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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:39
C'est tout bonnement visionnaire ! Mais on ne pouvait s'attendre à moins  pour résumer l'état d'une France sous protectorat Américain à cause à l'abandon de sa souveraineté par les élites !
Henry

 

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Debré et le Général face au Kali-Yuga français
 

 

Philippe Grasset nous avait fait découvrir ce livre incroyable : entretiens avec le général (Albin Michel).

Résumons la chute de la France sous la présidence de de Gaulle : pour un Québec libre d’ailleurs peu suivi d’effet, il a fallu se payer l’industrialisation, «la France défigurée», l’immigration, mai 68, le noyautage culturel marxiste (cf. les réflexions de Zemmour sur le rôle sinistre de Malraux), le pays de Cocagne de Pierre Etaix et le Play-Time de Tati, sans oublier l’Alphaville de Godard.

On y créa le  consommateur vacancier hébété, qui a rompu avec tous les modèles antérieurs et était prêt pour la goberge télé et bagnole. J’ai écrit et publié un livre sur ce thème : la disparition de la France au cinéma. Car de Farrebique ou de Jean Devaivre (découvrez par exemple l’admirable Alerte au Sud sur notre chevalerie coloniale, notre épopée saharienne) aux Valseuses ou à Mortelle randonnée, on s’était bien effondré – et bien avant Macron ou Mitterrand.

 

Rien ne résume mieux la situation que Jean Gabin ne retrouvant ni sa maison ni sa rue à Sarcelles, au début de Mélodie en sous-sol.

Le vénérable et pathétique Michel Debré (1% à la présidentielle de 1981…) est lui-même encore plus traumatisé par ce que va devenir la France : marxisation culturelle via Malraux (voir son livre p. 145), inflation et taux d’intérêt… à 15% (livre p. 151), déclin moral et spirituel (et même militaire : car on n’a plus d’empire comme me le rappela mon ami historien de Sparte Nicolas Richer), effondrement du christianisme, Debré et de Gaulle sont conscients de tout. L’Histoire de France est EN FAIT terminée. On vivote dans une Europe mondialisée...

Dans ses Entretiens avec le général, Debré écrit donc (p. 57-58) :

« J’évoque ces forces violentes qui désirent tant l’intégration de la France dans l’Europe, c’est-à-dire en fin de compte la fin de la France, et je crains aussi que les divisions de l’Occident et l’incapacité américaine ne conduisent notre civilisation au déclin décisif. Je parle d’abord des forces qui poussent à l’intégration européenne: tous ceux qui Sont hostiles à l’Etat, tous ceux qui ne comprennent pas la nécessité d’une pensée et d’une action indépendantes, se précipitent vers la supranationalité parce qu’ils savent, au fond d’eux-mêmes, que la supranationalité, c’est le protectorat américain. »

On a parfaitement compris pourquoi Asselineau et Philippot qui sautent comme des cabris au nom du Général font 1% des voix. La masse veut la supranationalité et sans rire le protectorat américain avec ses armes qui ont cinquante ans de retard. Le souverainisme ne l’effleure même plus ; comme dit le Général à Debré il y a soixante ans déjà : il n’y a que vous et moi qui pensons à l’Indépendance de la France.

Dans le livre de Debré le Général paraît souvent triste, distrait, rêveur et impuissant (idem pour son fils avec qui j’avais l’honneur récurrent de discuter aux jardins du Ranelagh si chers à mon ami gnostique-gaulliste Jean Parvulesco) ; il est en position non de gourou mais de disciple dénué de maître. Car comprendre ce que la France devient à cette époque, il faut l’oser en effet, pas vrai ?

« Le général de Gaulle m’interrompt pour me demander si je crois possible de résister à ces forces. « Il n’y a que vous et moi qui pensons à l’Indépendance de la France.» Je lui réponds que nous devons être, en réalité, plus que deux et j’ajoute qu’il y aura tellement de déceptions à la suite de cette politique d’intégration qu’il ne faut pas douter d’être dans la vérité en expliquant qu’il faut faire l’Europe par l’association des Etats et non par la disparition des nations, à commencer par la disparition de la France. »

Malheureusement les réponses sont et seront matérielles et matérialistes (Pompidou-Giscard…) :

« Que faire pour encourager ce mouvement ?» me dit-il. Je lui expose que les chemins sont clairs pour maintenir aux Français et à la France la volonté de demeurer une nation. Il faut poursuivre notre effort de modernisation industrielle. Il faut poursuivre notre volonté d’être une puissance militaire atomique et il faut aussi ne pas chercher à nous dégager de nos responsabilités africaines. Je lui expose que ses réticences à l’égard des réunions des chefs d’Etat africains d’expression française, réunions qui pourraient avoir lieu autour de lui, aboutissent à couper des liens qui pourraient être renforcés. »

De Gaulle échoue – mais il en ressort qu’on ne pouvait qu’échouer. Sur le referendum – sa porte de sortie comme on sait – nous sommes clairement informés (citation déjà reprise par PhG) :

«J’expose au Général que le but de ma visite est de préciser les conditions qui peuvent permettre le succès, du référendum. Interruption du Général : « Je ne souhaite pas que le référendum réussisse. La France et le monde sont dans une situation où il n’y a plus rien à faire et en face des appétits, des aspirations, en face du fait que toutes les sociétés se contestent elles-mêmes, rien ne peut être fait, pas plus qu’on ne pouvait faire quelque chose contre la rupture du barrage de Fréjus. Il n’y aura bientôt plus de gouvernement anglais; le gouvernement allemand est impuissant ; le gouvernement italien sera difficile à faire; même le président des Etats-Unis ne sera bientôt plus qu’un personnage pour la parade.

 

Le monde entier est comme un fleuve qui ne veut pas rencontrer d’obstacle ni même se tenir entre des môles. Je n’ai plus rien à faire là-dedans, donc il faut que je m’en aille et, pour m’en aller, je n’ai pas d’autre formule que de faire le peuple français juge lui-même de son destin (p.112). »

On répète parce que c’est merveilleux :

« Je n’ai plus rien à faire là-dedans, donc il faut que je m’en aille et, pour m’en aller, je n’ai pas d’autre formule que de faire le peuple français juge lui-même de son destin. »

Vive Pompidou, Beaubourg, Michel Sardou, la loi Veil et Emmanuelle…

C’est qu’il n’y a plus de religion :

« Le Général redit son analyse. Ce qui paraît le frapper le plus c’est le fait que les sociétés elles-mêmes se contestent et qu’elles n’acceptent plus de règles, qu’il s’agisse de l’Eglise, de l’Université, et qu’il subsiste uniquement le monde des affaires, dans la mesure où le monde des affaires permet de gagner de l’argent et d’avoir des revenus. Mais sinon il n’y a plus rien (p. 122). »

C’est le Kali Yuga, donc on ne peut rien faire – à part se remplir les poches, en bon vaisya. On peut se demander quand même pourquoi la masse des couillons ne réagit plus. C’est ce que fait le Général :

«Le Général m’interrompt pour me dire, à la suite des exemples que je lui donne : « Comment se fait-il que les chefs d’établissement ou les recteurs n’interviennent pas? » Je rappelle au Général ce que je disais tout à l’heure. L’autorité n’existe plus de par la volonté délibérée du ministère de l’Education nationale et j’ajoute en outre que, pour ce qui concerne les activités socio-éducatives. Les chefs d’établissement ont des instructions formelles de ne point intervenir. Je regrette d’autant plus cette abdication et cette complicité que l’on sent les prodromes d’une réaction. Le corps enseignant, même dans ses éléments gauchisants, ne comprend plus cette anarchie et s’émeut de ses conséquences. »

Puis Charles de Gaulle, héritier perdu d’une France militaire et chrétienne, comprend ensuite que la famille disparaît à cette époque, qu’elle n’est plus la structure unifiant la société chrétienne – puisqu’il n’y a plus de société chrétienne :

« Le Général me dit : « Comment se fait-il que les familles ne réagissent pas ?
- La vie familiale aujourd’hui n’est plus celle d’hier. L’évolution fait que l’État, le corps enseignant ont pris une responsabilité de plus en plus grande à l’égard des enfants. C’est là une situation à laquelle les familles se sont peut-être trop facilement habituées. Au surplus les réactions des parents se dispersent dans toute une série de directions : le programme, les examens, le comportement des professeurs, et, de ce fait, quand elles s’orientent contre certaines dégradations de l’enseignement, n’ont pas la même force (p. 174). »

La famille, seul Etat qui crée et aime ses citoyens (Chesterton), va disparaître. C’est là que je cesse toute critique à son encontre (ce qui m’énerve c’est son culte et cette nostalgie d’une époque déjà dégénérée). Il fallait passer sur ordre le témoin aux Giscard et aux soixante-huitards car la France progressiste et mondialiste voulait son Kali-Yuga.

Assez logiquement du reste elle demande un coup de grâce ou de race à la Russie qui symbolise encore cette malédiction historique ou impériale.

Source

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:29

Ca va très très mal, la France est dans une posture économique très mauvaise, cependant elle trouve des acheteurs de sa dette. Mais cela ne suffira pas, les niveaux de déficits sont tellement gigantesques qu'il va falloir puiser dans les épargnes Européennes, aussi le prétexte de guerre et d'économie de guerre est un moyen de dissimuler la déconfiture des finances publiques organisées par les branquignols qui nous gouvernent

Bruno Le Maire n'a jamais été économiste, ni financier, et pourtant on l'a encensé comme le Mozart de l'économie. Quand on voit la situation on peut se poser des questions. Les mandats Macron auront été les pires de la cinquième République au niveau économique, mais aussi au niveau social.

Ces gens là sont dangereux ! puisque pour dissimuler leurs bêtises ils n'hésiteront pas à nous porter vers la guerre.

Henry

 

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Philippe Béchade: « L’économie de guerre » correspond à une norme assez précise : 10 à 15% du PIB du pays (contre 2 à 2,5% actuellement en Europe). Vous comprenez mieux la tentative de captation par Le maire de 10.000MdsE « d’épargne qui dort » ? Suffit de relier les points : tout est sous nos yeux!

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:20

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:20
3è guerre mondiale : le plan fou de Macron et l’OTAN dévoilé ! L'Arméee dit NON !
Il faut écouter le vent des opinions de toutes parts ! Il semble bien que seule l'élite est affairée  à la guerre !

 

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Guerre. Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient de France, s’exprime sur l’envoi de troupes en Ukraine ; a écouter !
 
Évènements liés ?
 

 

Évènement 1 : Les sénateurs américains ont reçu des téléphones satellite.

 

 

 

 

Événement 2 : le directeur du FBI met en garde contre des cyberattaques généralisées chinoises.
 

Événement 3 : Plusieurs fournisseurs de réseau en panne…

 

 

Ça commence… Découvrez également comment AT&T est le principal réseau pour les intervenants/services d’urgence. C'est une menace !

De la nourriture, de l'eau, une trousse de premiers secours, des armes et des munitions…
 
 
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DIRECT – 🗣 "Nous allons décider demain de mettre ensemble notre capacité de production de défense. Nous devons passer en mode économie de guerre afin de fournir ce dont l'Ukraine a besoin mais aussi pour notre propre sécurité" annonce le commissaire européen Thierry Breton… pic.twitter.com/obZ5vs0De3

— franceinfo (@franceinfo) March 4, 2024

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:17

La France, qui se réclame de la démocratie et ne se prive jamais de donner des leçons par la voix de ses dirigeants, est surtout et avant tout un état de droit. -en théorie-

Or, le 24 février 2022, début de la guerre entre l’Ukraine et la Russie, l’Ukraine n’est pas un pays de l’Union Européenne, ni un membre de l’OTAN et n’a aucun accord de défense avec la France. Celle-là n’a pas non plus d’intérêts vitaux en Ukraine. Il eut été pertinent de se poser la question de savoir si la France devait intervenir. Mais le choix politique fait par le Président de la République d’aider l’Ukraine n’est pas le sujet de ce papier.

En revanche, la question de la légalité de notre engagement se pose.

Tout d’abord, ce choix politique n’a pas été suivi d’un choix législatif et judiciaire.

Par l’article 411-3 du code pénal révisé par l’Ordonnance du 19-11-2000, nous nous interdisons de livrer des moyens militaires au détriment de la défense nationale.

Par la Résolution du 30 novembre 2022 (303 voix sur 399 votants), l’Assemblée Nationale réaffirma son soutien à l’Ukraine par le double biais de l’U.E. (article 12) et celui du gouvernement (article 20).

Si en toute rigueur ces deux dispositions ne sont pas contradictoires, dans les faits, le prélèvement de matériels militaires dans certaines unités constitue une infraction qui révèle la caution sinon la complicité des votants, le législateur laissant enfreindre la loi qu’il a lui-même rédigée.

De fait il y a bien illégalité gravissime à enfreindre la loi délibérément. Surtout pour un législateur !

Puis, l’accord de sécurité signé à Paris le 16 février dernier entre, non pas la France et l’Ukraine, mais entre les présidents respectifs, témoigne d’un degré supplémentaire dans l’illégalité.

Notons les réactions immédiates de, d’une part, Messieurs Nicolas DUPONT-AIGNAN et Alain HUPERT qui s’insurgeaient qu’eux seuls sur 952 parlementaires aient réagi face à cette initiative personnelle sans consultation de la représentation nationale, ainsi que la déclaration publique conjointe de Messieurs Hubert VEDRINE et Jean-Pierre CHEVENEMENT qui réclamaient un débat sur le fond en en saisissant le Parlement ; soient deux signaux clairs que cette initiative outrepassait sinon violait l’état de Droit. De nos droits.

Cet accord quasi personnel entre deux hommes n’a aucune valeur juridique. Il n’a fait l’objet d’aucune consultation comme l’article 53 de la constitution l’eût exigé, ni d’une loi assortie d’un décret d’application et bien sûr… d’aucune publication dans le Journal Officiel.

En clair, cet accord n’est pas seulement illégal mais purement « a-légal ». Un vide juridique.

Sans écarter une basse manœuvre de notre Président pour tromper son visiteur, fort improbable d’ailleurs, ce texte a quand même des conséquences potentielles gravissimes que nous allons voir.

Ensuite, ayant proclamé « qu’il ne fallait pas laisser gagner la Russie », le Président MACRON a fait état d’une « européisation de notre dissuasion nucléaire » (déclaration VEDRINE-CHEVENEMENT) lors de son voyage en Suède, plaçant ainsi la France, déjà considérée comme cobelligérante par la Russie, en position de cible numéro Un dans le cas d’un conflit direct entre l’OTAN et la Russie.

Enfin, le 26 février dernier, le chef de l’état, peut-être par le réflexe de ceux qui pour tenter de retrouver une popularité qui leur échappe désignent un ennemi extérieur, a franchi un degré de plus vers la guerre en déclarant possible l’envoi de troupes occidentales face à la Russie.

Alors, veut-il la guerre ? Est-ce seulement une gesticulation imprudente mais dangereuse ?

Dans son article L 4122-1 du code de la Défense, il est stipulé qu’un militaire n’est pas obligé et a même le devoir de ne pas obéir à un ordre manifestement illégal, ce qui est avéré ici, de par le vide juridique montré plus haut.

L’accord du 16 février précise expressément prendre effet à compter de la date de la signature (!). Le Président a-t-il, peut-il et va-t-il donner des ordres pour sa concrétisation ?

Quoi qu’il en soit et de notre point de vue ce texte apporte et doit poser un réel problème de conscience aux militaires. Si les échelons subalternes, le nez dans le guidon, comme souvent ne voient pas forcément la gravité autant que le caractère ubuesque de la situation, les hauts échelons de la hiérarchie ne peuvent l’ignorer et la ligne rouge à ne pas franchir ne peut que les inciter à appeler le chef des armées à la raison.

Toujours très légalistes, ils ne peuvent que constater l’état de droit ici bafoué. Ils le doivent !

Pourquoi ?

Un jour viendra où certains de nos gouvernants et hauts responsables auront à rendre des comptes au peuple qui selon l’article 3 de notre Constitution détient seul la souveraineté nationale confiée le temps limité de leur mandat à ses représentants, non pour être trahi mais pour avoir une gouvernance conforme à ses vœux et surtout intérêts.

Posons-nous tous, d’urgence, la double question solennelle suivante :

Qui veut mourir en et/ou pour l’Ukraine ?

Qui veut mourir à cause du délire d’un tyran ?

Le 27 février 2024.

Général (2S) André COUSTOU.

Président d’honneur de Place d’armes.

SOURCE

Source : Morzhed-hoch

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:10

Le Dr David Martin met sur table des brevets qui ont permis de fabriquer le SARS COV 2 par l'armée Américaine, ç'est une arme, rien de plus ! Ce virus est une atteinte à l'humanité entière !

 

 

 

The Gathering Storm when voice of reason is silenced

Le docteur Martin a intitulé son intervention : "L'orage qui gronde, lorsque la voix de la raison est réduite au silence".
Ca
 

SOMMET/COVID - Après la 1ère édition en Italie, à Rome (2021), après la 2ème édition en France, à Marseille (2022), la 3e édition de l'International Covid Summit (ICS 2023) s'est déroulée en Belgique, au Parlement européen à Bruxelles, du 2 au 4 mai dernier. Si cet événement ne correspond pas, bien évidemment, à une séance plénière capable de légiférer, celui-ci a bien sa place dans l’agenda de la vie démocratique européenne. Organisé par plusieurs parlementaires, le sommet a permis plusieurs interventions d’experts et de professionnels issus du monde scientifique et médical afin d’évoquer la gestion (ou l'origine en l'occurrence) de la crise sanitaire de SARS-CoV-2. L’un des orateurs a particulièrement provoqué l’effervescence sur les réseaux sociaux, le docteur David E. Martin. Selon ce spécialiste des dépôts de brevets, cette pandémie ne doit rien au hasard et n’est pas "naturelle". Elle serait le fruit de dizaines d’années de recherches commencées au milieu des années 60, pour réaliser une guerre biologique contre l’humanité. Quelle démonstration et quels faits pour appuyer cette thèse ? 

Le docteur canadien Stephen Malthouse, chargé de l’allocution de bienvenue à l’ICS 2023 donne le ton. “L’assistance va être surprise”, annonce-t-il avant de demander aux participants d’ouvrir “leur esprit et leur cœur” afin d’écouterles professionnels et les experts(avec parmi eux le professeur Christian Perronne ou de l’anesthésiste-réanimateur Louis Fouché. France-Soir reviendra ultérieurement sur leurs prestations, ndlr), dont les “propos se basent sur des études scientifiques”.

Le premier intervenant est le docteur David E. Martin. Et à l’écoute de ses propos, il faut en effet être prêt d'emblée : “Le coronavirus est un acte de guerre biologique préparé de longue date”. Sa “libération” aurait été faite “intentionnellement” et impliquerait plusieurs établissements de recherches étasuniens, dont celui d’Anthony Fauci, le NIAID (l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses).

Back in the 60's

Conséquence : la pandémie de 2020 “ne s’est pas produite du jour au lendemain”, mais remonte d’après lui “au milieu des années 60”. Composée d’une succession de recherches et de mises au point, son but serait faire accepter l’idée d’un vaccin “universel” à la population, basé sur la technologie de l’ARNm. Il s’agirait là, à ses yeux, d’une “guerre contre l’humanité”, du fait de la bio-militarisation “de la nature” contre elle, en dehors de toute éthique.

 

Le docteur Martin n’a pas oublié de diffuser par diapositives des sources scientifiques (qui seront ici citées en lien ou en notes) qui étayent son discours. Celui-ci, relativement clair mais très dense quant à un éventuel “acte de guerre biologique” n’offre pas toutes les clefs au problème ainsi disposé. Toutefois, les nombreuses cordes à l’arc du docteur David E. Martin laissent entrevoir des pistes d’analyse de la pandémie incontournables.

Qui est-il pour réaliser de telles déclarations fracassantes ? Docteur, diplômé du Goshen College dans l’Indiana, titulaire d’une maîtrise en Sciences de la Ball State University de Virginie, David E. Martin est le fondateur et président-directeur général de M.CAM. Fondée en 1998, cette société internationale a pour activité le “capital immatériel”. Soit tout ce qui englobe les éléments non monétaire et non physique qui développe de la valeur de par les informations ou les connaissances qui peuvent y être associées : par exemple, les brevets intellectuels qui, indéniablement, sont une composante du déroulement de la crise pandémique et des découvertes liées à l’ensemble des virus de type SARS-CoV. Dr Martin en est un spécialiste.

"Il y a environ dix ans, j'ai alerté le monde sur ce qui allait arriver"

Figure des médias mainstream (dont la chaîne Bloomberg, CNBC), avant que ne surgisse la pandémie qui allait lui “faire perdre son audience” et de nombreuses relations professionnelles de par ses prises de position, Martin a personnellement créé l’indice CNBC IQ100. Celui-ci est considéré comme un indicateur économique majeur dans le secteur de l’innovation aux États-Unis et tout autour du monde. C’est au cours de son activité d’entrepreneur que David E. Martin apprend à connaître les subtilités du Congrès américain avec qui il doit composer vis-à-vis de la réglementation commerciale ou financière et des agences de régulation. C’est sur ce même terrain qu’il va échanger avec l’Union Européenne (UE).

L’UE, dont il avait déjà visité le Parlement : “C’est particulièrement intéressant pour moi de me trouver ici aujourd’hui, étant donné qu’il y a environ une décennie, j’ai alerté le monde sur ce qui allait arriver”. Jadis reçu par le groupement politique Les Verts/ALE (Alliance Libre Européenne), il est cette fois invité à l’initiative du groupe ECR, réunissant les conservateurs et réformistes européens, qui se compose de partis de droite et de la droite nationaliste sur l’échiquier politique (1).  

David E. Martin n’a pas tenu ce type de propos au Parlement européen pour la première fois. Lors d’un entretien mené par l’avocat allemand Reiner Fuellmish, initiateur du procès dit “Nuremberg 2.0” et de class actions devant la justice américaine, le PDG de M.CAM avait déjà indiqué la plupart de ses propos (cf. le Verbatim du 20 juillet 2021, “Pandemic Fraud”), dont certains sulfureux. Le “buzz”, notamment sur les réseaux sociaux, provoqué par cette nouvelle intervention, ne doit pas faire oublier qu’une analyse débattue et disputée des faits et de la thèse soutenue est nécessaire.

Des manipulations sur l'homme très précoces

Par rapport à 2021, la vision de David E. Martin s’est approfondie dans le temps. De façon détaillée, il remonte “à 1965” (l’étude des chercheurs à l’origine de cette découverte est publiée en 1966). Cette année-là, cet “agent pathogène est isolé” et associé, légitimement, à un rhume dans sa description (avant le coronavirus dénommé SARS-Cov 2, plusieurs autres coronavirus circulent déjà par exemple sur le continent européen et sont à l’origine de cette maladie plus ou moins bénigne pour les patients).

Selon David E. Martin, à l’époque, ce virus aurait intéressé pour ses propriétés associées à un “modèle infectieux et reproductible” qui ouvrent la porte à des expérimentations sur l’homme en la matière. Toujours d’après l’intervenant, dès 1966, les États-Unis et le Royaume-Uni “échangent des données” sur ce virus. Il devient alors l’objet d’une “manipulation” sur l’homme. Et en 1967, les premières inoculations d’individus (voir note 77 du lien) avec un coronavirus “modifié” ont eu lieu d’après lui, sans davantage de précision dans son discours.

Pour autant, dans tous les cas de figure, une absence d’information au grand public présente un premier problème moral. Ce virus “modifié” avait-il le droit de traverser l’Atlantique pour des expériences qui peuvent présenter un danger pour l’humanité ? Selon certaines manipulations opérées sur des virus en laboratoire, certaines peuvent s’avérer être dangereuses, que cela soit sur l’influenza responsable de la grippe ou les coronavirus responsables du rhume ou de ce qui a été appelé en 2020 “la Covid-19”. Aux yeux de David E. Martin, cela est “une violation des traités sur les armes biologiques et chimiques”.

Pouvait-il présenter alors après les expériences menées un danger du niveau d’une arme ? Le Dr Martin affirme que le coronavirus responsable du rhume est transformé en “chimère”, autrement dit concerné par des modifications entreprises par l’homme “dans les années 70”. Le terme “chimère” renvoie théoriquement à la combinaison de deux virus pathogènes. Le but est d’augmenter la létalité du nouveau virus obtenu, alors envisagé comme arme biologique. David E. Marin n’a pas le temps de préciser son propos.

Continuation des expériences sur les animaux

En 1975, toujours sans débat éthique, certains scientifiques ont trouvé comment modifier le virus en l’inoculant à des animaux, en l’occurrence, des porcs et des chiens. Ce qui ne se produit pas sans déclarer chez les animaux des problèmes gastro-intestinaux. Des problèmes qui vont apparaître au sein même des élevages industriels de chiens et de porcs au début des années 1990.

Intervient alors le laboratoire pharmaceutique Pfizer qui souhaite trouver une solution au problème et capter un beau marché en perspective. Il lance son premier modèle de vaccin recourant à la protéine Spike et dépose le brevet (à une date manifestement ultérieure à celle édictée par le Dr Martin (2)).

Cette technologie ne serait ainsi selon le docteur nullement nouvelle mais aurait déjà été testée il y a plus de trente ans et rendues ainsi opérationnelle… ou pas : Pfizer découvre alors “que les vaccins ne marchent pas” sur les animaux, selon Dr Martin. Pourquoi ? “Parce qu’il s’avère que le coronavirus est un type de virus très malléable”. Autrement dit, il mute souvent. “Il change et il mute au cours du temps”. L’échec est total : "de 1990 à 2018, la moindre étude publiée conclut que le coronavirus échappe à l’impulsion du vaccin”. 

Un vaccin qui ne marche pas... Des brevets déjà prêts 

David E. Martin évoque d’une part un virus qui mute “trop vite” pour disposer d’un vaccin efficace. Une thèse défendue rapidement par le professeur Didier Raoult qui, avant tout le monde, a observé la mutation des coronavirus à l’été 2020, confirmant son analyse préliminaire (théoriquement bien connue de la science), lorsque le ministre de la Santé Olivier Véran ou d’autres professeurs comme Karine Lacombe affirmaient de façon surréaliste que cela n’existait pas...

On peut aussi d’autre part évoquer la question de l’“échappement immunitaire” : si un vaccin n’est pas pleinement efficace contre un virus, celui-ci lui laisse alors l’opportunité de “fuir” et de se diversifier, voire se renforcer et devenir plus dangereux. Une possibilité (bien connue de la science là-encore) qui, dans le cas du SARS-Cov-2 a été soutenue par le prix Nobel Luc Montagnier. 

Quoi qu’il en soit ce type de vaccins “ne marche pas, c’est la science et cette science n’a jamais été disputée” avec, à l’appui, des “milliers d’études indépendantes”.  

Un tournant apparaît cependant en 2002. Un brevet est déposé par l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill : The mRNA Vaccine "model" is patented as "an infectious, replication defective clone". Krisopher M. Curtis, Boyd Yount, U S, Patent 7, 279, 327, April 2002.

Soit : un “clone infectueux, à la réplication défectueuse”. Pour David E. Martin, cela signifie “une arme”, ni plus ni moins. Dont la propriété serait de “cibler un invididu” sans en toucher un autre. Le docteur indique alors immédiatement la source du financement qui a permis la recherche : le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) dirigé par Anthony Fauci. 

Dans un effet de manche, David E. Martin fait un rapprochement avec l’apparition du SARS-CoV, une année après ce dépôt. Et il soutient que ce virus n’est “pas un phénomène naturel”, mais a été réalisé sous ingénierie à l’Université de Caroline du Nord. 

Cette affirmation est délicate. En effet, les études épidémiologiques, appuyées par la suite par les données recueillies au sein de l’arbre phylogénétique des coronavirus montrent que l’origine du SARS-CoV-1 est liée aux civettes palmées, hôte intermédiaire du réservoir à coronavirus par excellence et bien réel : les chauves-souris. 

Le CDC corrompu ?

Le Dr Martin revient sur son terrain de prédilection. Il traite d’une demande de dépôt de brevet en 2003 par le Centers for Disease Control and Prevention (CDC, Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) pour “isoler” le SARS-CoV-1. Il peste une nouvelle fois une violation des traités contre les armes biologiques et chimiques. Mais détaille aussi la subtilisation d’une séquence découverte en Chine, sur laquelle l’administration américaine aurait déposé ce brevet : “Cela est un crime”. Selon lui, l’office chargé des dépôts de brevets a refusé à deux reprises son enregistrement, pour cette raison. Avant que, finalement, le CDC soit littéralement “soudoyé” pour changer d’avis, acté en 2007.

Le Dr Martin varie de sujet et en vient aux tests RT-PCR et un système de classification qui renforcerait la piste d’un calcul “militaire” derrière la mise en place de techniques (cf. la diapositive numéro 2 de l’exposé, qui indique les “signaux d’alerte” selon l’intervenant. Tout cela “ne ressemble pas à de la médecine, mais à une arme pour éliminer l’humanité”, pense-t-il.

Un sinistre projet qui aurait été financé par "10 milliards de dollars" apportés via l’administration Fauci et qui seraient, selon le docteur Martin, plus important encore que les références à la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency, DARPA, - "Agence pour les projets de recherche avancée de défense"), qui serait à l'origine des premiers essais de vaccins à ARNm, ou à Alliance EcoHealth, la fameuse agence impliquée dans un scandale autour, justement, de l'origine du virus. N'oublions-nous pas quelque peu les enquêtes en cours, qui ont besoin d'être approfondies, et révèlent au fur et à mesure de leurs avancées des faits tangibles hors normes et scandaleux ?

Puis, David E. Martin revient sur la problématique des “gains de fonction”, qui sont en rapport direct avec la façon de rendre plus dangereux des virus par l’intervention de l’homme. Il nous apprend qu’en 2014, le NIAID aurait écrit à l’Université de Caroline du Nord pour que celle-ci poursuive l’étude de gains de fonction sur des virus nonobstant un moratoire décidé sur ces derniers. Comment ? Du fait que les subventions allouées à cette recherche avaient été distribuées auparavant… L’université obtient alors “une exemption” pour continuer ses recherches qui posent tant question moralement et scientifiquement.

Dans un exposé de plus en plus rapide et dense, le Dr Martin revient sur le terrain des brevets une nouvelle fois après avoir insisté sur une idée qui, dès 2016, apparaissait au sein des recherches menées par la NIAIS et l’Université de Caroline : “Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle du virus”.

Nature préméditée de la pandémie

À ce moment-là, les recherches en gain de fonction sont aussi menées (et donc en partie financée par cette administration américaine dirigée par Fauci) par le laboratoire de Wuhan de la province du Hubei en Chine. En 2019, comme se préparant à cette “fuite”, Moderna dépose un brevet pour “un agent pathogène respiratoire”, qui n’était pas encore censé exister…

Pour le Dr Martin, c’est ce qui expliquerait la nature préméditée de la pandémie... D’autres pistes existent : les risques de fuite de laboratoire étaient parfaitement connus depuis très longtemps au sein du monde scientifique occidental et des alertes étaient faites régulièrement à ce propos. Une enquête plus approfondie ou, peut-être plus de temps laissé à David E. Martin pourrait aider à éclaircir certains faits présents au sein de son exposé.

Comme le dernier présenté : le but réel de la pandémie serait d’amener un “vaccin universel” tout en permettant aux industriels de se retrouver intéressés à l’affaire d’une société qui évoluerait en ce sens. Le projet du vaccin universel est ancien, évoqué classiquement (par exemple par l'Organisation Mondiale de la Santé) à propos de vaccins contre les virus responsables de la grippe. Mais il peut aussi s’agir d’un rêve d’industriel de la pharmacie, qui grâce à l’ARNm, aimerait voir une technologie pratique à mettre en place et leur garantissant de beaux profits. 

Le rôle des médias

Quel ciment pour relier tout cela ? Les médias et leur rôle de caisse de résonance de ce qui ne serait qu’une propagande aux yeux du docteur. Ce dernier finit son intervention par un appel solennel afin "d'en finir avec les expériences de gain de fonction", "d'en finir avec la 'militarisation' de la nature". Car la nature, comme la science ont été "piratées". Empêcher les entreprises privées de soutenir des études qui peuvent défendre ses propres produits, rendre celles-ci "responsables" paraît être une proposition très raisonnable.

Dans son entretien de 2021, David E. Martin ne remontait pas aussi loin pour décrire ici une “ingénierie” de près de 60 ans. L’état de la science comme les techniques de recherche d’alors n’étaient pas les mêmes, certaines non encore imaginées et peuvent, a priori, difficilement faire entendre “un continuum” tendant vers un seul but : l'intentionnalité indiquée par le docteur Martin reste, à l’évidence, à démontrer s’il s’agit d’évoquer “un plan” pour amener à la pandémie de coronavirus telle qu’elle a été connue en 2019/2020.

   

 

Notes :

(1) MEMBRES DU PARLEMENT EUROPEEN

M. IVAN VILIBOR SINČIĆ, Député non-inscrit au Parlement européen - CROATIE
MME. FRANCESCA DONATO, Membre non-inscrit au Parlement européen - ITALIE
M. MISLAV KOLAKUŠIĆ, Député non inscrit au Parlement européen - CROATIE
MME. CHRISTINE ANDERSON, Identité et Démocratie - ALLEMAGNE
M. CRISTIAN TERHEȘ, Conservateurs et Réformistes européens - ROUMANIE

(2) Pfizer Patents CoV S-protein U.S. Patent 6, 372, 224 November 2000.
 

Matériel de l'exposé :

 

Diaposition 1

 

Diaposition 2

 

Diaposition 3

 

Diaposition 4

article modifié le 12 juin 2023 : ajout du lien odyssé pour la vidéo de David Martin

 

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:07

Au cœur du développement industriel et financier des États-Unis et par extension, du monde, se trouve l’histoire fascinante et complexe de la famille Rockefeller. Cette dynastie, souvent enveloppée d’une aura de mystère, a établi l’un des plus grands empires financiers de l’histoire, influençant de manière indélébile l’économie mondiale, la politique et même la philanthropie. La trajectoire de cette famille illustre comment le pouvoir, la richesse et l’influence peuvent se tisser à travers les générations, façonnant non seulement le paysage économique mais aussi le tissu social et politique à l’échelle globale.

L’ascension des Rockefeller n’est pas simplement une histoire de réussite financière; elle est intimement liée à des monopoles historiques, des stratégies de richesse ingénieuses, et à une influence mondiale qui a parfois flirté avec la conspiration économique. Leur empire a démarré dans le pétrole, avec la création de la Standard Oil, une compagnie qui a rapidement dominé l’industrie pétrolière, donnant naissance à ce que beaucoup considèrent comme le premier grand monopole américain. Cette domination n’était pas seulement économique; elle reflétait une nouvelle forme de pouvoir et de politique, où les milliardaires influents pouvaient façonner les politiques publiques et les marchés mondiaux.

Au-delà de leur empire financier, les Rockefeller ont également joué un rôle clé dans la création et le soutien d’un réseau global d’élites, connectant des leaders politiques, des entrepreneurs et des philanthropes dans un échange mutuel d’influence et d’intérêts. Cette interconnexion a souvent été perçue comme un leadership secret, orchestrant des changements à une échelle globale sous le voile de la philanthropie et du pouvoir.

La philanthropie, en particulier, a été un domaine où les Rockefeller ont laissé une empreinte indélébile, fondant d’innombrables institutions et soutenant des initiatives éducatives, scientifiques et culturelles à travers le monde. Toutefois, cette générosité n’était pas exempte de critiques, certains y voyant une stratégie pour consolider davantage leur pouvoir et influencer, un moyen de légitimer leur place au sein de la société et de modeler les discours sur la richesse, la culture et la gouvernance.

Les guerres pétrolières et les stratégies d’expansion mondiale de la Standard Oil ont également souligné comment les entreprises peuvent jouer un rôle central dans les affaires mondiales, influençant les politiques énergétiques, les relations internationales et même les conflits armés. Ces actions ont posé des questions sur l’équilibre entre le pouvoir corporatif et la souveraineté nationale, une thématique qui reste d’actualité.

Enfin, la notion d’une économie cachée prend forme dans l’héritage des Rockefeller. Leur capacité à naviguer dans les eaux de la finance mondiale, à établir des monopoles et à influencer les politiques à leur avantage révèle un aspect souvent occulté du capitalisme, où les familles dynastiques comme les Rockefeller jouent un rôle disproportionné.

L’histoire des Rockefeller est donc bien plus qu’une saga familiale; elle est le reflet d’une ère où l’empire financier et le pouvoir politique se sont entremêlés d’une manière qui continue de façonner notre monde. Derrière chaque acte de philanthropie, chaque stratégie d’expansion et chaque interaction avec le pouvoir politique se cache une leçon sur les dynamiques de pouvoir et d’influence qui transcendent les époques et les frontières.

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 20:03

Il n'y a pas que Blackrock, Blackstone est nettement plus discret, aussi faut il s'en méfier davantage !

 

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Dans cette vidéo immersive, nous plongeons au cœur de Blackstone, le colosse de la haute finance souvent surnommé « le pape de Wall Street ». Peu connu du grand public mais vénéré dans l’arène financière new-yorkaise, Stephen Schwarzman, le cerveau derrière Blackstone, a bâti un empire financier redoutable, dominant le monde de l’immobilier et bien au-delà. Parti de rien, Schwarzman est aujourd’hui à la tête du plus grand hedge fund du monde avec une fortune personnelle estimée à 37.3 milliards de dollars. Blackstone, avec ses 1.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion et une capitalisation boursière qui défie les géants comme Goldman Sachs et Morgan Stanley, révèle une histoire fascinante de croissance, d’opportunités saisies et de stratégies d’investissement audacieuses. Rejoignez-nous pour un voyage au sein de l’un des fonds spéculatifs les plus puissants du globe, découvrez ses secrets, ses stratégies, et pourquoi il devrait figurer sur votre radar d’investisseur.

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 18:47
Le « pacte suicidaire » de l’UE menace d’inonder le continent avec 75 millions de migrants supplémentaires
 

 

 

L’UE a adopté un pacte migratoire surnommé « le suicide de l’Europe » qui pourrait conduire à l’inondation du continent par 75 millions de nouveaux migrants.

La commission LIBE du Parlement européen a adopté mercredi la loi qui officialise la répartition des migrants entre les États membres et punit ceux qui refusent de les accueillir.


Parce que l’enrichissement et la diversité culturels sont « notre plus grande force », les pays qui tentent de préserver leur identité nationale sans se laisser submerger par les migrants seront frappés de lourdes sanctions financières.

Marine Le Pen, chef de file de l'aile parlementaire du Rassemblement national, avait précédemment déclaré que l'accord conduirait au « suicide de l'Europe », ajoutant qu'il s'agissait d'un pacte avec le diable et qu'il représentait un « plan organisé de submersion de l'Europe et des nations qui la composent ».

Les États membres seront contraints d’accepter des migrants ou de payer une pénalité financière massive de 25 000 euros par migrant.

Cela n’a guère de sens étant donné qu’on nous rappelle constamment à quel point la migration massive est une aubaine économique et est à la fois inévitable et vitale pour maintenir les niveaux des PIB.

Cependant, cela est tout à fait logique lorsque l’on comprend que de telles affirmations sont complètement frauduleuses.

« La prochaine question est de savoir combien ils nous nous en imposeront. C’est maintenant qu’ils en décident. Ils créent donc des règles qui donnent à Bruxelles le droit de dire combien de migrants ils distribueront », a déclaré l’année dernière le Premier ministre hongrois Viktor Orbán.

« Ainsi, plusieurs pays ont indiqué qu’ils ne sont pas d’accord. Nous ne voulons pas le mettre en œuvre. En fin de compte, nous sommes confrontés ici à une tournure des événements suicidaire.»

Orbán s’est demandé pourquoi, si accepter des migrants était si rentable financièrement, les pays d’Europe occidentale essayaient de les déporter vers la Hongrie.

Róbert Gönczi, analyste à l'Institut hongrois de recherche sur les migrations, a souligné que les migrants envoyés en Hongrie finissent généralement par partir vers la Suède ou l'Allemagne, où ils reçoivent des allocations sociales bien plus importantes.

« Le système de redistribution pourrait également créer des flux intra-UE depuis les pays où ces migrants ont été relocalisés vers les pays où ils souhaitent effectivement partir, car généralement les pays de destination n'ont pas changé », a déclaré Gönczi.

«Mais il faudrait désormais que d'autres pays de l'UE accueillent ces migrants, réfugiés et demandeurs d'asile, a-t-il ajouté. Le véritable problème est que le renforcement des frontières extérieures de l'UE serait moindre, voire inexistant, alors qu'il est pourtant réellement nécessaire.»

Comme nous l’avons souligné précédemment, il n’y a aucune envie de la part de l’UE d’imposer des contrôles appropriés aux frontières.

Le nouveau dirigeant de Frontex, l’agence de l’Union européenne chargée de sécuriser les frontières, a récemment appelé à l’ouverture des frontières et s’est engagé à satisfaire les militants de gauche qui sont en faveur de l’immigration de masse.

"Rien ne peut empêcher les gens de traverser une frontière, pas de mur, pas de clôture, pas de mer, pas de rivière", a déclaré Hans Leijtens, une déclaration étrange, étant donné que c'est sa tâche de sécuriser les frontières !

 

Source

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29 février 2024 4 29 /02 /février /2024 13:57
Macron veut la guerre mais il est le seul !
Macron veut la guerre mais il est le seul !

MAINTENANT ! JE VEUX VOTRE SANG !

 

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FLASH | "Nous devrions y être préparés", une guerre en #Europe n'est "pas impossible", a estimé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. pic.twitter.com/qZmzSse3Oo

— Cerfia (@CerfiaFR) February 29, 2024

Macron veut la guerre mais il est le seul !

 

ET MOI AUSSI !

 

 

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Gérard Larcher parle de l’Hôte de L’Elysée et de sa déclaration de Guerre: « Une décision de cette nature est une décision GRAVE… et je rappelle qu’on ne peut pas faire de déclaration de Guerre sans la soumettre au Parlement ! »

Que c'est stupéfiant d'avoir toujours la goutte au nez !
 

 

 

 

 

Dans le même temps si personne n'obéit, ils ne pourront rien faire !

BlackRock : "Nous dirigeons l'Amérique, pas Biden - Nous souhaitons que la guerre en Ukraine ne se termine jamais"
 
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