Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 1784 000 visiteurs 300 000 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

8 juillet 2024 1 08 /07 /juillet /2024 10:07

Au final ce qui tue l'humanité, ç'est le conformisme, la soumission aux codes, aux modèles de pensées, à l'éducation, il faut sortir des sentiers battus, innover (pas que dans l'art car cela tiens plus souvent de la supercherie) mais dans la technologie, la recherche de nouveaux modèles économiques, sociaux.... il faut s'affranchir des cadres qui ne servent qu'a nous enfermer, nous asservir, le principal fer que l'on nous a forgé est l'énergie, se libérer des monopoles, serait se libérer de charges supplémentaires, de moyens de contrôle, permettrait un gain de salaire, un abaissement des prix, une amélioration de la qualité de vie. Tout ne tient qu'a la conception que cela est impossible, et qu'il faut se résigner à ce que l'on a, ç'est une pure vue de l'esprit que vos maîtres savent très bien contrôler.

 

Voyez il y a d'autres moyens de produire de l'énergie peu couteuse pour tous dans le lien ENERGIES LIBRES

 

______________________________________________________

 

 

Moteur à eau type Pantone

Moteur à eau Stan Meyer

Partager cet article
Repost0
6 mars 2024 3 06 /03 /mars /2024 11:47

Vous l'avez rêvé, les brevets ont été bloqués mais les Japonais l'ont produit !

 

Imaginez que vous puissiez conduire votre voiture pendant une semaine entière sans dépenser un centime en essence. Ce rêve apparemment impossible devient réalité jour après jour. L'une des marques automobiles les plus populaires au monde a introduit une innovation révolutionnaire : les voitures à propulsion hydraulique. Les experts s'accordent à dire que cette technologie a le potentiel de révolutionner l'ensemble de l'industrie automobile d'une manière que vous ne pouvez même pas imaginer.

Partager cet article
Repost0
12 février 2024 1 12 /02 /février /2024 17:18
Le miscanthus, cette plante dépolluante aux mille vertus
 

 

Une collectivité iséroise mise sur le miscanthus, une graminée n’ayant besoin d’aucun intrant. Pour convaincre les agriculteurs de la cultiver, elle s’engage à acheter leur récolte afin de chauffer un gymnase.

 

Saint-Jean-de-Bournay (Isère), reportage

« C’est clairsemé, il y a des zones où rien ne pousse encore. Ils m’ont dit que c’était normal. Moi, j’ai l’habitude de semer au GPS, tout droit, tout régulier. Alors là, ça me change ! » À Saint-Jean-de-Bournay, à une cinquantaine de kilomètres de Lyon, Jean-Vincent Chollier se demande encore à quoi va ressembler son champ. Le végétal qu’il y a planté en avril dernier lui est inconnu.

Il s’agit du « miscanthus xgiganteus », une graminée qui, visuellement, ressemble à la canne de Provence ou à l’herbe de la pampa — sans le côté envahissant. « Il paraît que les rhizomes vont ramifier peu à peu », ajoute-t-il. Des rhizomes, il en a acheté 70 000, qui ont été répartis sur deux parcelles, pour un total de 3,4 hectares. Jean-Vincent Chollier et son frère Damien, avec lequel il est associé en Gaec, ont décidé de « jouer le jeu » : ils ont répondu positivement à la suggestion de la communauté de communes (comcom) de Bièvre-Isère. Celle-ci leur proposait de cultiver une plante qui n’a pas besoin de grand-chose : pas d’engrais chimiques ou de pesticides… L’intérêt est double : cela permet de diminuer la pollution des eaux due aux cultures alentour tout en proposant un débouché aux agriculteurs volontaires. La plante, une fois broyée, sert en effet à chauffer un futur gymnase tout proche.

La croissance du miscanthus est spectaculaire : cette parcelle a été récoltée en mars 2023. Après le passage de l’ensileuse, il ne restait plus que 10 centimètres de chaque plant. Mi-juillet, les tiges dépassent déjà les 3m. © Antoine Boureau / Reporterre

Cette collectivité réunit cinquante communes rurales du département de l’Isère, au centre du triangle Lyon-Grenoble-Valence. Un paysage vallonné, entre la vallée du Rhône et les contreforts du Vercors, qui compte 664 exploitations agricoles et 36 500 hectares de surface agricole utilisée, selon le recensement agricole de 2020. Sur ce territoire, l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse (l’établissement public qui audite l’état des ressources en eau du bassin hydrographique du Rhône) a identifié huit points de captages « prioritaires ». En clair : il est pollué — on y retrouve des résidus de nitrates et de pesticides. Lorsque l’Agence de l’eau émet un tel constat, les collectivités concernées sont tenues d’agir pour protéger l’aire d’alimentation du captage.

Vingt ans de stockage de CO2

Pour diminuer le recours aux pesticides et aux engrais (nitrates), le travail de coopération avec le monde agricole est incontournable. Les leviers sont multiples : promotion de la filière biologique, plantation de haies, développement du désherbage mécanique et des cultures à bas niveau d’intrants… Le miscanthus entre dans cette dernière catégorie. Mis à part l’année de la plantation, sa culture ne nécessite ni désherbage, ni engrais, ni arrosage — c’est bien simple, il pousse tout seul. Autre atout, c’est une plante vivace : elle repousse chaque année après la récolte. Sa durée de vie dépasse la vingtaine d’années. Vingt ans minimum, donc, durant lesquels les sols n’absorberont aucun intrant, et au contraire, stockeront durablement du CO2. Le miscanthus a donc tout pour lui, et c’est ce qui a séduit les élus, les techniciens de la communauté de communes et les experts de l’Agence de l’eau. Mais comment convaincre les exploitants de remplacer les céréales auxquelles ils sont habitués par cette plante qui ne se mange pas, ni par les humains ni par le bétail ?

Dans son rôle de financeur public, l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse prend en charge 70% du poste de Sylvain Granger, de l’étude réalisée par la Chambre d’Agriculture, et une partie du surcoût de la chaudière biomasse. © Antoine Boureau / Reporterre

« Ce n’est pas que simple », résume dans une belle litote Éric Savignon, vice-président de Bièvre-Isère Communauté, chargé du grand cycle de l’eau. Tous le savent : pour que les agriculteurs se lancent, il faut qu’ils s’y retrouvent économiquement. Les tiges de miscanthus, qui peuvent dépasser quatre mètres de haut, se récoltent en mars, si sèches qu’elles ne contiennent plus que 15 % d’eau. Elles constituent une biomasse très absorbante qui peut servir de combustible, de litière, de paillis — autant de pistes de valorisation des récoltes. Seul hic, elles sont tellement légères et volumineuses que seule une utilisation locale est pertinente.

La communauté de communes a donc décidé de créer elle-même le débouché. Un gymnase est justement en construction, à quelques encâblures du point de captage. Il sera doté d’une chaudière polycombustibles, adaptée au broyat de miscanthus. Une étude « d’opportunité économique » a été effectuée par la chambre d’agriculture de l’Isère, avec le concours de l’Association pour une gestion durable de l’énergie. Elle a établi le nombre d’hectares de miscanthus à cultiver pour assurer le chauffage du gymnase et comparé la rentabilité du miscanthus par rapport à d’autres cultures locales, comme le maïs irrigué. Ces calculs ont permis d’établir un prix acceptable à la fois pour la collectivité et pour les agriculteurs : 130 euros la tonne. Montant que la comcom a décidé d’augmenter à 180 euros pour être encore plus incitative.

Jean-Vincent Cholliet, agriculteur à Royas, a consacré deux de ses parcelles à la culture du miscanthus. Il a l’avantage d’avoir suffisamment d’espace de stockage pour engranger la récolte et la livrer petit à petit au gymnase de Saint-Jean-de-Bournay. © Antoine Boureau / Reporterre

« On espère que cela fera ricochet dans d’autres collectivités »

Pour Jean-Vincent Chollier, le seuil de rentabilité du miscanthus « n’est pas miraculeux », certes, mais a l’avantage d’être assuré, loin des incertitudes qu’il vit avec le prix des céréales ou celui du lait. Le fait que le point de captage soit situé entre ses deux parcelles ne lui est pas non plus indifférent : « Ce qu’on fait a forcément un impact sur l’eau, on en est très conscient aujourd’hui. » Tout comme la proximité d’un lotissement, en bordure du champ. « Même si on traite toujours la nuit, on n’était jamais très à l’aise. Là, on n’aura plus à passer », dit-il. Et puis, même si chaque hectare de miscanthus lui a coûté 4 000 euros d’investissement, il n’en cède que 3,4 à cette innovation, sur les 330 qu’il cultive au total. Le risque est circonscrit. L’an prochain, les plants seront encore trop petits pour qu’il ait une récolte. Mais les feuilles, tombées à terre, lui épargneront désherbage et fertilisation. En 2025, il devrait avoir un rendement succinct, mais à compter de 2026, lui a-t-on promis, il peut compter sur quinze tonnes de biomasse à l’hectare. La communauté de communes s’est engagée à lui acheter sa récolte pour alimenter la chaudière du gymnase qui sera alors sorti de terre. Et si elle ne prend pas tout ? Il a lui-même une chaudière biomasse et ses cent vaches pourraient bénéficier d’une litière d’un nouveau type. Alors, pourquoi pas ?

La croissance erratique du miscanthus tout juste planté laisse perplexe les agriculteurs. Philip van der Pluijm, le technicien de culture de la société Novabiom, qui a fourni les rhizomes, la planteuse et les conseils agronomiques, les rassure : rien d’anormal ! © Antoine Boureau / Reporterre

À l’Agence de l’eau, on s’enthousiasme pour ce projet qui coche toutes les cases. Solène Dominjon, qui a suivi ce dossier pour l’établissement public, en énumère les vertus : « économie locale et circulaire, coconstruction, système gagnant-gagnant, des agriculteurs qui s’engagent, y compris financièrement, c’est assez rare ! Cela nous garantit vingt ans de pérennité d’action, sans intrant dans ces parcelles. On espère que cela fera ricochet dans d’autres collectivités. »

La comcom attend bien sûr des retombées sur la qualité de l’eau brute, mais surtout, elle espère lancer une dynamique. Car pour l’heure, seuls 3,4 hectares sont concernés sur les 662 hectares agricoles situés sur l’aire de captage. Au niveau national, cette culture reste également confidentielle — 11 000 hectares de miscanthus sont cultivés en France selon la filière. « Les quarante autres exploitants de la zone sont attentistes, reprend Éric Savignon, mais l’important, c’est que la collectivité initie les choses et s’engage aux côtés de ses agriculteurs pour leur garantir un revenu sans les montrer du doigt, comme c’est trop souvent le cas. C’est une incitation à faire évoluer les pratiques. » Jean-Vincent Chollier, lui, ne cache pas que sa curiosité l’a emporté : « J’aime bien essayer. » Il attend de voir si la graminée tient ses promesses.

Source

Partager cet article
Repost0
26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 16:11

China moves closer to completion of world’s first thorium reactor ...

Une avancée mondiale et révolutionnaire

 

Nucléaire: la Chine se prépare à réaliser l’impensable
 
 
L'autorisation délivrée le 7 juin par la National Nuclear Safety Administration donne le feu vert au Shanghai Institute pour exploiter le réacteur pendant dix ans. Les opérations de test seront lancées pour commencer. L'institut de Shanghai est tenu responsable de la sécurité du réacteur et doit se conformer à toutes les lois, réglementations et normes techniques pertinentes
 

La Chine a franchi une étape importante dans l'adoption de technologies nucléaires avancées, le gendarme de la sûreté nucléaire du pays ayant délivré une autorisation opérationnelle pour son premier réacteur à thorium. Opéré par le Shanghai Institute of Applied Physics de l'Académie chinoise des sciences, ce réacteur thorium à sels fondus (MSR) de deux mégawatts, situé dans la ville désertique de Wuwei dans la province du Gansu, offre plusieurs avantages potentiels par rapport aux réacteurs à uranium traditionnels. Il renforce la sécurité, réduit les déchets et améliore l'efficacité énergétique. De plus, le thorium est une ressource plus abondante que l'uranium, ce qui confère à la Chine, détentrice de réserves significatives, un avantage distinctif.

 
 

L'autorisation délivrée le 7 juin par la National Nuclear Safety Administration donne le feu vert au Shanghai Institute pour exploiter le réacteur pendant dix ans. Les opérations de test seront lancées pour commencer. L'institut de Shanghai est tenu responsable de la sécurité du réacteur et doit se conformer à toutes les lois, réglementations et normes techniques pertinentes. C'est une réalisation majeure pour le secteur de l'énergie nucléaire chinois, qui positionne le pays en tant que leader potentiel dans la technologie des réacteurs au thorium. Selon le South China Morning Post, "la Chine possède l'une des plus grandes réserves de thorium au monde. La taille exacte de ces réserves n'a pas été rendue publique, mais on estime qu'elle est suffisante pour répondre aux besoins énergétiques totaux du pays pendant plus de 20 000 ans".

Toutefois, le déploiement réussi de ces réacteurs à grande échelle requiert le dépassement de nombreux défis techniques, réglementaires et économiques, selon les experts du secteur. Le projet a été lancé en 2011, mais la construction n'a commencé qu'en 2018. Malgré des prévisions initiales de six ans pour la construction, les scientifiques et les ingénieurs ont achevé le travail en environ trois ans, les travaux se déroulant plus facilement que prévu. Les autorités environnementales ont mis plus de deux ans pour confirmer que l'installation répondait aux normes de sécurité les plus élevées.

 

L'utilisation à grande échelle de la technologie des réacteurs à thorium a le potentiel d'améliorer la compétitivité globale de la Chine dans le secteur de l'énergie. Elle pourrait renforcer la sécurité énergétique de la Chine, positionner le pays en tant que leader dans les technologies nucléaires avancées et contribuer à la durabilité environnementale. Néanmoins, malgré les avancées de la Chine dans le développement et la mise en œuvre de la technologie des thorium MSR, plusieurs experts nucléaires ont noté que cela ne signifie pas nécessairement que tous les défis technologiques ont été surmontés.

 

Partager cet article
Repost0
22 avril 2023 6 22 /04 /avril /2023 17:24

Sur les fleuves, rivières à petits dénivelés, avec un coût peu onéreux et une installation facile, voilà une solution pour les petites mairies, les communes ou les communautés de communes, les groupements, afin de se libérer de la dépendance et des monopoles électriques. Une façon de faire baisser les charges et améliorer la condition de vie des habitants de la localité.

 

Henry

 

_______________________________________________

 

Exploitez l'énergie propre des rivières ou des canaux qui n'étaient jamais viables auparavant et alimentez les communautés et les villages de 50 à 500 foyers . 

  • Transport facile sur un petit camion

  • Générer 120.000 à 560.000 kWh par an par turbine

  • Livraison rapide

  • Travaux de génie civil faciles et installation en quelques jours

  • Généralement, aucun permis d'eau ou d'installation n'est nécessaire.

  • Une source d'énergie fiable et constante (contrairement aux sources d'énergie intermittentes comme l'éolien ou le solaire)

  • Énergie 24 heures sur 24, 365 jours par an

Partager cet article
Repost0
22 avril 2023 6 22 /04 /avril /2023 17:10

Voilà pour les communes ou les regroupements possibles afin d'échapper à la dépendance et aux monopoles électriques. Se construit sur un très faible dénivelé.

 

Pour ceux qui ont des orientations écologiques, ç'est un bon moyen par des groupements de personnes, associations, ou par les communes de distribuer de l'electricité à moindre coût, tout en préservant la nature. 

 

A vous de voir !

 

Henry

LE PRODUIT VLH

Les turbines hydrauliques sont des matériels par nature imposants. En effet, pour générer des puissances même relativement modestes (de l’ordre d’une centaine de kW) sous des chutes inférieures à 2 m, les débits à turbiner peuvent dépasser 10 m3/s. Il en résulte pour les ouvrages d’adduction des structures de génie civil de grande taille proportionnées aux débits prélevés.

Pour rendre leur matériel plus compétitif, les constructeurs de turbines hydrauliques ont de tout temps cherché à optimiser leur produit en augmentant les performances en particulier par la diminution des diamètres de roue. Cette diminution des diamètres de roue a conduit à des ouvrages d’amenée et de restitution d’une dimension telle qu’ils sont impossibles à réaliser économiquement lorsque la chute est trop faible.

L’idée de base du concept VLH va à l’opposé de cette tendance en cherchant à diminuer, autant que faire se peut, les ouvrages d’amenée et de restitution en augmentant le diamètre de la roue de la turbine et en intégrant celle-ci dans un bloc autoporteur qui assure l’ensemble des fonctions d’une installation classique.

 

La VLH incorpore les fonctions suivantes:

  • Turbine Kaplan standardisée à 8 pales réglables en fonction du niveau et du débit.
  • Structure autoportante permettant un assemblage complet en usine et un montage et une mise en place très rapide.
  • Alternateur à attaque directe, aimants permanents et vitesse variable.
  • Dispositif d’arrêt et de coupure du débit par fermeture des pales sur elles mêmes sans énergie du réseau requise. Les installations VLH n’ont pas besoin de vannes de tête pour assurer l’arrêt du groupe.
  • Distributeur faisant office de grille de protection.
  • Dégrilleur rotatif embarqué.
  • Convertisseur de Fréquence électronique permettant la vitesse variable.
  • Equipements de contrôle/commande électroniques intégrés assurant la gestion du groupe générateur et des équipements électroniques de puissance.
  • Dispositif d’effacement permettant la mise hors d’eau du groupe pour maintenance ou en cas de crue.

Partager cet article
Repost0
11 avril 2023 2 11 /04 /avril /2023 18:46

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:17

L'Energie est au centre de ce débat très intéressant, on passera des pyramides  du plateau de Gizeh, à l'énergie cosmique, puis à Tesla, du contrôle de l'énergie par des groupes financiers puis l'utilisation de l'énergie libre.

Qui contrôle l'énergie contrôle le monde, si vous voulez être libre il faut demander l'Energie Libre, il ne faut pas se tromper de combat, ce monde est fait pour vous distraire des objectifs essentiels l'Energie en est un, un des principaux. 

Le contexte nous permet de voir quelle est l'importance de l'énergie dans notre société, mais il nous permet de voir également quels sont les acteurs de ce secteur, l'Etat profite par les taxes de ce système et n'a aucun intérêt à tuer la poule aux oeufs d'or.

Nous sommes actuellement dans une crise augmentée par des effets de leviers de manipulations du marché de l'énergie et ceci agit par succession sur toute la chaîne de production, l'Etat qui devrait limiter ou contrôler ,n'agit plus en temps que modérateur mais profiteur de la situation.

A vous de voir !

Henry

Partager cet article
Repost0
21 février 2023 2 21 /02 /février /2023 19:06

Avant de vous parler de notre moteur magnétique à aimant permanent, vous devez savoir qu’un appareil à énergie libre crée de l’énergie dans un « système ouvert ». Cela signifie simplement que l’appareil est « ouvert » pour puiser l’énergie dans son environnement.

C’est ce que Nikola Tesla voulait dire lorsqu’il parlait de « puiser dans l’Energie du Point Zéro ».

Nos établissements d’enseignement supérieur (et la science en général), ont diffusé l’idée que ces moteurs surnuméraires n’existaient pas, et qu’il ne peuvent pas être créés… Et d’après vous, quel est le meilleur moyen pour préserver et maintenir cette croyance ? C’est de l’enseigner bien sûr! Eh bien c’est ce que nos établissements continuent de faire jusqu’à présent.

Heureusement, les gens commencent à s’éveiller, et de nouvelles vérités commencent à germer dans la conscience des gens!

Pourquoi ces moteurs magnétiques représentent une menace?

Pour une raison très simple:

Un moteur magnétique autonome qui produit plus qu’il ne consomme ne peut pas être mesuré ou contrôlé par l’Etat, et aucune étiquette de prix ne peut être appliquée. C’est pour cela qu’un appareil à énergie libre est une vraie menace pour les lobbies et les industriels de l’énergie.

Si vous regardez bien d’où proviennent les financements, c’est facile de faire le lien entre les lobbys de l’énergie, les industries agro-alimentaires, pharmaceutiques, et… l’enseignement supérieur. Il est plus que temps de chambouler les choses.

Aujourd’hui, je vous invite à visionner cette vidéo qui montre une réplication de notre moteur Pulsar Version 2.0 par un membre de la grande famille de secrets-energie-libre.com.

Même si notre technologie semble complexe au premier abord, je vous assure qu’elle est réellement à la portée de toute personne motivée. Nous avons détaillé toutes les étapes de construction dans nos plans sous forme de guide pratique, afin de simplifier au maximum votre travail.

Cette vidéo est une vidéo témoignage de la part de Kevin R., un membre de notre communauté :

Merci à lui d’avoir partagé sa vidéo. Voilà une reproduction extrêmement fidèle de notre modèle Version 2. Il a respecté à la lettre toutes les consignes et obtient un Coefficient de Performance identique à celui de nos réalisations. Il a même utilisé le même matériau que nous : le HDPE.

Aujourd’hui nous sommes passés à un système Bedini, beaucoup plus simple à reproduire et plus stable.

Voir une vidéo d’un modèle multi-bobines ici :

Depuis plusieurs mois nous avons donné plusieurs preuves concernant cette technologie. Sachez par exemple que l’appareil de Bedini est celui qui a été le plus reproduit dans le monde (vous pouvez faire vos propres recherches sur Youtube, sur les forums, etc.). Vous constaterez que ce n’est pas une supercherie, que c’est quelque chose de très sérieux et vérifiable.

Je parlerai simplement du fait que cet appareil a reçu 4 brevets et 1 certification par des ingénieurs indépendants d’Allemagne !

D’autres ressources ici et .

Un vent de changement

Je ne parlerai plus des précurseurs de la discipline (Nikola Tesla, John Bedini, Stanley Meyer, Minato, et j’en passe).

Je parlerai de quelque chose d’encore plus inspirant: un homme qui devait défendre l’oligarchie énergétique, mais qui a préféré soutenir la noble cause de la liberté énergétique:

Saviez-vous que Mr Foster Gamble est un héritier et un descendant direct de James Gamble de Procter & Gamble?

Et que dès sa naissance il était prévu qu’il ferait partie de l’établissement hiérarchique qui contrôlerait certaines ressources de la terre?

Il existe heureusement des preuves que l’humanité et l’être humain peut changer: Mr Foster Gamble par exemple, a choisi un autre chemin que celui tout tracé pour lui. C’est une preuve qu’il existe des gens qui veulent et qui peuvent ouvrir la voie.

Même si les nouvelles technologies vont à un moment ou un autre transformer le monde, le vrai changement commence toujours en chacun de nous. Nous possédons la clé du changement. Aucune technologie ne peut transformer notre terre si le changement ne vient pas du plus profond de nous.

Il est temps de créer un monde plus vert et plus sain alors montez à bord du train de l’énergie libre.

 

Source

Partager cet article
Repost0
21 février 2023 2 21 /02 /février /2023 19:01

Connecter votre groupe électrogène essence à ce système et consommer 50% moins d'essence et le reste en eau.
Sur internet vous en trouvez plusieurs un peu partout dans le monde qui ont fait leur prototypes capables de fonctionner 100% à l'eau grâce à l'electrolyse et le hho.

 

Source

Groupe électrogène "Miraclean" inventé et développé par Jean François Mirabella.

J'ai connu Jean Francois quand il montrait fièrement son système Miraclean. Lors d'une de nos rencontres au restaurant Hippopotamus près d'un rond point à Avignon il m'a même avoué avoir été inspiré par mes recherches sur la cavitation que je diffusais par le site freedomservice. Cela m'a fait plaisir qu'au moins mes sites aides certains inventeurs à avancer aussi de leur coté. Pour modifier le groupe électrogène il s'est inspiré du système pantone et des systèmes à cavitation et vortex. Le système à cavitation et vortex lui a permis de faire une sorte de mélangeur créant une émulsion d'eau et d'essence devenant ainsi le nouveau combustible. Il a aussi ainsi fait des cavités dans la tige utilisé dans le réacteur pantone. Ce combustible ainsi crée pouvait atteindre jusqu'à 85% d'eau et voire même plus.

Je peux ici que témoigner ce qu'il ma raconté et de ce que j'ai vécu lors de toute cette aventure humaine dans son entourage. Il y a beaucoup à apprendre de cette aventure sur les erreurs à ne pas refaire quand on est un inventeur.

Il avait la noble idée de commercialiser son système au plus grand nombre. Il voulait modifié des groupes électrogènes standards qu'on trouve dans le commerce pour ensuite les revendre avec son système. Ainsi en témoigne sa documentation d'il y a quelques années. L'état et l'armée ne l'a pas entendu de cette façon. 
Cela n'a pas durer longtemps que l'état, la gendarmerie (donc l'armée) lui interdise son brevet et fasse préemption. A ce moment il négociait pour développer son invention à l'étranger et ainsi éviter ce blocage de l'état français. Naïvement Jean François a manqué de discrétion et communiquais cela par mail  à ces amis. Comme on sait maintenant que tout les mails et téléphones sont espionnés, la réponse et manipulation de l'état n'a pas tardé.  Comme par enchantement, l'état lui a fait savoir qu'ils avaient changer d'avis et lui redonnait l'autorisation d'exploiter sa propre invention. Cependant un industriel proche du pouvoir l'a amené à signer des contrats de confidentialité et d'exclusivité, ce qui revenait au même qu'a la préemption dans le sens ou ses inventions restaient ainsi loin et inaccessible du public. Quelques escrocs et incompétents de son entourage profitant de l'opportunité l'ont aussi beaucoup stressé avec des affaires fumeuses. Cela n'a pas durer longtemps qu'il décède à cause de problèmes cardiaques, ceci un an après son invention. C'est très suspect, d'autant plus que il me semble que son beau-fils qui l'aidait avait aussi eu un accident de voiture suspect, ceci chronologiquement suite à ces démonstrations sur youtube. Une histoire digne d'un film holywood mais qui n'est malheureusement pas le seul à qui une fin tragique arrive parmi les inventeurs.

miraclean_jean_francois_mirabella_fiche_produit_2009.pdf
Télécharger un fichier

Dans le milieu des bricoleurs des système pantone, beaucoup de jaloux l'ont aussi dénigré sur les forums et internet. La nature humaine est encore trop comme dans la cours de récré d'une école maternelle, pleins d'égocentriques, d'opportunistes, de bassesse, de jalousies et de convoitises. C'est aussi un des principal freins au développement des solutions sur les énergies libres dans le monde. Non pas l'existence des inventions et les preuves mais surtout les coté sombres de la nature humaine.
Je crois que les solutions concernant l'énergie libre sortiront au plus grand nombre quand la conscience de d'un grand nombre d'humains sera suffisamment évolué.

Il Il semble que les héritiers de Jean François ont continué pour publier un brevet. Sachez que tout brevet peut être reproduit si c'est pour un usage personnel et sans but d'exploitation commerciale.
Voici le brevet, cela peut donner des idées :
wo2010146307a1_mirabella.pdf
 

 
Partager cet article
Repost0

Pages