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12 avril 2020 7 12 /04 /avril /2020 13:47

Une enquête menée par le Journaliste d'investigation Joshua Philipp de The Epoch Times. Cette investigation démontre la construction d'un virus de laboratoire par la combinaison de différents virus naturels provenant d'animaux dont notamment la chauve souris nommée fer à cheval. Je joins donc les éléments prouvant la création d'un virus de laboratoire (chimère) par le Dr Shi Zhengli au laboratoire P4 de Wuhan dépôt de recherches dans la revue Nature dans le cadre de la collaboration internationale de recherche pour la communauté scientifique. (en 2016)

 

Alors pourquoi les gouvernements ne peuvent valider la thèse d'un virus - chimère, parce que pour certains il y avait des liens directs avec le laboratoire de Wuhan (France et l'institut Pasteur Mérieux) et les USA par exemple qui ont dégagées des lignes de crédits pour les recherches sur les virus, notamment les coronavirus.

Pour preuve l'administration américaine a déléguée une visite au laboratoire de Wuhan, ayant eu vent certainement de recherches moins orthodoxe. La conclusion en fût que ce laboratoire n'était pas véritablement sécurisé (vous trouverez les liens plus bas).

 

Donc on a tout intérêt à nous servir des INFOX comme quoi ce virus serait directement d'origine naturelle et qu'avec les petits poings il aurait réussir a passer la barrière des espèces tout en restant pratiquement identique. Là ç'est se foutre de la gueule du monde littéralement.

On voit également des vols de virus notamment à Winnipeg au Canada, qui travaillait avec Wuhan dans le cadre de recherches collaboratives, certainement pour améliorer le virus chimère ou la façon de le traiter ? Mais là ç'est une supposition.

S'il reste des doutes alors pourquoi les autorités Chinoises ont elles remplacée la dirigeante du labo par une générale de l'armée Populaire de Chine et pourquoi, les personnels ont ils reçu des circulaires interdisant toutes communications. A l'heure actuelle, tous les documents pouvant être en ligne sur le sujet en Chine sont enlevés.

 

Donc je vous laisse le soin de découvrir cette enquête qui démonte totalement l'INFOX d'un virus naturel sauteur d'espèces en espèces.

 

 

 

Vous noterez les alertes de Pr. de l'Institut Pasteur mais aussi les soupçons des services de renseignements Français quand au sujet des activités du laboratoire P4 de Wuhan, alors comment l'Etat pouvait il l'ignorer

 

Partie I

Le premier janvier 2020 le Marché aux fruits de mer de Wuhan était fermé, car on y avait décelé par analyses plusieurs contaminations du Covid19 dans les produits ; la théorie officielle d’une transmission par des animaux sauvages commençait.

Mais le premier cas d’affection au coronavirus fut déclaré le 1er décembre 2019, le 10 3 nouveaux cas se présentaient.

L’ étude du Lancet montre que sur 41 patients 17 n’avaient aucun rapport avec ce marché.

Marché ou il n’y a pas de vente de chauves-souris par ailleurs ou a proximité, donc cela rend invraisemblable la thèse d’une propagation par le vecteur de cet animal.

Le 29 janvier 2020 une nouvelle étude du Lancet corrobore les faits, aucun rapport entre le marché et les contaminés.

Les 45 cas déclarés en décembre 2019, notamment le 1er montre que l’infection se serait déclarée en novembre si l’on prend en compte la période d’incubation.

Après de multiples recroisements méthodologiques il s’avère que la contamination ne pouvait provenir du marché de Wuhan, elle propagée, par un patient zéro de manière silencieuse et insidieuse.

Des acteurs présents lors de la propagation du SRAS voient se répéter le même type de procédure que le gouvernement Chinois semble réitérer. Invention d’une théorie au moment ou la connaissance de l’épidémie devient publique et blocage des informations réelles la concernant.

 

 

Partie II – le mystérieux gène séquence –

Le 10 janvier 2020 la Chine dévoilait le gène séquence afin que les universitaires du monde entier puissent procéder à des études.

Mais le 7 janvier dans le revue Nature un scientifique Chinois découvrait que  le Covid 19 était étroitement lié a deux autres corovavirus le Co VZC45 et le Co VZX21, deux virus prélevés sur des chauves-souris par l’armée populaire de Chine. Le Covid 19 à 89,1 % de similarités de génomes avec le CoVZC45 entre autre.

Une autre étude américaine rejoint les faits sur des similarités plus que troublantes entre ces coronavirus.

Le 12 janvier une étude chinoise montre 88 % de similarités entre le covid19 et les coronavirus de type SRAS précités. Les deux études soulignent que les lignes protéiniques et d’acides aminés sont identiques  à 100 % et cela ne peut être le fait que d’une manipulation génétique en laboratoire, car le saut d’une espèce à une autre ne permet pas de garder cette totalité.

Le 21 janvier l’Institut Pasteur et l’Académie des Sciences de Shanghai exposent dans Science China Life Sciences que la séquence d’une partie de la protéine S est identique au virus du SRAS ; cette protéine es la cléf qui permet de dévérouiller une cellule humaine pour y faire entrer le coronavirus, ç’est donc un élément essentiel dans l’infection.

Le 28 février le laboratoire P3 de Shanghai est fermé, car il avait publié le génome du Covid19 à l’intention de la communauté scientifique internationale ; dès ce jour les informations concernant le coVid 19 sont interdites à la publications, ainsi que les données associées.

Depuis silence radio du côté scientifique Chinois.

 

Partie III – Les découvertes du DR Shi Zhengli –

 

La Docteur Shi Zhengli est la meilleure experte dans ce domaine de recherches en Chine mais aussi celle qui fût la première à montrer que la protéine S permettait le passage des barrières inter espèces, que le virus du SRAS pouvait se recombiner synthétiquement avec celui du coronavirus des chauves-souris. 

Depuis 2010 ses recherches et celles de son équipe étaient orientées justement vers la transmission de coronavirus entre espèces ; mettant spécifiquement l’accent sur la protéine S, ce notamment au laboratoire de Wuhan.

Dans un document elle explique la recombinaison du coronavirus de la chauve-souris pour le lier au SRAS de manière synthétique.

En 2013 elle réussit à isoler trois virus dont un permet par la protéine S d’entrer dans les cellules humaines.

En 2015 elle republie et signifiant la découverte d’un coronavirus de synthèse ( Chimère) capable de s’auto générer. Des essais sur souris de laboratoires montraient de graves lésions pulmonaires.(voir lien revue Nature dans les liens du 9 novembre 2015)

Ces recherches sont très controversées notamment par le Pr Wain Hobson de l’Institut Pasteur qui exprime  le 12 novembre 2015 ses préoccupations dans la revue Nature : « Si ce nouveau virus s’échappait, personne ne pourrait prédire sa trajectoire. La propagation pourrait se produire n’importe où ! »

Le 16 octobre 2016 l’Administration Obama était alertée sur le sujet et semblait préoccupé par ce dernier et coupait les crédits sur ce type de recherches. Cependant une ligne de crédit apparaît en 2017 sur des recherches concernant les chauves souris

Après la déclaration de la pandémie, les scientifiques  Indiens notent quatre séquences similaires à celles du VIH, chez le Covid19 sur GenBank. (voir lien)

Hors ce séquençage ne se retrouve que sur le VIH lui-même, le coronavirus chimère du Pr Shi Zhengli et le covid19.

Le gp41 est l’une des clés du VIH pour entrer dans les cellules.

 

IV – Dans le secret du laboratoire  de Wuhan-

Le 3 février dans la revue Nature le Pr Shi Zhengli propose la version de la contamination via le biais de la chauve-souris. Evoquant avec  force démonstration l’origine naturelle de ce virus.

Les autorités Chinoises ont mis sous scellés les virus du Laboratoire P4 de Wuhan et empêchent une enquête  internationale (voir mon article sur la nomination d’une générale Chinoise à la tête du laboratoire  P4 de Wuhan après le début de la pandémie)

Gordon Chang dit que ce n’est pas une théorie du complot que de croire que ce laboratoire P4 est responsable de l’émission de ce Covid19 volontaire ou non.

Le 2 janvier 2020 dans une note interne du laboratoire P4 de Wuhan il est demandé «  Un avis concernant la stricte interdiction de divulgation de toute informations concernant la pneumonie de Wuhan »

Toutes les informations de quelques nature que ce soient ne peuvent être en aucun cas publiées ni diffusées.

Le 21 janvier un nouveau médicament le Remdesivir fournit par les USA est breveté préventivement par la Chine.

Le 3 février le Dr Wu XiaoHua alerte que le covid19 pourrait être issu du labo P4 de Wuhan.

Le 4 fevrier le Président Duoyi, XuBo confirme les soupçons de  fuites du labo,

 Le 7 février le meilleur expert en arme biochimique Chinois Chen Wei prend officiellement le contrôle du laboratoire P4 de Wuhan,

Le 14 fevrier le Président Xi Jinping d’inclure une loi sur la biosécurité dans le cadre de la Sécurité Nationale Chinoise,

Le 15 février les rumeurs concernant le décès de la patiente zéro Huang Yangling sont infirmés.

Elle était employée au labo P4 en tant que microbiologiste.

Le 17 février le chercheur à l’Institut Chen QuanJiao revèle que la directrice du laboratoire Wang Yanyi était soupçonnée d’avoir laissée échappé le virus,

 

Mais ç’est là que la France entre en jeu

Dans le Challenge du 23 janvier 2020 il est démontré l’alliance entre la France et la Chine au sujet du laboratoire P4 de  Wuhan (en effet le journaliste américains le découvre, comme les populations françaises et américaines qui ne s’intéressaient pas forcément au sujet, et à cet effet, vous trouverez les éléments nécessaires dans le dossier coronavirus, moi-même j’avoue ne pas avoir connu ces faits auparavant)

Donc l’investigateur poursuit et montre que les services de renseignements Français se doutaient que le régime Chinois utilisait le laboratoire pour des expériences de bio armement.

Les USA ont délégué leur ambassade pour visiter le laboratoire de Wuhan, en janvier 2018 Voici ce qui en ressort (article de Josh Rogin dans le Washington Post : " Ce que ces fonctionnaires ont vu, à l’Institut de virologie de Wuhan, les a fortement inquiétés. Ils ont rapidement envoyé deux avertissements à Washington. "

Le Journaliste démêle pour trouver les dirigeants exacts et leurs lien avec le Parti Communiste Chinois (mais il ne peut en être autrement évidemment), puis il cerne les liens avec les laboratoires pharmaceutiques dont le producteur du Remdesivir,  un autre est également Président de la Croix Rouge Chinoise, mais plus inquiétant on y retrouve les théoriciens de la « guerre sans restriction » ; concept qui permet d’utiliser tous les moyens pour déstabiliser un adversaire cela rappelle sans nul doute la guerre à outrance au final.

Ensuite quelques experts prennent la parole pour démontrer le rôle du gouvernement Chinois dans cette affaire.

 

Il se pose donc en effet la question de la diffusion de l’information, car il semble que le Parti communiste Chinois puisse interférer sur les organismes mondiaux tel  que l’OMS  ainsi  que sur des Institutions d’importances internationales comme la banque Mondiale.

Nous ne serons pas plus surpris que les financeurs de tel ou tel média puissent dissimuler suivant leur pouvoir telle ou telle informations.

Nous avons pu observer non sans recul cette vérité qui éclate de jour en jour devant nos yeux, car ce qui était vrai hier, ne l’est plus le lendemain, parce que les médias alternatifs s’en  emparent et que le public d’une manière générale vient a bouder l’information officielle.

Merci de votre lecture

Cordialement

 

Je rajoute pour les sceptiques  cet extrait du Washington Post par Josh Rogin :

’hypothèse d’un accident de laboratoire comme source de la pandémie de nouveau coronavirus avait déjà été évoquée par Richard Ebright, professeur au Waksman Institute of Microbiology de la Rutgers University et expert en biosécurité, dans un article publié fin mars sur le site Bulletin of the Atomic Scinetists.

L’expert américain expliquait alors qu’à l’exception du SRAS-CoV et du MERS-CoV, deux virus mortels responsables d’épidémies dans le passé, les coronavirus ont été étudiés dans des laboratoires opérant à un niveau de biosécurité modéré connu sous le nom de BSL-2. M. Ebright affirmait également que les coronavirus des chauves-souris ont été étudiés dans de tels laboratoires à Wuhan et ses environs. ‘En conséquence, les coronavirus des chauves-souris à Wuhan [Centre de contrôle des maladies] et à l’Institut de virologie de Wuhan ont été régulièrement collectés et étudiés au niveau BSL-2, qui ne fournit qu’une protection minimale contre les infections aux personnel de laboratoire’, précisait-il.

Richard Ebright estimait qu’un niveau de sécurité plus élevé seraient plus appropriés pour un virus présentant les caractéristiques du nouveau coronavirus. ‘La collecte, la culture, l’isolement ou l’infection d’animaux au niveau BSL-2 pour un virus ayant les caractéristiques de transmission de celui de l’épidémie poserait un risque substantiel d’infection d’un travailleur de laboratoire, et de ce dernier vers la population’, mettait-il en garde."

 

Donc cela corrobore le fait des recherches de la Scientifique Shi Zhengli, on ne peut également contredire les dépôts de recherches de celle ci dans la revue Nature. Ce que l'on peut observer ç'est que la communauté scientifique connait les risques tel Wain Hobson de l'Institut Pasteur le 12 novembre 2015 dans le revue Nature alerte du danger de ces recherches. L'administration Obama est au courant également du danger de ces recherches puisqu'elle délègues ses diplomates et experts au laboratoire de Wuhan, de leur côté les renseignements Français sont aussi alertés de la situation : Alors comment se fait il que les politiques ne le soient pas, sauf évidemment Agnès Buzyn qui prévient la Présidence début 2020. Alors la réponse du "Nous n'avons pas pris la mesure...." ne tiens pas.

Traduction de l'introduction du dépôt de recherches sur un virus de laboratoire Chimère crée à partir d'un virus naturel de chauve souris dites fer à cheval du 9 novembre 2015 par le Dr Shi Zhengli du laboratoire P4 de Wuhan.

"L'émergence du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV) et du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) -CoV souligne la menace d'événements de transmission inter-espèces conduisant à des épidémies chez l'homme. Ici, nous examinons le potentiel de maladie d'un virus de type SRAS, SHC014-CoV, qui circule actuellement dans les populations de chauves-souris chinoises en fer à cheval1. En utilisant le système de génétique inverse SARS-CoV2, nous avons généré et caractérisé un virus chimérique exprimant le pic du coronavirus de chauve-souris SHC014 dans un squelette SARS-CoV adapté à la souris. Les résultats indiquent que les virus du groupe 2b codant pour la pointe SHC014 dans un squelette de type sauvage peuvent utiliser efficacement plusieurs orthologues de l'enzyme de conversion de l'angiotensine humaine II (ACE2), se répliquer efficacement dans les cellules des voies respiratoires humaines primaires et atteindre des titres in vitro équivalents à une épidémie souches de SARS-CoV. De plus, des expériences in vivo démontrent la réplication du virus chimérique dans le poumon de souris avec une pathogenèse notable. L'évaluation des modalités immunothérapeutiques et prophylactiques basées sur le SRAS a révélé une faible efficacité; les approches à base d'anticorps monoclonaux et de vaccins n'ont pas réussi à neutraliser et à protéger contre l'infection par les CoV en utilisant la nouvelle protéine de pointe. Sur la base de ces résultats, nous avons dérivé synthétiquement un virus recombinant infectieux SHC014 de pleine longueur et démontrons une réplication virale robuste à la fois in vitro et in vivo. Nos travaux suggèrent un risque potentiel de réémergence du SRAS-CoV à partir de virus circulant actuellement dans les populations de chauves-souris."

 
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