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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 17:04
Macron annonce à demi-mot la possible annulation de l’élection présidentielle roumaine si

@georgesimion
gagne dimanche ! (cf vidéo )

« Nous voyons à travers nos élections, la #Roumanie le vit en ce moment, des menaces qui sapent l’intégrité de nos démocraties, et nous subissons des manipulations lors des périodes électorales, des ingérences informationnelles étrangères ! »

 Vont-ils déclencher le « Bouclier Démocratique Européen » de l’UE en Roumanie dimanche soir, ou la semaine prochaine pour annuler tout ça ?!
Ou vont-ils frauder avant ?

Ça sent la grosse menace !
Courage au peuple roumain souverain !

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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 16:46
Merck a truqué les essais du vaccin Gardasil pour dissimuler les dommages, révèlent des documents judiciaires
Vérifié par la communauté The People's Voice
Merck Gardisil

Merck a truqué les essais du Gardasil afin de dissimuler les dangers , selon une nouvelle preuve non scellée soumise à un tribunal américain .

 

Le rapport d'expert du médecin danois et méthodologiste de recherche de renommée mondiale, le Dr Peter C. Gøtzsche, révèle que Merck a intentionnellement déformé le profil de sécurité de son vaccin contre le VPH Gardasil.

Gøtzsche affirme que Merck a déformé les données des essais cliniques, rendant les résultats scientifiquement dénués de sens, et a manipulé l'enregistrement et la déclaration des événements indésirables pour minimiser l'apparence de préjudice.

 

Maryanne Demasi rapporte : Dans ce qui pourrait devenir l'un des procès pharmaceutiques les plus explosifs de l'histoire des États-Unis,  Robi contre Merck & Co , centré sur le vaccin Gardasil contre le VPH, devrait reprendre à Los Angeles en septembre 2025.

 

Au cœur de l’affaire se trouvent les allégations selon lesquelles Merck aurait déformé le profil de sécurité du Gardasil – allégations désormais étayées par des preuves solides.

Un rapport d'expert récemment rendu public, rédigé par le médecin danois et méthodologiste de recherche de renommée mondiale Peter C. Gøtzsche, soumis dans le cadre de la requête préliminaire, étaye les allégations contre Merck.

 

Son analyse médico-légale de 350 pages, désormais intégrée au dossier judiciaire officiel, met à nu un récit effrayant de truquage d’essais cliniques, d’échec réglementaire et de tromperie mondiale.

Selon Gøtzsche, Merck a déformé les données de ses essais cliniques de manière si approfondie que les résultats ont été rendus scientifiquement dénués de sens.

L’évaluation de Gøtzsche est claire et sans équivoque.

« Les essais sponsorisés par Merck ne peuvent pas être utilisés pour évaluer correctement les dangers des vaccins », écrit-il, ajoutant que la société « a gaspillé l’occasion d’étudier légitimement la sécurité du Gardasil ».

Après avoir examiné 112 000 pages de documents réglementaires, Gøtzsche a conclu que Merck avait manipulé ses données à un tel point qu'il serait « difficile, voire impossible » pour tout scientifique indépendant – ou même pour les régulateurs gouvernementaux – d'évaluer avec précision les dangers du vaccin.

Cela soulève désormais la question fondamentale : des millions d’adolescents ont-ils été induits en erreur en consentant à un vaccin dont les véritables risques de sécurité ont été délibérément occultés ?

Des procès conçus pour tromper

Dès le départ, Gøtzsche soutient que Merck a conçu ses essais cliniques non pas pour détecter les effets nocifs, mais pour les masquer.

Plutôt que d’utiliser un placebo inerte – comme une solution saline, la référence en matière de recherche clinique – Merck a utilisé un adjuvant à base d’aluminium comme contrôle dans tous les essais, sauf deux de petite taille.

Les adjuvants à base d’aluminium sont des neurotoxines connues qui déclenchent des réponses immunitaires et peuvent provoquer à elles seules des effets secondaires locaux et systémiques.

« Il est indéfendable que Merck ait évité de comparer son vaccin avec un placebo », écrit Gøtzsche.

Cette tactique avait un objectif clair : minimiser l’apparition d’effets indésirables en s’assurant que le groupe « témoin » subirait des effets secondaires similaires à ceux du groupe vacciné, faisant paraître le vaccin plus sûr en comparaison.

Même l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti que l’utilisation d’un comparateur actif comme un adjuvant au lieu d’un véritable placebo « rend difficile l’évaluation des effets nocifs d’un vaccin ».

C'est seulement sous la pression des régulateurs que Merck a mené deux petits essais utilisant un placebo salin.

Sanofi et Bristol Myers Squibb acceptent de verser 700 millions de dollars à Hawaï pour mettre fin à des poursuites contre le Plavix
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Publié le 12 mai 2025 - 10:32
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Plavix
DR
 

Le feuilleton Plavix prend fin aux États-Unis. Vendredi, les laboratoires américain, Bristol Myers Squibb (BMS) et français, Sanofi, ont conclu un accord avec l’État de Hawaï pour éviter un procès en appel lié à leur médicament Plavix. Après plus d’une décennie de procès et de condamnations, les deux sociétés ont accepté de payer 700 millions de dollars pour clore le litige.

Le Plavix, dont le principe actif est le clopidogrel, est un médicament anticoagulant largement prescrit pour prévenir la formation de caillots sanguins, notamment afin de réduire les risques d’accidents vasculaires cérébraux et d’infarctus. Développé conjointement par le laboratoire américain Bristol Myers Squibb (BMS) et la firme française Sanofi, il agit en empêchant les plaquettes sanguines de s’agglutiner. Cependant, son efficacité dépend d’une activation enzymatique qui varie selon le profil génétique des patients.

Depuis plus de dix ans, BMS et Sanofi sont confrontés à des poursuites judiciaires initiées par l’État d’Hawaï, qui leur reproche de ne pas avoir suffisamment informé les médecins et les patients sur les limites d’efficacité du Plavix chez une partie de la population. Environ 30 % des patients, principalement d’origine asiatique ou des îles du Pacifique, des groupes ethniques fortement représentés à Hawaï, présentent en effet des variations génétiques qui limitent l’activation du médicament dans l’organisme, réduisant ainsi son effet protecteur contre les accidents cardiovasculaires. 

“Une victoire majeure”, se félicite Hawaï

Les autorités hawaïennes accusaient les laboratoires d’avoir minimisé ou retardé la diffusion de ces informations cruciales, alors que des études scientifiques en avaient déjà fait état.

Ce contentieux a donné lieu à plusieurs procès. Un premier jugement avait condamné les deux groupes à verser 834 millions de dollars à l’État d’Hawaï, mais cette décision a été partiellement annulée en appel, entraînant un nouveau procès. En mai 2024, la justice hawaïenne a durci la sanction, condamnant BMS et Sanofi à 916 millions de dollars, estimant qu’ils avaient “volontairement ralenti et amoindri les recherches sur le Plavix durant plus d’une décennie” et qu’ils n’avaient pas mis à jour les informations destinées aux prescripteurs locaux. 

Les deux laboratoires ont contesté cette décision, affirmant que la majorité des preuves scientifiques démontraient que le Plavix restait un traitement sûr et efficace, indépendamment de l’origine ethnique ou de la génétique du patient.

Vendredi, ce contentieux a pris fin. Bristol Myers Squibb ainsi que trois filiales de Sanofi aux États-Unis ont accepté de verser 700 millions de dollars à Hawaï, a annoncé l’État américain. 

Selon cet accord, le montant sera pris en charge à part égales par BMS et Sanofi. “Peu importe qu’il s’agisse d’une petite entreprise ou d’une compagnie pétrolière multimilliardaire, nous appliquerons sans relâche les lois hawaïennes sur la protection des consommateurs”, a déclaré la procureure générale de l’État, Anne Lopez, dans un communiqué de l’État. Le gouverneur, Josh Green, a salué une “victoire majeure”. “Les fonds seront versés par virement bancaire au plus tard le 9 juin 2025”, explique-t-on encore. 

Un revers judiciaire de plus pour Sanofi

Malgré leurs arguments pendant ces douze années de litige, les deux laboratoires décident ainsi de tourner la page d’une affaire susceptible de susciter des incertitudes sur leurs résultats et nuisible à leur image et leur réputation, déjà entachées par des revers judiciaires récents. 

En 2013, l’Autorité de la concurrence avait sanctionné Sanofi pour abus de position dominante à hauteur de 40,6 millions d’euros. Le laboratoire a été accusé d’avoir mis en place une stratégie de dénigrement à l’encontre des génériques de Plavix.

En septembre dernier, le laboratoire français était condamné dans une autre affaire similaire, qui a également duré une douzaine d'années. Il était question de l’antiépileptique Dépakine, pour lequel Sanofi a fait preuve de “défaut d’information” entourant les risques de la prise du médicament, aujourd’hui jugé “défectueux”. 

Commercialisé depuis 1967, le Dépakine a été responsable de nombreuses lourdes pathologies chez des milliers d’enfants suite à la prise du médicament par les mères au moment de la grossesse. L’Assurance-maladie et l’Agence nationale de sécurité du médicament ont estimé le principe actif du médicament responsable de malformations chez 2 150 à 4 100 enfants, tandis que les troubles neurodéveloppementaux se retrouveraient chez 16 600 à 30 400 enfants. 

Selon le jugement, Sanofi est “responsable d’un défaut d’information des risques malformatifs et neurodéveloppementaux de la Dépakine, qu’elle commercialisait, du maintien en circulation d’un produit qu’elle savait défectueux, et d’une faute de vigilance au moment des grossesses de Mme Marine Martin (la plaignante à l’origine de l’affaire, NDLR), entre 1998 et 2002”.

 

 

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Levothyrox : Merck et l'ANSM mis en examen pour tromperie aggravée
Auteur(s)
Publié le 12 mai 2025 - 20:15
Image
Le Levothyrox, fabriqué par Merck, dans une pharmacie de Saint-Gaudens le 4 décembre 2017
© REMY GABALDA / AFP/Archives
 

Mercredi 7 mai, la cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé la mise en examen des laboratoires Merck et de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour tromperie aggravée. En 2017, une nouvelle formule du Levothyrox, prescrite à trois millions de Français, aurait provoqué d’importants effets secondaires chez des milliers de patients. 

Une étape décisive pour le combat judiciaire mené depuis sept ans par des associations de malades. En 2017, Merck modifie la composition du Levothyrox, sur demande de l’ANSM, en remplaçant les excipients de l’ancienne version. Résultat : une avalanche de plaintes de patients évoquant maux de tête, pertes de cheveux, vertiges ou insomnies. Une tempête d’autant plus mal gérée qu’aucune information claire n’a été donnée au moment de cette substitution. Comme un air de déjà-vu.

« Ce que j’ai vécu, c’est comme un empoisonnement », résume Sylvie Chéreau à France Info. Peau sèche, crampes, incapacité à vivre normalement… jusqu’à ce qu’elle revienne à l’ancienne formule.

La confirmation de la mise en examen, rendue publique par France Télévisions, représente une victoire symbolique pour les victimes, mais aussi un avertissement à l’industrie pharmaceutique. L’AFMT, l’Association française des malades de la thyroïde, qui s’était constituée partie civile dès 2018, salue « la reconnaissance d’indices graves ou concordants » qui accréditent la thèse d’une tromperie aggravée. L’entreprise allemande, elle, continue de nier toute faute : « Ni la qualité du médicament, ni les informations données aux patients ne permettent de mettre en cause Merck », insiste son avocat, Mario Stasi.

Au-delà du seul débat juridique, cette affaire (parmi tant d'autres) soulève une nouvelle fois la question épineuse de la confiance qu'on veut bien accorder aux institutions censées protéger la santé publique. Alors que Merck s’apprête à se pourvoir en cassation, l’ANSM, censée superviser et informer, est elle-même sur le banc des accusés. Et pendant que l’enquête pénale suit son cours, pendant que les victimes espèrent justice, tant d'autres scandales sanitaires attendent d'être révélés officiellement...

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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 16:22
Souvenez vous du mouvement immédiat de bouclier aux Antilles lors des mesures de vaccination Covid et pour cause, il y avait eut un précédent, le scandale sanitaire du Chloredécone (pesticide ultra-toxique qui a contaminé toute la faune et la flore des Antilles), l'affaire courre encore, malgré les années. Ceci pour des intérêts particuliers, des petits arrangements et plusieurs milliers de victimes, à votre avis leur feriez vous encore confiance aux autorités après ça.
Henry

 

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Chlordécone, comme une peau de banane pour l'État, qui se pourvoit devant le Conseil d'État contre sa condamnation
Auteur(s)
France-Soir avec AFP
Publié le 18 mai 2025 - 09:40
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Bananes des Antilles
Pixabay
 

L'État a formé un pourvoi contre la décision de la cour administrative d'appel de Paris qui avait reconnu sa responsabilité dans le scandale du chlordécone aux Antilles, un recours qui n'ulcère pas que les élus de Guadeloupe et de Martinique.

Un recours a été déposé devant le Conseil d'État, a confirmé une source proche du dossier vendredi à l'AFP.

La cour administrative d'appel, saisie par près de 1.300 plaignants, avait dans un arrêt rendu le 11 mars jugé que l'État avait "commis des fautes en accordant des autorisations de vente d'insecticides à base de chlordécone" et devait par conséquent indemniser les victimes démontrant un préjudice d'anxiété avéré.

Elle était allée plus loin que le tribunal administratif de Paris qui avait reconnu en 2022 les "négligences fautives" des autorités, mais rejeté les demandes d'indemnisation pour préjudice d'anxiété, faute d'éléments suffisamment circonstanciés à ses yeux.

La cour administrative d'appel, a elle estimé que "pour une dizaine de personnes" l'ayant saisie, les éléments apportés (analyses sanguines et études environnementales) permettaient d'établir une "exposition effective à la pollution des sols, des eaux ou de la chaîne alimentaire" et un risque élevé de développer une pathologie grave.

"Le recours de l'État est un refus d'assumer sa responsabilité, un déni de la réalité", ont écrit dans un communiqué commun les députés de Guadeloupe et de Martinique, qui "s'indignent" de ce "manque total de considération" pour la santé des citoyens ultramarins.

"En contestant cette décision de justice qui constituait, pour la première fois en France, une source d'espoir pour les plaignants et plus largement pour les peuples victimes de cette pollution (au chlordécone, NDLR), l'État persiste dans son aveuglement, dans son irresponsabilité et commet là une faute morale et humaine majeure d'une injustice flagrante", a également réagi le sénateur PS de Guadeloupe Victorin Lurel.

"Ce pourvoi est une claque portée à la dignité des Guadeloupéens et des Martiniquais. Une gifle infligée à la mémoire des victimes présentes et futures", s'est aussi ému le sénateur (RDPI) guadeloupéen Dominique Théophile.

Le chlordécone, pesticide répandu dans les bananeraies, est responsable d'une pollution massive et persistante des sols et de l'eau aux Antilles françaises.

Il avait été autorisé en France jusqu'en 1990 et bénéficié d'une dérogation jusqu'en 1993 aux Antilles, malgré les alertes de l'Organisation Mondiale de la Santé qui l'avait classé dès 1979 comme "cancérogène possible".

Plus de 90 % de la population adulte en Guadeloupe et Martinique est contaminée par le chlordécone, selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), qui a conclu en juillet 2021 à une relation causale probable entre chlordécone et risque de cancer de la prostate.

Non seulement l'État ne veut pas prendre ses responsabilités, mais une fois de plus, il est à remarquer que les intérêts financiers et de production priment sur la santé des citoyens. C'est sans rappeler la guerre depuis des années contre le glyphosate de Bayer et les néonicotinoïdes qui nuisent tant à l'homme pour l'un qu'aux abeilles pour l'autre.

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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 15:50

L’ordre mondial vacille : vers un nouveau paradigme

L’ancien monde s’effondre. L’ordre unipolaire, dominé par le couple américano-européen et les élites globalistes, touche à sa fin. Ce système, installé après la chute de l’Union soviétique, avait imposé une hégémonie libérale et technocratique sur l’ensemble du globe. Mais les fondations craquent. Les peuples se réveillent, les civilisations se redressent, et un nouvel équilibre des puissances s’impose, plus organique, plus enraciné, plus conflictuel.

Dans ce contexte de transition chaotique, les citoyens avertis cherchent des outils concrets pour se détacher des structures de contrôle, notamment numériques. Ce guide anti-CBDC s’impose comme un rempart essentiel. Parallèlement, pour rester informé au-delà de la propagande, cette lettre confidentielle hebdomadaire propose une lecture claire de cette bascule historique.

Une Europe sidérée, soumise, désarmée

Dans ce basculement, l’Europe reste figée, satellite d’une idéologie à l’agonie. Elle pourrait pourtant devenir un pôle à part entière, renouer avec sa souveraineté, restaurer son identité civilisationnelle. Encore faut-il rompre avec l’influence des élites atlantistes, comprendre le rôle structurant de la Russie, le réveil des nations asiatiques et l’autonomie croissante du monde islamique et africain. L’histoire impose ses lois : seules les civilisations debout survivront à la recomposition géopolitique en cours.

Ce diagnostic rejoint les analyses stratégiques de plus en plus populaires, y compris celles qui mettent en garde contre la programmation d’un contrôle numérique total par les monnaies digitales. Une solution existe pour contrer cette offensive technocratique. De plus, des experts indépendants dévoilent chaque semaine les coulisses géopolitiques dans cette lettre confidentielle exclusive.

Le sacrifice comme fondement caché de la modernité

La figure du père s’effondre, et avec elle disparaît l’ordre, la limite, la transmission. Dans ce vide laissé par le sacré, le monde contemporain glisse vers un retour archaïque : celui du sacrifice humain. Loin d’avoir disparu, le rite sacrificiel se dissimule désormais derrière le masque de la victime. L’idéologie moderne sanctifie cette victime pour mieux perpétuer la violence, non plus comme un accident de l’histoire, mais comme une nécessité systémique.

Dans une société qui prétend avoir dépassé le religieux, on sacrifie désormais par des moyens technocratiques, économiques ou biologiques. Les CBDC (monnaies numériques de banque centrale), par exemple, pourraient bientôt devenir l’instrument silencieux de cette nouvelle forme de contrôle sacrificiel. Découvrez comment s’en prémunir ici. Et pour rester informé(e) des coulisses de ce basculement, cette lettre confidentielle vous guide chaque semaine.

Quand la victime devient idole, la violence devient système

René Girard l’a vu avant tout le monde : sans transcendance, le diable prend les traits du sacrifié. Derrière l’apparente compassion se cache une mécanique froide, implacable, industrielle. L’avortement, justifié par l’émancipation, devient un autel sacrificiel permanent. Le monde moderne ne croit plus en Dieu, mais il sacrifie toujours. Simplement, il ne le nomme plus.

La guerre en Ukraine, le transhumanisme ou la bioéthique extrême ne sont que les prolongements de cette logique. Les États ne gouvernent plus, ils administrent des cultes sacrificiels sous couvert de science ou de progrès. Pour s’en extraire, des solutions concrètes existent. Et pour percer l’écran de fumée médiatique, cette lettre d’analyse vous propose une lecture lucide du réel.

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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 15:43

NIcolas Vidal pousse un coup de gueule tout à fait légitime sur l'apathie d'une majorité des Français, il énumère en revue les différentes atteintes aux droits privés et publics, la destruction du système avec le consentement tacite de la majorité de la population.

Henry

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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 15:27

Juan Branco a été transféré aux urgences suite à une tentative d'empoisonnement ; on connait Juan Branco qui a été l'avocat de nombreux opposants au régime Macron, il avait déjà reçu des menaces, il est parti s'installer en Afrique noire et désirait se présenter aux prochaines élections Présidentielles de 2027.

Dans la vidéo Mike Borowsky évoque l'opposition parlementaire quasi nulle et parle d'opposition contrôlée, ce que je pense également.

Les opposants ; les véritables et les plus en vues sont sujets a des arrestations, des placements en psychiatrie, des procès (Natacha Rey, Amandine Roy pour la révélation de l'affaire Brigitte), ou de tentatives d'intimidations (Pierre Jovanovic avec descente du GIPN à son domicile et à sa maison d'édition), et cette semaine la mort du général Delawarde (peut être naturelle) disons que ça fait un faisceaux d'indices du plus mauvais effet sur la direction effective de notre pseudo démocratie.

Henry

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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 15:23
Jean-Claude Bourret : escroquerie climatique
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15 mai 2025 4 15 /05 /mai /2025 10:52
Virginie De Araujo Recchia, avocate au barreau de Paris, accuse….. Appel à l'Armée !
 
 
 

CARTEL COLOMBO-EUROPÉEN ou CARTEL EUROPEO-COLOMBIN !

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15 mai 2025 4 15 /05 /mai /2025 10:47

GÉOPOLITIQUE PROFONDE 324 k abonnés

Diffusé en direct il y a 15 heures #brigitte#gptv#justice Une journaliste en fin de vie, un procès expéditif, et un système judiciaire accusé de déshumanisation. Natacha Rey, à l’origine de l’enquête controversée sur l’identité de Brigitte Macron, est aujourd’hui incapable de parler, condamnée par la médecine, mais convoquée une nouvelle fois devant les juges. L’audience du 14 mai soulève une vague d’indignation, tant pour son caractère inéquitable que pour le refus répété de la justice de prendre en compte son état de santé. Pour son avocat, il ne s’agit plus d’un procès, mais d’un acharnement.

Cette affaire française a franchi les frontières, reprise par des influenceurs et médias internationaux qui s’interrogent sur le silence assourdissant des grands médias français. En France, l’omerta médiatique contraste violemment avec l’ampleur du débat mondial, nourrissant les soupçons autour d’un possible scandale d’État.

Loin de se limiter à une querelle judiciaire, ce procès interroge le respect des droits humains, le rôle des médias et les limites qu’impose le pouvoir à l’investigation. Pourquoi une enquête dérange-t-elle autant ? Jusqu’où ira la machine judiciaire contre une femme mourante ?

Une vérité dérangeante semble vouloir être étouffée à tout prix… Alexandra Brazzainville, Maître Danglehant, Stéphanie Reynaud et Mike Borowski vous attendent nombreux en direct sur Géopolitique Profonde.

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15 mai 2025 4 15 /05 /mai /2025 10:43

Note de la rédaction de Profession-Gendarme à l’intention de la Doxa :

Beaucoup de nos lecteurs dans leurs commentaires pensent que la mort du Général Delawarde n’est pas naturelle. Si tel était le cas vous avez transformé un Héros en Martyr et en sa mémoire tous les Réseaux de Résistance ne vont pas manquer de révéler tous les crimes sordides dont vous êtes responsables

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