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Cette analyse rejoint celle de Candace Owens au final !
candace - Vouillé un peu d'Histoire
Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
Les médias Américains se lâchent et ils ne font pas dans le détail, une enquête sans concession, mais il y a deux vidéos supplémentaires sur l'affaire Brigitte qui offre des côtés plus sombres
à vous de voir
Henry
Par Médée Greere
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Dévoilant une révélation choquante qui a provoqué une onde de choc à travers la France et au-delà, des allégations récentes suggèrent que Brigitte Macron, l’estimée Première Dame, est née sous le nom de Jean-Michel Trogneux, un homme transgenre. Mais au milieu de la controverse, y a-t-il plus dans cette histoire qu’il n’y paraît ? Plongeons profondément dans les eaux troubles de la tromperie, du complot et des intrigues entourant la dynastie Macron.
Dans un monde où la vérité dépasse souvent la fiction, la saga entourant le passé transgenre présumé de Brigitte Macron a attiré l’attention de millions de personnes, déclenchant une tempête de spéculations, de controverses et d’incrédulité. Ce qui a commencé comme des chuchotements dans l’ombre a maintenant éclaté en une véritable frénésie médiatique, avec des accusations qui fusent et des réputations en jeu.
Au centre de tout cela se trouve un enchevêtrement de tromperie, de manipulation et de dissimulation, orchestré par des forces invisibles déterminées à garder la vérité enfouie sous des couches de tromperie. Mais comme le dit le vieil adage, « la vérité vous libérera », et il est grand temps de mettre en lumière les recoins les plus sombres de cette conspiration.
La naissance d’une rumeur : percer le mystère. Les origines de cette révélation explosive remontent à une série d’articles publiés en septembre dans la revue Faits et Documents, qui prétendaient dévoiler une dissimulation massive autour de la véritable identité de Brigitte Macron. Selon ces informations, Brigitte n’a pas toujours été la femme que nous connaissons aujourd’hui. En fait, elle est née Jean-Michel Trogneux, un homme.
Mais avant de plonger plus profondément dans les eaux troubles de cette conspiration, il est crucial de s’attaquer à l’éléphant dans la pièce : y a-t-il une part de vérité dans ces allégations, ou sont-elles simplement le produit d’une imagination enfiévrée ?
Brigitte Macron s’exprime : le pouvoir du déni. En réponse aux rumeurs et aux insinuations tourbillonnantes, Brigitte Macron a nié avec véhémence ces allégations, les qualifiant de rien de plus qu’une théorie du complot sans fondement alimentée par la transphobie et l’intolérance. Dans une déclaration rendue à la presse, elle s’est engagée à engager des poursuites judiciaires contre ceux qui propagent des mensonges et de la désinformation.
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Loudéac : une mère de 38 ans condamnée pour détournement de mineur
Loudéac (Côtes-d'Armor). Elle a 38 ans il en a 14, et sont fous amoureux. Mais la loi ne souffre d'aucune dérogation : la majorité sexuelle dans notre pays est fixée à 15 ans.
Loudéac (Côtes-d'Armor). Elle a 38 ans il en a 14, et sont fous amoureux. Mais la loi ne souffre d'aucune dérogation : la majorité sexuelle dans notre pays est fixée à 15 ans.
Elle requiert 3 ans de prison dont deux avec sursis, et l’inscription de plein droit au FIJAIS (fichier des délinquants sexuels).
Le 24 février 2022 au début de la guerre en Ukraine, la Russie a pris en otage 400 avions étrangers, et maintenant les assureurs s’arrachent les cheveux, car « les grands constructeurs aéronautiques européens et américains ont perdu la main sur près de 400 avions qu’ils louaient à des compagnies aériennes russes. Deux ans après le début de la guerre, les assureurs refusent d’indemniser les constructeurs. Résultat : une perte de plusieurs milliards de dollars. »
On estime entre 10 et 15 milliards de dollars le prix de ces avions, et cela fait une petite perte tout de même qui traîne dans quelques bilans et qui n’est pas forcément très bien provisionnée, si vous voyez ce que je veux dire, mais je n’en dirais pas plus, bien que je n’en pense pas moins.
Il y a peu de chance que l’on revoit un jour ces avions, surtout que les Russes ne sont pas prêts de revoir les centaines milliards d’euros qu’ils avaient sous forme d’avoirs dans le monde occidental, l’Union Européenne ayant annoncé que les avoirs russes gelés allaient être utilisés pour financer les armes nécessaires à l’Ukraine pour lutter contre l’attaque russe.
…. Alors les 400 avions risquent fort de passer par pertes et profits… et surtout par pertes !
Les assurance ne veulent jamais payer !
Vous connaissez le modèle économique des assurances. Les primes ne sont pas très élevées, sinon personne n’irait s’assurer, donc les compagnies gagnent avec les petits caractères en essayant généralement de ne pas payer quand le sinistre est là !
Si « Airbus, Boeing et les entreprises intermédiaires de location essaient désormais de se faire indemniser pour cette perte financière immense. Mais la situation assurantielle autour des appareils fait débat. Lors de la location, les compagnies locales sont censées souscrire une assurance au niveau local. Les constructeurs, de leur côté, sont également assurés, notamment en cas de guerre.
Les assureurs russes sont prêts à payer
Les assurances des constructeurs estiment aujourd’hui ne pas avoir à indemniser leurs clients. La première raison avancée repose sur l’enchaînement des événements. Les constructeurs ont officiellement cessé leur contrat d’assurance en Russie après l’invasion, mais avant qu’ils ne comprennent que leurs avions étaient coincés sur le sol russe. Un délai de quelques jours tout au plus qui pourrait leur être préjudiciable.
Les assureurs souhaitent également avancer l’exclusion d’assurance parce qu’ils estiment que les États-Unis et l’Europe sont eux-mêmes en guerre. S’ils ne se battent pas directement contre Moscou, leur soutien à l’Ukraine, notamment à travers la fourniture d’armes et de munitions, indiquerait une implication significative.
De leur côté, les assureurs locaux en Russie ont déjà proposé des accords aux entreprises intermédiaires de location d’appareils. Plusieurs milliards de dollars ont donc été envoyés à certaines d’entre elles en échange d’un abandon des poursuites et pour que les avions restent en Russie. Une forme de rachat d’appareils, à prix cassés, qui n’empêchera pas la bataille juridique avec les assurances occidentales. »
Un conflit économique qui risque de durer aussi longtemps que l’affaire des emprunts russes.
Source ici
Le Ceta est un traité de libre-échange stupide et inéquitable signé avec le Canada au nom de la religion du saint-libre-échange que plus personne n’a le droit de contester sous peine d’excommunication.
Ce dossier date de 2019, soit avant la « grande pandémie ».
« Enterré depuis 2019, le texte a été exhumé par les communistes à l’occasion de leur journée d’initiative parlementaire. En pleine campagne européenne, il place l’exécutif en difficulté.
C’est un petit coup de tonnerre symbolique lourd de conséquences politiques. Ce jeudi après-midi, au bout du suspense, le Sénat a rejeté la ratification de l’accord de libre-échange Ceta, grâce au rejet de l’article 1 du projet de loi par 211 voix contre 44 pour seulement. Ce vote intervient cinq ans après un scrutin difficile à l’Assemblée nationale où, en 2019, les députés avaient validé dans la douleur ce traité économique et commercial avec le Canada. Or Covid-19 et suspension des travaux parlementaires obligent, le texte était ensuite tombé dans l’oubli et il n’avait jusqu’ici pas été débattu à la Chambre haute. C’est désormais chose faite. »
Et les sénateurs viennent de mettre une raclée au gouvernement.
« Nous ne pouvons plus continuer à importer d’ailleurs ce que nous produisons chez nous »
« Sur le fond, si les sénateurs macronistes et Centristes ont vanté les mérites du Ceta, les bancs de la gauche et des Républicains ont largement critiqué l’accord. « Nous ne pouvons plus continuer à importer d’ailleurs ce que nous produisons chez nous », a cinglé le LR Laurent Duplomb. « Il ne s’agit pas ici de remettre en cause le libre-échange », a de son côté plaidé la LR Valérie Boyer, estimant que le Ceta, loin de répondre aux « objectifs louables », mettait « une épée de Damoclès sur notre agriculture ».
Le patron du groupe écologiste, Guillaume Gontard, ne dit pas autre chose, lui qui y voit une « catastrophe pour le climat et la santé humaine » source de « concurrence déloyale, particulièrement en matière agricole ». « Après sept ans de mise en œuvre, le bilan de cet accord provisoire permet de dresser un tableau mitigé pour le commerce et clairement négatif pour l’environnement, pesant sur nos normes et qui serait plus dangereux encore si les dispositions relatives à la protection des investissements étaient adoptées », a ajouté le socialiste Didier Marie. »
Faire venir du Canada des produits agricoles que nous savons produire chez nous et que nous produisons chez nous, avec des normes draconiennes pour importer à grand coup de CO2 et de transport des produits de moins bonnes qualité est tout simplement une approche délirante aussi bien économique qu’écologique.
Selon les informations du Figaro (source ici), « le président du groupe à l’Assemblée, André Chassaigne, a ainsi promis que le texte serait inscrit au menu de leur niche parlementaire, le 30 mai prochain. Soit à quelques jours du scrutin des européennes, qui se tiendront le 9 juin ».
Alors jusque-là vous pouvez vous dire que c’est génial, que c’est super, que la résistance continue et que l’on va peut-être gagner contre un traité absurde.
Que nenni mes amis.
C’est sans compter la grande démocratie européenne qu’est devenue l’UErss. Au nom du bon fonctionnement des institutions européennes, et pour rendre les avancées possibles, il faut réduire les pouvoirs de blocages des pays et donc des représentations nationales. Avoir plus d’Europe, c’est avoir toujours moins de démocratie. Cette réalité doit être comprise par le plus grand nombre.
Et c’est exactement ce que cette histoire de CETA permet de toucher du doigt car…Comme le dit le Figaro très justement « un nouveau rejet serait un message fort, mais ses répercussions seraient toutefois limitées : le gouvernement n’est pas obligé de notifier les institutions européennes de la décision du Parlement national – c’est par exemple le cas de Chypre. Autrement dit, l’exécutif pourrait décider de s’extraire du vote de la représentation nationale et laisser l’application provisoire de l’accord se poursuivre à l’échelle européenne. »
Les Français n’en veulent pas.
les sénateurs votent contre.
Et même si l’Assemblée Nationale rejette aussi le texte… vous l’aurez quand même.
La conclusion est simple.
Sans appel.
Plus d’Europe, c’est toujours moins de démocratie.
Et c’est ainsi que nous devenons, sans nous en rendre compte, insidieusement, la Corée de l’Ouest et l’UErss.
Tartarin appelle à la Guerre mais "Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué !"
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Quelques sources :
Maxime du Camp et le déclin français en 1870
On a du mal à percevoir l’absence de mouvement sous le mouvement.
1870, la fête impériale, l’art de bien rigoler…
On laisse écrire Maxime du Camp.
Sur Bismarck :
« Bismarck fut habile, il agit envers nous comme en 1866 il avait agi à l’égard de l’Autriche. Quand il eut machiné son plan et préparé ses pièges, il se fit déclarer la guerre et prit l’attitude d’un pauvre homme réduit à la défensive; il mit les torts d’apparence de notre côté. Comme un pêcheur consommé, il conduisit le poisson dans la nasse sans que celui-ci s’en aperçût. »
Après une belle phrase sur notre esprit de décision :
« Il avait pris pour une démonstration de notre force ce qui n’était qu’une preuve de l’inconséquence de notre caractère. »
Maxime du Camp passe par l’Allemagne et il découvre que cette nation est scientifique, organisée et disciplinée, mais pas seulement : elle est inspirée spirituellement et elle chante bien :
« J’entendis de loin une mélopée lente et grandiose, qui montait dans les airs comme la voix d’un chœur invisible. Des enfants couraient dans la direction du bruit; le chant se rapprochait, s’accentuait, vibrait avec un accent religieux et profond dont je me sentis remué. Je reconnus le Choral de Luther, que psalmodiait un régiment en venant prendre garnison dans la citadelle que ce pauvre général Mack nous a jadis si facilement abandonnée. Je fus très ému, je l’avoue, et je me demandai quel caractère allait revêtir cette guerre pour laquelle les hommes marchaient en chantant des psaumes. »
Après on va faire la comparaison avec Paris et sa salade impériale :
« Après avoir rapidement traversé la Suisse, j’arrivai à Paris, que l’empereur avait quitté deux jours auparavant.
Là le spectacle était autre : le soir, sur les boulevards, on buvait de l’absinthe en agaçant les filles; des hommes en blouse, vautrés dans des voitures découvertes, braillaient la Marseillaise. Qui donc avait vieilli, le chant national ou moi? Je ne sais. Il me déplut et je lui trouvai un air provocant qui ne s’adressait pas à l’ennemi. »
C’est Tartarin contre Siegfried. Et si Tartarin était l’essence de la France moderne (voyez mon texte sur Tartarin dans les Alpes) ? J’ai cité plusieurs fois cette ligne de Céline :
« Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes. »
Voilà celle de Maxime du Camp en 1870 :
« Se souvient-on aujourd’hui de la frénésie dont la population fut atteinte? On se croyait tellement certain de la victoire, que les adversaires systématiques de l’empire, — les irréconciliables, — demandaient la paix. »
Après la reddition de Sedan, la république arrive avec ses bienfaits ! Première divine surprise :
« Le 4 septembre, j’étais au Journal des Débats; cette fois c’était bien fini; la révolution tendait la main à l’invasion et complétait son œuvre. La plupart de ceux qui se trouvaient dans le bureau de rédaction étaient accablés.
Quelqu’un entra et dit : « C’est égal, nous voilà débarrassés des Bonaparte! » Oui, débarrassés des Bonaparte, mais débarrassés aussi de l’Alsace, de la Lorraine, débarrassés de cinq milliards, de beaucoup de monuments de Paris que l’on a brûlés et de quelques honnêtes gens que l’on a massacrés. »
Une belle phrase sur la France :
« La France était comme ces hommes frappés de la foudre qui gardent l’apparence de la vie et tombent en poussière dès qu’on les touche ».
Après on cherche comme toujours des excuses (euro, Bruxelles, etc.) :
« La nation crie, pleure, se désespère, déclare qu’elle est innocente et que l’empire seul est coupable. La nation a tort; elle a eu ses destinées entre les mains, qu’en a-t-elle fait? Nous mourrons par hypertrophie d’ignorance et de présomption. »
Du Camp se met à rêver :
« La France a cherché les réformes politiques : néant; elle a cherché les réformes sociales : néant; mais les réformes morales qui seules peuvent la sauver, elle n’y pense même pas. Si j’étais le maître, je traiterais tout de suite, quitte à subir des conditions léonines, car l’issue de la guerre ne peut actuellement être douteuse, et plus nous prolongerons la lutte, plus les conditions seront dures; puis je ferais des lois draconiennes pour organiser le service militaire et l’enseignement, l’enseignement surtout, non seulement scientifique, mais moral. C’est la morale qui forge les caractères et ce sont les caractères qui font les nations. »
Maxime du Camp comprend enfin :
On ne fera pas cela, sois en certain; on va expliquer au peuple français qu’il est le premier peuple du monde, qu’il a été trahi, qu’il a été livré, en un mot qu’il est indemne, et le peuple français continuera à croupir dans l’ignorance, à avoir le moins d’enfants possible, à boire de l’absinthe et à courir les donzelles. Nous mourrons, parce que nous sommes agités sans but et que la danse de Saint-Guy n’est pas le mouvement; nous n’avons pas d’hommes, parce que nous n’avons pas d’idées; nous n’avons pas de principes, parce que nous n’avons pas de mœurs. »
Dans mon livre sur Céline, j’ai évoqué le latin conifié par les mots. Idem ici :
« Nous sommes saturés de rhétorique; nous avons des façades de croyance, d’opinion, de dévouement; derrière il n’y a rien. Tout est faux, tout est théâtral, nous sommes des Latins; chez nous, comme pour le baron, tout est « pour paraître ». C’est la fin du monde. Il y a une phrase des Mémoires d’outre-tombe qui m’obsède et sonne en moi comme un glas funèbre :
« Il ne serait pas étonnant qu’un peuple âgé de quatorze siècles, qui a terminé cette longue carrière par une explosion de miracles, fût arrivé à son terme. »
Du Camp a une bonne idée qui eût pu éviter des déboires, et il prévoit même l’espace vital et sa conquête à venir :
« Au lieu de ces territoires, offrir nos colonies, en vertu de ce principe qu’il vaut mieux se faire couper les cheveux que de se laisser couper la tête. Malgré sa richesse, l’Allemagne étouffe, parce qu’elle n’a pas la vraie mer, qui est l’Océan; elle est insuffisante à consommer ses produits, qu’elle n’écoule que difficilement; elle est trop restreinte pour sa population, qui est forcée d’émigrer en Amérique. On peut donc la tenter sérieusement en lui proposant nos colonies des Antilles et nos stations dans l’Indochine. »
Évidemment il y a un risque avec… l’Angleterre !
« Si elle consent à cet échange (et je crois qu’on peut l’y amener), elle voudra devenir une puissance maritime de premier ordre et elle aura alors à s’entendre avec l’Angleterre. »
Du Camp dans ces lignes géniales prévoit donc la guerre Allemagne-Angleterre (voyez Preparata et quelques autres) et aussi la haine franco-allemande qui va dévaster l’Europe :
« Toute gentillesse, comme eût dit Montaigne, est perdue pour longtemps, un monde va commencer; on élèvera les enfants dans la haine des Prussiens ! »
La France commence à creuser sa tombe. Et quand elle touche le fond, elle creuse encore ! Du Camp :
« Rien de ce que Flaubert avait rêvé ne se réalisa, le quelque chose qui lui avait promis la victoire s’était trompé; de défaite en défaite on descendit jusqu’à l’endroit où la terre manque sous les pieds. »
La guerre de 1870 a tué la France, c’est mon sentiment. Après nous sommes en république, et la troisième république, ce n’est plus la nation ni la patrie. Elle tue net Mérimée et achève Théophile Gautier :
« La guerre, la révolution du 4 septembre, la Commune ont porté à Théophile Gautier un coup dont il a toujours souffert; il a traîné, ou plutôt il s’est traîné jusqu’à la tombe, languissant, enveloppé d’ombre, parlant peu et n’ayant plus guère que des regrets. »
Nicolas Bonnal
Sources
Maxime du Camp, Souvenirs littéraires, II, p.348-sq (sur archive.org)
https://www.dedefensa.org/article/maxime-du-camp-et-le-declin-francais-en-1870