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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 18:12

URGENT ! Perquisition des locaux de #McKinsey, et du siège du parti Renaissance ainsi que son association de financement (Le Parisien) #McKinsey #EmmanuelMacron #macron #enquete #Mckinseygate pic.twitter.com/YjzpR4UKfm

— Nicolas Vidal (@nicolasputsch) December 14, 2022

 

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 18:00
Melbourne installe des défibrillateurs à l'extérieur des maisons suite à l'augmentation des arrêts cardiaques
 

 

 

Auteur :
Guillaume Le Pessec
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Rouen

Théo Pezel

Relecteur :
Théo Pezel
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Paris

Albert Hagège

Sous la supervision de :
Albert Hagège
Président du Comité Éditorial de Cardio-online
Nancy

En direct de l’ESC Congress 2022

D’après la présentation de Christian Eugen Mueller (Basel, Switzerland) : « Myocardial Inflammation/Myocarditis After COVID-19 mRNA Booster Vaccination« 

L’essentiel
  • Il n’existait avant cette étude aucune donnée prospective sur les lésions myocardiques post vaccinales lors de la vaccination par un vaccin à ARNm. Seules les myocardites les plus graves hospitalisées ont été rapportées, touchant majoritairement les hommes de moins de 18 ans.
  • L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives
  • Les lésions myocardiques touchent plus les femmes contrairement à ce qui est décrit dans les études précédentes.
  • La possibilité de doses répétées de vaccin afin de maintenir la couverture vaccinale efficace doit mener à une grande prudence concernant de possibles lésions myocardiques à répétition et leurs impacts sur d’éventuelles complications cardio-vasculaires.
Introduction

Nous savons qu’il existe des effets secondaires potentiellement graves au vaccin ARNm contre le COVID 19 tels que des myocardites.

Dans les données rétrospectives la principale complication cardiaque est la myocardite, qui reste rare avec une incidence de 0.0035 % et touche principalement les hommes jeunes de moins de 18 ans.

Néanmoins il existe un biais de sélection car seuls les cas graves, nécessitant une hospitalisation sont reportés.

L’incidence réelle des lésions myocardiques serait donc probablement beaucoup plus élevée dans la population générale. De plus, du fait de la nécessité de doses répétées et du grand nombre de personnes à vacciner, même rare cette complication n’est pas anecdotique.

Cette étude avait pour but d’évaluer l’incidence réelle des lésions myocardiques lors des vaccinations par un vaccin ARNm dans le COVID 19 de manière prospective et d’évaluer d’éventuelles mesures de prévention et de protection à appliquer chez les patients présentant ces lésions myocardiques asymptomatiques. 

Méthodologie et résultats

Cette étude était prospective monocentrique avec un bras contrôle. La population étudiée était composée d’employés du CHU de Basel en Suisse, ayant reçu une dose de vaccin ARNm Pfizer-BioNTech ou Moderna.

Le critère de jugement principal était la survenue d’une lésion myocardique, définie par une élévation de la troponinémie au-dessus de la norme, dosée à J3 post vaccination.

En cas d’élévation, un nouveau dosage était réalisé à J4 avec possibilité de réaliser de plus amples explorations cardiologiques. De plus, les patients présentant des lésions myocardiques étaient contre-indiqués à l’effort, et ce jusqu’à la décroissance de la troponinémie. Dans tous les cas le suivi était poursuivi jusqu’à J30.

Les critères de jugement secondaires étaient la comparaison de la population totale avec des patients ayant été admis pour douleur thoracique sans qu’aucune cause cardiaque ne soit retrouvée. L’appareillement était réalisé sur l’âge, le sexe et les antécédents de coronaropathie et de maladie athéromateuse périphérique.

Le second critère de jugement secondaire était la survenue de MACE à 30 jours (mort d’origine cardiovasculaire, hospitalisation pour insuffisance cardiaque, arythmie ventriculaire et infarctus du myocarde).

Au total, 835 patients ont été inclus, dont 777 ayant bénéficié du dosage de troponinémie à J3, parmi ces patients 40 avait une troponinémie augmentée. Chez 18 d’entre eux il a été identifié d’autres causes que le vaccin pouvant expliquer l’élévation de troponinémie, et chez les 22 restants aucune autre cause que le vaccin était mis en cause. La population étudiée était majoritairement composée de femmes (69 %), la moyenne d’âge était de 37 ans et les patients recevaient très majoritairement leur 3ème dose 92 %. Moins de 2 % d’entre eux avaient des antécédents cardiovasculaires.

Les résultats de l’étude retrouvent que 2,8 % de la population vaccinée présentait des lésions myocardiques, 3,7 % chez les femmes et 0,8 % chez les hommes (Figure 1).

Incidence of myocardial injury: 2.8%

 

Figure 1.

Cela est une surprise à la vue de la population décrite dans les myocardites hospitalisées. Lors de la comparaison de la population avec des lésions myocardiques versus la population sans lésion myocardique, le seul facteur de risque retrouvé était le sexe féminin (p=0.03).

La comparaison avec le groupe contrôle ne retrouvait pas de différence significative en dehors des antécédents d’infarctus du myocarde et de maladie athéromateuse périphérique.

De plus on peut noter, que la troponinémie dans la population vaccinée semble plus élevée que dans le groupe contrôle sans que le test statistique n’ait été réalisé (Figure 2).

Cumulative distribution curve of cardiomyocyte injury as quantified by hs-cTnT concentrations stratified by sex

 

Figure 2.

Conclusion

L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.

Aucun MACE n’a été rapporté dans la population étudiée à 30 jours, néanmoins du fait de la réalisation de doses répétées, il est intéressant de se demander si cela ne pourrait pas entrainer des séquelles à long terme (insuffisance cardiaque, arythmie). Pour cela un essai randomisé avec un suivi au long cours serait nécessaire.

Les limites évoquées sont la réalisation de la troponinémie à J3, avec une élévation peu importante de la troponinémie, avec possiblement une sous-estimation de l’incidence des lésions précoces à J1 potentiellement déjà normalisées à J3. De plus, devant la faible atteinte myocardique celle-ci ne parait pas possible à détecter en IRM cardiaque. Une autre limite serait l’absence d’inclusion de patient de moins de 18 ans dans la population étudiée.

Pour en savoir plus, consultez les Late-Breaking Trials complets, en langue anglaise, présentées lors de l’ESC 2022 :

Toute l’actualité de l’ESC 2022

Source : Cardio online

Preuves OFFICIELLES de myocardites POST Vaccinal

 

 

 

Des personnes sont mortes de cœurs endommagés par l'ARNm d'un vaccin, une nouvelle étude allemande évaluée par des pairs fournit des preuves directes
Photo de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN pour zerohedge
JEUDI 15 DÉCEMBRE 2022 - 08:30

Écrit par Jennifer Margulis et Joe Wang via The Epoch Times (c'est nous qui soulignons),

Des médecins pathologistes de l'hôpital universitaire de Heidelberg à Heidelberg, en Allemagne, ont publié des preuves directes montrant comment les personnes retrouvées mortes après la vaccination par l'ARNm sont décédées . Comme cette équipe de six scientifiques l'explore dans son étude, ces patients vaccinés par l'ARNm souffraient de lésions cardiaques parce que leur cœur était attaqué par leurs propres cellules immunitaires. Cette attaque auto-immune sur leurs propres cellules cardiaques conduit alors leurs cœurs endommagés à battre tellement de fois par seconde que, une fois la tachycardie déclenchée de manière inattendue, ils meurent en quelques minutes.

Les vaccins à ARNm provoquent une myocardite en conduisant vos propres cellules immunitaires à attaquer votre cœur, ce qui peut entraîner une mort subite par tachycardie ou fibrillation ventriculaire. (Kateryna Kon/Shutterstock)
 

L'article, « Caractérisation histopathologique basée sur l'autopsie de la myocardite après une vaccination anti-SARS-CoV-2 », a été publié le 27 novembre 2022 dans la revue Clinical Research in Cardiology, la revue officielle de la Société allemande de cardiologie. L'équipe de recherche a autopsié 25 victimes d'âges différents qui ont été retrouvées mortes à la maison dans les 28 jours suivant la vaccination. Ils ont examiné leur tissu cardiaque au microscope pour découvrir pourquoi ces personnes sont mortes d'une perturbation du rythme cardiaque alors qu'elles n'avaient aucune maladie cardiaque sous-jacente apparente.

Selon les propres mots des auteurs : « Nos découvertes établissent le phénotype histologique de la myocardite mortelle associée à la vaccination. ” 

Le phénotype histologique signifie l'observation directe du tissu microscopique. 

Dans une vidéo analysant les résultats, l'infirmière enseignante, le Dr John Campbell, qui est basée au Royaume-Uni, a déclaré à son auditoire: «Ceci est évalué par des pairs. Il s'agit d'une véritable science et d'un diagnostic pathologique définitif par un groupe d'éminents pathologistes allemands. La vidéo de Campbell a été visionnée 918 000 fois. Il compte 2,58 millions d'abonnés sur sa chaîne.

Décédé de tachycardie ventriculaire ou de fibrillation

La tachycardie ventriculaire se produit lorsque le cœur commence à battre si vite qu'il n'a pas le temps de se remplir de sang entre les battements, de sorte qu'il ne pompe pas suffisamment le sang. Le problème provient des ventricules : les cavités qui poussent le sang du cœur vers le reste du corps.

La fibrillation, c'est quand, au lieu que le cœur bat réellement, il commence à trembler. Ce problème peut provenir des ventricules ou des oreillettes. Les oreillettes sont les chambres supérieures qui aspirent essentiellement le sang dans le cœur en se dilatant et en se contractant. Bien que de plus en plus  de gens connaissent le A-Fib (fibrillation auriculaire), la fibrillation ventriculaire est beaucoup plus dangereuse et généralement mortelle en quelques minutes.

Les personnes décédées dont les cœurs ont été autopsiés dans cette étude ont été retrouvées mortes à la maison , chacune étant décédée de tachycardie ventriculaire ou de fibrillation dans les 28 jours suivant la vaccination par l'ARNm . 

Coeurs visiblement endommagés

Les macrophages sont de grosses cellules qui font partie de notre système immunitaire. Lorsque le système immunitaire fonctionne correctement, notre corps utilise des macrophages pour attaquer les agents infectieux et autres corps étrangers. Les macrophages sont un élément clé du système immunitaire inné, aidant au développement normal des tissus ainsi qu'à la réparation des tissus endommagés, selon des chercheurs de la Northwestern University .

Mais dans le cas des personnes décédées subitement moins d'un mois après avoir été vaccinées, les propres macrophages du corps ont imprégné leur muscle cardiaque, mâchant le muscle et provoquant des taches qui perturbaient le rythme cardiaque. Cette invasion de macrophages semble avoir littéralement court-circuité la conduction cardiaque des impulsions électriques, provoquant des battements irréguliers du cœur. 

Les battements cardiaques irréguliers ont conduit à une boucle de rétroaction négative, faisant battre le cœur de plus en plus vite alors qu'il tente de se redresser. Lorsque cela se produit, le cœur ne pompe pas de sang et la victime meurt en quelques secondes ou minutes à moins qu'il n'y ait un défibrillateur à proximité - pour délivrer un choc électrique au cœur pour l'aider à reprendre son rythme - et quelqu'un sait l'utiliser immédiatement . 

L' étude évaluée par des pairs de chercheurs allemands comprenait des images au microscope montrant les dommages causés aux cellules cardiaques des victimes, la présence de lymphocytes (un autre type de cellule immunitaire plus petite) dans le muscle cardiaque et de macrophages invasifs dans le muscle cardiaque. Des macrophages et des lymphocytes appelés cellules T auxiliaires ont été trouvés dans le tissu cardiaque. Les cellules immunitaires étaient concentrées dans des taches, dont chacune est appelée un foyer. Des taches de tissu cardiaque endommagé comme celle-ci peuvent générer des signaux décalés qui perturbent le rythme régulier du cœur. 

Il y a des milliers de cellules cardiaques dans le cœur. Ces cellules ne sont pas passives, comme les cellules de vos biceps qui ont besoin de nerfs séparés pour les faire bouger. Au lieu de cela, les cellules cardiaques génèrent leurs propres impulsions électriques.

Les cellules du muscle cardiaque agissent également comme des nerfs, transmettant des signaux vers et depuis les cellules musculaires adjacentes. Cela synchronise leurs contractions et perpétue la continuité régulière du rythme cardiaque. 

Une fois qu'un cœur bat, il en faut beaucoup pour l'arrêter. Une concentration qui brise ce rythme, c'est comme un mauvais batteur dans un groupe de collège. Cela peut provoquer une cascade de chaos qui empêche le cœur de pomper le sang de manière productive.

Myocardite : un événement indésirable reconnu lié aux vaccins

L'OMS et le CDC reconnaissent la myocardite après la vaccination par l'ARNm . Les deux organismes de réglementation considèrent qu'il s'agit d'une « complication reconnue mais rare ». La plupart des médecins considèrent également les cas de myocardite comme « bénins ».

Mais les sujets décédés de l'étude allemande, comme le souligne Campbell , souffraient également d'une myocardite supposée "légère". La myocardite n'apparaissait que par endroits microscopiques ici et là. Cependant, la perturbation électrique de ces spots a causé des décès rapides et dramatiques. En d'autres termes, il n'y a pas de myocardite légère , comme l'a dit un parent d'un adolescent blessé par un vaccin à ARNm nommé Aiden Ekanayake.

Campbell a recommandé que les cliniciens aient un "indice de suspicion élevé" que les personnes vaccinées par l'ARNm pourraient être sujettes à cette myocardite auto-immune afin qu'ils puissent la diagnostiquer et la traiter pendant que les personnes sont encore en vie. Les cliniciens prétendant que cette blessure vaccinale est «rare et bénigne» ont conduit à d' innombrables tragédies potentiellement évitables .

Votre corps attaque vos propres cellules cardiaques

Pour être clair, ce n'est pas le vaccin à ARNm qui endommage directement le cœur - c'est pire. L'ARNm est injecté dans vos cellules musculaires, transformant la cellule en une usine produisant des protéines de pointe COVID-19. 

À la suite de l'immunisation à l'ARNm, votre corps génère une réponse immunitaire contre les protéines de pointe COVID-19.

Étant donné que vos propres cellules musculaires ont été utilisées pour fabriquer les protéines de pointe COVID-19 et peuvent les avoir à la surface des cellules, vos cellules immunitaires nouvellement armées ciblant la protéine de pointe peuvent commencer à attaquer vos propres cellules musculaires saines. 

Cette nouvelle étude allemande montre des preuves photographiques que cela se produit et a tué des gens.

Corrélation ou causalité ?

Une enquête originale publiée plus tôt cette année dans le Journal de l'American Medical Association a révélé qu'il y avait de nombreux cas de myocardite dans des populations inattendues, en particulier chez les garçons et les jeunes hommes , après la vaccination par l'ARNm .

Sir Austin Bradford Hill était un statisticien médical anglais qui a établi un ensemble de directives épidémiologiques en 1965, maintenant appelées les critères de Bradford Hill , qui aident à prouver la cause et l'effet. Si nous appliquons les critères de Bradford Hill à cette nouvelle recherche, cela montre que la myocardite mortelle de ces patients a bien été causée par des vaccins à ARNm. La recherche allemande a démontré les critères de force de Bradford Hill (plus deux choses se produisent en même temps, plus l'une cause l'autre, même pour des événements rares) ; cohérence (la découverte d' une mort subite due à une myocardite induite par un vaccin à ARNm s'est produite de manière constante dans différents endroits et populations); la spécificité (pour Bradford Hill, c'est quand une seule cause produit un seul effet. Dans ce cas, la cause est le vaccin à ARNm et l'effet est la myocardite) ; et plusieurs autres.

Lire la suite ici...

 

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:56

Pour tous ceux qui veulent lui écrire pour lui apporter un soutien moral, voici l'adresse.

M. JUVING-BRUNET Alexandre

Ecrou 6350

Maison d'arrêt de Draguignan

3305, Avenue Fred Scamaroni

83300 DRAGUIGNAN

Avec toujours la même consigne sachant que les courriers sont lu, rien qui puisse aggraver sa situation, pour nous permettre de le faire sortir au plus tôt.

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:51

D’ici 2050, même les personnes de 40 ans seront trop jeunes pour acheter des cigarettes.

Le Parlement néo-zélandais vient d’adopter une loi interdisant de fumer à toute personne née après 2008. Cette loi vise à réduire le nombre de fumeurs dans le pays à cinq pour cent d’ici 2025 et, à terme, à éliminer cette pratique, rapporte la BBC.

Selon les chiffres publiés par le gouvernement néo-zélandais, le tabagisme tue environ 5 000 personnes sur l’île chaque année et constitue la première cause de décès évitable. L’année dernière, 11,6 % de la population de plus de 15 ans fumait, et les pourcentages étaient encore plus élevés parmi la population indigène.

Pas moins de 29 % des Maoris et 18 % des Pasifikas fument. Le gouvernement a maintenant l’intention de réduire le tabagisme à un point tel qu’une génération entière ne puisse pas commencer à fumer dans le pays.

Le projet de loi sur les environnements sans tabac

Présenté par le ministre de la santé, Ayesh Verrall, le projet de loi sur les environnements sans fumée vise à instaurer une interdiction quasi totale du tabac à partir de l’année prochaine. Selon les estimations actuelles, le nombre d’adultes qui fument dans le pays s’élève actuellement à environ 8 %. Le projet de loi vise à réduire ce pourcentage à moins de cinq pour cent d’ici 2025.

En outre, le projet de loi contient également des dispositions visant à limiter fortement le nombre de détaillants vendant des produits du tabac dans le pays. Actuellement, pas moins de 6 000 points de vente sont autorisés à vendre du tabac, mais ce nombre devrait être fortement réduit à 600 dans les années à venir.

 

Le projet de loi vise également à réduire les niveaux de nicotine dans les produits à des niveaux n’entraînant pas de dépendance. En somme, la loi vise à rendre les cigarettes moins addictives, plus difficiles à acheter et définitivement inaccessibles à toute personne âgée de 14 ans ou moins. Selon les dispositions du projet de loi, d’ici 2050, même une personne de 40 ans sera trop jeune pour acheter une cigarette.

Qualifiant le projet de loi d’étape vers un avenir sans tabac, M. Verrall a déclaré : « Des milliers de personnes vivront plus longtemps et en meilleure santé, et le système de santé sera mieux loti de 5 milliards de dollars néo-zélandais (3,2 milliards de dollars), car il n’aura pas besoin de traiter les maladies causées par le tabagisme. »

À long terme, le ministre de la santé espère que cette mesure permettra de réduire l’espérance de vie entre les Maoris et les non-Maoris dans le pays.

Inconvénients du projet de loi

Les détracteurs du projet de loi ont averti qu’une réglementation aussi stricte des produits du tabac pourrait entraîner la prolifération d’un marché noir des produits du tabac dans le pays. La manière dont les restrictions s’appliquent aux touristes qui visitent le pays n’est pas claire non plus. Selon la réglementation douanière actuelle, les visiteurs peuvent transporter 50 cigarettes ou 50 grammes de produits du tabac sans payer de droits et de taxes.

En outre, le projet de loi exclut les produits de vapotage, dont le nombre d’utilisateurs a fortement augmenté en Nouvelle-Zélande. Selon certains rapports, jusqu’à 20 % des lycéens qui n’avaient jamais fumé de leur vie se sont mis à fumer quotidiennement des cigarettes à forte teneur en nicotine.

Lire aussi : Philip Morris demande une interdiction de la vente de cigarettes d’ici 2030

Source : Interesting Engineering

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:43
Le groupe Carlyle en difficulté pour lever des fonds !
 

 

 

« La société de capital-investissement Carlyle éprouve des difficultés à lever les 22 milliards de dollars visés pour son plus important fonds, affirme le Financial Times en citant des sources proches du dossier. Elle a demandé aux investisseurs une extension jusqu’à la fin août alors qu’elle prévoyait auparavant d’atteindre cet objectif en mars. Carlyle a levé 17 milliards de dollars jusqu’à présent.

 

 

Non pas que Carlyle soit en faillite ou que cet échec fasse peser un risque systémique.

 

Non.

 

Rien de tout cela.

 

C’est juste que l’un des plus grands fonds de la planète n’arrive plus à collecter de fonds.

 

Cela signifie plusieurs choses.

 

1/ La liquidité est en train de clairement se raréfier.

 

2/ Les investisseurs conservent leurs liquidités et attendent avant de placer.

 

3/ Les investisseurs peuvent devoir garder du cash pour également couvrir des appels de marges et des pertes potentielles.

 

C’est donc un signal faible assez fort et un indicateur d’aggravation de la crise économique qui se développe actuellement sous nos yeux.

 

Histoire de Carlyle (instant culture financière) !!

 

Le Groupe Carlyle ou Carlyle Group est une société de gestion d’actifs mondiaux américaine fondée en 1987 spécialisée dans le capital-investissement.

 

Basé à Washington, le groupe investit dans de nombreux domaines d’activités, comme l’aéronautique, la défense, l’industrie automobile et des transports, l’énergie, les télécommunications et les médias. Via sa filiale AlpInvest, il opère quatre métiers différents : le capital-investissement, l’immobilier, les stratégies de marché et les fonds de fonds (en). Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est.

 

Dans son rapport annuel de 2010, le groupe déclare pour plus de 150 milliards de $ d’actifs en gestion diversifiée sur plus de 84 fonds distincts4. Il possède 89,3 milliards de dollars de capitaux propres et il emploie 1.000 personnes dont la moitié de professionnels de l’investissement dans 21 pays. Les différentes entreprises de son portefeuille emploient au total plus de 415.000 personnes dans le monde et Carlyle a environ 1.300 investisseurs répartis dans 71 pays à travers le monde.

 

Parmi ses dirigeants du Groupe Carlyle, de nombreuses personnalités se sont succédées, telles que George H. W. Bush ou encore Olivier Sarkozy.

 

Charles SANNAT

 

 

 

Source AOF via Boursorama.com ici

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:34

 

Matrix est un film culte. Et pour cause. Nous serions prisonniers d’un système, d’une matrice.

 

 

L’analogie avec le monde économique en général et de la finance en particulier est tentante.

 

Au moment du choix proposé à Néo, le choix entre la vérité qui dérange ou le mensonge qui rassure cette réplique culte du film est prononcée par Morpheus.

 

Agent Smith - Matrix | CGTrader

 

 

« Tu prends la pilule bleue, l’histoire s’arrête là. Tu te réveilles dans ton lit, et tu crois ce que tu veux. Tu prends la pilule rouge, tu restes au Pays des Merveilles et je te montre jusqu’où va le terrier ».

 

Parfois, nous vivons des instants hors du commun. Nous vivons des « bugs » dans la matrice. Ces instants sont toujours très éphémères, mais ils sont tellement exaltants lorsque nous avons la chance d’en vivre un.

 

Et là… nous avons un petit lapin blanc sous les yeux.

 

Vous savez ce que je pense des banques centrales et des crises.

 

Je pense que les banques centrales créent volontairement et de toute pièce les crises. Elles décident des cycles d’expansion en baissant le prix de l’argent (baisse des taux) et en inondant le monde de liquidités. Lorsqu’elles veulent décider d’un cycle de récession, elles réduisent la quantité d’argent et augmentent le prix de l’argent (hausse des taux). Elles président aux cycles économiques comme la lune préside à la nuit et le soleil à nos jours.

 

Ce qu’elles font est volontaire.

 

Elles créent des fortunes ou ruinent des acteurs totalement innocents.

 

Les Etats font la même chose en décidant de lois, de règles et autres normes. Actuellement, l’Etat ruine des commerçants qui n’ont rien demandé, qui n’ont ni fauté ni péché. Il suffit de multiplier par 10 le prix de l’électricité demandé aux boulangers pour tuer et faire fermer ces boulangers.

 

Mais parfois, nous vivons des instants hors du commun. Nous vivons des « bugs » dans la matrice.

 

BlackRock c’est une société multinationale américaine spécialisée dans la gestion d’actifs, dont le siège social est situé à New York. Fondée en 1988, elle est devenue le plus important gestionnaire d’actifs au monde, avec près de 8 000 milliards de dollars d’encours en octobre 2020. BlackRock est le poids lourds mondial. LA référence.

 

Vous pouvez me dire que du haut de mon grenier normand j’affabule. Vous pouvez me taxer de tous les torts. Vous pouvez me dire que je ne comprends rien, que je suis complotiste même si cela vous amuse, mais vous ne pourrez pas le dire de BlackRock, car BlackRock est le système, BlackRock est partie intégrante de la matrice et du système financier mondial. 8 000 milliards de dollars…

 

BlackRock affirme que les banques centrales provoquent « délibérément » des récessions !

 

BlackRock, (source ici sur Yahoo Finances) le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, affirme que les banques centrales provoquent « délibérément » des récessions et met en garde contre une récession sans précédent.

 

« De nombreux experts ont déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’économie américaine. Mais vous devriez quand même prêter attention à ce que BlackRock – le plus grand gestionnaire d’actifs au monde – a à dire pour une raison très simple : il prédit une récession pas comme les autres.

 

« La récession est annoncée alors que les banques centrales s’efforcent de maîtriser l’inflation », écrit l’équipe de stratèges de BlackRock dans son rapport 2023 Global Outlook.

 

En fait, les stratèges estiment que les banques centrales « provoquent délibérément des récessions en resserrant excessivement leur politique » dans le but de maîtriser le niveau des prix.

 

Dans le passé, lorsque l’économie entrait dans une phase de ralentissement, la Fed intervenait généralement pour aider. Mais en raison de la cause de cette récession prévue, BlackRock affirme que nous ne pouvons pas compter sur la banque centrale.

 

« Les banquiers centraux ne monteront pas à la rescousse lorsque la croissance ralentira dans ce nouveau régime, contrairement à ce à quoi les investisseurs s’attendent. »

 

Et cela n’augure rien de bon pour les actions. Le S&P 500 a déjà plongé de 18 % depuis le début de l’année, mais BlackRock estime que les valorisations des actions « ne reflètent pas encore les dégâts à venir ».

 

Si cette récession s’avère différente des précédentes, il est peut-être temps de chercher des moyens non conventionnels de s’en protéger.

 

Cette sortie des stratèges de BlackRock est remarquable, parce qu’elle est aussi clair, simple et limpide que du cristal.

 

Cette sortie est remarquable car, brutalement, sans que l’on sache véritablement pourquoi, un secret est révélé. La vérité, crue, apparait à tous ceux qui veulent comprendre.

 

Oui.

 

Les banques centrales décident des crises.

 

Oui.

 

Les banques centrales créent les crises.

 

Quand vous comprenez cela, vous pouvez comprendre ce qu’elles vont faire.

 

Quand vous comprenez ce qu’elle vont faire, vous pouvez retourner leurs stratégies contre elles… et franchement, de vous à moi, il ne faut surtout pas s’en priver.

 

Au contraire.

 

Il faut lutter contre le système en le prenant à son propre jeu. Souvenez-vous de mon dossier Stratégies du mois de septembre consacré justement à ce thème (les banques centrales vous attaquent, retournez leur stratégie en votre faveur). C’était exactement ce constat. Les banques centrales nous attaquent, elles vont créer la crise et la récession. Maintenant c’est BlackRock qui confirme cette analyse et ce n’est pas rien. Gardez le cap fixé dans ce dossier de septembre. Préparez-vous à passer à l’achat sur les actifs ciblés, mais… pas encore. Retenez le feu. Laissez l’ennemi approcher, qu’il soit à portée de tir. Ce n’est pas encore le moment.

 

Ceux qui veulent s’abonner à la lettre STRATEGIES et aux dossiers, tous les renseignements se trouvent ici.

 

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

 

Préparez-vous !

 

Charles SANNAT

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:23
Tout ceci est bien lié
 

 

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:17

 

 

 

 

Alors que le monde s’apprête à connaître l’une des pires récessions économiques de son histoire, les chiffres des coûts de la corruption au sein de l’Union européenne donnent le vertige. Jusqu’à 990 milliards d’euros sont ainsi perdus chaque année, l’équivalent de 6,3 % du PIB de l’UE.

 

Madam Mim (KH III) - Idea Wiki

Près de 1 000 milliards d’euros. C’est ce que représente l’impact de la corruption à l’échelle européenne, soit 6,3 % du PIB du bloc, selon la fourchette haute des chiffres du Parlement européen. A minima, cet impact est évalué à 179 milliards d’euros chaque année. Un rapport du think tank Le Club des juristes, publié jeudi (19 novembre), plaide pour la mise en place de nouvelles mesures afin de pallier ce problème et améliorer le droit européen en matière de corruption.

Selon l’indice de perception de la corruption publié par Transparency International, qui classe 180 pays et territoires en fonction de leur niveau de corruption perçu dans le secteur public par des experts et des hommes d’affaires, l’Europe est toutefois la région qui dispose du meilleur score, avec 66 % de moyenne, ce qui laisse imaginer l’impact du problème ailleurs dans le monde. En 2019, la France reculait cependant de deux places dans ce classement, passant de 21ème à 23ème.

De l’utilité des lanceurs d’alerte

Mais, outre ces 6,3 points de PIB, la politique de l’UE au regard des lanceurs d’alerte a aussi un coût. Les pertes liées à l’absence de protection de ces derniers au sein de l’Union sont estimées entre 5,8 et 9,6 milliards d’euros, avait révélé une étude de la Commission européenne de 2017. Celle-ci s’attelait à présenter « un argument économique «  en faveur des lanceurs d’alerte, en plus de l’argument moral communément admis.

Le rapport s’était ainsi concentré sur le secteur des marchés publics, « composante majeure de l’économie et point névralgique de la corruption […]. Dans ce contexte, la protection des lanceurs d’alerte peut encourager la dénonciation des pratiques de corruption, ce qui permet de réduire les abus de fonds publics », indiquaient les auteurs de l’étude. Celle-ci s’est basée sur une enquête détaillant les coûts supportés par le secteur public pour mettre en place durablement la protection des lanceurs d’alerte dans sept pays européens dans lesquels des dispositions en ce sens sont effectives – l’Irlande, l’Italie, le Pays-Bas, la Roumanie, la Slovaquie, le Royaume-Uni et la France.

Les résultats quantitatifs du rapport avaient « clairement démontré » la valeur économique de la protection des lanceurs d’alerte, avec pour tous les pays et les scénarios modélisés, un potentiel d’efficacité dépassant largement les coûts.

Par ailleurs, l’opinion publique est en demande. Selon un Eurobaromètre spécial publié en 2017, 68 % des Européens jugent la corruption inacceptable et l’estiment répandue dans leur pays.

Avantage concurrentiel des États-Unis

Mais l’enjeu est également géopolitique. En France, le cas d’Alstom notamment avait montré l‘avantage que donnait la loi américaine de 1977, le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA), votée à la suite du scandale du Watergate.

Une loi qui a la particularité d’être extraterritoriale. Les actes de corruption commis par des entreprises ou des personnes qu’elles soient américaines ou non, implantées aux États-Unis d’une manière ou d’une autre, simplement cotées en bourse sur le territoire américain ou acteur d’un marché financier régulé, peuvent être poursuivis par le ministère américain de la Justice. Le seul fait d’avoir établi une communication téléphonique ou envoyé un courriel transitant via le territoire américain permet également l’application de cette loi.

Avec cet outil juridique, Washington n’a eu de cesse d’adopter une politique commerciale très agressive.

Entre 2008 et 2018, sur les 26 plus lourdes condamnations pour corruption prononcées au titre du FCPA, 14 concernent des entreprises européennes, pour un montant total de 5,34 milliards d’euros, soit 60 % du total des amendes, et cinq seulement des sociétés américaines.

Madam Mim Scares Donita Donata - YouTube

« La dimension internationale des enjeux de compliance (respect des normes juridiques et éthiques applicables aux entreprises, ndlr) appelle une réponse forte de l’Europe avec l’émergence d’un véritable droit européen en la matière, estime Bernard Cazeneuve, président du Club des juristes. C’est là l’une des conditions du rééquilibrage de la relation euro-atlantique. La puissance économique et politique des États-Unis, articulée à leur détermination à lutter contre la corruption dans un cadre extraterritorial, leur a en effet donné toute légitimité pour inspirer le droit international de la compliance ».

Pour un paquet anticorruption européen

La France n’est pas en reste. La loi sur la transparence, la lutte contre la corruption et la modernisation de la vie économique, dite « Sapin 2 », adoptée par le Parlement fin 2016, avait pour ambition de « porter la législation française aux meilleurs standards européens et internationaux en matière de lutte contre la corruption, et contribuer ainsi à une image positive de la France à l’international ».

Pour M. Cazeneuve, « les mesures importantes prises de longue date par la France pour répondre aux standards internationaux de lutte contre la corruption sont […] source d’espérance ». « Adoptées en réponse à l’extraterritorialité des lois américaines, aux sanctions prononcées par les juges à l’encontre d’entreprises françaises et dans une volonté de faire de la conformité un élément de compétitivité sur la scène internationale, ces mesures demandent désormais à être approfondies », ajoute-t-il.

Si le traité de Lisbonne place bien la corruption comme un des dix « eurocrimes », « cette politique reste encore timide », explique à EURACTIV France Maître Fabrice Fages, avocat associé au cabinet Latham & Watkins, co-auteur du rapport. « C’est pourquoi nous appelons de nos vœux l’adoption d’un paquet anticorruption et l’insertion de clauses dédiées dans les actes de droit dérivé. Et ce d’autant que lorsque des Etats européens mettent en place des législations nationales, une réelle coopération pénale entre autorités peut se mettre en place, y compris avec les autorités américaines ».

Parmi les autres mesures proposées par Le Club des juristes, l’introduction dans le droit européen d’une obligation de conformité aux recommandations de l’OCDE en matière de compliance, ou encore l’instauration d’une obligation aux États membres d’incriminer les faits de corruption, même commis en dehors de leur territoire mais présentant un lien de rattachement avec lui, sur le modèle du FCPA américain.

Concernant la France, les auteurs du rapport suggèrent entre autres une fusion de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique et de l’Agence française anticorruption afin qu’elles gagnent en efficacité, « tant dans leur action que dans leur gestion budgétaire et humaine ».

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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 17:08
Après les médecins effrayés par les virus, ceux qui ont peur du froid…
 

 

 

Nous venons de passer deux années à subir les propos terriblement alarmistes de tous les médecins enfermistes pour qui un bon malade est quelqu’un qui ne peut pas tomber malade parce qu’il est isolé, seul, et donc ne peut contracter aucune maladie. Les profs souffrent aussi de ce syndrome. Les seuls « bons » élèves sont ceux que l’on n’entend pas, surtout pas, qui ne bougent pas, ne s’expriment pas et ne demandent surtout rien à sa sainteté le maître sachant.

 

 

 

Nous avons désormais droit sur les plateaux télés et radios aux médecins qui ont peur du froid et qui viennent nous prodiguer leurs augustes conseils en chaleur corporelle.

 

Il faut les amis, croyez-en ce docteur bac +10 vous préparer au froid en choisissant vos habits. Cela va sans dire, mais nettement mieux en le disant, comme nous sommes considérés comme des abrutis par tous ceux qui se pensent « cortiqués » du ciboulot, et sachant mieux que nous comment faire, ces sachants justement nous expliquent qu’il faut nous habiller l’hiver, mettre un bonnet sur la tête et pensez à ne pas oublier votre écharpe. Si. Si.

 

Même ma mère ne me dit plus de mettre ma « cagoule »…

 

 

Ce pays sombre parce que ses pseudo-élites sont elles-mêmes en plein naufrage, mais ne se rendent même plus compte de leur nullité tant elles sont devenues prétentieuses et imbues d’elles-mêmes dans la jouissance de leur pouvoir si fragile.

Charles SANNAT

 

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Les personnes qui n’ont pas été injectées courent un risque plus élevé d'accidents de la route
 
 
Sur Public Sénat, le sénateur François Patriat (LREM) explique à ceux qui travaillent qu'ils ne sont pas fatigués. Grâce à l'exosquelette, la pénibilité dont ils se plaignent n'est qu'une illusion. Plus rien ne les empêche de travailler jusqu'à la mort.

 

 
 
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14 décembre 2022 3 14 /12 /décembre /2022 19:58
Stockman : Twitter était implicitement devenu le ministère de la Vérité
Photo de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN pour Zerohedge
MERCREDI 14 DÉCEMBRE 2022 - 16:44

Écrit par David Stockman de Contra Corner via The Brownstone Institute ,

Le nouveau matériel publié par Musk ce week-end confirme le pire. Les garçons et les filles banals précédemment installés dans les échelons supérieurs de Twitter n'étaient pas seulement en train de s'amuser en essayant de diriger le récit des nouvelles de la nation; ces dirigeants rencontraient en fait chaque semaine des responsables du FBI, de la sécurité intérieure et du renseignement national pour discuter de la « désinformation » qu'ils voulaient retirer du site, y compris la suppression notoire de l'histoire de l'ordinateur portable de Hunter Biden.

 

 

C'est juste une étape éloignée d'un ministère de la Vérité géré par l'État et c'est peut-être encore plus insidieux. C'est parce qu'il n'impliquait même pas de coercition non désirée et inconstitutionnelle. Au lieu de cela, les dirigeants de cette entreprise privée négligeaient volontairement leur travail quotidien (maximisation des bénéfices de l'entreprise et de la valeur actionnariale) afin de consacrer une énorme quantité de temps et de ressources à la propagation des récits officiels et à la suppression des opinions dissidentes.

C'était comme si les pouvoirs en place de Washington avaient nationalisé une entreprise de plusieurs milliards, la rédigeant pour faire de la propagande au nom de leur propre programme politique et politique et continuer à rester au pouvoir.

Ainsi, la question revient de savoir pourquoi Jack Dorsey, Parag Agrawal, Vijaya Gadde, Yoel Roth et d'innombrables autres cadres supérieurs ne s'occupaient pas de « biness » d'entreprise, mais au lieu de cela travaillaient ostensiblement au noir au nom d'un programme parascolaire qui n'avait absolument rien à faire. faire de l'argent sur Twitter.

La réponse n'est en fait pas un mystère. Les fichiers Twitter publiés jusqu'à présent par le trio de journalistes intrépides ayant accès aux fichiers internes de l'entreprise - Matt Taibbi, Bari Weiss et Michael Shellenberger - fournissent un cas hurlant du chien qui n'a pas aboyé.

Pas une seule fois, aucun de ces dirigeants n'a fondé ses actions de «modération du contenu» et de contrôle de la pensée sur la nécessité d'apaiser les annonceurs et ainsi de protéger les revenus et les bénéfices de l'entreprise. Pas une fois!

En fait, bien sûr, le risque de perdre des revenus publicitaires serait une raison valable du marché libre pour "désamplifier" le contenu qui a fait dépérir les sources de revenus. Mais personne n'a affirmé que le fait que le NY Post laisse tomber Hunter Biden enverrait des dollars publicitaires à GM ou Proctor & Gamble ou même que les globes oculaires des utilisateurs dont dépendaient ces dollars se fermeraient soudainement à cause de l'horreur de cela.

En effet, les yeux de la direction collective de l'entreprise étaient si éloignés de la maximisation des profits qu'ils avaient un temps apparemment infini pour la poursuite de toutes sortes de folies et de futilités sur le réseau de Twitter. Par exemple, le tweet manifestement facétieux de l'ancien gouverneur Huckabee sur le vote frauduleux a attiré l'attention de tout l'échelon supérieur :

Je me suis tenu sous la pluie pendant une heure pour voter tôt aujourd'hui. Quand je suis rentré à la maison, j'ai rempli ma pile de  bulletins de vote par correspondance  , puis j'ai voté les bulletins de vote de mes parents et grands-parents décédés. Ils votent comme moi ! # Trump2020 », a tweeté Huckabee le 24 octobre 2020.

La tentative flagrante d'humour ici n'aurait dû échapper à personne avec un QI supérieur à 80. Mais comme l'a révélé Matt Taibbi, les gros bonnets utilisant la chaîne Slack intitulée "us2020_xfn_enforcement" ont en fait organisé un débat animé sur la question de savoir si le tweet de Huckabee devait être supprimé.

"Bonjour <ici> mettre ce tweet sur  le radar de tout le monde.  Cela semble être une blague, mais d'autres personnes pourraient le croire. Puis-je avoir votre avis là-dedans ? », a écrit un employé de Twitter, en lien avec le tweet de Huckabee.

L'ancien responsable de la confiance et de la sécurité de Twitter, Yoel Roth, a déclaré sur la chaîne Slack que s'il convient que "c'est une blague", Huckabee "admet également littéralement dans un tweet un crime".

"Ouais. Je pourrais nous voir prendre des mesures en vertu d'"allégations trompeuses qui sèment la confusion sur les lois, réglementations, procédures et méthodes établies d'un processus civique",  mais ce n'est pas une action que nous pourrions vraiment étiqueter de manière utile, c'est donc la suppression (d'un stupide et blague malavisée) ou rien. Je suis peut-être enclin à ne pas retirer sans rapport des autorités de vote étant donné que cela fait un moment qu'il ne l'a pas tweeté et que pratiquement toutes les réponses que je vois sont critiques/contre-discours », a déclaré Roth.

Il existe d'innombrables autres exemples dans les fichiers Twitter de ce qui équivaut à des anecdotes et à des tireurs d'élite partisans purs attirant l'attention des grandes entreprises. Dans un tweet, Donald Trump a fait référence à un problème de vote par correspondance dans l'Ohio qui s'est avéré vrai.

Néanmoins, les dirigeants de Twitter ont été félicités pour leur rapidité à imposer des "filtres de visibilité" afin que le tweet ne puisse pas être "répondu, partagé ou aimé", et le personnel a reçu un "attaboy" de censure : "TRÈS BIEN FAIT SUR LA VITESSE".

Pourtant, c'était Donald Trump le président en exercice - donc il était vraisemblablement digne d'une censure de haut niveau. Mais qu'en est-il d'un certain John Basham, un ancien conseiller du comté de Tippecanoe, dans l'Indiana ?

Ce dernier avait apparemment attiré l'attention du FBI, qui a envoyé un rapport à Twitter pour action en raison du fait que Basham a affirmé,

"Entre 2% et 25% des bulletins de vote par courrier sont rejetés pour des erreurs."…

Voyons voir. Est-ce que l'opinion d'un ex-fonctionnaire d'un endroit dont personne n'a entendu parler depuis l'élection de 1840 ("Tippecanoe et Tyler, Too"), affirmant implicitement que le problème d'erreur de courrier était soit énorme (25 %) soit relativement trivial (2%), vraiment important lorsqu'il s'agit de diriger une entreprise mondiale, ou même une opération de censure sous contrat avec le gouvernement d'ailleurs ?

C'est-à-dire que ces gamins et idéologues partisans à moitié cuits étaient tellement au-dessus de leurs têtes que ce n'était qu'une question de temps avant que toute l'entreprise échoue. En effet, ils avaient formulé tellement de règles pour la modération du contenu et des sanctions si complexes en plusieurs étapes, y compris des « temporisations » de style parental, qu'une grande partie du débat interne révélé dans les fichiers Twitter se résumait à des arguments sur l'application d'une pure stupidité.

Cela était plus qu'évident dans le cas des sept suspensions par Twitter du compte "LIBs of Tik Tok" (LTT). Ce compte Twitter a été lancé par un Chaya Raichi en novembre 2020 et compte désormais plus de 1,4 million d'abonnés. À chaque fois, Raichik a été bloqué pendant une semaine.

Mais quelle était l'infraction ? Le comité a justifié ses suspensions en interne en affirmant que ses messages encourageaient le harcèlement en ligne des "hôpitaux et des prestataires de soins médicaux" en  insinuant  "que les soins de santé affirmant le genre équivalaient à la maltraitance ou au toilettage des enfants".

En fait, c'est une question brûlante de jugement et d'opinion qui peut être débattue dans les deux sens - le genre exact de chose qui est censée être débattue sur la place de la ville. Mais dans tous les cas, Twitter affirme que le point de vue de LTT sur la question équivalait à un «discours de haine» révèle à quel point ces jeunes wokish étaient descendus loin du fond.

Pourtant, ce qui compte ici, c'est le libellé de la recommandation relative à la politique du site : il s'agit de punitions de style cour de récréation, et rien du tout des besoins de l'entreprise ou du point de vue des annonceurs.

 

Pendant ce temps, que se passait-il au ranch en 2020-2021 lorsque le QG de Twitter était transformé en Village des Damnés ?

Eh bien, d'une part, le cours de l'action de la société montait en flèche. Après avoir dérapé en 2015-2016, la capitalisation boursière de Twitter était passée de 12,5 milliards de dollars à l'automne 2017 à 27 milliards de dollars à l'automne 2019 pour atteindre un sommet de 54 milliards de dollars en juillet 2021.

En bref, étant donné le quadruplement du cours de l'action de la société en seulement quatre ans et les gains massifs qui en ont résulté dans la valeur des options d'achat d'actions des dirigeants, l'échelon supérieur s'est apparemment senti libre de devenir des volontaires au noir pour le Deep State. C'est-à-dire qu'en faisant bien, ils n'étaient pas pénalisés pour avoir fait le bien aux dépens des actionnaires.

Et nous parlons des dépenses des actionnaires. Au cours de ses exercices 2020 et 2021 combinés, qui englobaient la période de pointe de la folie de la suite C relatée par les fichiers Twitter, la société a récolté 8,8 milliards de dollars de revenus grâce à l'accélération par le monde du verrouillage de la migration publicitaire des sites hérités vers les sites numériques.

De plus, la collecte de ces sommes n'a nécessité que 3,2 milliards de dollars en coût des marchandises vendues, ce qui a entraîné des bénéfices bruts en livres sterling de 5,6 milliards de dollars et 64% des ventes. À son tour, cela aurait dû se traduire par une aubaine pour les actionnaires sur le résultat net. Sauf que non.

En fait, la direction au noir de l'entreprise a dépensé bien plus que cela - 6,1 milliards de dollars - en R&D, ventes et marketing, frais généraux et autres dépenses importantes. C'est-à-dire que le modèle commercial putatif de Twitter a fait faillite, avec des pertes d'exploitation cumulées de près d'un demi-milliard de dollars au cours de la période de deux ans.

De même, sa bonne foi en tant que machine à brûler de l'argent a été renforcée. En 2020-2021, il a généré 1,6 milliard de dollars de trésorerie d'exploitation, mais a dépensé près de 1,9 milliard de dollars en CapEx. En conséquence, le flux de trésorerie disponible d'exploitation de Twitter s'est élevé à  -260 millions de dollars .

 

 

 

En bref, lorsque la société a atteint une valorisation maximale de 54 milliards de dollars en juillet 2021, elle saignait de l'encre rouge et brûlait de l'argent. Il avait essentiellement un multiple d'évaluation infini, dont l'évaluation absurde, à son tour, équivalait à un feu vert clignotant pour un travail au noir rampant non seulement par sa haute direction, mais par la quasi-totalité de ses 7 500 employés.

À cet égard, nous attendons que notre écran Twitter s'éteigne depuis qu'Elon Musk a ramené le coq de l'emploi au moins à son niveau de décembre 2017 (3 372). Mais, hélas, les tweets continuent d'affluer, alors même que les dépenses ont été ramenées aux niveaux qui existaient lorsque Twitter était évalué aux 25 % susmentionnés de son pic éventuel.

L'histoire de Twitter n'est pas un cas unique, ni la preuve que Wall Street et les joueurs à domicile sont composés d'imbéciles avides qui tomberont pour n'importe quoi.

Au contraire, l'épidémie destructrice de travail au noir des entreprises au nom de l'idéologie éveillée et des causes partisanes est née, élevée et immatriculée par les imprimeurs de billets de la Fed. En fin de compte, c'est la mauvaise monnaie qui conduit à un mauvais comportement destructeur de valeur dans les suites C - juste un exemple de plus du « mal investissement » qui est le résultat inhérent de l'inflation monétaire.

Dans ce contexte, la bulle injustifiée de l'action Twitter n'est en fait qu'une petite pomme de terre par rapport aux géants de la Silicon Valley, qui ont tous été infectés par la même descente basée sur la mauvaise monnaie dans le travail politique au noir.

En l'occurrence, le stock du FANGMAN (Facebook, Apple, Netflix, Google, Microsoft, Amazon et NVIDIA) a été énormément gonflé par l'impression monétaire effrénée de la Fed au cours de la dernière décennie.

Ainsi, en 2013, ces sept géants de la technologie étaient collectivement évalués à  1 190 milliards de dollars , ce qui représentait  15,9 fois  leur revenu net combiné de 75 milliards de dollars. On peut soutenir que ce multiple PE était raisonnable et approprié compte tenu du fait que la plupart de ces entreprises connaissaient une croissance rapide mais bénéficiaient également de vents contraires ponctuels.

Ceux-ci comprenaient—

  • le passage de la publicité des médias traditionnels aux médias numériques ;

  • la migration des ventes de marchandises des magasins physiques vers le commerce électronique ;

  • le passage de la technologie informatique des boîtiers autonomes et de leurs logiciels packagés au cloud ; et

  • la pleine adoption de la technologie des téléphones intelligents par le grand public.

Ces vents favorables ponctuels ont entraîné une croissance des revenus de 20 % par an pour les sept FANGMEN au cours de la période 2013-2021. Mais l'afflux de liquidités de la Fed au cours de la même période a fait plus que doubler le multiple du PE à  34X  sur la base de l'idée que la Fed ne laisserait jamais le marché baisser ; et aussi que les taux d'intérêt les plus bas resteraient en place indéfiniment, entraînant le règne funeste de TINA (il n'y a pas d'alternative d'investissement aux actions).

En conséquence, la capitalisation boursière des sept sociétés a grimpé à  11,5 billions de dollars  à l'automne 2021, ce qui représente un gain de 33 % par an. À son tour, cela signifiait non seulement que les capitalisations boursières avaient augmenté 1,5 fois plus vite que les gains de bénéfices ponctuels insoutenables, mais que les suites C de la Silicon Valley n'avaient aucun mal à détourner les yeux de la balle de maximisation des bénéfices afin de poursuivre des agendas politiques qui avaient rien à voir avec la bonne gestion de leurs entreprises respectives.

Hélas, le ver a tourné. La capitalisation boursière des FANGMEN a déjà chuté d'un  montant stupéfiant de 4,5 billions de dollars  à seulement 7,1 billions de dollars à l'heure actuelle. Dans le même temps, les bénéfices collectifs de ces actions de « croissance » prétendument perpétuelles ont  diminué de près de 14 %  depuis leur sommet été/automne 2021 de 336 milliards de dollars. 

À notre avis, les entreprises qui connaissent une baisse de leurs bénéfices à deux chiffres, même avant la prochaine récession, ne méritent pas le multiple de 24,5 fois que le marché attribue actuellement à leurs bénéfices collectifs de 290 milliards de dollars .

De même, les actionnaires n'ont jamais mérité les 4,5 billions de dollars qui se sont déjà vaporisés, même s'ils étaient mal servis par la direction qui s'était absentée, au noir sur l'éveil et la politique.

En somme, la mauvaise monnaie est l'atelier ultime du diable. Le bain de sang dans les actions de la Silicon Valley et les divulgations de fichiers Twitter permises par le propriétaire de Tesla, sa société la plus affreusement surévaluée, prouvent enfin exactement pourquoi.

 

 

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