Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 171 541 visiteurs 276 832 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 18:25
Par JULIEN G. – Le 10 novembre, le ministre de la santé a préparé doucement mais surement les esprits à la généralisation de la 3e injection pour continuer à jouir du pass sanitaire. Toujours avar de propos anxiogènes et alarmistes sur une hypothétique 5e vague, il a refusé d’envisager une abrogation, voir même une adaptation, du pass dans les prochains mois. Enfin, il a, également, commencé à poser les jalons sur la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

1.Quand la 3e dose devient une réalité.

Interrogé, hier, par les sénateurs pendant les questions d’actualité au gouvernement, Olivier Véran est revenu sur l’opportunité d’ouvrir plus largement le rappel vaccinal alors que la troisième dose sera accessible aux plus de 50 ans début décembre.

Troisième dose pour tous: « peut-être que dans quelques mois, nous devrons faire un rappel plus large », a estimé le ministre.

Pour les personnes âgées de 50 à 64 ans, la vaccination en rappel commencera début décembre. Quant aux moins de 50 ans, «les études montreront si les niveaux de protection conférés par le vaccin déclinent aussi quand on est plus jeune ou non», a expliqué Olivier Véran sur TF1. «Si on voit que c’est le cas, on proposera le rappel», a-t-il ajouté

Fidèle à ses pratiques, le ministre de la santé adoube, aujourd’hui, le rappel des plus de 50 ans quelques semaines après avoir annoncé l’inverse.

Rappelons-nous, que le 14 octobre dernier, la ministre du Travail Elisabeth Borne faisait savoir que le gouvernement français n’écartait pas la possibilité de retirer le pass sanitaire aux citoyens qui refuseraient une troisième dose de vaccin contre le Covid-19.
Cette annonce d’Elisabeth Borne intervenait au lendemain de la parution du Canard enchaîné, dans lequel on pouvait lire que l’idée de supprimer les avantages du pass sanitaire à tous ceux qui n’ont pas eu leur troisième dose plus de sept mois après la 2e aurait été proposée par le ministre de la Santé Olivier Véran, à l’occasion d’un Conseil de défense sanitaire remontant au 6 octobre.

Nous voyons bien ici que toute cette « mascarade » était déjà savamment orchestrée et que comme à son habitude l’exécutif prépare le terrain avant de transmettre une décision (qu’il a prise depuis longtemps) au moment qu’il jugera opportun.

2.Le pass sanitaire maintenu et pour longtemps.

Pour le ministre de la Santé, la question de la suppression du pass sanitaire ne se pose pas actuellement.
“À l’évidence, beaucoup de nos voisins sont dans une cinquième vague, qui peut parfois être plus dure que les précédentes”, a estimé Olivier Véran mercredi 10 novembre sur TF1.

Il s’est refusé, ce 10 novembre, devant les sénateurs, à évoquer tout calendrier de suppression du pass sanitaire au lendemain de l’annonce d’un durcissement de ce pass pour les plus de 50 ans.

«A quand la suppression du pass sanitaire ? Aujourd’hui nous faisons face à une recrudescence de l’épidémie et ce n’est certainement pas le moment de se poser la question», a déclaré le ministre.

Selon lui, le durcissement du pass est susceptible de limiter les contaminations en évitant à des personnes âgées insuffisamment immunisées de propager le virus.

«Si on considère qu’au bout d’un moment, la protection conférée par un vaccin est moins importante, il est logique du coup de restreindre l’accès au pass sanitaire», a-t-il conclu.

Il s’appuie, notamment, sur l’étude publiée par la revue spécialisée Sciences le 4 novembre dernier, qui indiquait que l’efficacité des vaccins contre la contamination au Covid-19 chutait de façon spectaculaire au bout de 6 mois.

Olivier Véran se refuse donc à évoquer tout calendrier pour sa suppression du pass et ce n’est pas pour rien qu’il a milité ardemment en faveur du passage, très controversé, du projet de loi maintenant le passe jusqu’au 31 juillet 2022.

3.L’enfant nouvelle cible privilégiée.

La vaccination contre le Covid-19 a commencé depuis une semaine chez les 5-11 ans aux États-Unis. En effet, quelque 900.000 enfants américains âgés de 5 à 11 ans ont reçu leur première dose de vaccin Pfizer contre le Covid-19. La vaccination de cette tranche d’âge a été lancée la semaine dernière dans la foulée de l’autorisation par les autorités sanitaires.

Israël a, aussi, approuvé mercredi soir la vaccination des enfants contre le coronavirus.

Depuis le printemps dernier, en Pologne, les enfants âgés de trois mois à onze ans reçoivent le vaccin « anti-Covid » et plusieurs actions ont été entreprises pour mettre un terme à cet essai douteux au niveau éthique.

« Les lois sont bafouées, le code de Nuremberg est violé » : six médecins, un chercheur et trois avocats-juristes-notaires, tous membres de l’Association des médecins et chercheurs indépendants polonais (AMCIP), se sont exprimés dans une conférence tenue à la Maison de la presse le 2 octobre 2021 à Varsovie.

S’adressant aux hommes politiques, aux citoyens et parents, ils démontrent pourquoi la campagne de vaccination relève plutôt d’un essai clinique que d’une volonté de protéger la population.

La France sera-t-elle bientôt concernée par la vaccination des jeunes enfants ?

Une éventuelle campagne de vaccination des plus jeunes en France ne débuterait pas avant la fin de l’année au plus tôt, a indiqué Olivier Véran mercredi soir.

Et malgré un échantillon très réduit (moins de 3000 enfants) de l’étude de Pfizer et que l’on manque encore de recul, Véran n’exclut pas la mise en place de cette injection « juvénile » dès la fin de l’année.

Bien aidé par les conseils d’Alain Fischer, le “monsieur vaccin” du gouvernement, qui encourage à observer les résultats aux États-Unis, en particulier sur la circulation du virus chez les enfants.

Comme à chaque fois, Pfizer avait assuré, fin septembre, que  son vaccin était très efficace et bien toléré par les 5-11 ans, via un simple communiqué de presse.

Mais alors que les récentes révélations sur le Pfizergate font l’effet d’une bombe, il serait judicieux que les autorités sanitaires françaises s’interrogent (enfin) sur l’efficacité et la sûreté annoncées triomphalement par Pfizer.

En effet, ses relais zélés n’ont pas été au rendez-vous dans la vie réelle.

Les réactions (…ou l’absence de réaction) des autorités régulatrices, instances sanitaires, et de leurs relais médicaux et médiatiques, seront suivies avec attention … surtout concernant nos enfants !

Source: lecourrierdesstrateges.fr

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 18:20

Le CECC déclare que l’approbation des vaccins COVID pour les enfants de moins de 12 ans ne sera pas envisagée tant que la question de la deuxième dose n’aura pas été réglée

#Taiwan interrompt la deuxième dose du #vaccin #Pfizer-BioNTech pour les 12-17 ans en raison d’un risque de #myocardite

Le chef du Centre central de commandement des épidémies (CECC) (WIKI), Chen Shih-chung (陳時中), a déclaré mercredi (10 novembre) qu’un groupe d’experts a décidé de suspendre l’administration des deuxièmes doses du vaccin COVID de Pfizer-BioNTech (BNT) (WIKI) aux enfants âgés de 12 à 17 ans, car on craint qu’il n’augmente le risque de myocardite.

Des cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la paroi externe du cœur) ont été signalés après la vaccination au Pfizer-BNT d’enfants âgés de 12 à 17 ans. Selon les statistiques américaines, le risque de myocardite chez les jeunes après avoir reçu la deuxième dose de Pfizer-BNT est 10 fois plus élevé qu’après la première dose, rapporte CNA.

Certains pays ont adapté leurs politiques concernant l’administration des vaccins COVID-19 aux adolescents. Par exemple, Hong Kong est passé de deux doses de Pfizer-BNT à une seule dose pour les 12-17 ans. Le Royaume-Uni a fait de même en recommandant une seule dose pour les enfants âgés de 12 à 18 ans, selon CNA.

Chen a déclaré que le Comité consultatif pour les pratiques de vaccination (ACIP) du ministère de la Santé et des Affaires sociales a décidé de suspendre l’administration de la deuxième dose de Pfizer-BNT à ce groupe d’âge pendant deux semaines, période pendant laquelle les experts et les médecins des Centres de contrôle des maladies (CDC) (WIKI) examineront les 16 cas de myocardite chez les adolescents après la vaccination Pfizer-BNT avant de prendre une décision finale sur l’opportunité de procéder à la deuxième injection.

Des données internationales seront également consultées avant que la décision finale ne soit prise, a déclaré le chef du CECC, ajoutant qu’actuellement, les enfants âgés de 12 à 17 ans sont vaccinés avec deux doses dans le monde entier, sauf à Hong Kong et au Royaume-Uni.

Quant à savoir si les vaccins COVID-19 seront approuvés pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, M. Chen a déclaré que la question ne sera pas examinée tant que la question de la deuxième dose pour les enfants de 12 à 17 ans ne sera pas réglée.

TAIPEI (Taiwan News)

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 17:51

 

 

 
 
En France, aucun média n'a daigné proposer une enquête de ce type. Seul la propagande provax est acceptée. Tout le reste, on le met sous le tapis.
 
Extraits:
 
Emission Exclusif diffusée le 2 novembre 2021 sur RTL TVi en Belgique
le thème "Vaccin Covid: que fait-on des effets secondaires". 
 
Documentaire intégral:



Voici un document officiel de la Société française d'Ophtalmologie.
 

#FRANCE : Effets secondaires liés à la piquouse (suite)... Voici un document officiel de la Société française d'#Ophtalmologie...

Vidéo censurée de la rédactrice en chef du magazine Wochenblick, qui a fait le tour du monde
 
Partager cet article
Repost0
14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 17:37
Partager cet article
Repost0
14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 17:29

Y a t il un connivence ou une ligne directrice entre ces deux hommes !

____________________________________________

Bill Gates a exhorté les gouvernements du monde entier à sanctionner les utilisateurs en ligne qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination.

 

 

Dans une nouvelle interview de 30 minutes avec le politicien britannique Jeremy Hunt, M. Gates a évoqué la « préparation à la pandémie » et le déploiement actuel de vaccins dans le monde.

« Nous avons besoin d’une nouvelle façon de faire les vaccins », a déclaré Gates à Hunt.

 

https://twitter.com/RebelNewsOnline/status/1458180914576609282?s=20

 

M. Gates a souligné l’importance de supprimer ce qu’il a appelé les « fausses informations » concernant le coronavirus et les « vaccins » approuvés par le gouvernement qui l’accompagnent. Il a déploré la montée de ce que l’on appelle « l’hésitation du masque » et « l’hésitation du vaccin » chez ceux qui choisissent de ne pas porter le masque ou de ne pas se soumettre aux injections expérimentales.

Au lieu de s’en remettre aux médias sociaux pour réglementer « ce qui doit circuler » en ligne en ce qui concerne les discussions scientifiques sur la médecine et les vaccins COVID, M. Gates a suggéré que les gouvernements devraient « prendre les devants » pour contrôler la censure des médias en ligne, après avoir critiqué les plateformes telles que Facebook pour avoir été « un peu lentes » à enfoncer le clou.

Le magnat de la technologie a ensuite jeté l’opprobre sur les géants des médias sociaux, en se moquant de leurs motivations en matière de publication de contenu, qui sont loin d’être vertueuses, tout en préconisant que les gouvernements prennent en charge le contrôle des discussions sur Internet.

Affirmant qu’il n’est pas « réaliste » d’attendre de Big Tech qu’elle modère suffisamment ses propos, M. Gates a suggéré que « les gouvernements finiront par décider [des] supposées théories du complot sauvages : doivent-elles être vérifiées ? Doit-on ralentir leur diffusion ? Doit-on y placer des points de vue contrebalancés ? »

Après avoir exprimé une certaine insatisfaction à l’égard de la réponse mondiale à COVID-19, Gates a expliqué qu’il souhaitait désormais que les responsables politiques planifient les « futures pandémies », en s’appuyant sur les efforts concertés de 2020, en demandant aux organismes internationaux de mettre en place des programmes de surveillance médicale et de commencer à « s’entraîner » à répondre à d’éventuelles menaces biologiques à l’aide d’une série de « germ games« .

M. Gates a appelé à la création d’un « groupe de travail sur les pandémies à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] » qui effectuerait des simulations d’attaques bioterroristes dans les aéroports, a-t-il déclaré, par exemple. « Vous dites, ok, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui. »

Le groupe de travail nécessiterait des « dizaines de milliards » de dollars d’investissement de la part des nations du monde pour se préparer à l’éventualité d’une arme biologique fabriquée, a suggéré M. Gates.

« On pourrait donc penser qu’il s’agit d’une priorité », a-t-il déclaré, prédisant que « l’année prochaine, ces allocations [financières] devront être faites, y compris pour ce groupe de travail sur la pandémie mondiale ».

 

_____________________________________________________________________

 

Les personnes qui diffusent des « informations erronées » sur les vaccins COVID-19 sont des « criminels », déclare le PDG de Pfizer

« Ils ont littéralement coûté des millions de vies. »

 

Les personnes qui diffusent des « informations erronées » sur les vaccins COVID-19 sont des « criminels », selon le PDG de Pfizer.

Lors d’une intervention devant le groupe de réflexion mondialiste Atlantic Council, basé à Washington D.C., Albert Bourla, PDG de Pfizer, a accusé un « très petit » groupe de personnes de faire circuler des informations qui incitent les gens à hésiter à se faire vacciner.

« Ces personnes sont des criminels », a-t-il déclaré au PDG de l’Atlantic Council, Frederick Kempe. « Ce ne sont pas de mauvaises personnes. Ce sont des criminels parce qu’ils ont littéralement coûté des millions de vies. »

Bourla a poursuivi en suggérant que la vie ne reviendrait jamais « à la normale » qu’une fois que les non-vaccinés auront été vaccinés.

« La seule chose qui se dresse entre le nouveau mode de vie et le mode de vie actuel est, franchement, l’hésitation à l’égard des vaccinations », a-t-il déclaré.

La tendance croissante à diaboliser les personnes qui remettent en question la sécurité et l’efficacité des vaccins en les considérant non seulement comme des « théoriciens du complot », mais aussi comme de véritables criminels qui méritent la prison, s’accélère.

Comme nous l’avons déjà souligné, le gouvernement britannique tente de faire passer une nouvelle loi qui prévoit d’emprisonner pendant deux ans les personnes qui publient de « fausses informations » sur les vaccins.

Traiter comme des « criminels » des personnes qui mettent en cause des milliardaires propriétaires de sociétés transnationales responsables de 3 milliards de dollars de corruption est sûrement bon pour la société, non ?

Un processus similaire est en jeu lorsqu’il s’agit de ceux qui remettent en question le dogme officiel vomi par les technocrates du changement climatique.

D’ici peu, les gens ne seront pas seulement interdits de médias sociaux pour avoir remis en question l’orthodoxie, ils seront envoyés directement en prison.

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2021 2 02 /11 /novembre /2021 18:32
 

Le Professeur Montagnier : « Ils favorisent des comportements qui mènent à la mort rapide de beaucoup de patients…Ces gens-là imposent des choses inadmissibles avec des effets secondaires graves ! Tout ceci doit être considéré comme des crimes qui seront payés un jour !!! »

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2021 2 02 /11 /novembre /2021 18:31
 

Bonjour Mr Véran, Pourquoi des clauses et des pages des contrats avec Pfizer + AstraZeneca et Moderna … sont entièrement noircies ? Ecoutez l’Euro député Roumain Cristian Terhes. Scandaleux ! Elle est où la transparence (29 Oct Parlement européen)

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2021 2 02 /11 /novembre /2021 18:25
Liste des 15 présidents de départements qui refusent de verser le RSA aux non-vaccinés

 

Liste des 15 présidents de départements qui refusent de verser le RSA aux non-vaccinés

Selon Sud Ouest, quinze présidents de département ont écrit le 29 octobre 2021 au Premier ministre : ils refusent d’assumer seuls le versement du RSA aux employés suspendus du fait de leur non-vaccination, et dénoncent le manque de concertation de l’État avant la prise de cette décision.


Les départements refusent d’assumer seuls le versement du RSA aux antivax. C’est en substance ce qui se dégage d’un communiqué du Conseil départemental de Gironde, écrit ce vendredi 29 octobre en réaction à la demande du gouvernement, qui réclame aux collectivités locales de verser le revenu de solidarité active (RSA) aux « personnes privées d’emploi suite à un refus d’obligation de vaccination. »

Vous pouvez télécharger les photos de nos élus au format PNG pour illustrer les futures manifestations. Lien valable une semaine : https://we.tl/t-oG1R4VxWGP

Une dépense supplémentaire que dénoncent la Gironde et quatorze autres départements qui ont signé une lettre destinée au Premier ministre Jean Castex. Parmi les signataires, les Landes, la Haute-Vienne et le Lot-et-Garonne. Ces instances estiment anti-législatif de rémunérer certains salariés sous prétexte que ces derniers ne puissent exercer leurs fonctions du fait de leur refus du vaccin anti-Covid.

Le RSA est un « dispositif d’insertion sociale et professionnelle » et il ne peut « remplacer une allocation nationale versée suite à un arrêt d’activité pour motif d’absence de passe sanitaire », soulève ainsi la missive.

Lire la suite…

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2021 7 31 /10 /octobre /2021 18:40
Etats-Unis : feu vert pour la vaccination des enfants de 5 à 11 ans avec le vaccin Pfizer
 

 

Illustration. Les enfants américains de 5 à 11 ans pourront être vaccinés. LP/O.C

C’était une annonce attendue. Ce vendredi soir, les États-Unis ont autorisé, via l’Agence américaine des médicaments (FDA), l’utilisation du vaccin anti-Covid de l’industriel Pfizer pour les enfants de 5-11 ans. Les premières injections pourraient être réalisées dès le mois de novembre. Au moins 28 millions d’enfants sont concernés.

Cette autorisation en urgence de l’Agence américaine des médicaments a été accordée après le passage en revue minutieux des résultats d’essais cliniques menés par Pfizer sur plusieurs milliers d’enfants. « En tant que mère et médecin, je sais que les parents, les soignants, le corps enseignant et les enfants attendaient cette autorisation avec impatience », a salué dans un communiqué Janet Woodcock, commissaire par intérim de la FDA. « Vacciner les jeunes enfants contre le Covid-19 est une étape supplémentaire vers un retour à la normale », a-t-elle insisté.

Chez les 5 à 11 ans, plus de 1,9 million de cas de Covid-19 ont été enregistrés depuis le début de la pandémie aux États-Unis, plus de 8300 hospitalisations, et une centaine de décès. Mardi, un comité d’experts indépendants s’était réuni, et au terme d’une journée de discussions, s’était prononcé en faveur de l’immunisation des 5-11 ans avec ce vaccin. Selon les essais cliniques, le remède a démontré une efficacité de 90,7 % pour prévenir les formes symptomatiques de la maladie chez cette tranche d’âge.

Vers une autorisation en Europe ?

Avant que les injections ne commencent, un comité d’experts des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) doit à son tour se réunir en début de semaine prochaine pour rendre son avis. Cette agence de santé publique fédérale publiera ensuite ses recommandations, ultime étape du processus.

Le dosage du vaccin a été adapté à 10 microgrammes par injection (au nombre de deux, administrées à trois semaines d’écart), contre 30 microgrammes pour les groupes plus âgés. Le bouchon des flacons destinés aux enfants sera orange, et ainsi facilement reconnaissable comparé aux bouchons violets des flacons pour les groupes plus âgés.

Mercredi, le coordinateur de la lutte contre la pandémie à la Maison Blanche, Jeff Zients, avait déclaré que le gouvernement se tenait prêt, aussitôt l’autorisation de la FDA annoncée, à « envoyer immédiatement des millions de doses » aux quatre coins du pays, « à des dizaines de milliers de pédiatres, médecins de famille, hôpitaux pour enfants, centres de santé, cliniques rurales et pharmacies ».

Les recommandations de la FDA font souvent référence dans le monde. L’Agence européenne des médicaments est également en train d’examiner une demande d’autorisation du vaccin de Pfizer pour cette tranche d’âge.

Source

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2021 7 31 /10 /octobre /2021 18:32
 
Doug Peterson a mené une enquête de grande ampleur.
 
Auteur(s): FranceSoir
 

Coup de tonnerre dans l'État du Nebraska ! Une enquête minutieuse menée par le procureur général Doug Peterson dénonce les pratiques frauduleuses des mastodontes de l'industrie pharmaceutique et les liens douteux avec les agences de régulation (FDA, CDC). Après avoir longuement analysé les très nombreuses études scientifiques sur les traitements précoces et constaté l'action de ces molécules contre la Covid 19, il redonne aux médecins la liberté de prescrire l'hydroxychloroquine et l'ivermectine.

À la demande du département de la santé de l’État du Nebraska, le 15 octobre, le procureur général (équivalent du ministre de la justice de l'État du Nebraska), Doug Peterson, a émis un avis juridique selon lequel les médecins  peuvent légalement prescrire de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine pour le traitement contre le Sars-CoV-2, à condition d'obtenir le consentement éclairé du patient.

 

Une enquête minutieuse qui a précédé la décision

Peu de sujets ont suscité autant de controverses que les traitements précoces par ivermectine et hydroxychloroquine, deux médicaments peu coûteux et connus de longue date, largement utilisés avec succès dans de nombreuses régions du monde pour la prévention et le traitement de la Covid 19. Ces deux molécules ont déchaîné les passions. À en perdre la raison. Les publications sont nombreuses et certains médecins les administrent encore aux États-Unis, même si les agences de régulation ne recommandent toujours pas ces deux médicaments alors que certains praticiens sont poursuivis pour les avoir prescrits.

Malgré cette situation, certains scientifiques ont publié des études dans lesquelles ils apportaient des preuves d’efficacité et la médiatisation de certaines d’entre elles montrant de bons résultats ont conduit Dannette Smith, chef du département de la santé et des services sociaux du Nebraska (Uniform Credencial Act) à demander au bureau du procureur général si les médecins pouvaient prescrire l'ivermectine ou l'hydroxychloroquine.

Avant de rendre ses conclusions, le procureur Doug Peterson a pris le temps de mener une véritable enquête sur ces traitements précoces. Pour cela, il a choisi de limiter ses conclusions aux deux molécules les plus utilisées dans le monde, à savoir l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, sans exclure la possibilité que d'autres médicaments non homologués puissent s'avérer prometteurs en prophylaxie ou en traitement contre le Sars-CoV-2.

Voir aussi : Steve Kirsch offre 2 millions d'euros à qui pourra prouver que les recommandations de traitements de l'OMS et du NIH sont justes

 

L’hydroxychloroquine

Au cours de son investigation, il commence par s’intéresser au fameux article publié dans le Lancet qui dénonce la dangerosité de l’hydroxychloroquine en mai 2020. Par la découverte de statistiques erronées fabriquées par des auteurs qui ont refusé de fournir des données analysées, il comprend que cette étude est frauduleuse. Une fraude d’ailleurs reconnue par le rédacteur en chef en personne qui avait admis que l'article était une "fabrication", une "fraude monumentale" et un "exemple choquant d'inconduite en matière de recherche" au beau milieu d'une urgence sanitaire mondiale. Hélas, malgré la rétractation des auteurs et la médiatisation de son retrait, le mal était fait puisque plusieurs pays allaient cesser de soigner avec cette molécule et de nombreux essais cliniques ont été annulés ou interrompus.

Revenant à des études cliniques antérieures, le procureur continue son enquête en analysant une étude de 2004 effectuée en laboratoire et qui révélait que la chloroquine était "un inhibiteur efficace de la réplication du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV) in vitro" et que pour cette action, celle-ci devrait "être envisagée pour une utilisation immédiate dans la prévention et le traitement des infections par le SARS-CoV". En 2005, un nouvel essai clinique montrait que la chloroquine avait des effets antiviraux puissants contre l'infection par le SRAS-CoV et qu'elle était efficace pour prévenir la propagation du SARS-CoV dans les cultures cellulaires.

Faisant état de résultats similaires concernant l'hydroxychloroquine - un dérivé moins toxique que la chloroquine - largement utilisée depuis son approbation par la FDA en 1955 pour le traitement du paludisme, il cite plusieurs études montrant que l'hydroxychloroquine présente non seulement des propriétés antivirales capables d'inhiber l'entrée, la transmission et la réplication du virus SRAS-CoV-2, mais également anti-inflammatoires, qui contribuent à réguler les cytokines pro-inflammatoires.

Sur les possibles effets secondaires de l’hydroxychloroquine, il se montre très rassurant après avoir lu les compte-rendus d’un groupe de chercheurs qui ont procédé à un examen qui a révélé que les personnes qui prennent de l'hydroxychloroquine à des doses appropriées "courent un très faible risque de subir des effets indésirables cardiaques, en particulier lorsque l’administration est de courte durée".

En effet, les inquiétudes concernant la sécurité de ce médicament sont dues en grande partie aux données erronées de l’étude frauduleuse du Lancet qui affirmait à tort que l'hydroxychloroquine augmentait la fréquence des arythmies ventriculaires lorsqu'elle était utilisée pour le traitement du Covid. Les chercheurs rappelaient au passage que le Covid lui-même peut causer des problèmes cardiaques, et qu’il n'y avait aucune raison de penser que ce médicament avait changé après 70 ans d'utilisation généralisée et qu’il pouvait même être prescrit aux femmes enceintes.

Sur l’hydroxychloroquine, M. Peterson a écrit que "de nombreuses études observationnelles de grande envergure suggèrent que l'hydroxychloroquine réduit de manière significative le risque d'hospitalisation et de décès lorsqu'elle est administrée à des patients ambulatoires particulièrement à haut risque dans le cadre d'un traitement précoce du COVID-19 » et que sur la base de son examen des preuves, son bureau n'a pas trouvé de preuves claires et convaincantes qui justifieraient d’empêcher les médecins de prescrire de l'hydroxychloroquine pour la prévention ou le traitement précoce du Covid, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient".

 

L’ivermectine

Le même travail d’investigation est mené pour l’ivermectine. 

Son enquête ne se limite pas au seul territoire américain puisque ses conclusions portent également sur des données provenant de divers États, pays ou régions du monde. Pour cela, il s’appuie sur les études d’un groupe d’universitaires qui a comparé les chiffres des malades du Covid des pays qui administrent systématiquement de l'ivermectine en prophylaxie et les chiffres des pays qui ne le font pas. Ces chercheurs ont montré qu’il y avait « une corrélation hautement significative dans un contexte mondial mais également en comparant "les pays africains qui administrent régulièrement de l’ivermectine contre les infections parasitaires en prophylaxie et les pays africains qui ne le font pas". Sur la base de ces résultats positifs, les chercheurs ont supposé que ces résultats pourraient être liés à la capacité de l'ivermectine à inhiber la réplication du SRAS-CoV-2, ce qui entraîne probablement des taux d'infection plus faibles.»

S’il a commencé les recherches sur la vérification de l’efficacité de l’ivermectine contre le Sars-CoV-2, le procureur est ensuite remonté quelques années en arrière pour découvrir des études cliniques qui confirmaient l'activité antivirale de l'ivermectine contre plusieurs virus à ARN en bloquant le trafic nucléaire des protéines virales.

Frappé par l’efficacité de ce médicament, le procureur général Peterson vérifie également les conclusions des études sur les effets secondaires et constate qu’ils sont minimes et transitoires. Les dernières statistiques disponibles par le biais de VigiAccess font état de seulement 5 674 réactions indésirables à l'ivermectine entre 1992 et le 13 octobre 2021, un nombre "incroyablement faible" compte tenu du fait que 3,7 milliards de doses ont été administrées depuis les années 1980, écrit M. Peterson.

Comme il l’avait fait pour l’hydroxychloroquine, Doug Peterson examine les études scientifiques dont les résultats sont négatifs et constate que celles-ci contiennent de très nombreux biais de perception et des éléments frauduleux. Il pointe notamment les études sur l’ivermectine qui ont présenté des résultats négatifs en fournissant « des données erronées qui présentent des affirmations non étayées sur les réactions indésirables » et celles qui ont exclu « la plupart des preuves disponibles".

À partir de cette investigation très minutieuse, l'avis du procureur général, fondé sur une évaluation de la littérature scientifique pertinente, a été rendu. Il a constaté que la plupart des publications montraient des résultats très significatifs pour ces deux médicaments puisque la mortalité serait réduite de 75% ou plus lorsque la molécule est utilisée dans le cadre d'un traitement précoce ou parfois en prophylaxie.

 

Une autorisation qui s’inscrit par le rappel de la loi du Nebraska

Si les traitements précoces notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont autorisés, le bureau du procureur général souligne qu’il ne lui appartient pas de recommander un traitement contre la Covid 19 en particulier. Cependant, le fait d’autoriser leur prescription permet selon lui aux médecins d’évaluer d’autres outils qui peuvent sauver de vies, d’éviter aux patients d’être hospitalisés, ce qui soulagera le système de santé déjà mis à rude épreuve.

Ces autorisations s’accompagnent d’une série d’avertissements aux médecins notamment l’obligation d’obtenir le consentement éclairé de leur patient et les mises en gardes contre la prescription de doses excessivement élevées, rappelant que ces fautes pourraient faire l’objet de mesures disciplinaires.

Voir aussi : Sénateur Ron Johnson et Dr Harvey Risch : "Ils ne reconnaîtront jamais leurs torts !"

 

L’attitude des autorités pointée du doigt par le procureur

Rien n’échappe à l’œil du procureur Doug Peterson qui, après un avis positif sur ces deux molécules, interpelle la FDA et le docteur Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIH), sur leurs attitudes hypocrites n’hésitant pas à dénoncer les incohérences de leurs déclarations.

Lorsque le 29 août, le Dr Anthony Fauci a annoncé sur CNN qu'il n'existait "aucune preuve clinique" de l'efficacité de l'ivermectine pour la prévention ou le traitement du Covid, le procureur écrit que "cette affirmation définitive contredit directement la reconnaissance par le NIH que 'plusieurs essais randomisés ... publiés dans des revues évaluées par des pairs' ont rapporté des données indiquant que l'ivermectine est efficace comme traitement du COVID-19".

Pour cela, il revient sur le changement d’attitude du National Institutes of Health (NIH) qui adopte désormais une attitude neutre en ne proposant aucune norme de recommandation ou de non-recommandation - un changement par rapport à sa position de janvier 2021 où il déconseillait l'utilisation du médicament pour le traitement du Covid.

À ce sujet, il écrit :

"La raison de ce changement est que le NIH a reconnu que plusieurs essais randomisés et études de cohorte rétrospectives sur l'utilisation de l'ivermectine chez les patients atteints de COVID-19 ont été publiés dans des revues évaluées par des pairs. Et certaines de ces études ont rapporté des résultats positifs, notamment un temps plus court pour la résolution des symptômes de la maladie qui ont été attribuées au Covid-19, une plus grande réduction des niveaux de marqueurs inflammatoires, un temps plus court pour la clairance virale, et des taux de mortalité plus faibles chez les patients qui ont reçu de l'ivermectine que chez les patients qui ont reçu une autre médication ou un placebo."

Le caractère peu sérieux de la Food and Drug Administration (FDA) sur le dossier de l’ivermectine est également dénoncé lorsque profitant des histoires de personnes qui avaient utilisé la forme animale de l’ivermectine, la FDA, sur l’une de ses pages web, n’avait pas hésité à condamner toute utilisation de l’ivermectine pour traiter la Covid 19, reconnaissant sur cette même page qu’elle n’avait pas examiné les données pour soutenir l’utilisation de l’ivermectine chez les patients atteints du Covid 19. Par conséquent, « on ne voit pas sur quelle base la FDA s'est appuyée pour dénoncer l'ivermectine comme traitement ou prophylaxie du Covid-19 » a écrit le procureur.

Sur cette même page web, la FDA a déclaré : "l'ivermectine n'est pas un antiviral », ce qui vient contredire une autre de ses pages web qui citait une étude dans Antiviral Research qui identifiait l'ivermectine comme un médicament 'dont l'activité antivirale à large spectre a déjà été démontrée'." Le procureur a indiqué au passage que depuis, la FDA a supprimé la ligne indiquant que l'ivermectine n'est "pas 'antivirale".

Enfin, Doug Peterson revient sur la déclaration la plus controversée de la FDA lorsque le 21 août, elle a posté un lien sur Twitter vers sa page web "Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l'lvermectine" avec cette déclaration : "Vous n'êtes pas un cheval. Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, tout le monde. Arrêtez ça". Peterson dénonce un « message troublant non seulement parce que la FDA prend à la légère une question sérieuse, mais également parce qu'elle laisse entendre de manière inexacte que l'ivermectine est uniquement destinée aux chevaux ou aux vaches ».

De manière générale, il déplore l’attitude de cette agence de régulation qui ignore plusieurs essais contrôlés randomisés et au moins une méta-analyse qui conclut à l’efficacité de l’ivermectine contre le Covid 19. Il regrette également que les Centers of Disease Control and Prevention (CDC) aient adopté une position similaire - non étayée par des preuves scientifiques - et que les médias ont alimenté la confusion et la désinformation sur ce médicament.

Voir aussi : Ivermectine, de l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

 

Des liens d’intérêts entre les agences de régulation, les associations professionnelles et sociétés pharmaceutiques

Les associations professionnelles américaines et internationales ont émis des avis défavorables sur l’ivermectine. S’appuyant uniquement sur les positions suspectes de la FDA et des CDC, l'American Medical Association (AMA), l'American Pharmacists Association (APHA) et l'American Society of Health-System Pharmacists (ASHP) ont publié en septembre une déclaration s'opposant fermement à la commande, la prescription ou la délivrance d'ivermectine pour prévenir ou traiter le COVID en dehors d'un essai clinique.

Dans leurs déclarations, ces associations ont mentionné une déclaration de Merck - le détenteur originel du brevet - s'opposant à l'utilisation de l'ivermectine pour le Covid en raison d'un "manque inquiétant de données de sécurité dans la majorité des études".

À la question de savoir pourquoi le détenteur du brevet original de l'ivermectine s'évertuerait-il à remettre en question ce médicament en donnant l'impression qu'il pourrait ne pas être sûr, le procureur voit deux raisons plausibles :

"Premièrement, l'ivermectine n'est plus sous brevet, donc Merck n'en tire plus aucun profit. Cela explique probablement pourquoi Merck a refusé de 'mener des essais cliniques' sur l'ivermectine et le COVID-19 lorsqu'on lui en a donné la possibilité. »

"Deuxièmement, Merck a un intérêt financier important à ce que le corps médical rejette l'ivermectine comme traitement précoce du COVID-19. [Le gouvernement américain a accepté de payer à [Merck] environ 1,2 milliard de dollars pour 1,7 million de doses de son traitement expérimental COVID-19, s'il est prouvé qu'il fonctionne dans un essai à grande échelle en cours et s'il est autorisé par les régulateurs américains".

Le traitement de Merck est connu sous le nom de "molnupiravir" et vise à empêcher la progression du COVID lorsqu'il est administré à un stade précoce de la maladie. Lorsque Merck a annoncé, le 1er octobre, que des études préliminaires indiquaient que le molnupiravir réduisait de moitié les hospitalisations et les décès, le cours de l'action du fabricant de médicaments a immédiatement bondi de 12,3 %.

"Ainsi, si l'ivermectine à bas prix fonctionne mieux que le molnupiravir, ou même de la même manière, cela pourrait coûter des milliards de dollars à Merck", a écrit Peterson.

Voir aussi : Ivermectine : Merck ne trouve pas d'effets favorables sur la Covid-19 dans les études. Serait-ce à cause d'un autre traitement ?

 

Des réactions très favorables à la décision du procureur Doug Peterson

Admiratif du travail accompli, Robert Kennedy a déclaré : "Nous avons enfin un leader qui place les droits constitutionnels, la science évaluée par les pairs et la santé humaine au-dessus des profits de l'industrie. Doug Peterson est inébranlable et inébranlable - un véritable « héros à cheval » pour tous les Américains".

"Chaque citoyen - démocrate ou républicain - devrait être reconnaissant pour la contre-offensive réfléchie et courageuse de Doug Peterson contre les efforts de Big Pharma, de ses régulateurs fédéraux captifs et de leurs alliés dans les médias et les réseaux sociaux pour faire taire les médecins et refuser aux Américains des traitements qui sauvent des vies", a déclaré Robert F. Kennedy Jr, président de Children's Health Defense, au Defender par courriel.

La présidente de Children's Health Defense, Mary Holland, a abondé en rappelant la mission des médecins : "Cet avis du procureur général du Nebraska permet aux médecins de redevenir des médecins, sans être soumis à l'influence du gouvernement, des pharmaciens et d'autres personnes qui s'immiscent dans la relation cruciale entre le médecin et le patient ».

Cette crise a placé les médecins dans des conditions d’exercice en rupture avec le mode normal de prise en charge qui consacre la liberté de prescription. Cette liberté, loin d’être nouvelle a toujours été inscrite dans les plus hautes instances comme la Cour suprême des Etats-Unis qui a affirmé que « l’utilisation non indiquée sur l’étiquette des dispositifs médicaux » est une pratique « acceptée et nécessaire » et la FDA a maintenu cette position pendant des décennies qu' "un médecin peut prescrire un médicament pour des utilisations ou dans des régimes de traitement ou des populations de patients qui ne sont pas inclus dans l'étiquetage approuvé".

En s’opposant au modèle économique des géants pharmaceutiques mondiaux et aux agences de régulations qui répondent plus aux exigences des marchés financiers qu’aux préoccupations de santé publique, le procureur général Doug Peterson redonne toute sa place à la médecine dans une approche raisonnable de sa pratique.

Voir aussi : Au Sénat américain, le retour fracassant d'une médecine qui soigne : verbatim

Auteur(s): FranceSoir

Partager cet article
Repost0

Pages