par Adrian Onciu
Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.
Les résultats de la présente enquête sont vraiment explosifs. Ils montrent sans équivoque la combinaison putride entre de hauts responsables politiques de l’UE et la mafia Big Pharma. Et tout cela en pleine pandémie. Ils se sont moqués de la vie, de la santé et des libertés des centaines de millions de personnes terrorisées par un système de propagande mensongère. Ils nous ont mis des milliards de vaccins autour du cou (bien au-delà de ce dont nous aurions besoin), juste dans une quête désespérée du profit.
Le gros lot est d’environ 36 milliards de dollars. Soit 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer, négociées par le chef de la Commission européenne avec le patron de l’entreprise pharmaceutique, Albert Bourla. Négociées de manière totalement opaque. Vous pouvez également les retrouver sur le site de l’agence Mediafax, pourvu qu’il n’y au pas de « défaillances techniques ».
Je présenterai brièvement l’histoire dans cette première partie, en m’aidant moins de chiffres, mais avec suffisamment de références et de noms de protagonistes, comme il en ressort des preuves directes et indirectes réunies. C’est le devoir du procureur en chef Kovesi maintenant de mener l’enquête. Vérifier les comptes bancaires, la circulation de l’argent entre les entreprises, demander l’aide du FBI à New York et à Bruxelles, punir les coupables. Comme elle l’a fait en Roumanie avec tant de politiciens de premier plan. Du moins faut-il qu’elle ait la volonté nécessaire.
Je précise que la société Pfizer n’en est pas à son premier délit. Elle a beaucoup de dossiers, certains pénaux. Aucun coupable pour le moment. Les procureurs américains l’ont mise en observation, mais ne sont pas allés plus loin. Ils n’ont pas même puni les cadres impliqués.
La clé de la négociation de l’accord de 36 milliards de dollars est le mari d’Ursula von der Leyen. Jusqu’au début de la pandémie, et même bien après, personne n’avait entendu parler du Dr Heiko von der Leyen. Époux de la Première Dame de Bruxelles. En d’autres termes, le mari de la cheffe du gouvernement européen.
La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.
Et maintenant, souvenons-nous. La pandémie a commencé en Roumanie en mars 2020. Quelques mois plus tard, en décembre 2020, un médecin allemand relativement inconnu, chef d’une clinique à Hanovre, atterrit directement au conseil d’administration d’une très puissante entreprise Big Pharma aux États-Unis. Et non, il ne s’agit pas de Pfizer. Cela aurait été trop simple. Trop frappant. Dr Heiko a été transféré à l’étranger, « dans l’intérêt du service », dans une société pharmaceutique spécialisée (depuis de nombreuses années) dans la technologie bien connue de l’ARNm. C’est Orgenesis Inc. À l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers. Mais une énorme opportunité s’est présentée : la pandémie ! Ainsi, les bons gars de Pfizer ont immédiatement flairé la méga-affaire mondiale. D’ailleurs, ils avaient de l’expérience !
Le lien entre les deux sociétés américaines, Pfizer et Orgenesis, est évident. Leur actionnariat important comprend les mêmes fonds communs de placement, selon la Bourse de New York. Je détaillerai plus avant. On ne sait toujours pas si l’actionnariat a changé avec l’arrivée intempestive de Heiko von der Leyen d’Allemagne (pour des négociations ?) ou s’il en a toujours été ainsi. Nous allons le découvrir.
Ce qui est certain, c’est que le mari d’Ursula fait tâche dans le conseil d’administration de la société Orgenesis. Presque rien dans son CV ne le recommande pour le poste élevé de « Directeur Médical ». C’est l’un des cadres payé au moins 1 million de dollars par an. Et la coïncidence a été étonnante. Pourquoi Heiko a atterri à la direction d’Orgenesis en décembre 2020, c’est une question dont la réponse révèle le mystère de toute l’affaire. Il est à noter que le premier vaccin en Roumanie a été administré le même mois, à une infirmière.
La suite s’est déroulée à toute allure. Au printemps 2021, immédiatement après l’arrivée d’Heiko à Orgenesis, d’intenses négociations politiques ont eu lieu. Sa femme a échangé des SMS et des appels téléphoniques tant avec le chef de Pfizer qu’avec son mari, qui se trouvait à proximité immédiate des gens de Pfizer (pratiquement à quelques maisons de distance). Autrement dit, un médecin très généreusement payé par la société Orgenesis (étroitement liée à Pfizer, comme nous allons le voir). J’ai écrit dans des commentaires précédents sur Mediafax que les messages et les appels de Mme Ursula ont ensuite soudainement disparu de son téléphone, à la stupéfaction de l’Ombudsman Emily O’Reilly (une sorte d’avocate du peuple, mais au niveau de l’Union européenne). En fait, ce n’était pas la première fois ces dernières années qu’Ursula von der Leyen effaçait ses traces du téléphone à la façon de Harry Potter et même plus.
Le 8 mai 2021 a eu lieu la grande annonce. Les Européens ont poussé un soupir de soulagement. Ursula von der Leyen a signé le marché avec les patrons de Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin. Le prix de la dose n’a pas été annoncé, cela n’avait pas de sens d’avoir autant de transparence. Surtout quand un dollar en plus ou en moins signifie un total de 1,8 milliard de dollars en plus ou en moins. De l’argent sorti de nos poches, les Roumains, les Bulgares et les Hongrois. Vaccinés et non vaccinés, cela n’avait aucune importance. En l’absence de chiffres officiels, le business est estimé à environ 36 milliards de dollars, soit environ 20 dollars la dose.
Comme la transparence était « au maximum », à partir de là commencent les preuves indirectes. Basées, bien sûr, sur des faits. Selon les chiffres et informations officiels, autant que nous ayons pu en recueillir jusqu’à présent, et en l’absence de toute initiative de « l’héroïne anti-corruption », la procureure générale Laura Codruța Kovesi.
À 38 milliards de dollars, tout contrat commercial de ce type comporte des « commissions de performance ». Pour les dirigeants de la Roumanie, parce que les montants sont très faibles, on parle de 10 à 15 pour cent ; à Bruxelles nous sommes sur de petits pourcentages, mais pour des sommes très importantes. Même si le profit est énorme. C’était même difficile pour moi aussi d’écrire à l’ordinateur ce que signifient 2 % des 38 milliards. Cela signifie une « commission de performance » fixe de 760 millions de dollars !
Maintenant, si vous demandiez rapidement à SOV, père du FNI (Sorin Ovidiu Vântu, fondateur d’une méga-escroquerie financière d’un fonds de placement roumain – le FNI – basé sur une Pyramide de Ponzi, à l’aube de l’an 2000 ndtr.), il vous dirait que le montant (ou même le double, car il y avait de la place pour plus) a été transféré rapidement et magnifiquement, avec élégance, du bénéfice de Pfizer à la société liée Orgenesis. Sous forme de « primes de performance » pour le mari de la dame.
C’est-à-dire, le directeur médical à peine venu sur place pour des négociations. Le respectable M. Heiko von der Leyen, descendant de noble souche allemande. Mais ce n’est que si la procureure Kovesi pouvait vérifier certains comptes, en collaboration avec le FBI et les procureurs américains et européens. Et si, bien sûr, l’ancienne responsable de la DNA roumaine a encore un peu de son aura d’incorruptible qui l’a rapidement propulsée à Bruxelles, près d’Ursula von der Leyen.
Je lui propose de mettre l’ensemble du dossier à sa disposition. En clair, des informations officielles recueillies auprès de sources fiables. Et des relations, si elle n’a pas assez d’employés. Gratuitement, uniquement avec des frais de remboursement pour DHL. Avec des données vérifiées, pas de fausses nouvelles pandémiques, promues par je ne sais quels sites obscurs.
Parce que la lecture d’un fichier aussi épais peut dérouter les lecteurs, j’ai décidé de le présenter dans un feuilleton. Maintenant, j’ai donné l’histoire générale, le fil de l’action. Je reviendrai avec des précisions : noms, sociétés, actionnaires significatifs, CV, liens directs et indirects. Mme Kovesi sait où me trouver. Dans la ville provinciale de Iași, quelque part dans le nord-est de la Roumanie. Proche des Russes, comme diraient les hashtags. J’espère qu’elle prendra une courte pause dans sa course aux trafiquants de voitures bulgares et s’occupera de questions plus sérieuses. La vraie corruption au niveau européen.
Vous allez découvrir un entrelacement scandaleux. Car les politiciens, main dans la main avec Big Pharma, ont profité sans scrupules de la pandémie pour s’enrichir sur le dos et les poches des Européens. Sur nos vies et notre santé.
Mes commentaires des deux dernières années ressemblent trop peu au texte d’aujourd’hui. Il y aura de nombreux chiffres, des noms de sociétés, personnages et connexions possibles. Ce sera donc plus difficile à suivre pour un grand public. Mais je vais essayer de les synthétiser et de les présenter sous une forme assez digeste. Comme un récit, plutôt que comme une enquête journalistique au sens classique du terme.
Ce n’est pas mon travail de vérifier les comptes, d’écouter les téléphones et de chercher des billets d’avion. Mais le Parquet européen pourrait le faire. Si, bien sûr, il pense que cela en vaut la peine.
Commençons systématiquement. Présentons d’abord les protagonistes. Ce sont les époux Ursula et Heiko von der Leyen. Comme je l’ai dit, les deux vivent, depuis 2007, près de Hanovre (Allemagne), sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils se marient en 1986. Ils ont sept enfants et un petit-fils (nous continuerons de les appeler par leur prénom, pour faciliter la lecture).
Ursula a étudié la médecine à l’Université de Hanovre et, en 1991, elle y a obtenu son doctorat (où, comme nous le verrons, son mari était professeur). Des accusations de plagiat sont apparues relativement récemment dans la presse allemande. Les journalistes ont découvert que 43,5% de la thèse de doctorat d’Ursula était copiée. L’université a conclu que, bien que la thèse ait contenu du plagiat, aucune intention de tromper ne pouvait être prouvée. C’est-à-dire que la cheffe de la Commission européenne a volé, mais pas intentionnellement. Elle ne s’en est pas rendu compte tout simplement. Nous ne connaissons que trop bien ce style. On l’a excusée selon le modèle breveté et vérifié à l’Académie Nationale de Renseignements (A.N.I.) de Roumanie.
Les époux Ursula et Heiko sont des politiciens, mais ce dernier n’a aucun poste dans un parti. Ils sont collègues de l’ex-chancelière Angela Merkel au sein de la CDU (Union chrétienne-démocrate).
Lorsqu’elle était ministre de la Défense (dans les gouvernements III et IV dirigés par Angela Merkel), Ursula était connue pour la générosité avec laquelle elle proposait des contrats payés avec l’argent public. Il s’agissait de contrats qui dépassaient au total 700 millions d’euros. À cette époque, une commission parlementaire a tenté d’enquêter sur les allégations de mauvaise gestion, mais l’affaire a été étouffée. Pas de surprise, d’ailleurs. Au cours de l’enquête, a fuité l’information selon laquelle Ursula aurait supprimé des données de son téléphone portable.
Exactement avec le même schéma délictueux, l’actuelle cheffe de la Commission européenne aurait supprimé ses données du téléphone (sms, e-mails, historique des appels) après les négociations avec Pfizer, dans le dossier estimé à 36 milliards de dollars. Je reviendrai à ce sujet.
Parlons un peu de son partenaire de vie, Heiko. Issu de noble souche, Heiko est jusqu’à présent resté dans l’ombre. Si nous demandions à SOV, il nous dirait probablement que des deux époux, Heiko est « l’éminence grise » de la famille der Leyen. Par conséquent, il a négocié le contrat avec Pfizer. Malheureusement, nous ne sommes pas en mesure de demander l’avis à SOV.
Heiko a l’air d’un type très studieux. Il a étudié la pharmacologie, la médecine interne et la cardiologie à l’Université de Hambourg, à la Faculté de médecine de Hanovre (MHH) et à l’Université de Stanford, aux États-Unis. Il a ensuite continué à travailler dans la recherche à Stanford, en se concentrant sur la « thérapie génique cardiovasculaire ». Parallèlement, il était directeur général d’Artiss GmbH à Hanovre, une société fondée en 2001. Artiss, en coopération avec l’Université de médecine de Hanovre (MHH), a développé de nouvelles valves mitrales biologiques du cœur, basées sur ses propres cellules. En 2005, l’Université de Hanovre et Hannoverimpuls ont créé le Hannover Clinical Trial Center GmbH (HCTC) en tant que fournisseur de services d’essais cliniques. Une entreprise publique, pas privée. Rien de spectaculaire à première vue.
Avant d’être intégré directement au conseil d’administration de la société américaine Orgenesis, Heiko a enseigné la « médecine interne » à l’université de Hanovre et a été directeur général de la firme HCTC. On peut supposer qu’il avait un gain mensuel estimé, grosso modo, à 20-30 mille euros (disons, un maximum de 360 mille par an). Bien sûr, à moins que le HCTC ne fasse de la contrebande des armes ou bien qu’elle ne fasse de la contrebande de Viagra ou de drogue.
Selon les informations officielles, la firme HCTC s’occupe des essais cliniques pour toutes sortes de médicaments, vraisemblablement des vaccins, et les contrats sont négociés en Allemagne par KKS (facilement à trouver même par Mme Kovesi). Les dernières années, avant d’être promu du jour au lendemain, « dans l’intérêt du service », directement au conseil d’administration d’Orgenesis, on peut supposer qu’Heiko était déjà sous contrat avec la société américaine. Mais seuls les enquêteurs peuvent l’établir avec certitude.
L’hypothèse vient du fait qu’Heiko avait aussi le titre de « consultant scientifique » auprès d’Orgenesis. On ne sait pas s’il était rémunéré ou si c’était seulement une prestation sans honoraire. Alors pourquoi ne pas avoir contribué directement et de son mieux, au bien-être des Américains d’Orgenesis ?
La clinique HCTC, dirigée jusqu’à récemment par Heiko, mène des essais cliniques dans les principaux domaines de recherche de l’Université de Hanovre : 1) Infection et immunité ; 2) Transplantation et régénération ; 3) Génie biomédical et implants ; 4) Oncologie. Coïncidence ou non, comme nous le verrons ci-dessous, les Américains d’Orgenesis étudient depuis de nombreuses années la technologie bien connue des ARNm (utilisée dans les vaccins anti- covid). Jusqu’au déclenchement de la pandémie, Orgenesis était profondément impliqué dans l’utilisation de la technologie de l’ARNm pour traiter les cancers.
Il est à présumer qu’il existait également des relations contractuelles (naturelles) entre Orgenesis et HCTC, à travers la société KKS. Les Américains auraient pu payer pour des essais cliniques pour voir comment les patients cancéreux réagissent à leur nouvelle technologie. C’est le fameux ARNm. Une simple vérification du procureur Kovesi clarifierait les choses sur le coup.
Le tournant s’en est suivi. En mars 2020, la pandémie a officiellement éclaté. Heiko vivait à Hanovre, en Allemagne, avec sa femme et ses sept enfants. Il était encore « consultant scientifique » à Orgenesis. Probablement il était fournisseur de services pour les essais cliniques. On peut supposer qu’il recevait plusieurs milliers d’euros par mois de la collaboration avec Orgenesis.
A l’échelle mondiale, à l’initiative de l’OMS, le problème de trouver un vaccin anti- covid s’est posé. Il y avait une urgence majeure de santé publique. Nous savons comment les choses se sont passées. Quel rôle les médias ont joué, ainsi que les politiciens et les spécialistes dévoués.
La société américaine Pfizer, l’une des sociétés Big Pharma célèbre, entre autres, pour de multiples scandales de nature pénale, a immédiatement flairé l’énorme opportunité. Par conséquent, elle a appuyé sur l’accélérateur. Elle cherchait des partenaires pour développer le vaccin ultra-rapide. Et quel autre meilleur partenaire aurait-il pu y avoir qu’Orgenesis ? Entreprise spécialisée (depuis des années) dans la technologie ARNm dédiée à l’oncologie. D’autant plus que Heiko, l’époux de la présidente de la Commission européenne, était déjà « consultant scientifique ». Donc un bon collaborateur. De plus, Orgenesis avait la capacité (via le HCTC) de réaliser rapidement des tests vaccinaux préliminaires, en vue d’une approbation par l’Agence européenne du médicament. En cas d’urgence, évidemment.
On ne sait toujours pas exactement comment Orgenesis, Pfizer et BioNtech ont partagé leurs tâches dans la réalisation du projet. Ce qui est sûr, c’est que les Allemands de BioNtech disposaient de grandes capacités de production en Europe. En tant que simple spéculation, il a peut-être été important que BioNTech provienne d’Allemagne. Et Pfizer l’a cooptée dans ce projet, notamment pour avoir un soutien politique dans les négociations ultérieures avec l’Union européenne (alias Merkel et Ursula). Mais, je le répète, c’est une simple spéculation. A prendre avec des gants !
Voyons maintenant qui en sont les spécialistes.
Les Américains d’Orgenesis. La société a vu le jour en 2008 grâce à un financement de Governance Dynamics Venture Capital (GD). Elle était à l’origine basée à Tel Aviv, car la fondatrice Sarah Ferber (66 ans) est née en Israël. Le principal actionnaire de GD est un fonds d’investissement américano-israélien, créé en 2000, basé à New York, avec Alex Mashinsky comme président. Mme Ferber semble être le cerveau d’Orgenesis. Un chercheur classique. Une personne aux études et au travail intense en laboratoire. La personne possédant la technologie de l’ARNm. Son curriculum vitae comprend une licence et un doctorat de l’Israel Institute of Technology, une licence du South western Medical Center de l’Université du Texas et un doctorat de la Harvard Medical School. Elle est actuellement membre du Conseil d’Administration d’Orgenesis, poste intitulé « Chief Scientific Officer ». Elle gagne un salaire annuel compris entre 1,5 million de dollars et 2 millions de dollars (enregistrant probablement une augmentation significative avec la pandémie).
Depuis août 2014, l’actuel PDG d’Orgenesis, est Vered Caplan. Son dernier emploi était Biotech Investment Corp. (simple ressemblance avec BioNTech, pas de lien !). Entreprise spécialisée, quelle coïncidence, toujours dans les essais cliniques de certains médicaments. Vered Caplan a également étudié en Israël, tout comme la fondatrice Sarah. Son dernier salaire annuel était de 1,6 million de dollars. Peut-être en forte augmentation après l’arrivée de Heiko von der Leyen au conseil d’administration de l’entreprise.
Il existe de nombreux points communs entre Orgenesis et Pfizer. Certains liés à Israël. Et aussi à la rapidité avec laquelle les Israéliens ont été vaccinés. Mais les plus visibles sont les actionnaires communs importants d’Orgenesis et de Pfizer. Selon la Bourse de New York, ils seraient les suivants :
Orgenesis
The Vanguard Group, Inc. 3,77%
SSgAFunds Management, Inc. 0,34%
Geode Capital Management LLC 0,81%
Total – 4.92%
Pfizer
The Vanguard Group, Inc. 7,78%
SSgAFunds Management, Inc. 4,97%
Geode Capital Management LLC 1,78%
Total – 14.53%
Donc, si l’on se réfère aux investisseurs, les deux méga-entreprises américaines y sont liées. Les liens entre les membres du conseil d’administration des entreprises n’ont pas encore pu être vérifiés. Trop peu de temps, trop peu de ressources. Peut-être que le Parquet européen, le FBI et la justice américaine pourraient nous aider. Même si je ne parierais pas trop là-dessus. Qui aurait à y gagner, après tout ?
Le fonds d’investissement Vanguard se fait remarquer. Depuis mars 2021, Vanguard détient la plupart des actions d’un autre fonds géant, BlackRock. Les deux grands groupes financiers contrôlent presque tout à l’échelle mondiale. Fondamentalement, ils ont Big Pharma dans leur poche. En février 2020, ils figuraient parmi les plus gros actionnaires du géant GlaxoSmithKline (GSK), respectivement 7 % et 3,5 % du total. Il est presque impossible de trouver tous les propriétaires d’actions du fonds Vanguard. Mais quelques noms se démarquent, selon des sources boursières officielles : Rothschild Investment Corp., Edmond De Rothschild Holding, diverses familles comme Orsini en Italie, Bush aux États-Unis, du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller. Y compris la famille royale britannique. Les deux fonds d’investissement mentionnés détiennent environ 90 % des institutions médiatiques aux États-Unis.
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