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11 mai 2022 3 11 /05 /mai /2022 17:51
 

L’eurodéputée Christine Anderson avertit que le traité de l’OMS sur la pandémie « vise à donner à l’OMS un pouvoir de gouvernance de facto sur ses États membres en cas de pandémie, sans participation ni consultation des gouvernements ou des parlements nationaux ».

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11 mai 2022 3 11 /05 /mai /2022 17:43
Le Pentagone confirme avoir armé l’Ukraine dès l’arrivée de Biden

 

Le Pentagone confirme avoir armé l’Ukraine dès l’arrivée de Biden

Lors d’une interview de Fox News, le porte parole du Pentagone, l’amiral John Kirby, a déclaré : « L’administration Biden a fourni des armes bien avant le déclenchement des hostilités. Le premier milliard de dollars que le président a alloué à l’Ukraine comprenait la fourniture d’armes létales. Les États-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne et d’autres alliés ont en fait aidé à préparer les Ukrainiens ».

« Biden administration sent weapons to Ukraine ’well before’ invasion : Pentagon press secretary », Your World, Fox News, May 10, 2022.

https://www.voltairenet.org/article216811.html

 

________________________________________________________

 

Le Pentagone en Ukraine et la guerre bactériologique

Par Leonid Savin – Le 25 novembre 2015 – Source geopolitics

Malgré les accords internationaux qui régulent les activités du champ de la recherché biologique, ce domaine – comme d’ailleurs celui des armes chimiques – montre une fois de plus l’attitude des deux poids deux mesures qui caractérise les USA. A ce jour, on ne sait pas quel genre de recherche mènent les USA, notamment en matière de virus mortels, ni en quel endroit.

 

Après les attaques terroristes de New York, le 11 septembre 2001, les menaces terroristes ont été utilisées pour effrayer les États-uniens. L’envoi de lettres renfermant de la poudre contenant des spores d’anthrax a été montée en épingle jusqu’à l’hystérie collective. Cela se déroulait une semaine à peine après les attentats du World Trade Center de New York, ce qui devait donner l’illusion d’un lien entre les deux événements, unis par le thème de la menace du fondamentalisme islamiste.

Dix ans plus tard, en 2011, des documents déclassifiés du FBI démontraient que les spores d’anthrax étaient cultivés à l’institut de recherche médicale contre les maladies infectieuses de l’armée US.

En dix ans, le nombre de laboratoires engagés dans le développement de méthodes de lutte contre le bio-terrorisme, selon les autorités officielles, est passé de 20 à 400. Des centres secrets de recherche biologique sont apparus en Afrique et en Amérique latine, des laboratoires aux finalités inconnues se sont ouverts en Ukraine, en Géorgie, et il est prévu d’ouvrir un centre biologique au Kazakhstan en 2015. La majorité de ces activités est supervisée par la Pentagone.

Un accord entre les USA et la Géorgie portant sur la coopération dans le domaine de la prévention contre la prolifération de matériels, d’agents pathogènes ou d’expertises permettant le développement d’armes biologiques, a été signé en 2012. En 2004, il a été décidé de construire un laboratoire de santé publique de référence dans le village d’Alekseevka près de Tbilissi. L’ouverture officielle a eu lieu en présence du sous-secrétaire à la Défense en matière de programmes nucléaire, chimique et biologique, Andrew Weber.

Concernant le développement de la recherche biologique, l’Ukraine se trouve être d’un intérêt particulier pour les militaires US. Immédiatement après la victoire de la première révolution de couleur [orange, NdT], un accord de principe était signé entre le ministre de la Santé ukrainien et le ministre de la Défense US, concernant la réhabilitation d’infrastructure de recherche biologique en Ukraine. En 2008, un budget a été établi, dans le cadre de l’aide US, au bénéfice du ministère ukrainien de la Santé, et en octobre 2009, un projet pour un programme de réduction de la menace biologique a été lancé.

Avec le soutien des USA, le premier centre biologique ukrainien a été inauguré le 15 juin 2010, partie intégrante de l’Institut de recherche contre la peste Mechnikov, à Odessa, et ce en présence de l’ambassadeur US John Theft. Le centre d’Odessa a été habilité à travailler sur des souches bactériennes utilisées dans les armes biologiques.

En Ukraine, la gestion décentralisée du stockage de substances pathogènes est une pratique courante. Dans cette perspective, une question peut être soulevée: y a-t-il un lien entre les activités menées au centre d’Odessa et le meurtre de nombreuses personnes dans les bâtiments du syndicat d’Odessa, le 2 mai 2014? Certains activistes locaux et organes de presse déclaraient alors qu’une substance inconnue avait été utilisée pour tuer un nombre important de personnes.

En Ukraine, pour la seule année 2013, des laboratoires biologiques ont été ouverts à Vinnytsia, Ternopil, Uzhhorod, Kiev, Dniepropetrovsk, Simferopol, Kherson, Lviv (3 laboratoires pour cette ville !) et Lugansk, avec le soutien des USA. Aujourd’hui, les laboratoires biologiques du Pentagone sont rassemblés en demi-cercle autour de la Russie.

En 2012, la modernisation d’un laboratoire biologique en Azerbaïdjan a été conduite également avec le soutien des USA. La création de centres similaires en Ouzbékistan et au Kirghizstan fait également partie des projets américains. Certaines éléments laissent à penser que Ken Alibek, un ancien militaire micro-biologiste soviétique, et actuellement citoyen US, après avoir émigré aux USA au début de la décennie 1990 – ayant transmis des informations secrètes aux Américains concernant le programme militaro-biologique – sera aux commandes du centre biologique du Kazakhstan. Depuis son retour en 2010 dans ce pays, Alibek est le chef d’un service à l’université de Nazarbayev; et dans le même temps, il est aussi le directeur général d’une holding, National Medical Holdings JSC.

L’intérêt US pour la création de centres biologiques dans les États voisins de la Russie, est prouvé par des faits. En 2010, le centre trans-européen pour la détection d’agents biologique menaçants (TECDOBA) a été lancé sous la direction conjointe du laboratoire de biotechnologie finno-russe, basé à Turku. A la différence des cas ukrainien et géorgien, le travail du centre était planifié en partenariat avec la Russie, et le projet approuvé par le gouvernement finnois. Il a été arrêté soudainement, sans aucun motif. D’après des sources privées, la collaboration entre les deux pays a cessé sous l’injonction impérative de Washington, au moment même où les USA lançaient leur laboratoire biologique en Géorgie.

Ce ne sont pas seulement le Pentagone et les départements spéciaux US qui sont impliqués dans ce programme biologique à finalités militaires, mais aussi les membres de l’Alliance pour la biosécurité. Ce groupe d’industries inclut: Bavarian Nordic, Cangene Corporation, DOR BioPharma, DynPort Vaccine Company, Elusys Therapeutics, Emergent BioSolutions, Hematech, Human Genome Sciences, NanoViricides, Pfizer, PharmAthene, Siga Technologies et Unither Virology. Elles font toutes partie intégrante du monde des grosses boîtes pharmaceutiques. Ce petit univers clos où les intérêts défendus par les congressistes US sont très souvent liés à ceux des industries militaires et pharmaceutiques…

Traduit par Geoffrey, relu par jj et Diane pour le Saker Francophone

Project Veritas: au Pentagone la nocivité des vaccins à ARN messager est un secret de Polichinelle

Anthony Fauci a dissimulé au Sénat les origines du COVID et les implications américaines dans la recherche menée au Laboratoire P4 de Wuhan. C’est confirmé par une nouvelle vidéo et des documents secrets que s’est procurés Project Veritas. Ces documents viennent compléter des informations datant de la fin du printemps 2021 et que nous avions déjà présentées à nos lecteurs. Surtout, ils confirment comment les médias subventionnés ont créent un écran de fumée permanent qui dissimule la réalité et permet aux dirigeants d’agir de façon dissimulée. Dans les bureaux capitonnés du Pentagone, on dit la vérité non seulement sur l’origine accidentelle de la pandémie mais aussi sur la nocivité des vaccins à ARN messager

Voici, pour nos lecteurs, en traduction française, les explications données par Project Veritas, qui accompagnent la vidéo: 

“[WASHINGTON, D.C. – 10 janvier 2022] Project Veritas a obtenu des documents surprenants et jamais vus auparavant concernant les origines du COVID-19,  la recherche sur les gains de fonctions, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés, et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout cela.

Les documents en question proviennent d’un rapport de la Defense Advanced Research Projects Agency, mieux connue sous le nom de DARPA, et étaient cachés dans un disque étiqueté “top secret”.

La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.

Project Veritas a obtenu un rapport  adressé à l’Inspecteur Général du Département de la Défense écrit par le Major du Corps des Marines, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.

Le rapport indique qu’EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018, demandant un financement pour mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu’elle violait le moratoire sur la recherche de gain de fonction de base.

Selon les documents, le NAIAD, sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.

Le Dr Fauci a affirmé à plusieurs reprises, sous serment, que les NIH et NAIAD n’ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d’EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a certainement classé la recherche comme un gain de fonction.

“La proposition ne mentionne ni n’évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)”, une citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.

Le rapport du Major Murphy détaille les grandes inquiétudes suscitées par le programme COVID-19 de gain de fonction, la dissimulation de documents, la suppression de remèdes potentiels, comme l’Ivermectin et l’Hydroxychloroquine, et les vaccins à ARNm.

Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents cachés et s’est entretenu avec le responsables des communications de documents, Jared Adams, qui a déclaré : “Cela ne me semble pas normal”, lorsqu’il a été interrogé sur la manière dont les documents ont été entourés de secret. “Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée”, a déclaré M. Adams. “Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non.”

Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O’Keefe, a posé une question fondamentale à la DARPA :

“Qui à la DARPA a pris la décision d’enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d’alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d’autres.”

Le Dr Anthony Fauci n’a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire”.

Pour comprendre les documents antérieurs publiés dans la presse de langue anglaise, auxquels il est fait allusion, nous rappelons ce que nous avions exposé à nos lecteurs. 

Quand la DARPA refusait, d’autres départements du Pentagone acceptaient de financer la recherche d’EcoHeath Alliance

Le Pentagone a versé sur plusieurs années 39 millions de dollars à Eco Health Alliance,  une ONG qui a elle-même transféré de l’argent à l’Institut de virologie de Wuhan. Quelle partie de cette somme est-elle allée aux recherches du Docteur Shi Zhengli, la désormais célèbre “Batwoman”, soupçonnée d’être à l’origine de l’accident de laboratoire qui aurait déclenché la crise du COVID-19? Il va falloir continuer à investiguer mais le comportement d’Anthony Fauci ou de Peter Daszak, scientifique d’origine britannique, collaborateur de longue date de Madame Shi et directeur d’Eco Health Alliance révèle des hommes qui ont cherché à effacer des traces compromettantes d’une collaboration avec les recherches les plus dangereuses menées à Wuhan. 

Au début 2020, Donald Trump a vite repéré un sérieux problème

Jusqu’en 2020, EcoHealth Alliance ne s’est jamais caché de ses liens avec l’Institut de virologie de Wuhan. India Today a rediffusé récemment des déclarations décomplexées de Peter Daszak, le responsable de l’organisation sur ce sujet. Et tout expert du secteur savait que cette ONG, créée pour étudier les nouvelles maladies, finançait également des expériences universellement controversées (qu’elles fussent menées en Chine, en France ou aux Etats-Unis) de “gain de fonction”, qui consistent à rendre des virus dangereux plus infectieux pour étudier leurs effets sur les cellules humaines.

Et puis est venu l’épidémie de COVID 19. Rapidement, les soupçons se sont tournés vers le laboratoire P4 de Wuhan. Une tempête politique a éclaté en mai 2020,  lorsque l’ancien président Donald Trump a annulé une subvention de 3,7 millions de dollars destinée à EcoHealth Alliance et plus particulièrement à Peter Daszak. En fait, l’ancien président américain avait suffisamment d’informations sur le fait que l’argent gouvernemental avait été très mal utilisé. Et contre ceux qui criaient au scandale, les informations dont nous disposons aujourd’hui lui donnent raison. 

En effet, des données sur les subventions fédérales rassemblées par James Baratta et Mariamne Everett montrent qu’EcoHealth Alliance a reçu plus de 123 millions de dollars du gouvernement – de 2017 à 2020 – et que l’un de ses plus grands bailleurs de fonds est le ministère de la Défense, qui a versé près de 39 millions de dollars à l’organisation depuis 2013.

Il va bien entendu falloir déterminer quelle part de cet argent a été consacrée à la recherche menée à l’Institut de virologie de Wuhan – et nous savons par les documents de Project Veritas que la DARPA a refusé le “Projet Defuse” –  mais il ne fait aucun doute que de l’argent a été versé par certaines branches du Pentagone comme le montrent à la fois l’intitulé des financements et le comportement suspect de Fauci et Daszak.

De l’argent du Pentagone pour le développement de recherches intéressant hautement l’armée chinoise

Les subventions du Pentagone comprenaient 6 491 025 dollars de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) de 2017 à 2020 avec la description suivante : “Comprendre le risque d’émergence de zoonoses transmises par les chauves-souris en Asie occidentale “.

La subvention a été classée dans la catégorie ” recherche scientifique – lutte contre les armes de destruction massive “. On appréciera cette inversion totale de la réalité puisque, comme nous l’avons indiqué dans un précédent article, l’Armée Populaire de Libération comptait beaucoup sur les recherches menées dans le P4 de Wuhan pour développer des armes biologiques. De même que la mission du DTRA est de “contrer et dissuader les armes de destruction massive et les réseaux de menaces improvisées”, EcoHealth Alliance vous pose la question sur son site web: ” Qui s’interpose entre vous et la prochaine pandémie?”. 

EcoHealth Alliance  a également reçu 64,7 millions de dollars de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), 13 millions de dollars de Health and Human Services, qui comprend les National Institutes of Health et les Centers for Disease Control, 2,3 millions de dollars du Department of Homeland Security et 2,6 millions de dollars de la National Science Foundation.

Et, comme résume le Daily Mail: “Un chiffre de financement gouvernemental de 3,4 millions de dollars a été largement commenté, après que le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, Anthony Fauci, a été interrogé lors d’une audition au Sénat sur la quantité d’argent que les National Institutes of Health ont envoyé au laboratoire de Wuhan via ses subventions à EcoHealth Alliance en 2019. Mais les chiffres totaux des subventions, y compris le financement du Pentagone sont beaucoup plus importants”. James Baratta et Marianne Everett ont rassemblé les déclarations de subventions des agences gouvernementales américaines à EcoHealth Alliance. Ils ont découvert que la déclaration de l’EHA concernant son vaste financement militaire se trouve dans la section “Politique de confidentialité” de son site web, sous le titre “EcoHealth Alliance Policy Regarding Conflict of Interest in Research”. Dans cette déclaration, l’EHA indique qu’elle est “le bénéficiaire de diverses subventions de la part d’agences fédérales, dont le National Institute of Health, la National Science Foundation, l’US Fish and Wildlife Service, l’US Agency for International Development et le Department of Defense”. EcoHealth Alliance ne divulgue pas le montant exact de son financement par le Pentagone.

Plongée dans les eaux troubles du marécage: de Bagdad 2002 à Wuhan 2019

En 2014, l’administration Obama a instauré un moratoire, qui interdisait de mener aux USA la recherche sur le “gain de fonction”, après que des scientifiques se soient inquiétés du fait qu’elle pourrait conduire à une pandémie mondiale due à un virus génétiquement amélioré s’échappant d’un laboratoire.

Les expériences financées par EcoHealth Alliance en Chine relevaient du même type de recherche. Eh bien, pour contourner le moratoire du gouvernement Obama, EHA a utilisé une faille qui autorise la recherche dans les cas “d’urgence pour protéger la santé publique ou la sécurité nationale”, James Baratta et Marianne Everett, toujours eux, ont découvert que l’un des “conseillers politiques” d’EcoHealth Alliance est David Franz, ancien commandant du principal centre de guerre et de biodéfense biologique du gouvernement américain, Fort Detrick. Franz est surtout connu comme ayant été placé par le Pentagone dans la Commission spéciale des Nations Unies qui avait inspecté l’Irak en 2002 à la recherche d’armes biologiques, chimiques  ou nucléaires. Le même homme qui avait contribué à inventer des armes qui n’existaient pas en Irak se retrouve, deux décennies plus tard, à dissimuler des recherches létales menées par son pays. 

Quand le Docteur Daszak créait des fake news

En février 2020, M. Daszak a persuadé plus d’une vingtaine d’autres scientifiques de signer une lettre qu’il avait adressée au très respecté journal médical The Lancet. Comme le résume très bien le Daily Mail: “Cette lettre  a intimidé la plupart des experts, qui ont refusé d’envisager que le virus puisse avoir été fabriqué par l’homme et s’être échappé de l’institut de Wuhan. Jamie Metzl, ancien haut fonctionnaire de l’administration Clinton, qui siège aujourd’hui au comité consultatif de l’Organisation mondiale de la santé sur l’édition du génome humain, a déclaré au DailyMail.com que la lettre du Lancet “était de la propagande scientifique et une forme de brutalité et d’intimidation”.

La lettre commune, publiée dans le journal médical le 19 février 2020, faisait l’éloge des scientifiques chinois “qui continuent à sauver des vies et à protéger la santé mondiale face à l’épidémie de Covid-19” et ajoutait : “Nous sommes unis pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas une origine naturelle”. Le 21 juin 2021, soit plus d’un an après, The Lancet publiait une mise au point de Peter Daszak qui assurait qu’il n’était pas en conflit d’intérêt en co-signant le courrier de février 2020 étant donné qu’il n’avait jamais reçu d’argent d’un laboratoire chinois sur ce sujet. Et pour cause, c’est lui qui en versait ! 

Ce n’est pas le seul scandale qui est en train de sortir. Malgré ses liens étroits avec le laboratoire chinois, M. Daszak avait également été choisi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour faire partie de l’équipe de 13 membres chargée de trouver la cause de la pandémie. On se rappelle qu’en mars 2021, après les conclusions provisoires de la commission (et les déclarations de Peter Daszak) écartant à nouveau la possibilité d’une fuite de laboratoire, l’OMS avait été obligée de présenter un communiqué plus nuancé suite à des protestations internationales. 

Liberté de ton au Pentagone pour parler des origines du COVID et de la nocivité des vaccins à ARNm

https://www.slideshare.net/slideshow/embed_code/key/vyOmwhSIWSSI9L’évaluation du major murphy au début de l’été 2021 from EdouardHusson

Evidemment, vu toutes ces révélations dans les médias avant l’été 2021, chaque département du Pentagone a fait évaluer en interne son évaluation au risque. Le document le plus intéressant de ceux publiés par Project Veritas est précisément cette évaluation du risque pour la DARPA par le Major Murphy, que nous mettons à diposition de nos lecteurs ci-dessus. 

Elle contient en outre un témoignage extraordinaire de la liberté avec laquelle, au sein du Pentagone, on évaluait, il y a quelques mois, les origines du COVID-19 et, surtout, la réalité des vaccins à ARN messager. 

Une analyse très détaillée en a été proposée par un compte sérieux sur Twitter. Les lecteurs pourront cliquer sur le tweet pour dérouler le THREAD (fil twitter): 

Source : ns2017

Les armes biologiques du Pentagone
 
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11 mai 2022 3 11 /05 /mai /2022 17:24

Selon le droit européen, la campagne de vaccination contre le COVID est un essai en vie réelle qui ne peut être imposé à aucun être humain. Ce point avait été rappelé le 13 janvier 2022 sans que le Conseil constitutionnel ne déjuge Emmanuel Macron dans sa volonté d’« emmerder » ceux qui refuseraient de participer à une telle expérimentation. Un tribunal français vient de confirmer le 1er mars 2022 que la vaccination obligatoire est une atteinte aux droits humains fondamentaux. Quelles conséquences pour les Français mais aussi pour le Gouvernement ?

Rappel 06.05.2022 : 4 milliards de doses : les pays baltes alertent l'UE sur la surproduction de vaccins ! (V. Joron)

Soignants Reintegres
© Tingey Injury Law Firm on Unsplash   
 
C’est un énorme caillou qui s’est glissé dans la chaussure d’Emmanuel Macron et d’Olivier Véran le 1er mars 2022 avec cette décision rendue par le conseil des prud’hommes d’Alençon en faveur d’une infirmière salariée d’un Ephad qui refusait de se faire vacciner pour raison médicale : « La législation européenne l’autorisait à refuser ce traitement dans la mesure où à ce stade il doit être considéré comme un médicament expérimental. »

Comme le prévoit la loi, elle a donc probablement été licenciée sans percevoir la moindre indemnité, en abandonnant à l’administration ses congés et en renonçant à son droit à bénéficier des minima sociaux, d’un congé de reconversion et de la possibilité d’exercer son métier en libéral. Voici en effet ce que racontait une infirmière anesthésiste à propos des conditions d’éviction des soignants ayant refusé l’injection le 15 septembre 2021 :

Exit les applaudissements à 20 heures, bienvenue dans le monde d’après. Les raisons de cette mort économique et sociale sur ordonnance : le refus de prendre le moindre risque pour sa santé après avoir survécu à un cancer au prix de traitements particulièrement lourds. Au-delà du caractère infiniment inique de cette sanction compte tenu de l’incapacité du vaccin à remplir l’objectif au nom duquel ces soignants ont été sacrifiés, on en mesure la profonde perversité lorsqu’on sait que les médecins alertent sur l’explosion des cancers postvaccinaux, notamment la reprise des cancers quiescents, que l’on croyait stabilisés ou guéris.

À la faveur du COVID, Emmanuel Macron et Olivier Véran ont donc fait table rase de tous les principes qui régissaient la médecine depuis Hippocrate : la prudence n’est plus une raison pour esquiver une injection expérimentale basée sur une technologie encore jamais utilisée sur des individus sains à des fins de prévention, et encore moins dans le cadre d’une vaccination.

Ce que dit le droit européen

Pourtant, les instances européennes avaient clarifié un point qui semblait couler de source depuis le départ : l’objectif de la campagne de vaccination mondiale étant de finaliser, en vie réelle, l’évaluation de la sécurité des injections contre le COVID, elle s’apparente à un essai clinique à grande échelle dans lequel aucun être humain ne peut être enrôlé sous la contrainte. Cette formulation peut paraître excessive pour ce qu’elle révèle de l’éthique du chef de l’État et du ministre des Solidarités et de la Santé, mais c’est pourtant la traduction exacte de la réalité à laquelle sont confrontés les Français depuis le 12 juillet 2021.

La vaccination contre le COVID est un essai clinique exigeant le consentement des participants selon le règlement [UE] no 536/2014

Le conseil des prud’hommes d’Alençon n’a donc fait qu’appliquer la loi en obligeant l’Ehpad Les Laurentides (Tourouvre-au-Perche) à se mettre en conformité avec le droit européen et en condamnant l’établissement à réintégrer l’infirmière qui contestait la légalité de son licenciement. Comme nous l’expliquions dans un précédent article, la Commission européenne a en effet rappelé, le 13 janvier 2022, le caractère expérimental de la vaccination contre le COVID et l’obligation qui en découle de respecter « les principes des bonnes pratiques cliniques », notamment le recueil écrit du consentement des participants (Directive 2001/20/CE, Art. 3, § 2, e), au même titre que pour « tous les essais cliniques qui relèvent d’une autorisation de commercialisation d’un médicament dans l’UE ».

Ce rappel de la Commission européenne faisait suite à une demande d’arbitrage adressée par les Parlementaires, face au déni des autorités sanitaires concernant le caractère expérimental des injections conféré par la conditionnalité de l’AMM et le risque auquel leur inoculation forcée expose les citoyens depuis presque huit mois :

« D’après les données de décembre 2021 du site ClinicalTrials.gov des National Institutes of Health des États-Unis, la date de fin de l’étude clinique (phases 1, 2 et 3) estimée par Pfizer/Biontech pour le vaccin Comirnaty est le 2 mai 2023(1), et celle prévue pour le vaccin ARNm-1273 de Moderna est le 27 octobre 2022(2). Selon la même source, cette date est le 14 février 2023 pour le vaccin AstraZeneca(3) et le 2 janvier 2023 pour le vaccin Janssen(4)
Compte tenu du fait que ces vaccins en phase d’étude clinique sont sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché dans l’Union, la Commission peut-elle confirmer que les dispositions du règlement (UE) nº 536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux essais cliniques de médicaments à usage humain (notamment en ce qui concerne le consentement éclairé) restent applicables aux quatre vaccins susmentionnés tant que les essais cliniques se poursuivent, même après une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, conformément au règlement (CE) nº 726/2004 du 31 mars 2004 établissant des procédures communautaires pour l’autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire, et instituant une Agence européenne des médicaments ?
 »

Commission européenne : Question prioritaire avec demande de réponse écrite  P-005425/2021

La Commission européenne a donc confirmé le 13 janvier 2022 que le règlement (UE) nº 536/2014 du 16 avril 2014 encadrant les essais cliniques s’appliquait également aux vaccins contre le COVID.

Le règlement [UE] no 536/2014 est entré en vigueur il y a plus de sept ans

La juridiction française a ainsi pris acte de l’objection fondamentale que le caractère conditionnel de l’AMM oppose à la volonté de vacciner au forceps l’ensemble des Français, quoi qu’il leur en coûte, mais elle a choisi d’aller plus loin que la Commission européenne.

De manière surprenante, en effet, la Commission a considéré que le règlement européen du 16 avril 2014 (Règlement [UE] No 536/2014) qui rappelle « les principes des bonnes pratiques cliniques » s’appliquerait à la vaccination contre le COVID à compter du 31 janvier 2022, alors que le règlement prévoit une date d’entrée en vigueur « le vingtième jour suivant celui de sa publication au Journal officiel de l’Union européenne ». Or le règlement a été publié au Journal officiel de l’Union européenne le 27 mai 2014 (JO L 158 du 27.5.2014, p. 1-76), la Commission s’étant contentée de préciser le 13 janvier 2022, sur l’insistance des Parlementaires, que rien ne permettait en effet d’exclure les injections contre le COVID de la qualification d’« essai clinique ».

Sur quelles bases s’est donc appuyé le Conseil constitutionnel pour considérer que le consentement des personnes vaccinées n’était pas nécessaire ? A fortiori, comment a-t-il pu méconnaître l’objection que représente le règlement européen puisque sa décision (Décision n° 2022-835 DC) est intervenue le 21 janvier 2022, soit huit jours après la publication de la réponse de la Commission européenne ? À quel titre a-t-il pu considérer que le fait d’imposer à des citoyens des injections répétées en dehors de tout schéma vaccinal limitant leur nombre, serait une réponse proportionnée face à un risque que les scientifiques avaient déjà assimilé à celui de contracter un simple rhume pour une majorité de Français, sans aucun bénéfice pour la plupart d’entre eux, alors que ces injections sont toujours encadrées par une AMM conditionnelle ?

Ce qu’implique concrètement une autorisation de mise sur le marché conditionnelle

En supposant que le règlement européen ne puisse être retenu que pour les vaccinations postérieures au 31 janvier 2022, Emmanuel Macron et Olivier Véran peuvent-ils invoquer une interprétation subjective de la loi par le conseil des prud’hommes, qui a considéré que les implications de ce règlement avaient une valeur rétrospective dans le contexte actuel ?

Sur le plan éthique, en tout cas, cette position n’est pas tenable et si les Sages ont choisi de l’ignorer, les raisons sont sans doute à trouver du côté d’un possible conflit entre les intérêts du président du Conseil constitutionnel et ceux du cabinet McKinsey, dont le directeur France est à la fois celui qui pilote la stratégie vaccinale française et le fils de celui le fils qui a validé la constitutionnalité du passe.

Il suffit au contraire de savoir ce qu’est une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle pour comprendre que les injections de vaccin contre le COVID sont une atteinte majeure à l’intégrité physique des personnes auxquelles elles sont aujourd’hui imposées conformément au souhait, ou de manière plus perverse, au « désir » du chef de l’État. On se souvient qu’il avait affirmé le 12 juillet 2021 qu’elles le seraient à terme pour l’ensemble de la population, malgré un cadre légal qui ne demandait visiblement qu’à être enfreint.

Les données de sécurité des vaccins ne sont pas connues à ce jour, on ignore même si elles seront un jour

Cette AMM a en effet été accordée sur la seule base des déclarations d’efficacité, de sécurité et d’innocuité des laboratoires, c’est-à-dire sur l’autoproclamation d’un « rapport bénéfice-risque positif […] dans l’immunisation active pour prévenir la maladie COVID-19 » (page 13 de l’AMM délivrée pour vaccin Pfizer). Les données cliniques permettant de confirmer l’efficacité et la sécurité des vaccins à court terme ne seront disponibles au mieux que dans deux ans (décembre 2023) pour Pfizer, soit à l’issue de l’essai clinique initial en cours, l’AMM précisant qu’« Il est probable que le demandeur sera en mesure de fournir des données complètes » (page 14).

C’est donc un immense saut dans l’inconnu que le Gouvernement propose depuis plus d’un an aux Français puisque la sécurité des injections est tout au plus une promesse faite par les laboratoires dont on rappelle qu’ils ont inclus dans les contrats une clause mentionnant qu’ils ignorent tout de leurs effets à long terme sur la santé mais qu’ils ne sauraient être tenus responsables d’éventuels dommages dans la mesure où les États en ont été dûment informés :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. »

Contrat albanais Pfizer

Il n’est toutefois pas nécessaire de se référer aux contrats pour comprendre que la notion de « risque » est indissociable de la précocité de la mise sur le marché des vaccins, l’un des trois critères d’octroi de l’AMM étant que « Les avantages pour la santé publique de la disponibilité immédiate l’emportent sur les risques inhérents au fait que des données supplémentaires sont encore nécessaires » (page 14).

On peut se demander sur ce principe ce que le Pr Karine Lacombe, interrogée le 14 mars 2022 par un journaliste du Figaro sur le refus du Gouvernement de réintégrer les soignants malgré la levée du passe vaccinal et la fermeture de dizaines de services d’urgences sur le territoire national par manque de personnel hospitalier, ne comprend pas (ou feint plus exactement de ne pas comprendre) dans le refus de milliers de soignants de se faire vacciner avec un produit expérimental dont le statut même de vaccin est contesté par des millions de scientifiques, y compris le président du Conseil scientifique :

Pr K. Lacombe, Public Sénat, 14 mars 2022

L’AMM précise par ailleurs on ne peut plus clairement que la collecte des données de sécurité se poursuit en parallèle de la campagne de vaccination, l’objectif de la pharmacovigilance étant précisément de les compléter (page 14) :

« Quatre études sur des sujets pédiatriques sont prévues conformément au plan d’investigation pédiatrique. Une étude chez les femmes enceintes est également prévue dans l’UE. Une étude de sécurité de surveillance active post-approbation pour surveiller la sécurité dans le monde réel de la communauté (étude C4591010) sera menée dans l’UE à l’aide d’une collecte de données primaires qui surveille une cohorte de vaccinés et évalue le risque d’effets indésirables d’intérêt particulier (AESI). […] Ces études permettront de déterminer l’efficacité du vaccin dans un contexte réel et contre une maladie grave, et dans des groupes raciaux, ethniques et d’âge spécifiques. »

Agence européenne des médicaments : Rapport d’évaluation Comirnaty© Pfizer, p. 14
Les bénéfices revendiqués dans l’AMM n’ont jamais été atteints

Pour autant, la prudence suggérée par l’AMM était-elle une précaution inutile ? Peut-on légitimement le considérer au vu de la performance des vaccins et des données de pharmacovigilance dont nous disposons aujourd’hui, à l’heure d’injecter une 4e dose aux personnes de plus de 80 ans et d’inciter toujours plus agressivement les parents à vacciner les enfants ?

Lorsqu’on relit l’AMM un peu plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, nous serions plutôt incités à parler de « tromperie aggravée » ou d’« accident industriel » que de miracle vaccinal. Car si le miracle était d’avoir réussi à découvrir en 42 jours un vaccin efficace et sûr, qui aura été injecté pour la première fois moins de trois mois après sa sortie d’usine, la lecture du cahier des charges de l’AMM ne peut que laisser perplexe.

L’AMM a en effet été accordée sur la base d’une efficacité de 95% contre la maladie, c’est-à-dire d’une prévention contre « les formes légères et graves de COVID-19 » (page 14) , avec pour prétention « d’empêcher de nouvelles vagues pandémiques et de réduire considérablement la mortalité due à la maladie » (page 14), à raison d’une fréquence de deux doses (page 58), complétées éventuellement d’un booster administré après un délai de six mois minimum.

On rappellera en effet que, alors que la souche la plus létale du SARS-CoV-2 est celle qui sévissait lors de la première vague, l’évolution naturelle d’un virus étant de perdre de sa virulence au cours du temps, la vaccination n’a eu aucun impact sur la mortalité globale puisque le nombre de personnes décédées du COVID s’élevait à 123.805 au 31 décembre 2021, soit un an après le déploiement des vaccins (139.949 au 10 mars 2022) versus 64.464 au 31 décembre 2020 (source : Our World in Data).

Coronavirus Data Explorer 1024x723

L’objectif d’une immunité robuste et durable est par ailleurs clairement affirmé dans l’AMM :

« Par l’immunisation avec le produit à ARN modifié (ARN mod) BNT162b2, codant pour la protéine S, l’intention est de déclencher une production forte et relativement durable d’anticorps neutralisants de virus de haute affinité. »

Agence européenne des médicaments, Rapport d’évaluation Comirnaty© Pfizer, p. 41

L’écart entre les performances du vaccin, constatées en pratique, et les garanties apportées par les fabricants pose donc la question de l’intégrité des allégations contenues de l’AMM, notamment celles qui concernent les risques.

Le vaccin est injecté depuis plus d’un an à des populations pour lesquelles il n’a jamais été testé

À mille lieues de ces principes élémentaires de prudence, l’empressement du ministre de la Santé et la détermination du président de la République à vacciner chaque adulte ou enfant de plus de 5 ans ont pourtant fait oublier un élément fondamental : le vaccin a-t-il été testé sur l’ensemble des populations aujourd’hui soumises au passe vaccinal ?

Plusieurs d’entre elles ont été considérées comme prioritaires, à commencer par les personnes âgées (non représentées dans l’essai clinique), les personnes fragiles ou personnes immunodéprimées et, de manière particulièrement inquiétante, les femmes enceintes ou allaitantes. Pourtant, elles figurent explicitement dans la liste des publics pour lesquels le vaccin n’a jamais été évalué aux côtés d’un ensemble d’éléments manquants (page 124) :

« Informations manquantes :
• Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
• Utilisation chez les personnes immunodéprimées
• Utilisation cher les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
• Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
• Interaction avec d’autres vaccins
• Données de sécurité à long terme
• Données de cancérogénicité et de génotoxicité 
» (p. 50)

Agence européenne des médicaments : Rapport d’évaluation Comirnaty© Pfizer, p. 124

Peut-on donc décemment être surpris, comme semble l’être le Pr Karine Lacombe (on précisera qu’elle faisait déjà le même constat au mois de juillet), que le profil des patients hospitalisés soient aujourd’hui pour l’essentiel des personnes immunodéprimées, en échec vaccinal et vaccinées contre les recommandations des laboratoires, comme le mentionne la base de données Claude Bernard ? Ou faut-il au contraire s’inquiéter qu’elle insiste aujourd’hui, malgré l’absence d’étude clinique, sur la nécessité d’une quatrième dose pour les personnes âgées ou immunodéprimées, dites « fragiles » :

Pr K. Lacombe, Public Sénat, 14 mars 2022

Ou faut-il au contraire s’inquiéter qu’elle insiste aujourd’hui, malgré l’absence d’étude clinique, sur la nécessité d’une quatrième dose pour les personnes âgées ou immunodéprimées, dites « fragiles » :

Pr K. Lacombe, Public Sénat, 14 mars 2022
Les laboratoires n’ont jamais caché qu’ils ignoraient les risques vaccinaux

Les récentes déclarations des PDG de Pfizer et de Moderna sont-elles de nature à rassurer ? Dans cette interview datée du 10 décembre 2021, où Stéphane Bancel (Moderna) explique comment il a enfreint la procédure d’agrément imposée par la Food & Drug Administration (FDA), il répond à demi-mot à cette question :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

La confession d’Albert Bourla (Pfizer) est quant à elle particulièrement troublante puisqu’il reconnaît aujourd’hui s’être lancé dans la confection de son vaccin COVID et dans l’aventure de l’ARN messager sans la moindre expérience de cette technologie, utilisée pour la première fois dans le cadre d’une vaccination et dont les scientifiques qui en ont fait la promotion n’ont eu de cesse de nous expliquer qu’elle était parfaitement maîtrisée :

Olivier Véran soutient que les essais sont terminés

Olivier Véran peut-il décemment ignorer le cadre dans lequel la vaccination est conduite depuis plus d’un an et se satisfaire d’avoir fait plier un certain nombre de Français qui refusaient de se faire injecter un produit expérimental ? Pour information, voici la date de fin des essais cliniques pour les quatre vaccins en vigueur au début de la campagne :

Aucun ministre de la Santé ne peut bien évidemment prétendre avoir imposé ces injections en pensant que le vaccin était pleinement homologué, mais le fait qu’Olivier Véran ait explicitement menti aux Français en affirmant que les essais étaient terminés et que soutenir le contraire relèverait d’une « fakenews » pose un énorme problème aujourd’hui tant sur le plan éthique que médical puisque, jusqu’à preuve du contraire, on ne peut pas annuler les effets d’un vaccin ou revenir sur une vaccination que l’on regretterait.

On se souvient en effet de sa saillie médiatique, quelques jours avant l’annonce, par Emmanuel Macron, de la vaccination obligatoire « d’abord pour les soignants » et à terme pour tous :

Olivier Véran pourra-t-il affirmer demain qu’il ignorait que les essais cliniques sont encadrés par une législation complexe dont le règlement européen n’est qu’un minuscule fragment ou est-ce parce qu’il le sait qu’il a choisi d’opter pour un dispositif ne permettant ni de contester individuellement la violation du consentement ni de débattre publiquement de cette question ?

Il a en effet été interpellé en d’innombrables occasions sur le fait que le caractère obligatoire de la vaccination, un temps réfuté pour des raisons politiques (il s’agissait de ne pas « braquer » le législateur et de présenter le passe sanitaire comme un moyen de lutte contre l’épidémie afin de se doter d’un fichier numérique), avant d’être revendiqué puis d’être inscrit parmi les devoirs constitutionnels dont dépend désormais le maintien de la citoyenneté, enfreignait une dizaine de textes ou d’articles de loi :

La résolution 2361 du Conseil de l’Europe, même si elle n’a aucune valeur contraignante, a notamment rappelé, le 27 janvier 2021, que la vaccination contre le COVID ne peut en aucun cas être imposée aux citoyens de l’Union européenne en raison notamment des risques qu’elle comporte pour la santé :

« L’assemblée parlementaire demande instamment aux États membres et à l’Union européenne de : “s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement” et “de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner” »

Résolution 2361 du Conseil de l’Europe, le 27 janvier 2021

L’épaisseur de ce cadre donne une idée de la gravité du mensonge commis par le ministre des Solidarités et de la Santé, notamment en raison de son atteinte à l’article premier du Code de Nuremberg, rédigé au lendemain de la guerre afin d’empêcher que l’horreur des expériences nazies ne se reproduise, en particulier les expérimentations de traitements et de vaccins conduites dans les camps, et dont l’objectif était plus généralement de préciser « les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables” »  :

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. »

Code de Nuremberg : article 1 (1947)

Si la décision du conseil des prud’hommes instaure donc une jurisprudence qui force demain le Gouvernement à réintégrer l’ensemble des soignants suspendus de manière illégale, une question reste entière : comment les millions de Français qui se sont fait vacciner en pensant que leur consentement n’était pas nécessaire pourront-ils contester cette manipulation ?

 

Les conséquences d’une telle décision de justice pour les Français

À travers cette question juridique qui embolisera inévitablement les tribunaux lorsque les Français auront réalisé l’ampleur de la manipulation dont ils ont été victimes, c’est plus profondément l’extrême perversité du « passe » qui se manifeste puisqu’il ne laisse aucun espace pour dénoncer ce viol de leur consentement.

Nous n’avons jamais été dupe de l’opportunité qu’il représentait de contourner une obligation vaccinale tacitement légalisée par un Conseil constitutionnel parfaitement conscient de s’engouffrer dans un trou de souris et de l’exploiter jusqu’à l’indécence. Mais la difficulté à laquelle seront confrontés les Français lorsqu’ils voudront demain contester les conditions de leur vaccination finit de nous convaincre que le choix du passe sanitaire n’a jamais été dicté par le pragmatisme et l’efficacité sanitaire invoqués par Olivier Véran :

La décision rendue par le conseil des prudhommes d’Alençon, si elle constitue une victoire pour l’ensemble des soignants suspendus soulève in fine deux questions.

Comment comprendre que le Gouvernement ait souhaité convaincre les Français de se faire vacciner librement si ce n’est pour ne pas avoir à assumer demain le coût d’éventuels dommages induits par les injections ?

S’il s’en défend en prétendant que ces dommages seront pris en charge par l’État au même titre que dans le cadre d’une vaccination obligatoire, il existe en la matière un vide juridique. Le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à officialiser cette équivalence est un signal très noir, tout comme le budget dérisoire alloué par l’Office National d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) qui suffit à clore la question : les Français ne seront jamais indemnisés en cas d’effets secondaires.

La seconde question posée par cette décision de justice est non moins inquiétante. Comment entendre qu’Emmanuel Macron ait décidé le 4 janvier 2022 de sortir de sa réserve et de s’aventurer sur un terrain où il n’a aucune compétence pour menacer des millions de Français et imaginer un dispositif consistant à les affamer économiquement, les assigner à résidence et les priver de soins au motif qu’ils refusent de participer à une expérimentation médicale et – peut-être est-ce le point le plus effrayant de cette opération – à dissimuler à ces quelque 50 millions de bons citoyens qu’ils se sont fait enrôler à leur insu ?

Car qu’on ne s’y trompe pas, Emmanuel Macron sait parfaitement que l’obligation vaccinale est illégale, inutile et, surtout, inhumaine, et c’est en parfaite connaissance de cause qu’il a répété, droit dans les yeux le 16 mars 2022, à une soignante en pleurs, que le Gouvernement ne réintégrerait pas les soignants suspendus :

 

Source : Lepointcritique.fr

 

Informations complémentaires :

 
 
Etc, etc.            (on ne peut pas tout mettre soyez curieux).
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5 mai 2022 4 05 /05 /mai /2022 18:15
Un nouveau lot de documents sur les vaccins Pfizer de la FDA a été produit (90 702 pages) disponible ici

Un nouveau lot de documents sur les vaccins Pfizer de la FDA est disponible. Rappelons que le laboratoire voulait garder secret les 90 702 pages jusqu'en 2075, mais finalement accessibles sous la pression populaire.

Vous pouvez en découvrir la teneur ici:

https://phmpt.org/pfizers-documents/

https://www.icandecide.org/pfizer/

Parmi les documents choc, notons ce papier où Pfizer reconnaît que leur dose de 100 mg détruisent les globules blancs des receveurs ou les suppriment, au minimum.

Pfizer estime aussi l'efficacité de leur jab à 12% pour les premiers 7 jours et 1% après.

Bonne lecture.

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5 mai 2022 4 05 /05 /mai /2022 17:58

Macron est il en train de céder devant la Jurisprudence puisqu'il évoque la réintégration des soignants non-vaccinés. Comme quoi patience et longueur de temps font plus que haine ni que rage. Mais aussi faut il tenir !

Selon le droit européen, la campagne de vaccination contre le COVID est un essai en vie réelle qui ne peut être imposé à aucun être humain. Ce point avait été rappelé le 13 janvier 2022 sans que le Conseil constitutionnel ne déjuge Emmanuel Macron dans sa volonté d’« emmerder » ceux qui refuseraient de participer à une telle expérimentation. Un tribunal français vient de confirmer le 1er mars 2022 que la vaccination obligatoire est une atteinte aux droits humains fondamentaux. Quelles conséquences pour les Français mais aussi pour le Gouvernement ?

© Tingey Injury Law Firm on Unsplash

C’est un énorme caillou qui s’est glissé dans la chaussure d’Emmanuel Macron et d’Olivier Véran le 1er mars 2022 avec cette décision rendue par le conseil des prud’hommes d’Alençon en faveur d’une infirmière salariée d’un Ephad qui refusait de se faire vacciner pour raison médicale : « La législation européenne l’autorisait à refuser ce traitement dans la mesure où à ce stade il doit être considéré comme un médicament expérimental. »

Comme le prévoit la loi, elle a donc probablement été licenciée sans percevoir la moindre indemnité, en abandonnant à l’administration ses congés et en renonçant à son droit à bénéficier des minima sociaux, d’un congé de reconversion et de la possibilité d’exercer son métier en libéral. Voici en effet ce que racontait une infirmière anesthésiste à propos des conditions d’éviction des soignants ayant refusé l’injection le 15 septembre 2021 :

Exit les applaudissements à 20 heures, bienvenue dans le monde d’après. Les raisons de cette mort économique et sociale sur ordonnance : le refus de prendre le moindre risque pour sa santé après avoir survécu à un cancer au prix de traitements particulièrement lourds. Au-delà du caractère infiniment inique de cette sanction compte tenu de l’incapacité du vaccin à remplir l’objectif au nom duquel ces soignants ont été sacrifiés, on en mesure la profonde perversité lorsqu’on sait que les médecins alertent sur l’explosion des cancers postvaccinaux, notamment la reprise des cancers quiescents, que l’on croyait stabilisés ou guéris.

À la faveur du COVID, Emmanuel Macron et Olivier Véran ont donc fait table rase de tous les principes qui régissaient la médecine depuis Hippocrate : la prudence n’est plus une raison pour esquiver une injection expérimentale basée sur une technologie encore jamais utilisée sur des individus sains à des fins de prévention, et encore moins dans le cadre d’une vaccination.

Ce que dit le droit européen

Pourtant, les instances européennes avaient clarifié un point qui semblait couler de source depuis le départ : l’objectif de la campagne de vaccination mondiale étant de finaliser, en vie réelle, l’évaluation de la sécurité des injections contre le COVID, elle s’apparente à un essai clinique à grande échelle dans lequel aucun être humain ne peut être enrôlé sous la contrainte. Cette formulation peut paraître excessive pour ce qu’elle révèle de l’éthique du chef de l’État et du ministre des Solidarités et de la Santé, mais c’est pourtant la traduction exacte de la réalité à laquelle sont confrontés les Français depuis le 12 juillet 2021.

La vaccination contre le COVID est un essai clinique exigeant le consentement des participants selon le règlement [UE] no 536/2014

Le conseil des prud’hommes d’Alençon n’a donc fait qu’appliquer la loi en obligeant l’Ehpad Les Laurentides (Tourouvre-au-Perche) à se mettre en conformité avec le droit européen et en condamnant l’établissement à réintégrer l’infirmière qui contestait la légalité de son licenciement. Comme nous l’expliquions dans un précédent article, la Commission européenne a en effet rappelé, le 13 janvier 2022, le caractère expérimental de la vaccination contre le COVID et l’obligation qui en découle de respecter « les principes des bonnes pratiques cliniques », notamment le recueil écrit du consentement des participants (Directive 2001/20/CE, Art. 3, § 2, e), au même titre que pour « tous les essais cliniques qui relèvent d’une autorisation de commercialisation d’un médicament dans l’UE ».

Ce rappel de la Commission européenne faisait suite à une demande d’arbitrage adressée par les Parlementaires, face au déni des autorités sanitaires concernant le caractère expérimental des injections conféré par la conditionnalité de l’AMM et le risque auquel leur inoculation forcée expose les citoyens depuis presque huit mois :

« D’après les données de décembre 2021 du site ClinicalTrials.gov des National Institutes of Health des États-Unis, la date de fin de l’étude clinique (phases 1, 2 et 3) estimée par Pfizer/Biontech pour le vaccin Comirnaty est le 2 mai 2023(1), et celle prévue pour le vaccin ARNm-1273 de Moderna est le 27 octobre 2022(2). Selon la même source, cette date est le 14 février 2023 pour le vaccin AstraZeneca(3) et le 2 janvier 2023 pour le vaccin Janssen(4)
Compte tenu du fait que ces vaccins en phase d’étude clinique sont sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché dans l’Union, la Commission peut-elle confirmer que les dispositions du règlement (UE) nº 536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux essais cliniques de médicaments à usage humain (notamment en ce qui concerne le consentement éclairé) restent applicables aux quatre vaccins susmentionnés tant que les essais cliniques se poursuivent, même après une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, conformément au règlement (CE) nº 726/2004 du 31 mars 2004 établissant des procédures communautaires pour l’autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire, et instituant une Agence européenne des médicaments ?
 »

Commission européenne, Question prioritaire avec demande de réponse écrite  P-005425/2021

La Commission européenne a donc confirmé le 13 janvier 2022 que le règlement (UE) nº 536/2014 du 16 avril 2014 encadrant les essais cliniques s’appliquait également aux vaccins contre le COVID.

Le règlement [UE] no 536/2014 est entré en vigueur il y a plus de sept ans

La juridiction française a ainsi pris acte de l’objection fondamentale que le caractère conditionnel de l’AMM oppose à la volonté de vacciner au forceps l’ensemble des Français, quoi qu’il leur en coûte, mais elle a choisi d’aller plus loin que la Commission européenne.

De manière surprenante, en effet, la Commission a considéré que le règlement européen du 16 avril 2014 (Règlement [UE] No 536/2014) qui rappelle « les principes des bonnes pratiques cliniques » s’appliquerait à la vaccination contre le COVID à compter du 31 janvier 2022, alors que le règlement prévoit une date d’entrée en vigueur « le vingtième jour suivant celui de sa publication au Journal officiel de l’Union européenne ». Or le règlement a été publié au Journal officiel de l’Union européenne le 27 mai 2014 (JO L 158 du 27.5.2014, p. 1-76), la Commission s’étant contentée de préciser le 13 janvier 2022, sur l’insistance des Parlementaires, que rien ne permettait en effet d’exclure les injections contre le COVID de la qualification d’« essai clinique ».

Sur quelles bases s’est donc appuyé le Conseil constitutionnel pour considérer que le consentement des personnes vaccinées n’était pas nécessaire ? A fortiori, comment a-t-il pu méconnaître l’objection que représente le règlement européen puisque sa décision (Décision n° 2022-835 DC) est intervenue le 21 janvier 2022, soit huit jours après la publication de la réponse de la Commission européenne ? À quel titre a-t-il pu considérer que le fait d’imposer à des citoyens des injections répétées en dehors de tout schéma vaccinal limitant leur nombre, serait une réponse proportionnée face à un risque que les scientifiques avaient déjà assimilé à celui de contracter un simple rhume pour une majorité de Français, sans aucun bénéfice pour la plupart d’entre eux, alors que ces injections sont toujours encadrées par une AMM conditionnelle ?

Ce qu’implique concrètement une autorisation de mise sur le marché conditionnelle

En supposant que le règlement européen ne puisse être retenu que pour les vaccinations postérieures au 31 janvier 2022, Emmanuel Macron et Olivier Véran peuvent-ils invoquer une interprétation subjective de la loi par le conseil des prud’hommes, qui a considéré que les implications de ce règlement avaient une valeur rétrospective dans le contexte actuel ?

Sur le plan éthique, en tout cas, cette position n’est pas tenable et si les Sages ont choisi de l’ignorer, les raisons sont sans doute à trouver du côté d’un possible conflit entre les intérêts du président du Conseil constitutionnel et ceux du cabinet McKinsey, dont le directeur France est à la fois celui qui pilote la stratégie vaccinale française et le fils de celui le fils qui a validé la constitutionnalité du passe.

Il suffit au contraire de savoir ce qu’est une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle pour comprendre que les injections de vaccin contre le COVID sont une atteinte majeure à l’intégrité physique des personnes auxquelles elles sont aujourd’hui imposées conformément au souhait, ou de manière plus perverse, au « désir » du chef de l’État. On se souvient qu’il avait affirmé le 12 juillet 2021 qu’elles le seraient à terme pour l’ensemble de la population, malgré un cadre légal qui ne demandait visiblement qu’à être enfreint.

Les données de sécurité des vaccins ne sont pas connues à ce jour, on ignore même si elles seront un jour

Cette AMM a en effet été accordée sur la seule base des déclarations d’efficacité, de sécurité et d’innocuité des laboratoires, c’est-à-dire sur l’autoproclamation d’un « rapport bénéfice-risque positif […] dans l’immunisation active pour prévenir la maladie COVID-19 » (page 13 de l’AMM délivrée pour vaccin Pfizer). Les données cliniques permettant de confirmer l’efficacité et la sécurité des vaccins à court terme ne seront disponibles au mieux que dans deux ans (décembre 2023) pour Pfizer, soit à l’issue de l’essai clinique initial en cours, l’AMM précisant qu’« Il est probable que le demandeur sera en mesure de fournir des données complètes » (page 14).

C’est donc un immense saut dans l’inconnu que le Gouvernement propose depuis plus d’un an aux Français puisque la sécurité des injections est tout au plus une promesse faite par les laboratoires dont on rappelle qu’ils ont inclus dans les contrats une cause mentionnant qu’ils ignorent tout de leurs effets à long terme sur la santé mais qu’ils ne sauraient être tenus responsables d’éventuels dommages dans la mesure où les États en ont été dûment informés :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. »

Contrat albanais Pfizer

Il n’est toutefois pas nécessaire de se référer aux contrats pour comprendre que la notion de « risque » est indissociable de la précocité de la mise sur le marché des vaccins, l’un des trois critères d’octroi de l’AMM étant que « Les avantages pour la santé publique de la disponibilité immédiate l’emportent sur les risques inhérents au fait que des données supplémentaires sont encore nécessaires » (page 14).

On peut se demander sur ce principe ce que le Pr Karine Lacombe, interrogée le 14 mars 2022 par un journaliste du Figaro sur le refus du Gouvernement de réintégrer les soignants malgré la levée du passe vaccinal et la fermeture de dizaines de services d’urgences sur le territoire national par manque de personnel hospitalier, ne comprend pas (ou feint plus exactement de ne pas comprendre) dans le refus de milliers de soignants de se faire vacciner avec un produit expérimental dont le statut même de vaccin est contesté par des millions de scientifiques, y compris le président du Conseil scientifique :

Pr K. Lacombe, Public Sénat, 14 mars 2022

L’AMM précise par ailleurs on ne peut plus clairement que la collecte des données de sécurité se poursuit en parallèle de la campagne de vaccination, l’objectif de la pharmacovigilance étant précisément de les compléter (page 14) :

« Quatre études sur des sujets pédiatriques sont prévues conformément au plan d’investigation pédiatrique. Une étude chez les femmes enceintes est également prévue dans l’UE. Une étude de sécurité de surveillance active post-approbation pour surveiller la sécurité dans le monde réel de la communauté (étude C4591010) sera menée dans l’UE à l’aide d’une collecte de données primaires qui surveille une cohorte de vaccinés et évalue le risque d’effets indésirables d’intérêt particulier (AESI). […] Ces études permettront de déterminer l’efficacité du vaccin dans un contexte réel et contre une maladie grave, et dans des groupes raciaux, ethniques et d’âge spécifiques. »

Agence européenne des médicaments, Rapport d’évaluation Comirnaty© Pfizer, p. 14
Les bénéfices revendiqués dans l’AMM n’ont jamais été atteints

Pour autant, la prudence suggérée par l’AMM était-elle une précaution inutile ? Peut-on légitimement le considérer au vu de la performance des vaccins et des données de pharmacovigilance dont nous disposons aujourd’hui, à l’heure d’injecter une 4e dose aux personnes de plus de 80 ans et d’inciter toujours plus agressivement les parents à vacciner les enfants ?

Lorsqu’on relit l’AMM un peu plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, nous serions plutôt incités à parler de « tromperie aggravée » ou d’« accident industriel » que de miracle vaccinal. Car si le miracle était d’avoir réussi à découvrir en 42 jours un vaccin efficace et sûr, qui aura été injecté pour la première fois moins de trois mois après sa sortie d’usine, la lecture du cahier des charges de l’AMM ne peut que laisser perplexe.

L’AMM a en effet été accordée sur la base d’une efficacité de 95 % contre la maladie, c’est-à-dire d’une prévention contre « les formes légères et graves de COVID-19 » (page 14) , avec pour prétention « d’empêcher de nouvelles vagues pandémiques et de réduire considérablement la mortalité due à la maladie » (page 14), à raison d’une fréquence de deux doses (page 58), complétées éventuellement d’un booster administré après un délai de six mois minimum.

On rappellera en effet que, alors que la souche la plus létale du SARS-CoV-2 est celle qui sévissait lors de la première vague, l’évolution naturelle d’un virus étant de perdre de sa virulence au cours du temps, la vaccination n’a eu aucun impact sur la mortalité globale puisque le nombre de personnes décédées du COVID s’élevait à 123 805 au 31 décembre 2021, soit un an après le déploiement des vaccins (139 949 au 10 mars 2022) versus 64 464 au 31 décembre 2020 (source : Our World in Data).

Nombre de morts cumulés du COVID depuis le 1er mars 2020 (source : Our World in Data)

L’objectif d’une immunité robuste et durable est par ailleurs clairement affirmé dans l’AMM :

« Par l’immunisation avec le produit à ARN modifié (ARN mod) BNT162b2, codant pour la protéine S, l’intention est de déclencher une production forte et relativement durable d’anticorps neutralisants de virus de haute affinité. »

Agence européenne des médicaments, Rapport d’évaluation Comirnaty© Pfizer, p. 41

L’écart entre les performances du vaccin, constatées en pratique, et les garanties apportées par les fabricants pose donc la question de l’intégrité des allégations contenues de l’AMM, notamment celles qui concernent les risques.

Le vaccin est injecté depuis plus d’un an à des populations pour lesquelles il n’a jamais été testé

À mille lieues de ces principes élémentaires de prudence, l’empressement du ministre de la Santé et la détermination du président de la République à vacciner chaque adulte ou enfant de plus de 5 ans ont pourtant fait oublier un élément fondamental : le vaccin a-t-il été testé sur l’ensemble des populations aujourd’hui soumises au passe vaccinal ?

Plusieurs d’entre elles ont été considérées comme prioritaires, à commencer par les personnes âgées (non représentées dans l’essai clinique), les personnes fragiles ou personnes immunodéprimées et, de manière particulièrement inquiétante, les femmes enceintes ou allaitantes. Pourtant, elles figurent explicitement dans la liste des publics pour lesquels le vaccin n’a jamais été évalué aux côtés d’un ensemble d’éléments manquants (page 124) :

« Informations manquantes :
• Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
• Utilisation chez les personnes immunodéprimées
• Utilisation cher les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
• Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
• Interaction avec d’autres vaccins
• Données de sécurité à long terme
• Données de cancérogénicité et de génotoxicité 
» (p. 50)

Agence européenne des médicaments, Rapport d’évaluation Comirnaty© Pfizer, p. 124

Peut-on donc décemment être surpris, comme semble l’être le Pr Karine Lacombe (on précisera qu’elle faisait déjà le même constat au mois de juillet), que le profil des patients hospitalisés soient aujourd’hui pour l’essentiel des personnes immunodéprimées, en échec vaccinal et vaccinées contre les recommandations des laboratoires, comme le mentionne la base de données Claude Bernard ? Ou faut-il au contraire s’inquiéter qu’elle insiste aujourd’hui, malgré l’absence d’étude clinique, sur la nécessité d’une quatrième dose pour les personnes âgées ou immunodéprimées, dites « fragiles » :

Pr K. Lacombe, Public Sénat, 14 mars 2022

Ou faut-il au contraire s’inquiéter qu’elle insiste aujourd’hui, malgré l’absence d’étude clinique, sur la nécessité d’une quatrième dose pour les personnes âgées ou immunodéprimées, dites « fragiles » :

Pr K. Lacombe, Public Sénat, 14 mars 2022
Les laboratoires n’ont jamais caché qu’ils ignoraient les risques vaccinaux

Les récentes déclarations des PDG de Pfizer et de Moderna sont-elles de nature à rassurer ? Dans cette interview datée du 10 décembre 2021, où Stéphane Bancel (Moderna) explique comment il a enfreint la procédure d’agrément imposée par la Food & Drug Administration (FDA), il répond à demi-mot à cette question :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

La confession d’Albert Bourla (Pfizer) est quant à elle particulièrement troublante puisqu’il reconnaît aujourd’hui s’être lancé dans la confection de son vaccin COVID et dans l’aventure de l’ARN messager sans la moindre expérience de cette technologie, utilisée pour la première fois dans le cadre d’une vaccination et dont les scientifiques qui en ont fait la promotion n’ont eu de cesse de nous expliquer qu’elle était parfaitement maîtrisée :

Olivier Véran soutient que les essais sont terminés

Olivier Véran peut-il décemment ignorer le cadre dans lequel la vaccination est conduite depuis plus d’un an et se satisfaire d’avoir fait plier un certain nombre de Français qui refusaient de se faire injecter un produit expérimental ? Pour information, voici la date de fin des essais cliniques pour les quatre vaccins en vigueur au début de la campagne :

Aucun ministre de la Santé ne peut bien évidemment prétendre avoir imposé ces injections en pensant que le vaccin était pleinement homologué, mais le fait qu’Olivier Véran ait explicitement menti aux Français en affirmant que les essais étaient terminés et que soutenir le contraire relèverait d’une « fakenews » pose un énorme problème aujourd’hui tant sur le plan éthique que médical puisque, jusqu’à preuve du contraire, on ne peut pas annuler les effets d’un vaccin ou revenir sur une vaccination que l’on regretterait.

On se souvient en effet de sa saillie médiatique, quelques jours avant l’annonce, par Emmanuel Macron, de la vaccination obligatoire « d’abord pour les soignants » et à terme pour tous :

Olivier Véran pourra-t-il affirmer demain qu’il ignorait que les essais cliniques sont encadrés par une législation complexe dont le règlement européen n’est qu’un minuscule fragment ou est-ce parce qu’il le sait qu’il a choisi d’opter pour un dispositif ne permettant ni de contester individuellement la violation du consentement ni de débattre publiquement de cette question ?

Il a en effet été interpellé en d’innombrables occasions sur le fait que le caractère obligatoire de la vaccination, un temps réfuté pour des raisons politiques (il s’agissait de ne pas « braquer » le législateur et de présenter le passe sanitaire comme un moyen de lutte contre l’épidémie afin de se doter d’un fichier numérique), avant d’être revendiqué puis d’être inscrit parmi les devoirs constitutionnels dont dépend désormais le maintien de la citoyenneté, enfreignait une dizaine de textes ou d’articles de loi :

La résolution 2361 du Conseil de l’Europe, même si elle n’a aucune valeur contraignante, a notamment rappelé, le 27 janvier 2021, que la vaccination contre le COVID ne peut en aucun cas être imposée aux citoyens de l’Union européenne en raison notamment des risques qu’elle comporte pour la santé :

« L’assemblée parlementaire demande instamment aux États membres et à l’Union européenne de : “s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement” et “de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner” »

Résolution 2361 du Conseil de l’Europe, le 27 janvier 2021

L’épaisseur de ce cadre donne une idée de la gravité du mensonge commis par le ministre des Solidarités et de la Santé, notamment en raison de son atteinte à l’article premier du Code de Nuremberg, rédigé au lendemain de la guerre afin d’empêcher que l’horreur des expériences nazies ne se reproduise, en particulier les expérimentations de traitements et de vaccins conduites dans les camps, et dont l’objectif était plus généralement de préciser « les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables” »  :

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. »

Code de Nuremberg, article 1 (1947)

Si la décision du conseil des prud’hommes instaure donc une jurisprudence qui force demain le Gouvernement à réintégrer l’ensemble des soignants suspendus de manière illégale, une question reste entière : comment les millions de Français qui se sont fait vacciner en pensant que leur consentement n’était pas nécessaire pourront-ils contester cette manipulation ?

Les conséquences d’une telle décision de justice pour les Français

À travers cette question juridique qui embolisera inévitablement les tribunaux lorsque les Français auront réalisé l’ampleur de la manipulation dont ils ont été victimes, c’est plus profondément l’extrême perversité du « passe » qui se manifeste puisqu’il ne laisse aucun espace pour dénoncer ce viol de leur consentement.

Nous n’avons jamais été dupe de l’opportunité qu’il représentait de contourner une obligation vaccinale tacitement légalisée par un Conseil constitutionnel parfaitement conscient de s’engouffrer dans un trou de souris et de l’exploiter jusqu’à l’indécence. Mais la difficulté à laquelle seront confrontés les Français lorsqu’ils voudront demain contester les conditions de leur vaccination finit de nous convaincre que le choix du passe sanitaire n’a jamais été dicté par le pragmatisme et l’efficacité sanitaire invoqués par Olivier Véran :

La décision rendue par le conseil des prudhommes d’Alençon, si elle constitue une victoire pour l’ensemble des soignants suspendus soulève in fine deux questions.

Comment comprendre que le Gouvernement ait souhaité convaincre les Français de se faire vacciner librement si ce n’est pour ne pas avoir à assumer demain le coût d’éventuels dommages induits par les injections ?

S’il s’en défend en prétendant que ces dommages seront pris en charge par l’État au même titre que dans le cadre d’une vaccination obligatoire, il existe en la matière un vide juridique. Le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à officialiser cette équivalence est un signal très noir, tout comme le budget dérisoire alloué par l’Office National d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) qui suffit à clore la question : les Français ne seront jamais indemnisés en cas d’effets secondaires.

La seconde question posée par cette décision de justice est non moins inquiétante. Comment entendre qu’Emmanuel Macron ait décidé le 4 janvier 2022 de sortir de sa réserve et de s’aventurer sur un terrain où il n’a aucune compétence pour menacer des millions de Français et imaginer un dispositif consistant à les affamer économiquement, les assigner à résidence et les priver de soins au motif qu’ils refusent de participer à une expérimentation médicale et – peut-être est-ce le point le plus effrayant de cette opération – à dissimuler à ces quelque 50 millions de bons citoyens qu’ils se sont fait enrôler à leur insu ?

Car qu’on ne s’y trompe pas, Emmanuel Macron sait parfaitement que l’obligation vaccinale est illégale, inutile et, surtout, inhumaine, et c’est en parfaite connaissance de cause qu’il a répété, droit dans les yeux le 16 mars 2022, à une soignante en pleurs, que le Gouvernement ne réintégrerait pas les soignants suspendus :

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.

Source : Le Point Critique

 

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André Bercoff: « Les syndicats qui sont censés protégés les travailleurs n’ont pas défendu une seule fois les 15 000 soignants suspendus. »

 

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Soignants non vaccinés : “Je veux la reconnaissance que tout cela a été inhumain”, à Besançon, une soixantaine de "suspendus" portent plainte au pénal
 

 

Infirmière, psychologue, médecins... L’obligation vaccinale imposée aux soignants depuis le 15 septembre 2021 a laissé un certain nombre de personnels sans travail, leur contrat suspendu. Certains ont retrouvé un autre emploi. D’autres espèrent une réintégration. En Franche-Comté, certains ont, en attendant, décidé de se battre, en déposant plainte au pénal.

 

La plupart des soignants ont fait le choix de la vaccination, par conviction, ou du fait de l'obligation vaccinale imposée par le gouvernement. Pour d'autres, se faire vacciner contre le covid-19 n'était pas envisageable. Ils ont été suspendus de leurs fonctions.

7 mois et demi. Sans pouvoir exercer son travail au CHU de Besançon. Zoé* infirmière n’a rien oublié du 15 septembre 2021. L'incrédulité de la suspension a pris fin quand son facteur lui a fait signer le recommandé de sa lettre de suspension. Elle ne croyait pas que cet hôpital en mal de personnels puisse mettre sur la touche les siens parce qu'ils n'adhéraient pas à la vaccination. Aujourd’hui, cette infirmière poursuit son combat au pénal. “J’espère qu’on sera entendus avec cette plainte massive après cette période d’oubli. Il y en a plein qui pensent qu’on est soit réintégré, soit indemnisé, soit déjà dans d’autres boulots avec des allocations alors qu’on a rien de tout cela” confie-t-elle. Après avoir contracté le covid-19 (qui équivaut à être vacciné), cette infirmière effectue pour l’instant des missions d’intérim. Elle n’a pas retrouvé son poste au CHU de Besançon. “Cela va faire 7 mois et demi, ça va mieux, mais j’ai encore énormément de colère de l’injustice” ajoute la soignante.

Nous l’appellerons Elisa*. Elle recevait des patients en libéral. Son refus de se faire vacciner l’a contraint à dévisser un jour elle-même sa plaque de professionnelle. Un moment violent, douloureux. Dès le lendemain de sa suspension, elle s’est mise en quête de travail. Elle a trouvé dans la grande distribution. Intérimaire. Puis CDI. Avec des petites payes à trois chiffres qui l’ont mené à fréquenter la banque alimentaire. “Aujourd’hui, je sais ce que c’est de vivre en tant que travailleur pauvre, de faire un travail, très difficile. Je suis très reconnaissante des personnes qui m’ont permis de retrouver du travail malgré mon âge, malgré mon histoire” confie-t-elle. Celle qui a fait des études pour devenir psychologue, ne désespère pas de reprendre à terme son activité normale. Elle explique “ne pas regretter son choix, ne pas regretter par rapport à l’expérience qu’elle est en train de vivre”. Elisa* a elle aussi porté plainte au pénal.

Ces deux dossiers sont entre les mains de Me Anne-Sylvie Grimbert et Me Fabien Stucklé, avocats à Besançon. Ils ont déposé plainte contre X au pénal auprès des procureurs de Besançon, Vesoul et Lons-le-Saunier. Une procédure lancée pour une soixantaine de soignants de tous profils, infirmiers, aides-soignants, médecins, psychologues, secrétaires médicales, ostéopathes…

Ces soignants non vaccinés ont été suspendus après la loi du 5 août 2021 qui prévoit l’obligation vaccinale contre le covid-19 pour pouvoir exercer une activité dans le milieu médical ou dans un Ehpad par exemple.

Leur plainte s’appuie sur deux arguments, l’abus d’autorité, et l’extorsion de consentement, car ces soignants n’ont plus eu de libre de choix sur le vaccin du covid-19.

On a besoin de nos soignants, et dans le même temps, on leur demande de ne pas venir travailler, il a quelque chose qui ne va pas.

Me Anne-Sylvie Grimbert, avocate à Besançon

“Il y a des soignants qui depuis le 15 septembre 2021 ne travaillent plus. Certains ont traversé la rue comme disait Mr Macron pour chercher un autre emploi, dans un rayon de charcuterie, ou en horticulture. Ils n’ont droit à rien pendant cette période-là. On se passe de la compétence de ces gens-là, et de leur expérience. Et ces gens-là, on les cloue au pilori, ils n’ont plus rien pour survivre alors qu’on se souvient que ces gens-là, on nous a demandé de les applaudir au premier confinement” explique Me Anne-Sylvie Grimbert.

L’avocate est consciente que la procédure peut prendre, des mois, voire des années. Elle s’insurge contre cette loi du 5 août 2021 toujours en vigueur et de la violence qu’elle a entraîné contre les soignants. “En tant qu’avocate, quand j’ai lu la loi, je me suis dit que ce n’est pas possible. Il faut vraiment qu’on se réveille en tant que juriste pour critiquer cette loi, dire qu’on est allé beaucoup trop loin. La France est un des très rares pays au monde à avoir été aussi loin dans la violence faite à nos soignants. Il faudra rendre des comptes un jour” estime l’avocate.

Cette dernière ne perd pas espoir. “On a quelques décisions de Conseil de prudhommes qui ordonnent la réintégration de soignants même s’ils ne sont pas vaccinés. Les lignes bougent, c’est notre travail de juriste de continuer” confie Me Grimbert.

En France, à ce jour, le masque et le pass sanitaire (présentation d'une preuve vaccinale, d'un test négatif ou d'un certificat de rétablissement) seront toujours exigés dans "les établissements de santé, les maisons de retraite, les établissements accueillant des personnes en situation de handicap qui sont particulièrement fragiles", de même que "l'obligation vaccinale, qui s'applique aux soignants".

En déplacement dans les Hautes-Pyrénées, vendredi 29 avril, le nouveau président de la République a été interrogé sur la réintégration des soignants suspendus. «Quand on ne sera plus en phase aiguë [de l'épidémie, ndlr], on le fera», a indiqué le chef de l'État au Français qui l'interrogeait. «Vis-à-vis des autres soignants qui se sont fait vacciner, qui ont fait l'effort aussi, déontologique, qui a été porté par les ordres médicaux, on ne peut pas, alors qu'il y a encore des cas, réintégrer tout de suite», s'est-il justifié. «On est aujourd'hui en train de continuer à descendre» la courbe des cas, mais il est encore trop tôt, a semblé indiquer Emmanuel Macron. «Si ça continue de baisser dans les prochaines semaines, on ira dans cette direction», a-t-il ajouté, lors de ce déplacement.

*Les prénoms ont été modifiés

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4 mai 2022 3 04 /05 /mai /2022 18:56
Jean Lassalle: « Peut-être que le vaccin Johnson m’a flingué l’oreillette droite qui allait très bien…je verrai si je porte plainte ou pas…Des regrets ? S’il s’avère que c’est vrai oui !…D’après des médecins d’Ambroise Paré, de Cochin »
 

Jean Lassalle: « Peut-être que le vaccin Johnson m’a flingué l’oreillette droite qui allait très bien…je verrai si je porte plainte ou pas…Des regrets ? S’il s’avère que c’est vrai oui !…D’après des médecins d’Ambroise Paré, de Cochin »

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Jean Lassalle quitte l’Assemblée nationale. Député depuis le 16 juin 2002 au sein du groupe politique Libertés et Territoires, il a annoncé ce lundi 2 mai qu'il ne sera pas candidat aux élections législatives qui auront lieu le 12 et 19 juin prochain, rapporte France Bleu. Lors d’une conférence de presse, Jean Lassalle a justifié sa décision par la “situation nationale”, fustigeant une élection présidentielle “jouée d’avance”. Le futur ex-député béarnais a également déclaré qu’il allait subir une opération à cœur ouvert. 

Jean Lassalle, qui a partagé sa “très forte émotion” de quitter l’hémicycle, a, par ailleurs, fait savoir qu’il était en discussion avec son frère Julien Lassalle, berger, pour que ce dernier reprenne le flambeau.

 

Un opposant aux mesures sanitaires

 

Qualifié "d'adepte du covido-scepticisme" par une partie de la presse, l'ex-candidat à la présidentielle s'est illustré au cours de la crise du Covid-19 par sa remise en cause de la stratégie politique du "tout-vaccin", affirmant que les autorités sanitaires manquaient de recul sur les injections. Il avait également relayé le documentaire Hold-up en novembre 2020, s'interrogeant sur la gestion de la crise sanitaire, mais aussi sur l'influence des groupes financiers "dans la marche du monde".

 

Au mois de février, Jean Lassalle rapportait des problèmes cardiaques, liés, selon des médecins consultés, à la vaccination contre le Covid-19. "J’ai été vacciné avec du Johnson et j’ai des médecins qui s’interrogent sur le fait de savoir si cela n’a pas abimé mon cœur", expliquait-il sur RTL, le 11 février. Affirmant s’être fait vacciner en juillet 2021 à l’Assemblée nationale, il ajoutait avoir reçu une seconde dose de vaccin… mais, cette fois, avec "du Moderna"

Interrogé sur Europe 1 le 4 avril, le député des Pyrénées-Atlantiques dénonçait un profond manque de débat au sein de notre société, arguant que la France est une "dictature molle". D'après lui, celle-ci "s'est imposée à nous et tue impitoyablement en silence".

 

Une enquête ouverte après son abstention au second tour

 

Si son problème de santé semble être l’une des raisons de son retrait, Jean Lassalle fait aussi l’objet d’une enquête pénale ouverte par le parquet de Pau suite à son abstention médiatisée devant l’urne du second tour des élections présidentielles. Le Conseil constitutionnel a annulé les suffrages de la commune de Lourdios-Ichère, suite à sa mise en scène relayée sur les réseaux sociaux. 

Jugeant que ces poursuites sont des "infractions au Code électoral concernant les atteintes à la sincérité des scrutins", l'ex-candidat à la présidentielle, qui a recueilli 3,13% des voix au premier tour de l’élection, assure qu’il se battra "corps et âme" pour défendre "son honneur".

Avec une personnalité atypique et proche de ses habitants, la vie politique de Jean Lassalle aura longuement fait parler de lui : grève de la faim en 2006 dans la salle des Quatre colonnes, chant béarnais devant l’hémicycle de l’Assemblée nationale, ou encore combat médiatisé de 39 jours pour s’opposer à la délocalisation de l’usine japonaise Toyal de la vallée d'Aspe.

 

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4 mai 2022 3 04 /05 /mai /2022 17:30

 

 

 

 

Le Département de la Défense des États-Unis (DOD) a attribué un contrat à un bio-laboratoire en Ukraine pour la "Recherche COVID-19" le 12 novembre 2019 - trois mois avant que la pandémie n'existe officiellement.

Selon des documents récemment publiés, le contrat attribué à Labyrinth Global Health INC faisait partie d'un "programme secret de réduction des menaces biologiques en Ukraine".

 

Par coïncidence, Labyrinth Global Health collabore avec EcoHealth Alliance de Peter Daszak et Metabiota d'Ernest Wolfe depuis sa création en 2017.

 

 

 

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L'Allemagne a étudié comment les armes biologiques propagent les épidémies dans des biolabs ukrainiens financés par le Pentagone

Des allégations ont été portées contre l'Allemagne selon lesquelles elle aurait étudié comment les armes biologiques propageaient les épidémies dans les biolabs ukrainiens financés par le Pentagone.

L'Allemagne a étudié comment les armes biologiques propagent les épidémies dans des biolabs ukrainiens financés par le Pentagone

L'information a été révélée par Maria Zakharova, directrice du département de l'information et de la presse du ministère russe des Affaires étrangères, lors d'une interview .

 

 

 

 

 

Question : Il a été rapporté récemment que les troupes russes ont trouvé de nouveaux dossiers sur l'activité biologique militaire en Ukraine lors d'une opération militaire spéciale en Ukraine. Vous est-il possible de développer cela ?

Maria Zakharova : Dans le cadre de l'opération militaire spéciale en Ukraine (SMO), les forces armées russes ont découvert des documents faisant la lumière sur le projet biomilitaire du département américain de la Défense en Ukraine. Les chercheurs du programme se sont penchés sur les virus les plus meurtriers - des agents d'armes biologiques potentiels - qui ont des foyers géographiques à la fois en Ukraine et en Russie. Ils examinaient également les méthodes par lesquelles ces agents pathogènes propageaient des maladies. En raison de l'ampleur du projet, il est clair qu'une partie importante, sinon la majorité, des connaissances sur le programme militaire américain est cachée au reste du monde.

 

Le 9 mars 2022, la sous-secrétaire d'État aux affaires politiques, Victoria Nuland, a déclaré au comité sénatorial américain des relations étrangères que Washington tentait de bloquer le transfert de certains matériaux scientifiques des bio-laboratoires ukrainiens aux forces russes. Igor Kirillov, chef des forces de défense radiologique, chimique et biologique des forces armées russes, a révélé les efforts bio-militaires américains en Ukraine lors de conférences de presse les 7, 10, 17, 24 et 31 mars, sur la base des renseignements recueillis au cours de la guerre russe. SMO des forces armées en Ukraine. Il a également présenté des conclusions fondées sur une analyse professionnelle. Ces matériaux sont encore étudiés par les chercheurs.

 
 

Question : Quelles mesures la Russie prend-elle pour s'assurer que les États-Unis clarifient sa collaboration biologique militaire avec l'Ukraine ?

Maria Zakharova : La Russie a publiquement révélé les informations factuelles qui ont jusqu'à présent été au premier plan à l'ONU et dans d'autres organisations internationales, et a appelé les responsables américains à fournir des explications claires, mais Washington, sans surprise, ne semble pas disposé à révéler des données utiles. avec le public au sujet de son programme biologique militaire en Ukraine.

 

En outre, croyant clairement que l'attaque est la meilleure défense, la Maison Blanche a lancé une nouvelle campagne de propagande basée sur la fausse affirmation selon laquelle les tentatives de la Russie d'attirer l'attention internationale sur les actions des biologistes militaires américains en Ukraine ne sont rien d'autre qu'un écran de fumée que Moscou chercher à dissimuler toute utilisation potentielle d'armes biologiques ou chimiques au cours de l'opération militaire spéciale.

 
 

Cette tentative maladroite des États-Unis de détourner l'attention du public du sujet extrêmement brûlant des installations biologiques contrôlées par les États-Unis en Ukraine en le noyant dans cette "sensation apocalyptique" a été étonnamment soutenue par les dirigeants politiques allemands. Plusieurs politiciens et bureaucrates allemands de premier plan, dont le chancelier fédéral Olaf Scholz, ont publié des déclarations qui font écho au récit américain en lançant des menaces et des avertissements justes dirigés contre la Russie. La position verbale formelle préemptive de Berlin dans le sens de la crise ukrainienne est cohérente avec la stratégie qu'elle a longtemps suivie dans le contexte de la crise (qui n'aide pas à la résoudre aujourd'hui et a précédemment conduit le processus de Minsk dans une impasse avec ses penchant délibérément pro-Kiev), mais il se distingue par son pessimisme pur et simple à l'égard du récit général de la propagande anti-russe qui vient d'Allemagne ces dernières semaines. Avant tout, compte tenu de la situation critique dans laquelle, avant même que les forces armées russes ne commencent cette opération militaire spéciale, l'Allemagne et les États-Unis menaient de fortes activités biologiques militaires en Ukraine depuis de nombreuses années et pourraient encore le faire. Nous sommes certains que c'est essentiellement ce qui pousse l'Allemagne à être plus active que les autres pays de l'UE pour tenter de lier notre pays à des projets criminels impliquant le déploiement d'armes biologiques et chimiques en Ukraine et dans les républiques populaires non libérées de Donetsk et de Lougansk. avant même que les forces armées russes ne commencent cette opération militaire spéciale, l'Allemagne et les États-Unis menaient de fortes activités biologiques militaires en Ukraine depuis de nombreuses années et pourraient encore le faire. Nous sommes certains que c'est essentiellement ce qui pousse l'Allemagne à être plus active que les autres pays de l'UE pour tenter de lier notre pays à des projets criminels impliquant le déploiement d'armes biologiques et chimiques en Ukraine et dans les républiques populaires non libérées de Donetsk et de Lougansk. avant même que les forces armées russes ne commencent cette opération militaire spéciale, l'Allemagne et les États-Unis menaient de fortes activités biologiques militaires en Ukraine depuis de nombreuses années et pourraient encore le faire. Nous sommes certains que c'est essentiellement ce qui pousse l'Allemagne à être plus active que les autres pays de l'UE pour tenter de lier notre pays à des projets criminels impliquant le déploiement d'armes biologiques et chimiques en Ukraine et dans les républiques populaires non libérées de Donetsk et de Lougansk.

Question : Y a-t-il plus d'informations disponibles sur les actions biologiques militaires de l'Allemagne en Ukraine ?

 

 

Maria Zakharova : Les points suivants peuvent vous aider à mieux appréhender la situation. Le gouvernement allemand a promulgué le programme allemand de biosécurité (GBP) depuis 2013, sous les auspices du ministère fédéral allemand des Affaires étrangères, qui implique également des projets de partenariat avec des agences gouvernementales et des organismes de recherche dans les pays cibles, auxquels l'Ukraine a adhéré en 2014, l'année de Maïdan. Des experts allemands de l'Institut de microbiologie des forces armées allemandes (Munich), de l'Institut Friedrich Loeffler (île de Greifswald-Riems), de l'Institut Bernhard Nocht de médecine tropicale (Hambourg) et de l'Institut Robert Koch (Berlin), tous spécialisés dans recherche sur les agents biologiques létaux, participent à des activités pratiques.

La troisième étape du GBP sera exécutée en 2020-2022, selon le ministère fédéral allemand des Affaires étrangères. À partir des sources accessibles au public, nous pouvons déduire que les objectifs technologiques déclarés du GBP comprennent, entre autres, l'acquisition de renseignements sur les épidémies dans les pays tiers, y compris en utilisant la technologie des mégadonnées, et le développement des infrastructures des pays partenaires pour la gestion des agents biologiques nocifs.

Selon ses propres archives, l'Institut de médecine vétérinaire expérimentale et clinique de Kharkov est devenu le principal homologue ukrainien de l'Institut de microbiologie des forces armées allemandes depuis 2016. Dans le cadre de l'initiative ukraino-allemande "Initiative sur la sécurité biologique et la défense biologique dans le Gestion des risques zoonotiques aux frontières extérieures de l'Union européenne », les deux instituts collaborent. L'idée que son objectif déclaré est « d'améliorer la situation de la défense biologique et de la sécurité » en Ukraine, « en particulier dans l'est du pays » soulève la question rhétorique de savoir quelle frontière les scientifiques militaires allemands considèrent comme une frontière extérieure pour leurs intérêts professionnels. Est-ce la frontière entre la Russie et l'Ukraine ?

 

 
 

Dans ses documents, l'Institut de microbiologie déclare que l'initiative est liée à la "menace potentielle de terrorisme biologique" en Ukraine, malgré les hostilités en cours dans les régions orientales du pays. C'est clairement une manière d'envoyer un message subliminal sur la possible « implication » de la DPR et de la LPR dans l'élaboration de plans d'emploi d'armes biologiques interdites à l'échelle mondiale. L'armée allemande intimide intentionnellement ses collègues ukrainiens depuis longtemps, les poussant psychologiquement contre les républiques du Donbass. Des experts ukrainiens en sécurité biologique sont constamment présents aux conférences médicales sur la biodéfense de l'Institut de microbiologie des forces armées allemandes, qui se tiennent régulièrement.

Pour assurer la sécurité contre une éventuelle attaque biologique, il est clair que les agents biologiques potentiels avec lesquels elle peut être faite doivent d'abord être étudiés. En d'autres termes, des recherches sur le sujet des armes biologiques ou chimiques sont nécessaires. Les forces armées allemandes (AFG) ont des connaissances suffisantes et une compétence réelle dans ce domaine, comme l'a révélé l'incident notoire avec l'empoisonnement inexplicable du blogueur Alexey Navalny. Des spécialistes de l'Institut de pharmacologie et de toxicologie AFG - un institut militaire affilié à l'Institut de microbiologie AFG - auraient trouvé extrêmement rapidement des preuves d'une toxine militaire appartenant au groupe Novichok dans le corps d'un citoyen russe.

 

Sur l'île baltique de Riems, l'institut allemand Friedrich Loeffler, qui contrôle le centre d'étude des virus et des infections zoonotiques les plus à risque, conserve une collaboration visible avec l'institut ukrainien de recherche d'État sur les diagnostics de laboratoire et l'expertise vétérinaire-sanitaire (Kiev ), l'Institut d'État de contrôle scientifique des biotechnologies et des souches de micro-organismes (Kiev) ainsi qu'avec l'Institut de médecine vétérinaire expérimentale et clinique (Kharkov) qui collabore conjointement avec l'Institut de microbiologie AFG. L'Institut Friedrich Loeffler en Ukraine étudie la fièvre hémorragique de Crimée-Congo. En 1944, des scientifiques soviétiques l'ont détecté pour la première fois dans la péninsule russe de Crimée.

 

En Ukraine, l'Institut Bernhard Nocht de médecine tropicale a concentré ses efforts sur les fièvres les plus meurtrières, notamment Denge, Chikungunya, West Nile et Usutu, pour n'en citer que quelques-unes.

Cette liste des efforts bio-militaires de l'Allemagne en Ukraine n'est en aucun cas complète. Il n'est pas impossible que les forces armées russes découvrent plus de documents au fur et à mesure que l'opération militaire spéciale se développe. Selon des témoignages vérifiables, les efforts de l'Allemagne en matière de sécurité biologique étaient étroitement liés à ses alliés américains, qui ont mis en place un réseau d'au moins 30 laboratoires biologiques en Ukraine. Ils étaient actifs dans des études périlleuses en plus de leurs autres intérêts.

 

Nous exigeons que les responsables allemands cessent de diffuser de fausses informations concernant les projets de notre pays d'employer des armes interdites par le droit international. Nous pensons que de telles déclarations ne feront qu'encourager les bataillons néo-nazis à commettre d'horribles provocations, et que Berlin sera moralement responsable des tristes conséquences.

 

 

 

 

 

 

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30 avril 2022 6 30 /04 /avril /2022 18:54

Voir nouvelles vaccin en fin d'article !

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LA PRESSE IRLANDAISE : « Pfizer savait très bien que ses vaccins pouvaient tuer…Leur seul objectif était de vendre des milliards d’euros à la terre entière !!! »

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Par The Exposé

Une nouvelle étude scientifique, publiée le 21 avril 2022, a conclu que la vaccination par le Covid-19 peut provoquer une hépatite à médiation immunitaire (inflammation du foie) distincte, dominée par les lymphocytes T, avec un pathomécanisme unique associé à une immunité résidente tissulaire spécifique de l’antigène induite par la vaccination, nécessitant une immunosuppression systémique.

Ces résultats interviennent quelques jours seulement après que l’Organisation mondiale de la santé a lancé une “alerte mondiale” concernant une nouvelle forme d’hépatite grave affectant les enfants, et après que le gouvernement britannique a annoncé qu’il lançait une enquête urgente après avoir détecté des taux d’inflammation du foie (hépatite) plus élevés que d’habitude chez les enfants, après avoir exclu les virus courants qui provoquent cette affection.

Le 15 avril 2022, l’Organisation mondiale de la santé a lancé une alerte mondiale concernant une nouvelle forme d’hépatite aiguë sévère dont l’étiologie (la cause) est inconnue et qui touche depuis un mois au Royaume-Uni des enfants auparavant en bonne santé. Des cas ont également été notifiés en Espagne et en Irlande. Les tests ont exclu tous les virus de l’hépatite précédemment connus.

L’annonce a été faite après que l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a récemment détecté des taux plus élevés que d’habitude d’inflammation du foie (hépatite) chez les enfants.

Au 25 avril, il avait été confirmé que les infections par l’hépatite avaient frappé des enfants dans douze pays différents, la majorité de ces cas ayant augmenté au Royaume-Uni. Au moins 169 cas avaient été signalés à cette date et 17 enfants avaient eu besoin d’une greffe du foie. Malheureusement, au 25 avril, 1 enfant avait malheureusement perdu la vie.

L’hépatite est une affection qui affecte le foie et peut survenir pour un certain nombre de raisons, y compris plusieurs infections virales courantes chez les enfants. Cependant, dans les cas faisant l’objet de l’enquête, les virus courants qui causent l’hépatite n’ont pas été détectés.

Les symptômes de l’hépatite comprennent:

  • urine foncée
  • caca pâle de couleur grise
  • démangeaisons de la peau
  • jaunissement des yeux et de la peau (jaunisse)
  • douleurs musculaires et articulaires
  • une température élevée
  • se sentir et être malade
  • se sentir inhabituellement fatigué tout le temps
  • perte d’appétit
  • douleurs abdominales

Une étude précédente menée pour le compte de Pfizer dans la seconde moitié de 2020, a révélé que le contenu des injections de Covid-19 et la protéine de pointe qu’ils demandent aux cellules d’une personne de produire, ne restent pas au site d’injection, et circulent plutôt dans toutes les parties du corps pendant au moins 48 heures. Cependant, le temps pendant lequel ils circulent / s’accumulent pourrait être beaucoup plus long, mais les scientifiques qui ont mené l’étude n’ont pris des observations que pendant 48 heures.

La plus grande concentration de l’injection de Pfizer Covid-19 a été observée dans le foie, 16% de la dose administrée étant observée dans cet organe après 48 heures.

Source – Page 23

Chez les animaux qui ont reçu l’injection de BNT162b2, des effets hépatiques réversibles ont été observés, y compris une hypertrophie du foie, une vacuolation, une augmentation des taux de gamma-glutamyl transférase (γGT) et une augmentation des taux d’aspartate transaminase (AST) et de phosphatase alcaline (ALP) [source]. Selon les effets hépatiques transitoires induits par les systèmes d’administration de LNP ont été rapportés précédemment [sources 1,2,3,4]

Aujourd’hui, une nouvelle étude, publiée le 21 avril 2022, a conclu que la vaccination contre le Covid-19 peut provoquer une hépatite à dominante T CD8.

Les scientifiques qui ont mené l’étude sont tous employés par les institutions suivantes :

  1. Département de médecine II (gastroentérologie, hépatologie, endocrinologie et maladies infectieuses), Centre médical universitaire de Fribourg, Faculté de médecine, Université de Fribourg, Fribourg, Allemagne
  2. Faculté de chimie et de pharmacie, Université de Fribourg, Fribourg, Allemagne
  3. Institut de pathologie chirurgicale, Centre médical universitaire de Fribourg, Université de Fribourg, Fribourg, Allemagne
  4. Institut de neuropathologie et Centre de bases en neuromodulation (NeuroModulBasics), Faculté de médecine, Université de Fribourg, Fribourg, Allemagne
  5. Centres de recherche sur la signalisation BIOSS et CIBSS, Université de Fribourg, Fribourg, Allemagne
  6. Institut de pathologie, École de médecine TUM, Université technique de Munich, Munich, Allemagne
  7. Consortium allemand contre le cancer (DKTK), site partenaire Fribourg, Allemagne

Le résumé de la nouvelle étude se lit comme suit :

Des épisodes d’hépatite auto-immune ont été décrits à la suite d’une infection par le SRAS-CoV-2 et de la vaccination, mais leur physiopathologie reste incertaine. Ici, nous rapportons le cas d’un homme de 52 ans, présentant des épisodes bimodaux d’hépatite aiguë, chacun survenant 2 à 3 semaines après la vaccination par ARNm BNT162b2 et cherchant à identifier les corrélats immunitaires sous-jacents.

Les scientifiques ont mené l’étude via la méthode suivante –

« La cytométrie de masse par imagerie pour le profilage immunitaire spatial a été réalisée sur le tissu de biopsie du foie. La cytométrie en flux a été réalisée pour disséquer les phénotypes des lymphocytes T CD8 et identifier longitudinalement les lymphocytes T spécifiques du SRAS-CoV-2 et de l’EBV. Les anticorps induits par le vaccin ont été déterminés par ELISA. Les données étaient corrélées avec les laboratoires cliniques. »

Les résultats ont été les suivants :

« L’analyse du tissu hépatique a révélé un infiltrat immunitaire quantitativement dominé par des lymphocytes T CD8 cytotoxiques activés à distribution panlobulaire. Un enrichissement des lymphocytes T CD4, des lymphocytes B, des plasmocytes et des cellules myéloïdes a également été observé par rapport aux témoins. L’infiltrat intrahépatique a montré un enrichissement des lymphocytes T CD8 avec une spécificité du SARS-CoV-2 par rapport au sang périphérique.

Notamment, la gravité de l’hépatite était corrélée longitudinalement avec un phénotype cytotoxique activé de cellules T périphériques spécifiques du SRAS-CoV-2, mais pas de lymphocytes T CD8+ spécifiques de l’EBV ou d’immunoglobulines induites par le vaccin.

Amener les scientifiques à conclure –

« La vaccination COVID19 peut provoquer une hépatite distincte à médiation immunitaire à dominante de lymphocytes T avec un mécanisme pathologique unique associé à une immunité tissulaire spécifique à l’antigène induite par la vaccination nécessitant une immunosuppression systémique. »

En termes simples, ce que les scientifiques ont découvert, c’est que l’inflammation du foie (hépatite) peut survenir chez certaines personnes après la vaccination et partage certaines caractéristiques typiques avec une maladie hépatique auto-immune.

Ceci est causé par des lymphocytes T hautement activés (également appelés lymphocytes T, un type de leucocyte [globules blancs] qui est une partie essentielle du système immunitaire) qui s’accumulent dans les différentes zones du foie.

Dans ces lymphocytes T infiltrant le foie se trouve un enrichissement des lymphocytes T qui sont réactifs au SRAS-CoV-2, ce qui suggère que les cellules induites par le vaccin Covid-19 contribuent à l’inflammation du foie.

Le NHS a commencé à déployer l’injection de Pfizer Covid-19 à cinq millions d’enfants de 5 à 11 ans au Royaume-Uni au début du mois d’avril 2022. Elle l’administrait auparavant aux jeunes enfants jugés vulnérables depuis la fin de 2021.

Est-ce juste une coïncidence si, quelques semaines plus tard, un nombre extrêmement préoccupant d’enfants souffrent d’hépatite de cause inconnue? Une forme d’hépatite si grave que les enfants ont besoin de greffes de foie et perdent la vie.

Trop de temps et d’argent ont été consacrés à insister sur le fait que les injections de Covid-19 sont extrêmement sûres et efficaces pour que les autorités admettent maintenant qu’elles avaient tort. Et ils ont aussi beaucoup trop d’argent immobilisé dans Big Pharma pour risquer de tout perdre en le faisant.

Mais avec des études concluant que les injections de Pfizer Covid-19 peuvent causer une hépatite sévère, c’est sûrement l’un des premiers endroits que l’Organisation mondiale de la santé et l’UKHSA devraient rechercher afin d’éviter que d’autres enfants ne perdent malheureusement la vie.

Sources/Références

 

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Virginie Joron: « Communiqué de la Commission de Mme Von der Leyen 3 jours après l’élection de Macron, qui nous annonce que les États membres doivent intensifier la vaccination et l’administration de doses de rappel et améliorer la gouvernance mondiale. L’AFP cela ne vous intéresse pas ? »
 

Virginie Joron: « Communiqué de la Commission de Mme Von der Leyen 3 jours après l’élection de Macron, qui nous annonce que les États membres doivent intensifier la vaccination et l’administration de doses de rappel et améliorer la gouvernance mondiale. L’AFP cela ne vous intéresse pas ? »

 

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Pourquoi la Croix Rouge US n'utilise-t-elle que le sang de nonvax pour le plasma de convalescent ?
 
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20 avril 2022 3 20 /04 /avril /2022 09:16
Le plan de l'OMS avec l'aide et surtout la délégation des Etats pour la gestion des pandémie pour l'OMS. Vous trouverez dans les informations de multiples pistes qui dessinent un gouvernement type mondial, mais Occidental.

 

 

https://www.businessbourse.com/wp-content/uploads/2022/02/Christine-Anderson.jpg

 

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La députée européenne Christine Anderson parle du «Traité International sur les pandémies» qui transférerait une grande partie des pouvoirs à l’OMS en cas de pandémie.
Vous vouliez le nouvel ordre mondial, le voilà : le traité pandémique de l’OMS en discution

 

Source

Vous vouliez le nouvel ordre mondial, le voilà : le traité pandémique de l’OMS en discussion

La crise du coronavirus a permis d’accélérer le mouvement de globalisation, qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques ne sont plus adaptés à la nouvelle situation : si les Etats, qui résistaient encore, ont failli, le défaut de base légale est flagrant et l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne peut entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Au son de « Plus jamais ça« , comme s’il s’agissait d’une guerre sainte – qui ne soit menée justement contre nous, l’ ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique, désarmant les Etats, renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » (de qui ?) de l’OMS. Il n’est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d’Etats souverains, mais d’une étrange « sécurité », totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination, qu’il faut sauver d’elles-mêmes. Puisque tant qu’il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger …

L’OMS se réunit en urgence en ce moment pour trois jours à Genève, il faut dire qu’il y a vraiment urgence, cela fait deux ans que ça dure, que le virus-roi varie et évolue tranquillement, que les populations sont de plus en plus écrasées et les Etats de plus en plus discrédités. Les gens s’habituent au Covid, la résistance s’intensifie et se propage, parallèlement à la radicalisation des mesures adoptées contre les gens, évidemment « pour leur bien » et puisque ça ne marche pas (sanitairement) depuis deux ans, il faut continuer.

Comme le déclare le directeur de l’OMS : « Si nous avons compris quelque chose, c’est que pas une seule région, pas un seul Etat, pas une seule société et pas un seul individu ne sera en sécurité tant que nous ne garantissons la sécurité de tous et de chacun. »

Comment l’humanité a-t-elle pu vivre avant, quand il y avait des pandémies qui se propageaient sur différents continents, sans pour autant arrêter la vie de tous, tant que la sécurité de chacun sera garantie ? Par ailleurs, nous ne savons toujours pas ce que signifie cette « sécurité » : nous propose-t-on la vie éternelle ou la prison à vie ?

Mais quelle chance, justement super Omicron est arrivé et le monde n’est pas prêt à l’accueillir – aïe aïe aïe, il faut faire quelque chose. Et, Ô miracle, la réponse est déjà là, le Traité pandémique de l’ONU arrive dans vos assiettes.

La Parisien nous rejoue une mauvaise parodie de la der des der avec « Plus jamais ça!« , reprenant sans même sourire les paroles caricaturales et déplacées du directeur de l’OMS.

 
« Tout cela se reproduira à moins que vous, les nations du monde, ne vous unissiez pour dire d’une seule voix : plus jamais ça ! », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l’ouverture de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé.

Donc, cet organe décisionnel s’est réuni en toute urgence pour quoi ? Pour adopter le Traité pandémique, que vous trouverez ici, dont l’intérêt est de sortir la gouvernance des limites posées par les textes en vigueur, qui ne sont pourtant pas si contraignantes que cela, comme l’expérience le montre.

Plusieurs éléments apparaissent. Il s’agit notamment de renforcer le travail sur les données génétiques, de donner un fondement à la limitation globale des droits de l’homme, au transfert des compétences étatiques vers l’OMS, etc. L’intérêt de l’adoption d’un Traité, et non pas d’une modification du règlement sanitaire, est politique et juridique : le fait de la ratification au plus haut niveau va impliquer les décideurs politiques dans les pays et juridiquement, le traité va entrer dans l’ordre juridique national. Ce traité doit également être global, car il doit non seulement interagir avec les autres instruments juridiques internationaux déjà existants, mais il doit en simplifier les mécanismes et élargir leur champ d’action. Surtout, il permet de se réapproprier la définition de la pandémie, qui va permettre de lancer ces mécanismes de gouvernance.

Dans la négociation de ce traité, les ONG et les entreprises, notamment pharmaceutiques, sont considérées, en plus des « partenaires » qualifiés de scientifiques, qui font la comm covidienne, comme des sujets de premier choix. La question des conflits d’intérêt est abordée pour être immédiatement écartée, puisqu’ils détiennent des « informations » importantes …

Même s’il va falloir du temps pour ratifier ce traité, il est attendu qu’il provoque un effet politique de mobilisation dans les pays et donc, de facto, des effets avant même son entrée formelle en vigueur. Ces mécanismes s’appuient évidemment sur le principe de loyauté internationale, ce qui effectivement fonctionne très bien au niveau des élites dirigeantes, quel que soit le pays.

Si la forme et la question du financement sont très développées dans le projet publié, la question du contenu est touchée de manière assez floue, car c’est bien le plus sensible. L’on peut ainsi lire :

« Les mesures proposées jusqu’à présent sous différentes formes et forums visent à combler à la fois les lacunes et les faiblesses du cadre normatif international actuel pour la PPR. Les propositions couvrent un large éventail de questions, depuis la notification, le partage d’informations et les voyages internationaux et les mesures liées au commerce – domaines déjà couverts (mais largement considérés comme inadéquats) dans le RSI (2005), à la réduction du risque de pandémie de propagation des zoonoses et la refonte du financement mondial de la PPR – des domaines où existent certaines formes de coopération internationale, mais pas encore de règles contraignantes.

La question du partage rapide et équitable des agents pathogènes et des données de séquençage génétique – non couverte par le RSI (2005) mais étroitement liée au Protocole de Nagoya – a suscité une attention considérable. Des appels ont également été lancés pour établir une interface science-politique pour la PPR, par analogie avec le GIEC.Des examens indépendants ont recommandé d’adopter une formulation plus pratique des mesures de voyage actuellement dans le RSI (2005), et de revoir la coordination internationale des restrictions de voyage et aux frontières en vue des prochaines pandémies.

 

La nécessité de règles de conformité et de responsabilité a été mentionnée dans la plupart des examens. Les avis comprenaient également la nécessité pour le traité de définir le terme « pandémie », actuellement absent du RSI (2005).

En ce qui concerne les questions transversales, des points ont été soulevés concernant les droits de l’homme, les dimensions intersectorielles et de développement d’un futur traité. Les liens avec les politiques environnementales et One Health ont été constamment soulignés. Les propositions concernant la fourniture et l’accès équitable aux vaccins et autres produits et technologies essentiels ont souligné les liens avec les règles du commerce international et de la propriété intellectuelle. Les propositions faisaient également référence à une stratégie globale visant à renforcer les capacités de l’OMS en matière de PPR.

Les problèmes soulevés moins souvent, mais néanmoins attirant l’attention, incluent la préparation des systèmes de santé au-delà des capacités de santé publique couvertes par le RSI (2005), et les problèmes liés à la réponse sociale et économique pour soutenir l’action et les résultats en matière de santé. (…) Une proposition a également été faite pour repenser le paradigme de la sécurité sanitaire mondiale afin de se concentrer sur « la sécurité des personnes et non des frontières ».

Si les formulations sont vagues, l’ONU donne le ton : il faut renforcer les pouvoirs de l’OMS sur les politiques nationales et sur les hommes. Sans oublier, évidemment, une hausse du financement. Dans cette nouvelle vision de la gouvernance globale, l’OMS doit être, je cite, « plus indépendante », la question étant de savoir de qui …

Mais il se trouve des voix pour affirmer qu’un traité, c’est trop long, il faut encore aller plus vite dans le renoncement de la gouvernance nationale et du transfert des compétences. Evidemment, tel est le cas des Etats-Unis, puisque à la fin, ils sont les bénéficiaires politiques directs de ce mouvement. Ce qui en fait ressemble à une sorte de chantage : soit vous renoncer définitivement à ce qu’il vous reste de souveraineté et adoptez un traité en ce sens, soit, de toute manière, nous prendrons ces compétences. Et il n’y a aucune raison d’attendre la moindre résistance des élites gouvernantes.

Karine Bechet-Golovko

 

 

PS : Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé que les préparations d’une prochaine rencontre en réel entre Biden et Poutine étaient bien avancées.

Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…
 

Nous avons vu dans notre dernière publication que l’OMS a l’ambition de s’approprier la gouvernance mondiale de la santé avec des conséquences définitives et irrémédiables sur l’autorité locale, celle-ci devenant une simple exécutante de l’organisation supranationale.

En faisant mes recherches sur la montée en puissance de l’OMS (vs l’autorité locale), je suis tombée hier sur des informations très intéressantes qui concernent la France, et curieusement 3 ministères sont signataires, dont celui de la Santé de Agnès Buzyn, actuellement sur la sellette.

 

Ce n’est pas la première fois que nous parlons d’elle ici. Souvenez-vous quand nous avions découvert le dossier où la ministre de l’époque demandait le classement de l’hydroxychloroquine dans la catégorie des molécules vénéneuses. Nous avions alors trouvé que le timing de ce classement était incroyablement troublant par rapport à l’émergence du Covid.

Nous avions parlé aussi d’elle dans l’étude du rôle de Alain Fisher, le monsieur vaccin de France, qui avait réussi à faire passer l’obligation de faire injecter 11 vaccins aux enfants. La ministre de l’époque était Mme Buzyn.

La vidéo ci-dessous montre à quel point Mme Buzyn était contestée dans le milieu hospitalier mis sous pression de manière chronique et interpellante.

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LA PLUS GRANDE PLAINTE DE L’HISTOIRE : 1000 avocats et 10 000 experts médicaux ont déposé cette plainte appelée « Nuremberg 2 contre l’OMS » à la cours suprême de justice du Canada…Tests PCR frauduleux, vaccins sont des expériences génétiques, Bref ça va faire très mal!!!!

 

Ça y est c'est parti !! Le plus grand procès de l'histoire est sur le point d'arriver.

À écouter très attentivement !#Nuremberg2 #PassVaccinalDeLaHonte #Omicron pic.twitter.com/zFOiw0Lp0S

— Plume Mia #Reconquête  (@Mlusine26715361) January 12, 2022

 

 

 

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20 avril 2022 3 20 /04 /avril /2022 09:02

Qu'est-ce que le tonnerre - Définition et comment il se forme

 

Enfin une décision qui risque de faire tâche d'huile, pourquoi l'Europe a t elle négociée et commandée des vaccins au nom des états, par le biais de contrats opaques (voir les liens entre Van der Leyen et Pfizer et l'affaire des textos)

 

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La Pologne ne commandera ni ne paiera plus de doses de vaccin COVID-19, dans le cadre du contrat d'approvisionnement de l'Union européenne, a déclaré mardi son ministre de la Santé, ouvrant la voie à une bataille juridique avec les fabricants.

La Pologne, ainsi que d'autres membres de l'UE, ont reçu des vaccins COVID-19 pendant la pandémie de coronavirus, dans le cadre de contrats d'approvisionnement conclus entre la Commission européenne et des fabricants de vaccins, tels que BioNTech SE (22UAy.DE) et Pfizer (PFE.N) ou Moderna (MRNA .O) .

Le plus grand fournisseur de la Pologne est Pfizer. Cependant, le pays a enregistré une consommation de vaccins inférieure à celle de la plupart des pays de l'Union européenne et dispose d'un stock de vaccins excédentaire, dont une partie a été vendue ou donnée à d'autres pays.

"À la fin de la semaine dernière, nous avons utilisé la clause de force majeure et informé à la fois la Commission européenne et le principal producteur de vaccins que nous refusons de prendre ces vaccins pour le moment et que nous refusons également de payer", a déclaré le ministre de la Santé Adam Niedzielski. diffuseur privé TVN24.

"En effet, la conséquence de cela sera un conflit juridique, qui a déjà lieu", a-t-il déclaré.

La Pologne ne peut pas résilier directement le contrat de fourniture de vaccins car les parties aux contrats sont la Commission européenne et les fabricants, a-t-il déclaré.

La valeur du contrat de fourniture de vaccins à la Pologne jusqu'à la fin de 2023 avec un seul producteur valait plus de 6 milliards de zlotys (1,4 milliard de dollars), dont plus de 2 milliards de zlotys pour la fourniture en 2022.

Pfizer a déclaré que son accord sur la fourniture de son vaccin COVID-19 aux États membres de l'Union européenne était avec la Commission européenne.

"Nos discussions avec les gouvernements et les détails des livraisons de vaccins sont confidentiels", a-t-il ajouté.

Le partenaire de Pfizer, BioNTech, a seulement déclaré que Pfizer était en charge de la relation commerciale avec la Pologne.

La Pologne, un pays d'environ 38 millions d'habitants, a signalé 5.983.864 cas de coronavirus et 115.809 décès.

Le porte-parole de la Commission européenne pour la santé, Stefan de Keersmaecker, a déclaré mardi lors d'une conférence de presse que les États membres étaient liés par des obligations contractuelles, mais qu'il comprenait la "position difficile" de la Pologne.

"Nous continuons à faciliter les discussions entre le gouvernement polonais et l'entreprise afin de trouver une solution pragmatique à cette situation spécifique à laquelle le pays est confronté", a-t-il déclaré.

En Pologne, 59% de la population a été vaccinée avec deux doses et 31% a reçu un rappel. Ce chiffre est bien inférieur à la moyenne de l'UE de 72,5% et de près de 53%, respectivement.

(1 $ = 4,2868 zlotys)

Source

 

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Pologne : Le Tribunal constitutionnel déclare le droit polonais supérieur au droit européen

 

Catégories : #Politique internationale

Pologne : Le Tribunal constitutionnel déclare le droit polonais supérieur au droit européen

Le tribunal constitutionnel polonais juge une partie des traités européens incompatible avec la Constitution, affirmant ainsi la primauté du droit polonais sur le droit européen.

Le tribunal constitutionnel polonais a décidé, jeudi 7 octobre, que certains articles des traités européens sont incompatibles avec sa Constitution nationale et sapent la souveraineté du pays. « Des organes européens agissent au-delà de leurs compétences », a ainsi déclaré la présidente du tribunal, Julia Przylebska.

Cette décision est le dernier rebondissement d’un long affrontement entre la Pologne et l’Union européenne (UE) au sujet de réformes judiciaires controversées introduites par le parti conservateur nationaliste au pouvoir Droit et justice (PiS). Dans son arrêt, Mme Przylebska a énuméré plusieurs articles du traité de l’UE qui, selon elle, sont incompatibles avec la loi suprême polonaise, dénonçant en outre « l’ingérence de la Cour de justice de l’UE dans le système juridique polonais ».

Le porte-parole du gouvernement, Piotr Müller, a salué l’arrêt du tribunal, soulignant qu’il confirmait « la primauté du droit constitutionnel sur les autres sources de droit ». Ce dernier considère toutefois que cette décision « n’affecte pas les domaines dans lesquels l’UE a des compétences déléguées dans les traités », tels que les règles de concurrence, le commerce et la protection des consommateurs.

Primauté du droit polonais sur les lois européennes
La plus haute instance juridique du pays, qui avait reporté sa décision quatre fois d’affilée, affirme ainsi la primauté du droit polonais sur le droit européen, se rapprochant d’un véritable « Polexit législatif », épouvantail brandi de longue date par l’opposition démocrate. L’Union européenne s’est rapidement dite « préoccupée » par la situation et a assuré qu’elle « utilisera tous les outils » à sa disposition pour protéger la primauté du droit européen, a réagi le commissaire Didier Reynders.

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