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30 mars 2023 4 30 /03 /mars /2023 18:02
 

Cumex le scandale financier à 140 milliards €. Fraude massive, mécanismes sournois et complicités bancaires. Décryptage d’une affaire sulfureuse

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30 mars 2023 4 30 /03 /mars /2023 17:58

 

Il y a des évènements qui peuvent sembler surprenants et dont le moment où ils arrivent doivent interroger.

Alors que nous sommes en pleine pré-panique bancaire, que les gens ont peur, que le monde retient son souffle, des États-Unis et de sa Silicon Valley Bank, aux alpages suisses où nos amis helvètes ont dû sauver le Crédit Suisse, sans oublier la grosse et plantureuse Deutsche Bank, partout, les banques vacillent et leur solidité est sujette à caution.

 

 

C’est dans ce contexte particulièrement tendu, que le PNF, le parquet national financier, a décidé accompagné de 6 procureurs allemands, de procéder à la perquisition de 5 banques en France dont trois de nos établissements majeurs à savoir BNP, Natixis et Société Générale.

Il s’agit selon le PNF d’une vaste enquête impliquant d’autres pays en Europe et portant sur des faits de fraude fiscale relatifs aux dividendes.

« Les perquisitions interviennent dans le cadre de cinq enquêtes préliminaires ouvertes en décembre 2021 du chef de blanchiment aggravé de fraude fiscale aggravée et pour certaines de fraude fiscale aggravée, relatives au schéma de fraude dit « CumCum », a expliqué le PNF.

Cette fraude consiste pour un actionnaire étranger d’une société cotée en France à transférer temporairement, autour de la date de versement du dividende, les titres qu’il détient à un établissement bancaire français, afin d’éviter le paiement de la retenue à la source appliquée sur le paiement de ce dividende.

Les opérations en cours sont conduites par 16 magistrats du PNF et plus de 150 enquêteurs, accompagnés de six procureurs allemands du parquet de Cologne intervenant dans le cadre de la coopération judiciaire européenne.

Des enquêtes similaires sont actuellement menées dans d’autres pays européens, notamment en Allemagne où la justice a condamné en décembre à huit ans de prison l’avocat fiscaliste Hanno Berger, accusé d’avoir orchestré l’une des plus grandes fraudes de l’après-guerre dans le pays grâce à un système d’arbitrages de dividendes ».

Pourquoi maintenant ?

Cette affaire remonte à 2018. Le chancelier allemand Olaf Scholz serait lié à cette affaire de fraude fiscale. Il a du d’ailleurs en 2022 de nouveau témoigner devant les enquêteurs. Vous pouvez lire un article à ce sujet dans Le Point ici.

Reprenons donc ce que nous savons.

Le système bancaire mondial tremble et en Europe ce n’est pas mieux.

La Deutsche Bank, la plus grosse banque allemande suscite de grandes interrogations sur les marchés et son titre est très chahuté ces derniers jours.

Olaf Scholz n’est pas tout blanc bien que toutes les poursuites semblent avoir été abandonnées à son égard.

Cette affaire date de 2018 soit 5 ans, nous n’étions plus à quelques semaines près avant de diligenter des perquisitions dans les plus grosses banques françaises.

Que viennent faire 6 procureurs allemands dans les banques françaises ? La coopération européenne est bien évidemment souhaitable, de même qu’il faut aussi y poser comme limite nos intérêts stratégiques.

Bref, pour le moment il est beaucoup trop tôt pour comprendre ce qu’il se passe et ce qu’il se trame derrière cette affaire de blanchiment. Une affaire à 140 milliards d’euros d’après les estimations de manque à gagner pour les finances publiques étalés sur 20 ans et cela ferait une trentaine de milliards pour la France.

La probabilité que ce qui se passe aujourd’hui arrive ainsi, est proche de 0 ou aussi forte qu’un virus provienne d’un homme qui aurait mangé un pangolin qui aurait mangé une chauve-souris pendant l’hiver où elles hibernent à plus de 500 kilomètres de Wuhan.

Comme le disait Franklin Roosevelt, « en politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi ».

En économie c’est la même chose.

Et quand on parle des banques, encore plus !

Je ne sais pas ce qu’il se passe au moment où j’écris ces lignes, mais c’est un signal faible de quelque chose de plus fort qui se prépare. Alors…

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

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Et une grosse pierre dans le Jardin de la Société Générale balancée à la catapulte; on devine pourquoi !

 

 

 

Jerôme Kerviel: « J’espère pour la Société Générale que le Parquet national financier n’ira pas enquêter sur SGOE pour les dividendes français et anglais, et encore moins sur Bettina pour les dividendes allemands. Ce serait très moche. Prions ! »

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30 mars 2023 4 30 /03 /mars /2023 17:50
La Chine et la Russie qui rient, l’Amérique et l’Europe qui pleurent ?
 

La France, sa classe jacassante et une bonne partie de son peuple sont fort occupées actuellement ce qui n’empêche pas le reste du monde de continuer à tourner, et aux équilibres géopolitiques de changer de façon très rapide à mesure que les crises se succèdent. Et en la matière, les dernières semaines ont été particulièrement bien remplies…

 

En effet, pendant que la Macronie française faisait mine de fricoter avec la démocratie parlementaire dans le cadre de la réforme des retraites, pour terminer de façon parfaitement prévisible par la contourner sans vergogne en usant du 49.3, plusieurs événements majeurs se déroulaient sur la scène internationale qui furent assez peu commentés et dont les implications ont été si discrètement évoquées dans les médias nationaux qu’on se demande même s’ils ont vraiment eu lieu.

Dans les relations internationales, il serait impossible de ne pas mentionner la visite d’État du Chinois Xi Jinping auprès du Russe Vladimir Poutine, qui, outre la signature d’accords et de partenariats très larges entre les deux pays, a clairement diffusé le message d’une entente cordiale poussée entre les deux puissances, ce qui est en substance exactement l’inverse de ce qu’ont toujours recherché les Américains…

De la même façon, il serait difficile de minimiser la réouverture des relations diplomatiques entre l’Iran et l’Arabie Saoudite, pourtant présentées comme désirables par les États-Unis au moins depuis Obama qui incitait ses amis saoudiens à trouver un terrain d’entente avec ses turbulents voisins chiites, sans jamais être parvenu à quoi que ce soit.

Peut-être la discrétion qui entoure cette réouverture doit-elle beaucoup au fait qu’elle est le fruit de négociations entre les deux pays menées par nulle autre que la Chine qui est maintenant vue, depuis Washington, comme la puissance géopolitique montante à juguler… Sans grand succès. Et alors que certaines rédactions outre-Atlantique ont admis du bout du clavier que ce réchauffement des relations irano-saoudiennes devait compter comme un succès pour la Chine, quelques journalistes européens ont été plus rapides à mentionner que tant les Iraniens que les Saoudiens ont effectivement intérêt à saboter la position de référence américaine, quitte à s’arranger de leurs précédents différends.

Autrement dit, cette victoire diplomatique chinoise ne serait qu’une façade… alors même que l’Arabie de Mohammed ben Salman ne peut clairement pas piffrer Biden, et que l’Iran de Khamenei, toujours sous sanctions américaines, n’a jamais pu supporter les États-Unis non plus. Bien qu’ennemis jurés, Iran et Arabie semblent au moins faire mine d’abandonner leurs griefs si cela peut gêner l’Amérique de Biden, au point d’envisager tous deux de rejoindre le groupe des BRICS

Parallèlement et comme le rappelait un récent billet dans ces colonnes, la même Arabie Saoudite a ouvertement commencé à régler certaines de ses transactions pétrolières en Yuan en remplacement du dollar.

Ceci est de moins en moins anodin puisqu’avec l’arrivée potentielle de l’Iran et de l’Arabie Saoudite dans les BRICS, on se retrouverait avec tous les principaux pays producteurs de pétrole du monde dans la même alliance économique, dont le poids démographique représente également la moitié de la population terrestre.

De façon claire, cette alliance deviendrait vite davantage qu’une simple épine dans le pied de l’hégémonie américaine et, surtout, du complexe militaro-industriel américain, non seulement par le fait que l’Amérique n’y pourrait jouer aucun rôle déterminant, mais aussi par l’évidence que ses membres ne seront pas d’accord d’y accueillir l’Oncle Sam et ses dollars de plus en plus sulfureux.

Il est du reste intéressant de noter que, de même que pour le gaz et le pétrole, les BRICS constituent aussi une forte source de l’or produit dans le monde. On se perd en conjecture sur la quantité exacte des stocks russes et chinois tant le décalage est criant entre les achats observés, la production connue et les chiffres officiels (la Chine annonce disposer de 2000 tonnes d’or quand beaucoup de spécialistes estiment qu’elle n’a pas amassé moins de 20.000 tonnes depuis quelques décennies).

Tout ceci prend forme alors même que l’Empire du Milieu a recommencé à augmenter ses importations de gaz (russe) qui avaient baissé il y a un peu plus d’un an, et que d’autres pays d’Asie centrale et du Moyen-Orient ont clairement réduit leurs exportations de matières premières énergétiques (gaz, pétrole) pour consacrer une part croissante de leurs extractions pour leur propre développement, dans une tendance qui, si elle existait auparavant, s’accélère franchement ces dernières semaines.

Autrement dit, les échanges énergétiques sont en train de se modifier assez sensiblement, les flux de dollars aussi et marquent un retour de ces derniers au bercail, entraînant plusieurs conséquences : outre une baisse du pouvoir d’achat du dollar, la baisse des exportations énergétiques augmente mécaniquement le prix du pétrole et du gaz. Les prix à la pompe et au compteur ne sont pas prêts de diminuer.

Quant aux Européens, dindons d’une farce de plus en plus coûteuse, ils semblent continuer d’agir comme si ces changements géo-économiques majeurs n’avaient pas d’impacts sur eux. La récente tournée (catastrophique) de Macron en Afrique aurait pourtant dû déclencher quelques signaux dans les réseaux diplomatiques tant il semble évident que Russes et Chinois ont largement investi le continent africain au détriment des Européens et des Américains. Apparemment, si quelque chose s’est passé, c’est resté extrêmement discret et l’Europe continue de faire des petits prouts stridents pour masquer l’abdication complète de toute velléité de souveraineté.

Alors qu’un tableau émerge dans lequel la Chine, disposant de masses considérables d’or, de partenariats énergétiques solides avec la Russie et le reste des BRICS, pourrait bien lancer un Yuan-Or qui bousculerait violemment le système monétaire international, on comprend qu’il devient urgent d’agir pour les banques centrales occidentales, et ce alors que les soubresauts et faillites bancaires s’enchaînent nerveusement.

Peut-être est-ce la raison pour la Fed américaine de lancer aussi rapidement que possible FedNow (vers Juillet de cette année), ce qui s’apparente à sa monnaie électronique, ou pour la Banque centrale européenne de pousser ses propres jetons numériques dont on sait ce qu’ils peuvent renfermer comme pouvoir d’asservissement des peuples…

Allez savoir.

Source

 

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Pour Jeffrey Gundlach la récession aux États-Unis sera là dans quelques mois
 

 

 

La récession aux États-Unis arrive dans quelques mois selon Jeffrey Gundlach.

Pour Jeffrey Gundlach, qui est grand investisseur américain ayant géré pas loin de 10 milliards de dollars, la récession américaine surviendra dans quelques mois. « En effet, les hausses de taux continuent de peser sur l’activité économique alors que la banque centrale cherche à contrôler l’inflation.

 

 

La crise bancaire a également fortement impacté les esprits et pourrait avoir un effet réel sur les volumes de crédits octroyés à l’économie par la banque alors qu’elles cherchent à limiter leur risques. Les investisseurs ont de plus en plus l’œil sur les engagements des banques ».

Nous avons un cocktail assez explosif. Des prix de l’énergie très élevés. Des hausses de taux considérables dans un temps très court. Un choc inflationniste majeur et multifactoriel.

Donc, oui, la récession peut parfaitement frapper, tout en sachant qu’entre la hausse des taux et la récession il se passe en moyenne 18 mois.

Charles SANNAT

Source Investing.com ici
 

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30 mars 2023 4 30 /03 /mars /2023 17:37

Après avoir saigné l'armement Français, l'Etat, ç'est à dire Jupiter décide de concert avec les industriels de la Défense de mobiliser une partie de l'Epargne des Français au profit des ces derniers.

Dilapider les canons César à qui mieux mieux  et demander contribution pour relancer l'économie de Guerre. De la stratégie de haut vol digne de Maginot !

Henry

 

 

 

Et oui. Côté pile si l’État revend en catimini l’ensemble des entreprises du secteur de la défense à nos gentils amis les Américains, côté face, le gouvernement veut « mobiliser » l’épargne des Français pour financer l’effort de guerre en Ukraine et l’industrie de la défense.

 

 

Le financement d’une « économie de guerre » visant à l’augmentation des capacités de production de l’industrie de défense française passe par une « mobilisation de l’épargne des Français », préconise un rapport parlementaire. Le député Horizons de Charente-Maritime Christophe Plassard vient de rendre son rapport parlementaire.

Pour lui, il faut « mobiliser l’épargne des Français au bénéfice de l’industrie de défense, via la création d’un livret ou d’un plan d’épargne réglementée ou à travers un emprunt d’État ».

Tout ceci arrive dans un contexte où Emmanuel Macron a organisé une réunion avec les industriels de la défense « pour faire le point sur le passage à une « économie de guerre » appelée de ses vœux par le chef de l’État ».

Cette « économie de guerre » vise à créer les conditions nécessaires pour permettre aux industriels de produire davantage, à moindres coûts et dans de meilleurs délais pour faire face à la perspective d’un conflit dit de haute intensité ».

Pour Christophe Plassard « les banques et institutions financières sont de « plus réticentes à financer l’industrie de défense » car elles ont « tendance à surinterpréter les règles de conformité » et craignent de voir leur « réputation entachée » par des investissements dans un secteur « considéré comme non éthique », pointe-t-il. Il faut donc selon lui « envisager la création sous le contrôle de l’État d’un “pool bancaire”, regroupant les grandes banques françaises, destiné au financement des petites entreprises de la base industrielle et technologique de défense, et dont une partie des prêts seraient garantis par l’État »…

Et oui, côté RSE, la responsabilité sociale des entreprises, financer les armements pour faire des centaines de milliers de morts, cela ne fait pas franchement rêver… en plus pour faire tous ces morts, il faut consommer beaucoup de pétrole car nous ne sommes pas encore à la guerre 0 carbone, ni aux chars électriques avec des batteries made in China, ou des avions avec panneaux solaires.

Non.

Il nous faut des armes qui tuent et font des trous, des gros trous, et du pétrole, du gros pétrole qui tâche et qui pollue.

Il nous faut aussi beaucoup d’obus à l’uranium appauvri et toutes les autres cochonneries que l’on adore se balancer pendant les guerres.

Alors il va falloir vous faire aimer la guerre, pour que votre argent finance la guerre et bon, pour la RSE ce n’est pas bien grave, votre éthique personnelle sera pudiquement voilée sous un bon avantage fiscal !!

Des réductions d’impôts pour les particuliers

« Cela passe également par des réductions d’impôts « pour inciter les entreprises à se doter de stocks de matières premières et de composants critiques et pour inciter les particuliers à investir dans les petites entreprises du secteur de la défense », selon lui.

Christophe Plassard propose également la création de fonds spécialisés dans la défense pour pallier les « défaillances des marchés » ou celle d’un « label incitant à investir dans les PME stratégiques ».

Les réglementations européennes doivent enfin « prendre en compte les intérêts de défense » et la Banque européenne d’investissement (BEI) être autorisée à financer la défense ».

Voilà.

Mon fils rentre de l’école tous les soirs en me racontant le catéchisme écologiste avec le recyclage des déchets, le cycle de l’eau (j’en peux plus ! mon ainé ayant 15 ans, cela fait 15 ans que je me tape le cycle de l’eau sous toutes ses formes), le Co² machin toussa.

Mais, nous allons faire la guerre, et mobiliser notre industrie et notre argent pour faire encore plus d’armes, de chars, que les Russes nous détruirons.

Cela ne serait pas aussi dramatique que ce serait risible.

Mais je n’ai pas envie de rire quand je vois les cadavres s’accumuler en Ukraine.

La guerre c’est dégueulasse… et très polluant et la mobilisation de l’épargne est aussi vieille que la guerre comme le montre ce petit montage que je vous a préparé pour illustrer cet article.

Charles SANNAT

Source Le Bien Public ici

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 18:36

read my mind: 1929 Stock Market Crash

 

Le FMI s’inquiète d’une hausse des risques pour la stabilité financière… Quelle vision et quelle sagacité de la part de nos pandores de l’économie du FMI.

« La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, a déclaré dimanche que les risques pour la stabilité financière s’étaient accrus et a appelé à rester vigilant, bien que les mesures prises par les économies avancées aient calmé les tensions sur les marchés. »

C’est sûr qu’avec une hausse spectaculaire des taux, une guerre en Ukraine, des tensions géopolitiques énormes, et… une crise bancaire et de confiance mondiale, les risques se sont « accrus ». hahahahahaha.

Vous saviez que l’eau chaude cela brûle ?

Que l’eau mouille ?

Je pense que Kristalina Georgieva devrait bientôt nous l’apprendre avec son professionnalisme légendaire. D’ailleurs la mamamouchette du FMI « a réitéré sa prévision d’une année 2023 encore difficile, avec une croissance mondiale ralentie en deçà de 3 % en raison des séquelles de la pandémie de coronavirus, de la guerre en Ukraine et du durcissement des politiques monétaires ».

Vous avez qu’elle gagne plus de 400 000 dollars par an et qu’elle ne paye pas d’impôt en plus pour nous gratifier de ce genre de fulgurances intellectuelles et d’analyses économiques même pas digne des mes poules normandes ?

Mais surtout soyez rassurés braves gens. Kristalina Georgieva veille sur nos destinées.

« Nous continuons donc à suivre de près l’évolution de la situation et à évaluer les implications potentielles pour les perspectives économiques et la stabilité financière mondiales ».

Ouf, Kristalina nous protège.

Dormez bien les enfants, c’est l’heure du marchand de sable.

Charles SANNAT

 

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PEUR DE CONTAGION DE FAILLITES BANCAIRES : « Depuis les quelques faillites récentes de banques Américaines et Européennes…Les RISQUES financiers mondiaux montent en FLECHE ! Les incertitudes restent exceptionnellement élevées !!! »
 

L’effondrement récent de la « Silicon Valley Bank » (SVB) et le sauvetage du Crédit Suisse par son rival « UBS » montrent que les risques pour la stabilité financière mondiale ont augmenté, a déclaré la directrice du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, lors d’une conférence à Pékin le 26 mars.

S’exprimant lors du Forum sur le développement de la Chine 2023 dans la capitale, Georgieva a averti que les hausses rapides des taux d’intérêt par la Réserve fédérale combinées à l’augmentation des niveaux d’endettement ont exercé une pression supplémentaire sur l’économie et que les risques pour la stabilité financière ont augmenté.
« À une époque de niveaux d’endettement plus élevés, la transition rapide d’une période prolongée de taux d’intérêt bas à des taux beaucoup plus élevés – nécessaires pour lutter contre l’inflation – génère inévitablement des tensions et des vulnérabilités, comme en témoignent les développements récents du secteur bancaire dans certaines économies avancées », a déclaré Georgieva.

La chef du FMI a également présenté de sombres perspectives pour 2023, prévoyant une autre « année difficile » pour l’économie mondiale, avec un ralentissement de la croissance mondiale à moins de 3,0% en raison de l’invasion continue de l’Ukraine par la Russie, d’un nouveau resserrement monétaire et des « cicatrices » du COVID-19, la pandémie qui a énormément pesé sur l’activité économique.

« Les incertitudes sont exceptionnellement élevées, notamment en raison des risques de fragmentation géoéconomique qui pourraient signifier un monde divisé en blocs économiques rivaux — une « division dangereuse » qui rendrait tout le monde plus pauvre et moins en sécurité financière. Ensemble, ces facteurs signifient que les perspectives de l’économie mondiale à moyen terme devraient rester faibles », a déclaré Georgieva.
Même avec de meilleures perspectives pour 2024, la croissance mondiale restera bien en deçà de sa moyenne historique de 3,8% et en baisse par rapport aux 3,2% de 2022, selon Georgieva.

Peurs de contagion

« Ainsi, nous continuons à suivre de près les développements et évaluons les implications potentielles pour les perspectives économiques mondiales et la stabilité financière mondiale. Nous accordons une attention particulière aux pays les plus vulnérables, en particulier les pays à faible revenu et fortement endettés », a ajouté Georgieva.

Les commentaires de la chef du FMI font suite à des semaines de turbulences dans le secteur bancaire à la suite de l’effondrement de « SVB » et du prêteur régional américain « Signature Bank », qui a déclenché la panique du marché et les craintes d’une contagion plus large.

Cette situation a été exacerbée lorsque le géant bancaire Crédit Suisse – qui fait partie des 30 institutions financières connues comme des banques d’importance systémique mondiale – a été acquis par son rival « UBS » dans le cadre d’un accord de 3,23 milliards de dollars négocié par le gouvernement suisse.

Cet accord, destiné à empêcher un effondrement de la banque en difficulté ainsi qu’un chaos plus large sur le marché, semblait initialement aider à calmer les nerfs des investisseurs et des clients. Cependant, ces craintes ont refait surface vendredi, faisant chuter les actions bancaires tout en créant une série de vente massive d’actions.

Source: zerohedge

 

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Pour les Dépôts dans les petites et moyennes banques américaines (régionales),… c’est sauve qui peut !

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Le CDS (Contrat d’assurance contre un défaut) de l’établissement financier américain Charles Schwab s’envole littéralement !

 

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RETRAITS D’ARGENT PHARAONIQUES : « Les gens commencent à PANIQUER et retirent tous leurs DEPOTS des petites banques…Même la DEUTSCHE BANK est impactée !
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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 18:12
La guerre n'est pas seulement en Ukraine, elle se déroule au plan économique, monétaire et financier. Le crédit mondial qui était porté envers les USA se mesurait en la possession de sa dette, celle ci est désormais (mais cela dure depuis longtemps) abandonnée au profit de l'or ; ce qui en résumé veut dire que l'économie Américaine qui reposait en la confiance sur sa monnaie est en train de s'effondrer, ce qui a des conséquences plus ou moins variables mais notables au visuel. Les pays Occidentaux qui sont dans le sillage de la politique internationale Américaine suivront le même parcours ç'est à dire un effondrement global du Dollar, de l'Euro et des monnaies du bloc. On peut remarquer que les accords diplomatiques du Kremlin portent leurs fruits, ce sera donc une guerre financière et monétaire qui auront raison de l'empire Américain et ses alliés conjuguée à des crises sociales et politiques internes. La guerre en Ukraine se terminera faute d'argent.
Henry
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La Chine réduit ses avoirs en bons du Trésor américain à ses plus bas niveaux depuis la crise financière mondiale. Et les ventes s’accélèrent. Parallèlement, la Chine augmente ses réserves d’or !

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Le président Ruto du Kenya Lance un étrange avertissement sur l’avenir du dollar: « Je vais vous donner un conseil, oubliez le dollar. Ce marché va bientôt changer fondamentalement. Nous n’avons plus besoin de dollars »

 

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Quels pays détiennent le plus de dette américaine ?

Dorothy Neufeld et Joyce Ma de Visual Capitalist montrent quels pays détiennent le plus de dette américaine en utilisant les données du département américain du Trésor.

 

 

Aujourd'hui, l'Amérique doit aux investisseurs étrangers de sa dette nationale  7,3 billions de dollars .

 
 

Ceux-ci se présentent sous la forme de titres du Trésor, parmi les actifs les plus liquides au monde. Les banques centrales les utilisent pour les réserves de change et les investisseurs privés affluent vers eux lors de fuites vers la sécurité grâce à leur faible risque de défaut perçu.

Au-delà de ces raisons, les investisseurs étrangers peuvent acheter des bons du Trésor comme réserve de valeur. Ils sont souvent utilisés comme garantie lors de certaines transactions commerciales internationales, ou les pays peuvent les utiliser pour aider à gérer la politique de taux de change. Par exemple, les pays peuvent acheter des bons du Trésor pour protéger le taux de change de leur devise de la spéculation.

Dans le graphique ci-dessous,  Dorothy Neufeld et Joyce Ma de Visual Capitalist  montrent les détenteurs étrangers de la dette nationale américaine en utilisant les données du  département américain du Trésor

 

 

La dette nationale américaine gonflera de près de 20 000 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie dans le cadre des dépenses décrites dans la proposition de budget de 6 900 milliards de dollars du président Biden publiée jeudi.

Source : greatgameindia

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Le Brésil et la Chine ont conclu un accord pour abandonner le dollar américain au profit de leurs propres devises
 
 

 

Les problèmes bancaires américains annoncent la fin du système de réserve en dollars

Tous les commentateurs en fait s’accordent sur certains diagnostics 1) ce n’est pas la crise des prêts hypothécaires de 2008, c’est la crise du système hégémonique du dollar mis en place en 1971 base de l’impérialisme. Simplement ce n’est pas la crise de l’hégémonie occidentale, c’est un mode de production qui a eu une durée assez courte de 500 ans qui ne peut plus porter le développement des sociétés et devient une entrave contre laquelle les êtres humains sont contraints de se débattre. 2) Les États-Unis en crise de paranoïa sont convaincus d’être victimes de l’hostilité de plus en plus générale, une sorte de complot imaginaire qui se regrouperait derrière la Chine alliée à la Russie, mais c’est d’eux-mêmes qu’ils sont victimes à la manière dont on voit le pouvoir, leur pouvoir celui de Macron en France créer les conditions du désordre pour tenter de réprimer, nous mener à la guerre de tous contre tous. « Le plus grand danger pour l’hégémonie du dollar et le pouvoir stratégique qu’il confère à Washington n’est pas l’ambition de la Chine d’étendre le rôle international du RMB. Le danger vient de l’épuisement du mécanisme financier qui a permis aux États-Unis d’accumuler une position étrangère nette négative de 18 trillions de dollars au cours des 30 dernières années », c’est-à dire un des « monopoles » le dollar, l’autre la principale force armée est de même nature. Face à cette folie, le reste du monde s’écarte prudemment. La crise bancaire n’est pas un problème de qualité du crédit, mais découle plutôt de la tâche désormais impossible de financer la dette extérieure sans cesse croissante des États-Unis.

Danielle Bleitrach

***

par David P. Goldman

Le système bancaire américain est en panne. Cela ne présage pas d’échecs plus médiatisés comme le Credit Suisse. Les banques centrales maintiendront les institutions moribondes sous assistance respiratoire.

Mais l’ère des réserves basées sur le dollar et des taux de change flottants qui a commencé le 15 août 1971, lorsque les États-Unis ont rompu le lien entre le dollar et l’or, touche à sa fin. La souffrance de l’agonie sera transférée des banques à l’économie réelle, qui aura faim de crédit.

Et les conséquences géopolitiques seront énormes. La saisie du crédit en dollars accélérera le passage à un système de réserves multipolaires, avec l’avantage du RMB chinois en tant que concurrent du dollar.

L’or, la « relique barbare » abhorrée par John Maynard Keynes, jouera un rôle plus important parce que le système bancaire en dollars est dysfonctionnel et qu’aucune autre monnaie – certainement pas le RMB étroitement contrôlé – ne peut le remplacer. Aujourd’hui, à un prix record de 2000 $ US l’once, l’or devrait encore augmenter.

Le plus grand danger pour l’hégémonie du dollar et le pouvoir stratégique qu’il confère à Washington n’est pas l’ambition de la Chine d’étendre le rôle international du RMB. Le danger vient de l’épuisement du mécanisme financier qui a permis aux États-Unis d’accumuler une position étrangère nette négative de 18 trillions de dollars au cours des 30 dernières années.

L’institution phare de l’Allemagne, Deutsche Bank, a atteint un plus bas historique de 8 euros le matin du 24 mars, avant de remonter à 8,69 euros à la fin de la journée, et sa prime de swap sur défaut de crédit – le coût de l’assurance sur sa dette subordonnée – a grimpé à environ 380 points de base au-dessus du LIBOR, soit 3,8%.

C’est autant que pendant la crise bancaire de 2008 et la crise financière européenne de 2015, mais pas autant que pendant le confinement Covid de mars 2020, lorsque la prime a dépassé 5%. Deutsche Bank n’échouera pas, mais elle pourrait avoir besoin d’un soutien officiel. Elle a peut-être déjà reçu un tel soutien.

Cette crise est tout à fait différente de 2008, lorsque les banques ont mobilisé des milliers de milliards de dollars d’actifs douteux basés sur des « prêts de menteurs » aux propriétaires. Il y a quinze ans, la qualité du crédit du système bancaire était pourrie et l’effet de levier était hors de contrôle. La qualité du crédit bancaire est aujourd’hui la meilleure depuis une génération. La crise découle de la tâche désormais impossible de financer la dette extérieure toujours croissante de l’Amérique.

C’est aussi la crise financière la plus attendue de l’histoire. En 2018, la Banque des règlements internationaux (une sorte de banque centrale pour les banques centrales) a averti que 149 milliards de dollars d’emprunts à court terme de banques européennes et japonaises utilisés pour couvrir le risque de change étaient une bombe à retardement prête à exploser.1

En mars 2020, le crédit en dollars s’est grippé dans une course à la liquidité lorsque les confinements de Covid ont commencé, provoquant une pénurie soudaine de financement bancaire. La Réserve fédérale a éteint le feu en ouvrant des lignes de swap de plusieurs milliards de dollars aux banques centrales étrangères. Il a élargi ces lignes d’échange le 19 mars.

En conséquence, le bilan en dollars du système bancaire mondial a explosé, comme en témoigne le volume des créances à l’étranger dans le système bancaire mondial. Cela a ouvert une nouvelle vulnérabilité, à savoir le risque de contrepartie, ou l’exposition des banques à d’énormes quantités de prêts à court terme à d’autres banques.

Les déficits chroniques de la balance courante de l’Amérique au cours des 30 dernières années équivalent à un échange de biens contre du papier : l’Amérique achète plus de biens qu’elle n’en vend, et vend des actifs (actions, obligations, immobiliers, etc.) à des étrangers pour compenser la différence.

L’Amérique doit maintenant 18 trillions de dollars nets aux étrangers, soit à peu près la somme cumulée de ces déficits sur 30 ans. Le problème est que les étrangers qui possèdent des actifs américains reçoivent des flux de trésorerie en dollars, mais doivent dépenser de l’argent dans leur propre monnaie.

Avec des taux de change flottants, la valeur des flux de trésorerie en dollars en euros, en yens japonais ou en RMB chinois est incertaine. Les investisseurs étrangers doivent couvrir leurs revenus en dollars, c’est-à-dire vendre des dollars américains à découvert contre leurs propres devises.

C’est pourquoi la taille du marché des dérivés de change a explosé avec les engagements de l’Amérique envers les étrangers. Le mécanisme est simple : si vous recevez des dollars mais payez en euros, vous vendez des dollars contre des euros pour couvrir votre risque de change.

Mais votre banque doit emprunter les dollars et vous les prêter avant que vous puissiez les vendre. Les banques étrangères ont emprunté peut-être 18 trillions de dollars aux banques américaines pour financer ces couvertures. Cela crée une vulnérabilité gigantesque: si une banque semble douteuse, comme l’a fait Credit Suisse plus tôt ce mois-ci, les banques retireront des lignes de crédit dans une course mondiale.

Avant 1971, lorsque les banques centrales maintenaient les taux de change à un niveau fixe et que les États-Unis couvraient leur déficit courant relativement faible en transférant de l’or à des banques centrales étrangères à un prix fixe de 35 dollars l’once, rien de tout cela n’était nécessaire.

La fin du lien entre l’or et le dollar et le nouveau régime de taux de change flottants ont permis aux États-Unis d’enregistrer des déficits massifs de la balance courante en vendant leurs actifs au monde. La population de l’Europe et du Japon vieillissait plus rapidement que les États-Unis et avait un besoin croissant d’actifs de retraite. Cet arrangement touche maintenant à une fin désordonnée.

Un indicateur infaillible du risque systémique mondial est le prix de l’or, et en particulier le prix de l’or par rapport aux couvertures alternatives contre une inflation inattendue. Entre 2007 et 2021, le prix de l’or a suivi les titres du Trésor américain indexés sur l’inflation (« TIPS ») avec une corrélation d’environ 90%.

À partir de 2022, cependant, l’or a augmenté tandis que le prix du TIPS a chuté. Quelque chose comme cela s’est produit à la suite de la crise financière mondiale de 2008, mais le mouvement de l’année dernière a été beaucoup plus extrême. Ci-dessous, le résidu de la régression du prix de l’or par rapport aux TIPS à échéance de 5 et 10 ans.

Si nous regardons les mêmes données dans un nuage de points, il est clair que la relation linéaire entre l’or et le TIPS reste en place, mais elle a à la fois déplacé sa ligne de base et accentué sa pente.

En effet, le marché craint que l’achat d’une protection contre l’inflation auprès du gouvernement américain soit comme si les passagers du Titanic achetaient une assurance naufrage au capitaine. Le marché de l’or est trop vaste et diversifié pour être manipulé. Personne n’a beaucoup confiance dans l’indice des prix à la consommation américain, l’indicateur par rapport auquel le paiement du TIPS est déterminé.

Le système de réserve en dollars ne sortira pas avec un bang, mais avec un gémissement. Les banques centrales interviendront pour éviter toute défaillance dramatique. Mais les bilans des banques vont se réduire, le crédit à l’économie réelle va diminuer et les prêts internationaux en particulier vont s’évaporer.

À la marge, le financement en monnaie locale remplacera le crédit en dollars. Nous avons déjà vu cela se produire en Turquie, dont la monnaie a implosé au cours de la période 2019-2021 lorsque le pays a perdu l’accès au financement en dollars et en euros.

Dans une large mesure, le financement du commerce chinois a remplacé le dollar et a soutenu le redressement économique remarquable de la Turquie au cours de l’année écoulée. L’Asie du Sud-Est s’appuiera davantage sur ses propres devises et le RMB. La grenouille dollar va bouillir lentement.

Il est fortuit que les sanctions occidentales contre la Russie au cours de l’année écoulée aient incité la Chine, la Russie, l’Inde et les États du golfe Persique à trouver des arrangements de financement alternatifs. Il ne s’agit pas d’un phénomène monétaire, mais d’un moyen coûteux, inefficace et encombrant de contourner le système bancaire en dollars américains.

Cependant, à mesure que le crédit en dollars diminuera, ces arrangements alternatifs deviendront des caractéristiques permanentes du paysage monétaire, et d’autres devises continueront de gagner du terrain par rapport au dollar.

source : Histoire et Société

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 18:10
 

En février 2012, à quelques semaines de l’élection présidentielle, la Cour des comptes publie un rapport critique autour de la gestion des stocks d’or de la France orchestré par l’ancien ministre des finances et président de la République, Nicolas Sarkozy.

Entre 2004 et 2009, ce sont 590 tonnes de métal jaune qui quittent les coffres de la Banque de France soit un cinquième du stock. Si les ventes dégagent des plus-values qui permettent de rembourser la dette de la France, le cours de l’or repart à la hausse en 2007. Certains pays arrêtent de vendre mais Sarkozy s’obstine à poursuivre. Résultat de l’opération : une perte de 15 millards d’euros.

Le rapport de la Cour des comptes – administration de rattachement du candidat François Hollande – était-il totalement impartial ? Sa lecture des événements très à charge contre Nicolas Sarkozy a-t-elle été commanditée ?

31,1 grammes aujourd’hui tente de décrypter la vente des stocks d’or nationaux par Nicolas Sarkozy à l’aube de la crise financière de 2008.

 

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 17:58

L'attaque de l'action Deutsche Bank serait due à un incident mineur sur le CDS ! De qui se moque t on !

Une perte d'une dizaine de milliards, soit on nous cache la raison réelle, ou les marchés sont incapables de se maîtriser !

 

Henry

 

 

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Les régulateurs blâment le crash de la Deutsche Bank vendredi sur le commerce d'un seul CDS

PAR TYLER DURDEN pour Zerohedge

Vendredi dernier, ce qui était déjà une mauvaise crise bancaire mondiale à la suite de l'implosion du secteur bancaire régional américain et de l'effondrement du Credit Suisse le week-end dernier, s'est bien aggravé lorsque, comme nous l'avons montré à l'époque, les CDS de la Deutsche Bank ont explosé à des niveaux plus larges. que ceux touchés lors du crash du covid...

... et déclenchant une nouvelle déroute du marché mondial au milieu des craintes croissantes que la plus grande banque européenne puisse faire faillite la prochaine fois.

La déroute des CDS - et des actions - a provoqué un barrage de défense verbale de la part de tous, des analystes de Wall Street (travaillant pour d'autres banques et donc qui sont donc assez incités, et en conflit, à empêcher un krach bancaire qui éclipserait Lehman) et des politiciens européens (qui serait responsable du renflouement de plusieurs milliards et/ou de la dépression en cas d'échec de DB), et pour l'instant, cela a réussi avec la stabilisation des actions DB et des CDS au cours des derniers jours. Pendant ce temps, réalisant qu'ils doivent rapidement verrouiller tous les "maillons les plus faibles" il y a quelques instants, Bloomberg a rapporté que les régulateurs prenaient une page du livre de jeu post-Lehman et dans le cadre de la campagne de boucs émissaires qui regarde tout le monde sauf les responsables, "distinguaient une transaction sur les swaps sur défaillance de Deutsche Bank AG qui, selon eux, a alimenté une vente mondiale vendredi. »

La transaction en question, selon des sources de Bloomberg, représente un pari risible de 5 millions d'euros (5,4 millions de dollars) sur des swaps liés à la dette junior de la banque allemande, qui se trouve également être la plus petite dénomination négociable et blâmer le quasi-effondrement de DB sur un seul Le commerce de CDS équivaut à blâmer le flash crash de mai 2010 sur Navinder Sarao, daytrader à la maison à deux bits (ce qui, à bien y penser, est précisément ce qui s'est passé, donc nous ne sommes pas si choqués). Et pour devancer les moqueries perpétuelles de ceux qui savent réellement comment fonctionne le marché des CDS, BBG a rapidement noté que les contrats de CDS peuvent être illiquides, "donc un seul pari peut déclencher de grands mouvements". Oui, c'est possible... et un grand mouvement déclenchera des contre-mouvements encore plus importants, en supposant qu'il y ait quelqu'un sur le marché avec une quelconque conviction. C'est le fait que personne n'était disposé à prendre l'autre parti sur le plus petit pari à court risque possible ciblant la dette junior de DB, qui en dit long sur cette "explication" idiote de la raison pour laquelle DB a failli chuter vendredi dernier.

Bien sûr, si l'on est assez stupide pour croire qu'un seul commerce solitaire peut déclencher une avalanche à l'échelle du marché, alors ce qui se passe ensuite est évident :

L'effet d'entraînement présumé a été une déroute qui a fait chuter les actions bancaires, augmenter les obligations d'État et monter en flèche les prix des CDS pour les prêteurs, réduisant d'environ 1,6 milliard d'euros la capitalisation boursière de la Deutsche Bank et plus de 30 milliards d'euros d'un indice qui suit les actions bancaires européennes.

Alors oui, des dizaines de milliards de valeur ont été anéanties à cause de la plus petite augmentation de CDS possible que l'on puisse négocier. Bonne mise en forme narrative là-bas, les gars.

Il y a une raison pour laquelle les régulateurs s'efforcent de rejeter la faute sur un petit family office qui espérait se prémunir contre un effondrement de DB : les banques européennes et leurs régulateurs ont cherché à souligner qu'ils surveillaient de près les risques - y compris la hausse des taux - et que l'industrie repose sur des bases saines. Les événements de vendredi dernier ont montré à quel point les régulateurs européens sont ignorants. On pourrait dire qu'ils sont presque aussi désemparés que leurs homologues américains qui ont laissé la crise bancaire régionale atteindre un niveau où personne ne sait plus ce qui est sûr.

Au milieu de l'attention indésirable, le prêteur allemand a publié lundi une présentation citant son "portefeuille bien diversifié" de dépôts, un objectif clé pour les investisseurs après l'effondrement de la Silicon Valley Bank. Deutsche Bank et l'indice plus large ont rebondi lundi, effaçant une partie des pertes de vendredi.

Alors, qui devient le Nav Sarao de cette crise bancaire ? Nous ne savons pas encore, car selon BBG, "on ne sait pas qui a placé les transactions pertinentes ni pourquoi ils l'ont fait". De manière hilarante, même BBG admet qu'il ne s'agissait pas d'une tentative préméditée d'une recrue de faire s'effondrer le système bancaire, mais admet plutôt que "certaines données indiquent que les transactions sont à des fins de couverture, a déclaré l'une des personnes".

Et juste au cas où les rires ne seraient pas encore assez forts, le rapport poursuit en notant qu'"il y a aussi une transaction sur les contrats CDS senior de cinq ans de la Deutsche Bank exécutés jeudi qui a attiré l'attention, a déclaré l'une des personnes".

Oh, donc ce n'était pas une transaction de CDS... c'était deux. Eh bien, félicitations à DB pour avoir survécu non pas à un mais à deux échanges courts !

La recherche de déclencheurs souligne un manque général de transparence dans la classe d'actifs, qu'Andrea Enria, le plus haut responsable de la surveillance de la Banque centrale européenne, a signalé mardi. Il a également appelé les régulateurs financiers mondiaux à examiner de plus près le marché des CDS.

"Il existe des marchés comme le marché des CDS à nom unique qui sont très opaques, très peu profonds, très illiquides", a déclaré Enria lors d'une conférence organisée par le journal allemand Handelsblatt. "Avec quelques millions, vous pouvez déménager

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 17:48

Vous faites la moue devant une pomme véreuse, mais l'on va vous proposer les vers sans la pomme !

 

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La Hongrie et l'Italie ont toutes deux adopté de nouvelles lois interdisant le programme de consommation d'insectes du WEF alors que les citoyens du monde entier se lèvent et rejettent les plans des élites mondialistes pour l'humanité.

 

La Hongrie a dévoilé des règles strictes contre l'  insectification clandestine des aliments . Le ministre de l'Agriculture István Nagy a annoncé qu'ils exigent désormais que les aliments contenant des protéines d'insectes portent l'étiquette  « Attention ! Aliments contenant des protéines d'insectes »  et doivent être présentés séparément des autres produits.

 

 

Rairfoundation.com rapporte : Le ministre a souligné que le gouvernement voulait protéger les consommateurs hongrois des aliments contenant des protéines d'insectes autorisés par Bruxelles dans l'Union européenne (UE) grâce à des règles strictes d'étiquetage et de séparation des produits.

La Hongrie était le seul État membre à ne pas soutenir l'intention de l'UE d'autoriser la commercialisation des insectes en tant qu'aliments et ingrédients alimentaires dans l'UE.

Il a ajouté que la Commission européenne met en péril nos traditions gastronomiques et nos habitudes alimentaires. C'est pourquoi le ministère de l'Agriculture a modifié la réglementation sur l'étiquetage des denrées alimentaires afin de fournir des informations précises aux consommateurs.

Les produits contenant des protéines d'insectes seront clairement identifiables et séparés sur les étagères des magasins. Les emballages et étiquettes non conformes peuvent continuer à être utilisés pendant trois mois, et les produits comportant de tels emballages ou étiquettes peuvent rester sur le marché pendant une durée maximale de trois mois. István Nagy a également souligné qu'aucune amende pour non-respect du règlement modifié pendant 90 jours ne sera infligée.

Il a souligné que des enquêtes représentatives de l'Office national de la sécurité de la chaîne alimentaire montrent clairement que depuis 2016, la proportion de personnes en Hongrie qui ne mangent pas d'insectes a augmenté de 2,4 %. 

Ceux qui préfèrent acheter des aliments d'origine hongroise ne veulent pas manger d'insectes. En outre, il a souligné que les agriculteurs hongrois fournissent toujours à la population hongroise des denrées alimentaires de haute qualité, des aliments frais et de bonne qualité, de sorte qu'il n'y a pas lieu de craindre ni les pénuries alimentaires ni les pénuries de protéines.

Il a également déclaré que le règlement n'affectait pas les additifs dérivés d'insectes, qui ont été largement utilisés par l'industrie alimentaire mais s'appliquent aux insectes en tant qu'ingrédients.

L'Italie interdit la farine d'insectes dans ses pâtes

L'Italie a interdit la farine d'insectes de ses pâtes,  rapporte  le Times. "L'utilisation croissante dans la cuisine de farine à base de grillons, de criquets et de larves d'insectes a rencontré une opposition farouche en Italie, où le gouvernement doit interdire son utilisation dans les pizzas et les pâtes et les séparer dans les rayons des supermarchés".

Craignant que les insectes ne soient associés à la cuisine italienne, trois ministres du gouvernement ont convoqué une conférence de presse à Rome pour annoncer quatre décrets visant à la répression. "Fondamentalement, ces farines ne sont pas confondues avec des aliments fabriqués en Italie", a déclaré le ministre de l'Agriculture Francesco Lollobrigida.

Comme  indiqué précédemment  à la RAIR Foundation USA, des mondialistes autoproclamés non élus se sont battus pendant des années pour que les Occidentaux mangent des insectes. Ils espèrent laver le cerveau des citoyens avec des récits environnementaux et nutritionnels afin de contrôler leurs choix alimentaires. "Remplie de vitamines, de protéines et de minéraux, la farine à base de grillons est de plus en plus considérée comme un moyen écologique d'obtenir des nutriments, et le marché devrait atteindre 3,5 milliards de dollars d'ici 2029." L'UE a déjà autorisé les aliments à base de grillons, de criquets et de larves de ténébrions. En janvier, des larves de vers de farine ont été ajoutées à la liste.

Cependant, les quatre insectes sont cités dans les décrets italiens, exigeant que tous les produits en contenant soient étiquetés en gros caractères et présentés séparément des autres aliments.

"Celui qui veut manger ces produits peut, mais ceux qui ne le font pas, et j'imagine que ce seront la plupart des Italiens, pourront choisir", a déclaré Lollobrigida.

Orazio Schillaci, le ministre de la Santé, a déclaré que la législation interdirait également l'utilisation de farines d'insectes dans les produits italiens "typiques" comme la pizza et les pâtes.

Dans une nouvelle tentative de promouvoir la cuisine italienne, le gouvernement a annoncé jeudi qu'il proposerait l'inscription de la cuisine italienne sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 17:33

Tchad : second boom pétrolier – Jeune Afrique

 

Un rapport récent a annoncé que le pays africain du Tchad a nationalisé les actifs d'ExxonMobil.

Le ministère tchadien de l'Energie a annoncé la nationalisation de tous les actifs et droits appartenant à une filiale de la major pétrolière américaine ExxonMobil, y compris les permis d'hydrocarbures ainsi que les permis d'exploration et de production, selon un rapport de Reuters vendredi.

 
 

Les actifs d'Exxon auraient inclus une participation de 40% dans le projet pétrolier tchadien de Doba, qui comprend sept champs pétrolifères en production avec une production combinée de 28 000 barils par jour (bpj).

Le rapport mentionne également l'intérêt d'Exxon pour le système de transport d'exportation Tchad-Cameroun, qui s'étend sur plus de mille kilomètres.

La déclaration du ministère intervient alors que la société américaine a déclaré en décembre avoir conclu la vente de ses activités au Tchad et au Cameroun à la société britannique Savannah Energy.

La pile de dettes à faible taux d'intérêt qui a été émise pendant les fermetures de COVID en était la principale raison, mais ce qui a déclenché la crise financière actuelle , c'est que le gouvernement a soudainement augmenté les taux d'intérêt.

 

Source : greatgameindia

 

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