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18 février 2024 7 18 /02 /février /2024 11:49
Après la menace de Trump : sans l’Otan, quelles sont les capacités militaires réelles de l’Europe
 

 

C’est la double menace qui fait frémir l’Europe : une défaite militaire de l’Ukraine qui, combinée à une victoire politique de Donald Trump à la présidentielle et une mise en retrait des États-Unis de l’Otan, ferait peser une menace russe directe aux frontières des états de l’est du vieux continent.

« Ce que craignent les Occidentaux, notamment depuis 2014, c’est un coup de force très rapide qui mettrait tout le monde devant le fait accompli, sans que nous ayons le temps d’envoyer des renforts ni de discuter de l’emploi de l’arme nucléaire », détaille le colonel Michel Goya, historien et analyste militaire...

 

C’est la double menace qui fait frémir l’Europe : une défaite militaire de l’Ukraine qui, combinée à une victoire politique de Donald Trump à la présidentielle et une mise en retrait des États-Unis de l’Otan, ferait peser une menace russe directe aux frontières des états de l’est du vieux continent. « Ce que craignent les Occidentaux, notamment depuis 2014, c’est un coup de force très rapide qui mettrait tout le monde devant le fait accompli, sans que nous ayons le temps d’envoyer des renforts ni de discuter de l’emploi de l’arme nucléaire », détaille le colonel Michel Goya, historien et analyste militaire.

Si les Ukrainiens sont loin d’être battus malgré leur retrait d’Avdiivka, et l’armée russe à des années-lumière de pouvoir surgir en masse derrière aux frontières de l’Europe, la sortie de Trump sur la possibilité d’un abandon américain face à Poutine si les Européens ne payent pas résonne cependant comme un avertissement à une Europe qui ne parvient déjà pas à aider efficacement l’Ukraine.

Beaucoup d’avions, peu de munitions !

Sur le papier, il n’y a pourtant pas photo : deux millions d’hommes, 4 000 chars de bataille, 2 000 avions, 200 navires, des moyens technologiques dernier cri, les forces armées européennes réunies disposent du double des capacités russes, avec une écrasante supériorité dans les « espaces vides » : air, mer, cyber. Mais une « vraie faiblesse dans les forces terrestres », pointe Michel Goya, pour qui la capacité réelle de projection sur le théâtre d’opérations, qui prendrait « plusieurs semaines à plusieurs mois », est bien inférieure aux chiffres annoncés : « La France, qui compte plus de 200.000 hommes dans son armée professionnelle, peut déployer deux brigades, soit 15.000 soldats et quelques dizaines d’avions », déplore-t-il.

Surtout, hormis la France et le Royaume-Uni, « aucun autre pays d’Europe ne possède d’expérience du feu », rappelle l’historien militaire qui s’interroge sur la « volonté de combattre » de pays qui n’ont pas connu la guerre depuis 70 ans. « En Allemagne ou en Italie, ce serait une révolution. » Des armées occidentales qui ont perdu l’habitude des exercices communs fréquents pendant la guerre froide, et qui devraient faire sans les formidables capacités de renseignements et de coordination américaines. Même si le flux d’informations ne s’interrompait pas complètement.

En face, des Russes qui ont « la quantité, mais pas la qualité, en témoignent leurs terribles pertes au début du conflit et depuis », selon le chercheur en géopolitique et cyberdéfense Louis Duclos, mais auront « l’expérience de plusieurs années de conflit de haute intensité », pour Michel Goya.

Autre problème de taille : les munitions. Louis Duclos, qui s’appuie sur un article de la revue stratégique intelligenceonline.fr, affirme que « le manque se situe au niveau des stocks et de la capacité de production et touche la production de guerre dans son ensemble. Faire fonctionner des chars et des avions demande des révisions constantes et beaucoup de pièces détachées. Sans oublier les réparations et remplacements des matériels suite aux combats ».

Pour Michel Goya, « on serait très embêté si on devait faire la guerre au-delà de quelques semaines ». Et remonter une industrie d’armement performante « doit s’anticiper ». Pour ce faire, l’Europe pourrait compter sur la puissance de son économie, et ses 240 milliards annuels de dépenses militaires, là où la Russie en affiche 70. « Dans la réalité ce doit être le double, avec une forte disparité de pouvoir d’achat. »

Dissuasion nucléaire

Quelles mesures prendre d’urgence pour pallier la menace ? D’un point de vue politique, « ces inquiétudes légitimes quant à l’avenir de l’Otan doivent pousser à l’Europe de la défense », assène Louis Duclos. « Il faut de la volonté, ce qui manque pour l’instant », même si une certaine prise de conscience se fait jour, à l’image du chancelier allemand Olaf Scholz réclamant la création rapide d’une industrie de guerre européenne. Ou de l’annonce cette semaine des pays de l’Otan d’augmenter leur budget militaire, pour les rapprocher des 2 % de PIB réclamés par les États-Unis, qui sont eux à plus de 3 %.

 

Sur le plan militaire, le plus urgent serait de « positionner dans chaque pays balte une brigade équipée, pour fixer les Russes le temps que des renforts arrivent », souhaite Michel Goya. Et de continuer de pouvoir compter sur la puissance nucléaire franco-britannique, « largement suffisante pour détruire la Russie en cas d’attaque de sa part », rappelle-t-il.

Source 

La Russie n'a plus rien à faire en Europe, elle possède une industrie et toutes les matières premières nécessaires, minerais, pétrole et gaz, et commerce massivement avec la Chine et L'inde. 

La seule condition qui la ferait déclarer la guerre à l'Europe serait une attaque directe de son territoire par un pays européen.

Pour ce qui concerne le moyen de réponse, on ne pourra s'attendre à une mobilisation Russe, en effet, la population Russe est de 146 millions pour 747 millions en Europe ; une guerre traditionnelle serait un échec. Par contre des frappes ciblées de type nucléaire serait la seule réponse objective à mon avis. L'illusion de croire que des opérations conventionnelles seraient le moyen de faire  plier la Russie est une bévue totale, voire une projection d'une bêtise crasse ! Mais on en a vu d'autres avec Azincourt et Crécy

Henry

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18 février 2024 7 18 /02 /février /2024 11:11
Je voudrais intervenir sur cette affaire particulièrement grave :
il y a une vingtaine d'année, j'avais un correspondant Canadien qui m'avait expliqué qu'une fuite de donnée des système de santé avait donné la capacité au public de trouver les informations médicales de tout un chacun, puisqu'elles étaient consultables par tous, dont les employeurs.
De ce fait une personne n'arrivait pas à trouver d'employeur à cause de son état de santé.
Aujourd'hui on découvre en France le piratage et la fuite de 33 millions de numéros de Sécurité Sociale (même cas qu'au Canada il y a 20 ans) et l'on apprend que la CNIL (Commission Informatique et Libertés) donne son accord pour l'hébergement des données de santé Française par Microsoft.
Je vous demande de vous reporter à l'article Windows un espion dans votre ordinateur, (Windows est Microsoft) dans cet article il est souligné par des informaticiens professionnels que Microsoft revend les données personnelles à des entreprises privées (de manière plus ou moins dissimulée)
Je m'interroge sur la suite de cette opération. Nous avons vu depuis l'arrivée de Macron que la gestion de la crise covid avait été confiée au Cabinet de Conseil Mc Kinsey (ce qui me paraît excessivement douteux, car cela devait concerné une entreprise Française au mieux l'administration et non pas un cabinet Américain (sommes nous devenu un département outre Atlantique Américain).
NB (Victor Fabius est directeur associé senior de McKinsey & Company, son père Laurent Fabius, Président du Conseil Constitutionnel, ça ne pose aucune question non plus)
Pour conclure, il ne faudra pas s'étonner que l'on retrouve en ligne des dossiers médicaux consultables par tous, quand à la procédure judiciaire elle sera diluée dans la responsabilité collective (comme ce fût le cas pour la crise Covid) et les décideurs politiques s'en tireront encore avec des pirouettes !
Et voyez vous ce qui est encore plus étonnant c'est que personne ne s'en émeuve (notamment les Associations de personnes Handicapées ou les Syndicats)
Henry

 

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La CNIL autorise l'hébergement des données de santé françaises par Microsoft
 
Le Health Data Hub, entité choisie par la Commission européenne pour piloter l’espace européen des données de santé, s'appuie sur les services de Microsoft Azure pour leur hébergement. Bien que cela ait fait grincer bien des dents, la CNIL a autorisé cette collaboration. L’ONG Internet Society France a déposé un recours devant le Conseil d’État.
Dans un entrepôt nommé EMC2, le Health Data Hub prévoit de rassembler l’ensemble des données issues de l’Assurance maladie et des hôpitaux. Cela devrait ensuite permettre de fournir à l’Agence européenne du médicament des données à caractère personnel issues de quatre grands hôpitaux français (Hospices civils de Lyon, centre Léon Bérard, CHU de Nancy et Fondation hôpital Saint-Joseph). Raison pour laquelle le stockage de ces données est une affaire sensible.

Le fait que Health Data Hub se repose sur Microsoft Azure pour cela a donc jeté un froid, puisque l'entreprise américaine ne répond pas au droit européen. C'est faute d'une meilleure solution, et à regret, que la CNIL a donné son accord fin janvier 2024. Comme le rapporte Siècle Digital, l'ONG Internet Society France (ISOC) vient de déposer un recours auprès du Conseil d'État pour que cette décision soit revue.

"Au-delà de la nationalité de l’hébergeur retenu, ce sont les regrets de la CNIL sur sa propre décision qui interpellent. Les données de santé des Français seront potentiellement accessibles sans contrôle suffisant par des acteurs états-uniens. On peut imaginer toutes les dérives, y compris leur exploitation à des fins de stratégies industrielles ou autre type d’ingérence au vu de la portée de l’extraterritorialité du Droit des États-Unis", s’inquiète France Charruyer, Avocate associée et Managing Partner du cabinet d’avocats ALTIJ, qui porte le recours auprès du Conseil d’État.

Le président d'ISOC, Nicolas Chagny, explique que "dans sa délibération, la CNIL elle-même déplore de ne pas avoir trouvé d’hébergeur de données qui soit à la fois compatible avec les exigences techniques et non soumis à une législation extra-européenne". L'idée serait donc de palier ce manque dans les plus brefs délais pour pouvoir assurer une souveraineté des données européennes : "À une époque où le Gouvernement français s’engage en faveur du renforcement des souverainetés industrielles, alimentaire et numérique, l’Internet Society France reste persuadée que des solutions européennes, voire françaises, peuvent et doivent être trouvées", clame-t-il.

Source
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18 février 2024 7 18 /02 /février /2024 11:09
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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 12:10

Robert Fitzgerald Kennedy jr dévoile les agissements de Blackrock pour la consommation de la guerre en Ukraine via le biais de complexes militaro industriels, mais il montre également la méthodologie de Blackrock en coulisse pour endetter l'Ukraine et mettre le pays à sa merci (ça ne vous rappelle rien). Vous trouverez des liens sur les pratiques occultes du groupe via ses filiales pharmaceutiques et ses bio labs.

 

L'implication de Blackrock dans une économie nationale ne doit pas être vue comme un avantage mais une prédation à plus ou moins long terme, ainsi nous devons conclure que l'opportunité de l'ouverture politique par Macron à ce genre de personne n'est pas un avantage pour le peuple Français mais bien une perte.

Tout le secteur public sera vendu à terme, comme les entreprises qui sont cédées au rabais !

Ne vous y trompez pas, et ceci pour des intérêts privés

 

Henry

Blackrock, Vanguard, StateStreet.. La finance et le complexe militaro-industriel.
 
 
Le dépeçage de la bête France a déjà commencé !
 
 
Des nourrissons ukrainiens utilisés par de grandes sociétés pharmaceutiques occidentales
 
 

Des laboratoires d’armes biologiques, et maintenant des tests sur des enfants ukrainiens depuis 2014. Rien dont nous ne soyons déjà conscients, mais tout cela devient sérieux. Les victimes revendiquent le meurtre et la dissimulation par les sociétés pharmaceutiques occidentales.

💥Toutes les grandes entreprises ont été nommées : Pfizer, AstraZeneca ou encore Sanofi.

 
Le député ukrainien d’Arakhamia affirme que Boris Johnson a empêché l’accord de paix avec Poutine !

 

Johnson le psychopathe est un menteur et tous les médias aux ordres également ! C’est bien l’OTAN, la CIA et ses pantins qui veulent la guerre !

Là ou tout n'est que "Stupre, luxe et volupté" à côté de l'abysse !
Luxe en Temps de Guerre : Comment Zelensky Détourne l’Argent de l’Ukraine pour Son Plaisir Personnel !

 

 

En pleine tourmente du conflit ukrainien, des accusations explosives émergent, jetant une ombre sur le président Volodymyr Zelensky. Loin des champs de bataille où les citoyens ukrainiens luttent et souffrent, une controverse secoue l’image du leader. Des révélations troublantes pointent du doigt Zelensky, l’accusant d’utiliser les fonds destinés au soutien de la guerre pour s’offrir un train de vie extravagant à Dubaï. Selon Viktor Medvedtchouk, parlementaire ukrainien en exil et connu pour être un proche de Vladimir Poutine, Zelensky aurait détourné pas moins de 91 millions de dollars pour acquérir une propriété de luxe ainsi que deux yachts somptueux.

Ces acquisitions, réalisées via des intermédiaires, soulèvent des questions brûlantes sur les priorités du président ukrainien. Medvedtchouk critique vertement Zelensky pour avoir choisi le luxe et l’opulence alors que les pensionnaires ukrainiens, souvent évoqués dans ses appels à l’aide en Occident, sont laissés dans le besoin. Il accuse le président d’envoyer l’argent « honnêtement gagné » du conflit ukrainien vers des comptes offshore, négligeant ainsi d’investir dans l’économie, la défense et la souveraineté de l’Ukraine.

Cette affaire met en lumière les tensions et les contradictions au cœur du leadership ukrainien en ces temps de crise. Alors que Zelensky se présente comme un symbole de résistance et de détermination face à l’adversité, ces accusations le peignent sous un jour radicalement différent, celui d’un dirigeant peut-être plus préoccupé par son confort personnel que par le bien-être de son peuple et la défense de son pays. La crédibilité et l’image de Zelensky sont ainsi mises à rude épreuve, suscitant un débat houleux sur la véritable nature de son engagement envers l’Ukraine.

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 11:37

Bienvenue chez les hérétiques !

Après l'infaillibilité pontificale, le gouvernement décide de l'infaillibilité pharmaceutique et son incontestabilité !

 

Bientôt bûchers et autodafés pour servir la foi des intérêts Jupitériens !

 

 

La France à la croisée des chemins puisque le peuple est amorphe du moins dans sa majorité. Le couperet de la censure va bientôt tomber et enténébrer le pays jusqu'à la fin du mandat de celui qui à la fin sera honnit de tous.

Voyez en ces jours le funeste destin des nations qu'on assassine au nom d'intérêts supérieurs qui nous seraient utiles et bienfaiteurs.

Une dictature qui s'installe a toujours le principe d'agir pour le bien de son peuple, et ç'est bien ce que l'on nous sert, avec un aplomb et une morgue égale à celle des officiants de la période de Vichy.

Alors ! Priez, ou battez vous, ne dit-on pas "Aides toi ! Le ciel t'aidera !" car ils vous réduiront à ramper  à leur pieds pour leur imploriez pitié !

 

Henry

 

Nicolas Dupont Aignan fait le meilleur point sur la situation !

 

Henry

 

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LE MANDAT DE TROP !
 
 

 

Philippe Herlin: « Et voilà, l’article 4 est adopté lors d’un 2ème vote. La France devient formellement une dictature ! »

 

 

La liste des partis ou l'on ne s'est visiblement pas mobilisés pour une question cruciale de liberté d'opinion ! Après le Parlement Européen, sera t on trahit par celui de France !
 
 

Que s'est il passé à l'Assemblée Nationale

 

 

 
 
 
 
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Didier Raoult : « Dans la loi Darmanin on parle des sectaires, c’est-à-dire que vous représentez une secte opposée à la foi officielle ! »
 
 
 
 
 
Pour l’avocat Di Vizio, la loi contre les dérives sectaires pourrait carrément se retourner contre ceux qui en sont à l’initiative : « Ces imbéc*les n’ont pas réalisé qu’avec cette loi, toutes les directives possibles et imaginables peuvent tomber sous le coup de la loi! »
 

 

 

Passe d'armes à l'Assemblée Nationale lors du premier vote, l'article 4 était rejeté à 8 voix, 8 voix seulement ç'est ce que vaut la liberté en France mais était ce un barroud d'honneur ou encore une démonstration calculée.

 

 

 

 

 

 

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 11:08

C'est une attaque en règle contre les médias qui ne sont pas dans la ligne éditoriale Macroniste ; le Conseil d'Etat assez servile vis à vis de l'Exécutif instaure une règle par l'ARCOM de censure  vis à vis de CNEWS entre autres, mais cela va de paire avec une autre loi, celle  sur les dérives sectaires que le gouvernement essai de faire passer par maintes subterfuges au Sénat puis à l'Assemblée Nationale.

 

Nous voilà donc dans un virage important de la politique Française, un virage totalitaire, du moins les prémices d'un plan nettement plus large de soumission du peuple Français, donc dans un premier temps celui de ne pas l'informer pour pouvoir agir à sa guise en le manipulant par une information officielle  et pour ce cas de figure comme je le pressent une nouvelle plandémie, dont l'OMS aurait toute latitude puisque les Etats lui auront délégués le pouvoir de déclarer une pandémie mais aussi l'obligation vaccinale, qui par ce biais de censure deviendrait incontestable ; la loi sur les dérives sectaire permettrait entre autre d'incarcérer pour un an et 15 000 euros d'amende tout opposant à la décision !

 

Musèlement de la communication 2.0 made in Macronistant.

 

Henry

 

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Oh ! Grand Jupiter quand allez vous nous les lâcher !
 
 

 

 

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 11:07

Ce que l'on apprend dans cette vidéo ç'est qu'en Angleterre également sévit une censure d'Etat sur le sujet ; alors que les procédures judiciaires  et les études démontrant la nocivité des vaccins se multiplient partout dans le monde Occidental !

 

Henry

 

 

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« Macha », malgré la censure dont elle fait l’objet, apporte son témoignage pour nous tous sur TPMP.

 
Commission royale d’enquête COVID – Pr Ian Brighthope

« Commission royale d’enquête COVID – Pr Ian Brighthope » Pr Ian Brighthope : « Cela n’aurait jamais dû être injecté à un seul être humain… Cela ne restera jamais dans le muscle, contrairement à ce que l’on nous avait promis. Ça se déplace dans tout le corps. Ça se propage dans le cerveau, le cœur, les vaisseaux sanguins, les testicules et les ovaires. C’est la raison pour laquelle nous voyons tant de personnes souffrir d’effets indésirables graves ». Source (Le Déclencheur)

Censure –«On est arrivé à un degré de dictature invraisemblable»–Didier Raoult

Didier Raoult : « La science, c’est la négociation entre le ministère et l’industrie pharmaceutique »

Rapport choquant du #CDC : le risque de maladie cardiaque auto-immune monte en flèche après la vaccination contre le COVID

 

Source

Une étude des Centers for Disease Control et de la Food and Drug Administration des États-Unis, rapportée par http://Expose-news.com , a reconnu que le risque de myocardite suite à la vaccination avec le « vaccin » à ARNm Covid monte en flèche, étant environ 133 fois plus élevé.

Cela signifie que la vaccination contre le COVID-19 augmente de 13 200 % le risque de myocardite, une maladie auto-immune qui provoque une inflammation du cœur.

L’étude, menée par des chercheurs des Centers for Disease Control (CDC) américains ainsi que de plusieurs universités et hôpitaux américains, a examiné les effets de la vaccination avec les produits Pfizer-BioNTech et Moderna.

Les auteurs de l’étude ont utilisé les données obtenues à partir du système de reporting VAERS du CDC, qui ont été recoupées pour garantir qu’elles répondaient à la définition de la myocardite du CDC. Ils ont également constaté que, compte tenu de la nature passive du système VAERS, le nombre d’incidents signalés pourrait sous-estimer l’ampleur du phénomène.

1 626 cas de myocardite ont été étudiés et les résultats ont montré que le produit Pfizer-BioNTech était associé à un risque plus élevé de 105,9 cas par million de doses après le deuxième vaccin dans le groupe des hommes âgés de 16 à 17 ans et de 70,7 cas par million de doses après le deuxième vaccin. la deuxième injection dans le groupe des hommes âgés de 12 à 15 ans. Le groupe d’âge des hommes de 18 à 24 ans présentait également des taux de myocardite significativement plus élevés pour les produits Pfizer et Moderna (52,4 et 56,3 cas par million, respectivement).

L’étude a révélé que le délai moyen d’apparition des symptômes était de deux jours et que 82 % des cas étaient des hommes, ce qui concorde avec les études précédentes. Environ 96 % des personnes touchées ont été hospitalisées, la plupart étant traitées avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens ; les symptômes chez 87% des personnes hospitalisées ont disparu au moment de leur sortie.

Au moment de l’analyse des données, deux rapports faisant état de décès de personnes de moins de 30 ans potentiellement atteintes de myocardite faisaient toujours l’objet d’une enquête et n’étaient pas inclus dans le décompte des cas.

Parmi les symptômes signalés figuraient : des douleurs, pressions ou inconforts thoraciques (89 %), un essoufflement (30 %), des résultats ECG anormaux (72 %) et des résultats anormaux d’IRM cardiaque (72 %).

Compte tenu de la pléthore d’études confirmant le lien entre la vaccination contre le Covid et la myocardite, le CDC a commencé une surveillance active des adolescents et des jeunes adultes pour suivre leurs progrès en matière de blessures post-vaccinales. Cependant, les données sur les résultats à long terme ne sont pas encore disponibles.

Pendant ce temps, l’American Heart Association et l’American College of Cardiology recommandent aux personnes atteintes de myocardite d’éviter les sports de compétition pendant trois à six mois et de reprendre un exercice vigoureux seulement après avoir obtenu des résultats normaux d’électrocardiogramme et d’autres tests.

 
 

 

Les syndicats de la police italienne tirent la sonnette d’alarme face à l’augmentation du nombre de décès de policiers après la vaccination contre le COVID-19

Dr. William Makis MD

 

Les syndicats de la police italienne tirent la sonnette d’alarme face à l’augmentation du nombre de décès d’officiers après la vaccination contre le COVID-19 .

par Aussie17

Faits saillants—- Déclaration d’Antonio Porto, secrétaire général du Syndicat italien de la police : « Ici, nous avons des jeunes collègues, 29, 34, 40 ans. Mais des gens qui allaient bien. Le mois dernier, du 15 décembre à aujourd’hui, J’ai eu connaissance de sept policiers qui sont morts subitement. L’année dernière, nous en sommes presque à 50. Si ce n’est plus. » Déclaration d’Aldo Di Giacomo, secrétaire général du Syndicat de la police pénitentiaire « Au cours des 13 derniers mois, nous avons eu 41 policiers pénitentiaires qui sont morts subitement. Avec une augmentation de 200% par rapport aux années précédentes . Mais ces données sur ces morts subites nous inquiéter, et pas peu. »

Comme l’explique Antonio Porto, pour entrer dans la police, il faut passer des examens médicaux spécifiques et rigoureux. La présence de morts subites parmi les policiers est donc encore plus alarmante et nécessite des enquêtes. Pour rejoindre la police, vous devez avoir une santé et une constitution physique solides. C’est une condition de base pour entrer dans la police. Ainsi, si quelqu’un rejoint le groupe, cela signifie qu’il est en bonne santé et qu’il ne devrait pas mourir au bout de deux ans. Nous avons notre chère Rafaela De Luca, entrée et décédée après trois ans de service. Alors, qu’est-ce qui a causé ce décès ?

Source (en anglais) : Makismd.substack.com

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:29

Toutes les informations sur la crise agricole en lien "Agriculture" dans  "catégories" à droite sur le site !

Agriculture  : "C’est tout le système qu’il faut changer. Les politiques veulent nous tuer"
 
 

L'agriculture Française il y à a peine 60 ans ! (Dans certaines régions)

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:20

 

 

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La tragique auto-destruction d’un Israël enragé
 

 

Les énergies de la résistance perceront à travers la “révolution” propre à l’Occident et la “guerre civile” qui se prépare.

Israël est coincé, comme cela devient évident pour de nombreux Israéliens. Un correspondant israélien (anciennement secrétaire de cabinet) en illustre la nature :

La signification de la défaillance du 7 octobre n’est pas seulement la perte de vies humaines … mais surtout la transformation potentielle de la façon dont Israël est perçu … comme n’étant plus à craindre par les acteurs du Moyen-Orient.

 

 

Les dirigeants israéliens doivent comprendre que nous ne pouvons plus nous contenter d’un “sentiment de victoire” au sein du public israélien… Il n’est pas certain que la victoire à Gaza suffise à restaurer la peur d’Israël aux niveaux que nous avions vis-à-vis de nos ennemis. Une victoire qui se résumerait à la libération des captifs et à des mesures de confiance visant à établir un État palestinien ne suffirait pas à consolider l’image d’Israël à cet égard.

Si le bourbier de Gaza … amène les dirigeants [israéliens] à réaliser qu’ils ne sont pas en mesure de présenter une victoire claire sur ce front, une victoire qui conduirait à un changement stratégique dans la région, ils doivent envisager de changer de front et de réaffirmer la dissuasion israélienne en éliminant la menace stratégique au Liban … La victoire contre l’une des organisations terroristes les plus riches et les plus puissantes du monde – le Hezbollah – peut rétablir la dissuasion dans la région en général… Israël doit éliminer la menace du nord et démanteler la structure de pouvoir que le Hezbollah a construite au Liban, quelle que soit la situation dans le sud.

Mais sans victoire dans le sud, un succès significatif dans le nord devient d’autant plus important.

La citation ci-dessus va directement au cœur du problème. C’est-à-dire : comment sauver le sionisme ? Tout le reste du “bla-bla” émanant des dirigeants mondiaux n’est que du bluff. Non seulement Gaza ne donne PAS aux Israéliens un sentiment de victoire, mais au contraire, elle fait largement proliférer une violente colère face à une défaite surprise et “honteuse” .

Certains membres du cabinet de guerre (notamment Eisenkot) suggèrent qu’Israël regarde la vérité en face : il devrait capituler face au Hamas, donner une chance à un cessez-le-feu, libérer les Palestiniens incarcérés et sauver les otages détenus à Gaza.

Je pense qu’il est nécessaire de dire clairement qu’il est impossible de ramener les otages en vie dans un avenir proche sans un accord [de cessez-le-feu], et que quiconque raconte des mensonges à l’opinion publique ne fait que raconter des mensonges.

Mais ce n’est pas le sentiment qui prédomine parmi les Israéliens. La dernière enquête sur l’indice de paix reflète la morosité ambiante : 94 % des Juifs pensent qu’Israël a utilisé la bonne puissance de feu à Gaza (ou “pas assez” (43 %)). Les trois quarts des Israéliens pensent que le nombre de Palestiniens blessés depuis octobre est justifié pour atteindre ses objectifs ; deux tiers des répondants juifs affirment que le nombre de victimes est tout à fait justifié (21 % seulement disent qu’il est “quelque peu” justifié).

Le véritable prix à payer par Israël n’est cependant pas simplement la libération de prisonniers palestiniens (même si cela créerait en soi un tollé populaire), mais plutôt la crainte qu’un acquiescement aux demandes du Hamas ne sonne le glas du paradigme de sécurité israélien.

Ce paradigme consiste en un “contrat” quasi-religieux selon lequel les Juifs jouiront de la sécurité partout et en tout lieu sur la terre d’Israël – grâce à la matrice élaborée de la précarité radicale du territoire et des droits imposés aux non-Juifs (c’est-à-dire aux Palestiniens), par opposition à la pleine force de la protection et de la souveraineté pour les Juifs. C’est le paradigme universel qui sous-tend la sécurité juive.

Jusqu’au 7 octobre. Les événements de ce jour-là ont démontré que les Israéliens juifs ne sont plus en sécurité à l’intérieur d’Israël – et que le cadre sioniste, en ce qui concerne la sécurité, doit être repensé – ou, par la force des choses, abandonné. Cette prise de conscience a donné lieu à une sentiment collectif d’insécurité. Comme le note Moshe Zimmermann, professeur émérite d’histoire à l’Université hébraïque :

La solution sioniste n’est pas une solution. Nous arrivons à une situation dans laquelle le peuple juif qui vit à Sion vit dans un état d’insécurité totale… nous devons tenir compte du fait qu’Israël entraîne une réduction de la sécurité des Juifs de la diaspora, au lieu de l’inverse. La solution sioniste est donc très déficiente et nous devons examiner les causes de cette déficience.

La notion de deux États évoquée aujourd’hui par des personnes extérieures ne peut être une “solution” aux tensions actuelles – et elle est fausse. Et, écrit Alon Pinkas, commentateur israélien de premier plan, la Maison Blanche et Netanyahou le savent. Elle est fausse parce que le zeitgeist israélien et la psyché actuelle des peurs et de la demande de vengeance l’excluent ; parce que les colons-zélotes ne seront pas éliminés sans des rivières de sang ; et parce que, pour la plupart des Israéliens, deux États menacent de sonner le glas du sionisme puisque le groupe non juif insistera sur la parité des droits : c’est-à-dire qu’il n’y aura plus de droits spéciaux pour un groupe de population (les Juifs) par rapport à un autre (les non-Juifs – c’est-à-dire les Palestiniens).

L’Arabie saoudite est liée par l’Initiative de paix arabe de 2002 dirigée par l’Arabie saoudite (un État palestinien comme condition préalable à la normalisation) et parce que l’Autorité palestinienne ne peut pas facilement être “reconstruite” en tant que bras sécuritaire d’Israël “Vichy” pour tourmenter ses compatriotes palestiniens.

Alors, pourquoi tous ces semblants de “solutions” , sans lien avec les réalités politiques ?

Ce débat convient à la fois à Biden et à Netanyahou. L’équipe Biden est en mode endiguement. La Maison-Blanche espère, par ce biais, “calmer” les flammes de la fièvre guerrière soulevée par l’assaut de Gaza, et ainsi faire glisser imperceptiblement la situation vers le “calme” régional que l’administration juge “approprié” pour une année électorale.

À cette fin, les discussions sur la normalisation saoudienne et les deux États sont des “pacificateurs” (même s’ils sont bidons) qui permettent à Biden de donner l’impression de “gérer” le conflit et d’éviter qu’il ne s’aggrave. Quant à Netanyahou, il peut montrer à quel point il est un “guerrier” robuste et courageux en tenant tête aux États-Unis et en disant “non” à tout État palestinien quel qu’il soit.

Pourtant, la réalité est qu’Israël est enfermé dans un carcan qui se resserre progressivement. La situation se rapproche de plus en plus de la tragédie, mais celle-ci n’est pas le fruit d’une simple malchance. Elle se produit parce qu’elle devait se produire, en raison de la nature des participants, parce que les acteurs impliqués la font se produire. Et ils n’ont pas d’autre choix que de faire en sorte que cela se produise parce que, eh bien… c’est leur nature.

C’est le cas ici – l’ancien poète lauréat britannique, Ted Hughes, a écrit sur le violent conflit religieux dans l’Angleterre élisabéthaine causé par la suppression du vieux catholicisme par les puritains calvinistes, dans lequel la “déesse des croyances païennes antérieures” – les énergies humaines naturelles de ces derniers toujours florissantes – a finalement fait irruption sous une forme féroce et enragée pour détruire le héros puritain.

Remplacez la suppression puritaine par un dieu Jéhovah enragé qui abhorre l’imagination et la civilisation islamiques anciennes (pour sa trahison présumée et sa haine mortelle à l’égard d’Israël) pour donner un contexte à la “vérité” de Shakespeare.

Le leitmotiv de Ted Hughes est l’histoire de l’Angleterre comme signe du fardeau de la culpabilité protestante. Shakespeare, écrit-il, était hanté par le sentiment qu’il n’y a pas si longtemps, l’Angleterre était un pays catholique qui “s’est endurci dans le protestantisme” . Dans son poème Le viol de Lucrèce, l’âme du roi romain est “défigurée” par le viol de Lucrèce qu’il a perpétré. En fin de compte, par cet acte, le roi perd tout et est banni. La pure Lucrèce se suicide.

Voici ce qu’il faut retenir : Ted Hughes a écrit à propos des mythes concurrents de l’époque de Shakespeare que Tarquin (le roi romain) représente “le puritain adorateur de Jéhovah” , dont le mythe de la création lui dit que c’est le Dieu transcendant et omnipotent qui est aux commandes, et non “l’autre” divinité. Dans son zèle, le roi romain entreprend de la détruire (elle représente “l’autre”). Mais ces forces puritaines protéiformes et changeantes s’avèrent finalement autodestructrices.

Biden a (pour ainsi dire) embrassé l’impulsion hébraïque d’annihiler la violente “altérité” qui jaillit de Gaza, mais il se doute qu’en agissant ainsi, il a franchi une “ligne morale invisible” . Il est complice des crimes qui ont frappé Gaza par la suite. Il doit assumer une part de culpabilité. Pourtant, il doit persister. Il n’a pas le choix. Il doit laisser Gaza (et peut-être aussi le Liban) se produire – parce que c’est la nature de Biden.

Le Hamas et le Hezbollah ne peuvent pas reculer, car ces énergies collectives réprimées ont été libérées. Il est trop tard pour arrêter l’élan révolutionnaire. Un élan qui s’étend à la Cisjordanie, au Yémen, à l’Irak et au-delà. Les ports d’Israël sont désormais encerclés et assiégés par des missiles.

En revanche, Netanyahou, craignant la débâcle croissante à Gaza, s’est incarné dans le modèle classique du “héros” . D’une part, ce terme peut être défini au sens étroit comme le genre de mythe qui célèbre l’ascension d’un héros masculin qui s’engage dans une quête, affrontant des obstacles terrifiants en chemin, et qui prouve son courage au combat, pour finalement rentrer chez lui sous les acclamations.

D’autre part, dans le récit d’Homère, les héros au statut le plus élevé sont les plus vulnérables à la honte. Tout écart ou revers peut menacer l’identité entière d’un chef, ainsi que sa position aux yeux de ses pairs. Ceux qui jouissent du statut le plus élevé peuvent être les plus touchés par la perte de leur statut. Hector résiste aux appels de ses amis et de sa famille à ne pas partir à la guerre, et préfère aller à la mort. Sa solitude et son éloignement de ses proches ajoutent du pathos au déchirement des moments qui précèdent immédiatement sa mort, lorsqu’il réalise soudain que les dieux l’ont trompé et l’ont conduit à sa perte.

Est-ce que ce sera aussi le destin de Netanyahou ? Les “dieux” le mènent-ils à la tragédie ? Ils l’ont certainement enfermé dans un carcan. La défaite à Gaza le rend vulnérable à la ruine, et pour Israël, aucune victoire claire à Gaza ne conduira à un changement stratégique dans la région. Netanyahou est incité à envisager de changer de front pour réaffirmer la dissuasion israélienne en éliminant la menace stratégique au Liban. Dans cette situation, Israël ne peut se contenter de rien de moins que la victoire, a-t-on insisté auprès de Netanyahou.

Nir Barkat, ancien maire de Jérusalem et favori pour succéder à Netanyahou à la tête du Likoud, a déclaré qu’Israël pouvait se permettre de continuer à se battre et d’ouvrir un nouveau front avec le Liban, malgré le coût du conflit qui s’élève à un milliard de shekels (200 millions de livres sterling) par jour.

Barakat a déclaré qu’aussi “importante que soit la crise” ,

c’est aussi une très grande opportunité : l’Iran est une cible légitime pour Israël. Ils ne s’en tireront pas à si bon compte. La tête du serpent, c’est Téhéran… Israël se dirige vers une guerre totale contre le Hezbollah dans le sud du Liban, après avoir évacué le nord du pays :

Quoi qu’il en coûte…Il s’agit d’une guerre de religion.

La phase 2 de ce conflit touche donc à sa fin et la phase 3 s’ouvre. L’intensité de la guerre au sens large va monter en flèche, très probablement à la suite d’un changement de statut dans le rôle du Hezbollah : ce changement sera-t-il déclenché par une intervention israélienne ou sera-t-il anticipé par le Hezbollah qui fera le premier pas ? Biden autorisera-t-il les États-Unis à soutenir Israël ? Probablement oui, car il est dans sa nature de soutenir Israël. Mais jusqu’où ira-t-il ?

Les palliatifs politiques (les prétendues “solutions” politiques) céderont la place à une discussion plus dure sur la manière de faire respecter un cessez-le-feu. Cette phase passera probablement d’une ONU immobilisée aux structures plus informelles des BRICS, la Russie et la Chine jouant un rôle direct plus important. L’Europe sera affligée par le schisme (et les États-Unis aussi, bien que dans une moindre mesure).

Cette phase suivante se poursuivra probablement sans résolution, au cours du processus par lequel toutes les parties testeront leurs forces respectives les unes par rapport aux autres. C’est à ce moment-là que la cohésion sociale d’Israël sera mise à rude épreuve. Sera-t-elle durable ? Les fondements du sionisme seront-ils reconfigurés et le sionisme sera-t-il contraint d’abandonner ses racines jabotinskyennes ?

Ce sera également le moment où la superintendance juive sur la matrice politique occidentale des États-Unis et de l’Europe s’efforcera de réconcilier les mythes concurrents alors que leurs pôles d’énergie conflictuels détruisent “l’ordre social” et que l’un ou l’autre des principaux acteurs du conflit traverse une forme de tragédie inévitable.

Les révolutions et les guerres culturelles ne sont pas des événements limités dans le temps ; elles débordent sur l’“avant” événement (c’est-à-dire le conflit à venir), ainsi que sur l’“après” .

Toutefois, si la proposition de Ted Hughes selon laquelle l’équation “tragique” de Shakespeare est une équation dans laquelle des récits archétypaux concurrents – dont les énergies se déchaînent de manière explosive – aboutissent à une tragédie violente est correcte, alors nous devrions nous attendre à ce que le jeu (actuel) impliquant l’affrontement entre le mythe de la création hébraïque et l’expansion culturelle de la civilisation islamique ait également un impact considérable à l’intérieur de l’Amérique et de l’Europe – bien au-delà des particularités du conflit qui se déroule au Moyen-Orient.

Il deviendra le pivot de la nouvelle ère.

En effet, les mythes fondamentaux associés à la répression jéhovienne puritaine, d’une part, et à la libération des énergies de résistance, d’autre part, traversent l’existence humaine comme une double hélice. Elles débordent déjà dans les sensibilités religieuses dormantes, mais toujours présentes, de l’Occident. Elles transperceront la “révolution” propre à l’Occident et la “guerre civile” qui s’y prépare.

Alastair Crooke

Traduit par Zineb, relu par Wayan, pour le Saker francophone

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:13
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