« La chimère qui a changé le monde : covid-19 vient de Wuhan » par Joseph Tritto
Le dernier livre du Pr. Joseph Tritto vient de mettre un nouveau pavé dans la mare de la bonne conscience et de la consensualtité du mensonge d'intérêts.
tiré de l'article de France Soir du 13 août 2020 joint à la suite :
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Dans quel but ce virus chimique aurait-il été créé ? Comme arme de bioterrorisme ou uniquement pour des études scientifiques ?
JT : Pour donner une réponse, nous devons revenir en 2005. Après l’épidémie de SRAS, l’Institut de virologie de Wuhan a été fondé, dirigé par la professeure Shi Zheng-Li, qui a repéré des coronavirus de certaines espèces de chauves-souris et les a recombinés avec d’autres composants viraux afin de créer des vaccins.
En 2010, elle est entrée en contact avec des chercheurs américains dirigés par le professeur Ralph Baric, qui travaille à son tour sur des virus recombinées basés sur des coronavirus.
Grâce aux virus « mère » fournis par Shi, Baric crée en 2015 une chimère SARS-virus de la souris, qui a un effet pathogène sur les cellules humaines in vitro. À partir de ce moment-là, la Chine et les États-Unis entrent en concurrence. Shi veut travailler sur un virus plus puissant pour fabriquer un vaccin plus performant : elle combine in vitro un virus de chauve-souris avec un virus de pangolin et en 2017 elle publie les résultats de cette recherche dans plusieurs articles scientifiques.
Ses recherches suscitent l’intérêt du secteur militaire et médico-biologique chinois qui s’intéressent aux armes biologiques utilisées comme moyen de dissuasion à des fins défensives et offensives. Ainsi, Shi est soutenue par des médecins et des biologistes du milieu politico-militaire, comme Guo Deyin, spécialiste des vaccins contre le sida et l’hépatite virale et expert en techniques de recombinaison génétique.
L’introduction des nouveaux inserts dans le génome du virus est le résultat de la collaboration entre l’équipe de Shi et celle de Guo Deyin. La réalisation de cette nouvelle chimère, d’un point de vue scientifique, est un succès. A tel point qu’une fois l’épidémie déclenchée, les deux chercheurs ont demandé à l’OMS de l’enregistrer comme un nouveau virus, le H-nCoV-19 (Human new Covid-19), et non comme un autre virus dérivé du SARS. Il est raisonnable de penser que Shi a agi uniquement du point de vue du prestige scientifique, mais sans tenir compte des risques de sécurité et des intérêts politico-militaires que ses recherches auraient suscités ».
Comment, en revanche, le virus a-t-il pu s’échapper du laboratoire ? Par un accident, un vol ou le rejet délibéré dans l’environnement ?
JT : J’exclurais cette dernière hypothèse, qui aurait porté préjudice aux Chinois, tout comme le vol, car les laboratoires de ce type sont très contrôlés. Les fuites accidentelles, causées par une panne de courant, ou la contamination accidentelle du personnel, sont plus probables. Trop de gens se déplaçaient dans le laboratoire de Wuhan : plus il y a d’individus, plus le risque de contamination est grand. En outre, de nombreuses personnes du laboratoire n’avaient pas de formation spécifique pour traiter certains virus de manière coordonnée et minutieuse.
Pourquoi la Chine n’a-t-elle jamais fourni le génome complet du virus à l’OMS ou à d’autres pays ?
JT : Parce que fournir le virus maître aurait signifié reconnaître que le SARS-CoV-2 a été créé en laboratoire. En fait, dans le génome incomplet mis à disposition par la Chine, il manque certains inserts codant pour des acides aminés du SIDA, qui agissent comme une preuve irréfutable. En attendant, des négociations sont en cours entre les services de renseignement de 5 pays (États-Unis, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Japon) et la Chine. Le premier, peut-être, au travers des négociations diplomatiques, serait prêt à négliger les responsabilités chinoises, dont il a la preuve, en échange de la possibilité d’obtenir la matrice du virus pour développer un vaccin universel ».
Aurons-nous un jour un tel vaccin ?
JT : Il est extrêmement improbable de trouver un vaccin unique pour bloquer le virus, étant donné les nombreuses mutations du SARS-CoV-2. À l’heure actuelle, 11 souches différentes ont été identifiées : la lignée génétique A2a développée en Europe et la lignée B1 qui a pris racine en Amérique du Nord sont plus infectieuses que la souche 0 originaire de Wuhan. Je pense donc que nous pourrions tout au plus trouver un vaccin multivalent, valable pour 4-5 souches et capable de couvrir 70-75% de la population mondiale ».
Pour conclure, les travaux des Professeurs Montagnier, Perez et Tritto, la généticienne Alexandra Henrion Claude s’interroge elle aussi sur l’origine du virus, avec peu de relais dans les médias mainstream. Auto-censure, vérité qui dérange, géo-politique, il est évident que ce sujet demande à être approfondi. Au délà des enjeux politico-économiques, établir l'origine certaine du virus permettrait de trouver une solution médicale (vaccinale ou autre) bien plus rapidement.
ANNEXE I Synopsis du livre
Les Editions Cantagalli, Sienne viennent de publier le livre du Pr Tritto « Cina COVID 19. La Chimera che ha cambiato il mondo » « Chine Covid 19. La chimère qui a changé le monde ». 272 pages.
A propos de l’auteur : Le professeur Tritto est docteur en urologie, andrologie, microchirurgie de l'infertilité, et professeur en micro technologie et nanotechnologie au Royaume-Uni et en Inde. Il est professeur invité et directeur de la nano-médecine à l'Université Amity de New Delhi (Inde). Il est président de l'Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales (WABT), une institution non gouvernementale fondée en 1997 sous les auspices de l'UNESCO.
Pour le Pr Tritto, Covid-19 qui infecte et tue à travers le monde, n'est pas un virus naturel. Il affirme qu’il a été créé à Wuhan, dans un laboratoire de biosécurité de niveau 4. Non seulement les scientifiques chinois, mais aussi français et américains ont contribué à la production de cette « chimère ». Le professeur Tritto explique clairement les origines du virus, nées de la tentative chinoise d'étudier des vaccins contre le SRAS, en insérant des génomes du VIH dans des organismes (ce qui les rend plus agressifs), en ajoutant des éléments de coronavirus découverts chez les chauves-souris fer à cheval, selon une méthode appelée système de génétique inverse 2.
Le professeur Shi Zheng Li, chef du laboratoire de Wuhan, est présenté comme la figure de proue de ces expériences de génie génétique, le laboratoire a reçu l'aide du gouvernement français et de l'institut Pasteur, dont les Chinois ont appris à utiliser les génomes du VIH.
Certains scientifiques américains ont également aidé, notamment le professeur Ralph S. Baric, de l'Université de Caroline du Nord, avec des fonds de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). Les scientifiques américains étaient intéressés par l'étude des coronavirus, interdits dans leur pays jusqu'en 2017 en raison de leur dangerosité.
Le laboratoire P4 de WuHan destiné à lutter contre la pathologie se serait progressivement transformé en bureau d’études de bio-ingénierie pour construire des armes biologiques mortelles.
Ce n’est pas un hasard si, au cours des cinq dernières années, le laboratoire de Wuhan a reçu la plus grande partie du financement de la Chine pour la recherche virologique, le transformant en un centre de recherche avancé sous le contrôle direct de l’Académie chinoise des sciences et du gouvernement chinois.
Selon le professeur Tritto, le professeur Shi Zheng-Li « n’avait probablement aucun intérêt à faire du travail pour l'armée ou à d'autres fins, à moins qu'elle ne soit contrainte à le faire.
Le général de division de l'Armée populaire de libération Chen Wei, un expert en armes biochimiques et en bioterrorisme, a été nommé à la tête de l'Institut de virologie de Wuhan, travaillant avec une équipe qui comprend Zhong Nanshan, un pneumologue réputé avec une longue expérience dans les maladies pulmonaires infectieuses.
Depuis que l’Institut de virologie de Wuhan a été placé sous le contrôle de l’armée chinoise, on ne sait plus rien du professeur Shi Zheng-Li, qui semble avoir disparu.
Dans le livre du Pr Tritto, les scientifiques ne sont pas présentés sous leur meilleur jour. Poussés par le désir de savoir, ils deviennent avides de pouvoir, d'ambition, de carrière et d'argent.
Une partie du livre est consacrée à la recherche sur les vaccins, dans laquelle, instituts et laboratoires se font concurrence, non pas pour des raisons médicales et sauver des millions de patients atteints de coronavirus, mais seulement pour être les premiers à vendre des vaccins dans le monde. La Chine est bien placée dans ce domaine.
Selon le professeur Tritto, Pékin n'aurait publié que des données partielles et n'a pas rendu disponible la structure génétique originale du coronavirus (virus mère). Pourquoi ? Car ce n'est qu'avec la structure originale du virus qu'il est possible de produire un vaccin véritablement universel, efficace partout sur terre. Au fil du temps, les virus mutent et un vaccin produit par un virus muté n'est efficace que pendant une certaine période et dans certaines zones.
De nombreux héros sont présentés dans cette pandémie. Outre les médecins et infirmières qui ont donné leur vie pour soigner les patients lorsqu'ils sont arrivés en grand nombre aux urgences, il faut citer les premiers médecins qui ont signalé l'épidémie à Wuhan, qui ont été contraints au silence par la police, menacés de renvoi. Le Dr Ai Fen, qui a signalé une « étrange grippe » dès novembre et a été muselé par les autorités hospitalières. Le Dr Li Wenliang, un ophtalmologiste qui a été contraint de se taire puis est décédé de la Cociv-19, infecté par l'un de ses patients. On ne sait actuellement rien du Dr Ai Fen, qui est porté disparu.
Le livre du professeur Tritto s’intéresse également à l’Organisation mondiale de la santé, qui est devenue, selon beaucoup, une « marionnette » entre les mains de la Chine, complice de son silence sur l’épidémie.
Le livre n'est pas seulement tourné vers le passé. Le professeur Tritto souhaite voir des règles mondiales adoptées pour la recherche sur les chimères, les laboratoires de biosécurité de niveau 4 et la coopération entre les laboratoires militaires et civils. La Chine et d'autres pays devraient également être contraints de signer la Convention sur les armes biologiques et à toxines (BTWC)"