Le bien nommé couillonavirus s'attaque aux testicules, ah le vilain !
Une nouvelle étude a révélé que le SRAS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19, infecte les testicules et a probablement un impact sur la fertilité masculine. Rappelons qu’en mars, nous avions signalé que des médecins du centre de Wuhan avaient exprimé des inquiétudes concernant les dommages aux testicules après avoir observé une baisse du rapport testostérone / hormone lutéinisante (T / LH).
Maintenant, neuf mois plus tard, une équipe de 14 chercheurs de Wuhan, en Chine, a publié des preuves inquiétantes provenant d’un petit échantillon de patients prouvant que le Covid-19 infecte non seulement les testicules, mais peut interférer avec la production de spermatozoïdes en provoquant une inflammation et une perte massive de jeunes spermatozoïdes.
Les découvertes de l’équipe sur la façon dont le Covid-19 infecte les testicules corroborent les rapports de mars – à savoir, la protéine de pointe du SARS-CoV-2 qui se lie aux récepteurs ACE2, qui sont produits dans tout le corps, y compris les tubules séminifères qui transportent le sperme pendant sa maturation.
« De façon frappante, dans quatre des cinq cas, la perte de GC (cellules germinales) était massive, avec seulement quelques GC attachés aux tubules séminifères », lit-on dans l’étude publiée lundi dans « Nature, Cellular & Molecular Immunology ». Cinq patients Covid-19 inclus dans l’étude étaient âgés de 51, 62, 70, 78 et 83 ans, tandis que les patients témoins avaient 71, 78 et 80 ans. Et bien qu’ils puissent se trouver à l’extrémité la plus âgée de la courbe où la fertilité masculine a commencé à décliner, les cellules germinales du groupe témoin étaient bien alignées autour de l’ensemble des tubules séminifères » par rapport aux patients Covid-19.
« Conformément aux résultats d’immunohistochimie, la RT-qPCR a montré une augmentation significative des taux d’ARNm d’ACE2 et de TMPRSS2 dans les testicules de tous les patients Covid-19 par rapport aux testicules des patients témoins », lit-on dans ce rapport, ce qui confirme l’hypothèse selon laquelle le SRAS-CoV-2 est capable d’attaquer les cellules testiculaires. « On ne sait pas comment le virus augmente la production d’ACE2 dans les testicules. »
« Collectivement, nos résultats fournissent des preuves que le SRAS-CoV-2 peut infecter les testicules et les GC, indiquant l’impact potentiel de la pandémie de Covid-19 sur la spermatogenèse et la fertilité masculine. »
Bien que l’étude soit peu connue pour le moment et avec seulement cinq participants, les auteurs écrivent « qu’une étude plus approfondie est essentielle pour révéler le mécanisme sous-jacent de l’infection par le SRAS-CoV-2 des cellules testiculaires et la corrélation de l’infection des testicules avec l’évolution clinique du covid-19. »
Peut-être que les hommes qui se sont remis du Covid-19 devraient se faire tester afin de connaître leur nombre de spermatozoïdes ?
Les vraies données sur les tests du laboratoire pharmaceutique Pfizer tardent à nous parvenir, et l'on comprend mieux pourquoi. Selon de récentes révélations, et bien qu'il soit déjà en circulation aux Etats-Unis et en Angleterre (et validé ce 21 décembre par l'UE), le vaccin est une véritable catastrophe. 4,6% des cobayes auraient été atteints de paralysie faciale plus ou moins grave
Le Docteur Laurent Montesino, réanimateur, s’est exprimé dans une vidéo publiée par ReInfo Covid sur les morts comptabilisés Covid qui “ne sont pas morts du covid” affirmant par ailleurs qu’il n’arrivait pas “à trouver l’explication de plus de 500 morts par jour en france” et que “la situation [était] sous contrôle”. Vidéo.
[…] “La plupart des gens qui meurent du covid maintenant sont des gens qui ont plus de 80 ans et qui ont beaucoup de co-morbidités. Il est vraiment exceptionnel d’avoir des gens de moins de 60 ans qui meurent du covid. […] Tous les patients porteurs d’une PCR Covid positive ne meurent pas du Covid. Il y a certains qui meurent d’autres pathologies et qui sont testés Covid positif et qui sont donc considérés comme étant morts du Covid mais qui ne meurent pas du Covid.”
“Il y a des gens qui sont en bout de course, qui ont une espérance de vie de quelques mois, qui font des pneumonies bactériennes, qui font des insuffisances rénales, des infections urinaires, et qui sont Covid positif et qui meurent, et quand ils sont morts on les comptabilise comme morts du Covid mais ces patients ils ne sont pas morts du Covid. […] Dans mon quotidien, je n’arrive pas à trouver l’explication de plus de 500 morts par jour en france, je ne comprends pas.” […]
L'UE a annoncé la signature d'un contrat avec le laboratoire américain Moderna pour l'achat de 160 millions de doses de vaccin contre le Covid-19. Il s'agit du sixième contrat de ce type signé par l'UE dans cette crise sanitaire.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé le 24 novembre 2020 la signature d'un contrat avec la société américaine Moderna pour fournir jusqu'à 160 millions de doses de vaccin contre le Covid-19, le sixième conclu par l'UE avec un laboratoire pharmaceutique.
«Je suis heureuse d'annoncer que nous approuverons demain un nouveau contrat pour sécuriser un autre vaccin contre le Covid-19 dans notre portefeuille», a déclaré Ursula von der Leyen, lors d'un point presse, évoquant aussi un septième contrat de vaccins à venir, sans plus de précision.
Avant cette annonce, la Commission européenne avait déjà signé cinq contrats pour précommander des vaccins : avec le suédo-britannique AstraZeneca et l'américain Johnson & Johnson (jusqu'à 400 millions de doses auprès de chacun), le duo franco-britannique Sanofi-GSK (jusqu'à 300 millions de doses), le duo américano-germanique Pfizer-BioNTech (jusqu'à 300 millions de doses) et enfin avec l'allemand CureVac (jusqu'à 405 millions de doses).
«Nous sommes en train de constituer l'un des portefeuilles de vaccins contre le Covid-19 les plus complets au monde», a affirmé Ursula von der Leyen. «Il fournira aux Européens un accès aux vaccins les plus prometteurs en cours de développement.» Ces livraisons n'interviendront toutefois que quand ces vaccins auront prouvé qu'ils sont sûrs et efficaces, selon la présidente.
La distribution de tout vaccin sera notamment suspendue au feu vert du régulateur, l'Agence européenne des médicaments (EMA). L'UE a jusqu'ici évoqué «début 2021» pour la disponibilité des premières doses.
Fawkes: Vous vous demandez pourquoi l'UE compte acheter autant de doses?
"Le contrat envisagé « permettrait à tous les États membres de l'UE d'acheter le vaccin et également de faire des dons à des pays à revenu faible ou moyen ou de le retransférer vers des pays européens », est-il souligné."
Menaces contre Didier Raoult, conflits d’intérêts… le service d’infectiologie du CHU de Nantes dans la tourmente...
Alors que l’un des coups de téléphone menaçant Didier Raoult aurait été émis depuis le CHU de Nantes, il apparaît que le professeur François Raffi, chef du service d’infectiologie nantais, aurait perçu plus de 500.000 euros de la part de l’industrie pharmaceutique, dont une partie d’un laboratoire en concurrence directe avec l’hydroxychloroquine dans le traitement contre le Covid-19.
Menaces de mort contre le professeur Raoult : enquête transférée à Nantes
Si le professeur Didier Raoult aime comparer les villes de Marseille et de Paris dans la gestion de la crise sanitaire du Covid-19, voici que Nantes vient s’inviter dans l’équation… pour une toute autre raison !
Après des menaces de mort proférées à l’encontre du directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée, le parquet de la Cité des ducs s’est vu transférer une enquête depuis Marseille car c’est à Nantes que « se trouve l’auteur présumé des faits » selon les déclarations faites au mois de mars dernier auprès de 20 Minutes de la procureure de la République de Marseille, Dominique Laurens.
Didier Raoult, dont le nom est désormais associé pour longtemps à celui de l’hydroxychloroquine dont il a prôné l’usage face au coronavirus, avait alors déposé plainte contre X pour « menaces de mort » et « actes d’intimidation envers un chargé de mission de service public ». Les menaces proférées lui intimidaient l’ordre de ne pas poursuivre son traitement à l’hydroxychloroquine.
Quant à la piste de la Loire-Atlantique sur laquelle se sont dirigés les enquêteurs, le Canard Enchaîné rapportait alors que « le téléphone portable à l’origine des appels malveillants fait partie de ceux mis à la disposition des médecins du CHU de Nantes ».
Un professeur nantais en tête des revenus versés par Big Pharma
Si les semaines se sont écoulées depuis le début des investigations, un article de France Soir du 24 juin apporte une nouvelle grille de lecture à cette affaire.
La publication en question rapporte qu’au début de l’année 2020, le collectif Data+Local a recoupé les données de la base Transparence Santé. Une base mise en place à la suite du scandale du Médiator. Dans un contexte où les potentiels conflits d’intérêts sont au cœur des débats sur la gestion de la pandémie de Covid-9 en France, les résultats de ces travaux font apparaître que les 30 000 praticiens répartis dans 32 CHU (Centres hospitaliers universitaires) du territoire se sont partagés plus de 92 millions d’euros versés par l’industrie pharmaceutique.
Une somme à laquelle il faut aussi ajouté 78 millions d’euros versés par les laboratoires aux CHU au nom de certaines conventions.
Mais, plus intéressant encore, le Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique accorde la première place au professeur François Raffi. L’homme, chef du service d’infectiologie du CHU de Nantes, aurait perçu 541 729 euros, dont 52 812 € de la part de Gilead. Ce laboratoire pharmaceutique américain est notamment connu pour avoir mis au point une molécule de remdesivir, concurrent direct de l’hydroxychloroquine dans le traitement contre le coronavirus.
Professeur François Raffi. Source : Edimark
Or, il s’avère que, toujours selon France Soir, c’est depuis le téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes qu’a été émis le coup de téléphone anonyme menaçant Didier Raoult. La mise en perspective de ces deux informations interroge. Le hasard peut-il être la seule réponse à cet étrange parallèle ?
Si vous le savez, le test PCR est utilisé pour amplifier de petites quantités de matériel génétique afin de reconnaître des modèles d’ADN par “cyclage”. (De même, pour le virus à ARN, l’ARN est converti en ADN afin d’être détecté, c’est ainsi que le test fonctionne). C’est ainsi que nous avons pu reconnaître les génomes de momies égyptiennes et de mammouths laineux. Cela fonctionne parce que si vous amplifiez et faites des cycles assez longtemps pour “cultiver” des fragments d’ADN légitimes, vous obtenez quelque chose avec une bonne dose de spécificité. Ce qui devient de plus en plus évident, c’est que le test PCR n’a pas été conçu comme un outil de diagnostic de l’infection, et ne peut vraiment pas fonctionner comme tel sans avoir une énorme quantité de faux positifs, point.
En ce qui concerne le COVID, la présence de particules virales captées par la technique PCR n’est pas et n’a pas été quantitativement liée à une infection “symptomatique” active. Il ne peut tout simplement pas en être ainsi, car le seuil d’infection résultant de la charge virale est différent pour chaque patient. Il s’avère que si l’on “fait le cycle” environ 25 fois, le taux de faux positifs au COVID commence à être très élevé.
D’autres et moi-même avons expliqué dans des blogs comment les gens peuvent être exposés à un virus, monter une simple réponse immunitaire innée et ne jamais savoir qu’il en est autrement. Lorsque vous testez ces personnes dont la charge virale est très faible, qui ne sont pas malades, vous pouvez trouver le code ARN viral qui est utilisé pour “diagnostiquer” si vous faites un cycle suffisamment de fois. La dernière fois que j’ai lu, Labcorp a effectué au moins 40 cycles pour détecter des fragments de génome viral. Le test PCR n’a jamais été destiné à diagnostiquer une infection, mais à tester qualitativement la présence de parties du génome d’un virus. Je sais qu’il y a eu une certaine confusion sur le net quant à ce que l’inventeur Kary Mullis avait dit à ce sujet. Mais nous nous promenons quotidiennement avec des personnes qui ont un nombre quelconque de parties de génomes de virus ou de bactéries tueuses que l’on pourrait détecter avec un test PCR si l’on disposait du test spécifique pour cela. Pourrions-nous prétendre que cette personne est un patient infecté ? Non !
Compte tenu de tout cela, Chris Martenson de PeakProsperity explique ci-dessous, de manière très détaillée, la réponse à la question la plus importante que vous devriez poser si vous ou un de vos proches obtenez un résultat positif au test PCR.
“Quelle est la valeur du seuil de cycle (CT) pour ce test ?”
Cela peut sembler bizarre, mais c’est en fait très important à comprendre. Une faible valeur CT signifie que quelqu’un est porteur du virus. Une valeur élevée, au contraire, signifie une charge virale moindre.
Au-delà d’un certain niveau, la charge est insuffisante pour infecter quelqu’un d’autre ou pour avoir une quelconque pertinence clinique ou épidémiologique.
Quel est le problème ? Les gouvernements de tout le pays et du monde entier fondent leurs décisions sur des valeurs de CT très élevées. Trop élevées.
Cet homme n'est pas n'importe qui. Le professeur Sir John Bell est un immunologiste et généticien canadien. De 2006 à 2011, il était président de l'Académie des sciences médicales et depuis 2002, il a été professeur Regius de médecine à l'Université d'Oxford au Royaume-Uni. Il était depuis 2006 président du Bureau de coordination stratégique de la recherche en santé (OSCHR) mais à
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Les autorités sanitaires britanniques ont déconseillé mercredi d'inoculer le vaccin de Pfizer et BioNTech contre le nouveau coronavirus aux personnes ayant eu dans le passé d'"importantes réactions allergiques", deux personnes ayant mal réagi aux premières injections. Le Royaume-Uni a été le premier pays à autoriser ce vaccin et a commencé mardi une campagne massive de vaccination , dir