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20 juillet 2023 4 20 /07 /juillet /2023 16:47

D'ici un an et demi vous paierez 76 % de plus pour l'électricité, et ce sera la fin des aides sociales à l'énergie pour les plus faibles revenus.

Outre la revente honteuse d'Alstom à la Compagnie Générale Electrique (USA) la vente des turbines Arabelle (puis leur rachat pour le double) il y a la gestion calamiteuse de la revente de l'électricité à l'étranger pour des prix dérisoires mais que nous rachetons au prix du marché (environ 10 fois plus, ce qui dans l'interrogation permet aux importateurs de faire de gros bénéfices) ou en clair favoriser une vente à perte pour des entreprises ou des pays étrangers.

Le prix de l'électricité est toujours indexé sur celui du gaz, aucun traité ne lie la France au marché européen de l'électricité.

C'est donc un plombage en règle de l'économie par Le Maire entre insignifiance ou trahison des intérêts de la France. "Dilatée comme jamais" (sourcé du livre de ce dernier)  voilà l'état de la France ou bout de 6 ans de Macronie 

 

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Le gouvernement supprimera "progressivement" le bouclier tarifaire de l'électricité instauré en 2021
 
 
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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:44
«Sound of Freedom» : film n°1 en Amérique le 4 juillet
 

 

 

"Sound of Freedom" est sorti en salles mardi, et grâce à la technologie "Pay It Forward" utilisée par Angel Studios, ce thriller de la vraie vie a été rapporté comme lié a en fait battu "Indiana Jones et le cadran du destin" de Disney/Lucasfilm, le géant des studios, pour la première place au box-office, le jour de l'indépendance.


Comme enregistré par Box Office Mojo, "Sound of Freedom" a rapporté plus de 14 millions de dollars au total : 11,5 millions de dollars en ventes directes au box-office et 2,6 millions de dollars provenant des billets Pay It Forward vendus pendant les vacances du 4 juillet. Selon Deadline, "Indiana Jones" a rapporté 11,698 millions de dollars au total, malgré le double de nombre de salles.

"Sound of Freedom", diffusé dans seulement 2.600 salles, raconte l'histoire vraie du parcours d'un homme pour lutter contre le trafic sexuel d'enfants. Le film d'Angel Studios est basé sur la vie de Tim Ballard, un ancien agent du Département américain de la sécurité intérieure, qui a quitté son emploi parce qu'il voulait faire plus pour sauver les enfants de l'esclavage moderne.

Le film délivre un message audacieux appelant à la liberté de millions d'enfants réduits en esclavage dans la traite des êtres humains, déclarant que "les enfants de Dieu ne sont pas à vendre".

Réalisé par Alejandro Monteverde, "Sound of Freedom" met en vedette Jim Caviezel ("Passion of The Christ"), l'actrice oscarisée Mira Sorvino ("The Final Cut"), Bill Camp ("12 Years a Slave") et José Zúñiga ("Twilight "). En plus d'agir dans le film, Eduardo Verástegui ("Unplanned") est le producteur du film.

Le film a reçu un A+ CinemaScore, un score de critiques de 85% et un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes.

"Grâce aux fans de tout le pays, 'Sound Of Freedom' a remporté la première place en tant que film américain numéro un le jour de l'indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus, un mouvement populaire", a partagé Neal Harmon, PDG d'Angel Studios, dans un communiqué avec The Christian Post.

"Avec une note A+ CinemaScore, nous sommes le film le mieux noté en Amérique, et nous allons voir le bouche à oreille se propager encore plus loin dans le week-end. Le monde a besoin de voir "Sound of Freedom" et nous savons que notre plus grand avantage concurrentiel - nos incroyables fans et investisseurs, va faire en sorte que cela se produise."

Tourné il y a cinq ans, "Sound of Freedom" avait été signé avec Disney mais a ensuite abandonné. Plusieurs studios hollywoodiens ont également rejeté le film, mais Angel Studios a acquis les droits de distribution mondiaux cette année et c'est maintenant un succès.

Le film aura des téléspectateurs au bord de leurs sièges, attendant de voir ce que Ballard fera ensuite dans sa mission de réunir une famille vulnérable, dont le pire cauchemar prend vie lorsque les deux enfants sont capturés pour le travail du sexe. Comportant un langage grossier doux et une certaine violence, les scènes du film qui ne sont pas montrées mais suggérées ont un effet obsédant sur le public.

Le studio souhaite que les familles avec adolescents voient le film ensemble, car les adolescents doivent également être éduqués sur les maux de ce monde.

Lors de la première du film à Miami, Monteverde a déclaré à CP qu'il prend au sérieux ce que Jésus a dit à ses disciples dans Luc 17 : 1-2 : « Il est inévitable que des pierres d'achoppement surviendront, mais malheur à celui par qui elles viennent ! Il vaudrait mieux pour lui avoir une meule accrochée au cou et être jeté à la mer que de faire trébucher un de ces petits."

Selon un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques publié en janvier, le Mexique « se classe au premier rang pour les abus sexuels sur enfants ; premier pour l'exploitation, les homicides et le trafic de mineurs ; et premier pour la création et la distribution de pornographie enfantine ».

Selon Geoff Rogers, co-fondateur de l'Institut américain contre la traite des êtres humains, cité dans un rapport de Fox News de 2019, les États-Unis ont été identifiés comme le "consommateur numéro un de sexe dans le monde", ce qui inclut la pornographie juvénile.

Verástegui a précédemment partagé avec CP qu'il voulait "faire pression sur le gouvernement pour que ces choses deviennent une priorité absolue, pas seulement pour le gouvernement, mais pour tout le monde".

"Ce qui me fait le plus mal, c'est que les gens qui font ça à ces enfants sont des êtres humains comme vous et moi, faits de la même chose. Ce ne sont pas des gens qui viennent d'autres planètes et qui sont nos ennemis. Ce sont des gens comme nous. Alors, à quel moment, qu'est-il arrivé à ces types ? » Verástegui a continué. "Ils étaient des enfants à un moment donné, pleins de rêves. Alors que s'est-il passé, à quel moment ils ont décidé de : 'Tu sais quoi ? Je vais utiliser ma vie pour blesser des enfants.'"

L'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime définit la traite des êtres humains comme toute situation dans laquelle quelqu'un subit "la force, la coercition, l'enlèvement, la fraude, la tromperie, l'abus de pouvoir ou la vulnérabilité, ou l'octroi de paiements ou d'avantages à une personne en contrôle".

Plusieurs studios hollywoodiens ont rejeté le film, mais Angel Studios a acquis les droits de distribution mondiaux plus tôt cette année. 

 

Source

 

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SoundOfFreedom numéro 1 : Le film qui ÉCRASE tous les records – Indiana Jones en chute libre!
 
 
 
 
« L’administration Biden est coupable de trafic d’enfants… L’économie de la pédophilie. Les États-Unis sont le premier consommateur de vidéos de viol d’enfants »

 

Tim Ballard, le héros du film Sound Of Freedom sur laquelle l’histoire est basée, accuse l’administration Biden d’être liée aux trafics d’enfants.

«Vous détruisez l'âme d'un enfant. Ce qu'un pédophile fait à un enfant, regarder ce petit enfant se faire violer…
https://t.co/oywJap4B0P

— Le Canal 17 sur Telegram (@MaelAffarezzo) July 7, 2023

 

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La CIA dirigeait une organisation appelée "The Finders", qui enlevait des enfants...
 
Le FBI publie les fichiers "Finders" après 3 décennies
Le FBI a récemment ouvert son coffre-fort et publié des centaines de documents relatifs aux "Finders" et à une affaire de maltraitance d'enfants à Tallahassee, qui a déclenché une étrange enquête fédérale sur des allégations de culte satanique et de pédopornographie impliquant une communauté de Washington, D.C.
L'arrestation des deux hommes, habillés en costume, qui s'occupaient de six enfants a fait les gros titres en 1987, lorsqu'ils ont été identifiés comme membres des "Finders", une communauté secrète qui fondait ses enseignements sur les écrits du philosophe chinois Lao Tse.

Le Tallahassee Democrat a largement couvert l'affaire à l'époque, et les titres sur cet étrange groupe, qui prône la passivité totale, se sont répandus dans les journaux de tout le pays.

 

Doug Ammerman et Michael Holwell sont assis au tribunal du comté de Leon lors d'une audience de réduction de la caution. Les deux hommes ont été inculpés de maltraitance d'enfants dans l'affaire des "Finders". La caution a été réduite de 100.000 $ à 20.000 $ chacun.

 

La mystérieuse organisation "Finders" de Washington D.C., fait l'objet depuis des décennies de théories impliquant des agences gouvernementales occultes et des réseaux pédophiles.

Il s'agit du sujet le plus consulté, selon la page web Vault du FBI.

Douglas Ammerman et James Michael Holwell ont été arrêtés en février 1987, à Tallahassee, après que des témoins aient déclaré les avoir vus à Myers Park avec six enfants à moitiés déshabillés et affamés, âgés de 2 à 11 ans. Ces hommes ont été inculpés de maltraitance d'enfants et placés en détention pour 100.000 dollars.

Ne parvenant pas à localiser les mères, la police a confié les enfants à la garde de l'État.

Six semaines plus tard, après une enquête menée jusqu'à Washington, les hommes ont été remis en liberté. L'État a abandonné les poursuites contre ces hommes en mars.

 

Des membres des médias participent à une interview de R. Gardner Terrell, membre du groupe communautaire Finders, dans un entrepôt appartenant au groupe. Terrell portait un masque en caoutchouc à l'effigie du président Reagan, à l'arrière de la tête, pour éviter d'être identifié.

 

Après avoir reçu au moins 500 appels de femmes prétendant être les mères des enfants, les véritables mères ont finalement été retrouvées et se sont rendues à Tallahassee pour récupérer leurs enfants. L'une des mères a décidé de rester à Tallahassee pour y élever son enfant.

Les agents fédéraux ont conclu qu'il n'y avait aucune preuve d'activité criminelle et ont abandonné les poursuites contre les Finders.

L'affaire aurait été classée dans les annales du FBI, sauf pour Skip Clements, un habitant de Stuart, en Floride, qui menait des recherches sur les Finders depuis des années. Il a affirmé que le service des douanes américaines avait mis fin à l'enquête à la demande de la CIA, qui, selon lui, utilisait la commune comme façade pour former des agents.

Il a même convaincu au moins deux membres du Congrès de se pencher sur la question, ce qui a déclenché une enquête du ministère de la justice. Les deux membres du Congrès sont décédés depuis.

 

Paula Arico, ancien membre de Finders, et ses enfants John Paul, 2 ans, et Mary, 7 ans, profitent du soleil dans la cour de leur appartement.

 

Une fois de plus, le Démocrate a fait état d'un prétendu complot visant à étouffer l'affaire.

Le dossier de 324 pages rendu public jeudi par le FBI comprend des notes de service expurgées, des rapports de la police du métro de Washington, des déclarations sous serment de mandats de perquisition et des rapports des bureaux locaux du FBI décrivant comment une information au ministère de la Justice a conduit à la réouverture de l'affaire des "Finders".

Une note du 5 novembre 1993 indique que le ministère de la Justice a demandé l'ouverture d'une enquête après avoir reçu une information concernant des abus sexuels sur des enfants et un "lavage de cerveau" par les Finders, et précise le rôle éventuel joué par les services de renseignements américains dans l'arrêt de l'enquête de 1987.

Le mémo fait référence à un cas d'abus sexuel sur enfant à Miami, qui a conduit à des informations sur un vaste système bien organisé, utilisé par au moins un membre du Congrès pour ré-autoriser l'enquête sur les abus sexuels organisés, selon le mémo.

En octobre 1993, une source dont le nom a été caviardé, mais qui est probablement Clements, a rencontré le représentant américain Charlie Rose, D-N.C., pour discuter d'un groupe appelé "The Finders", selon le mémo.

Un dossier du FBI provenant du bureau de Jacksonville faisait référence à l'arrestation en 1987 d'Ammerman et de Holwell à Tallahassee.

 

Le leader des Finders, Robert Terrell, est venu à Tallahassee en 1987 pour répondre aux questions des journalistes au Vietnam Memorial Park. Terrell a déclaré qu'il avait considéré l'emprisonnement de deux de leurs membres comme un signe qu'ils devaient s'installer ici. Il a déclaré que les membres du groupe resteraient à tour de rôle dans le parc pour donner aux gens l'occasion de les rencontrer personnellement et de dissiper la mauvaise image donnée du groupe par les forces de l'ordre et les médias.

 

Un autre document fait état des efforts déployés par un autre membre du Congrès, le représentant Tom Lewis, R-Fla, pour introduire une résolution exigeant que le service des douanes rétablisse son unité de protection contre la pornographie enfantine après avoir appris que les arrestations et les condamnations pour abus d'enfants avaient diminué de moitié et que le temps de travail du personnel avait été réduit à un quart des niveaux antérieurs.

En 1987, la police de Tallahassee a contacté le service des douanes américain, qui s'est mis en rapport avec le service de police du district de Columbia pour enquêter. Avant l'arrestation des deux hommes à Tallahassee, la police métropolitaine de D.C. avait été informée par une source confidentielle que les Finders utilisaient des enfants pour expérimenter des "techniques de lavage de cerveau" et des rituels étranges, mais la source n'avait pas été témoin d'abus réels sur des enfants.

La Police métropolitaine a perquisitionné deux propriétés appartenant à des membres des Finders, où elle a trouvé des documents, des photos, une grande quantité de matériel informatique et des "instructions pour se procurer des enfants à des fins non spécifiées".

Ces instructions incluraient des informations sur la manière de mettre enceinte des membres féminins, d'acheter, d'échanger et de kidnapper des enfants.

Une enquête menée conjointement avec le bureau local du FBI à Washington a permis d'identifier et d'interroger les mères des six enfants, deux des pères et d'autres membres importants du groupe. Tous ont déclaré faire partie d'un "style de vie alternatif, d'une association de type communautaire d'intellectuels qui ont choisi de vivre à leur manière".

Alors que la police de Tallahassee a suggéré que le groupe pouvait être lié à des adorateurs du diable, les mères qui sont venues à Tallahassee pour réclamer leurs enfants ont déclaré que cela n'avait aucun sens.

Elles ont engagé l'avocate Paula Walborsky pour les aider à récupérer leurs enfants auprès de l'État.

"Ils ne se sont pas présentés en robe safran maculée de sang de chèvre", a-t-elle déclaré au Democrat dans un article paru le 15 février 1987. "Ils sont venus en tweed et avec des perles."

"Ils sont aussi contre-culturels que la Miccosukee Land Co-Op", a-t-elle ajouté, en référence à ce que le Democrat décrivait comme "une communauté rurale locale de Yuppies composée de maisons en cèdre et en verre".

 

Le leader des Finders, Robert Terrell.

 

N'ayant trouvé aucune preuve d'exploitation sexuelle d'enfants, d'enlèvement ou de tout autre délit connexe, la police métropolitaine a classé l'affaire.   

"Le mode de vie de la soi-disant organisation Finders peut différer de la norme sociétale, mais jusqu'à présent, le département de la police métropolitaine n'a découvert aucune preuve d'actes criminels commis par des membres du groupe", a déclaré Maurice Turner, chef de la police de Washington, au Démocrate.

Un autre document indique qu'un agent des douanes qui a demandé à examiner des preuves dans cette affaire s'est vu répondre qu'il s'agissait d'une affaire interne à la CIA.

La CIA a nié qu'il y ait eu dissimulation et a déclaré que les accusations étaient absurdes.

"Cette histoire n'en est pas une", a déclaré Dave Christian, porte-parole de la CIA, au Democrat en décembre 1993.
 

 

 

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:39

Pouvez vous encore faire confiance aux élites qui nous dirigent avec ça !

Les sacrifices humains existent-ils encore aujourd'hui ?
 
 
 
(Des) rapports de témoins du monde entier qui, indépendamment les uns des autres, font tous des déclarations absolument identiques sur une "secte satanique brutale" composée des couches les plus élevées de notre société. Comme ces personnes seraient très riches et très puissantes, ces brutalités, attestées 100.000 fois, seraient catégoriquement couvertes, et ce par les médias, les services secrets, la police et les tribunaux – c'est-à-dire par toutes les autorités essentielles. [...]
Voici Deborah, originaire de Suisse romande. Elle raconte qu'elle a assisté à des messes sataniques et qu'elle devait regarder comment on découpait des parties du corps d’un enfant avec un couteau électrique pendant qu'on abusait de lui. Elle raconte ces choses cruelles parce qu'elle sait que les enfants vivent encore l'enfer aujourd'hui. « Je parle pour tous les enfants qui vivent encore ça, pour que ça s'arrête. Il faut le savoir pour que ça cesse. »

C'est Noemi M. Elle témoigne qu'elle a été abusée un nombre incalculable de fois pendant cinq ans lorsqu'elle était enfant. Elle aurait assisté à des cérémonies sataniques au cours desquelles des prêtres vêtus de longues robes sombres sacrifiaient des enfants. Après les sacrifices, il y avait de la nourriture sur la terrasse – de grands plateaux remplis de viande. Elle dit : « C'était de la viande humaine. » Noemi veut qu'on l'entende et qu'on l'entende encore et encore, pour que les enfants n'aient plus à vivre cela ! Que les gens se réveillent et comprennent la réalité. Qu'on ne dise pas : l'enfant a menti.

Teresa, une Anglaise, a déclaré à la chaîne de télévision « 60 Minutes » qu'elle avait été mise enceinte de force à plusieurs reprises dès son plus jeune âge et que ses bébés lui avaient été arrachés et sacrifiés rituellement. Elle aurait été forcée de manger des restes de ses bébés. Elle a également été forcée d'avoir des relations sexuelles avec des animaux. Lors de grandes cérémonies sataniques, jusqu'à 30 personnes, les unes après les autres, ont abusé d’elle. [...]
 
Guido Grandt, est un journaliste allemand, producteur de télévision, conférencier et auteur de livres. Grandt a enquêté pendant plus de 30 ans sur les sectes sataniques et leurs crimes atroces. Il relate dans plusieurs livres les pires perversions psychiques, physiques et sexuelles, les messes noires, les sacrifices de sang, le cannibalisme et le vampirisme. [...]
 
Voici Alisa et Gabriel Dearman d'Angleterre. Ils ont raconté lors de plusieurs entretiens officiels avec la police et devant les caméras qui avait abusé d'eux, par exemple leur père. Voici un petit extrait Gabriel : « ...et le mettent en bas »... Interviewer : « Qui te met quelque chose en bas derrière ? » « Papa, Richie - les services sociaux - tout le monde ! Tout le monde, tout simplement. » « Qui, qui ? » « Tout le monde ! » « Est-ce que votre mère le fait aussi ? » Les deux en même temps : « Non ! » Est-ce que je le fais ? « Non ! » « Alors qui le fait ? » « Papa, M. Hollins, l'école ! » « Nommez d'autres personnes ! » Garçon : « La famille de mon père, les parents, les policiers. » « Et parmi les enseignants, qui est le plus impliqué ? » « Papa, M. Hollins, Mme Wolstein. » « Qui est Mme Wolstein ? » « Mme Wolstein est la directrice de notre école » (40:48) « Et que se passe-t-il à l'église ? » « On sacrifie des bébés et on les mange. » « Qu'est-ce que vous voulez dire par sacrifier et manger le bébé ? » « Eh bien, on tue le bébé et on le mange et on en boit le sang. » « C'est vrai Gabriel ? » « Oui ! Et nous dansons autour des crânes. »

Lorsque cette vidéo avec les déclarations d'Alisa et de Gabriel a été rendue publique, la justice a soudain agi TRÈS RAPIDEMENT ! Mais malheureusement dans la mauvaise direction. Les enfants ont été immédiatement retirés à leur mère prétendument parce qu'elle aurait «raconté ces mensonges » aux enfants (sarcastique: et c'est comme ça que ça a fonctionné...) et la garde exclusive a été confiée à Ricky Dearman, le père, si digne de confiance. Malgré les rapports médicaux disponibles qui confirmaient les abus sur les enfants, la BBC s'est efforcée de faire croire à l'innocence du père Ricky Dearman lors d'une interview. Il a été présenté comme la victime d'une campagne malveillante. C'est ainsi que les enfants ont grandi à Hollywood « sous la protection de ses ailes ».

Ecoutons encore la mère des deux enfants. Ella Draper a témoigné que son ex-mari Ricky Dearman était le chef du groupe satanique de Hampstead. Elle a découvert qu'il était impliqué dans les tortures et les meurtres atroces d’enfants et qu'il en avait tourné des films qu'il vendait sur le darknet.

Didier Cazet, un journaliste français, rapporte que de tels films sont appelés "snuff videos". Dans ces vidéos, des enfants sont maltraités à mort et torturés devant la caméra. Pour voir un enfant mourir, les riches paient de 25 000 à un million d'euros. Qui a rapidement un million d'euros en poche pour s'offrir une telle vidéo ? [...]
 
(...) témoignage sur ces "snuff videos" de la psychothérapeute Michaela Huber. Elle vient d'Allemagne et travaille avec des victimes d'abus rituels. Elle dit que plus les victimes sont jeunes, plus leur visage est reconnaissable sur la vidéo snuff, plus les scènes représentées sont sadiques (cruelles), plus un film vaut de l'argent.

Il s'agit de Jessie Marsson, originaire d'Allemagne. Il témoigne avoir été vendu à des clients pédophiles dès son plus jeune âge et avoir été victime d'abus sexuels et de maltraitance de leur part. Il raconte les mêmes histoires cruelles d'abus et de torture que tous les autres. Parfois, il aurait même été réservé uniquement pour être battu, attaché et uniquement battu pendant une heure. Plus tard, il a reconnu ses tortionnaires sur des affiches électorales ou à la télévision et a ainsi appris leurs noms. Lui et toutes les victimes témoignent qu'il s'agit de personnes très riches et influentes.

Voici Richard Kerr, d'Irlande. Il raconte comment lui et d'autres enfants ont d'abord été abusés à Belfast (Irlande) dans le foyer Kincora, avant d'être emmenés en Angleterre et de continuer à être abusés pendant des années par des personnes puissantes et des politiciens – d'une part au Dolphin Square (donc juste à côté du Parlement) et à Elm Guest House (une maison close). Les abus ont été commis à grande échelle. Ses déclarations coïncident avec celles de « Nick », qui a également témoigné que plusieurs enfants avaient été tués de la manière la plus brutale. La police a qualifié son témoignage de « crédible et vrai ».
 
C'est Ronald Bernard des Pays-Bas. Ayant été un entrepreneur et un gestionnaire financier à succès pendant de nombreuses années, il avait comme personne d'autre un aperçu direct du sommet de l'élite financière. Il a témoigné qu'au bout d'un certain temps, des cercles puissants avaient exigé de lui qu'il sacrifie vivant des enfants sans défense à leur « dieu » Lucifer (donc Satan) lors de messes rituelles, mais il ne pouvait pas le faire. Selon lui, cette secte satanique pratique de tels sacrifices d'enfants depuis des milliers d'années. Il s'agirait d'un moyen courant et efficace de faire chanter et de rendre dociles des collaborateurs soucieux de leur carrière.

L'Américain Robert David Steele, ancien agent haut placé de la CIA, confirme exactement la même chose. Il a déclaré que la pédophilie faisait partie intégrante de l'élite illégitime au pouvoir. Selon Steele, la participation à des abus sur des enfants et souvent leur sacrifice servent de condition d'admission et de rituel dans les cercles supérieurs du pouvoir. Les actes honteux enregistrés servent alors de matériel de chantage.

Retournons en Hollande, Voici Toos Nijenhuis. Selon ses témoignages, elle est née dans une famille qui pratiquait des abus rituels sataniques. Toos aurait été torturée par électrocution sur ses parties génitales et aurait vu des adeptes de la secte satanique s'en prendre à des morts. Selon elle, les serviteurs de Satan organisaient des chasses à l'homme au cours desquelles Toos et d'autres enfants, apeurés à mort, étaient pourchassés par des chiens à travers des forêts sombres. Plusieurs enfants ont été tués après la chasse. Toos a rapporté que le prince Bernard des Pays-Bas et le cardinal Alfrink avaient assisté à ces chasses. 
 
Voici Fiona Barnett, d'Australie. Elle dit avoir été violée dès l'âge de 6 ans par plusieurs hommes politiques et autres personnalités australiennes et américaines haut placés. Elle cite le Premier ministre de l'époque Gough Whitlam, le procureur général Lionel Murphy, le gouverneur général John Kerr, le futur Premier ministre Bob Hawke, l'ancien président américain Richard Nixon et le magnat des médias Ted Turner. Elle a également été témoin de meurtres rituels. Elle a écrit un livre à ce sujet, intitulé « Eyes Wide Open ». Après que Fiona a rendu publiques ses expériences, des centaines et des centaines d'autres victimes l'ont contactée. [...]

En tant que juriste, le Dr Marcel Polte, d'Allemagne, s'est demandé pourquoi ces crimes horribles sont si peu connus du public et pourquoi ils ne sont guère sanctionnés juridiquement. Il a écrit plusieurs livres sur les sectes sataniques et a documenté le fait que les médias mènent des campagnes massives pour tourner tout cela en ridicule. Ils intitulent ces cas « Satanic Panic » (panique satanique) et « False Memory Syndrome » (faux souvenirs/falsification des souvenirs). Cela signifie que les évènements cruels ne se sont pas réellement produits, mais que les thérapeutes les ont simplement fait croire aux victimes d'abus (c'est-à-dire qu'ils leur ont implanté de faux souvenirs). Il est intéressant de noter que la « False Memory Syndrome Foundation » a été créée entre autres par un pédophile avoué du nom de Ralph Underwager. [...]

Antje B. d'Allemagne. Elle raconte qu'elle a dû mettre son bébé au monde sans aucune aide. Après l'accouchement, elle a été mise dans une robe et forcée de tuer son bébé pendant un chant rythmé. Le couteau dans sa main était guidé par le grand prêtre. Ensuite, elle a dû prélever le cœur du bébé et toute personne se tenant autour de l'autel, y compris elle, a dû en manger un morceau. [...]

(...) la sœur d'Antje, Sandra R., a également été interrogée sur ces rituels satanistes. Elle n'avait pas vu sa sœur Antje depuis 10 ans et a décrit, sans aucune concertation et séparément d'elle, les mêmes rituels sataniques dans les moindres détails. Elle aurait été forcée de regarder Antje mettre au monde son bébé sans aide et de manger un morceau de son propre placenta. Elle a également assisté à la mise à mort du bébé d'Antje.

Lisa, originaire d'Allemagne, raconte exactement la même chose : elle a été mise enceinte par les satanistes et l'accouchement a été déclenché 3 à 4 mois plus tard. Lorsque l'enfant est sorti mort de l'accouchement très douloureux, elle a dû l'amener à l'autel, bien qu'elle saigne encore beaucoup et qu’elle puisse à peine marcher. Là, elle a dû découper le fœtus mort avec le grand prêtre. Lisa a également dû en manger un morceau et boire du sang. Ces descriptions coïncident jusque dans les détails avec les déclarations de nombreuses autres victimes. Ces personnes ne se connaissent pas entre elles.

Voici Janett Seemann, d'Allemagne, qui a fait des recherches sur les enfants disparus. Elle travaille en collaboration avec le militant français Stan Maillaud. En 2008 déjà, elle a adressé un message vidéo au pape Benoît et un deuxième message vidéo à la chancelière de l'époque, Angela Merkel, dans lequel elle soulignait que d'innombrables enfants disparaissaient en Europe. Elle dit qu’ils sont vendus, abusés, torturés et tués par un vaste réseau pédocriminel. Seemann et Maillaud ont publié un document sur la manière dont les réseaux pédophiles, les organisations de protection de l'enfance, la police, la justice et la politique collaborent. Ils sont arrivés à la conclusion scandaleuse que la justice et la politique protègent les réseaux d'agresseurs d'enfants ! Seemann et Maillaud ont été poursuivis, temporairement même emprisonnés sous de fausses accusations et dénoncés. De plus, on a lancé le slogan « Der Janett Seeman Fake », et Seemann a été taxée de conspirationniste. On ne trouve presque plus rien sur ses recherches, presque tout a été effacé, comme c'est le cas pour de nombreux autres témoins. [...]

(...) en Amérique, Alisha Owens raconte à nouveau exactement la même chose... Elle aurait été victime d'abus rituels lorsqu'elle était enfant, aurait été témoin des mutilations les plus atroces. Elle était présente lorsque d'autres enfants ont été torturés et tués. Les dépouilles mortelles étaient souvent mangées, les yeux ayant une signification particulière à cet égard. Alisha a également été forcée d'en manger. Elle a dit qu'il s'agissait de rituels sataniques par lesquels les participants voulaient acquérir des pouvoirs spirituels.

Audrey raconte la même chose. Elle a vécu des sacrifices d'enfants. Elle raconte qu'une femme vêtue d'une robe noire a déposé un bébé vivant sur un autel. Un prêtre a ouvert le cou du bébé et a recueilli le sang dans un calice et l'a bu.

Heidemarie Cammans de l'association Sekten-Info Essen e.V. explique pourquoi ces sacrifices d'enfants sont effectués : « Il s'agit de la cérémonie sataniste de la messe noire. Ce rituel qui sert à vénérer Satan. Satan veut des sacrifices, Satan veut des sacrifices de sang, Satan veut toujours plus de sacrifices de sang et le meilleur pour Satan c’est un enfant qui vient de naître. »

Le célèbre chanteur Xavier Naidoo, en larmes, appelle dans une vidéo touchante du 2 avril 2020 à se confronter à ce sujet : « Je viens de regarder quelques trucs qui ont à voir avec l'adrénochrome – je viens d’avoir une vraie crise de larmes - c'est tellement terrible, (pleurs) » En 2012 déjà, Xavier abordait le thème de la violence dans la chanson intitulée « Où sont-ils maintenant ? » - avec un langage fort, l'abus rituel d'enfants qui serait perpétré dans les hautes sphères de la société. La persécution politique et médiatique du chanteur a commencé immédiatement après.

C'est David Rodriguez, un boxeur américain poids lourd. « Comprenez qu'il y a des enfants victimes, il y a des gens qui boivent effectivement de l'adrénochrome, en terrorisant tellement l'enfant. Et c'est difficile à avaler, c'est dur, tellement cruel. Mais c'est en fait un rituel très ancien, surtout pour faire peur aux enfants, parce qu'ils sont plus purs, parce que leurs glandes surrénales sont plus pures et ils sont tellement effrayés et ils sécrètent tellement d'adrénaline et ils ont tellement peur, et puis on les tue et on boit leur sang... C'est une cérémonie rituelle de malade, de malade, de malade (...) La merde est réelle et je ne me fous pas de vous ou je ne vous raconte pas des théories du complot - je ne fais pas ça. Je connais des gens dans le milieu qui me le confirment. »

C'est ce que nous confirme la citation suivante du célèbre sataniste Aleister Crowley, tirée de son livre « Magie en théorie et en pratique » : « Le sacrifice sanglant a toujours été la partie la plus respectée de la magie. [...] Pour obtenir le plus grand bénéfice spirituel, il faut donc choisir un sacrifice qui possède la force la plus grande et la plus pure. Un enfant mâle d'une innocence parfaite et d'une grande intelligence est la victime la plus satisfaisante et la plus appropriée. [...] Pour presque tous les buts, le sacrifice humain est le meilleur. »

(...) Renate Rennebach, ancienne députée du Bundestag et fondatrice de la « Fondation pour les victimes de la violence rituelle », elle dit : « Tant que la société n'acceptera pas que ce sont les hommes en veste blanche qui participent à cela, et qu'ils ont le réseau, et pas nous, rien ne changera. Mais je pense que si nous continuons tous à travailler sur ce sujet et à le rendre public, alors la situation changera. » Selon cette ancienne députée, c'est donc à NOUS - le peuple - qu'il revient de diffuser cela auprès de TOUTES nos connaissances afin de le faire connaître au grand public. [...]

(...) une victime américaine : Brice Taylor. Elle a également déclaré qu'elle avait subi des abus sexuels dès son plus jeune âge et qu'elle avait été entraînée, sous la torture brutale, à devenir une esclave sexuelle pour des personnes de haut rang, principalement des hommes politiques américains. Elle a déclaré avoir été abusée par John F. Kennedy, Lyndon B. Johnson, Richard Nixon et Ronald Reagan, entre autres. Elle a également dû participer à des messes sataniques et a été témoin de meurtres rituels et de cannibalisme.

Ted Gunderson, qui a travaillé pendant 27 ans aux Etats-Unis en tant qu'agent spécial du FBI, a confirmé que les déclarations des victimes étaient vraies, notamment les déclarations de Brice Taylor que nous venons de voir. Il ajoute à propos de ces rituels sataniques d'abus et de sacrifices : « J'ai également des contacts au sein des services secrets américains. J'ai des informations de différentes sources selon lesquelles des juges, des forces de l'ordre, des procureurs, des avocats, des médecins et de nombreuses personnes célèbres, dont des acteurs, des actrices, des joueurs professionnels de football et de baseball, sont impliqués dans ces activités (rituels sataniques). »

Voici Linda Wiegand, elle raconte que ses deux garçons, Ben et Jon, ont été victimes de violences rituelles sataniques. Vingt-cinq personnes du ministère public ont enquêté et ont apporté la preuve de l'abus cultuel. Mais lorsque Linda a voulu le révéler, sa maison et sa voiture ont été saisies, ainsi que ses revenus et sa fortune ; on lui a pris tout ce qu'elle avait. Depuis lors, elle se bat pour ses enfants et reçoit de toute l'Amérique des lettres de personnes qui vivent la même chose et la supplient de les aider. Elle parle également d'un garçon de 8 ans crucifié vivant dans une cave après avoir été dépecé.

Quand ils torturent les enfants, cela provoque une réaction physique où le corps libère des endomorphines, à cause de la torture et de la douleur. Quand les satanistes boivent ensuite le sang, ils ont une « montée », comme quand on prend de la drogue, en buvant le sang d'une victime torturée. Et ce petit garçon a été retrouvé mort dans la cave, exsangue, écorché vif et crucifié. Cette mère continue à raconter comment elle s'est heurtée à toutes les autorités et n'a reçu aucune aide, ni du gouvernement ni des organisations de protection de l'enfance.

C'est exactement ce dont témoigne la mère d'une victime autrichienne, Mag. Phil. Andrea Sadegh, qui se bat pour son garçon, lui aussi victime de violences rituelles. Les juges n'ont soudain plus le temps, partout elle est déboutée. On lui a toutefois proposé que son fils puisse revenir auprès d'elle si elle se taisait. Son fils aurait reconnu certains agresseurs sur des photos, il s'agissait de personnes de l'establishment autrichien. Andrea Sadegh est également confrontée à un réseau de juges, de médecins et de psychologues qui travaillent avec ce groupe de délinquants. [...]

Mel Gibson est l'une des stars les plus connues d'Hollywood. Dans une déclaration non officielle, il a décrit les élites de l'industrie du divertissement comme des « ennemis de l'humanité » qui « jouissent du sang d'enfants innocents ». « Ils récoltent le sang des enfants. Ils mangent leur chair. Si l'enfant a souffert physiquement et moralement avant de mourir, ils s’imaginent que ça leur donnera une force vitale supplémentaire. Ils affectionnent la douleur et la peur, et plus les enfants sont jeunes, mieux c'est. » Mel Gibson a expliqué comment en 2006 il avait été mis sur la liste noire des oligarques d'Hollywood pour avoir exprimé son opinion sur cette industrie. Depuis, il travaille en dehors du « système ».

La star du Seigneur des anneaux « Elijah Wood » a déclaré qu'Hollywood avait un gros problème de pédophilie. Lors d'un gala de remise de prix, le célèbre acteur Ricky Gervais a lui aussi traité l'élite des célébrités de pédophiles.

Corey Feldman, un célèbre acteur américain, raconte qu'il a été abusé pendant des années à Hollywood. Selon lui, lui-même et son meilleur ami, qui avait été comme lui enfant-acteur Corey Haim, ont été abusés à l'âge de 14 ans et le traumatisme de ces abus aurait contribué à la mort de son ami. « Je peux vous dire que le problème numéro 1 à Hollywood a été, est et sera toujours la pédophilie. C'est le plus gros problème pour les enfants dans cette industrie. »

Et puis ici, c’est Alison Carey, la sœur de la chanteuse pop Mariah Carey. Elle explique qu'elle a été vendue à plusieurs reprises par sa mère pour des cérémonies sataniques où elle devait regarder des enfants être non seulement abusés sexuellement, mais aussi torturés à mort.

Isaac Kappy s'est exprimé sur son viol par l'acteur Tom Hanks, il a également dénoncé le réalisateur et scénariste Steven Spielberg pour abus. Il a déclaré dans le procès-verbal qu'il ne présentait pas de risque de suicide. Néanmoins, il a été retrouvé mort et les autorités ont statué qu'il s'agissait d'un suicide. [...]

Chris Cornell d'AudioSlave et Soundgarden et Chester Bennington de Linkin Park ont tenté de dévoiler ces crimes et se seraient tous deux suicidés. Les témoins morts et les décès mystérieux de personnes ayant quitté la « Secte de Satan » constituent un fil rouge dans les témoignages en rapport avec la secte de Satan...

Il s'agit de Jean-Marc Houdmont, l'un des témoins morts (27 au minimum), impliqués dans l'affaire des abus sexuels commis par le Belge Marc Dutroux. Routmont était réalisateur de films et commerçait avec de la pornographie. Un jour, il a téléphoné à la police parce qu'il voulait se confier. Alors qu'il se rendait au commissariat, il a foncé avec sa voiture contre le mur d'une maison. Il est intéressant de noter que le documentaire de la ZDF sur ces mystérieux 27 témoins oculaires décédés a été entièrement supprimé sur Youtube, comme de nombreux autres témoignages. [...]

Ici, il s'agit de Liz Crokin, une journaliste américaine. Selon elle, les personnes qui dénoncent les pédophiles de l'élite meurent souvent mystérieusement. C'est le cas du délinquant sexuel Jeffrey Epstein, qui était impliqué dans un réseau de trafic sexuel très en vue. Selon Crokin, il y avait probablement 50 personnes très importantes qui auraient pu avoir un motif de le tuer parce qu'elles avaient de gros problèmes à cause d'Epstein. Epstein aurait accueilli certaines des personnes les plus grandes, les plus célèbres et les plus puissantes de ce monde et aurait enregistré leurs activités sur des vidéos. Selon ses déclarations, des membres de la famille royale, le prince Andrew, des mannequins comme Naomi Campbell, des acteurs célèbres comme Kevin Spacey et des hommes politiques comme Bill et Hillary Clinton y étaient impliqués...

Mandy Kopp a déclaré qu'elle avait été retenue prisonnière dans une maison close pour mineurs en Allemagne lorsqu'elle était jeune fille et qu'elle y avait été violée et maltraitée par des juges, des avocats et des agents immobiliers. Selon ses déclarations, il s'agissait de faire pression sur les décideurs politiques. Le ministre de l'Intérieur de Saxe de l'époque, M. de Maizière, a entravé l'enquête et a fini par la classer complètement. Il a ensuite été promu au poste de ministre fédéral allemand de l'Intérieur. Mandy Kopp avait dénoncé deux juristes de haut rang comme auteurs d'abus et a ensuite été poursuivie en justice par ces juristes pour diffamation.

Ici, il s'agit de Cathy o'Brien des États-Unis. Dans son livre « L'Amérique en pleine transe-formation », l'auteure décrit comment elle et sa fille ont été abusées sexuellement de manière insensée dès leur plus jeune âge par des politiciens d'élite américains tels que Ford, Reagan, Bush, Cheney et les Clinton. Grâce aux détails publiés dans son livre, elle espérait pouvoir engager des poursuites contre ses tortionnaires, mais en vain. Malgré de nombreuses preuves, les procédures ont été abandonnées pour des raisons de « sécurité nationale ».

Nous faisons un saut en Belgique. Selon ses déclarations, Anneke Lucas a été vendue à l'âge de six ans à un réseau satanique dont faisaient partie des personnes très riches qui aimaient tuer des enfants. Après des années d'abus, elle a été attachée à l'âge de 11 ans sur un bloc de boucherie noirci par le sang de tous les enfants qui avaient été sacrifiés sur ce bloc avant elle. Elle a survécu parce qu'un membre du Culte de Satan a eu pitié d'elle et l'a libérée. Son sauveur l'a payé de sa vie. [...]
 
(...) comment la secte du sang traite ceux qui la quittent. 
 
« Il y avait un repenti, il a été tué, écorché et jeté dans le marais. » « Tu as vu ça ? » « Oui, oui. »
 
Jon Wedger est un ancien fonctionnaire de Scotland Yard qui, pendant son mandat, a découvert la pédophilie organisée dans au moins 34 cas en Angleterre. Il ne s'agissait pas de cas isolés, mais les exemples s'accumulaient comme une avalanche. « Et ce qui a toujours été particulièrement évident, c'est l'abus satanique, rituel. » « Il a été menacé, on a essayé à plusieurs reprises de l'envoyer en prison et de lui retirer ses enfants ; il n'a pas été payé pendant trois ans et a failli y laisser sa vie. Malgré cela, il a poursuivi son enquête, ce qui a permis de mettre à jour un réseau pédocriminel, dans lequel le populaire présentateur de la BBC Jimmy Savile était aussi impliqué. Mais cette enquête n'a eu aucune conséquence juridique pour Jimmy Savile, malgré toutes les ignominies avérées. La chaîne de télévision BBC l'a couvert et il a même été anobli par la reine Elizabeth.

Voici Paul Bonacci, d'Amérique. Outre d'innombrables descriptions cruelles d'abus rituels sataniques, il raconte le sacrifice d'un garçon. Tous auraient chanté lors du rituel annuel autour de la naissance du Christ pour pervertir le sang du Christ. Selon Paul, ils éventraient le garçon avec des poignards, remplissaient une coupe de son sang, y mélangeaient de l'urine et l’obligeaient, lui et d'autres, à boire dans la coupe en chantant : « Satan est seigneur Lucifer, notre roi. Royaume des ténèbres, viens nous donner le pouvoir d'être tes esclaves. » Puis ils se sont tous mis à chanter des sons étranges. Paul a pris peur. On l'a menacé d'être la prochaine victime s'il en parlait à quelqu'un.

John Ramirez a été un sataniste convaincu pendant de nombreuses années. Il raconte des meurtres satanistes, des rituels et des choses horribles. Il dit que beaucoup de gens ne croient pas que le diable existe vraiment, mais Ramirez a fait l'expérience des forces obscures contre lesquelles il met en garde avec insistance. Satan est réel et son pouvoir est destructeur. Selon Ramirez, Halloween n'est pas une fête d'horreur inoffensive, mais chez les satanistes et dans les cercles de sorcières, Halloween reste la fête suprême, une fête de la terreur et de la mort. Selon ses déclarations, c'est à cette période de l'année que la plupart des enfants disparaissent.

Il s'agit de Kevin Annett du Canada, ancien ministre du culte de l'Église unie du Canada. Des personnes d'origine indigène lui ont montré des fosses communes d'enfants indigènes morts dans des foyers de l'Église. Des témoins ont affirmé que des abus et des sacrifices avaient eu lieu. Des personnes de haut rang, telles que Stephen Harper (Premier ministre du Canada de 2006 à 2015), le pape Benoît XVI, la reine Elizabeth et bien d'autres, ont été impliquées. Dans cette affaire également, des témoins auraient perdu la vie après avoir témoigné. [...]

Le politicien républicain américain John Decamp a écrit un livre sur l'affaire dite des abus de Franklin, dans laquelle des politiciens de haut rang et d'autres personnalités publiques importantes ont abusé d'enfants. Il est prouvé que 76 enfants ont été victimes de ce réseau sexuel, sans compter les cas non recensés. Des enfants auraient été tués de la manière la plus cruelle possible devant la caméra. Les vidéos ont ensuite été vendues pour des sommes colossales. Il s'agissait également de faire chanter les hommes politiques. Selon les déclarations des témoins, les ex-présidents américains Ronald Reagan et George Bush, l'ex-directeur de la CIA William E. Colby, ainsi que Warren Buffet, l'une des personnes les plus riches d'Amérique, ont notamment été impliqués dans cette affaire. John Decamp est décédé dans un accident d'avion avant de pouvoir démanteler le réseau de pédophiles. Gary Caradori, qui voulait enquêter sur le scandale Franklin en tant que détective privé, a lui aussi perdu la vie – également dans un accident d'avion !
 
Pour son film « Les yeux du diable », le cinéaste polonais Patryk Vega a mené des interviews, par exemple avec un trafiquant d'enfants. Celui-ci a raconté que les abus avaient lieu dans des bâtiments isolés, que les « clients » étaient très riches et que les enfants, souvent âgés de 3 ou 4 ans seulement, ne survivaient souvent pas aux graves blessures et lésions causées par les abus. Selon lui après la mort des enfants, des équipes médicales se tiendraient prêtes à prélever les organes des enfants. Ces organes permettraient de gagner des sommes astronomiques. Lorsqu'on lui demande quel genre de personnes abuse des enfants jusqu'à la mort, le trafiquant d'enfants rapporte que ces personnes adhèrent souvent à une idéologie satanique. [...]

David Icke. Il a enquêté sur cette secte satanique et ses crimes pendant des décennies et a interrogé de nombreuses victimes. [...]
 
(...) extrait de son livre « Le plus grand secret » :

« L'abus d'enfants dans le cadre de rituels sataniques s'étend comme une toile d'araignée sur le monde entier. Des personnes occupant des postes élevés et très élevés y sont impliquées : politiciens, fonctionnaires, banquiers, hommes d'affaires, avocats, juges, médecins, éditeurs et journalistes - tous ceux qui ont le pouvoir de dissimuler ces crimes contre l'humanité. Ce n'est pas comme si moi ou les autres chercheurs ne voyaient que des satanistes partout. Mais leur proportion parmi les personnes occupant les postes les plus élevés est très grande, car c'est voulu. Les réseaux satanistes contrôlent le système et font en sorte qu'il y ait une plus grande proportion de satanistes dans les postes élevés que dans la population générale. Plus on monte dans la pyramide, plus on trouve de satanistes. La plupart des non-satanistes sont filtrés avant d'atteindre des postes élevés. La conséquence de tout cela pour les enfants concernés est au-delà de l'imagination de quiconque n'a pas vécu les horreurs qu'ils ont subies. J'aurais du mal à croire ce que les victimes me racontent si ces informations ne provenaient pas de tant de sources différentes et indépendantes les unes des autres. Toutes racontent les mêmes histoires, qui se recoupent jusque dans les moindres détails concernant les rituels et les techniques de contrôle de l'esprit. Les enfants et les adultes traumatisés qu'ils deviendront, n'ont personne vers qui se tourner. Les histoires sont si surprenantes que personne n'y croit, et les victimes n'osent pas aller voir la police, car après tout, la police, les juges, les fonctionnaires et les médias, les politiciens et bien d'autres instances qui contrôlent notre société « libérale » font partie de ce réseau. » [...]

David Icke : « Pour ces gens, même une guerre n'est rien d'autre qu'un rituel de masse sanglant, au cours duquel des quantités inimaginables de personnes sont sacrifiées et la planète est enveloppée d'une énergie émotionnelle négative. »

Cela a été confirmé par les déclarations de l'influent sataniste Aleister Crowley. Dans le quatrième volume de sa série de livres "Magie en théorie et en pratique", il imagine que la planète entière doit être baignée dans le sang. Cette grande guerre doit être menée, car il s'agit d'une opération magique de la plus haute importance...
 
David Icke conclut : C'est de cette énergie que cette secte sataniste a besoin pour « se nourrir ».
 
 

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:25
Voilà ce que sont ces "sous munitions" livrées par Biden à l'Ukraine
 
 
Ukraine : Biden sur le point de fournir officiellement des armes à sous-munitions, interdites par le droit international
 

 

Alors qu'en 2008, la Communauté internationale met en place une Convention contre l'utilisation des armes à sous-munitions, en raison de l'ampleur des dégâts humains que leur utilisation provoque, Biden semble pencher pour leur fourniture - officielle - par les Etats-Unis à l'armée atlantico-ukrainienne dans leur combat contre la Russie. C'est en tout cas ce qui est annoncé par le NYT ce matin. Même si théoriquement ces armes sont interdites par les pays européens, n'ayons aucun doute, qu'ici aussi, ils se coucheront.

 

 

 

En 2008, une Convention sur les armes à sous-munitions a été adoptée par plus d'une centaine de pays, dont les pays européens, mais qui n'a pas été ratifiée par les Etats-Unis, ni par l'Ukraine. Le fondement humanitaire de leur interdiction est ainsi posé dans le préambule de cette Convention : 

"Préoccupés par le fait que les restes d’armes à sous-munitions tuent ou mutilent des civils, y compris des femmes et des enfants, entravent le développement économique et social, y compris par la perte des moyens de subsistance, font obstacle à la réhabilitation et la reconstruction post-conflit, retardent ou empêchent le retour des réfugiés et des personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays, peuvent avoir des conséquences néfastes sur les efforts nationaux et internationaux dans les domaines de l’établissement de la paix et de l’assistance humanitaire et ont d’autres conséquences graves pouvant persister pendant de nombreuses années après l’utilisation de ces armes," 

Alors que les Etats-Unis hésitent depuis longtemps à passer officiellement le pas, le NYT laisse entendre que Biden serait prêt "à répondre aux demandes de Zelensky". Formellement, évidemment, ce ne sont pas les Etats-Unis qui décident, ils sont bien trop faibles pour cela face à la puissance ukrainienne ... Je cite le NYT :

"M. Biden subit des pressions constantes de la part du président ukrainien Vladimir Zelensky, qui soutient que les munitions – qui dispersent de minuscules bombes mortelles – sont le meilleur moyen de tuer les Russes, qui sont enterrés dans des tranchées et bloquent la contre-offensive de l'Ukraine pour reprendre le territoire. Un responsable américain a déclaré jeudi qu'il était désormais clair que les armes sont "nécessaires à 100%" pour répondre aux besoins actuels du champ de bataille."

La rhétorique est simple : la contre-offensive atlantico-ukrainienne s'est enlisée dans une guerre de tranchées. Pour en sortir, ils n'ont plus le choix, il faut faire un massacre - de Russes. Les armes à sous-munitions sont idéales pour cela. Sans même parler de la question morale de leur utilisation, qui ne semble plus avoir de sens ici, la question géopolitique devrait toutefois se poser. 

Le journal soulève le problème relationnel, qui va en découler entre les Etats-Unis et ses alliés. Ou qui devrait se poser, si ces pays étaient encore souverains. Ayant signé la Convention de 2008, il leur est interdit d'utiliser dans un conflit des armes à sous-munitions. Leur utilisation peut constituer un crime de guerre au regard du droit international. 

Si Biden prend la décision d'envoyer des armes à sous-munitions en Ukraine, il va certainement travailler les pays de l'Axe atlantiste lors  du sommet de Vilnius, la semaine prochaine. Il serait surprenant que ces pays opposent réellement une quelconque objection. Cela fait longtemps, qu'ils ne sont plus de véritables sujets politiques. L'escalade du conflit provoqué par l'Axe atlantiste se poursuit inéluctablement.

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:19

Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications

Par Me Virginie de Araujo-Recchia sur Telegram le 1er juillet 2023

Etant sollicitée actuellement par des associations et collectifs concernant la campagne de « vaccination » Gardasil à venir (rentrée 2023/2024) au sein des établissements scolaires, je réitère cette observation, qui était déjà dans mon rapport de novembre 2020 :

« En ce qui concerne la mise en place éventuelle, par le ministère de l’Education et le ministère de la Santé conjointement, d’une campagne de vaccination obligatoire au sein des établissements scolaires, nous rappellerons, que cela n’est pas autorisé par la loi, a fortiori dans l’hypothèse où le représentant légal n’a pas donné son accord.

En effet, dans le cadre des discussions en première lecture devant le Sénat, concernant le projet de loi n°1481 pour une école de la confiance (Loi promulguée n°2019-791 du 26 juillet 2019), le gouvernement avait déposé un amendement n° 508 modifiant l’article 16 ter du projet de loi (article définitif 53) ainsi rédigé:

« L’article L. 541-1 du code de l’éducation est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

Les médecins de l’éducation nationale peuvent prescrire des actes diagnostiques et, à titre préventif, des produits de santé. Un décret fixe la liste et les conditions de prescription de ces actes et produits de santé. Ces actes et produits sont remboursés par les caisses d’assurance maladie dans les conditions de prise en charge prévues par le code de la sécurité sociale.
« Les infirmiers de l’éducation nationale peuvent administrer aux élèves ou étudiants des médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire. À titre exceptionnel et dans le cadre de protocoles d’urgence, ils peuvent administrer des médicaments soumis à prescription médicale obligatoire. Un décret détermine les modalités d’application du présent alinéa et fixe les listes de médicaments soumis et non soumis à prescription médicale obligatoire que peuvent administrer les infirmiers de l’éducation nationale aux élèves et aux étudiants. »

Lors de la séance de discussion en date du 17 mai 2019 au Sénat, le ministre de l’Education justifiait notamment cette modification de la manière suivante, en reprenant l’exposé de l’amendement:

« M. Jean-Michel Blanquer, ministre. Cet amendement a un double objet.
Tout d’abord, il reprend l’article 16 ter, introduit en commission, en y apportant des améliorations rédactionnelles, afin de préciser le cadre des prescriptions par les médecins de l’éducation nationale de certains actes et produits de santé.
(…)
Les actes concernés seront des actes ou des produits préventifs, tels qu’un bilan orthophonique ou orthoptique, un vaccin, une contraception. Un décret en précisera la liste. (…)
Le second alinéa de l’amendement a pour objet de sécuriser juridiquement l’administration aux élèves ou aux étudiants, par les infirmiers de l’éducation nationale, de médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire, dont la liste sera fixée par décret.
Pratiquée sauf indication contraire d’un médecin ou des responsables légaux de l’enfant, l’administration ainsi encadrée de certains médicaments permet un retour rapide en classe ou permet de soulager l’élève dans l’attente d’une prise en charge adaptée.
(…)
Enfin, cet alinéa sécurise juridiquement l’administration par les infirmiers de l’éducation nationale de médicaments soumis à prescription médicale obligatoire dans le cadre des protocoles, en particulier le protocole national de soins et d’urgence élaboré par le ministère de l’éducation nationale avec le ministère chargé de la santé.
Ainsi, cet amendement tend à sécuriser utilement ces activités importantes au quotidien pour la santé et la scolarité des élèves, dans le respect du droit de s’y opposer que détiennent évidemment les responsables légaux de l’enfant. C’est donc un amendement pragmatique ».

(suite) Or, l’article 16 ter dudit projet de loi, devenu l’article 53 définitif a été censuré par le Conseil constitutionnel, par décision n°2019-787 DC du 25 juillet 2019 (paragraphes 13 à 15), comme étant contraire à la Constitution étant donné que cet article ne présentait alors aucun lien, même indirect, avec les dispositions qui figuraient dans le projet de loi déposé à l’origine sur le bureau de l’Assemblée nationale. »

https://www.senat.fr/amendements/2018-2019/474/Amdt_508.html

https://www.senat.fr/seances/s201905/s20190517/s20190517_mono.html#R16ter

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000038829161

J’ajoute que l’article L541-1 du code de l’éducation n’a toujours pas été modifié en ce sens à ce jour :

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043423973

Nous en concluons donc que les médecins et infirmiers de l’éducation nationale ne peuvent en aucun cas légalement administrer un vaccin aux élèves ou étudiants au sein des établissements scolaires, que ce soit avec ou sans le consentement de leur responsable légal.

Ils ne peuvent en aucun cas procéder à des actes médicaux.
Ces gestes médicaux ne peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires.

Les familles souhaitent donc savoir sur quelle base légale se fonde cette campagne vaccinale au sein des établissements scolaires.

 

Le Dr Gérard DÉLÉPINE, chirurgien cancérologue, apporte son éclairage : « Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications »

Fiche du Collectif Parents & Citoyens IDF

 
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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:16

Voyez les liens dans le texte svp !

 

________________________________

 

Cher lecteur,

Où étiez-vous le 9 Mars 2022 ?

Lorsque le président Biden a envoyé le signal à tous les Gouvernements mondiaux que le moment était venu de débuter une nouvelle ère de contrôle total de tous les citoyens occidentaux…

…Grâce au remplacement des monnaies liquides par des monnaies numériques espionnes.

Ces logiciels espions devraient permettre aux gouvernements la mise en place d’une nouvelle ère de surveillance légale de tous les citoyens.

Américains bien sûr…

Mais aussi d’Europe… Et donc de France.

Avec à la clé la Surveillance totale de tous vos comptes bancaires et le suivi de tous vos achats.

Bien avant cela, le 14 juillet 2021, Christine Lagarde, présidente de la BCE, avait déjà ordonné le lancement d’un tout nouveau projet d’euro numérique.

Sous couvert d’une phase d’étude, ils préparent la mise en place discrète d’une monnaie espionne qui pourrait remplacer à terme l’euro tel que nous le connaissons.

Cette phase d’étude devrait se terminer d’ici le 14 juillet 2023…

Selon que vous suiviez ou non la volonté du gouvernement, ils pourraient faire en sorte que votre argent soit confisqué ou perde toute sa valeur.

Car chaque “monnaie numérique” sera programmée par le gouvernement…

Et deviendra donc immédiatement une monnaie traçable et contrôlée en temps réel.

Ce même Gouvernement pourra tout aussi bien les déprogrammer à volonté…

Pour punir toute contribution, tout achat, ou même tout commentaire sur les réseaux sociaux qui n’irait pas dans leur sens.

Vous publiez un article pour mettre en évidence des preuves de corruption au sein du Parlement Européen ?

Votre argent pourrait être déprogrammé.

Vous achetez trop d’essence et donc votre “empreinte carbone” dépasse le “quota citoyen accepté” ?

Votre argent pourrait être déprogrammé.

Vous critiquez un homme politique sur Facebook, Twitter ou Instagram ?

Votre argent pourrait être déprogrammé.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

Vous pourriez perdre l’accès à l’épargne que vous avez construite pendant de longues années et vous n’auriez plus accès à ce qui fait de vous un citoyen libre.

Et ce n’est pas quelque chose qui va arriver dans quelques années…

NON !

Ça commence maintenant.

Il reste donc très peu de temps pour se préparer.

Suivez ce lien pour savoir comment vous pouvez sauvegarder votre argent et votre liberté.

Jim Rickards.

Ancien Conseiller du Pentagone, de la CIA et de la Maison Blanche.

 

___________________________________

 

Pour les pouvoirs totalitaires, c’est un rêve devenu réalité.

Un rêve qui donnerait les pleins pouvoirs aux autorités gouvernementales pour exercer selon leur volonté : 

> Un suivi à la trace de tous les citoyens,

> qui conduira à un contrôle TOTAL de vos comptes bancaires et de vos achats…

> Et la capacité de faire taire toutes les voix dissidentes pour de bon.

En tant qu’ancien conseiller du Pentagone et de la CIA, j’ai fait des recherches approfondies et je pense pouvoir confirmer maintenant que :

Vos économies et vos libertés sont en danger imminent.

Prenez les mesures suivantes avant qu’il ne soit trop tard.

Jim Rickards.

Ancien Conseiller du Pentagone, de la CIA et de la Maison Blanche.

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:11

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 17:51
Alerte !

Par Virginie de Araujo-Recchia, avocate, sur son compte Telegram le 1er Juillet 2023 :

Pendant que la rue est en feu, les textes passent sans encombre au Parlement. Les parlementaires et médias se garderont bien de vous alerter et le pouvoir exécutif a le champ libre.

Article 23 du projet de loi de programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense :

En cas de menace pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, la protection de la population, l’intégrité du territoire, la permanence des institutions de la République ou (cas nouveau) de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’Etat en matière de défense, qu’elle soit actuelle ou si elle n’est pas immédiate, seulement prévisible, l’article L. 2212-1 nouveau du code de la défense permettra  (s’il est définitivement adopté) au Président de la République, via un décret en conseil des ministres, d’ordonner la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour parer à cette menace ou d’habiliter l’autorité administrative ou militaire à procéder à ces mesures.

Lorsqu’il n’est pas fait application de l’article L2212-1, en cas d’urgence, si la sauvegarde des intérêts de la défense nationale le justifie, le Premier ministre peut ordonner, par décret, la réquisition de toute personne, physique ou morale, de tout bien ou de tout service (article L.2212-2).

Le fait de refuser de déférer à la demande de recensement des personnes, biens et services ou à la convocation à des essais ou à des exercices ou encore de refuser le blocage des biens sera pénalement sanctionné par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, suite à l’adoption de l’amendement du Gouvernement par le Sénat (article L.2211-5, 1° nouveau et 2° du code de la défense).

Le fait de ne pas déférer aux réquisitions prévues aux articles L.2212-1 et L.2212-2 est puni de cinq ans d’emprisonnement et d’une amende de 500 000 euros (article L.2212-9 du code de la défense).
Le projet de loi est toujours en cours de discussion.

Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense

La Commission mixte paritaire* relative au projet de programmation militaire pour les années 2024-2030 en séance le 10 juillet 2023

Horaire : 10 h 30
Lieu : Assemblée nationale

Composition de la CMP :

Membres titulaires :

  • Sénateurs : M. Christian Cambon, M. Pascal Allizard, M. Cédric Perrin, M. Olivier Cigolotti, M. Rachid Temal, M. Jean-Marc Todeschini, M. Ludovic Haye
  • Députés : M. Thomas Gassilloud, M. Jean-Michel Jacques, Mme Anne Genetet, M. Laurent Jacobelli, M. Bastien Lachaud, M. Jean-Louis Thiériot, Mme Sabine Thillaye

Membres suppléants :

  • Sénateurs : M. Philippe Paul, M. Dominique de Legge, M. François-Noël Buffet, M. Michel Canévet, M. Yannick Vaugrenard, M. André Guiol, M. Pierre Laurent
  • Députés : Mme Corinne Vignon, M. Frank Giletti, M. Aurélien Saintoul, Mme Isabelle Santiago, Mme Cyrielle Chatelain, N., M. Christophe Naegelen
  • Après l’examen à l’Assemblée nationale et au Sénat, la prochaine étape parlementaire est la commission mixte paritaire (en procédure accélérée comme c’est le cas ici). La « CMP » réunit sept députés et sept sénateurs lorsqu’un texte a été voté dans des termes différents par les deux chambres du Parlement, afin que les représentants des députés et les sénateurs se mettent d’accord sur une version commune. Si aucun accord n’est conclu, la CMP est dite « non conclusive », et il revient à l’Assemblée nationale d’amender et de voter la version finale du texte.

https://www.senat.fr/travaux-parlementaires/structures-temporaires/commissions-mixtes-paritaires/actualite/projet-de-loi-relatif-a-la-programmation-militaire-pour-les-annees-2024-a-2030-et-portant-diverses-dispositions-interessant-la-defense-1260.html

 

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VERS UN COUP D ETAT MASQUE

Par Olivier Frot  diplomé de Saint-Cyr et docteur en droit.

 

 

Les mois d’été ou la période entre Noël et le jour de l’an sont des moments propices au relâchement pour la majeure partie de la population, les polémiques et oppositions disparaissent soudainement comme neige qui fond au soleil. Il faut donc se méfier des lois votées dans ces moments qui sont opportuns pour les gouvernements pour faire voter discrètement des projets.

L’embrasement des banlieues qui fait peur aux citoyens et politiques présente les caractéristiques idéales pour faire passer des textes à caractère liberticide. Sous couvert d’une demande accrue de sécurité de peur d’un embrasement généralisé, certains textes liberticides peuvent facilement être votés en toute discrétion. Que cache la nouvelle loi de programmation militaire ?

 

Une procédure inhabituelle

La nouvelle loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030 actuellement en discussion comporte des dispositions surprenantes et inquiétantes en matière de réquisitions, profondément attentatoires aux libertés publiques laissées à la discrétion de l’exécutif, dispositions qui commencent à faire réagir ici et là.

La LPM est un exercice qui revient tous les cinq ans depuis la fin des années 1990 qui a vu la suspension du service national militaire et l’instauration de l’armée professionnelle. Les lois de programmation, prévues à l’article 34 de la Constitution de 1958, « déterminent les objectifs de l’action de l’État ». Contrairement aux lois ordinaires ou aux lois organiques, les lois de programmation n’ont normalement pas d’effet autre qu’indicatif. La LPM n’est donc pas prévue par la Constitution pour être une loi impérative, elle n’a pas vocation à inscrire dans le marbre des dispositions pérennes. Essentiellement un outil de prévision budgétaire, la LPM, dans ses constats et prévisions, entend donner une visibilité à moyen terme pour permettre la préparation et le vote des lois de finances annuelles et par suite, conférer aux armées les moyens nécessaires pour remplir leur mission.

Le propre des LPM est au demeurant d’être rarement respectées dans les faits, toujours au détriment des armées.

L’actuel Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense, comporte en application de la seconde partie de son titre, des cavaliers législatifs modifiant de manière profonde et pérenne le Code de la défense en s’attaquant de front aux libertés publiques.

Cette facilité procédurale de modifier des dispositions législatives permanentes à l’occasion d’un texte non prévu pour cela, est apparue depuis les trois LPM précédentes (LPM 2009-2014, LPM 2015-2019 et 2018-2025). Mais jusqu’à présent, ces dispositions permanentes ne concernaient que des situations techniques ou statutaires directement liées aux armées, pouvant modifier certains articles du Code de la défense, en particulier en matière de gestion RH des armées ou même pour habiliter le gouvernement à prendre des ordonnances (LPM 2015-2019) dans certains domaines très spécifiques et ne concernant pas les libertés publiques.

La situation actuelle est donc inédite. Le texte est passé en première lecture à l’Assemblée Nationale début juin, en procédure accélérée, donc avec un minimum de débats et voté sans difficulté par le Sénat après l’ajout d’amendements. De retour à l’assemblée, un prochain vote final permettra l’adoption du texte après un passage en commission, pour une promulgation prévue au cours du mois de juillet. Il est facile de se douter que ce vote aura lieu de nuit avec un hémicycle clairsemé comme c’est souvent le cas, surtout pour ce type de texte jugé technique et n’intéressant personne hormis quelques parlementaires membres de la commission de la défense. Et voilà comment, si rien n’est fait, une atteinte fondamentale de plus à la propriété privée et à la liberté individuelle sera perpétrée. Une de plus, on devrait commencer à s’y habituer, depuis la crise Covid.

Le gouvernement actuel est coutumier de ces détournements de procédure, la réforme des retraites ayant été passée par une loi de finances rectificative de la sécurité sociale. Or, il peut compter sur la mansuétude d’un Conseil Constitutionnel qui lui semble totalement acquis et ne joue plus, depuis longtemps, son rôle de contre-pouvoir, notamment en matière de libertés publiques.

Un pouvoir "hors norme" confié à l’exécutif sans contrôle ni autorisation du Parlement

L’article 23 du projet de la LPM propose une nouvelle rédaction de l’article L .2212-1 du Code de la défense, autorisant les réquisitions.

Dans sa rédaction actuelle, ce Code est assez restrictif et prévoit la possible réquisition des prestations nécessaires pour assurer les besoins de la défense. Il en fixe les conditions par un renvoi dans article L.2212-1, aux dispositions des articles L.1111-2 et L. 2141-3 du même Code. Ces dispositions concernent « les menaces et les risques susceptibles d’affecter la vie de la Nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l’intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics peuvent y apporter » . Nous n’en connaissons pas d’exemples récents et ce procédé de réquisition, en théorie connu dans les armées, aurait pu être appliqué dans de rares cas, inconnus de l’auteur de ces lignes. Parmi ces réponses, l’article L.2141 auquel il est aussi renvoyé, prévoit la mobilisation générale et la mise en garde, qui « consiste en certaines mesures propres à assurer la liberté d'action du Gouvernement, à diminuer la vulnérabilité des populations ou des équipements principaux et à garantir la sécurité des opérations de mobilisation ou de mise en œuvre des forces armées et formations rattachées ».

La rédaction du nouvel article L.2212-1 du Code de la défense dans l’actuel projet de loi, est intégralement réécrite, ce qui est inhabituel car l’usage du législateur est de remplacer des termes ou des morceaux de phrases. Le premier alinéa est ainsi rédigé : « En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. Ce décret précise les territoires concernés et, le cas échéant, l’autorité administrative ou militaire habilitée à procéder à ces mesures ».

À la lecture rapide de ces dispositions, on n’y trouverait pas grand-chose à redire, pensant que finalement il appartient à l’État, en cas de péril imminent, d’avoir recours à tous les moyens possibles pour assurer la défense de la Nation. Mais il convient d’examiner les raisons qui ont conduit le législateur (en réalité, l’administration gouvernementale qui a rédigé ce projet) à revoir complètement une rédaction existante qui semblait pourtant remplir l’objectif recherché. On notera tout d’abord que les renvois à d’autres articles, présents dans la rédaction actuelle dudit Code, ont été supprimés : l’article lui-même exprime la motivation autorisant la réquisition. Une lecture attentive de ces nouvelles dispositions ouvre ainsi des perspectives inquiétantes.

Les perspectives possibles d’application de la loi

La motivation autorisant la réquisition apparaît floue, très large et permet au gouvernement (au président ?) d’y mettre ce qu’il veut : la menace peut être actuelle ou simplement prévisible (comment définir qu’une menace soit prévisible ? On a vu les écarts monstrueux entre les prévisions informatiques de l’Imperial College en matière de Covid et la réalité constatée) et relever de divers domaines énumérés dans l’article, notamment les engagements internationaux de la France. Le processus est enclenché par un décret en Conseil des ministres qui, faut-il le rappeler, est présidé par le président de la République.

Prenons quatre exemples. Tout d’abord, sur un plan strictement militaire, l’actuel conflit ukrainien et l’implication croissante de l’UE et de l’OTAN sont de nature à conduire la France dans un engrenage fatal. La réquisition des personnes physiques pourrait permettre au président, sur un simple décret, de réquisitionner par exemple, des personnes pour les envoyer combattre, selon des critères physiques et psychiques décidés par le gouvernement. Dans la pratique, les armées ne disposent plus des capacités de gérer une mobilisation et les personnels réquisitionnés n’ont plus de formation militaire depuis la fin du service, mais on constate souvent que nos dirigeants vivent davantage dans le monde de la théorie que dans la réalité.

Autre exemple : on pourrait imaginer une « urgence climatique », menace considérée comme prévisible faisant par ailleurs l’objet d’engagements internationaux de la France, pour réquisitionner (= confisquer, dans la pratique) des logements énergivores classés G ou encore des véhicules personnels Crit’air 4, car leur situation compromettrait gravement la vie de la Nation : il suffira de l’affirmer avec le relais médiatique habituel. Un simple décret permettra ensuite de spolier les gens concernés.

Une urgence pandémique, compte tenu des accords en cours avec l’OMS pourrait avoir les mêmes effets, surtout si l’on considère que le gouvernement a classé les vaccins anti-Covid parmi les biens à double usage, faisant l’objet d’un contrôle pour l’exportation. Or, les biens à double usage concernent directement la défense nationale. Donc ce texte, s’il est adopté, pourra être appliqué lors de la prochaine pandémie déclarée par l’OMS. Comme la réquisition s’applique aux personnes physiques, on peut imaginer qu’en cas de pandémie du type Covid-19, il soit possible de déplacer les personnes refusant une vaccination imposée par le gouvernement, dans des camps d’internement. Cela s’est vu en Australie.

Dernier exemple : on a vu comment le gouvernement (et l’UE) ont confisqué les avoirs russes ou fait fermer une entreprise comme RT France, dans des conditions de légalité qu’il reviendrait d’étudier. Il sera donc encore plus facile et rapide de le faire, sans présager du détestable signal envoyé aux investisseurs étrangers. 

Ces exemples peuvent sembler caricaturaux ou excessifs mais ce texte le permettra, à la discrétion du président de la République. Or, la gestion de la crise Covid nous a habitués à des tels excès, avec ses plages dynamiques surveillées par des policiers surarmés ou les auto attestations de sortie. On peut maintenant s’attendre à tout, même à l’improbable.

Un amendement déposé par le gouvernement, adopté au Sénat, prévoit enfin que les personnes concernées s’opposant à la réquisition seraient passibles d’un délit puni d’un emprisonnement d’un an et d’une amende de 15 000 euros (article L. 2211-5 du projet de loi).

Le rôle du Parlement se limite au strict minimum, la place de l’exécutif, déjà considérable par la Constitution de la Ve République, s’accroît chaque jour. En matière d’emploi des forces armées, il convient de rappeler que l’article 35 de la Constitution de 1958 impose un vote du Parlement après quatre mois d’opération extérieure : cela fait plus d’un an que des troupes françaises sont déployées en Roumanie et dans les pays baltes (y en a-t-il en Ukraine aussi ?), sans qu’aucun vote ne soit intervenu. Manifestement cela ne dérange ni l’opposition NUPES ni le RN. Aux élections présidentielles en 2017 et en 2022 il fallait faire barrage… barrage à quoi ? Aujourd’hui la France, « démocratie défaillante » selon The Economist, en proie au chaos, ressemble de plus en plus à une démocrature où un exécutif tout-puissant veut toujours plus de pouvoir discrétionnaire et de contrôle sur les simples citoyens mais n’est même pas capable d’assurer la sécurité des biens et des personnes, les événements de ces derniers jours l’ont bien prouvé.

Il serait urgent que ladite opposition se réveille et entrave le coup d’État permanent de la République macronienne.

Olivier Frot est diplomé de Saint-Cyr et docteur en droit.

Source

 

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Actuellement, on envoie du matériel en Ukraine, avec ce texte de loi, on passerait à l'étape supérieure. Quand on est soucieux des libertés publiques, il faut être vigilant." 🎙️@StanislasBerton

➡️La nouvelle loi sur la programmation militaire

📺https://t.co/cR3szfQqzm pic.twitter.com/QJ9o80wuUF

— Sud Radio (@SudRadio) July 4, 2023

 

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Quelle est la légitimité du gouvernement pour nous emmener dans des engrenages aussi graves ! On parle de réquisitionnement de biens et de personnes !

🎙️@StanislasBerton

➡️La nouvelle loi sur la programmation militaire

📺https://t.co/cR3szfQqzm pic.twitter.com/lrHF85tR0M

— Sud Radio (@SudRadio) July 4, 2023

 

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La dérive autoritaire de Macron s'accélère : un texte de loi permettra au gouvernement «la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens», sous peine d'un an d’emprisonnement, en cas de «menace», même pas de guerre!https://t.co/uCTpZkmrda

— Philippe Herlin (@philippeherlin) July 4, 2023

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 17:20
Le virus Covid19 est donc bien une arme biologique, comme l’admet maintenant le Times ? Que vont faire les terroristes du « fact-check »

Document trouvé sur un VK. Le Times semble se réveiller près de trois ans après PG. (Espérons que les deux vendues de News Guards et leurs commanditaires auront l’occasion de le lire !)


Comment prévenir la prochaine pandémie ? Punir ceux qui ont entretenu la première !

Un article fascinant paru dans le Times confirme que presque tout ce que nous avons dit sur l’origine du Sars-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, est vrai, écrit le publiciste Igor Chudov.

Dans un premier temps, l’Institut de Wuhan a rendu ses conclusions publiques et a affirmé que les risques associés à ces expériences dangereuses étaient justifiés parce que « les travaux pourraient aider la science à mettre au point des vaccins », écrit le Times.

Un enquêteur spécial américain a déclaré au Times que la raison pour laquelle l’expérience initiale avait été cachée « était le secret militaire lié à la recherche par l’armée de capacités à double usage dans le domaine des armes biologiques virologiques et des vaccins ». Les enquêteurs américains ont également révélé qu’ils avaient reçu des preuves indiquant que l’institut travaillait sur un vaccin depuis avant la pandémie.

« Les tests effectués par les chercheurs ont également montré que les vaccins et autres traitements mis au point pour lutter contre le Sras n’étaient pas efficaces contre le nouveau virus », écrit le Times. Toute cette « histoire » de sécurité et d’efficacité n’était qu’un mensonge.

Le Times affirme que l’expérience a également été réalisée grâce à des fonds fournis par les Instituts nationaux américains de la santé (NIH) par l’intermédiaire de l’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak, un admirateur d’Anthony Fauci, comme l’ont également prétendu des « conspirationnistes ».

https://dailycaller.com/2021/07/30/redacted-email-pet..

L’article du Times (lien gratuit) est bien documenté et s’appuie sur des entretiens avec des scientifiques, des officiers de renseignement et des enquêteurs de premier plan, révèle Igor Chudov :

https://archive.is/2023.06.10-172049/https://www.thet..

« Le Sunday Times a analysé des centaines de documents, y compris des rapports précédemment confidentiels, des notes internes, des articles scientifiques et des courriers électroniques qui ont été obtenus par des sources ou par des militants de la liberté d’information au cours des trois années qui se sont écoulées depuis le début de la pandémie. Nous avons également interrogé des enquêteurs du département d’État américain – notamment des experts de la Chine, des nouvelles menaces de pandémie et de la guerre biologique – qui ont mené la première enquête américaine d’envergure sur les origines de l’épidémie de Covid-19.

Le Covid-19 était un produit de la recherche sur les armes biologiques et les vaccins :

Selon les trois enquêteurs, l’une des raisons pour lesquelles aucune information n’a été publiée sur ces travaux est que le projet obscur de virus minier de l’Institut de Wuhan a été financé par l’armée chinoise.

Les enquêteurs du département d’État ont écrit dans leur rapport « Bien qu’il se présente comme une institution civile, les États-Unis ont déterminé que l’Institut de virologie de Wuhan a collaboré avec l’armée chinoise dans le cadre de publications et de projets secrets. L’Institut de virologie de Wuhan s’est engagé dans des recherches classifiées, y compris des expériences sur des animaux de laboratoire, pour le compte de l’armée chinoise depuis au moins 2017. »

À mon avis, la raison pour laquelle Mojiang a été dissimulé est le secret militaire lié à la recherche par l’armée de capacités à double usage dans le domaine des armes biologiques virologiques et des vaccins.

Un vaccin pour changer le monde

Les enquêteurs pensent que l’armée chinoise souhaitait mettre au point un vaccin contre les virus afin de pouvoir les utiliser comme armes biologiques potentielles. Si un pays pouvait inoculer sa population contre son propre virus secret, il pourrait disposer d’une arme capable de modifier l’équilibre du pouvoir mondial », ajoute le Times.

Le Dr Zhou Yusen, 54 ans, l’un des concepteurs chinois du vaccin, est décédé en mai 2020, selon certaines sources, après une chute du toit de l’Institut de Wuhan.

« Notez qu’il y a quelque temps, j’ai également expliqué que le Sars-Cov-2 est une arme biologique dans l’article Pour prévenir la prochaine pandémie, punissez ceux qui l’ont déclenchée » – les co-conspirateurs chinois Anthony Fauci et Bill Gates entre autres, conclut l’auteur cité.

https://twitter.com/CalliFanciulla/status/16679213815..

https://igorchudov.substack.com/p/to-prevent-the-next..

 

 

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Le célèbre scientifique Dr Denis Rancourt, PhD, affirme que les vaccins contre la COVID ont tué 13 millions de personnes à travers le monde.

 

 

 

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Le lien effrayant entre le vaccin Pfizer et le cancer – Ce que vous devez absolument savoir!

 

Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l’homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier

Par le Pr Michel Chossudovsky

 

L’interview vidéo suivante avec le professeur Michel Chossudovsky concerne le rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI).

Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 déclarations de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.

Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période (au plus deux mois et demi).

Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « l’homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».

La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n’est plus un « acte d’homicide involontaire ».

Le meurtre par opposition à l’homicide involontaire implique une « intention criminelle ».

Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte criminel. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Vidéo : Entretien avec Caroline Mailloux , Lux Media : Le professeur Michel Chossudovsky sur le rapport « secret » de Pfizer propose une stratégie et une procédure légale pour affronter les grandes sociétés pharmaceutiques en vue de retirer le vaccin Covid-19 dans le monde

 

 

Parmi tous les acteurs majeurs de Big Pharma, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis   (2009 DoD Judgment)

Vidéo : Pfizer a un casier judiciaire. Est-ce pertinent ?

Par le ministère américain de la justice ,

Pour une analyse plus détaillée et complète (Livre sorti en août 2022)

La crise mondiale du coronavirus, coup d’État mondial contre l’humanité

Détruire la société civile, créer une dépression économique

Par Michel Chossudovsky

ISBN : 978-0-9879389-3-0, année : 2022, type de produit : fichier PDF, pages : 164 (15 chapitres)

Des traductions en plusieurs langues sont envisagées .

Afin d’atteindre des millions de personnes dans le monde dont la vie a été affectée par la crise corona, nous avons décidé au cours des prochaines semaines de distribuer l’eBook GRATUITEMENT .

***

Prix ​​: 11,50 $. COPIE GRATUITE Cliquez ici pour télécharger .

Pouvons-nous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), y compris « marketing frauduleux » et « violation criminelle de la Food, Drug and Cosmetic Act » ?

Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » Covid-19 sauvera des vies. C’est un mensonge.

Il y a une tendance mondiale à la hausse des décès et des blessures liés aux vaccins. Les chiffres officiels (3 avril 2022) indiquent environ :

69 053 décès liés à l’injection de Covid-19 et 10 997 085 blessés pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes

Basé sur les cas signalés. Seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le fastidieux processus de notification des décès et des événements indésirables liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales. Sur la base de données historiques (Electronic Support for Public Health–Vaccine Adverse Event Reporting System (ESP:VAERS, p. 6)  :

« Les événements indésirables liés aux médicaments et aux vaccins sont courants, mais sous-déclarés. … moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des événements indésirables liés aux vaccins sont signalés. (nous soulignons)

Ce rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période ( à la plupart des deux mois et demi).


Pour plus de détails sur le rapport, voir

 

Bombshell Document Dump sur les données de vaccins Pfizer

Par le Pr Michel Chossudovsky , le 29 avril 2022


Le vaccin Pfizer BioNTech a été lancé aux États-Unis le 14 décembre après l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence le 11 décembre 2020.  

Ironie du sort, les données révélées dans ce «rapport d’initié» réfutent le récit officiel du vaccin colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma ( associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis ) sont irréfutables : parce que ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres.

N’oubliez pas qu’il s’agit de données basées sur des cas signalés et enregistrés, qui constituent un petit pourcentage du nombre réel de décès et d’événements indésirables liés au vaccin.

Il s’agit de facto d’ un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui c’est un vaccin tueur

Pfizer était parfaitement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

C’est aussi un mea culpa et une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par Big Pharma.

Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour demander le retrait du vaccin tueur.

On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies.

Cliquez ici pour lire le rapport Pfizer.   

Voir également les détails dans les annexes.

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La source originale de cet article est Lux Media et Global Research

Copyright © Prof Michel Chossudovsky , Lux Media et Global Research, 2023

Source : Global Research

 

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Vaccins ARNm, dévoiement de la science, Covid… : « J’ai le devoir d’informer mes concitoyens », Jean-Paul Bourdineaud, toxicologue

 

 

Jean-Paul Bourdineaud veut informer les citoyens afin de les prémunir contre les dérives de la science.

F. Froger / Z9, pour France-Soir

L’ENTRETIEN ESSENTIEL – Jean-Paul Bourdineaud est toxicologue. Professeur de biochimie et de microbiologie à l’Université de Bordeaux, il est aussi l’auteur de l’ouvrage « La Science Outragée »publié aux éditions Marco Pietteur, en janvier 2023. Ce livre aborde notamment les questions relatives à la gestion du Covid, la faillite du journalisme scientifique, les conflits d’intérêts ou encore les effets secondaires vaccinaux.

Voir la vidéo ICI

À propos de ces deux dernières questions, dans le cadre de cet entretien, Jean-Paul Bourdineaud constate que les citoyens sont « très inquiets du devenir du vaccin (anti-Covid-19, ndlr) dans leur corps ». Et que ceux-ci ne peuvent « plus faire confiance au corps médical ». Pourquoi ? Parce que « la grande majorité des épidémiologistes ont des conflits d’intérêts et sont à la solde des industriels ».

Il apparaît alors une vraie « perte de confiance en la science qui ne fait que s’aggraver », symbole de la rupture « d’un contrat social » qui faisait jadis rimer « progrès » avec « bien-être ». Aujourd’hui on assiste au « dévoiement de la science », selon le professeur qui donne des exemples de cette dérive et conclut que « la science n’est pas forcément associée au progrès ».

Informer sans conflit d’intérêts

Des « gens vaccinés reviennent sur leur sentiment premier », après leur vaccin anti-Covid-19. Selon Jean-Paul Bourdineaud, ce vaccin, « beuglé par les fabricants » comme efficace à 95%, est loin d’être aussi performant.

« Avec les chiffres officiels de la DREES (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques, ndlr), du 31 mai 2021 à juin 2022, l’efficacité vaccinale n’est que de 35 à 40% ».

Un taux d’efficacité qui n’aurait même pas dû autoriser une mise sur le marché… Pourtant, « la mère des batailles » a ainsi été gagnée en communication par les industriels, qui ont bénéficié « d’un champ libre » complet et du discrédit de tout autre traitement possible, dont l’hydroxychloroquine.

Le toxicologue revient sur les méthodes scientifiques et cliniques, dont celles issues de l' »Evidence Based-Medicine » (EBM) et de la « randomisation », qui ont dénigré les études prophylactiques et observationnelles. Ces dernières sont pourtant « autant valides et apportent du sérieux scientifique ».

Pour éviter d’être fourvoyés par ces tours de passe-passe méthodologiques, la réponse est simple pour le professeur, qui rappelle n’avoir aucun conflit d’intérêts : « Il faut que les gens comprennent comment la science fonctionne. »

« La Science Outragée », par le Professeur Jean-Paul Bourdineaud, publié aux éditions Marco Pietteur (préface de Laurent Mucchielli), janvier 2023.  Cet ouvrage est accessible en prenant contact à la-science-outragee@orange.fr. 

Bourdineaud

Pr Bourdineaux est aussi un membre du « CRIIGEN atterrés ». Ces derniers se sont affranchis du Comité original et veulent poursuivre le projet d’offrir au public une information de qualité, dénuée de conflits d’intérêts sur le génie génétique.  Une cagnotte de soutien a été mise en place. Il est possible de les soutenir 

Source : France Soir

 

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:55

Quand la bêtise gouverne, l’intelligence est un délit... | Citation de ...

 

Lorsque la bêtise gifle l'intelligence, l'intelligence a le droit de se ...

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