme le reste de l'Europe, tente de remplir ses réserves de gaz pour l'hiver prochain, avec un objectif français de 100% de stockages remplis d'ici au début de l'automne, malgré la baisse des livraisons de gaz russe.

 

Une menace pour la cohésion sociale

Aux difficultés d'approvisionnement en gaz lié aux conséquences de la guerre en Ukraine, s'ajoutent des «tensions» sur les capacité de production électrique pilotable en Europe, et une production hydraulique «amputée» en raison de la sécheresse, expliquent-ils.

«La flambée des prix de l’énergie qui découle de ces difficultés menace notre cohésion sociale et politique et impacte trop lourdement le pouvoir d'achat des familles» relèvent les auteurs du texte.

Pour un «grand programme d'efficacité énergétique»

«La meilleure énergie reste celle que nous ne consommons pas» soulignent les trois dirigeants qui appellent à «une prise de conscience et à une action collective et individuelle pour que chacun d'entre nous – chaque consommateur, chaque entreprise – change ses comportements et limite immédiatement ses consommations énergétiques, électriques, gazières et de produits pétroliers».

Ils souhaitent le lancement d'un «grand programme d'efficacité énergétique» et une «chasse au gaspillage nationale».

«Agir dès cet été nous permettra d'être mieux préparés pour aborder l'hiver prochain et notamment préserver nos réserves de gaz», estiment les trois dirigeants.

 

«Acteurs industriels responsables, nos trois groupes s'engagent à collaborer activement» indiquent les patrons, d'ordinaire plutôt en concurrence sur les sujets de transition énergétique, notamment qui voient fleurir des investissements massifs mais pas toujours coordonnés dans les énergies renouvelables, le nucléaire et l'hydrogène notamment.

Source

Des petits malin ces gens là ! Comme si les Français avaient encore les moyens d'une gabegie énergétique ! Il n'y aura aucune réduction de consommation énergétique que celle due à la pauvreté qui gagne tout le pays...

L'état du parc nucléaire est dramatique, nous ne disposons plus depuis 2 ans, que d'une production partielle et c'est l’Allemagne qui comble majoritairement notre manque tous les hivers. Cette dernière, aussi en pénurie, ne pourra probablement pas cet hiver.

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 19:05

Le Reuters Institute for the Study of Journalism (RISJ) publie chaque année un rapport analysant l’activité des consommateurs sur le secteur des médias au niveau mondial.

77% des français n’ont pas confiance dans les médias

L’édition 2022 de cette étude, la onzième, vient de paraître et a été rédigée en interrogeant 93 000 « consommateurs » de médias répartis sur tous les continents et 46 marchés distincts. Tour d’horizon de ce rapport qui fait autorité et est habituellement largement repris par les grands médias. Sans oublier un coup d’œil sur ses commanditaires.

Les Français n’y croient plus

Selon cette étude, 29 % des Français ont confiance dans les médias, un chiffre qui atteint 33 % en Roumanie, 38 % en Bulgarie ou encore 42 % en Pologne. La France fait au côté de la Hongrie, de la Slovaquie et de la Croatie partie des pays de l’Union européenne dans lesquels moins d’une personne interrogée sur trois déclare avoir confiance dans les médias.

C’est dans les pays germaniques et ceux du Nord de l’Europe que les citoyens ont le plus confiance dans les médias : 69 % en Finlande, 58 % au Danemark, 56 % en Norvège et aux Pays-Bas, 50 % en Suède, 50 % en Allemagne et 41 % en Autriche. Nos amis belges et suisses ne s’en sortent pas trop mal avec respectivement 51 % et 46 %, alors que le Portugal fait exception au sein des pays latins et atteint 61 %.

Le Brexit, Trump, les Gilets jaunes et le Covid sont passés par là

Le Reuters Institute ose l’écrire noir sur blanc :

« […] le manque de confiance dans les informations est moins lié à des clivages politiques idéologiques qu’à un clivage entre les ‘nantis’ et les ‘démunis’. En France, par exemple, nous constatons que les divisions portent davantage sur le revenu et l’éducation que sur l’allégeance à un parti. Pendant les manifestations des Gilets Jaunes, par exemple, les médias ont souvent été perçus comme s’alignant sur les élites. »

Un élitisme que l’étude note aussi dans le cas du Royaume-Uni avec le Brexit et aux États-Unis avec la présidence Trump. Dans ces trois pays, la narration sanitaire liée au Covid fait suite à des épisodes ayant déchiré les sociétés, d’où des chutes conséquentes dans le classement de confiance dans les médias.

Les États-Unis — au côté de la Slovaquie — sont bons derniers de ce classement : seulement 26 % des Américains ont confiance dans les médias (une chute de trois points en à peine un an). Au Royaume-Uni, cette dégradation est surtout palpable lorsqu’on s’intéresse à la confiance dans une véritable institution médiatique, la BBC. De 2018 à 2022, la confiance dans la BBC est passée de 75 % à 55 %, tandis que 26 % des personnes interrogées cette année déclarent purement et simplement ne pas avoir confiance dans cette chaîne (11 % en 2018).

Encore plus préoccupant : au Royaume-Uni, 46 % des personnes interrogées cette année déclarent éviter parfois ou souvent les médias. Un multiplication par deux par rapport à 2016 !

 

La guerre russo-ukrainienne a tendance à accentuer les tendances

Impact sur l’humeur, propension à éviter les informations, développement du numérique et des réseaux sociaux mais solidité des médias classiques pour ce qui est de la confiance, etc. La guerre entre l’Ukraine et la Russie a encore plus mis en évidence certaines habitudes de consommation.

Elle peut se révéler être un accélérateur et un révélateur, surtout en Allemagne, en Pologne et aux États-Unis, où elle a eu un impact négatif sur la proportion de personnes se détournant des médias : +7 points en Allemagne, +6 en Pologne et + 4 aux États-Unis. Un chapitre entier de l’étude est consacré aux « perceptions de la couverture médiatique de la guerre en Ukraine ».

Les Français restent vieux jeu

La France appartient aux pays pour lesquels la télévision joue encore un rôle déterminant, alors que la presse régionale est ce en quoi les français ont le plus confiance. 58 % des Français ont confiance dans la PQR et 53 % dans France Télévisions. Si cette confiance n’est que de 40 % pour CNews et de 37 % pour BFMTV, elle reste supérieure à la confiance moyenne qu’ont les Français dans les médias.

Les Français sont parmi les consommateurs de médias les moins connectés au monde :

« Si les États-Unis semblent avoir le groupe le plus important d’utilisateurs d’informations déconnectés, nous observons des chiffres tout aussi élevés au Japon (15 %), au Royaume-Uni (9 %), en France (8 %) et en Australie (8 %). »

Très peu, sont par ailleurs en France à payer pour des contenus médiatiques en ligne (11 %). Cette proportion est bien plus élevée en Suède ou en Norvège, pays où la confiance dans les médias dépasse largement celle constatée en France.

Remarques sur la méthodologie

La force de ce rapport est à la fois sa grande faiblesse. Le rapport annuel du Reuters Institute est ce qui existe de plus complet et de plus large en matière de confiance dans les médias et d’habitudes de consommation au niveau mondial. Bien qu’il soit fait à partir d’échantillons faibles (à peine 2059 interrogés pour la France), ce rapport permet de dégager de réelles tendances que les observateurs et analystes n’auront pas de mal à confirmer.

Mais un œil non-avisé risque très vite de s’y perdre. Les mêmes instruments de mesure sont en effet utilisés pour des pays aux cultures historiques et politiques différentes : les pays latins et verticaux, où la politique est le lieu de concentration des tensions sociales, les pays protestants, scandinaves et/ou germaniques, où l’horizontalité, la contractualité et le compromis sont des éléments constitutifs du fait politique, les pays post-communistes, où la presse est ouvertement partisane voire clanique. Ces éléments permettent d’apporter de la complexité aux résultats de l’étude et de les relativiser, et de prendre le travail du Reuters Institute avec des pincettes et du recul.

En revanche, sans cette contextualisation, les résultats de cette étude jetés en pâture dans la grande presse peuvent remplir un objectif politique. Ils peuvent très vite devenir un vivier à gros titres. Exemple parfait : la Hongrie. La presse hostile à Viktor Orbán n’aura pas tardé à reprendre les mauvais résultats de la Hongrie dans cette étude. 27 % de confiance dans les médias, alors que les médias les plus fiables sont sans surprise ceux opposés à la politique du gouvernement hongrois (Telex et 444 entre autres). Pas étonnant lorsqu’on s’intéresse à ce qu’est le Reuters Institute.

Attention aux commanditaires de l’étude de Reuters !

Parmi les sponsors de cette étude, on retrouve quelques-uns des traditionnels usual suspects : Open Society Foundations (George Soros), Google News Initiative, la BBC, des grandes universités bien-pensantes (l’université d’Oxford est d’ailleurs co-rédactrice du rapport), ou encore une fondation finlandaise de recherche sur les médias (la Finlande sort grande championne de cette étude).

Le Reuters Institute fonctionne quant à lui grâce au soutien financier de la fondation Thomson Reuters, derrière laquelle on trouve le groupe éponyme, leader mondial de l’information financière avec Bloomberg. Cette fondation a des liens avec la Commission européenne et l’European Press Prize, graal des médias de grand chemin.

 

À la tête de cette fondation, bien évidemment « indépendante », on trouve depuis 2019 l’Italien Antonio Zappulla, un ancien de Bloomberg TV et défenseur de premier plan des droits LBGT. Zappulla est à l’origine de la création de la première plate-forme d’informations LGBT, distribuée par Reuters : Openly. Toujours le même constat : la prétendue expertise au service d’un militantisme à peine voilé !

Voir aussi : Institute for Strategic Dialogue : tous unis contre la haine ! Autre exemple de fondation soi-disant indépendante…

Lire aussi : La collusion des médias avec le pouvoir exécutif a détruit la confiance dans la santé publique : Dr Ben Carson

Source : Observatoire du journalisme | Ojim.fr

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 19:01
Si vous êtes envahi par les fourmis, plus besoin d’insecticide, un portable suffit !

 

EN TOUT CAS CETTE ANNEE PAS DE MOUSTIQUES ET CHEZ VOUS !

 
 
 

Alors que les connexions Internet mobiles sur les réseaux 4G sont suffisamment rapides pour la plupart des utilisateurs moyens, leur permettant de diffuser des vidéos HD ou de télécharger de la musique, des applications et des jeux en déplacement, la 5G, la prochaine évolution des réseaux sans fil, a vraiment pris le dessus l’année dernière.

Alors que Samsung et plusieurs autres fabricants de smartphones ont sorti leurs premiers combinés 5G en 2019, Apple a sauté dans le train de la 5G à l’automne 2020, en apportant la nouvelle norme à toute la gamme de produits iPhone 12. Comme le rapporte Felix Richter de Statista, ayant vendu plus de smartphones au cours des trois derniers mois de 2020 qu’aucune entreprise n’en a jamais vendu en un seul trimestre, les débuts d’Apple en matière de 5G ont définitivement donné un coup de pouce majeur à la nouvelle technologie.

 
Infographic: Global 5G Adoption to Hit One Billion in 2022 | Statista

Vous trouverez plus d’infographies sur Statista

Selon les estimations du dernier rapport sur la mobilité d’Ericsson, le nombre d’abonnements à des smartphones 5G dans le monde va exploser et dépasser le milliard cette année, doublant presque par rapport à 2021. Cela signifierait que la 5G atteindra cette étape deux ans plus tôt que la 4G après son introduction, et, selon les estimations d’Ericsson, les abonnements doubleront à nouveau d’ici 2024.

Aube Digitale

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 18:57

Comme vous le savez sans doute, l’élite mondiale prend des mesures pour que les gens « ne possèdent rien et soient heureux ».

 

Le monde sera contrôlé par un gouvernement autoritaire unique et l’humanité, selon Klaus Schwab et le Forum économique mondial, sera asservie dans un système totalitaire caractérisé par une surveillance de masse, des vaccinations obligatoires et une servitude désespérée.

Pour aggraver les choses, l’élite mondiale se vante à l’avance de ses plans pour l’humanité. Jetez un coup d’œil à cette vidéo du FEM. Se moquent-ils de nous ?

Ce ne serait pas si grave si le FEM n’était pas si influent. En 2017, Klaus Schwab s’est ouvertement vanté de la capacité de son organisation à infiltrer les gouvernements du monde entier. À l’Institut de politique de la Harvard Kennedy School, il a expliqué comment le modus operandi du FEM consiste à infiltrer les gouvernements en installant ses « Young Global Leaders ».

 

 

Ces dernières années, nous avons vu ce modus operandi se dérouler. Le FEM a infiltré les gouvernements du monde entier, avec chaque nation votant à gauche fermement sous leur contrôle. Ne vous y trompez pas, ces jeunes leaders mondiaux, dont Justin Trudeau, Emmanuel Macron et Jacinda Ardern, travaillent avec ferveur à la mise en œuvre de l’agenda de l’élite mondiale.

Une vidéo étonnante a fait surface dans laquelle le PDG de Nestlé, Peter Brabeck-Letmathe, affirme que l’eau n’est pas un droit humain et qu’elle doit être privatisée et contrôlée par les élites.

Brabeck-Letmathe, aujourd’hui président de l’une des plus grandes entreprises et du plus grand fabricant de produits alimentaires au monde, estime que les entreprises devraient posséder toute l’eau de la planète et que personne ne devrait être autorisé à y avoir accès à moins de payer.

Alors que l’inflation est à deux chiffres, que les usines de production alimentaire brûlent, que la chaîne d’approvisionnement est en crise et que des pénuries alimentaires se profilent à l’horizon, nous comprenons maintenant que les élites veulent prendre le contrôle de l’eau de la planète.

Alors, l’eau est-elle un droit humain gratuit et fondamental, ou toute l’eau de la planète doit-elle appartenir aux grandes entreprises et à l’élite ?

Les pauvres qui n’ont pas les moyens de payer ces sociétés doivent-ils souffrir de la famine en raison de leur manque de richesse financière ?

Voilà l’avenir de l’humanité selon les élites mondiales.

 

Source

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 18:54

Aide aux loyers commerciaux - Retail Council of Canada

 

C’est un sujet brûlant qui va trouver son premier épilogue lundi.

Pourquoi premier épilogue ? Parce que l’inflation risque d’être bien plus durable et bien plus forte que ce que l’on veut bien vous laisser croire pour le moment et donc il y aura ce type de décisions à prendre chaque année.

Le gouvernement va donc limiter la hausse des loyers à 3,5 % sur un an bien en deçà du taux d’inflation qui aurait du être refacturé aux locataires.

« Alors que l’inflation pourrait atteindre 6,8  % en septembre et devrait s’établir à 5,5 % en moyenne annuelle, le gouvernement tente d’agir pour éviter une propagation trop forte des hausses de prix au niveau des loyers. Après concertation avec les représentants des locataires et des propriétaires, les équipes du ministère de l’Économie et de la Transition écologique, ont finalement proposé « un bouclier », pour plafonner la hausse à 3 ,5% sur un an. En parallèle, une revalorisation du même taux des aides personnalisées au logement (APL) au 1er juillet, devrait être proposée ».

« Le chiffre de 3,5 % qui devrait s’appliquer pour les deux derniers trimestres de 2022 et les deux premiers de 2023, est « un compromis, entre le souhait des représentants des locataires qui demandaient un gel total et ceux des propriétaires qui ne voulaient pas toucher à la formule du calcul de l’IRL », fait-on valoir dans l’entourage du ministre de l’Économie. La première solution a été rapidement écartée par l’exécutif qui y voyait « une fausse bonne idée », faisant valoir que les propriétaires étaient aussi touchés par l’inflation et subissaient des hausses sur leurs charges (travaux, taxes foncières…). « Avec un gel on va gripper les rénovations et les mises en chantier », souligne-t-on. »

Et oui, car le problème c’est que si vous effondrez la rentabilité immobilière des propriétaires (qui tout le monde le sait sont toujours très riches, donc très méchants, alors que les locataires sont très pauvres et très gentils et votent pour le camp du bien), il n’y aura pas de travaux, pas de construction, pas de logements neufs sortant de terre, et finalement assez rapidement, vous aurez une crise terrible du logement.

Il faut donc maintenir un équilibre.

D’ailleurs du côté « des professionnels du secteur ces décisions sont plutôt positivement accueillies. « C’est plutôt sage », estime Stéphane Fritz, Président de Guy Hoquet. « Cela évite une hausse trop importante des loyers et revaloriser les aides protège à la fois les bailleurs et les locataires », souligne-t-il. Néanmoins, il pointe que ces mesures, si elles sont efficaces à court terme, ne peuvent être une solution pour résoudre le problème de l’inflation des prix auquel est confronté le secteur ».

Et c’est bien là toute la difficulté non pas présente mais future.

Comment faire pour maintenir le marché immobilier à flot et la solvabilité des locataires sans entraîner la ruine des propriétaires dans un monde d’inflation durable sans indexation des salaires !

Les choses deviendront très compliquées pour 2023 et 2024.

Charles SANNAT

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 18:52
 

Un raz-de-marée d’expulsions se profile. Plus de 8 millions d’Américains sont en retard de paiement de leur loyer et la série de moratoires sur les expulsions du CDC a expiré depuis longtemps. En d’autres termes, le filet de sécurité du gouvernement pour empêcher les gens d’être expulsé a disparu.

En l’absence de moratoire fédéral sur les expulsions, 8,4 millions d’Américains, soit environ 15 % de l’ensemble des locataires, qui sont en retard de loyer, risquent d’être expulsés. Les nouveaux chiffres faisaient partie d’une enquête du Census Bureau menée entre le 1er juin et le 13 juin 2022 auprès des ménages et ont été révélés pour la première fois par Bloomberg.

L’enquête a révélé que 3,5 millions de ménages étaient quelque peu susceptibles de quitter leurs espaces loués (maisons/appartements) dans les deux prochains mois en raison d’un avis d’expulsion. La plupart de ces personnes appartiennent à la classe ouvrière pauvre et sont situées dans de grandes régions métropolitaines de New York à Atlanta, où le coût de la vie, y compris le logement, la nourriture et le carburant, se sont littéralement envolés.

Environ 6,7 millions de ménages ont déclaré que leur loyer avait augmenté, en moyenne, de 250 $ par mois au cours de la dernière année. L’augmentation ne semble pas énorme, mais rappelez-vous que beaucoup de ces gens sont écrasés sous le poids de l’inflation la plus élevée depuis quatre décennies. Leurs cartes de crédit sont épuisées ainsi que leurs économies car les salaires ne parviennent pas à suivre la flambée des prix à la consommation.

Cette révélation choquante nous rappelle que le contexte économique actuel, que certains qualifient de stagflationniste, pourrait rapidement se transformer en récession et en augmentation du chômage.

Alors, qui l’administration Biden blâmera-t-elle pour le prochain raz-de-marée d’expulsions ? Il ne peut pas continuer à blâmer « Poutine ».

Source: zerohedge

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 18:51

il s’agit du CDS(Credit Default Swap) à 5 ans concernant le Credit Suisse, qui reflète le coût de l’assurance contre un défaut de paiement est en forte hausse. la guerre mondiale financière commence à créer des tensions dans le système… Les investisseurs s’inquiètent du risque de contrepartie.

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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 18:46

La censure s’abat sur la presse électronique - Maghreb Émergent ...

 

 

Encadré par le futur Digital Services Act, Meta, Google, Twitter, Microsoft, TikTok ainsi que des professionnels de la publicité s’engagent auprès de l’UE à combattre la désinformation.

 

Un nouveau code de conduite

 

« Ce nouveau code anti-désinformation intervient à un moment où la Russie utilise la désinformation comme une arme dans le cadre de son agression militaire contre l’Ukraine, mais aussi où nous assistons plus largement à des attaques contre la démocratie », a déclaré la vice-présidente de la Commission chargée des valeurs et de la transparence, Věra Jourová, dans un communiqué de presse. Ce code est en fait une mise à jour du Code de bonnes pratiques contre la désinformation de 2018. Le précédent code ne reposait que sur l’autorégulation, pour des résultats jugés insuffisants par la Commission.

 

De nouvelles lignes de conduite

 

Les entreprises signataires devront, dorénavant, démonétiser les sites de désinformation en asséchant leurs revenus publicitaires, réduire le nombre de bots et de faux comptes utilisés pour diffuser ce qu'ils considèrent comme des "fake news" ou encore renforcer leur collaboration avec des fact-checkers indépendants pour vérifier les sources d’information. « Les plateformes ne devraient plus recevoir un seul euro issu de la diffusion de la désinformation », a souligné Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur.

 

 

Les entreprises au rendez-vous

 

Parmi les entreprises volontaires pour se conformer au nouveau code, on retrouve les plateformes Meta, Microsoft, Google, TikTok, Twitch ou encore Twitter. Bien que basé sur le volontariat, ce nouveau code devient contraignant pour les entreprises signataires qui atteignent 45 millions d’utilisateurs dans l’UE. En effet, « les très grandes plateformes qui enfreindraient régulièrement le code et ne prendraient pas de mesures d’atténuation des risques adéquates s’exposeront à des amendes pouvant représenter jusqu’à 6 % de leur chiffre d’affaires mondial », prévient Thierry Breton.

 

La dictature européenne avance et les libertés reculent. Alors que l’on crie à la dictature lorsque la Chine dit vouloir valider chaque commentaire avant qu’il soit publié sur le Net, l’on ferme les yeux sur les agissements tout aussi liberticides de l’UE, devenue seule détentrice de la vérité.

Source

VK et Telegram...

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