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23 janvier 2024 2 23 /01 /janvier /2024 18:45
Astra Zeneca se retrouve en Justice pour une demande d'indemnisation de dizaines de millions pour livre pour le vaccin Covid
AstraZeneca fait face à des dizaines de millions de livres sterling de demandes d'indemnisation de la part de 35 victimes présumées du vaccin Covid dans le cadre d'une bataille juridique devant la Haute Cour.
  • Vaccin lié à une maladie appelée thrombose immunitaire induite par le vaccin (VITT)

 

 

AstraZeneca fait face à des dizaines de millions de livres sterling de demandes d'indemnisation de la part de 35 victimes présumées pour des complications qui, selon elles, ont été causées par le vaccin Covid-19 .

Le géant pharmaceutique, qui a développé son vaccin en partenariat avec l' Université d'Oxford , devrait faire face à une bataille devant la Haute Cour pour avoir affirmé que le vaccin était « défectueux ».

Il a été associé à une maladie nouvellement identifiée appelée thrombocytopénie et thrombose immunitaires induites par le vaccin (VITT) qui provoque des caillots sanguins.

Au moins 81 personnes sont décédées des suites de complications liées à cet effet secondaire très rare, tandis que des centaines d'autres ont également souffert de maladies.

Dans ce qui pourrait être l'un des cas les plus importants de ce type, d'autres dossiers devraient être déposés, ce qui signifie que le fabricant du vaccin pourrait faire face à jusqu'à 80 millions de livres sterling d'indemnisation s'il perd, selon  The Telegraph .

Le géant pharmaceutique, qui a développé son vaccin en partenariat avec l'Université d'Oxford, est sur le point de faire face à une bataille devant la Haute Cour pour des allégations selon lesquelles le vaccin est « défectueux ».

Le géant pharmaceutique, qui a développé son vaccin en partenariat avec l'Université d'Oxford, est sur le point de faire face à une bataille devant la Haute Cour pour des allégations selon lesquelles le vaccin est « défectueux ».

Le député Sir Jeremy Wright a été exhorté au gouvernement à « intervenir et à régler » les réclamations juridiques.

Le député Sir Jeremy Wright a été exhorté au gouvernement à « intervenir et à régler » les réclamations juridiques.

Le gouvernement a indemnisé AstraZeneca et d’autres fabricants de vaccins alors qu’il cherchait à déployer des vaccins pendant la pandémie. 

Dans le cadre du programme d'indemnisation des dommages causés par les vaccins, les victimes de certains vaccins, y compris ceux utilisés pour vaincre Covid, ont droit à une somme unique « tout ou rien » de 120 000 £ du gouvernement. 

Le député conservateur Sir Jeremy Wright, dont l'électeur Jamie Scott a subi une « lésion cérébrale permanente importante » due à un caillot sanguin après avoir obtenu le poste en 2021, a exhorté le gouvernement à agir.

L'ancien procureur général a déclaré : « Le public a besoin d'avoir confiance en sachant qu'il sera pris en charge dans l'infime, infime minorité de cas où le vaccin a mal tourné.

"Et cette confiance est endommagée si le gouvernement n'intervient pas et ne règle pas ces cas."

Les demandeurs intentent une action en justice en vertu de la loi sur la protection du consommateur, ce qui suggère que le vaccin n’était pas aussi sûr que ceux qui l’ont reçu ont été amenés à le croire. 

AstraZeneca combat ces affirmations, les qualifiant de « confuses » et de « erronées en droit ». 

La société a également souligné les millions de vies que le vaccin aurait sauvées au cours de sa première année de déploiement.

Le vaccin AstraZeneca n'est pas utilisé dans le cadre du programme de rappel du Royaume-Uni après que les experts ont recommandé d'utiliser des vaccins à ARNm – tels que les vaccins Pfizer ou Moderna –.

Le Dr Stephen Wright (à gauche), 32 ans, est décédé d'un caillot sanguin au cerveau après avoir reçu sa première dose du vaccin AstraZeneca en janvier 2021.

Le Dr Stephen Wright (à gauche), 32 ans, est décédé d'un caillot sanguin au cerveau après avoir reçu sa première dose du vaccin AstraZeneca en janvier 2021.

Des complications liées au vaccin ont été répertoriées sur les certificats de décès d’un certain nombre de personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca.

Le Dr Stephen Wright, 32 ans, est décédé d'un caillot sanguin au cerveau dix jours après avoir reçu sa première dose du  vaccin AstraZeneca en janvier 2021. 

En avril de l'année dernière, un coroner a décidé que le vaccin devait être ajouté au certificat de décès du Dr Wright.

Dans un autre cas, un musicien de rock connu sous le nom de Lord Zion a souffert de graves maux de tête et a été admis à l’hôpital huit jours après avoir reçu le vaccin.

La partenaire de Lord Zion, Vikki (photographiée ensemble), a déclaré qu'elle était toujours "pro-vaccin" après sa mort, mais a appelé le gouvernement à mieux informer le personnel médical sur les effets secondaires.

La partenaire de Lord Zion, Vikki (photographiée ensemble), a déclaré qu'elle était toujours "pro-vaccin" après sa mort, mais a appelé le gouvernement à mieux informer le personnel médical sur les effets secondaires. 

Son état s'est aggravé et il est décédé à l'hôpital le 19 mai, le certificat de décès préliminaire indiquant comme cause une hémorragie cérébrale causée par des complications liées au vaccin .

Sa partenaire Vikki a déclaré qu'elle était toujours « pro-vaccin » après son décès, mais a appelé le gouvernement à mieux informer le personnel médical sur les effets secondaires et à retravailler le système d'indemnisation des dommages causés par les vaccins.

Un porte-parole d'AstraZeneca a déclaré : « La sécurité des patients est notre priorité absolue et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l'utilisation sûre de tous les médicaments, y compris les vaccins. Nos condoléances vont à toute personne ayant perdu un être cher ou ayant signalé des problèmes de santé.

« D'après l'ensemble des preuves issues des essais cliniques et des données réelles, Vaxzevria s'est continuellement révélé avoir un profil de sécurité acceptable et les régulateurs du monde entier déclarent systématiquement que les avantages de la vaccination l'emportent sur les risques d'effets secondaires potentiels extrêmement rares.

« L'Autorité de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a accordé une autorisation de mise sur le marché complète pour Vaxzevria au Royaume-Uni, sur la base du profil de sécurité et de l'efficacité du vaccin. »

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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 19:46
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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 19:32

 

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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 19:23

Fin de la duplicité d'une majorité des élus Européens, les votes sont clairs, ils préfèrent l'opacité empêchant toute investigation susceptible de les mettre en cause, il semble que l'arrosage des labos ait fonctionné sur 57 % des élus. Voilà le résultats du lobbyisme a Bruxelles et Strasbourg. Mais cette fois les peuples en payent le prix et il est élevé.

Henry

 

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Le 17 janvier, par 349 voix contre 254, le parlement européen a honteusement voté contre la publication des contrats Pfizer !
 
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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 18:56

On atteint des sommets :

 

Sergueï Lavrov Ministre des Affaires Etrangères Russe  raconte ce qui vient de lui arriver, tout en ne citant pas l'identité du pays incriminé c'est du tact diplomatique au vue du discours qui suit, lui même semble atterré, on ne le serait à moins.

Mais du côté du pays non nommé ;  mais que tout donne a penser comme étant la France, on tombe des nues

 

je vous laisse seuls juges, ç'est surréaliste :

 

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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 18:26

Oh l'excellente nouvelle !

Les républicains de la Chambre des représentants ont présenté une législation visant à annuler le financement du Forum économique mondial. La loi "Defund Davos" empêcherait spécifiquement toute agence fédérale de fournir un financement au WEF. Les États-Unis ont dépensé des dizaines de millions de dollars pour le WEF au fil des ans, une situation qui, selon les législateurs républicains, doit cesser. Yes !

https://t.me/trottasilvano/32287

Davos : Klaus Schawb s'autoproclame "Administrateur de l'Avenir" et autres délires

 

 

Si le père s'autoproclame "Administrateur de l'Avenir" le fils peut bien s'autoproclamer "Jupiter" ou "Maître des horloges" ! Ben tient !

 

Henry

 

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HALLUCINANT : Klaus Schwab vient de se nommer "l'administrateur de l'avenir" de la Terre.

Avez-vous voté pour qu'il contrôle la façon dont vous devriez vivre votre vie ?
👀 pic.twitter.com/WltYzBGoVs

— France Résistance (@FranceRsistanc1) January 21, 2024

 

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Schwab : "Vous n'avez même plus besoin d'élections, car nous pouvons prédire et nous savons déjà quels seront les résultats"
 

 

La reine Maxima des Pays-Bas affirme à Davos que l'identification numérique biométrique est utile pour suivre les personnes non vaccinées

Lors d'un discours au Forum économique mondial, la reine Máxima des Pays-Bas a déclaré que l'identité numérique était « très nécessaire »…
https://t.co/or1wgwXEfT

— Péonia (@CalliFanciulla) January 22, 2024

 

 

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Source : https://vatican.va/content/francesco/en/messages/pont-messages/2024/documents/20240115-messaggio-world-economic-forum.html

Le Souverain Pontife a adressé un message de félicitations au président exécutif du Forum économique mondial à l’occasion de la réunion de Davos, dans lequel il a salué le processus de mondialisation.
Selon le message papal , « la réunion annuelle du Forum économique mondial de cette année se déroule dans un climat d’instabilité internationale très préoccupante ».

Le pape François a salué le rôle du FEM dans la mesure où il vise à « guider et renforcer la volonté politique et la coopération mutuelle » et à « fournir une opportunité importante pour un engagement multilatéral afin de trouver des moyens innovants et efficaces pour construire un monde meilleur ».

Le chef du Vatican a également exprimé l’espoir que les discussions du Forum « tiendront compte de la nécessité urgente de renforcer la cohésion sociale, la fraternité et la réconciliation entre les groupes, les communautés et les nations, afin de faire face aux défis auxquels nous sommes confrontés ».

Selon le Pape, « le processus de mondialisation, qui a jusqu’à présent clairement démontré l’interdépendance des pays et des peuples du monde, a donc une dimension morale fondamentale, qui doit se manifester dans les débats économiques, culturels, politiques et religieux, dans le but de déterminer l’avenir de la communauté internationale ».

Et le Souverain Pontife a poursuivi son plaidoyer enthousiaste en faveur de la mondialisation en appelant à une collaboration plus étroite entre les gouvernements et les entreprises pour le succès de la mondialisation :

« Dans un monde de plus en plus menacé par la violence, l’agression et la division, il est essentiel que les États et les entreprises s’unissent pour promouvoir des modèles de mondialisation visionnaires et éthiquement solides qui, de par leur nature même, doivent subordonner le désir de pouvoir et de gain individuel, qu’il soit politique ou économique, au bien commun de notre race humaine, en donnant la priorité aux pauvres, aux nécessiteux et à ceux qui se trouvent dans les situations les plus vulnérables. »

Le Pape a averti que la mondialisation est la seule solution pour l’humanité :

« Le véritable développement doit être mondial, commun à tous les pays et à toutes les régions du monde, afin de poursuivre efficacement les objectifs de paix mondiale et de véritable développement. »

Pour que tout soit clair, François a souligné :

« La réalisation du bien commun est un objectif inaccessible aux États individuels, même à ceux qui dominent en termes de pouvoir, de richesse et de pouvoir politique. »

Dans tout ce message qui semble venir d’un leader politique et non religieux, il ne manque qu’une chose : Dieu.

Les mots « Dieu », « Christ » ou « Église » sont totalement absents.

Visiblement s'étant fait tabassé il a du faire des excuses, mais cela n'a pas fonctionné, on peut voir qu'ils ne sont pas à ça près c'était un crime de lèse majesté pour le vieux Dindon !

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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 17:57
Pour ma part beaucoup trop de faits concordants mènent hélas à cette conclusion, Louis XVI n'a pas saisi l'opportunité de réformes de taxation sur la noblesse et le clergé notamment, ce qui aurait pu sauver son poste disons. En France à chaque fois que l'on agite la taxe sur les privilégiés, ceux ci se révoltent quitte à faire sombrer le navire et ç'est bien ce qui s'est passé. Manque de caractère, indécision, ç'est peut être ce qu'on peut lui reprocher dans un contexte climatique très défavorable (l'éruption du Laki en Islande 1783-1784) Mais en comparaison de ceux qui nous gouvernent on pourrait le qualifier de  saint et de loin

Henry

 

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Assassinat de Louis XVI : prémédité par la Franc-Maçonnerie en 1785
 
 

« Décapiter le Roi de France - Lieutenant du Christ - c'est un rite sacrificiel. Lorsque Louis XVI a été décapité, un homme a plongé un mouchoir dans son sang et a aspergé la foule. Sa mort a été un contre-baptême. On vit sous les effets négatifs de ce contre-baptême. »

Quel a été, en 1789, en 1792 et en 1793, le rôle exact de la Franc-Maçonnerie dans la Révolution française ? s’interroge en 1904 l’historien et essayiste Maurice Talmeyr. Rapportant que la Franc-Maçonnerie consiste, dans un premier en temps et en apparence, surtout en bals, en banquets et en démonstrations de bienfaisance, il explique qu’il s’agit d’une simple façade, les philosophes des Lumières, et en tête Voltaire, s’appliquant méthodiquement à « maçonniser » les hautes classes de la société afin de préparer la Révolution et le renversement du régime monarchique, tandis qu’en 1785, un congrès de la Franc-Maçonnerie prémédite l’assassinat du roi Louis XVI...
 
Assassinat de Louis XVI : prémédité par la Franc-Maçonnerie en 1785
Par Maurice Talmeyr

Les documents authentiques, émanant de la Maçonnerie elle-même, ne peuvent pas, on le comprend, ne pas être rares sur le rôle exact de la Franc-Maçonnerie dans la Révolution française, écrit Maurice Talmeyr. Une société secrète ne serait pas une société secrète, si elle ne prenait pas le plus grand soin de cacher tout ce qui peut renseigner sur elle, et les témoignages positifs, là où par principe on les supprime, ne peuvent nécessairement pas abonder.

Néanmoins, si le véritable témoignage nous fait souvent ainsi défaut, il n’en est pas de même de certains faits, singulièrement saisissants, et qui en arrivent, rapprochés les uns des autres, à produire une lumière presque aussi probante que la lumière même des documents. Or ces faits-là sont innombrables, et la démonstration qui en résulte, c’est qu’il n’est peut-être pas une seule des grandes journées de la Révolution qui n’ait pas été, plus ou moins longtemps à l’avance, machinée et répétée dans les Loges, comme on répète et comme on machine une pièce dans un théâtre...

Suivez donc avec un peu d’attention les faits qui vont vous être exposés, et vous verrez, comme de vos yeux, tout un grand pays violemment transformé, par la plus évidente des conspirations, en une immense et véritable Loge. Vous le verrez jeté par force dans toute une succession d’épreuves maçonniques graduées, dont les premières dissimulaient soigneusement le secret final, mais dont la dernière, dès le début, avait toujours dû être le meurtre du roi, pour aboutir au but suprême et caché, c’est-à-dire à la destruction de la nationalité elle-même !

Avant d’en arriver aux faits particuliers, nous constaterons d’abord un grand fait général, c’est que l’histoire de la Révolution a toujours joui, jusqu’ici, du privilège singulier d’être acceptée comme histoire, sans que personne, au fond, l’ait jamais expliquée. D’après les documents les moins niables, et contrairement à une légende audacieusement fabriquée, la nation française, comme masse populaire, en dehors d’une certaine noblesse, d’un certain clergé et d’une certaine bourgeoisie, était alors profondément catholique et royaliste.

Au moment même où on massacrait les prêtres, où l’on détruisait avec le plus de rage tout ce qui était de la Religion traditionnelle, on avait dû renoncer à interdire les processions dans Paris, où le peuple, comme l’établissent aujourd’hui les témoignages les plus précis, obligeait, en pleine Terreur, les patrouilles de sectionnaires à rendre dans la rue les honneurs au saint Sacrement.

Taine, dans La conquête jacobine, explique qu’alors, si un prêtre portant le viatique passe dans la rue, on voit la multitude « accourir de toutes parts pour se jeter à genoux, tous, hommes, femmes, jeunes et vieux, se précipitant en adoration ». Le jour où la châsse de Saint-Leu est portée en procession rue Saint-Martin, « tout le monde se prosterne : je n’ai pas vu, dit un spectateur attentif, un seul homme qui n’ait ôté son chapeau. Au corps de garde de la section Mauconseil, toute la force armée s’est mise sous les armes. » En même temps, « les citoyennes des Halles se concertaient pour savoir s’il n’y aurait pas moyen de tapisser. Dans la semaine qui suit, elles obligent le comité révolutionnaire de Saint-Eustache à autoriser une autre procession, et, cette fois encore, chacun s’agenouille ».

Quant au culte envers le prince, poursuit Talmeyr, il se prouve par les manifestations mêmes dirigées contre sa personne. Pendant deux ans, la Révolution se fait au cri de Vive le Roi ! Ensuite, la plupart même des hommes et des femmes d’émeute, soldés pour outrager le souverain, sont tout à coup ressaisis, en face de lui, de l’insurmontable amour de leur race, pour le descendant de ses monarques. Toute leur exaltation, en sa présence, tourne, comme en octobre 1789, en respect et en tendresse.

Que voit-on, au retour de Varennes, pendant que la famille royale prend son repas ? On voit le député révolutionnaire Barnave se tenant respectueusement debout derrière le roi, et le servant comme un valet de chambre ! Et ce sentiment catholique et royaliste, presque général à cette époque, se confirme, de façon certaine, par les chiffres mêmes des élections. Dès 1790, les ennemis de la Religion et de la Monarchie ne sont plus élus partout que par le dixième, puis par le quinzième, puis par le vingtième des électeurs. Taine constate, à Paris, aux assemblées primaires de 1791, un an déjà avant le 10 août, plus de soixante-quatorze mille abstenants sur quatre-vingt-un mille deux cents inscrits !

N’est-il pas rigoureusement vrai, en conséquence, que la Révolution, considérée comme mouvement national, ne peut pas s’expliquer ? On comprend une nation comme l’Amérique, chez qui la domination anglaise est impopulaire, et qui s’en débarrasse. On ne comprend pas une nation qui a la Religion et la Monarchie dans le sang, qui les veut, qui ne veut qu’elles, et qui les renverse avec fureur. Et cette Révolution-là est tellement inexplicable que tous les historiens, quels qu’ils soient, renoncent, en réalité, à l’expliquer, car les explications par la « fatalité », la « Providence », la « force des choses », le châtiment divin, ou l’ « anarchie spontanée », les seules qu’on nous ait encore données, ne sont pas des explications.

Plus loin, notre essayiste s’interroge : où en était, au dix-huitième siècle, la Franc-Maçonnerie en France ? Elle y daterait, exactement, d’après ses propres annuaires, de soixante-quatre ans avant la Révolution, de 1725, et ses deux premiers grands maîtres auraient été deux Anglais, lord Derwentwater, et lord Harnouester. Elle est ensuite présidée par un grand seigneur français, le duc d’Antin, puis par un prince du sang, Louis de Bourbon, comte de Clermont, puis, de 1771 à 1793, par le duc de Chartres, plus tard duc d’Orléans, et, plus tard encore, Philippe-Égalité (père de Louis-Philippe, roi des Français de 1830 à 1848).

Comme en témoigne la liste de ses grands maîtres, la Franc-Maçonnerie, dans la période immédiatement antérieure à la Révolution, ne cesse pas de suivre, malgré ses crises, une marche ascendante rapide. Elle devient à la mode, finit par faire fureur et le Grand Orient en arrive à créer ces fameuses Loges d’adoption où les femmes étaient admises. Les récipiendaires femmes, nous apprend M. d’Alméras, auteur d’une histoire de Cagliostro, et qui ne semble l’ennemi ni de Cagliostro, ni des Loges, sont des « actrices, des danseuses, des bourgeoises ou des grandes dames sans préjugés ».

Alors, en résumé, la Franc-Maçonnerie, au moins en apparence, consiste surtout en bals, en banquets, en démonstrations de bienfaisance. En 1775, la duchesse de Bourbon recevait le titre de grande maîtresse de toutes les Loges d’adoption de France, le duc de Chartres l’installait lui-même dans ce pontificat féminin, au milieu de fêtes magnifiques, et on faisait une quête, à la fin du banquet, en faveur « des pères et mères retenus en prison pour n’avoir pas payé les mois de nourrice de leurs enfants ».

Telle est, pendant toute cette période, la façade de la Franc-Maçonnerie. Elle est à la fois somptueuse et amusante, avec la promesse d’un mystère, probablement inoffensif, et peut-être même agréable, à l’intérieur de la maison. Sous prétexte de philanthropie, on s’y divertit énormément. On s’y mêle entre gens de la bonne société et de la moins bonne, dans l’illusion d’une égalité sociale qui ne manque pas toujours de piment. On se donne la sensation d’une vie en double où l’on s’appelle de noms de guerre, en échangeant des mots de passe. On se procure le petit frisson d’attendre quelque chose de secret qui sera peut-être défendu.

On joue en grand, en un mot, à ces jeux innocents qui ne le sont pas toujours, et un prodigieux enjouement jette toute la société dans ce jeu-là. Les plus honnêtes gens s’en mettent, et Marie-Antoinette écrit, à cette époque, à Mme de Lamballe : « J’ai lu avec grand intérêt ce qui s’est fait dans les loges franc-maçonniques que vous avez présidées, et dont vous m’avez tant amusée. Je vois qu’on n’y fait pas que de jolies chansons, et qu’on y fait aussi du bien. »

N’existait-il donc, cependant, aucun motif de se méfier ? Si, et certains Etats, dès le milieu du dix-huitième siècle, chassaient assez rudement ces francs-maçons qui s’attachaient en France, avec une si extraordinaire activité, à amuser les Français, à les faire danser, à chatouiller leur frivolité. Le pape Clément XII, en outre, avait lancé contre eux une bulle assez suggestive, dans laquelle il les comparait « aux voleurs qui percent la maison ». On pouvait donc, dès ce moment-là, ne pas déjà voir dans les Loges de simples lieux d’amusements, comme la malheureuse Marie-Antoinette.

Une société « maçonnisée », c’est donc bien celle qui précède immédiatement la Révolution. Elle s’est « maçonnisée » pour s’amuser, mais elle s’est « maçonnisée ». C’est l’atmosphère en dehors de laquelle il ne faut pas même essayer de voir cette époque, sous peine de n’en rien voir de vrai. Et Talmeyr d’expliquer que le « maçonnisme », dès trente ou quarante ans avant 1789, est si bien déjà devenu l’ambiance générale, que les philosophes, en réalité, ne répandent pas simplement leur philosophie par leurs écrits, mais se conjurent maçonniquement pour la répandre, et dans le sens rigoureux du mot...

Ecoutez Voltaire dans sa correspondance : « Il faut, écrit-il, agir en conjurés, et non pas en zélés... Que les philosophes véritables fassent une confrérie comme les Francs-Maçons... Que les mystères de Mithra ne soient pas divulgués... Frappez, et cachez votre main... »

En 1789, entre les atrocités de la prise de la Bastille et celles des massacres d’octobre, un certain Leroy, lieutenant des chasses royales, s’écriait avec des sanglots, lors d’un dîner qui avait lieu chez d’Angevilliers, intendant des Bâtiments du Roi : « J’étais le secrétaire du Comité à qui vous devez cette Révolution et j’en mourrai de douleur et de remords !... Ce Comité se tenait chez le baron d’Holbach... Nos principaux membres étaient d’Alembert, Turgot, Condorcet, Diderot, La Harpe, et ce Lamoignon qui s’est tué dans son parc !... La plupart de ces livres que vous avez vus paraître depuis longtemps contre la religion, les mœurs et le gouvernement étaient notre ouvrage, et nous les envoyions à des colporteurs qui les recevaient pour rien, ou presque rien, et les vendaient aux plus bas prix... Voilà ce qui a changé ce peuple, et l’a conduit au point où vous le voyez aujourd’hui... Oui, j’en mourrai de douleur et de remords... »

Les lettres de Voltaire en date de mars 1763 confirment ces faits : « Pourquoi les adorateurs de la raison, écrivait-il alors à Helvetius, restent-ils dans le silence et dans la crainte ? Qui les empêcherait d’avoir chez eux une petite imprimerie et de donner des ouvrages utiles et courts dont leurs amis seraient les seuls dépositaires ? C’est ainsi qu’en ont usé ceux qui ont imprimé les dernières volontés de ce bon et honnête curé Meslier... » Et il ajoute : « On oppose ainsi, au Pédagogue chrétien et au Pensez-y bien, de petits livres philosophiques qu’on a soin de répandre partout adroitement. On ne les vend point, on les donne à des personnes affidées qui les distribuent à des jeunes gens et à des femmes... »

En réalité, poursuit Maurice Talmeyr, la conjuration philosophique n’avait que très peu perverti le peuple, et par une excellente raison, c’est que le peuple ne savait pas lire. Elle avait surtout empoisonné les hautes classes. Mais cette philosophie qui est une conjuration, et qui machine, dans le mystère, avec des masques et des trahisons, l’application de ses préceptes, n’est-elle pas, pour une époque, toute une caractéristique ?

Notre essayiste rapporte la tenue à Wilhelmsbad (Allemagne), en 1781, d’un grand congrès de la Franc-Maçonnerie universelle, où les délégations arrivaient en masse, de France, de Belgique, de Suède, d’Italie, d’Angleterre, d’Espagne, d’Amérique, de tous les points du globe ! Est-il exact, comme on l’a dit, qu’on ait arrêté, dix ans d’avance, dans cette tenue de Wilhemsbad, la mise à mort de Louis XVI et presque toute la Terreur ? On peut affirmer, dans tous les cas, que, trois ans plus tard, la mort du roi de Suède et celle de Louis XVI étaient décidées dans une tenue de Francfort, en 1785, comme l’atteste une lettre du cardinal Mathieu, archevêque de Besançon :

« Il y a dans mon pays, écrit le cardinal Mathieu, un détail que je puis vous donner comme certain. Il y eut à Francfort, en 1785, une assemblée de Francs-Maçons où furent convoqués deux hommes considérables de Besançon, qui faisaient partie de la Société, M. de Reymond, inspecteur des postes, et M. Maire de Bouligney, président du Parlement. Dans cette réunion le meurtre du roi de Suède et celui de Louis XVI furent résolus. MM. de Reymond et de Bouligney revinrent consternés, en se promettant de ne jamais remettre les pieds dans une Loge, et de se garder le secret. Le dernier survivant l’a dit à M. Bourgon... Vous avez pu en entendre parler ici, car il a laissé une grande réputation de probité, de droiture et de fermeté parmi nous. Je l’ai beaucoup connu, et pendant bien longtemps, car je suis à Besançon depuis quarante-deux ans. »

Ce qu’on sait aussi, et avec certitude, c’est que la réunion de Wilhemsbad avait un épilogue dans le genre des révélations désespérées du malheureux M. Leroy. Le comte de Virieu, sur qui les Illuministes avaient cru pouvoir compter, et qui avait fait partie de la délégation française, revenait terrifié du Congrès, déclarait quitter la secte, et disait au baron de Gilliers : « Je ne vous révélerai pas ce qui s’est passé ; ce que je puis seulement vous dire, c’est que tout ceci est autrement sérieux que vous ne pensez. La conspiration qui se trame est si bien ourdie qu’il sera pour ainsi dire impossible à la Monarchie et à l’Église d’y échapper. »

Enfin, c’est également encore à cette époque que l’écrivain Cazotte, qui avait appartenu aux Illuministes français (alliés à la Franc-Maçonnerie), faisait un soir, dans un dîner, cette soi-disant prophétie dont la réalisation devait, évidemment, comporter une part de coïncidence, mais qui était aussi, avant tout, comme celles de Cagliostro, et sans aucun doute possible, de l’information anticipée. Il disait aux convives qui s’en amusaient beaucoup, trois ou quatre ans avant 1789 :

« Vous, Monsieur Bailly, et vous, Monsieur de Malesherbes, vous mourrez sur l’échafaud... Vous, Madame, on vous conduira en charrette, les mains liées derrière le dos, à la place des exécutions. — Mais, Monsieur le prophète, lui répondait en riant la duchesse de Grammont, ne me laisserez-vous pas au moins un confesseur ? — Non, Madame, non, lui répondait Cazotte énigmatique, non, vous n’en aurez pas, et le dernier supplicié qui en aura un, ce sera le roi !... », rapporte Louis Blanc dans son "Histoire de la Révolution française".
 
L'effroyable vérité dans des documents occultes de 1904
Maurice Talmeyr
 
(PDF gratuit ICI)

À travers une analyse minutieuse et éclairée, l'auteur explore le rôle majeur joué par la franc-maçonnerie dans la Révolution française, en dévoilant les liens étroits entre cette organisation secrète et les grandes figures révolutionnaires de l'époque.

Avec une plume claire et précise, Maurice Talmeyr retrace l'histoire de la franc-maçonnerie et de ses membres influents, qui ont contribué à la diffusion des idées nouvelles de liberté, d'égalité et de fraternité. Il démontre comment la franc-maçonnerie a servi de terreau fertile à la naissance d'un mouvement révolutionnaire puissant, qui a finalement renversé l'Ancien Régime et fondé la République.

Mais ce livre ne se contente pas de raconter l'histoire de la Révolution française. Il aborde également les questions sensibles et controversées, telles que le rôle des Illuminés de Bavière, la participation des francs-maçons à la Terreur, ou encore la véritable nature des idéaux révolutionnaires.

"La Franc-maçonnerie et la Révolution française" est un ouvrage essentiel pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire de la France et de l'Europe, mais aussi pour tous ceux qui cherchent à comprendre les fondements de la démocratie moderne et de la pensée politique contemporaine. 
 
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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 17:53

N'ayant pas eut le courage de le faire en France il en parle à DAVOS entre copains Young leaders !

 

 

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Macron à Davos annonce un nouveau durcissement pour les allocations chômage
 

Ce qui est dit sur l’attractivité de la France est plutôt une bonne chose. Et redonner de la liberté aux entreprises est une excellente idée, sans même parler de la simplification à laquelle je ne crois plus, tant tout se complexifie d’année en année les politiques n’arrivant plus à rien.

 

 

Ce qui est plus inquiétant c’est évidemment la couverture du chômage qui va encore être diminuée car il faut bien économiser de l’argent quelque part.

Au même moment les pensions de retraites sont revalorisées de l’inflation (je ne parle pas des petites pensions, je parle aussi des grosses pensions) et les minimas sociaux également.

On va donc punir ceux qui travaillent (encore) pour continuer à arroser ceux qui ne travaillent pas soit parce qu’ils sont retraités (mais au moins ils ont cotisé et travaillé) et ceux surtout qui vivent des minimas sociaux et qui n’ont jamais commencé à travailler.

Vous savez ce que je pense.

Le problème n’est pas de punir ceux qui travaillent déjà en les faisant travailler plus longtemps et en réduisant les droits au chômage, mais bien de mettre au boulot tous ceux qui n’y sont jamais vraiment allés.

 

Charles SANNAT

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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 17:05

Ils servent aussi de relais d'influence pour des pays étrangers, corrompant élus et journalistes via des réseaux tentaculaire (voir lien plus bas)

 

 

Henry

 

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Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Annonce importante. Suite à un problème de serveur mail découvert hier, tous les mails écrits à charles@insolentiae.com ou à contact@insolentiae.com ne me sont jamais arrivés !! N’hésitez pas à me réécrire dès maintenant car le serveur mail a été réparé. Veuillez accepter mes excuses pour ceux qui attendraient une réponse depuis trop longtemps.

Ursula Von Der Leyen, surnommée par quelques mauvaises langues dont je fais partie « Cruella » Von der la hyène, la chef de meute d’une troupe terrible mangeant et dévorant tous les gentils moutons qui croyaient pouvoir gambader librement dans les prés, en chantant, en dansant, en parlant et en lisant comme bon leur semblaient.

Non.

Pour la présidente de la grosse commission (de Bruxelles), le principal danger auquel nous sommes confrontés ce n’est pas le vilain Poutine (surnommé Palpoutine) ou la guerre en Ukraine.

Non.

Pour la Cruella de Bruxelles, le principal danger n’est pas le changement climatique (je ne vous dis pas qu’il faut avoir peur je vous dis néanmoins que l’on vous présente chaque jour le réchauffement climatique comme la cause de nos terribles souffrances à venir).

Non.

Le principal danger pour Cruella, c’est… la liberté d’expression.

Elle ne le dit pas tout à fait ainsi, mais c’est exactement ce qu’elle explique quand même.

« Notre principal sujet de préoccupation pour les prochaines années n’est pas le conflit ou la climat, c’est la désinformation et la mauvaise information suivie de près par polarisation au sein de notre sociétés, ces risques sont sérieux parce qu’ils limitent notre capacité à nous attaquer les grands défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés comme celui des changements dans notre climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques.  »

Ce que dit la Cruella de la commission est très logique à comprendre.

Elle ne fait aucune erreur.

Si vous voulez imposer des changements majeurs dans notre manière de vivre et liés à un changement majeur dans les politiques climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques que nous mènerons contre les peuples, il faut, pour que le peuple les accepte, contrôler très précisément ce qui peut-être dit, et donc pensé.

Le problème du concept fourre-tout de « disinformation et misinformation », c’est que l’on peut y mettre tout ce qui ne va pas dans le sens de la caste de Davos, ces 5 000 personnes qui dirigent le monde parce qu’elles en dirigent les 5 000 plus grandes entreprises, les 5 000 plus grandes multinationales.

La caste des hommes de Davos (et des femmes, la parité est totale dans la méchanceté), a besoin de contrôler ce que nous pensons et donc ce que nous pouvons dire.

C’est tout le sens du combat de la grosse commission de Bruxelles contre le réseau Twitter d’Elon Musk.

N’oubliez jamais.

On n’est pas un peu libre de la même que l’on n’est pas un peu enceinte.

On est libre ou on ne l’est pas.

La liberté est le régime général. L’interdiction toujours l’exception.

Pour la liberté d’expression cette citation attribuée à Voltaire (sans doute à tort) reste cruellement d’actualité.

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

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19 janvier 2024 5 19 /01 /janvier /2024 19:37
Le très décadent Forum de DAVOS du (Forum Economique Mondial)

La 54ème réunion annuelle du Forum Économique Mondial commence aujourd’hui à Davos, une petite ville de station alpine. Cette réunion, sur invitation uniquement, rassemble environ 2 800 dirigeants de 120 pays pour discuter des problèmes les plus urgents du monde, tels que le changement climatique, l’intelligence artificielle et les pandémies virales.

Après des débats sur les problèmes mondiaux par les leaders mondiaux, politiciens, chefs d’entreprise, universitaires, ONG et dirigeants religieux, et leurs tentatives de trouver des ‘solutions’ aux problèmes qui affligent le monde, une ambiance sombre se profile après les heures officielles, comme nous l’avons déjà expliqué :

La ‘Face Sombre de Davos’ se révèle alors que les réservations des élites mondiales pour des travailleurs du sexe augmentent.

Un « groupe corrompu… » de « personnes sélectionnées » – Davos a-t-il atteint son apogée d’étrangeté ?

Que propose le menu cette année ? Comme le décrit le New York Post : « Caviar, champignons hallucinogènes, desserts en feuille d’or, selfies avec des célébrités, prostituées à 2 500 dollars la nuit et dîners secrets. »

Dans un rapport séparé, le journal français « 20 minutes » apporte plus de détails sur la ‘fête des prostituées’ de cette année à Davos :

Toute personne souhaitant réserver une escorte via la plateforme « Titt4Tat » dans la région de Davos, ou même en Suisse orientale, sera déçue.

« Tous les prestataires de service locaux sont complets pendant la semaine du WEF, » confirme le propriétaire B. Konrad. L’explication : les gens à Davos restent entre eux, leurs partenaires restant principalement à la maison. De plus, l’alcool et les fêtes contribuent à la forte demande pour son service, selon le co-fondateur.

« En dehors de cela, beaucoup de clients à Davos ne sont pas sensibles aux prix et apprécient encore plus la confidentialité de notre application, » explique Konrad. En général, il s’agit moins de sexe et plus de l’expérience dite ‘de petite amie’, c’est-à-dire la simulation d’une relation intime.

« Selon le client, une réservation dure entre quatre et douze heures, » dit la travailleuse du sexe Mia May, ajoutant que le coût de son service est d’environ 2 000 francs (2 340 dollars).

Mis à part les nuits sombres non dites de Davos, le WEF tente de reconstruire la confiance. Ceci après que des mouvements populistes

aient balayé le monde occidental, suite à la mauvaise gestion de la crise du Covid par les élites politiques et corporatives, ainsi qu’à la mise en œuvre de politiques sociales et économiques infructueuses ayant provoqué l’indignation de la majorité. Un symptôme de cet échec est la chute des données de sondage du président Biden.

« Nous sommes confrontés à un monde fragmenté et à des divisions sociales croissantes, entraînant une incertitude et un pessimisme omniprésents. Nous devons reconstruire la confiance en notre avenir en dépassant la gestion de crise, en examinant les causes profondes des problèmes actuels et en construisant ensemble un avenir plus prometteur, » a écrit Klaus Schwab, fondateur du WEF, dans un communiqué.

Nous doutons que le WEF soit proche de reconstruire cette confiance, alors que la majorité commence à se rendre compte de l’hypocrisie de ces élites qui arrivent en jets privés et en convois énergivores pour discuter du changement climatique.

Le très décadent Forum de DAVOS du (Forum Economique Mondial)
Le très décadent Forum de DAVOS du (Forum Economique Mondial)
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