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15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:36

#Froid | La #voiture électrique perd entre 30% et 50% de son autonomie lorsque le thermomètre descend en dessous de 0°C

«Lorsque la température extérieure est inférieure à 0°C, les batteries peuvent perdre entre 10 et 30% de leur autonomie. [...] Sur les trajets courts,…
pic.twitter.com/fRWSU29Oie

— Epoch Times France (@EpochTimesFR) January 11, 2024

 

__________________________________________________________

 

Et l'Allemagne qui a dit adieu aux voitures électriques... Pourtant, nos dirigeants qui savent tout ont dit que c'était l'avenir, non ? La compagnie de ferrys norvégiens interdit le transport de voitures électriques pic.twitter.com/UfFRqrhZ8W

— ⚜ Eric Archambault ⚜ (@EricArchambaul7) January 13, 2024

Le loueur Hertz se débarasse de ses véhicules électriques (Tesla)
 

 

Ce n’est pas rien, quand un poids lourd de la location de voitures au niveau mondial décide de se débarrasser de 20.000 voitures électriques (Tesla) pour faire place à des voitures thermiques !

En effet on assiste à un virage « surprenant ». Hertz et Sixt, deux mastodontes du secteur de la location, font marche arrière avec les voitures électriques (Tesla)…

 

Enfin cela peut vous surprendre.

Moi non.

La voiture électrique est un modèle économique qui tourne mal depuis le départ et ça ne roule pas du tout bien !

Le modèle économique des loueurs de voitures est « simple ». Ils achètent en gros des quantités énormes de voitures négociées au meilleur prix et avec des rabais très conséquents. Ils les louent quelques mois, puis les revendent avant qu’elles ne perdent trop de valeur. En gros le rabais de l’achat obtenu est même supérieur à la décote la 1ère année que subissent ces véhicules. Ils gagnent donc des sous sur les locations et à la revente !

A condition que la valeur d’occasion ne baisse pas, que la demande soit forte et que les frais d’entretien ou de réparation soient faibles.

Le marché de l’occasion pour l’électrique est aussi anémique que complexe et… les frais de réparation explosent au moindre choc.

« Le PDG, Stephen Scherr, avait même déclaré que les VE coûtaient à Hertz « presque le double » en réparation par rapport à un véhicule thermique standard. Une information étonnante, qui contredit les différents rapports sur le sujet. »

L’électrification de nos usages sera loin d’être un long fleuve tranquille.

Charles SANNAT

Il s'agit uniquement des Tesla !

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15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:27
La Secte
 
La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM)  du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse.
 
"Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des « Young Global Leaders » !"

« Le FEM a pour mission [...] de mettre en œuvre l'agenda du NOM à l'échelle mondiale avec l'aide des multinationales. [...] Toute l'élite des multinationales est concentrée au FEM - y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »
En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l'un des principaux pivots politiques et économiques de l'actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ?

Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ?

Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l'ensemble de ses dirigeants.

Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l'agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM), du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il est consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu'à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » - « qui concerne le monde entier » - et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l'éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c'est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l'éducation politique», insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu'il n'en existe pas. D'autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l'économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d'une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

KLA.TV répond à ces questions et vise à jeter un coup d'œil derrière le FEM et le Great Reset :

Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

 
Origines et création du FEM
 
En 1971, l'économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d'utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l'un des principaux pivots politiques et économiques de l'actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum - La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet :

"Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d'arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d'ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de "leader mondial du secteur privé" si je peux dire, témoigne si clairement d'un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m'empêcher de percevoir l'ensemble du FEM comme une secte privée de l'économie mondiale, et plus précisément, une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale."

 
Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.
 
Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d'Ernst Wolff : « C'est là qu'il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. » Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR. (Plus d'informations sur Henry Kissinger www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plateforme américaine de journalisme d'investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante : « Le Forum économique mondial n'était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d'un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger - et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d'élite américaine qui travaillait dans l'ombre et l'aidait à créer l'organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). [...] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos - l'ancêtre du FEM - Kissinger a prononcé le discours d'ouverture et a déclaré : « Pour la première fois dans l'histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s'est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l'élite européenne de soutenir le projet. - C'est ce qu'a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l'idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d'argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l'un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

 
Les premières réunions à Davos
 
La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L'orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l'hôtel de Bilderberg près d'Arnhem, dont il était alors propriétaire. - A l'époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu'en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation : « Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l'économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s'était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu'en 1983, le European Management Symposium était, comme l'a dit Klaus Schwab dans son discours d'ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l'économie mondiale ».

 
Financement du FEM
 
Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d'utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l'évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d'exercer une influence directe sur la politique, l'économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d'environ un million de francs. La réserve d'argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d'impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s'agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s'élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.
Partenaires stratégiques
 
Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d'Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l'un des quatre cabinets d'audit les plus importants au monde avec un chiffre d'affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie. La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM : https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d'affaires de 383 millions de francs pour l'année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

 
Structure de direction du FEM
 
Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d'administration). Selon ses propres termes, il s'agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l'homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l'Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l'Economie et du Commerce (jusqu'en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu'en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

 
Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga - manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff - entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl - manager allemand et président du conseil d'administration du groupe d'assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink - entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d'actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s'élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d'administration du CFR.

Orit Gadiesh - manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l'un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva - femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann - Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d'administration de Roche Holding AG (Suisse), l'une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser - manager allemand. Président du conseil d'administration de Siemens de 2013 à 2021. A gagné 9,27 millions d'euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. A participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde - juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein - entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l'une des plus grandes sociétés d'investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d'administration du CFR.

Al Gore - homme politique et écologiste américain. N'a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l'agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l'Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l'affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n'a rien à faire dans les écoles.

 
À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale
 
La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d'administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d'œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale. L'émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg - le gouvernement secret de l'ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 - qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l'ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d'un groupe d'étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu'en 1985 et ensuite, jusqu'à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d'une position forte lors des conférences Bilderberg. Kissinger a été l'un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu'à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d'administration de 1977 à 1981. À l'occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger - stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l'initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l'actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d'un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires : « Certains pensent même que nous faisons partie d'une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d'« internationalistes » et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d'autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique – un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j'en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

 
Conclusion intermédiaire
 
Jusqu'ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d'œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.
 
Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d'exercer une influence sur la politique internationale.

L'expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation : « Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l'inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

 
Mission du FEM
 
Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

"Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l'agenda du NOM à l'échelle mondiale avec l'aide des multinationales. Toute l'élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid."

(...) et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l'ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable."

 
Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l'alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l'exercice de pandémie « EVENT 201 » d'octobre 2019 - c'est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

 
Année 1968 – Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s'étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l'initiation et l'utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d'administration d'Olivetti et d'Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l'orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s'agit à l'origine d'un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l'humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l'humanité et en a déduit l'exigence d'une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform !»[enregistré en français] : « Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c'est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

 
Année 2000 – GAVI, la dictature de la vaccination 
 
[Explication : GAVI = abréviation de l'anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l'immunisation »)]. [https://www.gavi.org/]

L'Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l'événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l'Alliance étaient l'OMS, l'UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l'Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l'Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d'euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

"Ce qui devient encore plus intéressant, c'est qu'en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l'ID2020, c'est l'Alliance pour l'identité numérique, c'est l'alliance pour la promotion de l'identité numérique. Et c'est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l'on regarde - donc GAVI est une organisation médicale - on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n'est autre que José Manuel Barroso, l'ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d'Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L'actionnaire principal de Goldman Sachs n'est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée."

 
Année 2005 – Young Global Leaders 
(« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation : « Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d'autres ». L'objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L'initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d'action visant à réaliser la vision d'un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Economique Mondial - Le pouvoir mondial en arrière-plan»[Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, P. 64-65] ce qui suit : « Pour la première fois, l'élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l'instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who's Who de l'élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l'ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d'un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, Page 265] « Le président russe Vladimir Poutine n'apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l'a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019):« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des « Young Global Leaders » ! Avec eux, le chancelier Kurz et la première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

"Ce qui est intéressant, c'est qu'ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c'était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c'était l'ex-chancelier Kurz, en France, c'était Monsieur Macron, au Canada, c'était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c'était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM.“

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l'agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l'émission. Année 2007 – Réunion annuelle des nouveaux champions.

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d'été ». Il s'agit de représentants d'« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l'Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.
Année 2011 – Global Shapers 
(« Façonneurs mondiaux »)
 
En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV: https://www.kla.tv/WEF/22827 « Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans.»

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l'agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l'ombre du FEM.
 
 Année 2016 – Transhumanisme
 
Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l'« édition génétique » à l'intelligence artificielle et à l'impression 3D. « Édition de gènes » - en anglais « genome-editing » - est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l'ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l'homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

A ce sujet, l'expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, Page 117] « Le livre de Schwab « La Quatrième Révolution Industrielle » a été publié à l'occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. [...] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l'évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu'il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI] La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons [...], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique- bien sûr qu’elle est numérique, physique, c'est la nanotechnologie , mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l'humanisme comme suit :https://www.kla.tv/18254

Fusionner l'homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s'arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l'humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s'opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

 
Année 2019 – Agenda 2030
 
Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l'ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d'accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s'agit d'objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l'Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ». En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l'avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L'accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l'Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l'émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l'agenda de l'ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l'ONU révèle les sombres secrets de l'ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

"Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d'autres, sont en train de mettre en place l'Agenda 2030 à l'échelle mondiale. Il s'agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L'objectif ultime de l'Agenda 2030 est d'établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d'eux se trouvent des groupes d'intérêts financiers qui agissent totalement dans l'ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l'humanité."

Année 2019 – Événement 201 – Dictature de Covid Selon le site web de l'« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l'« Event 201 ».

Il s'agissait d'un cas fictif de pandémie grave à l'échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L'exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l'OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 – Great Reset – Dictature numérique The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l'initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l'économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s'agit [Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, Page 133] : « Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage « COVID-19 La Grande Réinitialisation », co-rédigé avec l'auteur Thierry Malleret. [...] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s'attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c'est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n'est considérée que comme un phénomène passager. [...] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, pages 144-145] « L'introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. [...]

Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d'un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l'Etat de fixer de manière centralisée la quantité d'argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d'intérêt en fonction des besoins. [...] Les citoyens comprendront très vite que l'État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d'intérêt individuels, des taux d'imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l'argent à [...] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l'introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu'à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ». « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d'un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM. Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville - ou devrais-je dire « dans notre ville ». Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d'appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c'est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L'un après l'autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n'avait aucun sens pour nous de « posséder » beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine. Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

"De l'extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l'ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l'appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne." Ivo Sasek a également une solution pragmatique tout prête, comme il l'a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d'abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM.»

 
Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l'esprit que ces acteurs et d'autres n'agissent pas de manière autonome, mais qu'ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

 
Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu'en décembre 1978, celui-ci a amorcé l'abandon de l'économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979. Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96] « 2009 a été la 30e année de participation d'une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d'État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139] « Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan « Great Reset » [...] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139] « Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n'est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145] « Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM [...], c'est parce que, malgré le passage d'une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l'époque du maoïsme. C'est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d'une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l'introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l'émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! - le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l'aide de l'intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l'intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100% dans l'intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l'introduction de ce système de contrôle et d'éducation.

Comme l'a démontré l'émission de Kla.TV « Chine - ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l'origine une association d'étudiants de l'université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d'écoles et d'hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l'ExpressZeitung suisse (numéro 50 d'octobre 2022), c'est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu'au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l'historien britannique Antony C. Sutton écrivait : « Vers l'an 2000, la Chine communiste sera une « superpuissance » construite avec la technologie et l'expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d'octobre 1917 - qui mit fin au tsarisme et marqua l'avènement du communisme - fut soigneusement orchestrée par l'élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l'industrie lourde de l'URSS.

 
Russie
 
En 1986, l'Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l'année précédente. A l'époque, cette rencontre s'appelait encore « European Management Forum » jusqu'en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu'avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l'élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C'est sous la direction de cette dernière que s'est déroulé l'exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s'entraîner aux cyber-attaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l'ère Gorbatchev, il n'y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l'introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d'un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu'État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l'Agenda 2030 de l'ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l'Agenda 2030 de l'ONU. C'est ce qui ressort d'une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l'occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'hiver. La déclaration commune mentionne nommément : « la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l'industrialisation, l'économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s'avèrent être des instruments dans la mise en place d'une dictature mondiale centralisée, il convient d'observer si cela concerne également la Russie.

 
Le FEM en résumé

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n'est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l'influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » - l'ancêtre du FEM - est né d'un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l'agenda d'un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l'échelle mondiale avec l'aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l'élite des grandes entreprises mondiales s'y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l'un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d'outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l'alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l'exercice de pandémie « EVENT 201 » d'octobre 2019, c'est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d'instruments à l'agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l'ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l'intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l'humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu'ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d'une véritable conspiration mondiale.

Il ne s'agit pas d'une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d'un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d'être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l'une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l'ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l'actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l'émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ». [https://www.kla.tv/23995 ]

 La conclusion de cette émission : 
 
Il semble n'y avoir qu'un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d'un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !
 
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15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:17

Outre l'#UE,depuis 2017 la  est otage d'une secte #ForumEconomicMondial @wef dirigée par un gourou mondialiste #KlausSchwab dont Macron & #Attal sont des pions serviles #YoungGlobalLeader chargés d'appliquer l'#WEF2030Agenda & le #GreatReset @afpfr
▶️https://t.co/5MiI0Etngs pic.twitter.com/IRKTJx6Tvt

— Bernard Monot (@Bernard_Monot) January 10, 2024

 

_____________________________

 

L'art de la flagornerie par Christophe Barbier journaliste sur BFM TV - digne de l'époque soviétique !

 

CITATION – « C’est quoi le sens étymologique de Gabriel dans la Bible ? C’est la force de Dieu. C’est le bras armé de Dieu, notamment pour protéger contre les anges rebelles. Il est missionné pour protéger Dieu, c’est-à-dire Macron, lors des prochaines européennes », Christophe… pic.twitter.com/xZgoT9yNQ1

— Brèves de presse (@Brevesdepresse) January 11, 2024

L'Université d'Assas fait savoir que Gabriel Attal n'a jamais obtenu sa licence en droit

INFO ou INTOX ?

 

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15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:10

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13 janvier 2024 6 13 /01 /janvier /2024 20:55

C’est ce que prouvent des notes de la DCRI auxquelles ont eu accès Le Monde. Des notes qui n’ont jamais été déclassifiées et adressées à la justice.

Elles montrent d’abord que le renseignement français savait tout du profil du tueur de Toulouse dès 2012 et qu’ils ont laissé faire. L’ancien patron du renseignement intérieur toulousain, Christian Ballé-Andui, avait alerté sur sa probable implication dans les attentats, mais personne ne l’a écouté. Pourtant, ses conseils auraient sans doute évité la tuerie de l’école juive Ozar Hatorah. Dès juin 2011, Christian Ballé-Andui demande que soit « judiciarisé le dossier Merah », mais la DCRI s’y refuse. Merah est également pisté par les services depuis 2006, mais sa surveillance s’arrête inexplicablement fin 2011. 

Pourquoi ?

Parce que Merah était un informateur de la DCRI, bénéficiant d’une « liberté de mouvement en échange d’informations précieuses », en lien « avec un correspondant DCRI ». Ce que confirme Yves Bonnet, ancien patron de la DST : « Merah avait manifestement des relations avec la DCRI comme on l’a appris à travers les déclarations de Bernard Squarcini lui-même [le chef de la DCRI]. C’est-à-dire qu’il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Alors appelez ça “correspondant”, appelez ça “officier traitant”… […] Or avoir un correspondant ce n’est pas anodin. »

Ce qui lui aurait permis notamment d’être introduit en Israël par la DGSE via la Jordanie, avec la bénédiction de son directeur Erard Corbin de Mangoux proche de Sarkozy. Il serait ensuite revenu en Jordanie d’où il se serait envolé pour l’Afghanistan. But de l’opération : « prouver au réseau djihadiste sa capacité à passer à travers la frontière avec un passeport européen », selon Daniele Raineri du quotidien Il Foglio.

Les services israéliens ont confirmé à Reuters que Merah s’était rendu trois jours en 2010 en Cisjordanie à partir de la Jordanie, confirmant une info donnée par Bernard Squarcini. De ce fait, Éric Denecé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, souligne : si Merah « était suivi par la DCRI, ses déplacements étaient forcément connus des services de renseignements français ». Comment se fait-il d’ailleurs qu’une carte d’un membre du GSPR (Groupement du président de la République) ait pu être retrouvée dans la voiture de Merah ?

Le Monde révèle même que Merah se serait filmé, peu avant sa mort lors de l’assaut, en révélant qu’un de ses amis, Zouheir, qu’il pensait être un djihadiste, était en réalité un agent du renseignement qui le manipulait. « Tu m’as envoyé en Irak, au Pakistan et en Syrie pour aider les musulmans. Et tu te révèles finalement un criminel et un capitaine des services français. J’aurais jamais cru ça. Va en enfer espèce de traître ! Je ne te pardonnerai jamais. Vous allez me tuer sans aucune raison. C’est vous qui m’avez entraîné dans cette situation. » (quotidien arabophone Echourouk et AFP).

Ce que confirme l’avocate française Isabelle Coutant-Peyre, qui assiste l’avocate algérienne de la famille Merah. D’où « la liquidation » de Mérah, pour ne pas révéler le fiasco et la manipulation des services français. Sachant que la DGSE a acheté le silence du père Merah, détenteur des vidéos, pour 30.000€ parce qu’il portait plainte contre la hiérarchie policière pour « meurtre aggravé » de son fils (Times of Israël).

Ce que dénonçait aussi Marc Granié, CRS pendant 35 ans, ancien Béret rouge chargé de la protection des hautes personnalités à l’Elysée, dans une vidéo

youtu.be/RzcULQHT2h0?si… :  « Il faut savoir que les américains avait intercepté Merah dans le pays où il s’entrainait pour le djihad, qu’après cette interpellation, les autorités US ont contacté la France qui a répondu : « Laissez-le ». Merah était un agent qui travaillait pour la France et qui par la suite fut assassiné. »

Sources👇 

https://www.slate.fr/story/52297/mohamed-merah-informateur

https://www.lemonde.fr/societe/article/2012/06/12/merah-aurait-decouvert-qu-il-etait-manipule-par-les-services-du-renseignements_1717261_3224.html

https://www.google.com/search?q=merah+l%27age%27t+retourn%C3%A9&client=ms-android-sonymobile&sxsrf=ALiCzsYzbABHHO4tN2mUQ2YFRLh94xGHHA%3A1659382744252&ei=2CvoYuXsDo6FlwToyL3gCQ&oq=merah+l%27age%27t+retourn%C3%A9&gs_lcp=ChNtb2JpbGUtZ3dzLXdpei1zZXJwEAMyCAgAEKIEELADSgQIQRgBUABYAGCREGgAcAB4AIAB9gOIAfYDkgEDNS0xmAEAyAEBwAEB&sclient=mobile-gws-wiz-serp

Claude Bardon, ancien directeur des Renseignements généraux et responsable de l’arrestation des membres du groupe Action Directe dans les années 80, déclare le jour où Merah a été tué :

« Merah est typiquement le type de personne que nous aurions essayé de recruter. Il avait des ennuis avec la justice, nous lui aurions effacé son ardoise. Il aimait sortir avec ses potes mais était sans emploi, nous lui aurions donné de l’argent de poche. Et si ça n’avait pas marché, nous l’aurions surveillé de très près. »

L’avocate algérienne de la famille Merah, Zahia Mokhtari, a affirmé détenir la preuve – sous forme de deux cassettes vidéo – de la liquidation de Merah par la police française, dans le but d’étouffer sa collaboration avec les renseignements français :

« Nous détenons deux vidéos identiques de 20 minutes chacune dans lesquelles Mohamed Merah dit aux policiers « pourquoi vous me tuez? (…) je suis innocent, vous m’avez trahi ! » a déclaré Mokhtari, qui affirme également que « Des personnes au coeur de l’événement, et qui voulaient que la vérité éclate, m’ont remis ces vidéos. (…) Merah (Mohamed) a été manipulé et utilisé dans ces opérations par les services français et a ensuite été liquidé pour que la vérité ne voie pas le jour ».

Si l’on tient compte des commentaires du chef de la DCRI, Bernard Squarcini, Merah était bien un informateur. Squarcini a déclaré qu’au cours du siège :

« Il a souhaité parler avec le policier de la direction régionale du renseignement intérieur (DRRI) de Toulouse qui l’avait rencontré en novembre 2011. » [Le 13 octobre 2011, Merah appelle le fonctionnaire] « car il n’est pas en France à ce moment-là, il est au Pakistan ». « Dès que je rentre, je vous contacte », a-t-il dit. Le 3 novembre, il rappelle de l’hôpital Purpan, à Toulouse, ou il est hospitalisé pour une hépatite. « Dès que je sors, je viens vous voir », assure-t-il. Il fait preuv assure-t-il. Il fait preuve d’une excellente coopération, d’éducation, et de courtoisie.

En effet, ce n’est pas anodin d’avoir un correspondant aux renseignements, en particulier dans le cas de Merah, qui semble avoir été utilisé par les renseignements pour entrer en contact avec de soi-disants « militants islamistes » en Afghanistan et au Pakistan, afin de rapporter des informations sur leurs activités. Étant donné que le gouvernement français prend la menace du « terrorisme islamique » tellement au sérieux, on aurait pu supposer qu’il aurait surveillé et contrôlé étroitement les allées et venues de l’un de ses informateurs, après l’avoir envoyé tout droit chez les terroristes islamistes pour y subir un entraînement et, en essence, se faire passer pour un « djihadiste ». Logiquement, le risque qu’un indic’ « tourne mal » et ne finisse par trahir les autorités françaises aurait dû figurer en premier sur leur liste de problèmes potentiels et les inciter à le tenir à l’œil, non ? »

À lire👇

http://www.brujitafr.fr/article-le-11-septembre-de-sarkozy-l-americain-mohamed-merah-ou-l-informateur-liquide-102982404.html

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13 janvier 2024 6 13 /01 /janvier /2024 20:50
500 navires français sont interdits de pêche de fin janvier à fin février, alors que les autres pays peuvent pêcher !
Le Conseil d’État a revu un arrêté du gouvernement visant à limiter pendant un mois la pêche dans le golfe de Gascogne, afin de réduire les captures accidentelles de dauphins. | THIERRY CREUX / OUEST-FRANCE

 

Le Conseil d’État a retoqué les dérogations prévues par le texte visant à limiter les captures accidentelles de cétacés – notamment les dauphins – dans le golfe de Gascogne. Les pêcheurs concernés par l’interdiction seront bien plus nombreux que prévu.

 

À la quasi-veille de Noël, la décision a provoqué la sidération des pêcheurs. Vendredi 22 décembre 2023 au soir, le Conseil d’État a annoncé suspendre des dérogations figurant dans un arrêté du gouvernement, visant à limiter pendant un mois la pêche dans le golfe de Gascogne, afin de réduire les captures accidentelles de dauphins.

Ce texte, publié en octobre par le secrétariat d’État à la mer, exemptait les navires de plus de 8 mètres travaillant en senne pélagique et danoise, ou ceux équipés de dispositif d’effarouchement dédiés aux cétacés.

 

Que signifie la décision du Conseil d’État ?

Du 22 janvier au 20 février 2024, ce sont finalement « cinq cents navires français », selon le Comité national des pêches, qui ne pourront pas travailler en raison de la décision du Conseil d’État. Un tiers de la flottille des Pays de la Loire serait concerné, mais également des navires bretons et aquitains, assure José Jouneau, président du Corepem, le comité régional des pêches et des élevages marins des Pays de la Loire, interrogé par Ouest-France.

Qui s’attend, en pleine campagne de la sole, à un impact « de 30 à 40 % sur le chiffre d’affaires » de certaines entreprises, déjà inquiètes des quotas de pêche récemment délivrés. La filière est en contact avec le secrétariat d’État à la mer mais ne sait pas si elle pourra être aidée. Elle s’inquiète aussi des conséquences en aval pour les criées et le mareyage.

Pourquoi les ONG avaient-elles dénoncé cet arrêté ?

« Cela fait cinq ans qu’on travaille sur des solutions pour éviter les captures de dauphins, nous étions dans les clous de ce que le gouvernement avait demandé », affirme José Jouneau. Les ONG écologistes avaient attaqué l’arrêté, l’estimant insuffisant. Le Conseil d’État a jugé que les dérogations étaient trop importantes « pour que la fermeture de la pêche ait un effet suffisant sur les captures accidentelles pour avoir une chance de réduire dès 2024, la mortalité des petits cétacés à un niveau soutenable ».

Source

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5 janvier 2024 5 05 /01 /janvier /2024 19:26

Philanthropes, mécènes, humanistes, voilà un tableau flatteur à la Rembrandt des notables présenté au public émerveillé.

Mais l'on découvre que les défenseurs des multiples causes sociales, telle que le féminisme, la dignité humaine n'en sont que les premiers fossoyeurs.

En effet peut on parler de dignité humaine lorsque l'on se vautre dans les bras de prostituées mineures,  et a priori ça ne choque pas les passionaria du féminisme, ni les parangons de la cause des enfants.

 

Cet état de fait me fait penser au Parc aux cerfs sous Louis XV.

 

Le valet de chambre de Louis XV était chargé de récupérer de jeunes tendrons pour son maître, de ce fait Le Bel puisque ç'était son nom recevait des lettres de pères proposant leur filles pour les menus plaisir du monarque, moyennant finance bien sûr.

Le tout était fait discrètement mais pas suffisamment pour la cour n'en soit pas informée, d'ailleurs la cour et Paris en général était un bouillon de libertinage, le Palais royal qui appartenait à la famille d'Orléans était connu pour être un haut lieu de la prostitution.

 

Aujourd'hui notables et notoriétés vont aux soirées échangistes du club Libertin "Les chandelles", on y cultive l'entre soi, l'entre gens, l'intimité consanguine des rouages de la République. Vous savez ces clubs ouverts durant la pandémie ! Fallait bien laisser les chaudières à Vénus en ébullition !

 

Quoiqu'il en soit tout est permis dans un monde ou chacun y trouve son compte ce n'est que lorsque la machine se grippe que tout s'effondre !

 

Henry

 

PS : vous trouverez en fin d'article un lien sur la création de l'escadron volant par Catherine de Médicis : un bataillon de courtisanes / espionnes de haut vol au service de la couronne.

Comme quoi ne n'est pas récent !

 

 

Dernière liste parue des clients d'Epstein

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/01/04/de-clinton-a-trump-la-tres-genante-liste-des-associes-depstein/?

 

https://twitter.com/MDIALIBREVRIFI1/status/1743101498119094540

 

Jeffrey Epstein : un réseau tentaculaire en Russie, en Chine et aux États-Unis en lien avec Benjamin Netanyahou. Nous savions déjà que la toile d'araignée du trafiquant sexuel international comprenait :

 

- des membres centraux du Mega Group, organisation informelle "philanthropique" de milliardaires pro-israéliens

- des fondations "caritatives" et des entreprises juives

- des politiciens et responsables publics aux USA et en Israël

- des premiers ministres passés et présents, tels que Shimon Peres, Ehut Barack et Benjamin Netanyahu

- des associés de l'administration Trump

- le Syndicat du Crime du mafieux Lucky Luciano, qui visait à lier la mafia italo-américaine et la mafia juive

- des pontes du crime organisé en lien avec le domaine des affaires et du renseignement (réseau US Meyer Lansky)

- la NSA, l'Unité 8200"(l'équivalent israélien de la NSA), la CIA et le Mossad La meilleure illustration de la façon dont ces acteurs se sont souvent mélangés entre eux peut se voir chez Ronald Lauder, l'ami du mécène d'Epstein, Leslie Wexler : membre de Mega Group, ex-membre de l'administration Reagan, ex-Ministre-Adjoint de la Défense des USA pour les Affaires Européennes et l'OTAN, ami de longue date de Donald Trump, mais aussi longtemps donateur pour le Likoud, et spécialement pour Benjamin Netanyahou. Durant le temps qu'il passa comme ministre-adjoint à la défense, Lauder s'était déjà fait l'allié du représentant israélien de l'époque à l'ONU, le même Netanyahou. Lauder allait même devenir l'un des plus importants fers de lance de Netanyahou vers le pouvoir, en particulier pendant sa victoire surprise en 1996. Une proximité qui s'est alors renforcée avec le Mossad, placé sous l'autorité directe du nouveau Premier Ministre, Benjamin Netanyahou. De la même manière, sur la base de fuites de courriels, Netanyahou a utilisé Epstein pour faciliter la rencontre avec Jes Staley, l'ancien PDG de JPMorgan Chase, la plus grande banque américaine, Epstein ayant de multiples connexions avec des personnalités éminentes au Royaume-Uni, en Chine, au Moyen-Orient, mais aussi en Russie. Autant de pays où Epstein concluait des accords sensibles dans l'intérêt d'Israël et avec la bénédiction de Netanyahou (Daily Beast).

 

La vérité est qu'Epstein "partageait le même réseau que Staley : Ehud Barak, Prince (Blackwater), Mohammed bin Salman, Mohamed bin Zayed, Donald Trump, Bill Clinton... mais également Netanyahu." On sait aussi qu'Epstein a hérité des opérations de Robert Maxwell pour le Mossad, en faisant chanter, comme lui l'avait été auparavant, les puissants de ce monde avec des vidéos de leurs ébats sexuels ou pédophiles. On sait moins qu'Epstein était en lien avec Black Cube, le "Mossad privé", composé d'ex-agents du Mossad, du Shin Bet et du secteur privé, les mêmes qui ont été engagés par David Boies, avocat d'un autre pervers sexuel, Harvey Weinstein, afin de discréditer des actrices l'accusant d'agressions sexuelles. Or, on envoie pas des anciens du Mossad au Black Cube, jusqu'à leur chef Effraim Halevy, sans l'accord du Premier ministre Benjamin Netanyahou, qui suit bien sûr toutes les affaires de près. Il en est de même pour la société Carbyne, en lien avec Black Cube, dans laquelle Epstein a travaillé en étroite collaboration avec Israël, opérant pour la surveillance de masse la plus totale de toute nation, et n'ayant aucune restriction pour transférer sa technologie aux plus offrants comme à des dirigeants autocratiques. Parmi eux, là encore, la Chine, la Russie, mais aussi les Émirats arabes unis ou le complexe militaro-industriel américain en co-action avec Netanyahou. Aucune surprise alors à ce qu'Alex Dizengof, responsable de la cybersécurité au sein du bureau du Premier ministre israélien, devienne par exemple Chief Technology Officer de Carbyne.

newsnet.fr/161026 + ynetnews.com/article/rjtfc4 + google.com/amp/s/fr.times + qz.com/1459696/former + haaretz.com/israel-news/20 + trtworld.com/magazine/two-a + wsj.com/articles/SB894

Des centaines de documents concernant les clients pédophiles de Jeffrey Epstein devraient paraître dans les prochaines jours et semaines sur décision de la Juge Loretta Preska

 

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5 janvier 2024 5 05 /01 /janvier /2024 19:12

Si les USA s'en plaignent pourquoi le  couvercle de la marmite Française ne se soulève t il pas !

 

 

CC

 

Selon des experts du renseignement américain, un certain nombre de maisons closes et de services d’escorte haut de gamme opérant dans les banlieues de Washington, DC et de Boston, ont été créés par des ressortissants étrangers dans le cadre d’une opération d’espionnage destinée à faire chanter les responsables américains.

 

Ils pensent que les bordels, qui auraient été dirigés par une Sud-Coréenne de 41 ans, ont été utilisés pour cibler des hommes politiques, des hauts fonctionnaires du gouvernement, des militaires et des sous-traitants de la sécurité nationale.

 

Le Mail Online rapporte : Mais le mystère est de savoir quel pays était à l'origine de ce projet. La Russie , la Chine , la Corée elle-même ou même Israël  sont tous considérés comme étant à l’origine de ce projet.



Avoir les Coréens en première ligne aurait pu être un faux drapeau pour donner à la Chine ou à un autre pays un déni plausible si le complot se déroulait », a déclaré un ancien officier supérieur des opérations de la CIA à DailyMail.com dans une interview exclusive.

Les bordels ont été perquisitionnés en novembre et les procureurs ont déclaré qu'ils envisageaient d'inculper 28 personnes rien que dans le Massachusetts .

Joshua Levy, le procureur américain par intérim de l'État, a déclaré que son bureau chercherait à « rendre des comptes aux acheteurs qui alimentent l'industrie du sexe ». 

Il n’y avait aucune raison évidente d’établir deux cathouses dans la grande région de Washington, ont souligné les sources avec insistance. Aucun des trois accusés n'habite à proximité de la capitale et les travailleuses du sexe sont venues par avion de Los Angeles ou de Las Vegas .

Han Lee, le cerveau présumé, Junmyung Lee, 30 ans, et James Lee, 68 ans – tous ressortissants américains nés en Corée du Sud –  ont été inculpés en novembre pour avoir dirigé le réseau sexuel. Les trois Lee ne sont pas liés.

 

Han et Junmyung vivent tous deux dans la région de Boston, donc l'emplacement de quatre des bordels était logique. James vit à Torrance, une banlieue de Los Angeles.

Des membres du Congrès, des officiers militaires et des agents de la sécurité nationale qui « possédaient des autorisations de sécurité » figuraient parmi les clients réguliers des « bordels haut de gamme » gérés par le réseau, selon les procureurs. 

Les clients du réseau, qui payaient jusqu'à 600 dollars de l'heure, comprenaient des dirigeants d'entreprise, des professeurs, des avocats et des scientifiques.

Pour attirer les clients, les Lee auraient créé des sites Web dont le but était d'aider les photographes à trouver des modèles féminins nus à la recherche de travail. Les enquêteurs pensent que la bague avait rapporté plus d'un million de dollars au moment où elle a été démantelée.

Infowars a rapporté que, selon  une déclaration sous serment fédérale rédigée par un agent spécial du DHS , parmi les clients du réseau de prostitution figuraient « des politiciens, des dirigeants de l'industrie pharmaceutique, des médecins, des officiers militaires, des entrepreneurs gouvernementaux possédant des autorisations de sécurité, des professeurs, des avocats, des dirigeants d'entreprises, dirigeants d’entreprises technologiques, scientifiques, comptables, employés du commerce de détail et étudiants.

Les procureurs ont déclaré que l'emplacement du réseau sexuel était un indicateur que l'opération était un piège pour les responsables américains.

"Deux des bordels opéraient à partir d'unités situées dans des immeubles d'appartements de luxe dans la banlieue de Virginie, à l'extérieur de la capitale, qui se trouvent chacun à environ 15 minutes en voiture de la Maison Blanche, du Congrès, du Pentagone et de la CIA", a rapporté le Daily Mail.

« Les environs regorgent de géants de la sécurité nationale tels que Lockheed Martin, Boeing et General Dynamics. Boston, où opéraient les quatre autres bordels, est également un paradis pour les entrepreneurs de la défense.

"Il abrite également des universités de premier plan telles que Harvard et le MIT qui forment des responsables gouvernementaux et militaires et produisent des rapports pour le Pentagone et la CIA", a noté le média.

Un ancien espion étranger a déclaré que le but de cette opération de chantage était de recueillir des secrets gouvernementaux.

"Les informations les plus précieuses à Washington et à Boston sont les secrets du gouvernement", a déclaré l'espion au Daily Mail.

"Si vous ouvrez une entreprise de prostitution qui s'adresse à une clientèle fortunée dans ces villes, vous verrez beaucoup de gens franchir les portes qui y ont accès."

Les fonctionnaires ont été tenus de remettre une multitude d'informations personnelles, notamment des relevés bancaires, des informations sur l'employeur, des informations sur les cartes de crédit, des contacts par courrier électronique et téléphonique, ainsi qu'une pièce d'identité émise par le gouvernement à ajouter à la liste de clientèle, qu'ils fournissaient généralement « sans sourciller ». un œil."

"Trouver des idiots comme celui-là serait de l'or pur pour un service de renseignement qui gère un pot de miel", a ajouté l'ancien espion étranger.

 
Écrivain chez La Voix du Peuple
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5 janvier 2024 5 05 /01 /janvier /2024 19:01

N'en déplaise aux esprits chagrins, médias aux ordres, fake checker à la mord moi le noeud tout aussi rampants, la théorie des chemtrails est confirmée par le fait que le New Hampshire vient de les interdire !

 

Henry

 

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Le New Hampshire va interdire les chemtrails

 

 

Le New Hampshire est devenu le deuxième État américain à interdire potentiellement la pulvérisation de particules en aérosol dans le ciel – un phénomène communément appelé « chemtrails ».

 

Le Texas est entré dans l'histoire l'année dernière lorsque les représentants de l'État ont envisagé de modifier la loi pour interdire la pulvérisation atmosphérique dangereuse d'aérosols sans approbation préalable ni test des produits chimiques pulvérisés.

 

Selon le projet de loi 1700 de New Hampwhire House ( HB1700 ) :

 

[E]tablit un processus réglementaire pour empêcher le rejet intentionnel d'émissions polluantes, dans l'atmosphère du New Hampshire et au niveau du sol et prévoit des sanctions en cas de violation. Ce projet de loi exige que les représentants de l'État et les membres du public signalent de telles violations à la division de conformité des ressources aériennes du ministère des Services environnementaux et oblige les shérifs du comté du New Hampshire à faire appliquer les dispositions.

Granitegrok.com rapporte : Quelles émissions ? Le rejet intentionnel d’émissions polluantes, notamment l’ensemencement de nuages, la modification du temps, les fréquences radio électromagnétiques excessives et les rayonnements micro-ondes.

Le tribunal général estime que de nombreuses activités atmosphériques telles que la modification du temps, l'injection d'aérosols stratosphériques (SAI), la modification du rayonnement solaire (SRM) et d'autres formes de géo-ingénierie, impliquant le rejet intentionnel d'émissions polluantes, nuisent à la santé et à la sécurité humaines, à l'environnement, l'agriculture, la faune, l'aviation, la sécurité de l'État et l'économie de l'État du New Hampshire.

Sans utiliser le mot « chem-trails », qui peut déclencher des réactions chez certaines personnes, le projet de loi aborde un véritable ensemble de circonstances. Des personnalités publiques aux grandes universités, on parle beaucoup de l’aérosolisation de l’atmosphère avec des matériaux pour bloquer le soleil. Nous disposons de moins d’informations sur ce que cela signifie que sur les vaccins contre la COVID, et nous pouvons supposer qu’ils ne sont ni sûrs ni efficaces.

En l’absence de connaissance ou de compréhension, sachant que les agents ou agences susceptibles de suggérer ou de tenter une telle chose mentiront à ce sujet. Que nos élites aient, au mieux, une opinion déclinante de la vie humaine et, au pire, un engagement à y mettre fin dans leur quête de dépeuplement, ce n’est pas une mesure législative ridicule.

L'un des parrains est un ami, alors je m'attendrais à ce qu'il fasse un suivi, mais si je suis honnête, je ne sais pas jusqu'où ce projet de loi ira probablement. J'espère que nous aurons un débat vigoureux dans les commentaires, mais la composition actuelle de la State House et du Sénat ne me suggère pas de succès, étant entendu que vous êtes assuré de rater 100 % des clichés que vous ne prenez jamais.

Il y a des factions qui veulent répandre des choses dans les airs au-dessus de nous. Ils n’hésitent pas à le faire, et si nous manquons du sens de la transparence, des limites ou de la réglementation, nous pourrions nous retrouver soumis aux effets atmosphériques causés par l’homme sans connaître les recours.

 

Sean Adl-Tabatabai pour the people's voice

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4 janvier 2024 4 04 /01 /janvier /2024 20:55
Bill Gates mècéne, humaniste, du moins voilà l'image que l'on nous sert, mais Bill Gates pédophile, amateur de jeunes filles, grand vaccinateur, manipulateur, dont le but est de réduire la population mondiale.
Voyez le dossier fondation Bill et Mélida Gates en lien sur la page !
 
Henry
 
 

Suite à l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, une série de révélations ont émergé sur le lien entre Bill Gates et Jeffrey Epstein.

Cependant, il existe des preuves solides que le lien entre Gates et Epstein existait des décennies avant 2011 et qu’il est toujours censuré par les grands médias.

Non pas pour protéger Bill Gates, mais pour protéger Microsoft.

 

 

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Les dossiers Pedos : une vérité choquante et horrible sur Bill Gates, Jeffrey Epstein et Microsoft

par l'Exposé | 3 janvier 2024

Suite à l'annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, une série de révélations ont émergé sur le lien entre Bill Gates et Jeffrey Epstein.

Cependant, il existe des preuves solides que le lien entre Gates et Epstein existait des décennies avant 2011 et qu’il est toujours censuré par les grands médias.

Non pas pour protéger Bill Gates, mais pour protéger Microsoft.

Début mai 2021, l'annonce du divorce de Bill et Melinda Gates après vingt-sept ans de mariage a choqué à la fois ceux qui vantent le couple de puissance « philanthropique » et ceux qui le détestent.

Moins d'une semaine après la première annonce du divorce, le 7 mai 2021, le Daily Beast a rapporté que Melinda Gates aurait été « profondément troublée » par la relation de Bill Gates avec le trafiquant sexuel d'enfants et agent de renseignement Jeffrey Epstein. Le rapport suggère que Melinda était l'une des principales raisons de la décision de son mari de se distancier d'Epstein vers 2014, car elle se sentait mal à l'aise avec Epstein après leur rencontre en 2013. Cette rencontre inédite a eu lieu dans le manoir d'Epstein, dans l'Upper East Side de New York.

Daily Beast a également révélé que les détails du divorce de Gates avaient déjà été décidés plusieurs semaines avant l'annonce officielle. Puis le 9 mai, le Wall Street Journal a publié un rapport suggérant que les projets de divorce remontaient encore plus loin et que Melinda avait consulté des avocats spécialisés en divorce en 2019. Apparemment, ce conseil est intervenu après que les détails de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein aient attiré l'attention des grands médias, notamment du New York Times .

Alors que les grands médias semblent s'accorder sur le fait que Jeffrey Epstein a probablement été un facteur dans la rupture des Gates, ces mêmes médias refusent de rapporter la véritable étendue de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein. En fait, le courant dominant affirme que la relation entre Gates et Epstein a commencé en 2011, même s’il existe des preuves que leur relation a commencé des décennies plus tôt.

Ce refus général de rendre compte honnêtement de la relation entre Gates et Epstein est probablement dû au rôle prééminent de Gates dans les événements actuels, à la fois en termes de politique de santé mondiale liée au COVID-19 et à son rôle de sponsor et de bailleur de fonds majeur. des « solutions » technocratiques à une série de problèmes sociaux. Il est cependant plus probable que la nature de la relation entre Gates et Epstein avant 2011 soit encore plus scandaleuse que ce qui a été révélé plus tard, et qu'elle ait des implications majeures non seulement pour Gates, mais aussi pour Microsoft en tant qu'entreprise et pour certains de ses anciens dirigeants. les hauts dirigeants auraient pu.

Cette dissimulation particulière fait partie d’une tendance apparente des grands médias à ignorer l’influence évidente qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell ont exercée – et continuent sans doute d’exercer – dans la Silicon Valley. En fait, les personnes qui ont fondé des géants de la technologie comme Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon ont tous des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroitement que d’autres.

Cette enquête est une adaptation de mon prochain livre, One Nation Under Blackmail , qui sera publié au début de l'année prochaine et comprendra un examen plus large des liens d'Epstein avec la Silicon Valley, les institutions universitaires et les agences de renseignement.

 

Le mystère de l' étalon du soir

En 2001, l’article peut-être le plus important jamais écrit sur Jeffrey Epstein a été publié. L'article, qui portait principalement sur la relation de Ghislaine Maxwell et Epstein avec le prince Andrew, a été publié dans le London Evening Standard le 22 janvier 2001 . L'article, écrit par Nigel Rosser, n'a jamais été rétracté et a été publié bien avant la première arrestation d'Epstein et le début de sa notoriété publique. Cependant, il a désormais été supprimé du site Web d’Evening Standard et ne peut être trouvé que dans les bases de données de journaux professionnels. En octobre 2019, j'ai publié une version PDF de cet article et plusieurs autres articles supprimés sur Epstein. (Voir MintPress )

Les principaux messages de l'article expliquent clairement pourquoi il a été supprimé d'Internet, apparemment après la première arrestation d'Epstein en Floride. Rosser présente Epstein comme « un promoteur immobilier et financier new-yorkais extrêmement puissant », un clin d’œil au passé d’Epstein sur le marché immobilier new-yorkais. Plus loin dans l'article, il note qu'Epstein « a autrefois affirmé avoir travaillé pour la CIA, bien qu'il le nie maintenant », l'une des nombreuses raisons probables pour lesquelles l'article a été supprimé d'Internet bien avant la deuxième arrestation d'Epstein en 2019.

Une grande partie de l'article fait référence à la proximité d'Epstein et de Maxwell avec le prince Andrew et suggère que tous deux ont exercé une influence considérable sur le prince, en grande partie grâce au rôle de Maxwell en tant que « fixateur social ». On dit que Maxwell a « manipulé » le prince et que « toute l’affaire Andrew a probablement été faite pour Epstein ».

Cependant, une ligne s’impose comme le premier indice important pour démystifier les véritables origines de la relation Gates-Epstein. Peu de temps après avoir présenté Epstein dans l'article, Rosser note qu'Epstein "a gagné plusieurs millions grâce à ses relations commerciales avec Bill Gates, Donald Trump et le milliardaire de l'Ohio Leslie Wexner, dont il dirige la fondation".

Les relations de Wexner et Trump avec Epstein avant 2001 sont bien connues, remontant respectivement à 1985 et 1987. Cependant, les grands médias continuent de rapporter que Gates et Epstein se sont rencontrés pour la première fois en 2011 et refusent de donner suite aux pistes exposées par Nigel Rosser. Je suis personnellement conscient dans une certaine mesure de cette rétention d’informations, car en 2019, un journaliste de la BBC m’a demandé des détails sur cet article de l’Evening Standard de 2001 , que je lui ai fourni. À ce jour, la BBC n’a jamais rapporté le contenu de cet article. Il est à noter que la BBC reçoit depuis des années des millions de la Fondation Bill & Melinda Gates. (Voir BBC et Candide )

Non seulement l’article de Rosser n’a jamais été rétracté, mais ni Gates, Trump ni Wexner n’ont contesté les affirmations contenues dans l’article à l’époque, bien avant qu’Epstein ne devienne tristement célèbre. Le fait que Gates soit nommé aux côtés de deux proches collaborateurs connus d’Epstein – Donald Trump et Leslie Wexner – suggère également que les liens de Gates avec Epstein avant 2001 étaient suffisamment importants pour justifier sa mention aux côtés de ces deux autres hommes.

En plus de l' article de l' Evening Standard , il existe des preuves de Maria Farmer, une victime d'Epstein qui a été employée par Epstein et Maxwell de 1995 à 1996. Elle a rappelé qu'Epstein avait mentionné Bill Gates d'une manière qui suggérait une amitié étroite et lui donnait l'impression que le cofondateur de Microsoft se rendrait bientôt dans l'une des résidences d'Epstein. (Voir Le dernier vagabond américain )

 

Microsoft, McKinley et Isabel Maxwell

En plus de ces deux éléments de preuve clés, il y a aussi le fait que même avant l'article de l'Evening Standard, Gates avait un lien documenté avec une société dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell, dans laquelle Ghislaine avait un intérêt financier, ce qui est un indice pour la nature de celles évoquées par Nigel Rosser « relations d’affaires » pourrait exister. De plus, un article du Guardian de 2000 a documenté l'étrange relation de Gates avec Isabel Maxwell, liée au scandale d'espionnage du logiciel PROMIS et aux renseignements israéliens.

Les sœurs jumelles Christine et Isabel Maxwell ont fondé le groupe McKinley avec leurs maris d'alors en janvier 1992. Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la fausse société Information on Demand, que leur père Robert Maxwell utilisait pour vendre le faux logiciel PROMIS au gouvernement américain. (Voir Hangout illimité ) Après la mort de Robert Maxwell, Christine et Isabel voulaient « prendre un nouveau départ » et considéraient McKinley comme « l'opportunité de retrouver un morceau de l'héritage de leur père ». (Voir Filaire )

Le groupe McKinley n'était cependant pas seulement une entreprise d'Isabel, Christine et de leurs maris, car Ghislaine Maxwell avait également « un intérêt significatif » dans l'entreprise, selon un article du Sunday Times publié en novembre 2000. Cet article notait également que tout au long des années 1990, Ghislaine avait « discrètement construit un empire commercial aussi opaque que celui de son père » et qu'« elle est secrète au point de paranoïa et ses affaires sont profondément mystérieuses ». Pendant cette période, elle s’est décrite comme une « opératrice Internet », même si « son bureau de Manhattan refuse même de confirmer le nom ou la nature de son entreprise ».

Un autre article paru dans The Scotsman en 2001 note séparément que Ghislaine est « extrêmement secrète sur ses affaires et se décrit comme une opératrice Internet ». On ne sait pas exactement dans quelle mesure Ghislaine était réellement impliquée dans les affaires du groupe McKinley. Pendant ce temps, cependant, elle a mené une campagne de chantage sexuel pour recueillir des renseignements avec Jeffrey Epstein, et il y avait un chevauchement considérable dans leurs finances, comme l'ont noté les articles de presse de l'époque et par la suite.

McKinley a fondé ce qu'on appelle l'annuaire Internet Magellan, dont on se souvient comme « le premier site Web à publier des critiques et des évaluations détaillées de sites Web ». L'approche du « contenu à valeur ajoutée » de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, aboutissant à des « alliances significatives » avec AT&T, Time-Warner, IBM, Netcom et Microsoft Network (MSN), toutes négociées par Isabel Maxwell. L'alliance la plus importante de Microsoft avec McKinley a eu lieu fin 1995, lorsque Microsoft a annoncé que Magellan alimenterait l'option de recherche pour le service MSN de l'entreprise. (Voir CNET )

La chance de McKinley a décliné lorsque sa tentative de devenir le premier moteur de recherche à être rendu public a échoué et qu'un différend a éclaté entre Christine Maxwell et le mari d'Isabel (voir The Jerusalem Post ), ce qui a également conduit l'entreprise à la faillite, derrière d'autres. leaders du marché. (Voir The New York Times ) En conséquence, McKinley a raté la fenêtre d'une deuxième introduction en bourse et a pris encore plus de retard dans l'expansion de son modèle commercial pour inclure les revenus publicitaires. Excite, qui a ensuite été acquis par AskJeeves, a finalement acheté le groupe McKinley et Magellan en 1996 pour 1,2 million d'actions d'Excite, alors évaluées à 18 millions de dollars. (Voir SFGATE ) Apparemment, c'est Isabel Maxwell qui a rendu l'accord possible, et George Bell, alors PDG d'Excite, a affirmé qu'elle seule avait sauvé l'achat de McKinley.

Malgré la fin terne de McKinley, les jumeaux Maxwell et d'autres actionnaires de la société, dont Ghislaine Maxwell, ont non seulement reçu un paiement de plusieurs millions de dollars grâce à l'accord, mais ont également noué des liens étroits avec les gros bonnets de la Silicon Valley. On ne sait pas si l’argent que Ghislaine Maxwell a reçu de la vente a été utilisé pour poursuivre l’extorsion sexuelle qu’elle menait avec Jeffrey Epstein à l’époque.

Après la vente de McKinley/Magellan, les relations ouvertes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignement des États-Unis et d'Israël se sont considérablement accrues. Les liens d'Isabel avec Microsoft sont restés même après la vente du groupe McKinley. Elle est devenue présidente de la société technologique israélienne CommTouch, dont le financement était lié à des personnes et à des groupes impliqués dans l’affaire d’espionnage nucléaire de Jonathan Pollard. (Voir Hangout illimité ) CommTouch, un "développeur de logiciels obscur" fondé en 1991 par d'anciens officiers militaires israéliens, se concentrait sur "la vente, la maintenance et le service de produits logiciels clients de messagerie autonomes pour les ordinateurs centraux et les ordinateurs personnels". L’entreprise courtisait spécifiquement Isabel parce qu’elle était la fille du « super espion » israélien Robert Maxwell. Isabel avait les mêmes raisons de rejoindre l'entreprise, déclarant à Haaretz que diriger l'entreprise « lui donne l'opportunité de poursuivre l'engagement de son père en Israël ».

De toutes les alliances et partenariats négociés par Isabel Maxwell au cours de ses premières années chez CommTouch, ce sont ses relations avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch « sur la carte ». Cependant, les cofondateurs de Microsoft ont fait bien plus que mettre CommTouch « sur la carte », puisqu’ils sont essentiellement intervenus pour empêcher l’effondrement de l’introduction en bourse, un sort qui est arrivé peu de temps auparavant à l’ancienne société d’Isabel Maxwell, McKinley Group. En fait, CommTouch a continué à retarder son introduction en bourse jusqu'en juillet 1999, lorsqu'un investissement massif a été annoncé par des sociétés liées au cofondateur de Microsoft, Paul Allen. (Voir Bloomberg )

Les investissements d'Allen's Vulcan et Go2Net ont entraîné une montée en flèche de « l'intérêt pour la vente d'actions et pour CommTouch, un développeur de logiciels jusqu'alors inconnu », selon un rapport de Bloomberg, et ont également fait grimper le cours de l'action juste avant l'introduction en bourse. L’argent des sociétés affiliées à Allen a été spécifiquement utilisé pour « développer les ventes et le marketing et étendre la présence sur les marchés internationaux ». La décision d'Allen d'investir dans CommTouch semble étrange d'un point de vue financier, car la société n'a jamais réalisé de bénéfices et a enregistré des pertes de plus de 4 millions de dollars rien que l'année précédente. Cependant, grâce à l'investissement opportun d'Allen et à son apparente coordination avec les retards répétés de l'introduction en bourse de la société, CommTouch a été évalué à plus de 230 millions de dollars lors de l'introduction en bourse, contre une valorisation de 150 millions de dollars quelques semaines seulement avant l'investissement d'Allen. (Voir le New York Times )

 

Paul Allen et Nicole Junkermann au Cinéma contre le SIDA à Cannes, France. Source : Médias vocaux

 

On ne sait pas exactement pourquoi Paul Allen a participé à l'introduction en bourse de CommTouch et ce qu'il attendait de son investissement. Cependant, il convient de noter qu'Allen est devenu plus tard membre d'une communauté en ligne d'élite appelée A Small World, fondée en 2004 (voir Reuters ), dont les membres comprenaient également Jeffrey Epstein et des personnalités liées à Epstein telles que Lynn Forester de Rothschild et Naomi Campbell, ainsi que Petrina Khashoggi, la fille d'Adnan Khashoggi, ancien client d'Epstein, ont compté. Le plus grand actionnaire de A Small World était Harvey Weinstein, le magnat des médias aujourd'hui en disgrâce, qui était un associé d'Epstein et a depuis été reconnu coupable de viol et d'abus sexuels. À peu près à la même époque, Paul Allen a été photographié avec Nicole Junkermann, associée d'Epstein, elle-même agent des services secrets. (Voir MARAIS )

Moins de trois mois après l'investissement d'Allen dans CommTouch en octobre 1999, la société a annoncé avoir conclu un accord important avec Microsoft en vertu duquel « Microsoft utilisera le service CommTouch Custom MailTM pour fournir des solutions de messagerie Web à certains partenaires MSN ». et les marchés internationaux." (Voir Yahoo! ) De plus, CommTouch fournira à ses clients le service MSN Messenger et Microsoft Passport tout en élargissant son expertise Windows NT en prenant en charge les futures technologies de messagerie MSN", indique l'accord. « Nous sommes impatients d'élargir davantage notre relation avec Microsoft en intégrant des produits Microsoft de pointe supplémentaires », a déclaré Gideon Mantel de CommTouch en annonçant publiquement l'accord.

En décembre 1999 , Microsoft a annoncé avoir investi 20 millions de dollars dans CommTouch en achetant 4,7 % des actions de la société. L'annonce a fait grimper le cours de l'action de CommTouch de 11,63 $ à 49,13 $ en quelques heures. Une partie de cet accord a été conclue par Richard Sorkin, récemment nommé directeur de CommTouch. Sorkin venait de devenir multimillionnaire en vendant Zip2, la première société d'Elon Musk, dont il avait été PDG.

De plus, Bill Gates, alors patron de Microsoft, semble avoir personnellement investi dans CommTouch à la demande d'Isabel Maxwell. Dans un article publié dans le Guardian en octobre 2000 , Isabel Maxwell plaisante en disant qu'à un moment donné, elle a persuadé Bill Gates de faire un investissement personnel dans CommTouch.

L' article du Guardian dit étrangement à propos d'Isabel Maxwell et de Bill Gates :

 

"Avec un faux accent du Sud, [Isabel] ronronne : 'Il doit dépenser 375 millions de dollars par an pour conserver son statut d'exonéré d'impôt, pourquoi ne devrais-je pas l'aider.' Elle explose de rire.

 

Étant donné que des individus aussi riches que Gates ne peuvent pas bénéficier d'un « statut d'exonération fiscale » et que cet article a été publié peu de temps après la création de la Fondation Bill & Melinda Gates, les déclarations d'Isabel suggèrent que c'est le Bill & Melinda Gates Foundation Trust qui gère la Fondation. la dotation de la fondation, qui a réalisé cet investissement important dans CommTouch.

En outre, il convient de noter la manière étrange dont Isabel décrit son interaction avec Gates (« purement », parlant avec un faux accent du Sud) et décrit ses interactions avec lui d'une manière qui n'apparaît dans aucune de ses nombreuses autres interviews. Une variété de sujets peuvent être trouvés. Ce comportement étrange pourrait être lié aux interactions précédentes d'Isabel avec Gates et/ou à la relation mystérieuse entre Gates et Epstein pendant cette période.

 

Isabel Maxwell en tant que présidente de CommTouch

 

Après 2000, les activités et l'influence de CommTouch ont connu une croissance rapide. Isabel Maxwell a ensuite imputé la fortune de l'entreprise et le succès de ses efforts pour pénétrer le marché américain aux investissements de Microsoft, menés par Gates et Paul Allen. Maxwell, cité dans le livre Fastalliances de 2002 , explique que Microsoft considérait CommTouch comme un « réseau de distribution » important, ajoutant : « L'investissement de Microsoft en nous nous a mis sur la carte. Cela nous a donné une crédibilité instantanée et a validé notre technologie et nos services sur le marché. » À cette époque, les liens de Microsoft avec CommTouch s'étaient approfondis grâce à de nouveaux partenariats, notamment l'hébergement de Microsoft Exchange par CommTouch .

Même si Isabel Maxwell a réussi à obtenir des investissements et des alliances lucratifs pour CommTouch et à garantir que les produits de l'entreprise étaient intégrés dans les composants logiciels et matériels clés fabriqués et vendus par Microsoft et d'autres géants de la technologie, elle n'a pas été en mesure d'améliorer la situation financière désastreuse de l'entreprise. En 1998, CommTouch a enregistré une perte de 4,4 millions de dollars (voir Bloomberg ) et des pertes similaires se sont poursuivies jusque dans les années 2000, avec des pertes nettes totalisant 24 millions de dollars en 2000 (un an seulement après les investissements importants de Microsoft, Paul Allen et Gates). (Voir The Marker ) Les pertes se sont poursuivies même après qu'Isabel ait officiellement quitté l'entreprise et soit devenue présidente émérite en 2001. En 2006, l'entreprise avait une dette de plus de 170 millions de dollars. Isabel Maxwell a quitté son poste chez CommTouch en 2001, mais a conservé une quantité importante d'actions CommTouch pendant des années, évaluées à l'époque à environ 9,5 millions de dollars. (Voir The Scotsman ) Aujourd'hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une « pionnière technologique » pour le Forum économique mondial. (Voir Forum économique mondial )

 

Epstein, Edge et Nathan Myhrvold

Une autre indication d'une relation entre Epstein et Gates avant 2001 est les liens étroits d'Epstein avec Nathan Myhrvold, qui a rejoint Microsoft dans les années 1980 et est devenu le premier directeur technologique de l'entreprise en 1996. À l’époque, Myhrvold était l’un des plus proches conseillers de Gates, sinon le plus proche. Il a co-écrit le livre de Gates en 1996, The Road Ahead , dans lequel il cherchait à expliquer comment les nouvelles technologies affecteraient la vie dans les années et décennies à venir.

En décembre de la même année, où il est devenu CTO de Microsoft, Myhrvold a voyagé dans l'avion d'Epstein du Kentucky au New Jersey, puis de nouveau en janvier 1997 du New Jersey à la Floride. Les autres passagers qui accompagnaient Myhrvold sur ces vols étaient Alan Dershowitz et "GM", vraisemblablement Ghislaine Maxwell. Il est important de se rappeler que Gates avait une relation documentée avec Isabel, la sœur de Ghislaine, à cette époque.

Myhrvold a également voyagé avec Epstein en Russie dans les années 1990 aux côtés d'Esther Dyson, une consultante en technologie numérique qui a été qualifiée de "femme la plus influente de tout l'informatique". (Voir BBC ) Elle entretient actuellement des liens étroits avec Google et la société de tests ADN 23andme, est membre du Forum économique mondial et contribue à son ordre du jour. (Voir Forum économique mondial ) Dyson a déclaré plus tard que la rencontre avec Epstein avait été planifiée par Myhrvold. D'après les informations publiées sur les comptes de réseaux sociaux de Dyson, la réunion semble avoir eu lieu en 1998. Une photo montre Dyson et Epstein avec un horodatage indiquant le 28 avril 1998, posant avec Pavel Oleynikov, qui semble avoir été un employé du Centre nucléaire fédéral russe. (Voir The Nonprolifération Review ) Sur la photo, ils se tiennent devant la maison du regretté scientifique nucléaire et dissident soviétique Andrei Sakharov, qui aurait des liens avec les services secrets américains. Sakharov et son épouse, Jelena Bonner, étaient des partisans des causes sionistes. (Voir JTA et Israel National News )

Les photos ont été prises à Sarov, où se trouve le Centre nucléaire fédéral russe. Le même jour, une autre photo a été prise montrant Epstein dans une salle de classe pleine d'adolescents, apparemment également à Sarov, d'après l'horodatage.

 

 

 

 

 

Une autre image de Dyson, sans horodatage visible mais avec une légende indiquant que la photo a été prise "chez Microsoft Russie à Moscou" en avril 1998, montre Nathan Myhrvold. La légende de Dyson poursuit : "C'était le début d'un voyage de trois semaines au cours duquel Nathan et un certain nombre de compagnons (dont un garde du corps) ont exploré l'état de la science post-soviétique." Epstein semble être l'un des "suiveurs", si vous considérez que les photos, les données et le but décrit du voyage sont consultés.

Myhrvold et Epstein avaient apparemment plus en commun qu’un simple intérêt pour les progrès scientifiques russes. Lorsque Myhrvold a quitté Microsoft pour cofonder Intellectual Ventures, Vanity Fair a rapporté qu'il avait rencontré Epstein au bureau de l'entreprise accompagné de « jeunes filles » qui semblaient être des « mannequins russes ». Une source proche de Myhrvold, citée par Vanity Fair , a affirmé que Myhrvold avait ouvertement parlé d'emprunter le jet d'Epstein et de rester chez lui en Floride et à New York. Vanity Fair a également souligné que Myhrvold avait été accusé d'avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs procurés par Epstein par nul autre que le professeur de droit de Harvard, Alan Dershowitz, qui est accusé du même crime et avait déjà volé avec Myhrvold dans l'avion privé d'Epstein.

De plus, une ancienne collègue de Myhrvold chez Microsoft a développé plus tard ses propres liens avec Epstein. Linda Stone, qui a rejoint Microsoft en 1993 et ​​a travaillé directement sous Myhrvold, est finalement devenue vice-présidente de Microsoft. Elle a présenté Epstein à Joi Ito du MIT Media Lab après sa première arrestation. "Il a un passé trouble, mais Linda m'assure qu'il est formidable", a déclaré plus tard Ito dans un e-mail adressé à trois employés du MIT. (Voir le rapport du MIT ) Il existe plusieurs numéros de téléphone pour Stone dans le célèbre petit livre noir d'Epstein, et son contact d'urgence est répertorié comme étant Kelly Bovino, une ancienne mannequin et co-conspiratrice présumée d'Epstein. Après l'arrestation d'Epstein en 2019, il a été révélé qu'Epstein avait « demandé » à Bill Gates de faire un don de 2 millions de dollars au laboratoire du MIT en 2014. (Voir Business Insider ) Epstein aurait également obtenu un don de 5 millions de dollars de Leon Black pour le laboratoire. Ito a été contraint de démissionner de son poste de directeur du laboratoire peu après l'arrestation d'Epstein en 2019.

Nathan Myhrvold, Linda Stone, Joi Ito, Esther Dyson et Bill Gates, entre autres icônes de la Silicon Valley, faisaient partie de la communauté Edge Foundation . Décrit comme une organisation exclusive d'intellectuels « redéfinissant qui et ce que nous sommes », Edge a été fondée par John Brockman, un « imprésario culturel » autoproclamé et agent littéraire bien connu. Brockman est surtout connu pour ses liens étroits avec le monde de l'art à la fin des années 1960, mais ses diverses missions en tant que "consultant en gestion" auprès du Pentagone et de la Maison Blanche au cours de la même période sont moins connues. (Voir Dazed ) Edge, que le Guardian a qualifié un jour de « site Web le plus intelligent du monde », est un symposium en ligne exclusif associé à ce que Brockman appelle « la troisième culture ». Epstein semble avoir travaillé avec Brockman dès 1995, lorsqu'il a aidé à financer et à sauver un projet de livre en difficulté dirigé par Brockman.

Cependant, Edge est bien plus qu’un simple site Web. Pendant des décennies, la fondation a également joué un rôle déterminant en réunissant des dirigeants de l'industrie technologique, des scientifiques qui étaient souvent les clients de Brockman et des financiers de Wall Street lors du dîner des millionnaires, organisé pour la première fois en 1985. En 1999, cet événement a été rebaptisé Dîner des Milliardaires, et Epstein s'est étroitement impliqué dans ces affaires ainsi que dans la Fondation Edge elle-même. Epstein a été photographié assistant à plusieurs de ces dîners, tout comme Sarah Kellen, la principale « assistante » de Ghislaine Maxwell et co-conspiratrice du projet de trafic sexuel et d'extorsion dirigé par Epstein et Maxwell.

De 2001 à 2017, Epstein a financé 638 000 $ sur un total de 857 000 $ collectés par Edge. (Voir Insidehook ) Au cours de cette période, Epstein a été le seul donateur d'Edge pendant plusieurs années. Epstein a arrêté de faire des dons en 2015, qui était d'ailleurs la même année où Edge a décidé de mettre fin à sa tradition annuelle de dîner de milliardaire. De plus, le seul prix jamais décerné par Edge, le Edge of Computation Prize de 100 000 $, a été décerné au pionnier de l'informatique quantique David Deutsch en 2005 – il a été entièrement financé par Epstein. Un an avant de commencer à faire des dons importants à Edge, Epstein avait fondé la Fondation Jeffrey Epstein VI pour « financer et soutenir la recherche de pointe dans le monde entier ».

Depuis le scandale Epstein, les participants réguliers au dîner des milliardaires, parfois appelé le dîner annuel d'Edge, ont décrit l'événement comme une « campagne d'influence ». Si l’on suit l’argent, il semble qu’il s’agisse d’une opération d’influence qui a principalement profité à un homme, Jeffrey Epstein, et à son réseau. Les preuves suggèrent que Myhrvold et Gates faisaient partie de ce réseau avant même que l'implication d'Epstein dans Edge n'augmente de manière significative.

 

Une histoire de deux projets de loi

Il vaut la peine d’examiner les liens entre les efforts « philanthropiques » de Bill Gates et Bill Clinton au début des années 2000, en particulier compte tenu des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative au cours de cette période. Selon l'ancien responsable du renseignement israélien Ari Ben-Menashe, Bill Clinton était au centre du chantage sexuel d'Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par les déclarations des victimes d'Epstein et les relations intimes d'Epstein avec des personnes proches de l'ancien président. (Voir MintPress et Hangout illimité )

 

Bill Gates à la conférence de la Maison Blanche sur la nouvelle économie en 2000 - Source : LA Times

 

Malgré les tensions nées de la poursuite du monopole de Microsoft par l'administration Clinton à la fin des années 1990, les relations entre Gates et Clinton s'étaient dégelées en avril 2000, lorsque Gates a participé à la « Conférence sur la nouvelle économie » à la Maison Blanche. Outre Gates, les participants comprenaient également Lynn Forester, une proche associée d’Epstein (aujourd’hui Lady de Rothschild) et Larry Summers, alors ministre des Finances, qui a également été critiqué pour ses relations avec Epstein. Un autre participant était le chef de cabinet de la Maison Blanche, Thomas « Mack » McLarty, dont l’assistant spécial Mark Middleton a rencontré Epstein au moins trois fois à la Maison Blanche de Clinton. Middleton a été licencié après que des articles de presse ont fait surface détaillant ses liens avec des dons illégaux liés à des gouvernements étrangers en faveur de la campagne de réélection de Clinton en 1996. Une autre participante à la conférence était Janet Yellen, l'actuelle secrétaire au Trésor de Biden.

Gates a pris la parole lors d’une conférence intitulée « Combler le fossé mondial : santé, éducation et technologie ». Il a expliqué comment la cartographie du génome humain conduirait à une nouvelle ère de percées technologiques et a évoqué la nécessité de fournir un accès Internet à tous pour réduire la fracture numérique et créer la « nouvelle » économie basée sur Internet. À l’époque, Gates et le milliardaire américain des télécommunications Craig McCaw soutenaient une entreprise qui souhaitait créer un monopole mondial sur les services Internet en utilisant un réseau de satellites en orbite basse. Cette société, Teledesic, a fermé ses portes entre 2002 et 2003 et est considérée comme l'inspiratrice du Starlink d'Elon Musk. (Voir le New York Times )

Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment : la Fondation Bill & Melinda Gates a été fondée en 2000, la Fondation Clinton en 2001. Wired a décrit les deux fondations comme « les précurseurs d'une nouvelle ère de philanthropie dans laquelle « les décisions – souvent appelés investissements – sont réalisés avec la précision stratégique requise par les entreprises et les gouvernements, puis soigneusement suivis pour mesurer leur succès.

D'autres médias, comme Cependant, certaines publications, comme le Huffington Post , ont contesté le fait que ces fondations se livrent à de la « philanthropie », affirmant que cette désignation conduit à une « déconstruction rapide du terme accepté ». Le Huffington Post a en outre noté que la Clinton Global Initiative (qui fait partie de la Fondation Clinton), la Fondation Gates et plusieurs organisations similaires « vont toutes dans le sens d'un brouillage des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif ». L’étude note que ce modèle de « philanthropie » a été promu par le Forum économique mondial et le Milken Institute. Il convient également de noter que plusieurs des véhicules « philanthropiques » d’Epstein ont également été fondés au moment même où commençait cette nouvelle ère de philanthropie.

Le Milken Institute a été fondé par Michael Milken, le tristement célèbre « roi des obligations de pacotille » de Wall Street qui a été inculpé de 98 chefs d’accusation de racket et de fraude en valeurs mobilières en 1989. (Voir Los Angeles Times ) Il n'a purgé qu'une courte peine et a finalement été gracié par Donald Trump. (Voir CNN ) Milken a commis ses crimes aux côtés de Leon Black et Ron Perelman à Drexel Burnham Lambert avant son effondrement scandaleux. (Voir CNBC ) Black était étroitement associé à Epstein et a même laissé Epstein gérer sa fondation « philanthropique » personnelle pendant plusieurs années, même après la première arrestation d’Epstein. (Voir New York Post ) Perelman était un donateur majeur de Clinton, dont la collecte de fonds pour le président de l'époque en 1995 a réuni Epstein, et dont les entreprises ont offert des emplois à Webster Hubbell et Monica Lewinsky après leurs scandales respectifs dans l'administration Clinton. Comme Gates, Milken a transformé sa réputation d’entrepreneur impitoyable en celle d’un « éminent philanthrope ». Une grande partie de sa « philanthropie » profite à l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée. (Voir Middle East Eye )

Des années après avoir lancé leur fondation, Gates et Clinton ont expliqué à quel point ils étaient « depuis longtemps liés par leur mission commune » visant à normaliser ce nouveau modèle de philanthropie. Gates a parlé à Wired en 2013 de « leurs incursions dans les régions en développement » et « a cité les partenariats étroits entre leurs organisations ». Dans cette interview, Gates a révélé qu'il avait rencontré Clinton avant de devenir président : "Je l'ai connu avant qu'il ne soit président, je l'ai connu quand il était président, et je le connais maintenant qu'il n'est plus président."

Également dans cette interview, Clinton a déclaré qu'il souhaitait se concentrer sur deux choses spécifiques après avoir quitté la Maison Blanche. La première est la Clinton Health Access Initiative (CHAI), qui, dit-il, existe « en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates », et la seconde est la Clinton Global Initiative (CGI), « dans laquelle j'essaie de créer un réseau mondial de personnes faisant leur propre travail.

La Clinton Health Access Initiative a reçu son premier don de la Fondation Gates de 11 millions de dollars en 2009. (Voir Fondation Gates ) Au cours des douze dernières années, la Fondation Gates a fait don de plus de 497 millions de dollars à CHAI. CHAI a été fondée en 2002 dans le but de lutter contre le VIH/SIDA dans le monde entier grâce à des « relations gouvernementales solides » et à l’élimination des « inefficacités du marché ». Cependant, les dons importants de la Fondation Gates ont commencé peu de temps après l'expansion de CHAI dans le domaine du diagnostic et du traitement du paludisme. (Voir CHAI ) En 2011, Tachi Yamada, ancien président du programme de santé mondiale de la Fondation Gates, a rejoint le conseil d'administration de CHAI aux côtés de Chelsea Clinton.

 

Bill Gates et Bill Clinton lors de la Clinton Global Initiative annuelle en 2010

 

Concernant le CGI, les avocats de la défense d'Epstein ont fait valoir devant le tribunal en 2007 qu'Epstein faisait « partie du groupe initial qui a conçu la Clinton Global Initiative », qui a été lancée pour la première fois en 2005. Les avocats d'Epstein ont décrit le CGI comme un projet qui « rassemble une communauté de dirigeants mondiaux pour développer et mettre en œuvre des solutions innovantes à certains des défis les plus urgents du monde ». La Fondation Gates a donné au CGI un total de 2,5 millions de dollars entre 2012 et 2013, en plus de ses dons massifs à CHAI et de 35 millions de dollars supplémentaires à la Fondation Clinton elle-même. En plus des dons de la Fondation Gates, Microsoft de Gates était étroitement impliqué dans d'autres « projets philanthropiques » soutenus par Clinton.

En plus de ces liens, Hillary Clinton a établi un partenariat entre la Fondation Clinton et la Fondation Gates en 2014 dans le cadre de l'initiative No Ceilings des Clinton. Ce partenariat visait à "collecter et analyser des données sur l'état d'autonomisation des femmes et des filles dans le monde" et impliquait les deux fondations travaillant "avec des partenaires technologiques de premier plan pour collecter et compiler ces données". Pendant des mois, avant d'annoncer le partenariat, Gates et Epstein s'est réuni pour dîner et a discuté de la Fondation Gates et de la philanthropie, selon le New York Times . Lors de la campagne infructueuse d'Hillary Clinton à la présidence en 2016, Bill et Melinda Gates figuraient sur sa liste restreinte de candidats possibles à la vice-présidence. (Voir GeekWire )

En outre, Epstein a tenté d'investir directement dans la Fondation Gates, comme en témoignent ses efforts pour persuader la Fondation Gates de s'associer à JP Morgan sur un « fonds caritatif mondial pour la santé » de plusieurs milliards de dollars, dont Epstein a convenu qu'il était très fortement impliqué dans JP Morgan. Morgan, à cette époque, aurait rapporté des frais élevés. (Voir Daily Beast ) Bien que ce fonds ne se soit jamais matérialisé, Epstein et Gates ont discuté de la participation d'Epstein aux efforts philanthropiques de Gates. Certains de ces contacts n'ont été rapportés par la grande presse qu'après l'annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Cependant, comme mentionné précédemment, on savait qu’Epstein avait « ordonné » à Gates de faire un don à au moins une organisation – 2 millions de dollars en 2014 au MIT Media Lab.

De récentes révélations sur les rencontres entre Gates et Epstein qui ont eu lieu entre 2013 et 2014 ont encore souligné l'importance qu'Epstein avait apparemment dans le monde de la « philanthropie » d'un milliard de dollars, Gates aurait affirmé qu'Epstein était son « ticket » pour le prix Nobel. est. (Voir Daily Beast ) Cependant, les médias norvégiens ont rapporté en octobre 2020 que Gates et Epstein avaient rencontré le président du comité Nobel, ce qui n'a pas suscité beaucoup d'attention dans les médias internationaux à l'époque. ( DN Magasinet ) La question se pose de savoir si Epstein a réussi à organiser de telles rencontres avec d'autres personnes qui convoitaient également un prix Nobel, et si ces personnes ont ensuite reçu le prix. Si Epstein avait de telles relations, il est peu probable qu’il les ait utilisées une seule fois dans le cas de Bill Gates, car son réseau était très étendu, notamment dans le monde de la technologie et de la science.

L'année 2013 est également l'année où Bill et Melinda Gates ont rencontré Epstein dans sa résidence de New York, après quoi Melinda aurait commencé à demander à son futur ex-mari de se distancier d'Epstein. (Voir Daily Beast ) La raison invoquée après l'annonce du divorce des Gates était que Melinda était rebutée par le passé d'Epstein et sa personne. Mais cela pourrait aussi être lié à d’autres inquiétudes concernant la réputation de Melinda et celle de la fondation qui porte son nom.

En fait, 2013 a également été l'année où la police de Seattle a commencé à enquêter sur l'ingénieur système de Gates Mansion, Rick Allen Jones, pour sa collection de pédopornographie et de viols d'enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir Gates un an plus tard, il n’a pas été envoyé en prison après son arrestation, mais a simplement reçu l’ordre de rester à l’écart des enfants », selon les médias locaux. (Voir Kiro7 ) Du point de vue de Melinda, ce scandale, associé à l'association croissante de Bill Gates avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, aurait pu constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates bien avant l'arrestation d'Epstein en 2019.

2013 a également été l’année où les Maxwell se sont impliqués auprès de la Fondation Clinton. Cette année, le projet TerraMar de Ghislaine Maxwell, qui soutient officiellement les objectifs de développement durable des Nations Unies liés aux océans de la planète, a donné 1,25 million de dollars à la Clinton Global Initiative pour former une alliance pour les océans durables. TerraMar a été fermée peu de temps après l'arrestation d'Epstein en 2019.

 

Isabel Maxwell et Al Seckel à la réunion annuelle du Forum économique mondial 2011

 

Le projet TerraMar de Ghislaine était à bien des égards le successeur de l'échec de la Blue World Alliance d'Isabel Maxwell, qui était également censée s'intéresser aux océans du monde. La Blue World Alliance a été fondée par Isabel et son mari, aujourd'hui décédé, Al Seckel, qui avaient organisé une « conférence scientifique » sur l'île d'Epstein. La Blue World Alliance opérait également sous le nom de Globalsolver Foundation, et Xavier Malina, le fils de Christine Maxwell, figurait sur la liste des agents de liaison de Globalsolver auprès de la Fondation Clinton. (Voir Twitter ) Il était auparavant stagiaire à la Clinton Global Initiative.

Malina a ensuite travaillé dans l'administration Obama au bureau du personnel de la Maison Blanche. Maintenant, il travaille pour Google. Il convient également de noter que le fils d'Isabel Maxwell, Alexander Djerassi, était chef de cabinet au Bureau des affaires du Proche-Orient du département d'État dirigé par Hillary Clinton au cours de la même période.

Science Gates et science Epstein

Alors que la Fondation Gates et la Fondation Clinton étaient étroitement liées et que cette dernière avait des liens avec Epstein et Maxwell, Epstein semble également avoir eu une influence significative sur deux des conseillers scientifiques les plus éminents de Bill Gates au cours des quinze dernières années : Melanie Walker et Boris Nikolic. .

Melanie Walker, aujourd'hui neurochirurgienne célèbre, a rencontré Jeffrey Epstein en 1992, peu après avoir obtenu son diplôme universitaire, lorsqu'il lui a proposé un poste de mannequin chez Victoria's Secret. De telles offres étaient fréquemment faites par Epstein et ses complices lors du recrutement de femmes pour son entreprise, et il n'est pas clair si Walker a réellement travaillé comme mannequin pour l'entreprise appartenant à Leslie Wexner. Lors de ses visites à New York, elle a séjourné dans un immeuble new-yorkais lié aux opérations de traite d'êtres humains d'Epstein, mais on ne sait pas combien de temps elle y a vécu ou dans d'autres propriétés appartenant à Epstein. Après avoir obtenu son diplôme de médecine en 1998, elle est devenue conseillère scientifique d'Epstein pendant au moins un an. En 1999, elle était devenue si proche du prince Andrew qu'elle a assisté à une fête d'anniversaire au château de Windsor organisée par la reine avec Epstein et Ghislaine Maxwell. (Voir The Sun ) Pendant ce temps, Melanie apparaît dans les journaux de vol d'Epstein sous son nom de naissance Melanie Starnes, bien qu'il ressemble à « Starves » dans les journaux de vol. (Voir le livre noir d'Epstein )

La relation étroite entre le prince Andrew et Melanie Walker a été critiquée après que l'ancienne femme de ménage d'Epstein au Zorro Ranch, Deidre Stratton, a déclaré dans une interview que le prince Andrew avait rencontré une "belle jeune neurochirurgienne" pendant son séjour dans la propriété d'Epstein au Nouveau-Mexique. . (Voir Daily Beast ) Étant donné qu'il n'y avait qu'une seule femme neurochirurgienne qui était à la fois proche du prince Andrew et membre de l'entourage d'Epstein, il est très probable que la femme qui a été « offerte » à Andrew concernait Melanie Walker. Selon Stratton, Andrew « sortait » avec cette femme pendant trois jours. L'accord a été conclu par Epstein, qui n'était pas sur place à ce moment-là. La date exacte du séjour est incertaine, mais il a probablement eu lieu entre 1999 et 2001.

Stratton a commenté le séjour comme suit :

 

« À l'époque, Jeffrey avait cette femme qui était censée être neurochirurgienne, assez jeune, belle et brillante, et elle vivait chez lui... À un moment donné, nous avions tous ces différents types de thé et vous pouviez choisir les types de thé. le thé que tu voulais et elle m'a demandé d'en trouver un qui rendrait Andrew encore plus excité.

Je suppose qu'elle a compris que c'était son travail de le divertir, parce que je suppose que la peur, je ne sais pas, la peur était qu'Andrew dise : "Non, je ne la trouvais pas vraiment si attirante." . . Il le dirait à Jeffrey et elle serait alors dans les cordes.

Je suppose qu'une autre théorie est que Jeffrey l'a probablement embauchée et qu'elle savait quel serait, devrait être son travail pour rendre ces gens heureux. . . . Le sexe était la seule chose à laquelle ils pensaient. Je veux dire, je sais pertinemment que, idéalement, Jeffrey aurait reçu trois massages par jour.

 

Quelque temps plus tard, Walker a déménagé à Seattle et a commencé à vivre avec Steven Sinofsky, alors dirigeant de Microsoft, aujourd'hui associé au conseil d'administration de la société de capital-risque Andreesen Horowitz . Andreesen Horowitz soutient principalement Carbyne911, la start-up liée au renseignement israélien et financée par Epstein et son proche associé, l'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak, ainsi qu'une autre société technologique israélienne appelée Toka dirigée par Barak. (Voir PitchBook ) Toka a récemment signé des contrats avec les gouvernements de Moldavie, du Nigeria et du Ghana par l'intermédiaire de la Banque mondiale, dont Melanie Walker est actuellement directrice et ancienne conseillère spéciale du président. (Voir WEF ) On ne sait pas exactement quand, comment et dans quelles circonstances Walker a rencontré Sinofsky.

Après avoir déménagé à Seattle pour travailler avec Sinofsky et un bref passage en tant que « praticien du tiers monde » en Chine à l'Organisation mondiale de la santé, Walker a été embauché par la Fondation Bill et Melinda Gates en 2006 en tant que responsable de programme principal. Considérant que la principale caractéristique du curriculum vitae de Walker à l'époque était qu'elle était conseillère scientifique auprès d'un autre riche « philanthrope », Jeffrey Epstein, son embauche par la Fondation Gates pour ce poste important souligne encore que Bill Gates, au moins, non seulement savait qui était Epstein, mais en savait aussi suffisamment sur ses intérêts scientifiques et ses investissements pour vouloir embaucher Walker. Walker est ensuite devenu directeur adjoint du développement mondial et directeur adjoint des initiatives spéciales à la fondation. Selon la Fondation Rockefeller , dont elle est membre, Walker a ensuite conseillé Gates sur la neurotechnologie et la recherche sur le cerveau pour la société secrète bgC3 de Gates, que Gates avait initialement enregistrée comme groupe de réflexion sous le nom de Carillon Holdings. (Voir 15 captures et Business Insider ) Selon des documents fédéraux, l'objectif du bgC3 était « les services scientifiques et technologiques », « l'analyse et la recherche industrielles » et « la conception et le développement de matériel informatique et de logiciels ».

Pendant son séjour à la Fondation Gates, Walker a présenté Boris Nikolic, le conseiller scientifique de Gates, à Epstein. Aujourd'hui, Melanie Walker est coprésidente du Global Future Council on Neurotechnology and Brain Science du Forum économique mondial, après avoir été nommée jeune leader mondial du WEF. Elle conseille également l'Organisation mondiale de la santé, étroitement liée à la « philanthropie » de Bill Gates.

Au WEF en 2016, Walker a écrit un article intitulé « Healthcare in 2030: Goodbye Hospital, Hello Home-spital », dans lequel elle explique comment les appareils portables, les interfaces cerveau-machine et les « médicaments » robotiques injectables/avalables d'ici 2030 seront norme. Des années avant le COVID-19 et les efforts inspirés par la Grande Réinitialisation pour transformer les soins de santé de cette manière, Walker a écrit que même si le scénario dystopique qu'elle a peint « semble fou... la plupart de ces technologies sont soit presque prêtes pour le marché, soit en train de le devenir. en cours de publication." Développement". Bien entendu, nombre de ces technologies ont vu le jour grâce au patronage de leurs anciens patrons, Jeffrey Epstein et Bill Gates.

Dans le cas de Boris Nikolic, après avoir été présenté à Epstein par Walker, il a assisté à une réunion avec Gates et Epstein en 2011, aux côtés de James Staley, alors cadre chez JP Morgan, et de Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et proche collaborateur d'Epstein. , a été photographié. (Voir Newsweek ) Nikolic était à l'époque le principal conseiller scientifique et technologique de Bill Gates et conseillait à la fois la Fondation Gates et bgC3. (Voir MedCity News ) Selon le récit populaire, c'était la première fois que Gates et Epstein se rencontraient. De plus, c’est peut-être à ce moment-là qu’Epstein a dévoilé la Fondation Gates et le Global Health Charitable Fund conjoint de JP Morgan.

 

La réunion de 2011 au manoir de Jeffrey Epstein à Manhattan, en présence de James E. Staley, Larry Summers, Jeffery Epstein, Bill Gates et Boris Nikolic.

 

En 2014, Nikolic a exprimé son « sentiment d'enthousiasme » concernant le prétendu penchant d'Epstein pour les conseils financiers avant l'introduction en bourse d'une société d'édition de gènes dans laquelle Nikolic a pris une participation de 42 millions de dollars. (Voir New York Post ) Notamment, Nikolic et Epstein étaient tous deux clients du même groupe de banquiers chez JP Morgan, Bloomberg rapportant plus tard qu'Epstein aidait régulièrement ces banquiers à attirer de nouveaux clients fortunés.

En 2016, Nikolic a cofondé Biomatics Capital , qui investit dans des entreprises liées aux soins de santé à la « convergence de la génomique et des données numériques » qui « permettent le développement des meilleurs modèles thérapeutiques, diagnostiques et de prestation ». Nikolic a fondé Biomatics avec Julie Sunderland, ancienne directrice du Fonds d'investissement stratégique de la Fondation Gates.

Au moins trois des sociétés soutenues par Biomatics – Qihan Biotech , eGenesis et Editas – ont été cofondées par George Church, un généticien de Harvard ayant des liens étroits avec Epstein et également étroitement lié à la Fondation Edge. L'investissement de Biomatics dans Qihan Biotech n'est plus répertorié sur le site Web de Biomatics. Qihan Biotech de Church vise à produire des tissus et des organes humains chez des porcs pour les transplanter chez des humains, tandis qu'eGenesis tente de modifier génétiquement des organes de porcs pour les utiliser chez les humains. Editas fabrique des « médicaments » d’édition génétique CRISPR et est également soutenu par la Fondation Gates et Google Ventures.

Church a été accusé de promouvoir l'eugénisme et l'expérimentation humaine contraire à l'éthique. (Voir Daily Beast ) Le grand intérêt d'Epstein pour l'eugénisme a été rendu public après sa mort, et Bill Gates et son père William H. Gates II ont également été associés aux mouvements et aux idées eugéniques. (Voir The Guardian et The Corbett Report )

Après la mort d'Epstein en 2019, il a été révélé que Nikolic avait été nommé « exécuteur successeur » de la succession d'Epstein, suggérant des liens étroits avec Epstein malgré les affirmations contraires de Nikolic. Après que les détails du testament d'Epstein aient été rendus publics, Nikolic n'a pas signé de formulaire indiquant sa volonté de servir d'exécuteur testamentaire et n'a finalement pas exercé cette fonction. (Voir le New York Post )

 

La dissimulation d’Epstein continue

Malgré le changement relativement brutal dans les médias grand public concernant ce qui peut être discuté en relation avec la relation entre Jeffrey Epstein et Bill Gates, nombre de ces médias refusent de reconnaître une grande partie des informations contenues dans ce rapport d'enquête. Cela est particulièrement vrai de l' article de l'Evening Standard et de l'étrange relation de Bill Gates avec Isabel, la sœur de Ghislaine Maxwell, et de CommTouch, la société qu'Isabel dirigeait.

La raison probable de la dissimulation continue de l'étendue réelle des liens d'Epstein avec Gates a bien plus à voir avec la société Microsoft de Gates qu'avec Bill Gates lui-même. les informations qui pourraient relier sa relation avec Epstein et les Maxwell à Microsoft ont été supprimées.

Si, comme le rapporte l'Evening Standard , Epstein gagnait des millions grâce à ses relations commerciales avec Gates avant 2001, et si les liens de Gates avec Isabel Maxwell et la société d'espionnage israélienne CommTouch devenaient de notoriété publique, cela pourrait facilement conduire à un scandale impliquant l'affaire du logiciel PROMIS. est comparable. Une telle révélation pourrait être très préjudiciable pour Microsoft et son partenaire, le Forum économique mondial, dans la mesure où Microsoft est devenu un acteur majeur dans les initiatives de la quatrième révolution industrielle du WEF, allant de l'identité numérique et des passeports vaccinaux aux efforts visant à donner aux travailleurs humains les moyens de remplacer l'intelligence artificielle. .

Il existe clairement des acteurs puissants qui ont tout intérêt à ce que l'histoire d'Epstein-Gates se concentre sur 2011 et les années ultérieures - pas nécessairement pour protéger Gates, mais plutôt pour protéger l'entreprise elle-même et d'autres hauts dirigeants de Microsoft, qui semblent avoir été compromis par Epstein. et d'autres membres du même réseau de renseignement.

Il ne s’agit pas d’un incident isolé, car des efforts similaires ont été déployés pour dissimuler (ou obscurcir) les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux de Jeff Bezos et d’Elon Musk. Une raison importante à cela est que l'opération d'extorsion du réseau Epstein comprenait non seulement du chantage sexuel, mais aussi des formes de chantage électronique, qui ont été utilisées avec beaucoup de succès par Robert Maxwell dans le cadre de l'opération PROMIS pour le compte des renseignements israéliens. Les formes électroniques de chantage par le biais de surveillance illégale ou de logiciels de porte dérobée peuvent être utilisées pour compromettre ceux au pouvoir qui ont quelque chose à cacher mais ne sont pas disposés à se livrer à l’exploitation de mineurs comme ceux maltraités par Epstein.

Le fait qu'Isabel et Christine Maxwell aient pu nouer des liens commerciaux étroits avec Microsoft après avoir fait partie de la société écran qui a joué un rôle central dans l'espionnage lié à PROMIS et après avoir explicitement créé leurs sociétés ultérieures avec l'intention avouée de « restaurer » " Le travail et l'héritage de son père espion suggèrent fortement la probabilité qu'au moins certains produits Microsoft aient été compromis d'une manière ou d'une autre, probablement par le biais d'alliances avec des entreprises technologiques dirigées par Maxwell. Le fait que les grands médias ne se soucient pas des liens documentés du réseau Epstein avec d'autres hauts dirigeants de Microsoft du passé, tels que Nathan Myhrvold, Linda Stone et Steven Sinofsky, montre clairement que la relation entre Bill Gates et Epstein, bien qu'elle soit C’est évident, cela ne s’applique pas à Microsoft et Epstein.

Les liens d'Epstein et des Maxwell avec la Silicon Valley, et pas seulement avec Microsoft, font partie d'une tentative plus large visant à occulter la forte composante de renseignement dans la création des entreprises les plus puissantes de la Silicon Valley. De gros efforts ont été déployés pour donner l’impression au public que ces sociétés sont des entités purement privées, même si elles entretiennent depuis longtemps des liens étroits avec les services de renseignement et l’armée des États-Unis et d’Israël. (Voir Unlimited Hangout et MintPress ) La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera jamais entendue dans les médias grand public, car de nombreux médias appartiennent aux mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour leur lectorat en ligne.

La raison la plus importante pour laquelle les origines de l'agence militaire/de renseignement et ses liens avec l'oligarchie actuelle de la Silicon Valley ne sont jamais honnêtement examinées est peut-être que ces mêmes entités travaillent désormais à une vitesse vertigineuse pour inaugurer la quatrième révolution industrielle qui rendrait l'intelligence artificielle, l’automatisation, la surveillance électronique de masse et le transhumanisme au cœur de la société humaine. L’un des architectes de cette « révolution », Klaus Schwab, a déclaré plus tôt cette année que restaurer et maintenir la confiance du public était essentiel à ce projet. Cependant, si la véritable nature de la Silicon Valley, y compris ses liens importants avec le violeur d'enfants en série et le trafiquant sexuel Jeffery Epstein et son réseau, devait être révélée, la confiance du public serait considérablement ébranlée, menaçant ce que l'oligarchie mondiale considère comme un projet vital. .

 

Source : L'Exposé

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