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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 18:31

 

On sait bien qu’au printemps 2017, la magistrature a mis en œuvre une opération judiciaire destinée à disqualifier politiquement le candidat de droite pourtant favori du scrutin présidentiel. Dernière partie de l’opération concoctée par la haute fonction publique et soutenue par l’oligarchie, elle a produit le résultat souhaité par ses instigateurs l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée. Lorsque l’on dit « la magistrature » c’est parce que si la procédure elle-même fut menée par une poignée de magistrats, ceux-là furent soutenus par la plus haute hiérarchie du corps et les organisations syndicales majoritaires. Ce soutien qui ne s’est jamais démenti à Emmanuel Macron, s’est caractérisé depuis six ans par un refus obstiné de s’attaquer aux locataires de l’Élysée et à son système. Dernier épisode en date, celui de l’aveu des protagonistes de la campagne présidentielle 2017 reconnaissant l’existence de fraudes. Celles-ci sont un serpent de mer qui vient de refaire surface. Cette fois-ci, c’est Radio France qui s’y colle et qui rapporte le témoignage de cadres de McKinsey qui décrivent explicitement : « des prestations qui auraient dû être facturées et déclarées dans les comptes du candidat Macron ». C’est à la fois un serpent de mer, mais aussi un secret de polichinelle. Quiconque s’est penché un peu sérieusement sur le déroulement de la campagne et sur les méthodes utilisées par l’équipe Macron sait à quoi s’en tenir. L’autre caractéristique est le refus obstiné de la justice de mettre son nez dans ce qui aurait dû aboutir dès ce moment-là à des poursuites pénales et à l’invalidation des comptes de campagne du candidat Macron. La justice française reste pourtant obstinément muette devant cette reconnaissance qui aurait dû justifier l’ouverture immédiate d’une information judiciaire, compte tenu du nombre d’infractions pénales qu’elle implique.

J’ai expliqué longuement tout cela dans mon livre  » Une justice politique « , j’y renvoie.

La République a depuis le début un gros problème avec cet inconnu, porté à sa tête par une opération politique, médiatique et financière et entretenant parfois des rapports distants avec la simple légalité républicaine. Malgré sa réélection en avril 2022, Emmanuel Macron est perçu – plus ou moins massivement en fonction des crises – comme illégitime à occuper son poste.

Toutes les études d’opinion font état du rejet dont il est l’objet dans la population, et ce au-delà des politiques mises en œuvre. Avec l’aura de corruption qui l’entoure, sa nullité politique, ses traits de caractère insupportables et son arrogance personnelle, ses interventions (quelles qu’elles soient) sont immédiatement disqualifiées avec une rage surprenante. La crise de la réforme des retraites démontre d’évidence qu’au-delà du texte lui-même, c’est sa personnalité, son régime et son mode de gouvernance qui sont rejetés. Et l’on voit bien qu’Emmanuel Macron ne conçoit pas de gouverner sans le recours à une répression féroce, mise en œuvre avec l’appui de sa justice, de sa police et des lois liberticides que l’Assemblée nationale, dans sa version godillot/majorité absolue de la précédente mandature, avait adoptées en cadence.

Comment Emmanuel Macron est-il arrivé au pouvoir ?

L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron à la mandature suprême de la Ve République est le fruit d’une assez extraordinaire manipulation. Une manipulation qui a bénéficié de circonstances et d’un alignement des astres qui ne sont pas près de se reproduire. Une des causes profondes de ce « hold-up » trouve ses racines en mai 2005, avec le référendum qui rejetait le traité constitutionnel européen. C’était un véritable défi lancé au bloc élitaire qui, dans toutes ses composantes, s’était mobilisé pour le oui.

On sait ce qu’il en a été du respect de la souveraineté populaire ; personne n’aura oublié la forfaiture de mars 2008, lorsque François Hollande apporta à Nicolas Sarkozy les voix du Parti socialiste au Congrès, voix sans lesquelles le forfait démocratique de la ratification du traité de Lisbonne n’aurait pas été possible. Le rejet de la classe politique par les citoyens s’en trouva renforcé, mais les Français jugèrent quand même bon (!), pour chasser un Sarkozy détesté, d’élire à la présidence en 2012, le principal artisan de la trahison. On sait ce qu’il advint du mandat lamentable de François Hollande, au bout duquel comme nous le dit Emmanuel Todd : « François Hollande n’a même pas pu se présenter à l’élection de 2017. Il a été comme vomi par le pays »

Compte tenu du score du Front National aux élections européennes de 2014, il fut dès lors évident que Marine Le Pen figurerait au deuxième tour de l’élection présidentielle 2017, son concurrent ayant alors toutes les chances de devenir président. La haute fonction publique d’État choisit alors l’un de ses représentants pour être ce candidat et qui proposé aux grands intérêts et oligarques français fût adoubé. Le 23 avril, Emmanuel Macron, avec 16 % des électeurs inscrits, se retrouva qualifié pour le deuxième tour, où, présenté comme un rempart contre un fascisme fantasmé, il l’emporta facilement. La mise en orbite de ce satellite radicalement inconnu jusqu’alors n’aurait pas pu se faire sans l’opération judiciaire lancée au beau milieu de la campagne électorale contre le candidat de la droite François Fillon, que tout le monde donnait jusqu’alors comme futur président.

Et il n’est pas excessif de considérer que pour imposer Emmanuel Macron à la présidence de la République, une conjonction d’intérêts a bien organisé une forme de coup d’État. L’objection selon laquelle cette qualification ne pourrait être retenue parce que son élection serait extérieurement et formellement légale ne tient pas. Rappelons d’abord que, dans l’Histoire, il est des coups d’état incontestables mais qui ont respecté la légalité formelle, comme celui de Bonaparte le 18 brumaire par exemple. Et ensuite que si l’on décortique un peu les conditions dans lesquelles cette élection présidentielle de 2017 s’est déroulée, on peut en conclure qu’elle est complètement illégale. En rappelant qu’illégalité juridique ne signifie pas nullité. C’est-à-dire que si l’on peut constater qu’une élection s’est déroulée illégalement, seul le juge régulièrement saisi peut le prendre en compte et prononcer les annulations et les sanctions nécessaires. Or, non seulement aucune procédure n’a été diligentée, mais certaines des institutions de contrôle ont carrément refusé d’accomplir leur mission.

Une élection illégale ?

Pourquoi l’élection d’Emmanuel Macron serait-elle illégale ? Pour plusieurs raisons, que l’on n’exposera pas ici en détail, mais l’on rappelera tout de même qu’en France, il existe une réglementation stricte dans le Code électoral dont le respect impératif permet d’assurer la sincérité du scrutin. Ces règles concernent essentiellement le financement des campagnes et la communication en période électorale. Le financement de la campagne d’Emmanuel Macron a bénéficié de façon incontestable de financements plus que suspects, à commencer par l’utilisation des moyens de l’État et des collectivités locales au soutien du candidat, ce qui est radicalement prohibé. Il y a eu ensuite toute une série d’apports de particuliers qui, comme l’a relevé le député Olivier Marleix, ressemblaient à des rémunérations de service et à de la corruption. Et l’on sait depuis déjà longtemps le rôle joué par le cabinet McKinsey, aujourd’hui confirmé par des témoignages internes. Il y a eu aussi bien sûr dans le domaine de la communication une invraisemblable et massive propagande de la presse audiovisuelle et écrite entre les mains des oligarques français, provoquant un déséquilibre majeur dans le débat démocratique et altérant ainsi la sincérité du scrutin.

Ce qui relevait de la pure et simple promotion commerciale est non seulement interdit, mais les coûts que représentaient ce déferlement auraient dû être réintégrés dans le compte de campagne d’Emmanuel Macron. Ce qui aurait fait évidemment exploser le plafond. Dans n’importe quelle élection locale, la constatation de telles infractions vaudrait aller direct vers l’annulation, l’inéligibilité, voire les procédures pénales. Et bien sûr, avec l’affaire Fillon, l’instrumentalisation grossière de la justice à des fins qui n’étaient pas les siennes a décisivement contribué à l’altération de la sincérité du scrutin.

On me répondra que puisque c’est si clair, comment se fait-il qu’aucun contrôle n’ait pu jouer, que les autorités chargées de les opérer soient ainsi restées les bras croisés ? Tout simplement et clairement parce qu’elles ont complètement rallié la solution que représentait Emmanuel Macron. Les magistrats du pôle financier et les journalistes à la manœuvre pour disqualifier Fillon l’ont probablement plutôt fait pour écarter celui qui pour eux représentait l’horreur d’un candidat de droite catholique. Mais la conséquence de l’arrivée de Macron ne leur posait aucun problème. Quant aux autres, Conseil Constitutionnel et Conseil d’État, ce sont des amis du nouveau président. Pour la Commission nationale des comptes de campagne, d’une pudeur de violette durant toute la période, les méchantes langues ont relevé l’augmentation copieuse (57 % !) de la rémunération de son président dans les semaines qui ont suivi …

Ce qui est particulièrement grave, c’est que comme l’a démontré l’affaire Bygmalion, toutes ces infractions ont d’abord une dimension pénale. Six ans après, la justice est toujours soigneusement muette. Elles ont ensuite des conséquences financières puisque le compte de campagne d’Emmanuel Macron aurait dû être rejeté. Et dans ce cas, les 11 millions d’euros qu’il a perçus de l’État pour le remboursement des frais n’aurait pas dû être effectué. Ce qui est pourtant arrivé à Nicolas Sarkozy en 2012, et l’a contraint à lancer son fameux Sarkothon…

Comme nous l’avons vu, dans un système de démocratie représentative, la légitimité politique d’occuper un mandat et d’appliquer son programme nécessite que soient réunies deux conditions cumulatives. Tout d’abord une arrivée au pouvoir légale et régulière par un scrutin dont la « sincérité » ne peut être mise en doute. Et ensuite que cette arrivée bénéficie d’une reconnaissance sociale de la part des gouvernés.

Les violations avérées des textes qui régissent et organisent la sincérité du scrutin et le refus des autorités de contrôle de s’en saisir entachent la légalité de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017. Illégalité que le scrutin de 2022 ne « nettoie pas ».

On pourra nous chanter sur tous les tons les tautologies ineptes brandies sur les plateaux par les éditocrates et les faux politologues : « Emmanuel Macron est légitime parce qu’il est légitime ». On se heurtera au mur des faits : les Français pensent et ressentent aujourd’hui massivement Macron comme illégitime à cause de sa politique de ces comportements.

Mais aussi parce qu’il est arrivé au pouvoir au terme d’un processus que l’on sait irrégulier et illégal.

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 18:18

Doit-on s’inquiéter de la qualité de l’eau potable en France ?

eau-pure-potable | Econo-Ecolo

Selon un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) qui sera publié ce jeudi 6 avril 2023, et que Ouest-France a pu consulter, des traces importantes de résidus de chlorothalonil, un pesticide interdit dès 2019 en Europe et classé « cancérigène probable » depuis 2018 par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), ont été détectées dans l’eau du robinet partout dans l’Hexagone.

Le chlorothalonil est l’un des pesticides les plus répandus dans le monde. Il est principalement utilisé pour ses propriétés fongicides, sur les cultures de céréales, la vigne ou certains tubercules, comme les pommes de terre et betteraves sucrières. En France, en 2016, près de 1 710 tonnes de chlorothalonil ont été vendues aux professionnels.

[…]

Lire la suite sur Ouest-France

En savoir plus sur Le Monde

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 18:11
 

CHINE Vs TAÏWAN: Selon le ministère de la défense taïwanais, 71 avions et 6 bateaux de l’Armée populaire de libération se trouvent proches de l’île. 45 des 71 avions détectés ont franchi la ligne médiane entre la Chine continentale et l’île de Taïwan.

 

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« Un porte-avion Chinois munit de ses avions de chasse rôdaient autour de l’île…Certaines zones ne semblent plus être respectées ! La nervosité des militaires pourrait très vite dégénérer !!! »
 

La Chine a poursuivi sa grande démonstration de force visant Taïwan à la suite de la rencontre de la semaine dernière entre le président taïwanais Tsai Ing-wen et le président de la Chambre américaine Kevin McCarthy en Californie la semaine dernière.

L’armée de l’APL a déclaré qu’elle s’entraînait à « intimider » Taïwan pour son troisième jour de jeux de guerre, avec des rapports de lundi énumérant au moins 58 avions qui décollaient et atterrissaient à partir de l’île ainsi que neuf navires de guerre se dirigeant vers ses eaux territoriales.

Dimanche, au moins 70 avions chinois ont violé la zone d’identification de la défense aérienne de l’île et onze navires militaires l’ont encerclée. Cela comprenait des allés-venus par un groupe d’avions de combat J-15, ce qui est rare, voire sans précédent, pour cet avion chinois qui s’était trop avancé.

La chaîne de télévision publique « CCTV » a annoncé lundi que les exercices avaient « simulé des frappes de précision conjointes contre des cibles clés sur l’île de Taïwan et les eaux environnantes », ajoutant que les forces « continuaient de maintenir la situation d’encerclement étroit de l’île « .

En outre, des avions, des navires et des troupes ont été envoyés dans « les zones maritimes et l’espace aérien du détroit de Taiwan, au large des côtes nord et sud de l’île, et à l’est de l’île », selon un communiqué de l’armée de l’APL. Tout cela inclut la simulation de « blocus maritimes » et « d’assauts ciblés par embuscade contre des navires d’amarrage ennemis ».

« Les forces du commandement sont prêtes au combat à tout moment et détruiront résolument tout type de tentatives séparatistes ou d’ingérence étrangère » pour l’indépendance de Taiwan « , a ajouté le communiqué militaire cité dans le rapport de « CCTV ».

Une autre rareté des exercices était que tous ou la plupart des chasseurs chinois déployés étaient lancés à partir d’un porte-avion. Au cours des trois derniers jours d’exercices, des navires auraient franchi à plusieurs reprises la ligne médiane du détroit de Taiwan.

« Pour la première fois, la marine chinoise semble avoir simulé des frappes d’avions de guerre basés sur des porte-avions à Taïwan , alors que les exercices autour de l’île se terminaient le troisième jour », rapporte « CNN » à propos du porte-avions de la marine chinoise Shandong.

Alors que la rencontre de mercredi dernier entre la présidente Tsai et McCarthy était présentée par les alliés comme une manifestation de solidarité démocratique, Pékin avait mis en garde contre des « mesures résolues » lors du déploiement de son groupe de frappe de porte-avions au large des côtes de l’île autonome.

Source: zerohedge

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 18:03
 

Peter Schiff est apparu sur TraderTV pour parler de la faillite de la Silicon Valley Bank et de la Signature Bank, du plan de sauvetage et de ce qui pourrait nous arriver. Peter a souligné que cette crise bancaire est loin d’être terminée. En fait, ce n’est que le début d’une crise financière bien pire.

Peter a commencé l’interview en soulignant que la faillite de ces deux banques était le résultat très évident de la politique monétaire de la Fed combinée aux aléas moraux inhérents aux services bancaires assurés par le gouvernement.

La raison pour laquelle nous allons avoir autant de faillites, c’est que la Fed a maintenu des taux d’intérêt extrêmement bas depuis très longtemps. C’est ce qui a permis à la Silicon Valley Bank, à la Signature Bank et à presque toutes les autres banques de faire le plein de bons du Trésor américain et d’hypothèques qui sont hors de prix.

 

Peter a déclaré que Silicon Valley Bank n’était que le maillon faible d’une très longue chaîne. Ils ont été forcés de vendre certains de leurs actifs qui sont hors de prix à perte. Cela a créé une panique et une ruée bancaire des clients qui ont vidé les dépôts de ces banques.

[La banque] a été insolvable pendant un certain temps. Elle n’a tout simplement pas reconnu cela parce qu’elle n’avait pas à évaluer ses obligations au prix du marché. Mais c’est vrai pour toutes les autres banques. Personne ne prend en compte cet élément sur le marché. Tout le monde le met simplement dans au bilan « à conserver jusqu’à maturité » et ils n’ont pas à le prendre en compte à l’instant T, ils n’ont pas à le communiquer sur le marché. Ainsi, ils peuvent prétendre que 60 cents d’obligations valent un dollar. Mais s’ils devaient arrêter de faire semblant, comme si tout allait bien, les banques seraient toutes insolvables. 

Peter a expliqué qu’un dépôt bancaire est votre actif, mais c’est un passif pour la banque. Elle vous doit cet argent si vous le demandez.

S’ils prennent l’argent qu’ils vous doivent et qu’ils le gaspillent sur des titres adossés à des créances hypothécaires hors de prix, ils ne peuvent pas vous rembourser.

Bien sûr, dans le système bancaire américain, le gouvernement intervient et couvre au moins une partie de vos pertes. Et dans le cas de la Silicon Valley Bank et de la Signature Bank, il a couvert 100 % de la perte. En effet, l’assurance de la FDIC ne s’arrête plus à 250 000 $, elle prend tous les montants en dépôt en garanti .

Eh bien, le gouvernement américain n’a pas d’argent. Où le gouvernement américain obtient-il l’argent ? De la Fed. La Fed ne fait rien d’autre que de’ tout simplement imprimer de l’argent qui sort de nulle part. C’est là que la FDIC obtient l’argent, c’est pourquoi tout le monde sera perdant au final.

Les experts de plateaux, les banquiers centraux et les politiciens affirment tous que le système bancaire est solide. « Vous n’avez pas à vous inquiéter de votre argent », disent-ils. Peter a dit que tu ferais mieux de t’inquiéter encore plus pour ton argent.

La seule façon pour le gouvernement de s’assurer que votre banque ne fasse pas faillite est de détruire la valeur de l’argent que vous avez en dépôt. C’est l’inflation qui va anéantir la valeur de l’épargne de tout le monde.

Dans une autre interview récente, Peter avait déclaré qu’il s’agissait de la suite de 2008 et que, comme tout ce qui arrivera, ce serait pire encore. Dans cette interview, Peter a noté que personne ne veut appeler cela une crise financière. Ils veulent appeler cela une crise bancaire. Pourquoi ?

Ils ne veulent évoquer aucun souvenir de la crise financière de 2008. Ils ne faire aucune comparaison avec cette crise. Donc, ils essaient de lui donner un nom différent. Non ! C’est une crise financière. La crise financière de 2008 a aussi été une crise bancaire. À moins que les gens ne l’aient oublié, ce sont les banques qui ont fait faillite. Oui, elles faisaient faillite à cause de mauvaises hypothèques au sein de leurs bilans. Mais c’était la dette qui ne valait plus rien. Et c’est donc ce qui se passe maintenant. Les banques font faillite à cause de créances irrécouvrables.

Peter a dit que ce n’était que le début de la crise.

Ça va devenir bien, bien pire. »

Peter nous a rappelé que dans les jours qui avaient précédé la crise financière de 2008, tout le monde avait insisté sur le fait que les problèmes étaient « confinés » aux prêts hypothécaires à risque et qu’il n’y avait rien à craindre.

C’est exactement ce qu’ils disent maintenant. ‘Ce n’est rien. Ce n’est pas grand chose.’ C’est un gros problème. Ce n’est pas rien. »

Peter a expliqué que ce n’était pas un événement de type cygne noir.

Les problèmes sont partout désormais. Et c’est assez simple à comprendre. Si vous maintenez les taux d’intérêt à zéro pendant 10 ans, vous obtenez d’innombrables problème. Tout ce qui se passe là actuellement n’est pas une surprise.

Source: schiffgold

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 17:57
WARNING PRETS IMMOBILIERS : « Effondrement du siècle des prêts immobiliers…Il s’agit d’une baisse de 40 % ! La situation explosive des faillites bancaires rappelle celle de mars 2007…Mais les conséquences vont être bien PIRES !!! »
 

Ceux qui ont culminé sous la surface de la dernière déclaration H.8 qui, comme indiqué précédemment, a enregistré la plus forte baisse jamais enregistrée des prêts et baux bancaires au cours des deux dernières semaines de mars…

… a trouvé une autre surprise, peut-être encore plus grande. Comme nous l’avons détaillé au cours du week-end lors de la ventilation de la variation hebdomadaire des petits prêts bancaires et des baux par leurs sous-composantes, nous avons constaté que, alors que dans la première semaine après la crise bancaire (celle qui s’est terminée le 15 mars), l’essentiel de l’effondrement des prêts était en l’espace C&I traditionnellement volatil, la dernière semaine a été une vraie surprise : c’est parce que si la chute des prêts C&I s’est considérablement modérée à seulement 6,9 milliards de dollars contre 25 milliards de dollars la semaine précédente, la plus grande baisse a concerné l’un des piliers d’ancrage du secteur des petites banques : prêts immobiliers.

En fait, alors que la plus forte baisse parmi les petits prêts bancaires au cours de la dernière semaine a été la baisse de 18,7 milliards de dollars des prêts immobiliers, il s’agissait d’une continuation de la baisse de 19,2 milliards de dollars de la semaine précédente. La combinaison des deux semaines s’ajoute à une chute de 37,8 milliards de dollars des prêts immobiliers au cours de la seconde moitié de mars. Ce nombre est remarquable car il est le plus important depuis l’effondrement du deuxième prêteur subprime du pays, « New Century Financial » en mars 2007, qui, comme la plupart des commerçants de plus de 40 ans s’en souviennent, a été le catalyseur qui a inauguré la crise financière mondiale, et dans l’année a conduit à l’effondrement de « Bear Stearns » et, finalement, de « Lehman ».

Bien sûr, depuis un mois, nous avertissons que l’immobilier, et en particulier l’immobilier commercial, est la bombe à retardement de la solvabilité au sein des grandes et des petites banques, maintenant que la crise de liquidité qui a écrasé plusieurs « petites » banques a été contenue grâce à près de un demi-milliard de dollars d’injections de réserves par la Fed. Et bien que nous ayons déjà longuement discuté du mur de maturité de plusieurs milliards de CRE à venir, (voir  » Le nouveau  » Big Short  » atteint un niveau record alors que l’accent se tourne vers un mur de maturité de la dette CRE de 400 milliards de dollars « )…

… de plus en plus semblent également commencer à le remarquer et, ce qui est beaucoup plus inquiétant, retirent une page du livre de jeu de l’appel de marge et vendent tranquillement leur exposition aux prêts immobiliers : ou pour citer Kevin Spacey, « c’est ce que ressemble au début d’une braderie. »

Certes, nous ne sommes plus les seuls à nous concentrer sur le potentiel de la CRE comme catalyseur du prochain krach boursier. Comme « Bloomberg » l’a écrit ce week-end, « près de 1,5 milliard de dollars de dettes immobilières commerciales américaines doivent être remboursées avant la fin de 2025. La grande question à laquelle sont confrontés ces emprunteurs est de savoir qui va leur prêter ? »

« Bloomberg » cite une récente note incontournable de « Morgan Stanley » intitulée « Scaling Maturity Walls » (disponible pour les sous-marins professionnels à l’endroit habituel ) dans laquelle les stratèges de crédit de la banque écrivent que « les risques de refinancement sont au premier plan » pour les propriétaires de propriétés d’immeubles de bureaux aux magasins et aux entrepôts, ajoutant que « le mur de la maturité ici est à chargement frontal. Il en va de même pour les risques associés.
En regardant les graphiques ci-dessous, James Egan de Morgan Stanley écrit qu' »environ 400 à 450 milliards de dollars de prêts CRE devraient arriver à échéance en 2023. Cela correspond à 2022, et ces deux années sont les plus importantes jamais enregistrées (Figure 12). À partir de là, ce n’est pas plus facile, car les échéances grimpent chaque année jusqu’en 2027, atteignant plus de 550 milliards de dollars. » Et  » alors que les murs de maturité au sein d’autres classes d’actifs ne sont peut-être pas très chargés, le problème dans l’immobilier commercial se produit en ce moment. »

Alors que ces échéances arrivent à échéance, Egan prévient qu’il lui reste beaucoup plus de questions que de réponses, « la principale d’entre elles : qui sera responsable du refinancement de ces prêts à mesure qu’ils arrivent à échéance ? Cette histoire diffère selon le type de propriété. L’espace multifamilial est devenu très dépendant des GSE au fil des ans. De 2023 à 2027, 46 % des échéances sont actuellement garanties par les GSE. Pour rappel, dans l’espace GSE, les emprunteurs demanderont un prêt aux prêteurs, et si la propriété répond aux critères d’éligibilité à la garantie de l’agence, alors le prêteur devrait généralement se sentir à l’aise que le prêt sera garanti par l’agence lors de la cotation d’un blocage de taux. Les agences inspecteront la propriété à différents moments en fonction du programme exact, mais étant donné que la majorité des propriétés multifamiliales garanties par l’agence sont détenues par des emprunteurs possédant plusieurs propriétés, il y a une incitation à continuer à travailler avec les agences. »

Mais le vrai coup de poing est qu’à mesure que ces échéances augmentent, le plus grand prêteur du paysage de l’immobilier commercial est celui qui est actuellement le plus surveillé : les banques régionales, ce dont nous avons mis en garde depuis des mois. Comme le note « Morgan Stanley » dans le graphique suivant, dans les années qui ont suivi la GFC, les volumes d’origination et la part de ce volume ont varié, mais depuis 2014, la tendance s’est clairement éloignée des CMBS au profit des banques régionales.

Pendant ce temps, comme nous en avons discuté précédemment, la hausse des taux et les inquiétudes concernant les défauts de paiement ont déjà nui aux transactions CMBS. Les ventes de titres sans le soutien du gouvernement ont chuté d’environ 80 % au premier trimestre par rapport à l’année précédente, selon les calculs de « Bloomberg ».
« Le rôle que les banques ont joué dans cet écosystème, non seulement en tant que prêteurs mais aussi en tant qu’acheteurs », aggravera la vague de refinancement qui arrivent à échéance, ont écrit les analystes.

Malheureusement, lorsque les immeubles d’appartements sont exclus, l’ampleur des problèmes auxquels sont confrontées les banques devient encore plus criante. Selon le rapport de « Morgan Stanley », jusqu’à 70 % des autres prêts immobiliers commerciaux arrivant à échéance au cours des cinq prochaines années, sont détenus par des banques.

« L’immobilier commercial doit être réévalué et d’autres moyens de refinancer la dette sont nécessaires », ont déclaré les analystes.

Pour être sûr, tout n’est pas sombre et négatif, et comme le note « Bloomberg », il y a quelques bonnes nouvelles. Les normes de prêt conservatrices à la suite de la crise financière offrent aux emprunteurs, et à leur tour à leurs prêteurs, une certaine protection contre la baisse des valeurs. De plus, le sentiment envers le logement multifamilial reste également beaucoup plus positif alors que les loyers continuent d’augmenter, l’une des raisons pour lesquelles « Blackstone Real Estate Income Trust » a enregistré un rendement positif en février, alors même qu’un nombre croissant d’investisseurs déposent des demandes de retrait. La disponibilité de prêts garantis par des agences aidera les propriétaires de ces propriétés lorsqu’ils auront besoin de refinancer.

Hélas, les banques régionales subissant actuellement un arrêt cardiaque et il est peu probable qu’elles redémarrent leur activité de prêt tant que la fuite des dépôts se poursuivra – ce qui, comme indiqué la semaine dernière, a légèrement ralenti mais reste un risque existentiel pour les banques régionales et qui ne sera probablement pas résolu aussi longtemps alors que la Fed refuse de réduire les taux et de supprimer la préférence des déposants de transférer des fonds des banques vers des marchés monétaires plus sûrs et à rendement plus élevé (voir  » JPM demande si la Fed restreindra l’utilisation des prises en pension inversées pour court-circuiter 1,5 billion de dollars Bank Run « )…

…. Il n’est pas nécessaire d’être sorcier pour réaliser que, tout comme en mars 2007, lorsque l’effondrement du « New Century » a finalement choqué tout le monde dans un état de prise de conscience brutale que la fête était finie, la situation est sur le point de s’aggraver.

Combien la situation actuelle est-elle pire ? Eh bien, selon « Morgan Stanley », les évaluations des immeubles de bureaux et de vente au détail pourraient chuter jusqu’à 40 % d’un sommet à l’autre, créant une boucle de rétroaction de liquidations, de faillites bancaires, de défauts de paiement et de là encore plus de liquidations :

Crédit titrisé aux États-Unis – CRE : 1 35 à 1 460 milliards de dollars (30 à 32 %) de la dette de la CRE arrivent à échéance d’ici l’année 2025 et les banques détiennent environ 42 à 56 % de la dette arrivant à échéance. L’attention récente sur le CRE américain est compréhensible car la classe d’actifs est confrontée à un mélange de risques :

• (1) Les murs de maturité sont alimentés à l’avant. Reconnaissant la variance des chiffres rapportés par différentes sources, nous estimons que près de 566 à 615 milliards de dollars (22 à 24 %) de l’encours de la dette CRE de base de 2 600 milliards de dollars (hors multifamilial) arrivent à échéance d’ici la fin de l’année 2024 et 275 à 340 milliards de dollars supplémentaires (11-13%) est due en 2025.
• (2) La dépendance vis-à-vis des banques est élevée – à la fois en tant que prêteurs directs de l’actif et en tant qu’acheteurs de CMBS d’agence et non-agence. Les banques détiennent 36 à 64 % de la dette venant à échéance chaque année et représentent près de la moitié des CMBS d’agence et 10 à 15 % de la base d’investisseurs CMBS hors agence.
• (3) Les préoccupations en matière de valorisation se sont accrues dans des secteurs spécifiques tels que les bureaux et le commerce de détail.
Nos fameuses actions s’attendent à une correction du pic au creux de 30 à 40 % dans les deux classes d’actifs.

Nous sommes heureux qu’un mois après avoir appelé CRE le « BIg Short 3.0″, l’une des banques américaines les plus importantes et les plus respectées soit d’accord.  »

Conclusion de « Morgan Stanley » :  » l’immobilier commercial doit être réévalué et d’autres moyens de refinancer la dette sont nécessaires. »

Et même si ce n’était peut-être pas l’intention de « Morgan Stanley », de crier à la « réévaluation » dans un théâtre en flammes peut être encore pire que de crier au feu : c’est le feu vert pour que tout le monde commence à vendre… ce que l’effondrement des prêts immobiliers suggère a très probablement déjà commencé.

Source: zerohedge

 

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LA CRISE BANCAIRE SE TRANSFORME EN CRISE DU CREDIT : « Lorsque les gens ont moins de crédit, ils dépensent moins…Attendez-vous à une AVALANCHE de FAILLITES ! Le vent tourne TROP vite…ATTENTION ça va faire très MAL !!! »
 

Cela va encore plus vite que beaucoup d’entre nous ne le pensaient. Pendant des semaines, j’ai averti mes lecteurs de la prochaine crise du crédit. Lorsque les banques ont des problèmes, elles commencent à être très limitées avec leur argent. Cela signifie qu’elles proposent moins de prêts hypothécaires, moins de prêts immobiliers commerciaux, moins de prêts automobiles et moins de cartes de crédit émises. Mais je pensais qu’il faudrait un certain temps pour que la crise du crédit passe à la vitesse supérieure. Malheureusement, je me suis trompé à ce sujet. En fait, il est rapporté qu’au cours des deux dernières semaines de mars, les prêts bancaires aux États-Unis « se sont contractés et ce, à un niveau encore jamais atteints« …

Les prêts bancaires aux États-Unis se sont contractés comme jamais cela n’a été enregistré au cours des deux dernières semaines de mars, indiquant un resserrement des conditions de crédit à la suite de plusieurs effondrements de banques de premier plan qui risquent de nuire à l’économie.

En d’autres termes, nous n’avons jamais vu les prêts bancaires se contracter aussi rapidement qu’au cours de la seconde quinzaine de mars.

Ouah.

Et il s’avère que les petites banques sont particulièrement tendues avec leur argent…

Les prêts des banques commerciales ont chuté de près de 105 milliards de dollars au cours des deux dernières semaines de mars, le plus selon les données de la Réserve fédérale et qui remontent à 1973. La baisse de plus de 45 milliards de dollars au cours de la dernière semaine était principalement due à une baisse des prêts des petites banques.

Le recul du total des prêts au cours de la dernière quinzaine de mars a été large et comprenait moins de prêts immobiliers, ainsi que des prêts commerciaux et industriels.

Comme je l’ai mentionné précédemment, les petites et moyennes banques fournissent la majeure partie des prêts immobiliers commerciaux dans ce pays.

Nous commençons déjà à voir les prix de l’immobilier commercial plonger, et maintenant « Morgan Stanley » prévient que la baisse que nous verrons finalement pourrait rivaliser avec « la baisse pendant la crise financière de 2008« …

Les investisseurs se sont davantage concentrés sur ce secteur, compte tenu de la part importante des banques régionales dans les prêts CRE. Cependant, avant même les turbulences du secteur bancaire, la CRE était confrontée à des risques liés à des tendances à long terme, le travail à distance menaçant le sous-secteur des bureaux.
De plus, le secteur est maintenant confronté à un énorme « mur de refinancement » : plus de la moitié des 2,9 billions de dollars de prêts hypothécaires commerciaux seront refinancés au cours des deux prochaines années. Même si les taux actuels restent inchangés, les nouveaux taux de prêt seront probablement supérieurs de 3,5 à 4,5 points de pourcentage à ceux de bon nombre des prêts hypothécaires existants de la CRE.

Les prix de l’immobilier commercial ont déjà baissé et les analystes de « Morgan Stanley » prévoient que les prix pourraient chuter jusqu’à 40 %, rivalisant avec la baisse de la crise financière de 2008. Ces types de défis peuvent nuire non seulement au secteur immobilier, mais également à l’ensemble des communautés d’affaires qui y sont liées.

Beaucoup de gens pensaient que j’exagérais lorsque j’affirmais que nous nous dirigeons vers la pire crise de l’immobilier commercial de notre histoire.

Mais je n’exagérais pas du tout.

Bien sûr, la crise du crédit que nous connaissons actuellement aura d’énormes répercussions sur l’ensemble de l’économie.

Lorsque les consommateurs ont accès à moins de crédit, ils dépensent moins d’argent.

Et lorsque les consommateurs dépensent moins d’argent, les entreprises génèrent moins de revenus et commencent à licencier des employés.

Et lorsque les employés sont licenciés, ils accusent du retard sur leurs dettes.

Et cela crée encore plus de stress pour les banques.

Cette nouvelle crise du crédit menace de devenir incontrôlable, mais les responsables de la Fed insistent sur le fait que tout va bien.

En fait, James Bullard semble convaincu que les taux d’intérêt devraient aller encore plus haut

« Le stress financier semble s’être atténué, du moins pour le moment », a déclaré Bullard aux journalistes jeudi après avoir pris la parole lors d’un événement à Little Rock, Arkansas. « Et c’est donc un bon moment pour continuer à lutter contre l’inflation et essayer de s’engager sur cette voie désinflationniste. »

Le chef de la Fed de Saint-Louis a déclaré qu’il ne pense pas que le resserrement des conditions de crédit résultant de la récente tourmente bancaire sera suffisamment important pour faire basculer l’économie américaine dans la récession, tout en insistant sur le fait que la demande de prêts est toujours forte.

La demande de prêts est peut-être forte, mais l’offre de crédit commence à se tarir très rapidement.

Pendant ce temps, les Américains continuent de retirer de l’argent des banques à un rythme effarant

Le rapport de vendredi a également montré que les dépôts des banques commerciales avaient chuté de 64,7 milliards de dollars au cours de la dernière semaine du mois de mars, marquant la 10e baisse consécutive qui reflétait principalement une baisse dans les grandes entreprises.

Chaque semaine, cela se produit systématiquement et je peux vous affirmer que cela va simplement amener les banques à se resserrer encore plus avec leur argent.

Et les économistes bancaires interrogés par l’American Bankers Association s’attendent à ce que les conditions de crédit continuent de se resserrer au cours des mois à venir…

• L’indice global de crédit a chuté au deuxième trimestre à 5,8, diminuant de 6,7 points à son point le plus bas depuis le début de la pandémie. La lecture indique des attentes générales pour des conditions de marché du crédit plus faibles au cours des six prochains mois parmi les économistes bancaires, et les banques sont susceptibles de devenir plus prudentes quant à l’octroi de crédit.
• L’indice du crédit à la consommation a reculé de 7,9 points à 5,8 au deuxième trimestre. Les membres de la CAE s’attendent à ce que la disponibilité du crédit se détériore davantage que la qualité du crédit, même si presque tous s’attendent à ce que les deux baissent. La lecture inférieure à 50 indique que les conditions de crédit à la consommation devraient s’affaiblir au cours des six prochains mois.
• L’indice de crédit aux entreprises a chuté de 5,6 points à 5,8 au deuxième trimestre. Tous les membres de l’EAC s’attendent à ce que la disponibilité du crédit aux entreprises se détériore au cours des six prochains mois, et la plupart s’attendent à ce que la qualité du crédit aux entreprises se détériore. La lecture inférieure à 50 indique que les membres de la CAE s’attendent à ce que les conditions générales de crédit pour les entreprises continuent de s’affaiblir au cours des deux prochains trimestres.

Regardez ces chiffres de plus près.

Tout chiffre inférieur à 50 est mauvais, et ces chiffres sont à un seul chiffre.

Depuis toutes ces années que j’écris des articles sur ces sujets épineux, je n’ai jamais rien vu de tel.

J’encourage donc tous mes lecteurs à se préparer à une avalanche économique massive.

Un resserrement majeur du crédit est déjà là, mais la plupart des Américains ne comprennent toujours pas que de graves difficultés économiques sont clairement à apparaître.

Source: theeconomiccollapseblog

 

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ALERTE – La Ruée Bancaire US se poursuit: depuis que la Fed a commencé à relever ses taux en mars 2022, les sorties totales de dépôts du secteur bancaire américain s’élèvent désormais à 967,5 milliards de dollars, soit près de 1 000 000 000 000$, la plus importante sortie jamais enregistrée. (via Apollon)

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 17:40
VOICI 11 BANQUES AMERICAINES QUI DETIENNENT DES DEPOTS NON ASSURES : « Il y a 7 000 milliards de dollars de dépôts bancaires qui ne sont pas assurés aux Etats-Unis…De plus en plus d’investisseurs retirent leurs dépôts pour les placer dans les grosses banques ! Cela ne pourra pas tenir encore longtemps !!! »
 

Aujourd’hui, il y a au moins 7 000 milliards de dollars de dépôts bancaires qui ne sont pas assurés en Amérique.

Cette valeur en dollars est environ trois fois celle de la capitalisation boursière d’Apple, soit environ 30 % du PIB américain. Les dépôts non assurés sont ceux qui dépassent la limite de 250 000 $ assurée par la « Federal Deposit Insurance Corporation » (FDIC), qui a en fait été augmentée de 100 000 $ après la crise financière mondiale. Ils représentent environ 40% de tous les dépôts bancaires.

À la suite des retombées de la « Silicon Valley Bank » (SVB), Dorothy Neufeld et Sabrina Lam de « Visual Capitalist » examinent les 30 banques américaines avec le pourcentage le plus élevé de dépôts non assurés, en utilisant les données de « S&P Global ».

Quelles banques ont le plus de dépôts non assurés ?

Au cours du mois dernier, « SVB » et « Signature Bank » ont fait faillite à une vitesse fulgurante.

Ci-dessous, nous montrons comment leur niveau de dépôts non assurés se compare à d’autres banques. L’ensemble de données comprend des banques américaines avec au moins 50 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2022.

La « Bank of New York » (BNY) « Mellon et State Street Bank » sont les banques actives avec les niveaux les plus élevés de dépôts non assurés. Ce sont les deux plus grandes banques dépositaires aux États-Unis, suivies de « JP Morgan ». Les banques dépositaires fournissent une infrastructure essentielle dans le système financier, détenant des actifs pour la garde des gestionnaires de placements et transférant des actifs, entre autres fonctions.

La « BNY Mellon » et « State Street » sont toutes deux considérées comme des banques « d’importance systémique ».

Là où ces banques diffèrent des « SVB », c’est que leurs prêts et titres détenus jusqu’à leur échéance en pourcentage du total des dépôts sont beaucoup plus faibles. Alors que ces prêts représentaient plus de 94% des dépôts de « SVB », ils représentaient respectivement 31% des dépôts de « BNY Mellon » et 40% des dépôts de « State Street Bank ».
Les titres détenus jusqu’à leur échéance présentent un risque plus élevé pour les banques. Bon nombre de ces avoirs ont perdu de la valeur depuis que les taux d’intérêt ont augmenté à un rythme soutenu. Cela présente des risques de taux d’intérêt pour les banques. Considérez un instant comment la valeur des bons du Trésor américain à long terme a diminué d’environ 30 % en 2022. De cette façon, si une banque vend ces actifs avant leur échéance, elle subit une forte perte.
Dans l’ensemble, 11 banques figurant sur cette liste ont des prêts et des actifs détenus jusqu’à leur échéance qui représentent plus de 90 % de la valeur totale de leurs dépôts.

Mesures de filet de sécurité

Pour éviter des ramifications plus larges, les régulateurs ont mis en place des actions d’urgence. Cela a été fait en protégeant tous les dépôts de « SVB » et de « Signature Bank » quelques jours après l’annonce de leur échec.
La Fed a également mis en place une facilité de prêt d’urgence pour les banques. Ce programme de financement à terme bancaire (BTFP) a été créé pour fournir un financement supplémentaire aux banques si les déposants retiraient leur argent. Il a également été mis en place pour protéger les banques du risque de taux d’intérêt.
Jusqu’à présent, plus de 50 milliards de dollars de prêts ont été retirés du BTFP, contre 11,9 milliards de dollars la première semaine. (La Réserve fédérale met à jour ces chiffres sur une base hebdomadaire.) Cela a conduit le bilan de la Fed à augmenter à nouveau après avoir lentement diminué avec l’introduction d’un resserrement quantitatif en 2022.
Entre le marteau et l’enclume

Qu’est-ce que cela signifie pour le système bancaire américain et quelles sont les implications pour les déposants et le système financier au sens large ?
D’une part, la Fed n’a peut-être pas eu d’autre choix que de sauver les banques.

« La façon dont le monde est, le gouvernement n’avait pas d’autre choix que de sauvegarder tous les dépôts. Ou nous aurions eu la plus grosse panique bancaire que vous ayez jamais vu.

Le plus gros problème est qu’il introduit de nouveaux risques dans le système. Si les acteurs du marché s’attendent à ce que la Fed vienne toujours à la rescousse, ils prendront probablement des décisions moins prudentes. Au-delà de cela, l’environnement de taux d’intérêt ultra bas a non seulement rendu les banques plus sensibles au risque de taux d’intérêt lorsque les taux ont augmenté, mais il a également réduit le coût de la prise de risque.

Maintenant, la Fed a déclaré qu’elle pourrait prendre les mesures nécessaires pour protéger les dépôts non assurés. Personne ne peut deviner à quelle vitesse les prêts BTFP augmenteront au cours des prochains mois, car les clients des petites banques retirent des fonds et les envoient dans de plus grandes banques ou investissent dans des fonds du marché monétaire.

Source: zerohedge

 

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ALERTE – La Ruée Bancaire US se poursuit: depuis que la Fed a commencé à relever ses taux en mars 2022, les sorties totales de dépôts du secteur bancaire américain s’élèvent désormais à 967,5 milliards de dollars, soit près de 1 000 000 000 000$, la plus importante sortie jamais enregistrée. (via Apollon)

 

 

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7 avril 2023 5 07 /04 /avril /2023 17:58
Photo de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN pour zerohedge
VENDREDI 07 AVRIL 2023 - 15 H 00

 

Biden était censé aider l'Europe ( et Davos ) en leur vendant le SPR alors que le prix baissait et fermant la Russie via des sanctions et le plafond de prix débile de Janet Yellen. Ils étaient censés contrôler les prix du pétrole de manière à pouvoir les conduire dans les $ 50 ou même les $ 40 pour briser Poutine et renflouer l'économie européenne.

Cela aurait écrasé l'inflation, stoppé les hausses de taux d'intérêt et étouffé les troubles autour du continent.

Au lieu de cela, l'OPEP + a fait exactement ce que vous attendez d'eux dans cette situation, annonce une baisse de la production et oblige les banques centrales des importateurs d'énergie à défendre leurs devises.

Le gars qui rit de son cul en ce moment est Jerome Powell.

Regardez les marchés ce matin et vous verrez ce que je vois — un commerce d'inflation massif.  Or à travers $ 2000, Argent en hausse, Pétrole en hausse, rendements obligataires en baisse, stocks en hausse.

Mais en même temps, ces signaux peuvent également être réinterprétés comme de l'argent ‘ pour se mettre à la terre ’ plutôt que d'être déchaîné en raison de la nouvelle croissance économique.

Quoi qu'il en soit, ces réactions du marché vous indiquent que l'inflation globale, pas seulement l'inflation sous-jacente, est susceptible de cesser de baisser ici à mesure que le pétrole s'inverse et que l'OPEP + le ramène vers $ 100/bbl.

Le pétrole n'a pas fini de monter ici.  

L'OPEP + protégera son résultat collectif et poussera les garçons fiat à leur limite.  

Je veux dire, si quelqu'un vous déclarait la guerre, lui vendriez-vous votre principale exportation et le carburant littéral pour cette guerre à un rabais majeur?  

Seulement si vous détestiez votre propre pays…

… mais assez sur Barack Obama.

Comme je l'ai discuté dans cette vidéo pour mes clients, L'Arabie saoudite fait de très grands pas pour modifier ses allégeances — loin de l'Occident et vers l'Alliance RIC ( Russie, Iran, Chine ). C'est le cœur de l'alliance BRIICSS beaucoup plus large — qui comprend désormais l'Inde et l'Arabie saoudite.

Ce sont des mouvements permanents, faisant un accord de raffinerie de pétrole massif avec la Chine, normalisant les relations et devenant un partenaire de dialogue ‘ ’ avec l'Organisation de coopération de Shanghai ( SCO ), pour n'en nommer que quelques-uns.

Et comme les Saoudiens ne sont pas une démocratie ‘ ’, leur gouvernement ne peut pas être joué par le biais de élections. Les mouvements diplomatiques qu'ils font aujourd'hui vont coller et modifier le paysage du commerce mondial pour la prochaine génération ou les deux.

Le prince héritier Mohammed bin Salman est assez énervé avec “ Biden ” qui souligne ses mouvements régionaux de politique étrangère.  

Jetez un œil à cette carte thermique de la navigation mondiale et vous me dites comment les apparatchiks “ Biden ” font tourner cette défaite en un ‘ pas de biggie ’ comme ils le font à chaque victoire russe en Ukraine?

 

Rédigé par Tom Luongo via Gold, Goats, 'n Guns blog,

Tous les mercredis et dimanches matin, j'enregistre un podcast privé pour mes clients. Je couvre au minimum l'or, l'argent, l'huile, le Dow Jones et le Bitcoin. Dimanche dernier, j'ai mentionné lors de mon commentaire sur le pétrole que je pensais que la faiblesse de six mois du pétrole était exagérée.  

L'action des prix de la semaine dernière était clairement d'accord avec moi, car les marchés à terme ont finalement vu une position se mettre à la clôture trimestrielle vendredi.

C’est du moins ce que je pensais à l’époque.  Il s'avère que beaucoup de gens devaient savoir que l'OPEP + allait annoncer une réduction de production surprise alors que je faisais du bruit dans un microphone dimanche matin. Parce qu'ils mettent le pétrole à la fin trimestrielle en utilisant les vents arrière de fortes fermetures sur l'ensemble des actifs corporels ‘ ’ espace — or, stocks, trésors américains, métaux industriels, etc. — comme couverture.

Le commerce de déflation ‘ ’ a atteint son apogée lorsque les contrats à terme sur le brut Brent ont atteint un creux proche de $ 70 le baril le 19 mars.

Grâce à l'annonce de l'OPEP + ’, le brut Brent s'est ouvert à ~ $ 85 le baril.  West Texas Intermediate ( WTI ) s'est déplacé au-dessus de $ 80 et la propagation du Brent / WTI tend vers $ 3.

 

C'était $ 8 + il y a quelques mois.  C'est une très bonne nouvelle pour les producteurs et exportateurs américains.  Le marché pétrolier a connu une inadéquation fondamentale de l'offre et de la demande.  En janvier, même l'AIE parlait d'un décalage de près d'un million de bbl / jour entre la croissance de l'offre ( < 1 million de bbls / jour ) et la croissance de la demande ( > 1,9 million de bbls / jour ). Et c'était avec une récession sur toutes les lèvres pour commencer l'année et la Chine enfermée.

Aujourd'hui, leurs perspectives sont plus optimistes, mais surtout en raison des perturbations dues aux embargos contre le pétrole russe. Cette perturbation, comme toutes choses, est temporaire. Les coûts de transport augmenteront en raison de l'inefficacité croissante, mais la demande structurelle restera la même.

Cela soutient, et non sape, la hausse des prix du pétrole.

Goldman Sachs, dont il faut toujours saler au goût les déclarations, a crié que l'action dans les puits de pétrole a défié la raison pendant des mois. Comme les lecteurs de longue date savent bien que je me plains que cette baisse du pétrole dans les $ 70 ’ s était un non-sens complet, un produit de la manipulation à terme à travers les gros titres et des données d'inventaire toujours douteuses.

Regarder la volatilité éclabousser par…

J'ai vu la volatilité du pétrole exploser depuis le début de la guerre “ Biden contre la Russie.

Vous pouvez le voir clairement dans les graphiques hebdomadaires ... il suffit de regarder les chandeliers sur chaque moitié du tableau ci-dessous ( délimités par la ligne noire verticale ). Vous n'avez pas besoin de chiffres ou d'années d'analyse de marché derrière vous, utilisez simplement vos yeux.

 

La guerre n'est pas seulement menée sur le terrain en Ukraine.  Il se bat sur les marchés des capitaux.  Le pétrole est le marché le plus important au monde, beaucoup plus important que le dollar américain ou les marchés du Trésor américain.

Ici, je ne suis pas d'accord avec Martin Armstrong, pas parce que ces marchés ne sont pas plus importants et affectent davantage les flux de capitaux mondiaux que le pétrole (, mais parce que sans un marché relativement stable pour la tarification du pétrole, il ne peut y avoir de commerce.

L'instabilité de nos marchés des taux d'intérêt et des devises est en aval de cette volatilité accrue du pétrole.

Soit dit en passant, la même chose est arrivée au Dow Jones après l'élection du président Trump.  J'ai dû modifier mes ensembles de données pour calculer mes outils quantitatifs pour évaluer l'état hebdomadaire du Dow parce que la volatilité tripléCela a rendu les données plus anciennes inutiles pour m'aider à voir les chances de se déplacer de plus en plus d'une semaine à l'autre.

Cibler le marché boursier américain avec la volatilité était un moyen de saper Trump tout en poussant le dollar américain à la baisse, même si Jerome Powell tentait d'augmenter les taux d'intérêt avant la COVID-19, seulement pour être attaqué via COVID et la myopie de Trump.

L'essentiel est le suivant: la manière de détruire un marché est de le rendre trop volatil pour que la personne moyenne ou même les petits fonds spéculatifs puissent le négocier.  Le fait de scier constamment le prix de la région à la fois ne permet pas aux petits acteurs des marchés à terme de maintenir leurs exigences de marge. Finalement, ils sont soit victimes du lavage de volatilité ‘ ’, soit abandonnent et vont échanger quelque chose qui n'est pas fou.

Lorsque vous faites cela, rincez les petites spécifications ( spéculateurs ) vous diminuez la liquidité du marché et en faites le jouet de ceux qui ont les poches les plus profondes.  C'est le livre de jeu utilisé dans les métaux précieux depuis des années que des gars comme Craig Hemke (Rapport sur les métaux TF) et d'autres se plaignent à juste titre.

Guerre à front multiple

Voyez-vous pourquoi l'OPEP + annoncerait une coupure de production majeure en ce moment?   Brent devient un marché brisé.  

Biden a rendu les États-Unis vulnérables à un choc de prix avec un SPR vide tout en se préparant à au moins une guerre terrestre / navale.  

L'Europe est déjà foutue. Lagarde défend l'euro pour compenser les importations d'énergie à des prix plus élevés en provenance des États-Unis, désormais le plus grand fournisseur d'Europe.

Cela tue les écarts de crédit entre les États-Unis et l'UE. Parce que Lagarde peut soit protéger les écarts de crédit, soit protéger l'euro, mais elle ne peut pas faire les deux sans aide extérieure.

 

 

 

 

 

C'est une de ces images qui changent votre façon de voir le monde.  J'ai toujours ‘ su ’ que la masse continentale arabe était importante, mais les mots ne le coupent parfois pas.  Parfois, vous devez le voir.  

Davos a déclaré la guerre au pétrole que les deuxièmes chars russes ont franchi la frontière avec l'Ukraine en février dernier. Ils ont tenté d'intimider l'OPEP pour isoler la Russie, les expulsant de l'OPEP + et ont échoué de façon spectaculaire.

La défection des Saoudiens est la plus grande défaite stratégique de toute cette guerre.  Sans KSA conforme, il n'y a pas de contrôle des prix du pétrole et, par extension, la capacité de contrôler les prix des actifs dans le monde entier grâce au trading de devises.

Nous sommes ici 13 mois + dans ce combat et l'Ukraine a pratiquement perdu la guerre. Bahkmut est terminé.  Zelenskyy a perdu le soutien des militaires et seuls les bellicistes au sommet de l'OTAN et de l'UE veulent que cette guerre se poursuive.

Et continuez. Finlande Davos le gouvernement est tombé sur son épée en sortant pour en faire un combattant en rejoignant l'OTAN.  Il y a trop de fumée là-bas que l'Occident se prépare à une guerre industrielle contre la Russie et la Chine dans le délai 2024-25.  Ils peuvent perdre en Ukraine, mais un autre front approche à grands pas.

Mais malgré toute l'attention accordée à l'Ukraine et à sa tragédie insensée, les puits de pétrole et les coulisses diplomatiques sont le lieu de la guerre.  

MOIA ou Buste

Je crie MOIA – Rendre le pétrole inestimable à nouveau — depuis des mois dans mes entretiens publics, car c'est ainsi que nous commençons à reconstruire ce que ces vandales ont déjà cassé et ils ont toujours le contrôle de la batte de baseball dans la boutique mondiale de la Chine économique.

Pour MOIA, les producteurs doivent prendre le contrôle du marché. Il n'y a pas de meilleure façon de le faire que de forcer une inversion de prix $ 10 en quelques jours pour la volatilité Davos hors du marché et déplacer un plus grand pourcentage des échanges de pétrole sur les marchés américain et londonien.

En mars 2020, ce qui a déclenché la crise financière n'était pas le COVID-19, c'est l'OPEP + qui a dit non aux réductions de production sur l'insistance de Poutine.  J'ai écrit un article de blog sur la Russie disant “ Non. ”  Bien que je ne sois pas entièrement d'accord avec cet article aujourd'hui, sachant que Davos utilisé ce moment pour commencer sa guerre contre l'humanité à travers COVID-19, la prémisse de base est toujours la même.

Poutine a dit “ Non ” à l'Arabie saoudite pour devenir le leader de facto de l'OPEP + en utilisant ses coûts de production inférieurs pour amener les Saoudiens à se mettre à genoux et à arrêter de jouer au foot avec les États-Unis qui les utilisait comme arme contre la Russie et l'ensemble du Sud.

Ce fut l’occasion pour Poutine de finalement riposter contre les bourreaux de la Russie et d’infliger une réelle douleur à leur comportement sans scrupules dans des endroits comme l’Iran, l’Irak, la Syrie, l’Ukraine, le Yémen, le Venezuela et l’Afghanistan.

Il est maintenant en mesure d'extraire un maximum de concessions des États-Unis et des pays de l'OPEP qui soutiennent la belligérance américaine contre les alliés de la Russie en Chine, en Iran et en Syrie.

Nous avons vu les débuts de cela dans ses relations avec le président turc Erdogan à Moscou, extrayant un accord de cessez-le-feu qui n'était rien de moins qu'une capitulation turque.

Erdogan a demandé à être sauvé de sa propre stupidité et la Russie a dit: “ Non. ”

Ce fut le tournant sur les marchés pétroliers.  La Russie a utilisé sa position de fournisseur du baril marginal pour forcer l'OPEP à talonner et faire pression sur la politique étrangère néocon américaine.

Bien sûr, l'Europe se couperait de la Russie, car c'est leur politique déclarée depuis des décennies, c.f. le canular sur le changement climatique.  Mais si vous faites cela et n'amenez pas les producteurs au talon, si vous ne cassez pas le cartel, vous ne pouvez pas contrôler le prix.

Poutine prend le contrôle de l'OPEP +, puis traite le cartel, que les États-Unis avaient désespérément tenté de briser, comme des rois plutôt que ‘ l'aide,’ il a préparé le terrain pour l’année dernière lorsque la KSA a conduit le reste de l’OPEP à défier les États-Unis / UE / Royaume-Uni des sanctions contre les marchés russes.

Davos ’ la réponse était prévisible, attaquer les prix du pétrole sur les marchés à terme en détruisant la liquidité tout en forçant des prix inférieurs aux coûts tout compris pour des pays comme l'Arabie saoudite.

Powell a sapé la quête de Yellen pour briser le pétrole en faisant pression sur les marchés européens des capitaux alors qu'ils étaient vulnérables non seulement aux chocs des prix de l'énergie, mais aussi aux chocs des taux d'intérêt et du crédit.

Vu de cette façon, la mère de toutes les armes nucléaires financières a explosé en Europe, mais le nuage de rayonnement n'a pas tout à fait tué tout le monde.

Les Saoudiens, comme on pouvait s'y attendre, ont courtisé la Chine pour payer en yuan et rejoindre les institutions construites par la Russie / l'Iran / la Chine pour limiter leur exposition monétaire et faire baisser leurs coûts internes.

Tout ce que la Russie et la KSA devaient faire alors était d'attendre le moment parfait ( 1er jour de bourse du T2 2023 ) pour inverser le moment de mars 2020 “ Non ”, en soutenant les prix du pétrole plutôt qu'en consolidant leur pouvoir.

Ce que cela fait maintenant, c'est que toute guerre que les néoconservateurs ont planifiée pour l'avenir sera menée avec des taux d'intérêt beaucoup plus élevés, des devises beaucoup plus faibles et des prix du pétrole efficaces beaucoup plus élevés.

L'inflation à prix coûtant reviendra au 2ème semestre de cette année.  “ Biden ” ne pourra pas recharger le SPR.  Les pourparlers sur le plafond de la dette devraient se terminer avec Matt Gaetz disant à “ Biden ” et Yellen de piler du sable, nous réduisons les dépenses tandis que les marchés Eurodollar à effet de levier continuent de se contracter parallèlement à la pétrodollar.

Et les néoconservateurs, à ce moment-là, ne peuvent que gémir et essayer une dernière fois de concevoir un faux drapeau que personne ne croira, car ils ont trop pleuré ‘ ours russe ’. La récession à l'horizon que Powell a délibérément engendrée pour éliminer le collectivisme stupide subventionné par les dollars ZIRP de Yellen devrait conduire l'instabilité politique en Europe qui éclipse de loin le spectacle de carnaval de Trump acte d'accusation.

Tree meet saw. 

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7 avril 2023 5 07 /04 /avril /2023 17:50

L'OTAN, et non la Chine, est responsable de la crise en Ukraine et n'a aucune position morale à partir de laquelle critiquer Pékin, a déclaré jeudi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mao Ning, lors d'une conférence de presse. 

Les États-Unis et le bloc militaire de l'OTAN assument des responsabilités inébranlables face à la crise ukrainienne,” Mao a poursuivi, faisant valoir que l'OTAN “n'est pas en mesure de critiquer ou de faire pression sur la Chine” pour prendre son parti.

 

Concernant la crise ukrainienne, la Chine maintient une position objective et juste. Nous avons préconisé un règlement politique de la crise et travaillé pour des pourparlers pour la paix,” a-t-elle expliqué, affirmant qu'il s'agissait d'une stratégie “soutenu par la grande majorité des pays du monde.”

L'histoire dira qui se tient vraiment du bon côté pour défendre la justice.

Mercredi, le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a averti la Chine de restreindre son alignement croissant “ ” avec Moscou, accusant Pékin de “prop [ ping ] dans l'économie russe” et “refus [ ing ] de condamner l'agression de la Russie.” 

Fournissant des armes à l'ennemi juré de l'OTAN, a ajouté Stoltenberg, “serait une erreur historique, avec de profondes implications.

 

Pékin a nié à plusieurs reprises avoir l'intention de fournir une aide mortelle à la Russie, ce qui a également démenti les informations selon lesquelles elle avait demandé du matériel militaire aux Chinois.

Les deux nations se sont rapprochées au cours de la dernière année, jurant de “approfondir davantage la confiance militaire mutuelle” après la réunion du mois dernier entre le président russe Vladimir Poutine et le Premier ministre chinois Xi Jinping au Kremlin. 

Cependant, Poutine a récemment précisé qu'il n'y avait pas de “alliance militaire avec la Chine” à l'horizon, simplement “coopération dans le domaine de l'interaction militaro-technique.” L'Occident, a-t-il soutenu, ne faisait que projeter son fantasme d'un nouvel axe similaire à l'ennemi fasciste de la Seconde Guerre mondiale sur ses principaux rivaux géopolitiques.

Les États-Unis ont néanmoins sanctionné plusieurs sociétés chinoises pour avoir prétendument fourni des pièces utilisées dans des drones iraniens, qui, selon Washington, sont utilisées par la Russie en Ukraine. 

Le Trésor américain a annoncé de nouvelles sanctions contre cinq sociétés chinoises et une personne qui serait “responsable de la vente et de l'expédition de milliers de composants aérospatiaux” à l'Iran, y compris les pièces qui pourraient être utilisées pour fabriquer des drones. L'Iran a également nié avoir fourni des armes à la Russie pour les utiliser dans le conflit ukrainien.

 

Source : infowars

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7 avril 2023 5 07 /04 /avril /2023 17:31

Source : Infowars

 

Une rencontre élitiste exclusivement masculine en Californie, le Bohemian Club, qui se réunit une fois par an dans son emplacement privé appelé Bohemian Grove, était tendance sur Twitter jeudi.

Le rassemblement de la société secrète est devenu viral après un site Web appelé ProPublica a publié un article à succès sur le juge conservateur de la Cour suprême, Clarence Thomas, affirmant qu'il avait assisté à la retraite avec un de ses riches amis.

 

L'article se concentre sur l'amitié de Thomas ’ avec un mégadonneur milliardaire du GOP nommé Harlan Crow et accuse la justice de violer les lois éthiques en rejoignant son copain lors de voyages en yacht et d'autres aventures.

Bien sûr, le Bohemian Grove a d'abord été porté à l'attention du public après Infowars fondateur Alex Jones ’ infiltration épique du rassemblement de 2000 où il a filmé la tristement célèbre cérémonie de sacrifice simulé de crémation de soins.

Jones a sorti un documentaire entier sur les images d'infiltration qu'il a capturées, intitulé “Secrets sombres à l'intérieur de Bohemian Grove,” qui peut être vu en entier ci-dessous:

Avec la tendance de Bohème Grove, plusieurs utilisateurs de Twitter ont posté sur Jones mettant en lumière la société secrète tordue.



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7 avril 2023 5 07 /04 /avril /2023 17:14

 

 

 

Le PDG de JPMorgan, Jamie Dixon, a exhorté les gouvernements du monde à invoquer le "domaine éminent" et à commencer à saisir la propriété privée des citoyens pour construire des parcs éoliens et solaires afin de "lutter contre le changement climatique".

 

Dimon a déclaré que le moment était venu de commencer à investir dans des projets solaires et d'autres initiatives vertes et a suggéré que le gouvernement devrait utiliser un domaine éminent pour saisir la propriété de ces projets.

 

 

« Dans le même temps, des réformes d'autorisation sont désespérément nécessaires pour permettre aux investissements de se faire de n'importe quelle manière opportune. Nous devrons peut-être même évoquer [sic] un domaine éminent – ​​nous n'obtenons tout simplement pas les investissements adéquats assez rapidement pour les initiatives de réseau, solaire, éolienne et de pipeline », a écrit Dimon .

Le domaine éminent permet au gouvernement de saisir de force une propriété privée tant que le propriétaire est indemnisé.

 

 

"Un investissement mondial massif dans l'énergie propre dans les technologies doit être fait et doit continuer à croître d'année en année", a poursuivi Dimon. "Pour accélérer les progrès, les gouvernements, les entreprises et les organisations non gouvernementales doivent s'aligner sur une série de changements politiques pratiques qui traitent de manière globale les problèmes fondamentaux qui nous freinent."

Rapport DailyCaller : La suggestion de Dimon intervient quelques semaines seulement après que la Chambre de l'État de l'Iowa a adopté un projet de loi qui limiterait la capacité des sociétés de pipelines de carbone à exercer un domaine éminent. Selon le projet de loi, les entreprises devraient conclure des accords volontaires pour acheter 90% des terres nécessaires avant de pouvoir utiliser un domaine éminent, selon le Des Moines Register .

Le représentant de l'État démocrate, Steven Holt, a déclaré que la législation visait à protéger les droits de propriété privée, selon le Des Moines Register.

"Indépendamment du gain économique ou des avantages pour certaines industries ou groupes de personnes, cette liberté fondamentale ne doit pas être à vendre", a déclaré Holt, selon le point de vente. "Si ces projets de pipelines sont essentiels à l'éthanol et à l'agriculture, qu'ils soient construits par des servitudes volontaires et non en permettant à la force brutale du gouvernement d'être utilisée pour briser ce droit fondamental que nous partageons tous en tant qu'Américains."

 

 

Baxter Dimitri
 
 
Baxter Dmitry est écrivain chez News Punch. Il couvre la politique, les affaires et le divertissement. Dire la vérité au pouvoir depuis qu'il a appris à parler, Baxter a voyagé dans plus de 80 pays et a remporté des arguments dans chacun d'eux. Vivre sans peur.
Courriel : baxter@newspunch.com
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