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17 mai 2023 3 17 /05 /mai /2023 16:19
 
 
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3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 19:30

Vaccinator a encore frappé : après les 11 vaccins obligatoires pour les enfants en 2017, mais les enfants ne contestent pas et les parents l'ont ils fait dans la majorité des cas, il a récidivé avec la vaccination Covid a répétition à grands renforts de larmoiements et de citoyenneté, aujourd'hui il va séduire les adolescents pour les convaincre de se faire vacciner contre le papillomavirus.

Je reconnais qu'en effet les cancers induits par les papillomavirus sont inquiétants, mais le gardasil ne l'est pas moins ; là aussi ç'est un vaccin à larges suspicions, dont le parcours qui n'est pas récent est déjà émaillés de multiples procédures juridiques pour effets secondaires notoires.

Si vous désirez vous faire vacciner sur ce réfléchissez y a deux fois !

Henry

____________________________________________________

 

GARDASIL : témoignage de Karine 25 ans
 

 

Charlie hebdo vaccine Macron - Courrier picard

 

Gardasil: l’étonnante précipitation du VRP Macron pour vacciner les enfants
 

 

 

Le 8 décembre 2022, le président de la République s’inquiétait de la faible couverture vaccinale des adolescents contre les infections à papillomavirus humains (HPV). Il déclarait à ce sujet vouloir “aller vite” et “faire dès l’école un énorme travail d’information”, sans exclure la possibilité de rendre obligatoire le vaccin Gardasil.

En visite dans un collège de Charente, ce mardi 1er mars, Emmanuel Macron appelle à une campagne de vaccination ”généralisée” des élèves de 5ème (11-13 ans). Un empressement qui interroge, alors qu’une class action (ndlr : action judiciaire collective) est initiée aux États-Unis : ses plaignants accusent le laboratoire Merck d’avoir exagéré les bénéfices du Gardasil et masqué des effets secondaires avérés. 

 

À quatre jours de la Journée mondiale de la sensibilisation autour des maladies induites par le papillomavirus humain, Emmanuel Macron enfile son costume de médecin.  

Procès en cours outre-Atlantique 

“À partir de la rentrée prochaine, pour tous les 5èmes, on va généraliser la vaccination” contre les HPV, a-t-il indiqué lors d’une rencontre avec des élèves dans un collège de Jarnac (Charente). Selon le président de la République, “cela permet d’éviter beaucoup de cancers. Beaucoup de pays l’ont fait”. 

Beaucoup de pays l’ont fait mais certains commencent sérieusement à en revenir. Les États-Unis assistent depuis le mois dernier à l’ouverture d’un procès contre le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD). 

Suite à l’enregistrement d’une action judiciaire collective en octobre 2022, les plaignants veulent obtenir réparation quant à des effets secondaires graves, et parfois même mortels, attribués au vaccin Gardasil 9, le même pourtant fréquemment préconisé par le Président français. 

Selon eux, ces effets adverses auraient été minorés par le fabricant. Quant aux bénéfices réels du vaccin en matière de protection face aux divers cancers faisant suite à une IST (infection sexuellement transmissible), ils auraient été exagérés. 

Une efficacité qui peine à être démontrée scientifiquement 

Les HPV sont l’IST la plus fréquente. Au cours de leur vie, près de 80% des personnes sont confrontées à ce virus. Pour autant, dans environ 90% des cas, selon la Haute autorité de Santé (HAS), sa disparition est effective en moins de 24 mois, sans conséquence pour la santé.  

Certes, si l’infection persiste, l’évolution d’une lésion précancéreuse (dysplasie) vers un cancer du col de l’utérus reste possible. Mais avec 0,7% des infections dégénérant en cancer, ce risque est rare et se produit après un délai moyen de 30 ans.  

Ainsi, le vaccin ne bénéficie que d’une “fenêtre de tir” particulièrement réduite pour démontrer son efficacité. Et la présence avérée d’effets secondaires pourrait très rapidement faire pencher la balance bénéfice-risque du mauvais côté.  

Ce n’est pas la première fois que l’efficacité du vaccin fait polémique après une présentation particulièrement flatteuse de la part de responsables politiques ou de sociétés savantes. 

Plan de communication 

En 2019, plusieurs d’entre elles avaient lancé l’appel des 50, une campagne de communication qui proposait “un dépistage et une vaccination universelle contre le papillomavirus”.  

Cet appel dressait un tableau dramatique du risque encouru par la jeunesse et préconisait “d’augmenter la couverture vaccinale des populations déjà ciblées en rétablissant activement la vérité scientifique et donc la confiance vis-à-vis de ces vaccins actifs et très bien tolérés”. 

Un avis qui n’est pas partagé aujourd’hui par les plaignants américains en procès contre Merck. Après avoir étudié 48 dossiers de victimes, le juge a constaté une homogénéité des problèmes de santé, aussi bien chez les hommes que chez femmes. 

En réponse à l’appel des 50, une quinzaine de professionnels de la santé avaient riposté à l’époque. Ils avaient rappelé de concert l’état de la science, la déontologie médicale et le principe de précaution face à cette vaccination.  

Cité dans un article de Paris Match du 30 avril 2019, signé par la journaliste Vanessa Boy-Landry, le pharmacien hospitalier Amine Umlil affirmait alors :  

“La communication de l’appel des 50 n’était ni objective, ni non trompeuse. Elle ne présentait pas le risque en perspective du bénéfice attendu et ne faisait pas état des éventuelles incertitudes, comme l’exigent le Code de la santé publique et les règles de communication rappelées en 2018 par l’Agence du médicament.” 

Corde sensible 

Des médecins avaient aussi vigoureusement contesté la vision naïve d’un vaccin présenté comme une “solution miracle”. Selon eux, l’appel des 50 n’était qu’une “opération de lobbying” qui demeurait “dans la pensée magique d’un produit révolutionnaire qui ne l’est pas”.  

Dans un autre article publié par Paris Match, le 11 janvier 2019, Vanessa Boy-Landry interrogeait Catherine Riva, une autre journaliste, fondatrice du collectif Re-check. Celle-ci déclarait :  

“Les meilleures données disponibles indiquent que la vaccination n'aura pas l'effet attendu. Les résultats des essais cliniques révèlent qu'il n'y a pas de différence d'efficacité statistiquement significative entre les filles vaccinées non porteuses des HPV ciblés par le vaccin et celles du groupe placebo. Les filles vaccinées ne font plus de lésions précancéreuses associées aux HPV 16 et 18, mais elles en font toujours autant!” 

Emmanuel Macron jouait pourtant le 8 décembre dernier, lors d’une conférence de presse à Fontaine-le-Comte, sur la corde sensible. Il décrivait l’urgence à vacciner les adolescents : “Pour un jeune, si ses parents disent de ne pas se faire vacciner, ça peut être trop tard”. Et alertait sur la faible couverture vaccinale : “On est en retard là-dessus.” 

Des propos à mettre en relation avec une autre analyse de Catherine Riva : 

“Brandir la couverture vaccinale comme un objectif sacré (…), c'est grotesque, intenable d'un point de vue scientifique, et choquant : ces vaccins sont administrés à une population jeune, a priori en parfaite santé, pour empêcher la survenue d'une maladie qu'on prévient par ailleurs déjà avec le frottis de dépistage. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n'y a rien d'obscurantiste à la poser”. 

Les premiers jugements dans l’affaire du Gardasil outre-Atlantique devaient initialement être rendus en septembre 2023. Soit comme le disait Emmanuel Macron, “à la prochaine rentrée des classes”, date à partir de laquelle le chef d’État souhaite voir appliquée “la généralisation de la vaccination”.  

Source

 

L'appel de Merck à abaisser l'âge du vaccin Gardasil contre le VPH n'est "qu'un autre stratagème marketing", déclare un critique

Les chercheurs de Merck ont ​​​​publié lundi une étude suggérant que des preuves montrent que le passage de la vaccination systématique contre le VPH aux âges de 9 à 10 ans peut améliorer les taux de couverture vaccinale au début et au milieu de l'adolescence, mais les critiques ont appelé le fabricant de vaccins à se concentrer sur les profits, pas sur la santé.

 

Affaires en justice et effets secondaires du Gardasil aux USA

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24 janvier 2023 2 24 /01 /janvier /2023 20:07

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24 janvier 2023 2 24 /01 /janvier /2023 19:53
L’INSIDIEUX Bill Gates a l’intention de vacciner de force tous les HUMAINS en injectant d’abord des ARNm mortels à des animaux de ferme…..PARTAGEZ EN MASSE SVP

IL VEUT TUER LA PLANETE CE DINGUE !

 

(Natural News) Les sbires insidieux de Bayer fabriquent des vaccins à ARNm pour les animaux en Allemagne, y compris pour des variantes potentielles du SRAS-CoV-2. Merck vend déjà des vaccins à ARNm pour les porcs et exploite la technologie des particules d’ARN pour d’autres vaccinations animales contre le circovirus porcin et le virus de la grippe A, selon leur propre site Web cette année. Maintenant, le tristement célèbre Bill « tout OGM » Gates prétend vouloir améliorer la génétique des animaux en leur injectant la technologie ARNm. Bien entendu, il se concentre uniquement sur les animaux consommés par les humains, afin d’ »améliorer » l’approvisionnement alimentaire mondial.

Le milliardaire fondateur de Microsoft est en train d’acquérir d’énormes étendues de terres agricoles américaines plus vite que McDonald’s ne peut agrandir vos frites OGM. S’agit-il d’une façon pour Bill de vacciner indirectement de force les humains, y compris ceux qui savent déjà que l’ARNm est une arme biologique de destruction massive ? Beaucoup le pensent. Il semble que M. Contrôle de la population lui-même ait trouvé un autre moyen de réduire la population mondiale de plusieurs milliards de personnes.

L’eugénisme des fast-foods est-il en train de se transformer en une technologie vaccinale à base d’ARNm où la nourriture crée des protéines de pointe qui obstruent et coagulent les systèmes vasculaires de ceux qui la mangent ?
Si vous êtes américain, vous savez probablement déjà que les fast-foods, qui sont chargés d’OGM, de gluten, d’huiles transformées, de produits laitiers, de viande avariée et de sucre, sont les principaux responsables des maladies évitables qui sévissent dans ce pays, notamment les maladies cardiaques, l’obésité, le cancer, le diabète et la démence. Aujourd’hui, les injections de protéines prions pour Covid-19 entraînent des vagues apocalyptiques de mort subite, notamment des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des coagulations vasculaires et le SADS (syndrome de mort subite des adultes).

Puisque Bill Gates veut réduire la population mondiale de quelques milliards de personnes, comme il l’a clairement déclaré lors de ses conférences TED préférées, pourquoi ne pas utiliser des injections d’ARNm mortelles chez les animaux d’élevage, et doubler le nombre de morts chroniques induites par la restauration rapide ? Sa « philanthropie » va tellement loin qu’il veut simplement aider le bétail à avoir une meilleure génétique pour qu’il soit « plus productif », puisqu’il était « en Éthiopie » et qu’il a vu comment les poules pondaient plus d’œufs et « étaient mieux nourries », ce qui permettait de « faire des économies dans le ménage ». Est-ce pour cela que les œufs ont été si durement touchés par l’inflation, Bill ?

Saviez-vous que le père de Bill Gates était à la tête de Planned Parenthood ? Oui, le réductionnisme démographique est de famille, et c’est pourquoi l’un des principaux objectifs de Bill Gates est d’éliminer quelques milliards de personnes en faisant un « excellent travail avec les soins de santé et les vaccins » (avortement et piqûres de coagulation Covid). Maintenant, il investit de l’argent dans les vaccins pour animaux, puisque environ un cinquième des humains dans le monde ne recevront pas les injections de caillots ou ne succomberont pas aux avortements du Planning familial.

Il n’existe AUCUNE preuve que les animaux d’élevage puissent transmettre le Covid-19 aux humains, et pratiquement aucun d’entre eux ne l’attrape au départ.
La campagne de propagande et d’escroquerie fondée sur la peur du Covid-19 est implacable, et les voyous du CDC, de la FDA et de l’OMS n’ont pas l’intention de la relâcher de sitôt. Aux Etats-Unis, plusieurs milliards de poulets, une centaine de millions de bovins et 75 millions de porcs sont destinés à l’abattage à tout moment. Puisque la rumeur veut que le Covid-19 ait commencé chez les animaux (rappelez-vous le canular du marché humide chinois où l’on mange des chauves-souris), la pandémie fondée sur la peur évolue vers la crainte que les animaux du monde entier transmettent le Covid-19 aux humains, de sorte que tout le monde soutiendra les vaccins à ARNm pour leurs animaux de compagnie et d’élevage également. C’est absurde.

Peut-être que la bande de scientifiques insidieux de Fauci au laboratoire de Wuhan, en Chine communiste, travaille sur un nouveau gain de fonction pour les virus bovins et porcins, afin qu’ils puissent eux aussi passer aux humains qui aiment les hot-dogs, les hamburgers, les sandwichs au poulet et les côtelettes de porc. Les scientifiques ont déjà étudié le coronavirus chez les animaux d’élevage et il n’y a AUCUNE preuve qu’ils puissent le transmettre aux humains. Pourtant, Bill Gates cherche toujours des moyens de sauver la planète en éliminant plusieurs milliards d’humains. Il appelle cela de la philanthropie.

Ajoutez FoodSupply.news

à vos favoris pour être au courant de la façon dont Bill Gates détruit l’approvisionnement alimentaire provenant des animaux et de leurs sous-produits, tout cela pour dépeupler la Terre et avoir plus de contrôle et d’argent pour lui-même.

Sources for this article include:

Pandemic.news

NaturalNews.com

RWMaloneMD.substack.com

Rumble.com

WealthofGeeks.com

ModernFarmer.com

https://www.naturalnews.com/2023-01-17-bill-gates-to-force-vaccinate-humans-animals.html

Source : Anna Bellas

 
50 groupes s’en prennent à Bill Gates à propos de l’agriculture et de la technologie : « Vous participez à la création du problème que vous nommez »…. bah oui mais ce criminel oui criminel est toujours la a diriger le monde et a vouloir décimer la Planète

 

Que l’on continue à laisser faire ce fou est hallucinant !

 

Cinquante organisations dédiées à la souveraineté alimentaire et aux questions de justice alimentaire interpellent Bill Gates sur sa dernière affirmation selon laquelle la technologie est la solution à la faim dans le monde et à la souveraineté alimentaire.

(Article de Ron Friedman republié de ChildrensHealthDefense.org)

Dans une « lettre ouverte » publiée au début du mois, les groupes ont répondu aux commentaires que Bill Gates a faits, lors d’interviews avec le New York Times et l’Associated Press, au sujet du rapport 2022 de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Les principaux auteurs de la lettre, Community Alliance for Global Justice/AGRA Watch et Alliance for Food Sovereignty in Africa, ont écrit :

« Dans les deux articles, vous faites un certain nombre d’affirmations qui sont inexactes et doivent être remises en question. Les deux articles admettent que le monde produit actuellement suffisamment de nourriture pour nourrir adéquatement tous les habitants de la planète, mais vous continuez à diagnostiquer de manière fondamentalement erronée le problème comme étant lié à une faible productivité ; nous n’avons pas besoin d’augmenter la production autant que d’assurer un accès plus équitable à la nourriture. »

Les auteurs ont également critiqué les affirmations de Gates selon lesquelles nous avons « sous-investi dans l’innovation agricole » et que la révolution verte était « l’une des plus grandes choses qui soient jamais arrivées ».

Gates a déclaré au New York Times :

« Aider les agriculteurs doit être la priorité absolue du programme d’adaptation au climat. Et dans ce cadre, il y a beaucoup de choses comme le crédit pour les engrais, les engrais bon marché, les meilleures semences, que nous devrions avoir à cœur de financer et pour lesquelles nous devrions fixer des objectifs ambitieux ».

Mais les auteurs de la lettre ouverte ne sont pas d’accord :

« Il existe déjà de nombreuses propositions et projets tangibles et en cours qui visent à stimuler la productivité et la sécurité alimentaire — des installations de fabrication de biofertilisants et de biopesticides aux programmes de formation des agriculteurs à l’agroécologie, en passant par l’expérimentation de nouvelles techniques de gestion de l’eau et des sols, de systèmes agricoles à faible niveau d’intrants et d’espèces végétales déprédatrices. »

Ils sont également en désaccord avec l’affirmation de Gates selon laquelle la révolution verte a été un « succès retentissant » :

« Si [la révolution verte] a joué un certain rôle dans l’augmentation des rendements des cultures céréalières au Mexique, en Inde et ailleurs entre les années 1940 et 1960, elle a très peu contribué à réduire le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde ou à garantir un accès équitable et suffisant à la nourriture. »

Les auteurs rappellent à Gates que la révolution verte a entraîné « une foule d’autres problèmes, qu’il s’agisse de questions écologiques telles que la dégradation à long terme des sols ou de questions socio-économiques telles que l’accroissement des inégalités et de l’endettement (qui a largement contribué à l’épidémie de suicides d’agriculteurs en Inde) ».

Ils ont également critiqué la pression exercée par Gates en faveur des semences génétiquement modifiées, affirmant que « les semences résistantes au climat existent déjà et sont développées par les agriculteurs et échangées sur des marchés de semences informels. »

« Vous participez à la création du problème même que vous nommez », ont écrit les groupes. « L’initiative AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique), que votre fondation continue de financer, a également poussé une législation restrictive sur les semences qui limite et restreint l’innovation en matière de cultures aux laboratoires et aux entreprises disposant de bonnes ressources. »

Ces initiatives n’augmentent pas l’innovation généralisée, mais contribuent plutôt à la privatisation et à la consolidation des monopoles des entreprises sur le développement et les marchés des semences, ont-ils ajouté.

Les groupes ont mis Gates au défi de « prendre du recul et d’apprendre de ceux qui sont sur le terrain » et ont demandé aux médias de réfléchir à la manière dont ils couvrent Gates et sa vision de l’avenir de l’alimentation.

Ils ont écrit : « Nous invitons les médias de premier plan à faire preuve de plus de prudence et à ne pas accorder de crédibilité aux hypothèses erronées, à l’orgueil démesuré et à l’ignorance d’un riche homme blanc, au détriment des personnes et des communautés qui vivent et s’adaptent à ces réalités au moment même où nous parlons ».

Russell Brand : C’est une « belle lettre ».

Russell Brand s’est rangé contre Gates et avec les auteurs de la lettre, déclarant aux téléspectateurs :

« C’est une belle lettre. Elle est brillamment articulée et la raison pour laquelle nous voulons vous la présenter aujourd’hui est qu’elle démontre que critiquer Bill Gates ne fait pas de vous un théoricien du complot et elle démontre aussi que les actions et l’influence de Bill Gates sont néfastes et nuisibles. »

Brand s’est moqué de Gates, en entrecoupant son podcast YouTube de bribes du milliardaire lors de la récente conférence Goalkeepers 2030 de sa fondation :

« Ah, Bill Gates, il est la réponse à tous les problèmes du monde et quiconque le critique est un théoricien de la conspiration ou un universitaire réfléchi qui s’inquiète de le voir coloniser et monopoliser les ressources du monde. »

Mais ce « n’est pas une théorie du complot », a déclaré Brand. « Il s’agit de politiques néfastes conçues pour centraliser le pouvoir et contrôler la nourriture, et les gens répondent depuis une position d’autorité, d’intégrité et d’expertise. »

Il ajoute :

« Ce que vous faites, c’est de l’éclairage – présenter des solutions pratiques, permanentes, dirigées par des agriculteurs comme étant en quelque sorte fantaisistes ou ridicules, tout en présentant vos propres approches préférées comme étant pragmatiques. »

Brand s’est fait l’écho de l’argument du groupe de souveraineté alimentaire selon lequel il existe « déjà des mesures en place qui peuvent être contrôlées et mises en œuvre par les communautés elles-mêmes et qui ne nécessitent pas la centralisation du pouvoir, le brevetage des semences et des cultures, la technologisation du processus de l’agriculture – tout cela, soit dit en passant – par un type qui semble acheter des terres agricoles en ce moment – par coïncidence ! »

Brand a ajouté :

« Gates aime voir le monde comme de simples données. Ce que je vous propose, c’est cette question : Bill Gates essaie-t-il d’aider ? Ou Bill Gates est-il simplement en train de suggérer que la solution à tous ces problèmes est de donner plus de pouvoir à Bill Gates ? »

https://www.foodsupply.news/2022-11-23-50-groups-target-bill-gates-farming-technology.html#

Source : Anna Bellas

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23 janvier 2023 1 23 /01 /janvier /2023 19:11

Ce premier épisode d'une série en plusieurs parties sur le vaccin contre le virus du papillome humain, ou VPH, explore la littérature scientifique évaluée par des pairs qui révèle de graves problèmes de sécurité concernant un vaccin largement considéré comme sûr.

Par Yuhong Dong

La baisse de confiance du public dans les vaccins COVID-19 a un impact significatif sur les taux de vaccination contre les maladies infantiles courantes. Cette série en plusieurs parties explore la recherche internationale effectuée au cours des deux dernières décennies sur le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH) - considéré comme l'un des vaccins les plus efficaces développés à ce jour.

Résumé des principaux faits

  • Cette série en plusieurs parties offre une analyse approfondie des préoccupations soulevées au sujet de la vaccination contre le VPH à la suite de la campagne mondiale contre le VPH, qui a débuté en 2006.
  • Aux États-Unis, il a été rapporté que le vaccin contre le VPH avait un pourcentage disproportionnellement plus élevé d'événements indésirables d'évanouissements et de caillots sanguins dans les veines. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis reconnaît que des évanouissements peuvent survenir après le vaccin contre le VPH et recommande de s'asseoir ou de s'allonger pour se faire vacciner, puis d'attendre 15 minutes après.
  • Des scientifiques internationaux ont découvert que le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a enregistré une augmentation substantielle des rapports d'insuffisance ovarienne prématurée, passant de 1,4 par an avant 2006 à 22,2 par an après l'approbation du vaccin contre le VPH, ce qui donne un Ratio de reporting proportionnel de 46,1.

Le vaccin contre le VPH est largement considéré comme l'un des vaccins les plus efficaces développés à ce jour. Néanmoins, des problèmes de sécurité ont été soulevés à la suite de son approbation, et en réponse, des recherches supplémentaires ont été publiées et des litiges ont été intentés au nom de ceux qui ont été blessés par le vaccin .

Dans cette série de vaccins contre le VPH, les parties I et II expliquent comment le vaccin fonctionne et les preuves suggérant qu'il peut y avoir des problèmes de sécurité légitimes. Les parties restantes présentent des questions sur l'efficacité réelle des vaccins et identifient des ingrédients spécifiques qui peuvent être nocifs.

Les informations présentées ici sont tirées de la littérature scientifique évaluée par des pairs des États-Unis, de l'Australie, du Danemark, de la Suède, de la France et du Japon, ainsi que des statistiques publiées par les agences de santé publique de chacun de ces pays.

Plus de 100 heures de recherche et d'examen interne par des pairs parmi des scientifiques ayant de l'expérience dans les maladies infectieuses, la virologie, les essais cliniques et l'épidémiologie des vaccins ont été investies dans la présentation de ce résumé des preuves.

De vastes études basées sur des registres ont identifié des associations plausibles entre la vaccination contre le VPH et les maladies auto-immunes , y compris l'insuffisance ovarienne prématurée ou l'insuffisance ovarienne prématurée, le syndrome de Guillain-Barré (SGB), le syndrome de tachycardie orthostatique posturale et le syndrome de douleur régionale chronique.

S'il est facile d'être enthousiasmé par les progrès récents de la technologie des vaccins humains, nous devons garder à l'esprit que l'atteinte d'une bonne santé réelle et durable est bien plus que la simple absence d'un certain virus.

Qu'est-ce que le VPH ?

Selon le CDC, le VPH est l' infection sexuellement transmissible la plus courante aux États-Unis .

Le VPH est un petit virus à ADN qui infecte les cellules épithéliales cutanées humaines de la muqueuse et de la peau. Plus de 150 souches du virus HPV ont été identifiées.

L'infection au VPH est si courante que la majorité des personnes sexuellement actives l'attraperont à un moment donné de leur vie, même si elles n'ont qu'un ou très peu de partenaires sexuels. Il peut se propager lors de rapports sexuels et de relations sexuelles orales. Il peut également se transmettre entre les personnes par contact peau à peau, même par des personnes qui ne présentent aucun symptôme.

L'infection au VPH provoque des verrues génitales, dont certaines peuvent se transformer en cancer. Pour la plupart, cependant, l'infection par le VPH est bénigne. Plus de 90 % des infections au VPH ne provoquent aucun symptôme clinique et sont autolimitées, ce qui signifie que le virus est éliminé par l'organisme via les défenses immunologiques naturelles.

Cancers associés au VPH

Les types de VPH à haut risque (types 16, 18 et autres) peuvent provoquer des anomalies des cellules cervicales qui sont des précurseurs de cancers.

Le type 16 est associé à environ 50 % des cancers du col de l'utérus dans le monde, et les types 16 et 18 sont associés à 66 % des cancers du col de l'utérus.

Cinq autres types à haut risque, 31, 33, 45, 52 et 58, sont liés à 15 % supplémentaires des cancers du col de l'utérus et à 11 % de tous les cancers associés au VPH.

L'infection par un type de VPH à haut risque est associée à un risque plus élevé de développer un cancer du col de l'utérus, mais, en soi, l'infection au VPH n'est pas le seul facteur de risque de cancer. Il existe de nombreuses autres raisons, comme discuté dans cet article.

Compte tenu de la prévalence de l'infection, il n'est pas surprenant qu'à l'échelle mondiale, le cancer du col de l'utérus soit le quatrième cancer le plus fréquent chez les femmes. En 2018, on estime que 570 000 femmes ont reçu un diagnostic de cancer du col de l'utérus dans le monde et plus de 300 000 sont décédées de la maladie.

Aux États-Unis, près de 50 000 nouveaux cancers associés au VPH surviennent chaque année, les femmes étant infectées à un taux légèrement plus élevé que les hommes.

Mais dans 9 cas sur 10, le VPH disparaît en deux ans sans causer de problèmes de santé.

Seules les infections persistantes au VPH peuvent entraîner un cancer. Ces infections échappent aux défenses cellulaires innées du système immunitaire .

L'incidence du cancer du col de l'utérus peut être contrôlée grâce à la mise en œuvre de tests et de dépistages de routine, y compris les tests Pap et ADN.

Vaccins contre le VPH

Trois vaccins contre le VPH – le vaccin bivalent contre le VPH (Cervarix, 2vHPV), le vaccin quadrivalent contre le VPH (Gardasil, 4vHPV ou HPV4) et le vaccin 9-valent contre le VPH (Gardasil 9, 9vHPV) – ont été homologués par la FDA.

Le vaccin contre le VPH utilise la technologie recombinante pour assembler l'enveloppe du virus - la protéine de capside L1. Ces particules de type viral ne contiennent pas le génome du virus et ne sont pas infectieuses.

Cervarix, développé par GlaxoSmithKline , est un vaccin bivalent contre les types 16 et 18 du VPH, qui a été retiré du marché américain en 2016 en raison d'une "très faible demande du marché".

Le vaccin Gardasil original de Merck a été conçu pour prévenir les infections par quatre souches (types 6, 11, 16 et 18).

Le 8 juin 2006, après l'examen accéléré de la FDA, Gardasil a été approuvé pour une utilisation chez les femmes âgées de 9 à 26 ans pour la prévention des cancers du col de l'utérus, de la vulve et du vagin.

Selon l'étiquette accompagnant le vaccin, les ingrédients du premier vaccin Gardasil de Merck étaient des protéines de HPV , du sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe , des protéines de levure, du chlorure de sodium, de la L-histidine, du polysorbate 80, du borate de sodium et de l'eau pour injection.

Le 16 octobre 2009, la FDA a approuvé Gardasil (HPV4) pour une utilisation chez les garçons âgés de 9 à 26 ans pour la prévention des verrues génitales causées par les types 6 et 11 du VPH, mais pas pour le cancer.

En 2010, il a approuvé Gardasil pour la prévention du cancer anal chez les hommes et les femmes âgés de 9 à 26 ans.

Quatre ans plus tard, la FDA a approuvé un vaccin mis à jour, le Gardasil 9 de Merck, destiné aux filles de 9 à 26 ans et aux garçons de 9 à 15 ans pour la prévention des cancers du col de l'utérus, du vagin et de l'anus.

Gardasil 9 contient les mêmes ingrédients que Gardasil, mais offre une protection contre neuf souches de VPH, en ajoutant cinq types supplémentaires (types de VPH 31, 33, 45, 52 et 58).

Le calendrier actuel de vaccination contre le VPH recommandé par le CDC est de deux doses pour les garçons et les filles âgés de 11 ou 12 ans. Cependant, il est approuvé pour les enfants dès l'âge de 9 ans. La deuxième dose est administrée 6 à 12 mois après la première.

Pour les personnes âgées de 15 ans et plus, un calendrier à trois doses est mis en œuvre à des intervalles d'un à deux mois et de six mois, bien que des études sur le niveau d'anticorps suggèrent que deux doses sont suffisantes .

Le vaccin incite le corps à produire des anticorps neutralisants contre le VPH. Les réponses en anticorps semblent culminer sept mois après la première dose (ou un mois après la troisième dose). Les niveaux d'anticorps induits par le vaccin semblent être 10 à 100 fois plus élevés que ceux après une infection naturelle .

L'efficacité élevée du vaccin ( 90 à 98 % ) contre les cellules anormales à croissance rapide qui peuvent causer des lésions précancéreuses chez les personnes âgées de 16 à 26 ans suggère que le meilleur moment pour la vaccination était de l'administrer aux patients avant qu'ils ne deviennent sexuellement actifs.

Rapports HPV VAERS de 2 grands pays

Effets indésirables du vaccin américain contre le VPH

Le 19 août 2009, le Journal of the American Medical Association a publié un article rédigé par des scientifiques de la FDA et du CDC qui a passé en revue les données de sécurité de Gardasil pour les événements indésirables signalés au VAERS entre juin 2006 et décembre 2008.

Au cours de cette période, 12 424 événements indésirables ont été signalés. Parmi ceux-ci, 772 (6,2 %) étaient graves.

Le VAERS est un système de surveillance passive, qui est soumis à de multiples limitations , notamment la sous-déclaration, le diagnostic non confirmé, le manque de données de dénominateur et l'absence de groupes de comparaison impartiaux.

Néanmoins, il s'agit d'un outil utile et important pour détecter les problèmes de sécurité post-commercialisation des vaccins.

Un pourcentage disproportionnellement élevé de rapports Gardasil VAERS concernait des syncopes (évanouissements) et des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins dans les veines) par rapport aux autres vaccins. Il y a eu 8,2 événements de syncope pour 100 000 doses de VPH et 0,2 événements thromboemboliques veineux pour 100 000 doses de VPH signalés, respectivement.

La notice de Gardasil inclut une mise en garde concernant les évanouissements, la fièvre, les étourdissements, les nausées et les maux de tête (page 1) et note au moins les effets indésirables suivants rapportés au cours de la surveillance post-commercialisation (rubrique 6.2) : syndrome de Guillain-Barré, myélite transverse, maladie du motoneurone, les événements thromboemboliques veineux, la pancréatite et les maladies auto-immunes.

Événements indésirables des vaccins contre le VPH en Australie

En 2007, l'Australie a signalé un taux annuel de réactions indésirables aux médicaments de 7,3/100 000, le plus élevé depuis 2003, ce qui représente une augmentation de 85 % par rapport à 2006 .

Selon l'analyse de la base de données Adverse Drug Reactions System par le ministère australien de la Santé et du Vieillissement, cette augmentation était "presque entièrement due" aux rapports faisant suite au déploiement national du programme de vaccination contre le VPH à trois doses pour les jeunes femmes en avril 2007 ; 705 des 1 538 effets indésirables signalés cette année-là provenaient du vaccin Gardasil.

1 tableau des effets indésirables des vaccins en Australie
En Australie, l'augmentation de l'ADR en 2007 était presque entièrement due au programme de vaccination contre le VPH à trois doses pour les femmes âgées de 12 à 26 ans en avril 2007. Crédit : Ministère de la Santé et des Soins aux personnes âgées du gouvernement australien.

De plus, bien que les gens puissent prendre différents vaccins autres que le VPH, le vaccin contre le VPH était le seul vaccin suspecté de provoquer des effets indésirables dans 96 % des dossiers. Vingt-neuf pour cent avaient des cotes de causalité « certaines » ou « probables » et 6 % étaient définies comme « sérieuses ».

Tableau des 2 types de vaccins suspects
Parmi ces effets indésirables induits par le VPH, 674 ont été suspectés d'être liés aux vaccins contre le VPH, 203 avaient des cotes de causalité « certaines » ou « probables » et 43 ont été définies comme « graves ». Crédit : Département de la santé et des soins aux personnes âgées du gouvernement australien.

Le Japon retire sa recommandation, l'acceptation des vaccins plonge

En 2013, les Japonais ont fait part de leurs préoccupations concernant une variété d'événements indésirables graves post-vaccination largement signalés. Cela a conduit le gouvernement à suspendre la recommandation du vaccin contre le VPH pendant six ans. L'acceptation du vaccin contre le VPH au Japon a considérablement chuté après 2013, passant de 42,9 % à 14,3 % , ou de 65,4 % à 3,9 % .

Des chercheurs du monde entier ont également commencé à étudier la sécurité du VPH. Un document de position de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) publié le 14 juillet 2017 a conclu que les vaccins contre le VPH étaient « extrêmement sûrs ».

Le même rapport a estimé à environ 1,7 cas d'anaphylaxie par million de doses de VPH, qu'aucune association avec le SGB n'a été trouvée et que la syncope (évanouissement) a été "établie comme une anxiété courante ou une réaction liée au stress à l'injection".

Au printemps 2022, le Japon a annoncé qu'il relançait sa campagne de vaccination contre le VPH . Les organes de presse grand public ont rapporté que pour des milliers de femmes, le coût de la prudence pourrait avoir conduit à des cancers évitables induits par le VPH et à environ 5 000 à 5 700 décès .

Cependant, une véritable analyse risques-avantages tiendrait également compte du nombre d'événements indésirables graves évités en mettant le programme en attente. La question demeure : la prudence du Japon était-elle justifiée ou son programme national de vaccination aurait-il dû se poursuivre ?

Insuffisance ovarienne

Les inquiétudes selon lesquelles le vaccin pourrait avoir un effet négatif sur la fertilité ont été détaillées dans la littérature scientifique.

En 2014, une série de cas évalués par des pairs décrivant une insuffisance ovarienne prématurée chez des femmes australiennes après une vaccination contre le VPH a été publiée dans le Journal of Investigative Medicine.

Cela a incité d'autres chercheurs à examiner systématiquement les données du VAERS pour voir s'il existait un lien entre l'insuffisance ovarienne prématurée et le Gardasil. Leur étude a trouvé un "signal de sécurité potentiel" et a conclu que "d'autres enquêtes sont justifiées".

Analyse VAERS sur l'insuffisance ovarienne

Deux publications récentes basées sur les rapports du VAERS ( première étude, deuxième étude ) ont révélé que les événements avec un arrière-plan auto-immun probable étaient significativement plus fréquents après la vaccination contre le VPH par rapport aux autres vaccinations.

L'équipe de scientifiques internationaux qui a réalisé la deuxième étude a évalué les rapports entre 1990 et 2018. Ils ont constaté que parmi les 228 341 rapports d'insuffisance ovarienne prématurée, 0,1 % étaient considérés comme associés à la vaccination contre le VPH avec un âge médian de 15 ans et le délai d'apparition. était de 20,5 jours après la vaccination.

Les principaux symptômes étaient l'aménorrhée (80,4 %) et la ménopause précoce (15,3 %).

Plus frappant encore, le nombre moyen de cas d'insuffisance ovarienne prématurée a augmenté de manière significative, passant de 1,4 par an avant 2006 à 22,2 par an après l'approbation du vaccin contre le VPH, avec un rapport de déclaration proportionnel de 46.

Les enquêteurs ont noté que l'OMS et le CDC ont déclaré le vaccin contre le VPH sûr, malgré le manque de recherches adéquates sur les problèmes de sécurité.

Par exemple, les auteurs notent que dans une étude VAERS parrainée par le CDC, 17 cas d'insuffisance ovarienne prématurée ont été identifiés mais 15 ont été exclus en raison d'informations insuffisantes pour confirmer le diagnostic. Une étude observationnelle distincte utilisant le Vaccine Safety Datalink n'a trouvé aucun risque accru.

Mais cette étude était trop peu puissante pour détecter un signal. En outre, une étude d'enquête transversale utilisant les données de l'enquête nationale sur la santé et la nutrition s'est appuyée sur une mesure inexacte de l'insuffisance ovarienne prématurée et de la vaccination contre le VPH autodéclarée.

En résumé, les chercheurs ont détecté un fort signal de sécurité même après avoir pris en compte une augmentation potentielle des rapports en raison de la couverture médiatique après le lancement du produit (ils appellent cela un « biais de notoriété »).

Étant donné que le VAERS est un système de déclaration passif, les données peuvent être incomplètes et souvent non confirmées par les médecins. Par conséquent, cette étude ne peut pas fournir un lien définitif entre la vaccination contre le VPH et l'insuffisance ovarienne prématurée ou l'insuffisance ovarienne prématurée, mais génère un lien hypothétique.

Les auteurs de la deuxième étude concluent en insistant sur le fait que « ce signal justifie une recherche épidémiologique bien conçue et appropriée ». Ils notent que "si le signal est confirmé, le risque est faible par rapport au risque à vie de cancer du col de l'utérus".

Cependant, le profil bénéfice-risque au niveau individuel n'est pas uniforme.

Compte tenu des effets sur la santé de l'insuffisance ovarienne prématurée et de l'insuffisance ovarienne prématurée - dont certaines peuvent être irréversibles - et de la baisse du taux de mortalité par cancer du col de l'utérus, même à l'ère prévaccinale, le profil risques-avantages de la vaccination contre le VPH reste incertain.

3 rapports de cas sur l'insuffisance ovarienne

Dans l'enquête de 2014 mentionnée ci-dessus, un médecin généraliste australien a remarqué que trois filles avaient développé une insuffisance ovarienne prématurée après la vaccination contre le VPH4.

À la suite de la vaccination, chacune des filles (âgées de 16, 16 et 18 ans) s'était vu prescrire une contraception orale pour traiter les irrégularités du cycle menstruel. En règle générale, les femmes présentent une aménorrhée (absence de règles) ou une oligoménorrhée (règles peu fréquentes) comme symptôme initial d'une insuffisance ovarienne prématurée.

Une fille a eu des règles irrégulières après trois doses de vaccination contre le VPH. Elle est alors devenue aménorrhéique et a été diagnostiquée avec une insuffisance ovarienne prématurée.

Les règles d'une autre fille étaient « comme sur des roulettes » jusqu'après la troisième dose de VPH, qu'elle a reçue à 15 ans. Son premier cycle après avoir été vaccinée pour la troisième fois a commencé avec deux semaines de retard et son cycle suivant avec deux mois de retard. Le cycle final a commencé neuf mois plus tard. La patiente n'avait pas d'antécédent familial de ménopause précoce.

Elle a reçu un diagnostic d'insuffisance ovarienne prématurée à 16 ans. Les travaux de laboratoire ont révélé des niveaux d'hormones compatibles avec ceux des femmes ménopausées, mais sa densité minérale osseuse était normale.

Les auteurs de cette série de cas ont noté que dans les études précliniques sur le VPH4, les rats âgés de cinq semaines n'ont conçu qu'une seule portée et que les seules études toxicologiques disponibles semblent porter sur le système reproducteur des rongeurs mâles.

Cependant, seulement deux des trois doses ont été administrées avant l'accouplement, et la fécondité globale était de 95 %, légèrement inférieure à celle des rats témoins (98 %) qui n'avaient reçu aucune vaccination avant l'accouplement.

Les recommandations de tolérance à la dose étaient basées sur un poids moyen de 50 kilogrammes pour une adolescente, mais ne tenaient pas compte du fait que le VPH4 est administré à des filles âgées de 9 à 13 ans, dont le poids varie de 28 à 46 kilogrammes.

Une étude de cohorte rétrospective danoise ne trouve aucun lien

Une étude de 2021 a également évalué l'insuffisance ovarienne prématurée dans une cohorte nationale de près d'un million de femmes danoises âgées de 11 à 34 ans.

Les chercheurs ont utilisé la régression des risques proportionnels de Cox pour détecter un risque accru de diagnostic d'insuffisance ovarienne prématurée selon le statut vaccinal contre le VPH4 au cours des années 2007-2016. Le risque relatif d'insuffisance ovarienne prématurée (vaccinés versus non vaccinés) était de 0,96.

Une limitation était que les données sur l'âge à la ménarche (première menstruation) et l'utilisation de contraceptifs oraux n'étaient pas disponibles. Les filles qui n'avaient pas encore atteint leurs premières règles ne seraient pas à risque d'insuffisance ovarienne prématurée, bien sûr.

Les auteurs ont exclu les filles de moins de 15 ans dans une analyse de sensibilité et n'ont toujours trouvé aucun signal, concluant qu'aucune association n'a été trouvée entre la vaccination contre le VPH4 et l'insuffisance ovarienne prématurée.

Reproduit avec la permission d' Epoch Times .

Le Dr Yuhong Dong, docteur en médecine qui détient également un doctorat en maladies infectieuses de la Chine, est le directeur scientifique et co-fondateur d'une société suisse de biotechnologie et un ancien expert scientifique médical senior pour le développement de médicaments antiviraux chez Novartis Pharma en Suisse.

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les points de vue de Children's Health Defence.

 

 

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20 décembre 2022 2 20 /12 /décembre /2022 17:53

C'est officiel Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, le vaccin covid de Pfizer est lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées

 

Vaccin covid Pfizer

 

Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, le vaccin covid de Pfizer est lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées, mais il n'a pris aucune mesure car les résultats "sont toujours à l'étude et nécessitent une étude plus approfondie".

 

Après avoir analysé les données d'une base de données de personnes âgées aux États-Unis, les chercheurs de la FDA ont découvert que la coagulation du sang dans les poumons, l'embolie pulmonaire, atteignait le seuil initial d'un signal statistique et continuait de répondre aux critères après une évaluation plus approfondie.

 

Cependant, la FDA "croit fermement que les avantages potentiels de la vaccination Covid l'emportent sur les risques potentiels d'infection au COVID-19".

 

The Epoch Times rapporte : Trois autres résultats intéressants - un manque d'oxygène au cœur, un trouble des plaquettes sanguines appelé thrombocytopénie immunitaire et un autre type de coagulation appelé coagulation intravasculaire - ont initialement déclenché des signaux d'alerte, ont déclaré les chercheurs. Des évaluations plus approfondies, telles que des comparaisons avec des populations qui ont reçu des vaccins contre la grippe, ont montré que ces trois personnes n'atteignaient plus le seuil statistique d'un signal.

 

Les chercheurs ont examiné des données couvrant 17,4 millions d'Américains âgés qui ont reçu un total de 34,6 millions de doses de vaccin entre le 10 décembre 2020 et le 16 janvier 2022.

L'étude a été publiée par la revue Vaccine le 1er décembre.

La FDA a déclaré qu'elle ne prenait aucune mesure sur les résultats car ils ne prouvent pas que les vaccins causent l'un des quatre résultats, et parce que les résultats "sont toujours à l'étude et nécessitent une étude plus approfondie".

Le Dr Peter McCullough, conseiller médical en chef de la Truth for Health Foundation, a déclaré à Epoch Times par e-mail que le nouvel article « corrobore les inquiétudes des médecins selon lesquelles la forte augmentation des caillots sanguins, la progression de la maladie cardiaque athéroscléreuse et les troubles sanguins sont indépendamment associé à la vaccination contre la COVID-19.

Pfizer n'a pas répondu à une demande de commentaire.

Comment la recherche a été effectuée

Les chercheurs de la FDA, avec l'aide de chercheurs des Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS), ont analysé les données de la base de données CMS. Ils comprenaient les bénéficiaires de Medicare Fee-for-Service âgés de 65 ans ou plus qui ont reçu un vaccin dans les délais, ont été inscrits lorsqu'ils ont été vaccinés et ont été inscrits pour une « fenêtre de temps propre » avant la vaccination. La fenêtre était de 183 jours ou 365 jours, selon le résultat.

Environ 25 millions de personnes reçoivent le Medicare Fee-for-Service, mais seulement 17 millions environ ont été vaccinées au cours de la période étudiée.

 
Rédactrice chez NewsPunch

 

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14 décembre 2022 3 14 /12 /décembre /2022 18:42

Don Fauci potentat  Américain qui décide des pandémies, des intérêts, des placements, des recherches, des fonds à investir, des brevets et ce depuis des décennies il a mains mise sur tout cet ensemble et le tient de main de fer, comme un parrain maffieux

Dr. Fauci says every state should be sheltering in place – BGR

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14 décembre 2022 3 14 /12 /décembre /2022 18:22
Cancer: Le Gardasil, un vaccin à l'effet boomerang
 

Océane  a subi six attaques cérébrales depuis sa 2e injection de Gardasil.

Océane a subi six attaques cérébrales depuis sa 2e injection de Gardasil.

Vaccin indiqué en prévention du cancer du col de l'utérus dû à certaines infections à papillomavirus humains (HPV), le Gardasil suscite la controverse. En cause, une efficacité théorique et des effets secondaires graves désormais connus après la vaccination.

 

 

Océane (voir photo), 16 ans, a été victime de six attaques cérébrales depuis sa deuxième injection de Gardasil en février 2011. «Ma fille, c'était la joie de vivre. Depuis huit mois, elle enchaîne les séjours à l'hôpital. Le lien entre l'état de santé d'Océane, qui souffrirait d'une encéphalomyélite, et le Gardasil a été fait par un médecin de l'hôpital de Dax», explique Jean-Jacques Bourguignon, son papa.

L'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps), qui a dénombré 351 victimes*, établit un taux d'effets indésirables graves de 8,1 cas pour 100.000 vaccinations. Chiffres obtenus en fonction du nombre de doses de Gardasil vendues en France, à savoir 4,3 millions depuis la fin 2006.

«Bonne tolérance de ce vaccin», selon Sanofi-Pasteur MSD

Or, on sait que seul 1,5 million de femmes ont été vaccinées, les jeunes filles recevant pour la plupart d'entre elles trois doses de vaccin. Aussi, le taux d'effets indésirables graves (EIG) est en fait de 23,4 pour 100.000 femmes. Un chiffre explosif! A titre de comparaison, le taux d'incidence du cancer du col de l'utérus est de 6,4 pour 100.000 femmes en 2010. Ainsi, le nombre d'effets secondaires graves après une vaccination est près de trois fois plus important que le risque d'être atteinte d'un cancer du col utérin. 

«Ces chiffres ne constituent pas un signal d'alerte, mais nous maintenons une surveillance renforcée sur ce vaccin, explique l'une des responsables de la pharmacovigilance de l'Afssaps. Concernant l'évaluation du bénéfice et du risque, le comité technique des vaccinations pourra l'estimer à l'issue de la réunion de la Commission nationale de pharmacovigilance du 22 novembre.» Pour Yann Leocmach, directeur médical France pour Sanofi-Pasteur MSD, qui commercialise le Gardasil, «plus de 78 millions de doses ont été vendues dans le monde, et toutes les données confirment une bonne tolérance de ce vaccin».

Effets indésirables

Pour le député Gérard Bapt (PS), qui, après le Mediator, s'intéresse désormais de près au Gardasil, «les chiffres de la pharmacovigilance montre que les effets indésirables graves liées à la vaccination sont supérieurs au bénéfice hypothétique escompté en termes de réduction du cancer du col utérin, chez des personnes s'astreignant au dépistage par frottis! Il est urgent de réévaluer la balance bénéfice-risque», ajoute-t-il. En 2008, le DTPolio a été retiré du marché en raison d'un ratio d'EIG équivalent à 10,7/100.000 doses, chiffre donné par le laboratoire Sanofi-Pasteur. Le Gardasil pourrait-il subir le même sort?

* chiffres 2011

Source

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4 décembre 2022 7 04 /12 /décembre /2022 10:32
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28 novembre 2022 1 28 /11 /novembre /2022 18:09

Les mêmes organisations qui s'intéressent aux vaccinations aujourd'hui ont également eu beaucoup d'influence pour jeter les bases il y a des décennies. Les gens ont tendance à penser à ces grandes organisations bien connues – telles que la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates, l'UNICEF ; CDC, GAVI, USAID, la Banque mondiale – comme indépendants les uns des autres, mais ils ne le sont pas. Ils font partie d'une infrastructure vaccinale - un régime vaccinal mondial. Ou, comme le décrit Nations in Action , l'architecture du gouvernement de l'ombre des vaccins.

L'architecture est dirigée par des investisseurs qui ont créé des fonds et des fondations qui se livrent ensuite à diverses activités de financement, tout en étant également chargés d'aider les politiciens à être élus ou nommés. Dans le même temps, les fondations font des dons à des organisations internationales leur donnant à et leur permettant d'orienter les organisations vers certaines conclusions.

En bref, des organisations et des individus fortunés vous font payer, à vous et à votre gouvernement, et mettent en œuvre des intérêts privés par le biais de politiques publiques. Des politiques dirigées vers une conclusion sélectionnée qui profite à ces richesses d'intérêts.

 

 

Qu'est-ce que le gouvernement mondial de l'ombre ?

Selon le milliardaire français et président du RDH Philippe Argillier , le gouvernement fantôme est le gouvernement réel qui donne des ordres officiels au gouvernement élu. Il y a une entité extrêmement puissante dans les coulisses qui implique des personnalités très influentes dans la finance comme dans la politique, dont certains chefs d'État. 

« Au total, 38 individus dirigent la vie quotidienne de 8 milliards de personnes sur Terre… L'administration Biden est sous le contrôle du gouvernement fantôme. Je peux le confirmer sans aucune hésitation sur la base des informations dont je dispose », a déclaré Argillier à Nations in Action .

Nations in Action : Philippe Argillier explique le Shadow Government et le pouvoir dynamique des Databanks,
16 octobre 2021 ( édité par SGT News Network , 2 mins)

Vous pouvez regarder l'intégralité de l'interview de 20 minutes ' Global Leaders Strategise Ending the Shadow Government' Part I ICI où Philippe Argillier a expliqué le gouvernement fantôme et la puissance dynamique des banques de données qu'il a en sa possession.

Argillier a expliqué que le gouvernement fantôme est presque comme une société avec un programme à court, moyen et long terme. La plupart du temps, leur influence est basée sur l'économie ou l'argent. Mais généralement, leur influence est dirigée vers des accords géopolitiques, avec une intervention militaire si nécessaire, avec certains des pays les plus puissants. Par exemple, les États-Unis, la Chine et la France sont les pays les plus puissants travaillant avec le gouvernement fantôme dans les coulisses.

Pour comprendre le gouvernement fantôme derrière, nous devons comprendre les individus le gouvernement fantôme, a déclaré Argillier. "Ces individus [sont si riches qu'ils] ont perdu tout sens de la conscience, toutes les valeurs... quand vous êtes au sommet, tout en haut [comme] ils le croient, [ils disent] 'créons notre propre monde , décidons au nom de 8 milliards de personnes sur Terre". C'est presque jouer comme à un jeu de Monopoly, où vous décidez quelle sera la prochaine grande étape. Jusqu'à présent, cela a fonctionné car avec ce type d'argent , vous pouvez acheter tout ce que vous voulez.

Dans la deuxième partie , Argillier a déclaré qu'il savait qui étaient la plupart des 38 personnes derrière le gouvernement fantôme, mais qu'il ne divulguerait pas leurs noms.

Autres ressources :

Le régime vaccinal mondial

Pourquoi la bureaucratie américaine minimise-t-elle le potentiel que Covid soit un virus créé artificiellement et dévoilé en laboratoire alors qu'elle finançait la recherche sur les médicaments/virus aux États-Unis et en Chine pendant plus d'une décennie avant le début de la « pandémie » de Covid ? 

Pourquoi la possibilité d'une fuite de coronavirus en laboratoire at-elle été écartée du discours public par les institutions gouvernementales américaines, les médias et l'Organisation mondiale de la santé (« OMS ») alors que, par exemple, les National Institutes for Health (« NIH ») des États-Unis Defense Threat Reduction Agency (« DTRA »), Health and Human Services (« HHS ») et le ministère de la Défense (« DoD ») financent depuis des décennies les recherches de l'EcoHealth Alliance de Peter Daszak sur les coronavirus de chauve-souris, y compris des recherches à Wuhan, en Chine ?

Dans la vidéo ci-dessous, un chercheur de Nations in Action a présenté des documents qui, pris ensemble, ont fourni une réponse à ces questions.

Shadow Government Architecture: The Vaccine Perspective - NIA Research Team, 22 août 2022 (62 minutes)

Vous trouverez ci-dessous des notes tirées de la présentation ci-dessus. Dans la mesure du possible, nous avons ajouté des liens vers les documents auxquels il est fait référence. À partir de l'horodatage 21h25, Nations in Action a évoqué le régime mondial de vaccination. 

Historique du calendrier des vaccins des CDC

Les mêmes organisations qui s'intéressent aux vaccinations aujourd'hui ont également eu beaucoup d'influence pour jeter les bases "remontant assez loin". 

Au cours de la période commençant dans les années 1940 jusqu'à aujourd'hui, il y a eu une augmentation constante du nombre de recommandations de vaccination des Centers for Disease Control and Prevention (« CDC ») des États-Unis. Actuellement, avant Covid, le calendrier de vaccination du CDC recommande au moins 45 doses au cours des 18 premières années de vie. 

Dans les années 1980, le gouvernement américain achetait entre 52 % et 55 % des vaccins infantiles distribués aux États-Unis. En dix ans entre 1988 et 1997, le coût des vaccins a doublé, passant de 100 $ à 200 $ par enfant jusqu'à l'âge de 6 ans. Le coût cumulé a encore doublé, passant de 200 $ à près de 400 $ par enfant, en moins de cinq ans entre 1997 et 2001 L'introduction du vaccin antipneumococcique conjugué dans le calendrier des nourrissons a entraîné un nouveau doublement des dépenses publiques, de 500 millions de dollars à 1 milliard de dollars, entre 2000 et 2002. 

Ces paiements ont été effectués à partir du Vaccine for Children Entitlement Program. La législation récente de Covid a créé un nouveau programme d'admissibilité, calqué sur le programme d'admissibilité au vaccin pour les enfants, appelé le programme de vaccin pour les adultes avec un financement initial de 25 milliards de dollars.

Les Rockefeller créent un groupe de travail

Les années 1980 ont marqué un tournant pour le régime de vaccination dirigé par le Groupe de travail sur la survie et le développement de l'enfant. Le groupe de travail a été créé pour développer les activités de vaccination des principaux organismes internationaux. Il s'agissait d'un partenariat entre plusieurs agences des Nations Unies (« ONU ») et la Fondation Rockefeller.

En 1983, la loi sur l'indemnisation des vaccins a été introduite au Congrès. Et en 1986, la National Childhood Vaccine Injury Act (« NCVIA ») est devenue loi. En bref, cette loi a fait de la responsabilité des dommages causés par les vaccins la responsabilité du gouvernement américain tandis que les bénéfices des vaccins sont allés à Big Pharma. En conséquence, et sans surprise, au cours des décennies suivantes, il y a eu une augmentation massive du nombre de vaccins recommandés. Dans le cadre de la NCVIA, le Programme national d'indemnisation des blessures causées par les vaccins (« NVICP ») a été créé.

Suite à la promulgation de la NCVIA, la Children's Vaccine Initiative a été fondée en 1990. Les sponsors comprenaient la Banque mondiale, la Fondation Rockefeller, l'OMS, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (« UNICEF ») et le Programme des Nations Unies pour le développement (« PNUD »). Il avait plusieurs objectifs, dont trois étaient : la mobilisation de ressources sensiblement plus importantes pour l'introduction des vaccins, en particulier dans les pays en développement ; des niveaux de collaboration sans précédent ; et, sensibiliser à la grande valeur des vaccins.

Shadow Government Architecture: The Vaccine Perspective , NIA Research, 22 août 2022 (horodatage 28:57)
Le régime des vaccins se mondialise

En 2000, l' Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (« GAVI »), dirigée par la Fondation Bill & Melinda Gates, a été formée. L'objectif de GAVI est de faciliter la vaccination dans les pays en développement en travaillant avec l'OMS, l'UNICEF, la Banque mondiale, l'industrie du vaccin, les agences de recherche et techniques, la Fondation Gates et d'autres philanthropes privés. Les autres philanthropes privés avec lesquels GAVI travaille sont mis en évidence dans l'image ci-dessous.

En 2003, la Fondation Gates a élaboré un rapport montrant la nécessité de créer des alliances public-privé pour faire avancer le programme de vaccination. Le rapport s'intitulait « Partenariats mondiaux pour la santé : évaluation des conséquences pour les pays ». Il a déclaré que "certains des facteurs clés utilisés pour mesurer le succès comprenaient le taux de vaccination global des populations". En d'autres termes, la pression pour que les organisations privées bénéficient à l'échelle mondiale grâce à la politique publique de vaccination avait commencé à être documentée.

En 2005, il y a eu une autre poussée du régime vaccinal. L'OMS a publié la « Vision et stratégie mondiales de vaccination » en alliance avec la Fondation Rockefeller, la Fondation Gates, l'UNICEF ; CDC, GAVI, USAID et la Banque mondiale. L'une des visions était que la vaccination était considérée comme "un élément majeur des efforts visant à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement".

Les gens ont tendance à penser que les organisations citées ci-dessus sont indépendantes et autonomes. Mais toutes ces organisations font partie d'une infrastructure plus large - l'OMS, la Banque mondiale et le FMI sont des agences spécialisées de l'ONU et l'UNICEF est un programme et un fonds de l'ONU. Un grand nombre des organisations mentionnées dans la présentation de Nations in Action sont des éléments de l'infrastructure globale de l'ONU (voir l'image ci-dessous).

Shadow Government Architecture: The Vaccine Perspective , NIA Research, 22 août 2022 (horaire 33:37)
La décennie des vaccins

En 2010, la Fondation Gates a établi une feuille de route pour faire des années 2010 à 2020 la « décennie des vaccins ». Peu de temps après, le 1er mai 2010, la Fondation Rockefeller a publié « Scénarios sur la technologie et le développement international », dans lequel se trouve un scénario intitulé « Lock Step ». Le scénario Lock Step indiquait :

"Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus mondiaux - des pandémies et du terrorisme transnational à la crise environnementale et à la pauvreté croissante - les dirigeants du monde entier ont renforcé leur emprise sur le pouvoir."

En 2011, Daszak est l'auteur d'un article publié dans ScienceDirect intitulé « La recherche de sens dans la découverte de virus ».

La recherche de sens dans la découverte de virus , ScienceDirect, décembre 2011

Au cours des années suivantes, Daszak et son collègue chinois Shi Zhengli, également connu sous le nom de « femme chauve-souris » ou « dame chauve-souris », ont découvert et isolé plus de 100 coronavirus uniques qui, selon les propres mots de Daszak, peut être facilement manipulé. dans le laboratoire.

Une copie d'une présentation donnée par Daszak en 2015 aux Académies nationales des sciences, de l'ingénierie et de la médecine à montré le travail d'EcoHealth Alliance en collaboration avec l'Institut de virologie de Wuhan, qui a été financé par diverses agences américaines. La recherche implique des infections chez des souris humanisées et une recherche sur le gain de fonction des coronavirus à l'aide de récepteurs humains ACE2, la protéine à la surface d'une cellule à laquelle la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se mentir .

Comme preuve supplémentaire du financement de ses recherches, à la fin de l'article de Daszak en 2011, il indiquait les organisations qui avaient financé les recherches de Daszak et de son co-auteur, le Dr Lipkin :

Le travail de Peter Daszak est soutenu par le prix NIAID Non-biodefense pour les opportunités de recherche sur les maladies infectieuses émergentes 1 R01 AI079231, un prix NIH/NSF 'Ecology of Infectious Diseases' du Fogarty International Center 2R01-TW005869, la Fondation Rockefeller , Google.org , NSF Human et le prix « Agents du changement » de la dynamique sociale (SES-HSD-AOC BCS-0826779), et le soutien généreux du peuple américain par le biais de l'Agence des États-Unis pour le développement international ( USAID ) Menaces pandémiques émergentes PREDICT . Le contenu relève de la responsabilité des auteurs et ne reflète pas nécessairement les vues de l'USAID ou du gouvernement des États-Unis.Les travaux du Dr Lipkin sont soutenus par des subventions du National Institutes of Health (AI057158, AI0793231, AI070411, EY017404), Fondation Bill et Melinda Gates, USAID PREDICT et Defense Threat Reductions Agency . [c'est nous qui soulignons]

La recherche de sens dans la découverte de virus , ScienceDirect, décembre 2011

En mai 2012, le Plan d'action mondial pour les vaccins 2011-2020 a été approuvé pour réaliser la vision de la « décennie des vaccins » de la Fondation Gates. Le plan a été dirigé par la Fondation Gates, GAVI, l'OMS, l'UNICEF, l'Alliance des dirigeants africains contre le paludisme et l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (« NIAID »).

Autres ressources :

 

La porte tournante

En 2013, le Groupe consultatif technique (« TAG ») sur les maladies évitables par la vaccination a publié un document à l'issue d'une réunion avec le slogan « la vaccination est une responsabilité partagée ». L'objectif de la réunion était de formuler des recommandations pour relever les défis actuels et futurs auxquels sont confrontés les programmes nationaux de vaccination dans les Amériques. L'équipe du TAG de 2013 a communiqué des représentants du Centre national de l'immunisation et des maladies respiratoires (« NCIRD »), du ministère de la Santé du Canada, de la Fondation Rockefeller et des NIH.

Shadow Government Architecture: The Vaccine Perspective , NIA Research, 22 août 2022 (horodatage 41:57)

En regardant les individus qui ont signé le document TAG 2013, nous voyons la porte tournante des individus se déplaçant entre trois organisations - la Fondation Rockefeller, GAVI et l'OMS - et les organismes nationaux de santé publique.

Anne Schuchat , qui a signé au nom du NCIRD, est actuellement membre du groupe consultatif sur les risques pour la santé de l'OMS et membre du comité consultatif mondial sur les maladies infectieuses émergentes de l'Université de Stanford. Auparavant, elle était membre du conseil d'administration de GAVI, du comité des programmes et des politiques de GAVI et du comité d'audit et des finances. Ainsi, elle est venue de GAVI pour devenir responsable du CDC en tant que directrice du NCIRD puis est devenue conseillère auprès de l'OMS.

Arlene King , qui a signé au nom du ministère de la Santé du Canada, a été membre du conseil d'administration de GAVI Alliance, puis elle est devenue médecin-chef du ministère de la Santé de l'Ontario. Elle est donc passée de GAVI au gouvernement canadien.

Jeanette Vega , qui a signé au nom de la Fondation Rockefeller, était une ancienne directrice de l'Agence nationale chilienne d'assurance maladie publique des Rockefeller (FONASA). Auparavant, elle était directrice à l'OMS, puis vice-ministre de la Santé au Chili. Après avoir quitté la Fondation Rockefeller , elle est devenue directrice de l' Agence nationale chilienne d' assurance santé publique et plus tard ministre du Développement social . Ainsi, elle est passée de l'OMS au gouvernement chilien, puis à la Fondation Rockefeller et de retour au gouvernement chilien.

Roger Glass , qui a signé au nom du Fogarty International Center des NIH, a reçu la médaille d'or Albert B. Sabin en 2015 , décernée par le Sabin Vaccine Institute fondé en 1993 pour poursuivre le travail de développement et de promotion des vaccins. Sabin était surtout connu pour avoir développé le vaccin antipoliomyélitique oral. En 1934, Sabin a mené des recherches au Lister Institute for Preventative Medicine de Londres, puis a rejoint l'Université Rockefeller Institute.

En 2017, Rajiv Shah a été élu président de la Fondation Rockefeller. Auparavant, il était directeur de la Fondation Gates, puis administrateur de l'USAID sous l'administration Obama.

 

 

Préparation mondiale à la pandémie

En mai 2018, l'OMS et la Banque mondiale ont formé le Conseil mondial de suivi de la préparation ("GPMB"). En septembre 2018, le GPMB a convoqué une réunion à l'OMS à Genève pour discuter des questions clés sur la préparation mondiale à la pandémie. Le GPMB avait commandé une étude dirigée par la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. En septembre 2019, le GPMB a publié un rapport « Préparation à une pandémie de pathogènes respiratoires à fort impact ».

Les conclusions du rapport 2019 comprenaient :

Préparation à une pandémie d'agents pathogènes respiratoires à fort impact , septembre 2019, résumé des conclusions, p. 11
Préparation à une pandémie d'agents pathogènes respiratoires à fort impact , septembre 2019, résumé des conclusions, p. 13

Les signataires et contributeurs au rapport comprenaient Rick Bright du HHS et Jeremy Farrar du Wellcome Trust.

Shadow Government Architecture: The Vaccine Perspective , NIA Research, 22 août 2022 (horodatage 50:28)

Avant de rejoindre l'Institut Rockefeller, Rick Bright était sous-secrétaire adjoint pour la préparation et la réponse et directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (« BARDA »). Il était le "lanceur d'alerte" qui s'est battu contre l' hydroxychloroquine comme traitement du Covid. Par la suite, il a quitté la fonction publique et est maintenant directeur général du Pandemic Prevention Institute de la Fondation Rockefeller.

En résumé, les organisations et les individus riches vous font payer, vous et votre gouvernement, et mettent en œuvre des intérêts privés par le biais de politiques publiques. Des politiques orientées vers une conclusion prédéterminée qui profite à ces riches intérêts mondiaux.

Lecture complémentaire :

Illustration de la structure du régime vaccinal

De riches investisseurs ont créé des fonds et des fondations qui se livrent ensuite à diverses activités de financement, tout en étant également chargés d'aider les politiciens à être élus ou nommés. Une fois que les candidats politiques sont en fonction, ils autorisent des fonds à ces organisations internationales pour s'engager dans des études, des recherches et des efforts « collaboratifs ».

Dans le même temps, les fondations font des dons aux organisations internationales, ce qui donne accès aux fondations et semble les aider à orienter les organisations vers certaines conclusions.

L'image ci-dessous, utilisant une structure hypothétique, illustre le fonctionnement de ce réseau.

Shadow Government Architecture: The Vaccine Perspective , NIA Research, 22 août 2022 (horodatage 51:57)

Cette structure de régime de vaccins, comme d'autres infrastructures gouvernementales fantômes, a été construite grâce à notre argent et nos élus le permettent. Ils ont armé nos gouvernements contre nous.

Comment pouvons-nous arrêter cela? L'une des solutions consiste pour les gouvernements nationaux à cesser de financer et à interdire la participation des fonctionnaires aux activités de ces organisations internationales. Et, les fonctionnaires qui ont été impliqués dans de telles activités devraient se soumettre à une enquête civile publique.

 

Source : Expose-News

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