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28 janvier 2021 4 28 /01 /janvier /2021 17:09

Maître Brusa évoque la situation actuelle au niveau politique et juridique concernant l'évolution des vaccins à thérapie génique ainsi que les mesures de confinements qui ont été dénoncées par plusieurs pays en Europe.

La vidéo est longue mais vaut le détour, Merci de la visionner ç'est important !

 

Le tribunal régional de Weimar déclare inconstitutionnel le confinement voir article ci dessous.

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 19:54

Le système tel qu'il est sans fioriture par Valerie Bugault, une interview excellente !

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 19:28

Malgré l’interdiction liée au Covid-19, à Paris et en banlieue, des restaurants accueillent encore des convives dans leur arrière-salle. Nous avons pu manger dans certains d’entre eux où se mêlent à table policiers, magistrats, ou simples fidèles du quartier.

 

Comme sous la prohibition

Prohibition: The battle over booze - Chicago Tribune

 

Ce sont des adresses rares, de celles dont on entend parler à voix basse, entre initiés. Parfois, c'est en passant à l'improviste devant une devanture de restaurant fermé, qu'on peut surprendre un attroupement ou des rires s'échapper d'une arrière-salle. Mais la consigne est claire : discrétion de rigueur.

Alors que la grande majorité des restaurants ont baissé le rideau ou uniquement maintenu une activité de vente à emporter, conformément aux normes sanitaires mises en place face à la pandémie, des tables à Paris et dans sa proche banlieue servent encore, sur place, pour les habitués. «Mais ils se refilent le tuyau et on finit par avoir les amis, puis les amis d'amis», reconnaît un restaurateur du XIIe arrondissement, qui réalise quarante couverts chaque midi.

D'autres adresses, plus raffinées, comme ici dans le VIe, ont parmi leurs clients des politiques et des hommes d'affaires qui passent par une conciergerie de luxe. «On m'a proposé de choisir parmi 19 restaurants, uniquement dans des arrondissements huppés», montre l'un d'eux.

Et non loin d'un tribunal parisien, le midi, un restaurant accueille sa clientèle traditionnelle : des policiers et magistrats ! Ici, juste un rideau tiré permet d'être invisible de la rue. Les habitués pénètrent directement dans l'arrière-salle par l'entrée de service, qui n'est pas verrouillée. Ceux, comme nous, qui sont recommandés mais ne connaissent pas les lieux, se présentent, un peu gênés, au comptoir.

«Les policiers du coin ferment les yeux»

«On vient pour manger», ose-t-on. La gérante reste interloquée quelques secondes. Et demande quelle est notre commande. Puis quand on détaille notre réservation, elle se détend. «Il fallait me le dire tout de suite, j'ai eu un peu peur d'un contrôle», souffle-t-elle. Car du bar, on aperçoit deux tables parmi la vingtaine qui sont dressées.

Le chef est moins stressé. «Bien sûr, on craint d'être dénoncé par des jaloux, mais en fait, les policiers du coin sont au courant, ils ferment les yeux», glisse-t-il. Et pour cause, parmi la trentaine de gangsters de la fourchette qui profitent d'un bon repas, certains sont gardiens de la paix.

Un coup de fil interrompt les restaurateurs. Une magistrate du parquet vient de réserver une table à la dernière minute. Elle arrivera quelques instants plus tard à la table juste derrière nous, avec une collègue… Bien entourés, nous pouvons commander dans ce lieu où le gel et les masques n'ont pas cours. Et, bonne surprise, les prix ne sont pas prohibitifs. Le menu avec trois choix d'entrées et de plats est facturé 20 euros.

«On est pleins tous les midis»

«Le poisson du jour, du bar, est délicieux», selon nos voisins avec qui on finit par discuter, proximité oblige : «On est restaurateurs nous aussi, on est fermés et ça nous pèse, souffle le couple. Le plafond des aides de l'Etat de 10 000 euros, ce n'est pas suffisant pour un énorme établissement comme le nôtre. Mais vu notre devanture, ce serait compliqué d'ouvrir discrètement.»

«Si j'ouvre c'est pour faire plaisir à mes clients, on est plein tous les midis. Mais c'est vrai qu'avec les aides et cette ouverture illégale, ça permet de survivre. Si on arrêtait, on serait mort», avance le chef qui reconnaît «n'avoir jamais fermé, même durant le premier confinement». Il embraye : « Franchement, manger dans un resto, ça ne craint pas davantage que de prendre le métro ou d'aller dans la cantine d'une entreprise.»

Dans le XVIe arrondissement, il faut en revanche se montrer bien plus discret pour avoir la chance de s'asseoir dans ce restaurant recommandé par une connaissance. Rendez-vous a été pris la veille, par texto. «Bonjour, c'est Gildas (les prénoms ont été modifiés) qui m'envoie. Est-il possible de réserver à 13h15 ?» La réponse est immédiate : «Bien sûr ! En entrant, donnez juste votre prénom et surtout rien d'autre devant les clients qui attendent pour la vente à emporter.»

En arrivant, on se présente à l'hôte en prenant soin de décliner l'identité de l'ami qui nous recommande. «Dépêchez-vous !» nous enjoint-il, visiblement stressé, en nous montrant le fond de la pièce.

«C'est juste une façon de survivre, une manière de résister»

Après un détour par une cour extérieure et la cuisine où l'on se faufile, entre une marmite fumante et un cuisinier affairé, nous voilà dans une deuxième salle, obscure et enfumée, où les rires fusent. «Aujourd'hui, c'est plein, désolé vous êtes un peu serrés», s'excuse le propriétaire. C'est peu dire. On s'assoit sur une confortable banquette, mais engoncé entre deux tables espacées d'une vingtaine de centimètres de la nôtre.

A côté de nous, l'un d'eux lance, rigolard : «On a du bol d'avoir une table, on a réservé il y a dix minutes. En même temps, je pouvais dire au patron : si tu nous trouves pas de place, je te balance aux flics !» Éclat de rire général, l'ambiance est potache. Nous sommes ici entre habitués qui n'hésitent même pas à griller une cigarette, appellent le patron par son prénom, se tutoient et sont ravis de pouvoir déjeuner dans leur «cantine».

Le patron, lui, revendique son statut de «clandé». «Il faut que la vie continue. C'est juste une façon de survivre, une manière de résister», explique-t-il.

30 à 40% de son chiffre d'affaires habituel

Cette ouverture illégale n'était pas préméditée. «Nous avons respecté le premier confinement. Au printemps dernier, on avait même fermé intégralement», poursuit-il. Mais un beau jour, quand l'un de ses clients fidèles lui a demandé pour la énième fois de s'asseoir, au chaud, pour déjeuner, Pascal a fini par céder. «C'est gagnant-gagnant, assume-t-il. On permet aux gens de se faire plaisir et nous on gagne un peu d'argent.»

Pour autant, la période ne lui permet pas de faire son chiffre d'affaires habituel, mais environ 30 à 40%. Conscient de la « prise de risque », il estime qu'il ne pourra pas se relever financièrement s'il se fait verbaliser mais, agacé par les tâtonnements du gouvernement et le flou ambiant, se dit prêt à continuer jusqu'au bout. Et d'ajouter : «Il y a même des clients qui me disent : c'est sympa d'ouvrir clandestinement ! Tu pourrais continuer à faire ça, à fermer le rideau après la réouverture non ?»

Les habitués n'hésitent pas à griller une cigarette

Cette proximité avec sa clientèle, le patron d'un restaurant situé dans un quartier d'affaire du sud de la capitale la revendique aussi. «On n'a pas envie qu'ils aillent manger ailleurs quand ça rouvrira partout, alors on les fidélise», sourit-il. De la rue, sa terrasse empêche de voir l'intérieur.

«On est bien contents de manger ici, reconnaît un financier, venu avec cinq de ses collègues. On n'en pouvait plus de manger des sandwiches.» Ils ont eu vent de la combine par un concurrent d'une boîte spécialisée dans l'investissement immobilier : «On sait ce qu'on doit à ce resto, on a conscience des risques qu'il prend.»

Ici, une trentaine de couverts sont dressés chaque midi, contre plus d'une centaine en temps normal. «La carte est réduite, mais on mange bien», savoure l'un des financiers qui s'allume une cigarette. «On est dans la clandestinité déjà donc un peu plus, un peu moins…» lâche le patron. Lui non plus n'a jamais fermé.

En banlieue aussi

Mezzanine ou petite salle en sous-sol sont les atouts de la plupart de ces lieux interdits qui tentent de vivre en dehors des regards. En proche banlieue aussi, quelques restaurants restent ouverts. En Seine-Saint-Denis, une arrière-salle permet de goûter la cuisine française d'une brasserie. Grâce à un ami du gérant, on s'invite, un soir. «D'habitude ce n'est pas aménagé comme ça, mais on a voulu rendre le lieu plus chaleureux», assure le restaurateur, qui a installé des coussins sur les sièges et mis des nappes en tissu.

«On a un peu plus de temps, alors on soigne la clientèle», reprend-il. Son sauté d'agneau nous rappelle combien il est agréable de manger le plat d'un chef. Il n'a rouvert qu'à l'automne, sa cuisine lui manquait et le besoin d'argent se faisait sentir. «J'ai envoyé un SMS à la plupart de mes clients pour prendre des nouvelles, explique-t-il. Et tous m'ont demandé si je servais au moins un verre au bar. Alors j'ai franchi le pas.»

Offre spéciale à l'hôtel : une chambre et un repas pour le prix d'une amende

Du côté de l'Umih (union des métiers et des industries de l'hôtellerie), le principal syndicat du secteur, on botte en touche quand on pose des questions sur ce phénomène : «Je n'en avais pas entendu parler. Ça reste très marginal et ce sujet n'est pas abordé au sein du syndicat, tempère Hubert Jan, responsable des restaurateurs. Ne plus pouvoir servir en salle crée un manque psychologique chez certains qu'ils essayent sans doute de combler de cette façon. Mais ceux qui ouvrent s'exposent à un grand nombre de désagréments (NDLR : fermeture administrative entraînant la perte des aides) »

Mais les policiers n'ont pas fait de la traque des restaurants clandestins une priorité. «On n'a même aucune consigne à ce sujet et on n'organise aucun dispositif ou aucune patrouille spécifiques pour ce type de faits», avance un commissaire parisien.

Et puis, les restaurants n'ont pas le monopole de ces ouvertures en cachette. Les hôtels proposent aussi des dîners ou des déjeuners à ceux qui ont réservé une chambre. «En réponse au couvre-feu, au Terrasse hôtel, on propose une offre dîner + chambre au prix de l'amende, soit 135 euros», annonce-t-on sur une publicité. «Mais ce sont des repas servis en chambre», rectifie immédiatement au bout du fil l'un des gérants de l'établissement.

D'autres hôtels sont moins regardants. «On a pris une chambre et on est venus à six pour manger au restaurant, il y avait quatre autres grandes tables», relate ainsi le client d'un hôtel spa de luxe dans le XVIe arrondissement.

391 verbalisations depuis novembre

«Compte tenu de la discrétion dont font preuve les gérants, [...] les policiers exploitent les renseignements provenant de signalements et des réseaux sociaux», indique la préfecture de police. Selon son décompte, dans Paris et sa banlieue, 391 bars et restaurants ont été verbalisés depuis novembre pour ouverture irrégulière, dont 207 dans la capitale. 21 établissements ont été fermés en janvier et 5 demandes de fermeture sont en cours. Ainsi, dans le XVIIe arrondissement, un restaurant a été fermé pour présence de clients à l’intérieur malgré le couvrefeu. A Colombes (Hauts-de-Seine), l’un a été fermé pour non-port du masque du personnel, et un autre pour le non-port du masque de clients à l’intérieur.
 
Source: Le Parisien
 
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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 19:24

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 19:22
Plainte pénale pour génocide des Français contre Macron, ses ministres et son administration

 

Plainte pénale pour génocide du peuple français contre Macron, ses ministres et son administration
Klaus Hausmann

 

Auteur(s): FranceSoir

 

Après les saisies chez divers ministres ou ancien ministres (Edouard Philippe, Olivier Véran, Agnès Buzyn), ce 1er décembre, une plainte au pénal pour "génocide du peuple français" a été déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration.

Pierre-Alain Depauw, de medias-presse.info, rapporte que Mme Bonny encourage chacun à adresser copie de cette plainte aux parlementaires, à son député et son sénateur.

La plainte a été transmise en français avec traduction dans six autres langues : allemand, anglais, espagnol, italien, danois, néerlandais.

La plainte complète est reproduite ci-dessous.


A Mesdames et Messieurs les parlementaires, 

à Monsieur François Molins, Procureur général près la Cour de cassation,
à Monsieur Rémy Heitz, Procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris,

Je soussignée, Madame Marion BONNY, née le 9 décembre 1980 à Nice (06), de nationalité française, thérapeute domiciliée xxxxxxx.

Ancien médecin militaire formée aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires. Suite à une blessure de guerre j’ai été réformée le 14 juillet 2020, à cause de mes séquelles d’un syndrome de stress post traumatique suite à une mission de cinq mois en Afghanistan.

Après huit ans de psychothérapie, je me suis spécialisée dans la prise en charge des traumatismes psychiques. Désormais je n’exerce plus la médecine. Je préfère, dans ma thérapeutique, faire le lien que je crois essentiel entre l’histoire émotionnelle du patient et la survenue d’une maladie, car l’environnement socio-économique et le contexte émotionnel sont des facteurs importants de notre état de santé global.

Forte de mon expérience, je veux contribuer à mettre un terme aux abus du gouvernement dans le cadre de la crise sanitaire, épidémie ou pandémie dite du « coronavirus », puis du « covid-19 ».

La population de notre pays subit depuis le mois de janvier 2020 une insupportable persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires et par des mesures en tous sens : « gestes barrières », masque déconseillés puis obligatoire, confinements à échelle variable, couvre-feu, obligation de rester chez soi sans soins en cas de symptômes, drame des EPHAD, fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants et des dancings, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mises au chômage, travail et enseignement à distance etc.

Cela se paie d’une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont sources de traumatismes psychiques qui auront toujours plus de conséquences (isolement, violence, burn-out, dépression, intoxications médicamenteuses, usages de stupéfiants, suicide). En particulier, les jeunes générations sont privées d’un accès au savoir qu’elles ne rattraperont jamais, et spécialement les tout petits sont en danger, parce qu’ils sont privés de phases essentielles à l’humanisation (depuis leur premier souffle jusqu’aux années d’apprentissage de la parole et de la socialisation).

L’argument du protocole sanitaire doit être sérieusement interrogé. Nombre de scientifiques se sont élevés, en vain, contre l’absurdité des mesures prises. Derrière l’irresponsabilité d’un appareil administratif aveugle, il ne faut écarter ni l’œuvre de corruption d’une industrie pharmaceutique orientée exclusivement par la soif de profit, ni la possibilité de la volonté délibérée d’un ennemi invisible qui se sert de la crise sanitaire comme d’un prétexte.

Il est nécessaire d’établir ce fait par une enquête indépendante, sérieuse et objective, notamment en clarifiant les conflits d’intérêts entre gouvernants, administratifs et lobby pharmaceutique.

Parmi les nombreuses infractions en cause, la principale et la plus claire à établir est celle qui figure à l’article 211-1 du code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

C’est pourquoi

Vu que d’après l’article 68 de la Constitution et la Loi organique du 24 novembre 2014, dans le cas de manquement aux devoirs d’un Président de la République manifestement incompatible avec l’exercice d’un mandat, une Haute Cour peut prononcer la destitution du chef de l’Etat. L’initiative de cette procédure appartient à un dixième des parlementaires de l’une ou l’autre chambre qui déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour.

Vu l’article 68-2 de la Constitution du 4 octobre 1958 et les articles 13 et suivants de la loi n°93-1252 du 23 novembre 1993 sur la Cour de justice de la République, étant donné que pour la saisine de la Cour de Justice de la République, s’agissant de la responsabilité de ministres, le procureur général près la Cour de cassation peut agir d’office.

Vu l’article 40 du code de procédure pénal et la compétence des magistrats judiciaires, s’agissant de voie de fait et de crime commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions.

J’ai l’honneur de porter plainte, en tant que victime individuelle directe, contre le chef de l’Etat, contre ses ministres et contre son administration, et par conséquent, la chaîne de commandement et la spécialisation des procédures commandant une action trine,

De demander

Au parlementaire, de prendre l’initiative de déposer une proposition de résolution portant mise en accusation du président de la République, Emmanuel MACRON,

A Monsieur le Procureur Général près la cour de cassation, de saisir d’office la Cour de justice de la République concernant les premiers ministres, les ministres de la santé et de l’intérieur en exercice depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Nommément Madame Agnès BUZYN et Messieurs Edouard PHILIPPE, Jean CASTEX, Gérald DARMANIN, Olivier VERAN ainsi que tous ceux dont l’enquête déterminera la responsabilité,

A Monsieur le Procureur de la République, d’ouvrir une enquête afin de déterminer les négligences et les intentions, et, en fonction des résultats de cette enquête, de requérir les mises en examen nécessaires.

Sous toutes réserves

Le 30 novembre 2020

Marion BONNY
 

Madame ou Monsieur le sénateur

Palais du Luxembourg

15, rue de Vaugirard

75291 PARIS Cedex 06
 

Madame ou Monsieur le député

Assemblée nationale

126 rue de l’Université

75355 Paris 07 SP

 

Monsieur le Procureur près la Cour de cassation

Cour de cassation

5 quai de l’Horloge – TSA 19201

75055 Paris Cedex 01

 

Monsieur le Procureur de la République

Parvis du Tribunal de Paris

75017 PARIS

 
 

Auteur(s): FranceSoir

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 19:11

Méfiez vous de ce que vous dites et faites ! La Stasi opère !

Outre la radicalisation il y a le rajout de théories complotistes et conspirationnistes.

 

 

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 18:40

https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/0/1/dcb1782581d26be67d6cbf13cf89d1a05fe6f96b975f0d89c5823453c74a50/psautier-saint-Michel-Heidelberg-datant-XIe-siecle-represente-larche-dallianceen-dessous-David-entoure-musiciens_0_972_1226.jpg?u=https%3A%2F%2Fimg.aws.la-croix.com%2F2018%2F05%2F05%2F1100936774%2Fpsautier-saint-Michel-Heidelberg-datant-XIe-siecle-represente-larche-dallianceen-dessous-David-entoure-musiciens_0_972_1226.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1

Il semble bien que les temps soient sur une trajectoire inquiétante, cette offensive me fait fort penser à ces recherches qu'opéraient les nazis durant la seconde guerre mondiale, là on va s'attaquer à un prêtre gardien de la traditionnelle arche d'Aksoum, ainsi qu'une population non armée, résultat 750 tuées. C'est un véritable scandale !

 

 

Environ 750 personnes ont été tuées lors d’une attaque contre une église orthodoxe, qui contiendrait l’Arche d’alliance décrite dans le Livre de l’Exode dans la Bible, dans la région du Tigré, au nord de l’Éthiopie, déchirée par la guerre – où se trouvent des milliers d’églises et de monastères – selon les rapports.

Des centaines de personnes se cachant dans l’église Maryam Tsiyon à Aksum au milieu d’un conflit armé ont été emmenées et tuées par balle. Les habitants locaux pensent que l’objectif était d’amener l’Arche d’alliance à Addis-Abeba, le programme extérieur européen avec l’Afrique, basé en Belgique et à but non lucratif, dont il est fait état dans le rapport de situation de ce mois, publié le 9 janvier.

“Le nombre de personnes tuées s’élèverait à 750”, selon le rapport. L’église, la plus ancienne et la plus sacrée du christianisme éthiopien, également connue sous le nom d’église Sainte Marie de Sion, appartient à l’église orthodoxe éthiopienne Tewahedo.

“Je n’ai pas entendu plus que des rumeurs sur le pillage de l’Arche de Maryam Tsion, mais s’il est vrai que jusqu’à 750 personnes sont mortes en la défendant, il est concevable que les attaquants ne se soient pas arrêtés là”, a déclaré Michael Gervers, professeur d’histoire à l’Université de Toronto, selon The Telegraph.

 

https://s2.qwant.com/thumbr/0x0/7/b/6f33f47900b3f099ffb0633892b4cdf4034f9d5a39c57b2300e21898512199/E%CC%81thiopie,+L%E2%80%99Arche+D%E2%80%99Alliance%E2%80%A61.jpg?u=https%3A%2F%2F2.bp.blogspot.com%2F-jjuf9y7GuCk%2FU2oB7_b9ODI%2FAAAAAAAAdhU%2FBr8c4UbbEgQ%2Fs1600%2FE%25CC%2581thiopie%2C%2BL%25E2%2580%2599Arche%2BD%25E2%2580%2599Alliance%25E2%2580%25A61.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1

“Le gouvernement et les Erythréens veulent anéantir la culture tigréenne. Ils pensent qu’ils sont meilleurs que le reste de la population du pays. Le pillage vise à détruire et à supprimer la présence culturelle du Tigré”, a expliqué M. Gervers.

L’ancien rédacteur en chef de BBC World Service Africa et chercheur principal à l’Institut des études du Commonwealth, Martin Plaut, a déclaré que ceux qui ont échappé au massacre d’Axoum avaient rapporté que l’attaque avait commencé après que des troupes fédérales éthiopiennes et la milice Amhara se sont approchées de l’église, a rapporté le Church Times britannique.

Les gens étaient inquiets pour la sécurité de l’Arche, et quand ils ont entendu que des troupes approchaient, ils ont craint qu’elles ne soient venues la voler. Tous ceux qui se trouvaient à l’intérieur de la cathédrale ont été forcés de sortir sur la place”, aurait déclaré Plaut.

On pense qu’un millier de personnes se trouvaient dans le complexe de l’église au moment de l’attaque. L’EEPA a déclaré que le massacre a été perpétré par les troupes fédérales éthiopiennes et les milices alliées d’Amhara qui combattent le Front populaire de libération du Tigré.

“L’église et l’Arche n’ont probablement pas été endommagées”, a ajouté M. Plaut.

Les combats ont commencé au Tigré depuis le 4 novembre, lorsque le parti politique au pouvoir dans la région, le Front populaire de libération du Tigré, a capturé la base militaire du Commandement du Nord dans la capitale régionale Mekelle, dans le cadre d’un soulèvement, après quoi le Premier ministre Abiy Ahmed a ordonné une offensive militaire. Le 28 novembre, Abiy a affirmé que la Force de défense nationale éthiopienne avait repris le “commandement total” de Mekelle.

Cependant, les humanitaires affirment que les combats continuent.

 
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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 18:13

Le professeur John William Frank est un scientifique reconnu qui possède près d’un demi-siècle d’expérience dans les domaines liés à la santé. Il exhorte le monde à arrêter le déploiement de la 5G jusqu’à ce que nous soyons sûrs que la 5G ne nuit pas aux humains.

 

https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/1/4/6494cd0c81f0e44f5877edf5213dc74fc285d6d3effc3fc8d8c0240375fc6b/les-aventuriers-de-l-entrepot-perdu.jpg?u=https%3A%2F%2Fwww.blagues-et-dessins.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2020%2F09%2Fles-aventuriers-de-l-entrepot-perdu.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1

Dans notre réalité actuelle, il s’agit d’une affirmation controversée, car toute affirmation différente de celles de la presse officielle de l’establishment est “controversée”. Lorsque les médias qualifient une allégation de “controversée”, ils disent : “nous, les médias, sommes impliqués dans une controverse avec la personne qui fait cette allégation, parce qu’elle n’est pas d’accord avec nous”.

 

Si les gens étaient autorisés à demander la preuve que certaines choses auxquelles ils vont être exposés n’auront pas d’effets négatifs à court ou à long terme, la sécurité et les mérites de plusieurs autres choses, y compris le vaccin contre le coronavirus, seraient ouverts aux débats.

La devise que les chefs suprêmes veulent imposer aux masses de gens, en ce moment, est “tirer d’abord, et ne jamais poser de questions”.

Via Study Finds :

Alors que l’humanité entre dans les années 2020, la plupart des pays du monde attendent avec impatience le lancement du nouveau signal de cinquième génération (5G) pour leurs appareils numériques. Alors que les géants des télécommunications promettent que ce nouveau réseau offrira plus de connectivité que jamais, certains s’inquiètent encore des effets de ces signaux à haute intensité sur la santé humaine. Un professeur de l’université d’Édimbourg va encore plus loin en demandant aux pays et aux fournisseurs de réseaux d’arrêter le déploiement de la 5G jusqu’à ce qu’il soit prouvé que ses ondes radio sont sans danger pour l’homme.

Dans un article d’opinion paru dans le Journal of Epidemiology & Community Health, le professeur John William Frank de l’Institut Usher affirme que les champs électromagnétiques de radiofréquence (RF-EMF) peuvent être potentiellement nocifs pour les personnes. Il affirme que la densité d’émission dont le signal 5G a besoin finira par exposer davantage de personnes à des niveaux élevés de RF-EMF.

L’étude note que la 5G est célébrée dans le monde entier comme une nouvelle ère pour les télécommunications, apportant aux utilisateurs du téléphone et de l’internet des avantages à la fois économiques et liés au mode de vie. Les implications sanitaires de ces ondes radio continuent cependant à susciter des débats entre les scientifiques.

Selon le professeur Frank, il y a quatre domaines critiques de préoccupation qui n’ont pas été abordés en ce qui concerne la 5G. Tout d’abord, M. Frank affirme qu’il y a un manque d’informations claires sur la technologie utilisée par les entreprises de télécommunications pour fabriquer le réseau 5G. En même temps, il y a un nombre croissant de recherches qui indiquent que les RF-EMF perturbent la biologie humaine.

Deuxièmement, Frank affirme qu’il y a un manque presque total d’études épidémiologiques sur les impacts de l’exposition aux 5G sur la santé. Le professeur est également préoccupé par les nouvelles études sur la santé qui montrent que l’exposition à des signaux plus anciens (comme les 3G et 4G) peut également causer des problèmes de santé.

Enfin, M. Frank souligne les accusations selon lesquelles certaines autorités nationales de régulation des télécommunications ne basent pas leurs normes de sécurité RF-EMF sur la science moderne, car des politiques plus strictes pourraient entraîner un conflit d’intérêts.

[…]

Malgré d’autres études déclarant généralement les signaux 5G inoffensifs pour l’homme, le professeur Frank affirme que beaucoup d’entre eux sont de “qualité scientifique variable”.

Les chercheurs ajoutent qu’il y a “un nombre croissant d’ingénieurs, de scientifiques et de médecins au niveau international… qui demandent aux gouvernements de relever leurs normes de sécurité pour les RF-EMF, de commander des recherches plus nombreuses et de meilleure qualité, et de retarder toute nouvelle augmentation de l’exposition du public, en attendant des preuves de sécurité plus claires”.

L’étude note que les limites de sécurité maximales actuelles pour l’exposition aux RF-EMF varient considérablement selon le pays dans lequel vous vivez. En outre, la définition de “5G” n’est même pas encore cohérente en ce qui concerne sa technologie et les composants que chaque entreprise utilise.

“Il est fort probable que chacune de ces nombreuses formes de transmission provoque des effets biologiques quelque peu différents, ce qui rend pratiquement impossible une recherche solide, complète et actualisée sur ces effets”, explique Frank dans un communiqué de presse.

L’étude révèle qu’il existe des preuves récentes que l’exposition aux RF-EMF peut avoir des effets très variés sur la santé reproductive, fœtale, oncologique, neuropsychiatrique, cutanée, oculaire et immunologique. Il n’y a cependant aucune preuve que ces ondes radioélectriques sont à l’origine de la propagation du COVID-19.

Le timing du déploiement de la 5G en relation avec la pandémie de coronavirus, l’obsession de tenir Huawei à l’écart des infrastructures des télécommunications et les réactions cinglantes contre les personnes soulevant certaines préoccupations “controversées” devraient au moins faire sourciller.

 

Source

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 18:10
La légende de l'investissement voit un crash "spectaculaire" dans "les prochains mois"
Photo de Tyler Durden
par Tyler Durden
Samedi 23 janvier 2021-11: 55

Il y a deux semaines, l'icône de l'investissement Jeremy Grantham est devenu apocalyptique et a averti que "l' éclatement de cette" grande bulle épique "sera" l'événement d'investissement le plus important de votre vie ". Depuis lors, le marché a généralement continué de fondre, mais la conviction de Grantham que tout cela se terminera en larmes n'a fait que grandir, et dans une interview avec Bloomberg aujourd'hui, le cofondateur d'OGM qui a correctement appelé les deux derniers accidents, prédit désormais que le plan de reprise économique de Joe Biden propulsera les actions vers de nouveaux sommets périlleux, suivi d'un crash inévitable.

"Nous aurons quelques semaines d'argent supplémentaire et quelques semaines pour mettre vos derniers jetons désespérés dans le jeu, puis un buste encore plus spectaculaire", a déclaré la légende de l'investissement de valeur dans une interview de Bloomberg "Front Row".

«Quand on a atteint ce niveau de super-enthousiasme évident, la bulle s'est toujours, sans exception, brisée dans les prochains mois, pas quelques années.»

Au milieu de l'euphorie du marché, qui n'a jamais été vue - littéralement - comme le montre le graphique suivant de Citi ...

 

... et qui a incité Citi , BofA et Goldman à tous avertir qu'une vente semble imminente, et qui a été alimentée par un comportement à risque financé par la dernière série de contrôles de secours en cas de pandémie, Grantham a «sans aucun doute» au moins une partie des les 1,9 billion de dollars d'aide fédérale que Biden demande au Congrès finiront par être dépensés en stocks au lieu de nourriture ou d'abri.

Alors que cela aidera à pousser les actions encore plus haut, Grantham voit alors tout se terminer en larmes, ou plutôt un effondrement rivalisant avec le krach de 1929 ou le buste dot-com de 2000, lorsque le Nasdaq cratère 80% avant de se redresser grâce à des billions de plus en Fed " stimmy "chèques.

Et tandis que certains investisseurs (de moins en moins nombreux) affirment que les évaluations actuelles sont justifiées par le potentiel de croissance des technologies transformatrices et des nouveaux modèles commerciaux, Grantham, 82 ans, rejette cet argument comme étant fantaisiste et rejette la théorie populaire selon laquelle la Réserve fédérale peut amortir ou même le prochain crash avec encore plus de QE ou d'assouplissement.

«Aux taux les plus bas de l'histoire, vous n'avez pas grand-chose à mettre sur la table, n'est-ce pas?» il a dit.

Malheureusement pour Grantham, et sa réputation désormais cimentée en tant que perma-bear qui rate les rallyes, la bourse s'est moquée de tous les avertissements qu'elle s'effondrerait et ne cesse de monter.

Certes, comme nous l'avons signalé l'année dernière, la position baissière des OGM a été coûteuse car les actifs sous gestion ont chuté de dizaines de milliards de dollars au cours du marché haussier qui a duré une décennie, alors que la société s'est éloignée des actions de croissance. Puis en avril, GMO a doublé, isolant ses portefeuilles des paris directionnels sur le marché et ratant largement la deuxième étape du rebond de 2020.

Comme le note Bloomberg, Grantham pensait que l'économie était sur un terrain instable avant même la pandémie et il était préoccupé par la baisse constante de la productivité aux États-Unis, avertissant que la Fed n'avait réussi qu'à faire exploser les inégalités et l'écart de revenu pour atteindre des records, au milieu des craintes que la nature de profit à tout prix du capitalisme américain détruisait l'environnement et effilochait le tissu social.

Pour Grantham, la combinaison des mesures de relance budgétaire et des programmes d'urgence de la Fed a conduit à des «excès spectaculaires» et a poussé un marché déjà surévalué vers le territoire de la bulle.

Faisant écho à la note précédente de BofA, Grantham estime que le «danger immoral» de la Fed aura également d'autres conséquences dévastatrices:

«Si vous pensez vivre dans un monde où la production n'a pas d'importance et où vous pouvez simplement créer du papier, tôt ou tard vous allez faire l'impossible, et c'est ramener l'inflation » , a déclaré Grantham. «Les taux d'intérêt sont sur papier. Le crédit, c'est du papier. La vraie vie, ce sont les usines, les travailleurs et la production, et nous ne cherchons pas à augmenter la production. »

Pour rappel, plus tôt dans la journée, le CIO de BofA, Michael Hartnett - qui est également préoccupé par le futur proche - a averti que (l'hyper) inflation des prix des actifs entraînerait finalement une hausse de l'inflation de Main Street, risquant une hausse désordonnée des rendements obligataires, ce qui une crise de colère, des conditions financières plus strictes et des «événements de volatilité», c'est-à-dire un krach boursier.

Grantham est d'accord et prévient que la menace d'inflation est le plus grand risque, c'est pourquoi il pense également que les obligations sont risquées. Il émet également des réserves sur l'or car il ne génère aucun revenu. Et à son avis, Bitcoin est un non-sens imaginaire.

En bref, il est un gestionnaire d'actifs qui ne voit pas d'actifs attractifs et à qui il est interdit de court-circuiter parce que la Fed continuera à faire grimper les prix de plus en plus.

Bien que tout vendre et détenir des liquidités soit une option, Grantham a déclaré que son meilleur conseil pour les investisseurs à long terme était de se concentrer sur les actions à faible croissance qui sont bon marché par rapport aux indices de référence, aux marchés émergents et aux entreprises luttant contre le changement climatique grâce aux énergies renouvelables et aux voitures électriques. La technologie.

«Vous ne ferez pas un beau rendement à 10 ou 20 ans des actions de croissance américaines», a-t-il déclaré. «Si vous pouviez faire des projets émergents, à faible croissance et verts, vous pourriez remporter le jackpot.»

Tout cela et bien plus encore dans son interview complète de 38 minutes avec Erik Schatzker de Bloomberg ci-dessous:

 

 
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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 18:06
181 Américains sont morts des vaccins COVID-19 en seulement 2 semaines

Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), au moins 181 Américains sont morts des vaccins COVID-19 en seulement 2 semaines. Il y a eu un décès d'un bébé à naître mourant juste après que la mère ait reçu l'injection de Pfizer COVID-19 pendant sa grossesse.

181 Américains sont morts des vaccins COVID-19 en 2 semaines

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est une  base de données financée par le gouvernement américain  qui suit les blessures et les décès causés par les vaccins.

Les données actuelles sur les vaccins COVID-19 qui ont été signalés volontairement sont disponibles pour une période de deux semaines de la fin décembre au 13 janvier 2021.

Selon la base de données , 181 Américains sont morts des vaccins COVID-19 en 2 semaines.

Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), au moins 181 Américains sont morts des vaccins COVID-19 en seulement 2 semaines.

Il y a eu un décès signalé d'un bébé à naître mourant juste après que la mère ait reçu l'injection de Pfizer COVID-19 pendant sa grossesse.

J'étais enceinte de 28 semaines et 5 jours lorsque j'ai reçu la première dose du vaccin COVID19. Deux jours plus tard (25/12/2020 dans l'après-midi), j'ai remarqué une diminution du mouvement du bébé.

Il a été constaté que le bébé n'avait pas de rythme cardiaque tôt le matin le 26/12/2020 et j'ai mis au monde un fœtus femelle non viable de 2 lb 7 oz à 29 semaines de gestation.

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