Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 171 541 visiteurs 276 832 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

27 décembre 2023 3 27 /12 /décembre /2023 12:56
Révélations exclusives de Noël de Pascal Najadi : opération Storm, Trump, Biden, faits, spéculations (Censuré par Youtube, vidéo par Odysee en fin de publication)

 

En cette fin d’année 2023, les événements s’accélèrent du côté de l’État Profond qui fait l’impossible pour provoquer le chaos, la guerre, museler les réseaux sociaux et enlever le peu qui reste de pouvoir aux États Nations.

Mais aussi du côté de la riposte contre l’État Profond. C’est essentiellement la Space Force, plus précisément l’USSF (l’US Space Force), une force armée américaine dirigée depuis les USA et qui œuvre depuis 2018 pour débarrasser l’humanité des globalistes (ou mondialistes) démocidaires.

Pascal Najadi, banquier international Suisse mais aussi victime d’une triple injection de Pfizer, est particulièrement actif depuis quelques semaines. Sa véritable action a commencé il y a deux mois avec sa vidéo de 4 mn 44 « Cutting off the head of the snake » (Coupez la tête du serpent), une vidéo que Profession Gendarme a diffusé dans une version sous-titrée en français (https://www.profession-gendarme.com/coupez-la-tete-du-serpent/).

Il multiplie les interviews en anglais auprès de médias libres américains et canadiens. Il semblait intéressant pour Profession Gendarme d’obtenir ses dernières révélations en Français. Nous avons confié cette mission à Tribune Libre et Stéphanie Reynaud qui nous livre 49 minutes de révélations sur ce qui attend l’humanité entre fin 2023 et début 2024.

https://www.youtube.com/watch?v=pqETD14OEj0
Tribune Libre

25 déc. 2023 PARIS Pour Tribune Libre, le 24 décembre 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Pascal Najadi, citoyen suisse et britannique, ancien banquier d’affaires à New-York et à Londres, conseiller de chefs d’Etats et de ministres en matière de conseil stratégique et de crise, auteur-producteur-réalisateur. Il parle de la plainte pénale qu’il a déposée en Suisse le 22 décembre 2022 contre Alain Berset, ex-ministre de la Santé, de l’opération logistique Warp Speed, de l’opération militaire Storm en cours, de la présidence des USA, de l’entente Trump/Poutine, de l’acteur Arthur Roberts, du Deep State = État Profond américain et de l’avenir.

➡ Pour consulter le site de la Maison Blanche et la lettre mentionnés par Pascal Najadi dans l’entrevue : https://www.whitehouse.gov/ (code à entrer dans l’onglet de recherche situé en haut à droite de la page : 13848)

➡ Pour consulter la page du Lieutenant Colonel Derek E. Johnson : https://www.moore.army.mil/Infantry/A…

➡ Pour consulter les documents mentionnés par Pascal Najadi : https://www.thedocuments.info

➡ Pour consulter le site de Space Force : https://www.spaceforce.com Pour consulter la chaîne Odysee de Pascal Najadi : https://odysee.com/@neutralswiss:e?vi…

➡ Pour se connecter au compte Social Truth de Pascal Najadi : https://truthsocial.com/@najadi4justice

➡ Pour consulter la chaîne Telegram de Pascal Najadi : https://t.me/PascalNajadiNEWS – L’opération Storm 2023/24, le film ici : https://odysee.com/@neutralswiss:e/th… – « Nous les avons piégés avec nos stratagèmes », l’interview par le journaliste canadien Will Dove : https://odysee.com/@neutralswiss:e/43… DIVULGATION Nous les avons tous attrapés avec nos stratagèmes, ainsi que tous les éléments voyous du gouvernement suisse ! https://rumble.com/v41bpg5-disclosure… DIVULGATION Le plus grand spectacle sur Terre – Film documentaire en 4K novembre 2023 avec le président et le CIC des États-Unis Donald J. Trump https://rumble.com/v3ytw1v-disclosure… DIVULGATION The TruthStream Show, États-Unis : « Donald J. Trump est le président de guerre et commandant en chef des États-Unis d’Amérique » avec Derek Johnson https://rumble.com/v3yky0j-disclosure… DIVULGATION  L’OMS, le FEM, les éléments du gouvernement voyou et les ruses qui les ont tous attrapés – The Legal Blueprints – L’Opération militaire STORM est une réalité et est un multiple au-delà de la Bible en réponse au Démocide réalisé contre l’espèce humaine . https://rumble.com/v3wtvjv-who-wef-de… Court-métrage documentaire VIRAL « Coupant la tête du serpent à Genève » – Sortie octobre 2023 – Plus de 600 Millions de vues depuis le 19 octobre 2023 https://odysee.com/@devrijeomroep:6/w…https://rumble.com/v3qf7ig-breaking-d… VIRAL Live TV Show – Pascal Najadi avec Dr. Drew et Dr. Kelly Victory « Ask Dr. Drew » Show – New York, USA https://rumble.com/v3vps6v-son-of-wef… Rediffusion du film sur X par le général américain Michael Flynn avec ses propres mots https://twitter.com/genflynn/status/1…https://www.scribd.com/lists/26018209… Musique : 44.GL_Hightest Fade Away_BPM100 ©Parsiparla Retrouvez toutes les vidéos de Tribune Libre sur Odysee

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2023 2 19 /12 /décembre /2023 19:42

Partager cet article
Repost0
8 décembre 2023 5 08 /12 /décembre /2023 19:43

Partager cet article
Repost0
8 décembre 2023 5 08 /12 /décembre /2023 18:58
L'origine de la folie transhumaniste des politiques, psychopatologie des polititiciens.

Tout foutre en l'air par Vincent Pavan

 

Qu'est-ce qui relie, entre autres, Zelenski, Trudeau, Biden, Macron, les Femen, Marlène Schiappa, l'OMS, éduscol, Laurence Rossignol, Sonia Backès, la vaccination, la guerre en Ukraine, la mivilude ? Derrière l'apparente hétérogénéité de cette liste avance cependant un point commun : la réalisation d'un projet proprement sadien du rapport au corps et à la sexualité. A l'heure où triomphe de façon sournoise la pensée transhumaniste, une question se pose : puisque le transhumanisme est un évolutionnisme, comment résout-il la question de la sexualité ? C'est à partir de cette question que l'on avance dans l'interprétation des faits et que l'on découvre - comme nous l'avait annoncé le philosophe Italien Giorgio Agamben - que la Philosophie dans le boudoir de Sade constitue le nouveau paradigme d'organisation de la société et des individus.
Il rejoint l'analyse du philosophe Pierre-Henri Castel sur Sade pour qui "ce qui n'était qu'un vertige moral, voire littéraire se changera en une option pratique" .

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2023 4 07 /12 /décembre /2023 19:25
L’Europe se prépare-t-elle à la guerre ?
 

 

Dans le cadre de la Loi de programmation militaire 2023-2030, le nouvel article de loi L2212-6 du Code de La Défense instaure la possibilité de réquisitionner militairement n'importe quelle personne à compter du 1er août 2024.

 

Depuis le 1er août 2023, l'article de loi "L2212-6 du Code de La Défense" élargit le mécanisme traditionnel en instaurant la possibilité nouvelle de réquisitionner n'importe quel(le) citoyen(ne) français(e). Et cela, que la personne concernée soit présente sur le territoire national, ou même à l'étranger.

Tandis que la Loi de programmation militaire pour les années 2023-2030 entérine une augmentation historique du budget militaire français avec 413 milliards d'euros (en hausse de +40%, soit plus de 2% du PIB), ce nouvel article de loi L2212-06 doit anticiper les "menaces prévisibles et actuelles" selon ses rédacteurs et législateurs.

Ainsi, dès le 1er août 2024 (voire plus tôt, selon la date du décret d'application), sur ordre du Premier ministre, pourra être soumis désormais à une mesure de réquisition militaire :

  • Toute personne physique présente sur le territoire national
  • Toute personne physique de nationalité française ne résidant pas sur le territoire national
  • Toute personne morale dont le siège est situé en France
  • Tout navire battant pavillon français, que l'armateur soit de nationalité française ou étrangère, y compris en haute mer ou bien dans des eaux étrangères.

Un nouvel article de loi "L2212-6 du Code de La Défense" qui pourrait par ailleurs, en l'état, éveiller prochainement toute l'attention des différents défenseurs des droits fondamentaux, tant la définition démocratique des termes "urgence" ou "menaces prévisibles et actuelles" paraît encore juridiquement floue...

Légifrance : nouvel article de loi L2212-6 du 1e août 2023 portant sur la réquisition militaire des personnes

Légifrance : nouvelle loi n°2023-703 du 1er août 2023 portant sur la programmation militaire 2023-2024

Source

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2023 4 07 /12 /décembre /2023 18:17
L'Irlande essaie de faire passer une loi qui vous punira de 12 mois de prison si vous n'êtes pas d'accord avec ce que dit le gouvernement
 

_________________________________________

 

 

 

_________________________________________

La Révélation Choc d’Elon Musk : Macron Impliqué dans un Scandale de Censure Mondiale

Entre Manipulation et Contrôle, la Liberté d’Expression sous le Règne de Macron

Dans une révélation fracassante, Elon Musk, le célèbre entrepreneur et PDG de Twitter, a mis en lumière un vaste réseau de censure mondiale impliquant divers gouvernements, dont celui d’Emmanuel Macron. Cette découverte soulève des questions alarmantes sur la liberté d’expression et la manipulation de l’information.

1. Un Complexe de Censure Global

Selon les enquêtes menées par l’équipe d’Elon Musk, un système complexe impliquant des gouvernements, des médias, et des entreprises de réseaux sociaux a été mis en place pour contrôler et censurer l’information. Ce système s’étend sur plusieurs sujets sensibles, allant des élections au COVID-19, en passant par la situation en Ukraine.

2. Macron au Cœur du Scandale

Parmi les révélations, le nom d’Emmanuel Macron apparaît, suggérant son implication dans ce réseau de censure. Ces allégations, si elles sont avérées, remettent en question l’intégrité du président français et sa vision de la démocratie.

3. La Fin de l’Ère de la Transparence ?

Ces révélations posent un défi majeur à la société moderne : sommes-nous entrés dans une ère où la vérité est façonnée par les puissants ? L’implication présumée de Macron dans ce scandale de censure mondiale indique une tendance inquiétante vers la manipulation et le contrôle de l’information.

Conclusion : Les révélations d’Elon Musk sur un complexe mondial de censure, impliquant Emmanuel Macron, sont un signal d’alarme pour tous ceux qui chérissent la liberté d’expression et la transparence. Il est impératif de remettre en question les pratiques actuelles et de lutter pour une société où l’information n’est pas manipulée par les élites au pouvoir.

 

___________________________________________

 

 
 
 
Projet de Loi Macron/Darmanin : emprisonner les opposants
De nouvelles lois s'attaquant aux fondamentaux du Droit Français, mais également par interférence à la liberté de consentement du patient. Vice de fond, mais aussi vice de forme...
 

 

Quel est donc ce pays qui veut emprisonner non seulement ses opposants, mais ceux qui posent les bonnes questions ? Non ce n’est ni la Russie, ni la Chine, ni la Corée du Nord, ni la Birmanie, c’est la France. Et comme ce sera la Loi, pas de possibilité de recours, à part les armes ou la fuite.

 

Malgré un avis négatif du Conseil d’Etat, le 19 décembre sera discuté dans l’hémicycle du Sénat le projet de loi n°111 2023-2024 visant à renforcer la lutte contre les soi-disant DÉRIVES SECTAIRES, conduisant à interdire le débat scientifique et promouvoir la censure de nos scientifiques français. Ce projet de loi répressif comprend un volet sur la « protection de la santé » conduisant à mettre en prison et à l’amende tous ceux qui émettraient des critiques à l’égard de la parole du chef suprême et de ses sbires. Si ce texte est voté, il n’y aura plus de droit dans notre pays.

Son application à la médecine par le passé aurait eu pour conséquences que le Médiator et bien d’autres toxiques seraient toujours en vente, Irène Frachon serait en prison et il n’y aurait jamais eu d’affaire du sang contaminé. Si le corps médical ne réagit pas et laisse imposer une pseudo science concoctée par le marketing des laboratoires devenus première puissance mondiale, sa responsabilité sera énorme.

Vous trouverez ci-joint une lettre à envoyer aux sénateurs, ainsi que toutes les adresses mails de vos sénateurs. Ce texte doit arriver à l’Assemblée avec un rejet massif.

AVIS DU GROUPE DE JURISTES n° 1

 Sur le fond, l’article 4 du texte porte atteinte :

 l’obligation de valeur constitutionnelle d’intelligibilité et d’accessibilité de la loi. En effet, la formule, « en l’état des connaissances médicales » utilisée dans l’alinéa 2 :

  1. Pointe un risque d’arbitraire en ce qu’elle est trop vague et imprécise : Quelle autorité va déterminer cet état de la science ? Quid du contrôle du juge ? A quelle autorité doit-il s’en remettre pour contrôler la nécessité de la sanction ? (les dépliants de laboratoires ? Les études scientifiques, et lesquelles si contradictoires ou controverse ?)
  2. Les connaissances médicales, factuelles, sont mouvantes, et évolutives, par définition.
  3. Est-ce au gouvernement ou au ministre de la santé de « fixer » ou « sceller » à un moment donné le débat scientifique, par définition évolutif comme tout progrès, pour condamner pénalementdes pratiques et des personnes ? C’est un nouveau pas vers une administration de la médecine par le juge répressif.
  4. Il existe déjà en l’état actuel du droit un délit permettant de traiter et d’incriminer les faits contestés par le projet (législateur fait ici doublon) : l’exercice illégal de la profession de médecin/pharmacien pour les non soignants, et le droit ordinal pour les personnels soignants. Le projet de loi fait donc doublon inutile.
  5. Le CE rappelle dans son avis au respect des principes de nécessité et de proportionnalité dans la rédaction du texte

— Au droit au respect de la vie privée (article 66 de la Constitution – Décision 94-352 DC du 18 janvier 1995 loi d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; et article 2 DDHC -Décision n° 99-416 DC du 23 juillet 1999 Loi portant création d’une couverture maladie universelle).

 Atteinte intolérable au droit à la liberté d’expression : art. 10 CEDH.

Une telle atteinte n’est pas « nécessaire » (cf avis du Conseil d’Etat) « dans un société démocratique », au sens des critères de l’article 10 CEDH.

Elle est, en outre, contraire à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme, qui interprètecette liberté comme :

« La liberté d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type detraitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, enl’absence de pressions inappropriées » (CEDH, décision n° 302/02 du 10 juin 2010, Témoins deJéovah de Moscou c. Russie).

 À la libre communication des pensées et des opinions (art. 11 DDHC).

— Il est impératif de concilier le droit à la protection de la santé (alinéa 11, préambule de 1946) avec l’ensemble de droits et libertés précités (droit au respect de la vie privée, liberté d’opinion et d’expression).

Le texte est aussi irrégulier sur la forme.

  • Le projet est enfin irrégulier sur la forme car l’avis du CE a été sollicité trop hâtivement pour un texte portant une  telle  atteinte  potentielle  aux  libertés  fondamentales :  « le  Conseil d’Etat constate qu’il ne lui a pas été loisible, dans le délai imparti pour l’examen du texte, d’élaborer une rédaction tenant compte de ces cri tiques. Il propose donc de ne pas retenir les dispositions en cause » (CE, Avis,Assemblée Générale, 9 novembre 2023, n° 407626). Or, l’on sait que le contenu de l’avis du Conseil d’Etat(en formation consultative), qui se prononce sur la conformité constitutionnelle du projet et sa régularité de forme, permet d’y déceler les inconstitutionnalités potentielles ab initio, si le Conseil constitutionnel venait à être saisi.
  • Si le Conseil d’Etat a été consulté dans une telle hâte, que dire de l’étude d’impact obligatoire ? (Pour éviter les doublons et abus). Une étude d’impact bâclée peut nuire à la pérennité du texte ultérieurementdevant le Conseil constitutionnel qui en serait saisi en inconstitutionnalité.
AVIS DU GROUPE DE JURISTES n° 2

Sur l’article 4 du projet de loi :

  • Le projet de loi n°111, 2023-2024 est une remise en cause totale de l’impératif de débat scientifique,lequel se fonde sur des points de vue différents, éventuellement inconciliables.

L’on peut notamment s’interroger sur la signification précise de : « la provocation à adopter des pratiques thérapeutiques ou prophylactiques ou présentées comme telles ».

Où commence la provocation et où s’arrêtent l’information et le débat ?

  • Le texte se donne pour ambition de : « sanctionner le fait de provoquer des malades à ne pas suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique prescrit par des professionnels de santé lorsque cela est manifestement susceptible d’entraîner des conséquences graves pour la santé physique ou mentale des personnes concernées ».

Cependant, en matière médicale, la connaissance progresse, notamment, grâce à l’expérience et aux retours des médecins « de terrain » et, le plus souvent, après une observation sur une durée suffisante.

Ex. les médicaments à base de statines, promues par les laboratoires, ont montré des effets indésirables lourds qui ont été observés par des médecins de terrain, lesquels ont, pour certains, cessé de les prescrire,après évaluation de la balance bénéficie / risque pour leur patient.

Ceci résulte du constat que la balance entre le bénéfice et le risque d’un traitement pour un patient relève de l’art médical (sur l’établissement de ce rapport, voir ci-dessous) et, surtout, du colloquesingulier entre le patient et le médecin.

Qui, en dehors du médecin et de son patient, peuvent décider qu’un traitement est : « manifestement susceptible d’entraîner des conséquences graves pour la santé physique ou mentale des personnes concernées » ?

Le juge ? Sur la base de quelles connaissances médicales et de quelles connaissances du cas particulier de tel patient ?

En outre, comme le note le Conseil d’État, en l’état actuel du droit, de nombreuses infractions pénales et fondements déontologiques permettent d’appréhender d’éventuelles dérives.

  • Le projet remet également très fortement en cause la liberté du patient d’accepter ou de refuser untraitement médical.

Ce droit fondamental est prévu par l’article 36 du code déontologie médicale (article R.4127-36 du code de la santé publique), qui prévoit que :

« Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.

Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.

Si le malade est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou impossibilité ».

Cette disposition doit se comprendre au regard du principe de dignité humaine, l’un des principes parmiles plus fondamentaux de notre droit et érigé dans le bloc de constitutionnalité comme « Principe Fondamental Reconnu par les Lois de la République » (PFRLR) par la décision 94-343/344 DC du 27 juillet 1994 « Bioéthique ».

Article 16 du code civil :

« La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respectde l’être humain dès le commencement de sa vie ».

En effet, quel est le médecin qui acceptera le refus de son patient, s’il risque d’en porter la responsabilitépénale ?

  • Dès lors, le projet porte atteinte à la liberté de prescrire des médecins. Ainsi, la liberté de prescrire a été reconnue par le Conseil d’État (CE) comme un principe général du droit (CE, 18 février 1998, n°171851).

Elle figure dans le Code de la santé publique (CSP) (articles L. 5121-12-1 et R. 4127-8), dans le Code de lasécurité sociale (article L. 162-2) et dans le Code de déontologie médicale (article 8).

  • Le projet créé, implicitement mais nécessairement, une exception pour les professions médicales,

en particulier, à la protection reconnue aux lanceurs d’alerte, lesquels sont définis par la loi n° 2022-401du 21 mars

2022 visant à améliorer la protection des lanceurs d’alerte, comme :

« Art. 6.-I.-Un lanceur d’alerte est une personne physique qui signale ou divulgue, sans contrepartiefinancière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, une menace ou unpréjudice pour l’intérêt général, une violation ou une tentative de dissimulation d’une violation d’un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d’un acte unilatéral d’une organisation internationale pris sur le fondement d’un tel engagement, du droit de l’Union européenne, de la loi ou du règlement. Lorsque les informations n’ont pas été obtenues dans le cadre des activités professionnelles mentionnées au I de l’article 8, le lanceur d’alerte doit en avoir eu personnellement connaissance ».

Sur l’article 5 du projet de loi :

  • Le projet créé, implicitement mais nécessairement, un lien d’automaticité entre les poursuites pénales et les poursuites ordinales.

Cependant :

  1. Le projet ne respecte pas non plus le secret de l’instructionque la présomption d’innocence, puisqu’ilne prévoit pas d’attendre la décision définitive de la juridiction pénale.
  • Le projet remet, de facto, en cause l’indépendance des juridictions ordinales, lesquelles ne sont pas, en l’état du droit, tenues par les décisions des autres juridictions, y compris pénales. Ce, notamment, puisque leur unique fonction est de poursuivre les manquements déontologiques, qui font l’objet d’uneappréciation propre, et non les infractions pénales.

Ainsi, suivant une jurisprudence constante, il ne saurait y avoir d’automatisme entre d’éventuellespoursuites pénales et des poursuites disciplinaires. C’est que traduit le principe de l’indépendance des législations.

Tout au contraire, le caractère individuel des poursuites et des instances impose un débat contradictoire sur les faits de l’espèce et l’exercice par les juges de leur pouvoir d’appréciation au regard des faits de la cause, en application du principe de nécessité des peines et du caractère individuel des poursuites et de la sanction.

C’est ce qu’a, par exemple, jugé le Conseil d’État, reconnaissant le caractère individuel des poursuites, lequel implique le pouvoir d’appréciation de l’instance saisie au regard des faits de la cause.

Ainsi, lorsque, avant l’inscription au tableau, le procureur de la République avise le conseil départemental del’ordre de la condamnation pénale d’un masseur-kinésithérapeute, et que le même conseil décide néanmoins d’inscrire ce praticien, cette décision fait obstacle à ce que la juridiction disciplinaire, saisie par une plainte fondée sur les faits ayant justifié la condamnation pénale, puisse lui infliger une quelconque sanction à raison de ces faits (CE, 9 juin 2011, n°336113 B ; CE, 9 juin 2011, n°331119).

En tout état de cause et en application du principe de nécessité des peines, il appartient à l’instancedisciplinaire saisie de rechercher si les faits ayant fait l'objet d'une condamnation pénale constitue également un manquement aux obligations déontologiques ; la seule condamnation pénale nepouvant pas avoir pour effet de permettre au juge disciplinaire de prononcer automatiquement une condamnation complémentaire à celle prononcée au titre d’une infraction pénale (CE, 15 janv. 2016,n°394447 ; CE, 27 janv. 2016, n°383514).

– De ce fait, le projet de loi ne respecte pas la protection des données personnelles de santé prévue par le RGPD (Loi n°78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés modifiée.

Ainsi, il est « interdit de traiter des données à caractère personnel qui révèlent (…) des données concernant la santé » (article 6).

Les « exclusions de l’interdiction » pour la poursuite d’infractions pénales (et elles seules) sont prévues demanière limitative aux articles 41 et 42.

Sur l’article 6 du projet de loi :

– Une remarque analogue, quant à la protection des données personnelles de santé, doit être faite quantà l’article 6 du projet, qui prévoit que :

« le ministère public ou la juridiction peut solliciter par écrit tout service de l’État, figurant sur une liste établie par arrêté du ministre de la justice, du ministre de l’intérieur, du ministre chargé de la santé et du ministre chargé de la cohésion sociale, dont la compétence serait de nature à l’éclairer utilement ».

Une telle communication des données personnelles de santé supposerait, au préalable, une modification de la loi, voire du RGPD.

Source
Partager cet article
Repost0
3 décembre 2023 7 03 /12 /décembre /2023 17:28
Guerre de la Monnaie à l’Horizon : L’Arabie Saoudite s’Aligne avec les BRICS Contre le Dollar

 

_________________________________________

 

Etats-Unis: les banques sont assises sur 684 milliards de dollars de pertes non réalisées.

 

________________________________________________

 

 

Alasdair Macleod: « La Russie prendra la tête des BRICS en janvier et fera pression pour une monnaie adossée à l’Or ! »
 

Alasdair Macleod: « Tous ceux qui sont familiers et s’intéressent à la géopolitique sont au courant de l’expansion des intérêts qu’ont en commun chinois et russes à travers l’Asie, et qui se propagent à travers une adhésion croissante aux BRICS, en Afrique, en Afrique centrale ainsi qu’en Amérique du Sud. Ils ont déjà fait de l’Arabie Saoudite un véritable allié, alors que l’alliance occidentale, avec sa politique anti-énergies fossiles est contre productive et elle ne peut que s’en prendre qu’à elle-même.

D’autres membres du Conseil de coopération du Golfe, tout comme la majorité des pays non alignés, restent encore indécis, soit parce qu’ils craignent des représailles américaines, soit parce qu’ils sont endettés en dollars. Mais le fait d’abandonner l’alliance occidentale n’est qu’une question de temps, car l’idée de cette coopération économique est de fournir une aide dérisoire dont une grande partie remplit les poches des politiques.

La Russie va faire pression pour une monnaie adossée à l’or

Cette indécision des pays non alignés pourrait basculer très rapidement. En janvier, la Russie prend la présidence des BRICS. Jusqu’à présent, la Russie n’a pas réussi à inscrire une monnaie de règlement commercial adossée à l’or à l’ordre du jour des BRICS, en raison notamment des réticences de l’Inde et de la Chine. Nous devons supposer que la Russie n’abandonnera pas son objectif de change commercial. Pour l’instant, il existe un large accord entre les membres pour accepter les monnaies des autres, ce qui ne peut être qu’un moyen à quoi on a recours faute de mieux… Nous pouvons nous attendre à ce que la Russie, entre les mains de laquelle ces monnaies ne valent absolument rien, redouble d’efforts pour promouvoir un système de crédit pour des échanges commerciaux adossé à l’or. En outre, il existe de bons arguments en faveur de l’adoption par la Russie d’un étalon-or pour le rouble, ce qui, dans les règles de l’art, entraînerait une baisse substantielle des taux d’intérêt du rouble tout en maintenant son pouvoir d’achat.

Tout cela est une très mauvaise nouvelle pour le dollar…

Un autre déficit commercial record aux États-Unis.

Personne ne parle du déficit commercial américain pour l’exercice en cours, mais il s’agira probablement d’un nouveau record, entraînant de nouvelles séries de sanctions commerciales et de protectionnisme.

Même si le déficit budgétaire américain a fait l’objet d’une grande attention le mois dernier, très peu a été accordé au déficit commercial probable de ce nouvel exercice budgétaire. C’est une mauvaise omission, car il est évident qu’un déficit budgétaire, avant ajustement des variations de l’épargne, entraîne le déficit commercial. C’est ce qu’on appelle l’hypothèse du double déficit.

Ce phénomène a récemment été mis en doute par certains économistes, ce qui est abordé dans cet article. Non seulement le déficit budgétaire entraîne un déficit commercial plus élevé, mais l’épargne devenant négative, l’attraction exercée par le premier sur la seconde s’accroît. En outre, à l’approche de l’élection présidentielle, le processus de relocalisation des chaînes de production de l’étranger et la promotion de la production nationale américaine avec des subventions et une protection commerciale croissantes devraient s’intensifier. Et si le président Trump est réélu, on peut s’attendre à une évolution vers une autarcie totale. La mesure dans laquelle le phénomène du double déficit sera supprimé par ces mesures entraînera une accélération du taux d’inflation sur les prix des marchandises.

La BRI met en garde contre le dilemme américain.

Par conséquent, toute tentative visant à supprimer l’avantage comparatif du commerce extérieur pour le peuple américain réduira le pouvoir d’achat du dollar. Et à l’heure où le monde s’enfonce dans une récession qui s’aggrave, la possession étrangère de dollars deviendra de plus en plus excédentaire par rapport aux besoins nécessaires au règlement des échanges commerciaux. La Banque des règlements internationaux a estimé à la mi-2022 qu’il y avait 85 000 milliards de dollars d’encours de crédits en dollars sous forme de swaps et de contrats de change et de devises. Ces crédits doivent être ajoutés aux estimations TIC du Trésor américain d’un montant supplémentaire de 33 000 milliards de dollars de crédits onshore dans le système financier américain, ainsi qu’à une estimation supplémentaire de 10 000 milliards de dollars en euro-obligations. L’indice pondéré des échanges commerciaux du dollar ayant rebondi depuis la mi-2022, les estimations de la BRI sont presque certainement les mêmes pour aujourd’hui.

Si, comme cela semble très probable, la politique américaine consiste à supprimer les importations, cette montagne de crédit de 128 000 milliards de dollars est vouée à se contracter, ce qui pourrait faire s’effondrer le dollar à court terme. Soit des taux d’intérêt nettement plus élevés, soit la réponse inflationniste de la Fed, ou une combinaison des deux, feront le reste.

Source: kingworldnews

 

_________________________________________

 

Sil y a effondrement qu'il soit côté Occidental ou Oriental :

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 19:19

 

 

Nicole Delépine

28/11/2023 (2023-11-28)

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.

 

 

______________________________________________________________________

Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée


1 https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/11/21/une-loi-anti-casasnovas-pour-criminaliser-les-non-vax/

2 https://www.la-croix.com/France/necessaire-reforme-lutte-contre-derives-sectaires-2017-09-08-1200875184

3 Niels Bohr critique de la théorie quantique : « sans paradoxe pas de progrès »

4 B. Russell, Science et religion (1971)

5 « Quatre-vingt-dix pour-cent de protection contre le Covid-19 avec deux doses et 80 % avec une seule », c’est le messages des fabricants des vaccins de Pfizer et de Moderna, rendu public lundi 29 mars 21

6 « Le message que nous passons depuis le début, quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de contaminer les autres, alors que si vous n’êtes pas vacciné, vous faites courir ce risque », a prétendu Mr Blanquer ministre de l’éducation nationale sur France info le mercredi 28 juillet 2021
https://www.vie-publique.fr/discours/281190-jean-michel-blanquer-28072021-protocole-sanitaire-rentree-scolaire

7 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-empeche-t-il-la-transmission-du-virus_4361707.html

8 https://ansm.sante.fr/actualites/la-vaccination-est-efficace-a-plus-de-90-pour-reduire-les-formes-graves-de-covid-19-chez-les-personnes-de-plus-de-50-ans-en-france

9 https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiqu es/les-vaccins-contre-la-covid-19-sont-efficaces

10 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/side-effects-of-covid-19-vaccines

11 https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2021/05/21.5.25-Obligation-vaccinale-contre-Covid.pdf

12 https://lemediaen442.fr/jean-francois-delfraissy-avoue-veran-savait-que-le-vaccin-ne-protegeait-pas/

13 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/side-effects-of-covid-19-vaccines

14 https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2023-001202_FR.html

15 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-foi-propagande-ou-213244

16 Nicole Delépine, Gérard Delépine HYSTÉRIE VACCINALE Gardasil et cancer : un paradoxe Fauves éditions

17 https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/2013/11/27/gardasil-un-medecin-reunionnais-l-origine-de-l-alerte-un-vaccin-couteux-dangereux-et-inutile-88859.html

18 https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Vaccins-anti-HPV-15-medecins-denoncent-les-risques-des-conflits-d-interets-1621133

19 https://www.humanite.fr/societe/vaccins/gardasil-la-vaccination-a-3-millions-dadolescents-fait-debat-801725

20 https://www.elysee.fr/la-presidence/la-declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen

21 https://www.conseil-etat.fr/avis-consultatifs/derniers-avis-rendus/au-gouvernement/avis-sur-un-projet-de-loi-visant-a-renforcer-la-lutte-contre-les-derives-sectaires-et-la-repression-des-emprises-mentales-gravement-dommageables

22 Ioannidis JP. Why most published research findings are false. PLoS Med. 2005 Aug;2(8):e124. doi : 10.1371/journal.pmed.0020124. Epub 2005 Aug 30. Erratum in : PLoS Med. 2022 Aug 25;19(8):e1004085. PMID : 16 060 722 ; PMCID : PMC1182327.

23 https://www.tf1info.fr/sante/la-plupart-des-etudes-sont-fausses-un-chercheur-remet-en-cause-les-etudes-scientifiques-2092416.html

24 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/15/covid-19-le-lancetgate-revele-des-failles-de-l-edition-scientifique_6042946_1650684.html

25 https://www.francesoir.fr/politique-france/dans-son-projet-de-loi-contre-les-derives-sectaires-le-gouvernement-vise-t-il-les

26 Maitre Virginie Araujo-Recchia CE SERA DÉSORMAIS LES PARTISANS DE LA CORRUPTION FACE AUX PARTISANS DU DROIT À LA VIE ET DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE.NOUS NE VOULONS PAS DE VOTRE INHUMANITÉ
https://www.profession-gendarme.com/attention-nouvelle-attaque-contre-la-sante-humaine-la-liberte-dexpression-et-les-lanceurs-dalerte/

Source : Nouveau monde

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 19:01

Thierry Breton, Commissaire totalitaire

par Eric Verhaeghe

Innocemment, vous utilisez votre carte Carrefour, votre carte Monoprix, vous répondez à des sondages sur des sites Internet ? Voilà une belle collection d’informations sur votre compte qui intéresse la police ! et quelques autres acteurs comme la Banque Centrale Européenne. Pour mieux vous espionner, et sous le couvert fallacieux de “l’équité de l’accès aux données et de l’utilisation des données”, le Conseil européen vient de valider un projet de règlement (que l’Union appelle désormais “loi”) qui prévoit le transfert obligatoire des données personnelles détenues par des entreprises vers les gouvernements ou vers la Banque Centrale. Bien entendu, cette disposition ne peut servir que dans des circonstances exceptionnelles, comme une pandémie, par exemple. Ou encore pour “accomplir une mission d’intérêt public”. On connaît la musique.

Donc, en cas d’urgence publique, ou bien pour accomplir une mission d’intérêt public, la Commission Européenne, la Banque Centrale Européenne, les organes de l’UE, mais aussi les organismes du secteur public pourront réquisitionner les données personnelles des habitants de l’UE. Toutes les entreprises devront obéir à cette réquisition, qui peut être décidée dans des circonstances exceptionnelles (une pandémie, une attaque terroriste, etc.). Bref, chaque fois que l’Etat se considérera en danger, il pourra exiger de toutes les entreprises, y compris les micro-entreprises, de disposer des données personnelles qu’il souhaite.

Voilà une belle violation totalitaire de nos libertés. On en reste sans voix. Ils ne se cachent même plus.

Il va devenir urgent de réagir.

Eric VerhaegheLe Courrier des Stratèges, le 28 novembre 2023

 

 

________________________________________

 

 

 

 

 

 
Partager cet article
Repost0
30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 18:05

La bête immonde prête a instaurer un Nouvel Ordre Mondial de restrictions, de surveillance et de domination !

La FCC approuve le projet de l’administration Biden visant à donner au gouvernement fédéral le CONTRÔLE TOTAL d’Internet

 

 

 

La Federal Communications Commission (FCC) a approuvé le plan ambitieux de l’administration Biden visant à donner au gouvernement fédéral le contrôle total d’Internet sous couvert de prévenir la discrimination numérique.

Selon la FCC, les nouvelles règles visent à empêcher la discrimination numérique basée sur le niveau de revenu, la race, l’origine ethnique, la couleur, la religion ou l’origine nationale. Cette première loi bipartite anti-discrimination sur l’accès au haut débit donne mandat à la FCC d’établir des règles garantissant aux Américains un accès égal à des services haut débit fiables, à haut débit et impartiaux.

L’agence a reçu le pouvoir d’intervenir directement dans les cas où les politiques et pratiques de l’entreprise ont un impact différent sur l’accès des consommateurs ou sont censées avoir un tel impact. Ces protections s’étendront pour garantir un déploiement équitable du haut débit, la mise à niveau et la maintenance du réseau dans les communautés.

De plus, la FCC a déclaré que ces nouvelles règles lui donnent le pouvoir d’enquêter sur les cas potentiels de discrimination dans l’accès au haut débit, de collaborer avec les entreprises pour résoudre les problèmes, de faciliter la médiation et d’imposer des sanctions si nécessaire. L’agence a également réorganisé son portail de réclamations des consommateurs pour rationaliser le processus de signalement de discrimination numérique. La FCC procédera également à des évaluations mensuelles des modèles de plaintes pour identifier les tendances émergentes. (Connexe : le gouvernement britannique a été surpris en train de surveiller la présence de membres du personnel scolaire sur les réseaux sociaux. )

Malheureusement, les règles ont donné à la FCC beaucoup de pouvoir sur presque tout ce qui concerne Internet, le tout au nom de la promotion de la diversité, de l’équité et de l’inclusion. En d’autres termes, les nouvelles règles pourraient permettre à la FCC de censurer et de contrôler les fournisseurs de services Internet sur la base de lois vagues sur l’équité. Il ne se concentre pas uniquement sur la discrimination évidente ; il examine également les « résultats disparates », ce qui signifie qu’Internet doit être parfaitement équitable, sinon le gouvernement américain pourrait intervenir.

Le commissaire de la FCC qualifie les nouvelles règles de « dangereux excès de pouvoir du gouvernement »

Les critiques, dont le commissaire de la FCC, Brendan Carr, affirment que cette décision représente un excès dangereux de pouvoir gouvernemental .

Carr estime que le plan donne au gouvernement trop de contrôle sur l’ensemble du secteur Internet et le qualifie de « prise de pouvoir illégale ». Il pense que le plan s’oriente vers une planification centralisée plutôt que vers un capitalisme de libre marché.

« Ces règles donneraient au gouvernement fédéral un mandat itinérant pour gérer presque tous les aspects du fonctionnement d’Internet – depuis la façon dont les FAI allouent le capital et où ils construisent jusqu’aux services que les consommateurs peuvent acheter; depuis les bénéfices que les FAI peuvent réaliser et comment ils commercialisent et faire de la publicité pour les services liés aux remises et aux promotions que les consommateurs peuvent recevoir », a déclaré Carr.

Le commissaire a noté que le plan va au-delà du seul secteur des communications et pourrait réglementer diverses industries comme les propriétaires, la construction, le marketing, les banques et même le gouvernement. Il craint également que la FCC puisse appliquer des règles même sans preuve de discrimination intentionnelle.

« Même en l’absence de toute preuve de discrimination intentionnelle, le plan Biden stipule que la FCC peut imposer une responsabilité potentiellement illimitée si l’agence constate qu’un acte ou même une omission d’agir a entraîné un impact disparate sur la base du propre jugement de la FCC. Lecture « Cette théorie de la responsabilité dans la loi entre en conflit avec le précédent de la Cour suprême en matière de droits civils. La FCC ne devrait pas l’adopter », a déclaré Carr.

Kyle Becker, ancien écrivain et producteur associé pour Fox News, ne peut s’empêcher de désapprouver X, anciennement Twitter.

« C’est ainsi que la politique Woke – enracinée dans la théorie critique de la race – conduit à une prise de contrôle complète de tous les aspects de la vie américaine. L' »équité » et la politique identitaire sont utilisées pour renverser les institutions de la nation. La première étape vers une cabale fantôme mondialiste prenant le pouvoir. « Ce pays prend le contrôle et contrôle nos informations. Aujourd’hui, nous avons vu le régime Biden faire un pas audacieux vers cette fin corrompue. Alarmant », a-t-il tweeté .

Visitez PrivacyWatch.news pour plus d’histoires comme celle-ci.

Regardez cette vidéo sur la confidentialité et la surveillance en ligne .

https://www.brighteon.com/embed/0213fa0d-5a9f-4d70-b9b8-a778e876a9f8

Cette vidéo provient de la chaîne Daily Videos sur Brighteon.com .

Plus d’histoires connexes:

Un sous-traitant de la surveillance du FBI a infiltré les salons de discussion et surveillé les sceptiques des vaccins COVID.

Gates et ses amis mondialistes s’apprêtent à accélérer l’INFRASTRUCTURE PUBLIQUE NUMÉRIQUE dans 50 pays d’ici 2028.

La gouverneure de New York, Kathy Hochul, ordonne la surveillance des plateformes de médias sociaux pour signaler les critiques à l’égard d’Israël comme étant des « discours de haine ».

Fichiers Twitter : le gouvernement américain a contribué au lancement d’un projet dans lequel des millions de publications en ligne ont été signalées pour censure.

« La vérité officielle » : la fin de la liberté d’expression qui mettra fin à l’Amérique.

Les sources incluent :

100PercentFedUp.com

TheHighwire.com

TheBlaze.com

Brighteon.com

Source : News Target

 

_____________________________________________________

Les policiers ont désormais accès à des milliards d’enregistrements téléphoniques aux États-Unis, grâce au programme secret de surveillance de la Maison Blanche.

Par Ethan Huff

Depuis au moins 10 ans, le gouvernement fédéral gère un programme secret d’espionnage et de surveillance qui permet aux forces de l’ordre de tout le pays d’accéder à volonté aux enregistrements téléphoniques nationaux.

Le programme, connu sous le nom de Data Analytical Services (DAS), permet depuis plus d’une décennie aux forces de l’ordre fédérales, étatiques et locales d’obtenir des détails sur les appels passés par les Américains, notamment en analysant les enregistrements téléphoniques spécifiques de personnes qui ne sont soupçonnées d’aucun crime. crime, y compris les victimes.

Nous avons entendu parler de ce programme d’espionnage secret grâce à une lettre récemment envoyée par le sénateur américain Ron Wyden (Démocrate de l’Oregon) au ministère de la Justice (DOJ) contestant sa légalité. Le DAS est particulièrement préoccupant car il utilise une technique appelée analyse en chaîne qui cible non seulement les personnes qui appellent directement un suspect criminel, mais également d’autres personnes avec lesquelles ces mêmes personnes ont pu être en contact.

Anciennement connu sous le nom d’Hemisphere, DAS opère en coordination avec le géant des télécommunications AT&T, qui capture et analyse les enregistrements d’appels américains pour le compte des forces de l’ordre du pays, selon un mémo de la Maison Blanche.

La Maison Blanche aurait contribué plus de 6 millions de dollars au programme, qui permet essentiellement au gouvernement de cibler les enregistrements de tous les appels utilisant l’infrastructure d’AT&T, décrite par WIRED comme « un labyrinthe de routeurs et de commutateurs qui sillonnent les États-Unis ».

(Connexe : Pendant la « pandémie » de COVID, nous avons signalé que pratiquement tous les sites Web d’information du gouvernement étaient des opérations secrètes d’espionnage.)

Le sénateur Wyden exprime de « sérieuses inquiétudes quant à la légalité » du programme DAS

Dans sa lettre, adressée au procureur général Merrick Garland, le sénateur Wyden a écrit qu’il avait de « sérieuses inquiétudes quant à la légalité » du programme DAS, citant des « informations troublantes » qu’il avait reçues à ce sujet et qui « indigneraient à juste titre de nombreux Américains et autres ». membres du Congrès. »

Le sénateur Wyden a déclaré que le DOJ lui avait fourni confidentiellement ces informations, qu’il qualifie de « sensibles mais non classifiées », ce qui signifie qu’il lui est interdit de les divulguer au public même si elles ne présentent aucun risque pour la « sécurité nationale » telle que définie par la profonde État.

AT&T gagne beaucoup d’argent grâce à sa participation dans DAS. La société collecte et stocke volontairement des enregistrements d’appels d’Américains sur de nombreuses années à des fins d’application de la loi. Dans certains cas, ces données ont été volées – le collectif de transparence Distributed Denial of Secrets a publié un rapport en 2020 citant « des centaines de gigaoctets » d’enregistrements téléphoniques volés au programme.

Les preuves recueillies auprès du DAS et examinées par WIRED montrent qu’il existe une variété de processus et de justifications que les forces de l’ordre utilisent pour continuer à surveiller les enregistrements d’appels non seulement des suspects criminels, mais également de leurs familles et amis.

Alors que le DAS est techniquement géré dans le cadre d’un programme consacré au trafic de drogue, un dossier divulgué par le Northern California Regional Intelligence Center (NCRIC) montre que les services de police locaux en abusent pour des affaires qui ne semblent apparemment pas liées à la drogue.

Le New York Times a été le premier à rendre compte de Hemisphere, comme on l’appelait alors, en septembre 2013, la même année où il a également été rebaptisé DAS. Depuis lors, le programme est passé largement inaperçu et peu d’Américains ou de personnes connaissant son existence.

Le Times a obtenu à l’époque des documents internes montrant que les forces de l’ordre qui utilisent le programme ne devaient jamais en faire mention dans aucun document officiel. En d’autres termes, le DAS fonctionne intentionnellement dans le secret.

Les données collectées via DAS n’incluent pas les conversations réelles des appels, mais plutôt une série d’informations d’identification les concernant, notamment les noms de l’appelant et du destinataire, les numéros de téléphone ainsi que les dates et heures des appels.

Les dernières nouvelles sur les opérations d’espionnage du gouvernement peuvent être trouvées sur Surveillance.news .

Les sources de cet article incluent :

WIRED.com

NaturalNews.com

Source : News Target

Partager cet article
Repost0

Pages