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19 mai 2024 7 19 /05 /mai /2024 10:04
L’Institut Rockefeller et la grippe espagnole de 1918
 

Rockefeller

La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe, ni d’origine espagnole ?

 

Des documents récemment analysés révèlent que la « grippe espagnole » pourrait avoir été une expérience vaccinale militaire qui a mal tourné.

Résumé

La raison pour laquelle la technologie moderne n’a pas pu identifier la souche virale mortelle de cette grippe pandémique tient en ce que ce n’était pas la grippe en tant que telle qui était mortelle.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de soldats sont morts de maladies que tués par les balles.

La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe.

La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.

Une étude décrit des soldats comme :

[…] présentant des infections actives [qui] propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d’autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l’invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)

La grippe dite « espagnole » s’est attaquée à des personnes en bonne santé dans la fleur de l’âge. La pneumonie bactérienne s’attaque aux personnes dans la force de l’âge. La grippe s’attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées. Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d’origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier.

Pendant la pandémie de 1918-1919, la grippe dite « espagnole » a tué cinquante à cent millions de personnes, dont de nombreux soldats. Beaucoup de gens ne se rendent pas compte que la maladie a tué beaucoup plus de soldats de tous bords que les mitrailleuses ou le gaz moutarde ou tout ce qui est typiquement associé à la Première Guerre mondiale.

J’ai un lien personnel avec la grippe espagnole. Parmi les personnes tuées par la maladie en 1918-1919, il y a des membres des familles de mes deux parents.

Du côté de mon père, sa grand-mère Sadie Hoyt est morte d’une pneumonie en 1918. Sadie était secrétaire en Chef dans la marine. À sa mort, ma grand-mère Rosemary et sa sœur Anita ont été élevées par leur tante. La sœur de Sadie, Marian, s’est également engagée dans la marine. Elle est morte de la « grippe » en 1919.

Du côté de ma mère, deux des sœurs de son père sont mortes dans l’enfance. Tous les membres de la famille qui sont morts vivaient à New York.

Je soupçonne que de nombreuses familles américaines, et de nombreuses familles dans le monde entier, ont été touchées de la même manière par la mystérieuse grippe dite « espagnole ».

En 1918, « grippe » ou « influenza » était un terme fourre-tout pour désigner une maladie d’origine inconnue. Il n’avait pas la signification spécifique qu’il a aujourd’hui. Ce terme signifiait une maladie mystérieuse qui tombait du ciel. En fait, le terme « grippe » vient du latin médiéval influencia [de influere (« influer ») – NdT] au sens astrologique, qui signifie venir de l’influence des étoiles.

Pourquoi ce qu’il s’est passé il y a cent ans est-il important aujourd’hui ?

Entre 1900 et 1920, d’énormes efforts ont été déployés dans le monde industrialisé pour construire une société meilleure. J’utiliserai l’exemple de New York pour parler de trois changements majeurs de la société qui s’y sont produits à cette époque et de leur impact sur la mortalité due aux maladies infectieuses.

1. Eau propre et assainissement

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York a construit un système extraordinaire pour amener de l’eau propre à la ville depuis les Catskills, un système encore utilisé aujourd’hui. La ville de New York a également construit près de dix mille kilomètres d’égouts pour évacuer et traiter les déchets, ce qui protège l’eau potable. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l’importance de l’eau propre et de l’assainissement dans la lutte contre les maladies infectieuses. (2)

2. Électricité

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York a construit un réseau électrique et câblé la ville pour que l’électricité soit disponible dans chaque foyer. L’électricité permet la réfrigération. La réfrigération est un héros méconnu en tant que bienfait pour la santé publique. Lorsque les aliments sont réfrigérés de la ferme à la table, le public est protégé contre les maladies infectieuses potentielles. L’énergie renouvelable bon marché est importante pour de nombreuses raisons, notamment pour lutter contre les maladies infectieuses.

3. L’industrie pharmaceutique de Rockefeller

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York est devenue le siège de l’Institut Rockefeller pour le Medical Research (aujourd’hui l’Université Rockefeller). L’Institut est le lieu où l’industrie pharmaceutique moderne est née et il fut le pionnier de nombreuses approches utilisées aujourd’hui par l’industrie pharmaceutique, y compris la préparation de sérums vaccinaux, pour le meilleur ou pour le pire. Le vaccin utilisé sur les soldats dans l’expérience de Fort Riley a été cultivé sur les chevaux.

Les données sur les taux de mortalité aux États-Unis du début du 20ème siècle à 1965 indiquent clairement que l’eau propre, les toilettes à chasse d’eau, les systèmes d’égouts efficaces et les aliments réfrigérés se sont tous combinés pour réduire efficacement la mortalité due aux maladies infectieuses AVANT que les vaccins contre ces maladies ne soient disponibles.

Les médecins et les sociétés pharmaceutiques se sont-ils vantés d’avoir réduit la mortalité due aux maladies infectieuses qui touchent légitimement les mineurs urbains [qui travaille dans des projets de construction souterrains ou sous-marins – NdT], les plombiers, les électriciens et les ingénieurs ?

Si l’orgueil de l’Institut Rockefeller en 1918 a conduit à une pandémie qui a tué des millions de personnes, quelles leçons pouvons-nous en tirer et comment pouvons-nous les appliquer à 2018 ? [Article publié à l’origine sur FirstFreedoms en 2018, et re-publié sur FortRussNews en 2020 avec autorisation – NdT].

La maladie n’avait rien d’espagnole

En regardant un épisode de American Experience sur PBS il y a quelques mois, j’ai été surpris d’apprendre que les premiers cas de « grippe espagnole » se sont produits à Fort Riley, au Kansas, en 1918. Je me suis demandé comment il était possible que cet événement d’importance historique ait pu être aussi mal nommé il y a cent ans et ne jamais être corrigé.

Pourquoi « espagnol » ? L’Espagne était l’un des rares pays à ne pas avoir participé à la Première Guerre mondiale. La plupart des pays impliqués dans la guerre ont censuré leur presse.

Libérés des préoccupations liées à la censure, les premiers rapports de presse faisant état de décès de personnes malades en grand nombre provenaient d’Espagne. Les pays en guerre ne voulaient pas effrayer davantage les troupes, ils se sont donc contentés de faire de l’Espagne un bouc émissaire. Les soldats de tous les camps devaient traverser le no man’s land sous les tirs des mitrailleuses, ce qui était déjà assez effrayant sans savoir que les tranchées étaient un terrain propice aux maladies.

Cent ans plus tard, il est grand temps de laisser tomber le mot « espagnol » de toute discussion sur cette pandémie. Si la grippe dite « espagnole » a débuté sur une base militaire américaine au Kansas, alors cette pathologie/pandémie pourrait et devrait être nommée de façon plus appropriée. Afin de prévenir de futures catastrophes, les États-Unis — et le reste du monde — doivent examiner attentivement ce qui a réellement causé la pandémie.

L’appellation de grippe « espagnole » n’a peut-être jamais été corrigée parce qu’elle contribue en partie à dissimuler l’origine de la pandémie.

Si l’origine de la pandémie est liée à une expérience de vaccination sur des soldats américains, les États-Unis auront sans doute préféré la nommer « grippe espagnole » plutôt que « bactérie de Fort Riley » de 1918, ou toute autre appellation similaire. La grippe dite « espagnole » a débuté sur les lieux mêmes où ce vaccin bactérien expérimental a été administré, ce qui en fait le principal suspect en tant que source des infections bactériennes à l’origine de la mort de tant de personnes.

Si une expérience vaccinale originaire des États-Unis réalisée au cours des années où la production était des plus rudimentaires causait la mort de cinquante à cent millions de personnes, il serait beaucoup plus difficile de maintenir le mantra marketing « les vaccins sauvent des vies ».

« L’Institut américain Rockefeller pour le Medical Research et son vaccin bactérien expérimental contre le méningocoque pourraient avoir tué cinquante à cent millions de personnes en 1918-1919 », est un slogan commercial bien moins efficace que celui trop simpliste les vaccins sauvent des vies, Kevin Barry.

Grippe espagnole - 2

Des policiers portant des masques fournis par la Croix-Rouge américaine à Seattle en 1918

La maladie à l’origine d’un si grand nombre de victimes n’était ni la grippe ni un virus. C’était une bactérie.

« Se préparer à une pandémie » est devenu au milieu des années 2000 un sujet de discussion récurrent. Pour développer des vaccins afin de prévenir tout autre « grippe » pandémique mortelle comme celle de 1918-1919, les fabricants de vaccins contre la grippe aux États-Unis ont reçu des milliards de dollars des contribuables.

Quand bien même les scientifiques savaient à l’époque que la pneumonie bactérienne constituait la véritable cause de mortalité, les fabricants de vaccins ont pu obtenir des milliards de dollars de subventions gouvernementales en capitalisant sur la composante « grippe » de la grippe dite « espagnole ».

Aujourd’hui, je pense que la pneumonie bactérienne fut responsable de cette pandémie — des milliers d’autopsies le confirment.

Selon un document de l’Institut national de la santé de 2008, la pneumonie bactérienne fut la cause des décès dans au moins 92,7 pour cent des autopsies menées en 1918-1919. Il est même probable qu’elle soit supérieure à 92,7 pour cent, puisque sur les neuf mille autopsies pratiquées par les scientifiques, « aucune ne présentait de résultats négatifs (bactériens) dans les cultures pulmonaires ».

[…] Dans les 68 séries d’autopsies parmi les plus qualitatives, au sein desquelles la possibilité de cultures négatives non signalées a pu être exclue, 92,7 pour cent des cultures pulmonaires d’autopsie étaient positives à la bactérie ≥1. … dans une étude portant sur environ 9 000 sujets qui ont été suivis depuis leur présentation clinique pour cause de grippe jusqu’à la guérison ou l’autopsie, les chercheurs ont obtenu, par le biais d’une technique stérile, des cultures de pneumocoques ou de streptocoques à partir de 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires.

On a pu dénombrer 89 cultures pures de pneumocoques ; 19 cultures dans lesquelles seuls des streptocoques étaient présents ; 34 cultures ont résulté en des mélanges de pneumocoques et/ou de streptocoques ; 22 cultures ont résulté en un mélange de pneumocoques, de streptocoques et d’autres organismes (principalement des pneumocoques et des streptocoques non hémolytiques) ; et 3 cultures ont uniquement résulté en des streptocoques non hémolytiques. Aucun résultat négatif n’a été obtenu des cultures pulmonaires. (3)

Des pneumocoques ou des streptocoques ont été trouvés dans « 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires » autopsiés. Cela représente 98,2 pour cent. La bactérie était l’agent pathogène.

D’où vient la pneumonie bactérienne de la grippe espagnole de 1918-1919 ?

Lorsque les États-Unis ont déclaré la guerre en avril 1917, l’industrie pharmaceutique naissante disposait d’une ressource sans précédent — un grand nombre de sujets humains pour des tests effectués sous forme de première ébauche de l’armée américaine.

Avant la guerre, en 1917, l’armée américaine comptait 286.000 hommes. Après la guerre, en 1920, l’armée américaine s’est dissoute et en comptait 296 000. [Bien que l’armistice ait été signé le 11 novembre 1918, la Première Guerre mondiale ne cesse pas ce jour-là : sur le front ouest, la démobilisation est lente et partielle jusqu’en 1921, et à l’Est, des combats d’un type nouveau se poursuivent jusqu’en 1923 – NdT]

Pendant les années de guerre 1918-1919, les effectifs de l’armée américaine ont atteint 6 000 000 d’hommes, dont 2.000.000 ont été envoyés outre-mer. L’Institut Rockefeller pour le Medical Research a profité de ce nouveau réservoir de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales.

Rapport sur la vaccination contre la méningite et observations sur les agglutinines dans le sang des porteurs chroniques de méningocoques, tel qu’enregistré par Frederick L. Gates, MD en 1918 depuis l’hôpital de base, Fort Riley, Kansas et de l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, New York. Reçu le 20 juillet 1918. [Note de l’auteur : Veuillez lire le document Pdf de Fort Riley dans son intégralité afin de pouvoir apprécier la négligence des expériences menées sur ces troupes.]

Entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, le Dr. Gates rend compte d’une expérience où des soldats ont reçu trois doses d’un vaccin contre la méningite bactérienne. Les personnes qui ont mené l’expérience sur les soldats se contentaient de doser au petit bonheur la chance le sérum vaccinal fabriqué à partir de chevaux.

Le programme vaccinal a été conçu sur la base de trois doses. La première dose a été administrée à 4 792 hommes, mais seulement 4 257 d’entre eux ont reçu la deuxième (soit une baisse de 11 %), et 3 702 ont reçu les trois doses (soit une baisse de 22,7 %). Au total, 1 090 hommes n’ont pas reçu la troisième dose. Qu’est-il arrivé à ces soldats ? Ont-ils été envoyés dans l’Est par train depuis le Kansas pour embarquer sur un bateau à destination de l’Europe ? Se trouvaient-ils à l’hôpital de Fort Riley ? Le rapport du Dr. Gates ne nous le dit pas.

Un article accompagnant l’émission « American Experience » que j’ai visionnée nous éclaire sur le lieu où auraient pu se trouver ces 1.090 hommes. Gates a commencé ses expériences en janvier 1918. En mars de cette année-là, « cent hommes par jour » entraient à l’infirmerie de Fort Riley. Certains de ces hommes sont-ils ceux qui manquent dans le rapport du Dr Gates — ceux-là même qui n’ont pas reçu la 2e ou 3e dose ?

[…] Peu avant le petit déjeuner du lundi 11 mars, le premier domino tombait, signalant le début de la première vague de grippe de 1918. Le cuisinier de la compagnie, Albert Gitchell, s’est présenté à l’infirmerie du camp en se plaignant d’un « mauvais rhume ». Juste derrière lui s’est présenté le caporal Lee W. Drake exprimant des plaintes similaires. À midi, le chirurgien du camp Edward R. Schreiner avait en charge plus de cent hommes malades, tous apparemment atteints de la même pathologie… (5)

Gates signale que plusieurs des hommes qui ont participé à l’expérience vaccinale ont présenté ensuite des symptômes de type grippal : toux, vomissements et diarrhée. Ces symptômes sont une catastrophe pour les hommes qui vivent dans des casernes, voyagent en train jusqu’à la côte atlantique, naviguent vers l’Europe, vivent et se battent dans des tranchées. Les conditions d’insalubrité à chaque étape du voyage constituent un environnement idéal pour la propagation d’une maladie contagieuse comme la pneumonie bactérienne.

D’après le rapport du Dr Gates :

Plusieurs cas de relâchement des intestins ou de diarrhée passagère ont été constatés. Ce symptôme n’avait jamais été rencontré auparavant. Une enquête minutieuse sur les cas individuels a souvent permis de découvrir que les hommes qui se plaignaient des effets de la vaccination souffraient au moment de l’injection de coryza léger, de bronchite, etc.

Parfois, la réaction était déclenchée par une sensation de froid ou de frilosité, et un certain nombre d’hommes se sont plaints de fièvre ou de sensations fébriles pendant la nuit suivante.

Viennent ensuite des nausées (parfois des vomissements), des vertiges et des « douleurs » générales dans les articulations et les muscles, qui, dans quelques cas, sont particulièrement localisées dans la région du cou ou des lombaires, provoquant une raideur de la nuque ou du dos. Quelques injections ont été suivies de diarrhée.

Les réactions ont donc parfois ressemblé au début d’une méningite épidémique et plusieurs hommes vaccinés ont été envoyés à l’hôpital de la Base pour diagnostic. (4)

Selon Gates, ils ont injecté à des soldats des doses aléatoires d’un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne. Par la suite, certains de ces soldats ont présenté des symptômes qui « imitaient » ceux de la méningite, mais le Dr Gates a déclaré de façon fantasque qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.

Les soldats ont développé des symptômes semblables à ceux de la grippe. La méningite bactérienne, à l’époque comme aujourd’hui, est connue pour provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe. (6)

La similitude des premiers symptômes de la méningite bactérienne et de la pneumonie bactérienne avec les symptômes de la grippe est peut-être la raison pour laquelle les expériences de vaccination à Fort Riley ont pu échapper à tout examen en tant que cause potentielle de la grippe dite « espagnole » depuis cent ans et plus.

Comment la grippe dite « espagnole » s’est-elle répandue si largement et si rapidement ?

Un élément propre à créer une tempête parfaite existe dans la façon dont la bactérie de Gates s’est répandue. La Première Guerre mondiale s’est terminée seulement dix mois après les premières injections. Malheureusement pour les 50 à 100 millions de morts, les soldats à qui l’on a injecté des bactéries chevalines se sont rapidement déplacés pendant ces dix mois.

Un article de 2008 sur le site du CDC décrit comment des soldats malades de la Première Guerre mondiale ont pu transmettre la bactérie à d’autres en devenant des « vecteurs de propagation ».

Enfin, pendant de brèves périodes et à des degrés divers, les hôtes affectés sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont accru l’aérosolisation des souches de bactéries colonisatrices, en particulier les pneumocoques, les streptocoques hémolytiques, Haemophilus influenzae et Staphylococcusaureus [bacille de Pfeiller et Staphylocoque doré – NdT].

Pendant plusieurs jours au cours des épidémies locales – en particulier dans les lieux très fréquentés tels que les salles d’hôpital, les camps militaires, les navires de transport de troupes et les mines (et les tranchées) — certaines personnes étaient immunologiquement sensibles, infectées ou en phase de guérison d’une infection par le virus de la grippe.

Les personnes présentant des infections actives propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d’autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l’invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)

A trois reprises dans son rapport sur l’expérience vaccinale de Fort Riley, le Dr Gates déclare que certains soldats ont eu une « réaction sévère » indiquant « une sensibilité individuelle inhabituelle au vaccin ».

Grippe espagnole - 1

Soldats de Fort Riley, Kansas, malades de la grippe dite « espagnole », dans un service hospitalier du Camp Funston

Bien que le vaccin ait rendu beaucoup de gens malades, il n’a tué que ceux qui y étaient sensibles. Ceux qui sont tombés malades et ont survécu sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont transmis la bactérie à d’autres, créant davantage de vecteurs de propagation, lesquels se sont propagé à d’autres personnes en tuant les personnes qui y étaient vulnérables. Et le cycle s’est répété au-delà des conditions d’insalubrité qui prévalaient en temps de guerre, et les millions de soldats sur lesquels faire des expériences n’étaient plus là.

Le bilan pour les troupes américaines fut énorme et il est bien documenté. Le Dr Carol Byerly décrit comment la « grippe » s’est propagée comme une traînée de poudre dans l’armée américaine — Substituez les termes de « grippe » ou de « virus » utilisés par le Dr Byerly par celui de « bactérie » :

[…] Quatorze des plus grands camps d’entraînement avaient signalé des épidémies de grippe en mars, avril ou mai, et certains des soldats infectés avaient transporté le virus avec eux à bord de navires à destination de la France…

Lorsque les soldats dans les tranchées sont tombés malades, les militaires les ont évacués des lignes de front et les ont remplacés par des hommes en bonne santé.

Ce processus a continuellement mis le virus en contact avec de nouveaux hôtes — de jeunes soldats en bonne santé dans lesquels il pouvait s’adapter, se reproduire et devenir extrêmement virulent sans danger d’épuisement.

[…] Avant qu’une interdiction de voyager puisse être imposée, un contingent de troupes de remplacement a quitté le Camp Devens près de Boston pour le Camp Upton à Long Island, qui était le point d’embarquement de l’armée pour la France, et a emporté la grippe avec lui.

Les médecins d’Upton ont déclaré qu’elle était arrivée « brusquement » le 13 septembre 1918, avec 38 admissions à l’hôpital, suivies de 86 le lendemain, et de 193 le jour suivant.

Les admissions à l’hôpital ont atteint un sommet le 4 octobre avec 483 personnes et, en quarante jours, Camp Upton a envoyé 6 131 hommes à l’hôpital pour cause de grippe. Certains ont développé une pneumonie si rapidement que les médecins l’ont diagnostiquée simplement en observant le patient plutôt qu’en écoutant ses poumons… (7)

Les États-Unis n’étaient pas le seul pays à posséder le vaccin bactérien expérimental de l’Institut Rockefeller.

Un rapport de 1919 de l’Institut indique qu’il « convient de mentionner qu’avant l’entrée en guerre des États-Unis (en avril 1917), l’Institut avait repris la préparation de sérum anti-méningococcique, afin de répondre aux demandes de l’Angleterre, de la France, de la Belgique, de l’Italie et d’autres pays. »

Le même rapport indique que « Afin de répondre à la demande soudainement accrue de sérums curatifs élaborés à l’Institut, une écurie spécialement dédiée aux chevaux fut rapidement construite… » (8)

Qu’est-ce qui pourrait donc mal tourner dans le fait qu’un sérum anti-méningococcique expérimental soit fabriqué à partir de chevaux et injecté à des soldats sur le point d’être soumis aux conditions de vie exiguës et insalubres de la guerre ?

Ce sérum bactérien fabriqué à l’Institut Rockefeller, injecté aux soldats américains et distribué dans de nombreux autres pays, est-il responsable des cinquante à cent millions de personnes tuées par des infections pulmonaires bactériennes en 1918-1919 ?

L’Institut affirme l’avoir distribué pendant la Première Guerre mondiale en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays. On n’en sait pas assez sur la façon dont ces pays ont mené leurs propres expérimentations sur leurs soldats.

J’espère que des scientifiques indépendants porteront un regard honnête sur ces questions.

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Je ne crois pas que quiconque ait participé à ces expériences vaccinales ait tenté de nuire à qui que ce soit. Certains verront le nom Rockefeller et crieront « Illuminati ! » ou « Réduction de la population ! ».

Je ne crois pas que c’est ce qui s’est passé. Je crois que l’orgueil médical standard est responsable — les médecins « se prennent pour Dieu » et pensent qu’ils peuvent apprivoiser la Nature sans créer de problèmes inattendus.

En ce qui concerne l’orgueil médical, je ne pense pas que la situation ait changé de manière significative au cours des cent dernières années.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

L’industrie des vaccins est toujours à la recherche de sujets humains. Elle a le plus de succès lorsqu’elle parvient à trouver des populations qui ne sont pas en mesure de refuser.

Les soldats (9), les nourrissons, les handicapés, les prisonniers, les habitants des pays en voie de développement — tous ceux qui ne sont pas en mesure de refuser.

L’expérimentation de vaccins sur les populations vulnérables n’est pas chose du passé. Regardez ce clip vidéo du Dr Stanley Plotkin où il décrit l’utilisation de vaccins expérimentaux sur les orphelins, les retardés mentaux, les prisonniers et les personnes sous domination coloniale. La déposition a eu lieu en janvier 2018. L’orgueil de la communauté médicale est le même, voire pire, qu’il y a cent ans.

Voici ce que le Dr Plotkin admet avoir écrit :

La question est de savoir si nous devons faire des expériences sur des adultes pleinement fonctionnels et sur des enfants qui sont potentiellement des contributeurs à la société ou si nous devons faire des études initiales sur des enfants et des adultes qui sont humains dans leur forme mais pas dans leur potentiel social.


Veuillez regarder l’effrayant clip vidéo du Dr Stanley Plotkin témoignant sous serment des expériences menées par l’industrie pharmaceutique sur des patients inconscients des enjeux parce que non informés.

 


En partie parce que la communauté mondiale est bien consciente de l’orgueil médical et du piètre bilan de l’éthique médicale, la Déclaration universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme a élaboré des normes internationales concernant le droit au consentement éclairé pour les procédures médicales préventives comme la vaccination.

La communauté internationale est bien consciente que l’industrie pharmaceutique commet des erreurs et est toujours à l’affût de sujets humains à tester. La Déclaration stipule que les individus ont le droit de consentir à toute intervention médicale préventive telle que la vaccination.

Article 3 — Dignité humaine et droits de l’homme

I. La dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés.

II. Les intérêts et le bien-être de l’individu devraient l’emporter sur le seul intérêt de la science ou de la société.

Article 6 – Consentement

I. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations suffisantes. Le cas échéant, le consentement devrait être exprès et la personne concernée peut le retirer à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice. (11)

L’eau propre, l’assainissement, les toilettes à chasse d’eau, les aliments réfrigérés et les régimes alimentaires sains ont fait et font encore beaucoup plus pour protéger l’humanité des maladies infectieuses que n’importe quel programme de vaccination. Les médecins et l’industrie des vaccins ont usurpé le crédit qui revient de droit aux plombiers, aux électriciens, aux mineurs urbains, aux ingénieurs et aux urbanistes.

Pour ces raisons, les décideurs politiques à tous les niveaux du gouvernement devraient protéger les droits de l’homme et les libertés individuelles des individus de se soustraire des programmes de vaccination par le biais d’exemptions. L’orgueil de la communauté médicale ne disparaîtra jamais. Les décideurs politiques doivent savoir que les vaccins, comme toutes les interventions médicales, ne sont pas infaillibles. Les vaccins ne sont pas magiques. Nous avons tous une sensibilité différente aux maladies. Les êtres humains ne répondent pas à une approche bonne pour tous et ont des besoins qui sont spécifiques à chacun.

En 1918-1919, l’industrie du vaccin a fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux.

En 2018, l’industrie du vaccin expérimente tous les jours sur des nourrissons. Le calendrier vaccinal n’a jamais été testé tel qu’il est administré [dans le temps et par rapport à l’accumulation des injections – NdT]. Les résultats de l’expérience sont toutefois connus : un enfant américain sur sept, entièrement vacciné, suit une forme ou une autre d’éducation spécialisée et plus de 50 % d’entre eux souffrent d’une maladie chronique. (12)

En 1918-1919, aucun suivi du ou des risques n’a été effectué après les vaccinations.

En 2018, il n’y a pratiquement pas de suivi du ou des risques après l’administration d’un vaccin.

Qui exactement vous a administré ce vaccin contre la grippe à Rite Aid [chaîne de pharmacies américaine – NdT] ? Avez-vous le numéro de portable de l’employé du magasin si quelque chose se passe mal ?

En 1918-1919, le fabricant n’était pas responsable des lésions ou des décès causés par les vaccins.

En 2018, aucune responsabilité n’est prévue pour les fabricants de vaccins en cas de lésions ou de décès causés par des vaccins, ce qui fut officialisé en 1986. (13)

En 1918-1919, aucune enquête indépendante n’a été menée pour contester l’histoire officielle selon laquelle la « grippe espagnole » était une mystérieuse maladie tombée du ciel. Je soupçonne que beaucoup de personnes de l’Institut Rockefeller savaient ce qu’il en était, et que beaucoup de médecins parmi ceux qui ont administré les vaccins aux troupes le savaient aussi, mais ces personnes sont mortes depuis longtemps.

En 2018, l’industrie pharmaceutique est le plus grand donateur des hommes politiques lors des campagnes électorales et le plus grand annonceur dans toutes les formes de médias, donc peu de choses ont changé en cent ans.

Cette histoire sera probablement ignorée par les grands médias parce que leurs salaires sont payés par la publicité pharmaceutique.

La prochaine fois que vous entendrez quelqu’un dire « les vaccins sauvent des vies », n’oubliez pas que la véritable histoire du rapport coût/bénéfice des vaccins est beaucoup plus compliquée que leur slogan en trois mots. N’oubliez pas non plus que les vaccins ont peut-être tué cinquante à cent millions de personnes en 1918-1919. Si c’est vrai, ces coûts ont largement dépassé tout bénéfice, surtout si l’on considère que les plombiers, les électriciens, les mineurs urbains et les ingénieurs ont fait, et continuent de faire, le vrai travail qui réduit la mortalité due aux maladies.

Les vaccins ne sont pas magiques. Les droits de l’homme et la bioéthique sont d’une importance capitale. Les décideurs politiques doivent comprendre l’histoire de l’orgueil médical et protéger les droits humains individuels et parentaux tels qu’ils sont décrits dans la Déclaration universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme.

Kevin Barry

Dr. Gary G. Kohls, MD


Il appartient à chacun de se forger sa propre opinion

Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Rockefeller

https://en.wikipedia.org/wiki/Rockefeller_University

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/14/8/07-1313_article

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2862337/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2126288/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2126288/pdf/449.pdf

https://www.freedomcenterdc.com/the-truth-about-the-spanish-flu-of-1918/

https://www.pbs.org/wgbh/americanexperience/features/influenza-first-wave/

https://www.disabilityscoop.com/2016/03/14/cdc-disability-prevalence/22034/

https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/meningitis/symptoms-causes/syc-20350508

https://www.sott.net/article/434959-Did-psychopath-Rockefeller-create-the-Spanish-Flu-pandemic-of-1918

https://www.fort-russ.com/2020/05/did-psychopath-rockefeller-create-the-spanish-flu-pandemic-of-1918/

https://fr.sott.net/article/35731-Le-psychopathe-Rockefeller-est-il-a-l-origine-de-la-pandemie-de-grippe-espagnole-de-1918

https://fr.sott.net/article/35505-La-Fondation-Rockefeller-et-le-programme-international-pour-la-sante-ou-l-ancetre-des-fondements-de-l-OMS

Article :

Traduction : Sott.net

À propos de l’auteur :

Kevin Barry est le président de First Freedoms, Inc. a 501.c.3. Il est un ancien procureur fédéral, un représentant au siège des Nations Unies à New York et l’auteur de Vaccine Whistleblower : Exposing Autism Research Fraud at the CDC [« Lanceur d’alerte en matière de vaccins – Démasquer la fraude du CDC dans le domaine de la recherche sur l’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]

Références :

[1]. Deaths from Bacterial Pneumonia during 1918-19 Influenza Pandemic – John F. Brundage* and G. Dennis Shanks† – Author affiliations: *Armed Forces Health Surveillance Center, Silver Spring, Maryland, USA; †Australian Army Malaria Institute, Enoggera, Queensland, Australia

[2]. World Health Organization: Unsafe drinking water, sanitation and waste management

[3]. J Infect Dis. 2008 Oct 1; 198(7): 962-970 – « Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness» – David M. Morens, Jeffery K. Taubenberger, and Anthony S. Fauci

[4]. PDF of Fort Riley Study(1918)

[5]. American Experience, « The First Wave », PBS

[6]. Mayo Clinic: Meningitis

[7]. Public Health Rep. 2010; 125(Suppl 3): 82-91 – « The U.S. Military and the Influenza Pandemic of 1918-1919» – Carol R. Byerly, PhD

[8]. Rockefeller Institute pamphlet PDF(1919)

[9]. « Is Military Research Hazardous to Veterans’ Health? Lessons Spanning Half a Century, A Staff Report Prepared for the Committee on Veterans’ Affairs» – United States Senate, December 1994

[10]. Stanley Plotkin: vaccine experiments on orphans, the mentally retarded, and others(January 2018)

[11]. Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme(19 octobre 2005)

[12]. CDC Offers New Stats On Disability Prevalence

[13]. 1986 Vaccine Injury Compensation Act

Vidéo :

[1] Vaccins – Dr. Stanley Plotkin : Déposition sous serment sur leurs sordides compositions – Mr Aphadolie / YouTube

Source

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12 février 2024 1 12 /02 /février /2024 19:15

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12 février 2024 1 12 /02 /février /2024 19:06

 

____________________________________________________

La rémunération des médecins traitants dépendra de leur soumission
 

 

Juste inacceptable déontologiquement ce que propose l’Assurance Maladie. Conditionner une part de la rémunération forfaitaire aux vaccinations réalisées par chaque patient. Conflit d’intérêts majeur.

Du chantage pur et simple ! Les patients doivent rester libres d’accepter ou de refuser n’importe quel examen ou protocole de santé.

 

L’assurance Maladie veut conditionner la rémunération forfaitaire des généralistes aux vaccins obligatoires et non obligatoires. Ce qui compte : piquer, piquer, piquer

Regardez bien, la rémunération sera liée à la capacité de PIQUER les patients et A NE PAS PRESCRIRE D ANTIBIOTIQUES !

Des objectifs existent déjà, qui limitent la liberté de soins.

Concernant les pratiques de prescription, 68% des participants déclarent, en se basant sur leur dernier relevé de rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp)4 sur les prescriptions effectuées en 2020, atteindre l’objectif cible. Celui-ci correspond à la prescription d’antibiotiques dans 20 % des cas, ou moins, aux patients de 16 à 65 ans, sans affection de longue durée et dont ils sont le médecin traitant.

https://www.ameli.fr/medecin/exercice-liberal/facturation-remuneration/remuneration-objectifs/medecin-traitant-adulte

http://

Valletoux n’est pas médecin, un ex-journaliste à carrière politique, sa fonction médicale est une présidence d’association. Il est maire et titulaire d’un Deug d’histoire, sa légitimité est nulle, à part d’avoir montré son obéissance à BigPharma dans les années précédentes

Après Aurélien Rousseau, qui voulait nous faire « AVALER des COULEUVRES », on reste dans le MÊME domaine avec Frédéric  » AVALE TOUT »

Source

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19 janvier 2024 5 19 /01 /janvier /2024 18:35
Macron et l'infertilité, Perrone avance la cause de l'inoculation du vaccin Covid, pétition

C'est à se poser des questions sur l'état mental de certains gouvernants !

 

On en verra la démonstration éclatante lors des JO, une apothéose d'incompétence et d'inefficacité, aux yeux du monde et des Français ;  normal, après la Justice, la Santé, l'Education Nationale, les retraites, l'Agriculture, les forces de l'Ordre..., ça suivra la logique de déconfiture totale. J'ai des doutes à ce que l'on nous serve alors "du Mozart de la Finance, ou du Einstein de la politique"

 

Henry

Pétition à l’Assemblée nationale pour l’abrogation des 11 vaccins obligatoires – Aidez-nous en signant, merci !

 

La lettre de la LNPLV.

Pourquoi avons-nous mis notre pétition sur le site de l’Assemblée nationale ?

Le 07 novembre 2023, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations a lancé cette pétition pour l’abrogation des 11 vaccins obligatoires sur le site dédié de l’Assemblée nationale, pour réclamer la liberté vaccinale pour tous.
Nous avons choisi cette option pour que les parlementaires répondent à notre demande.

En effet, des pétitions qui ont recueilli plus d’un million de signatures sur des sites privés, comme celle du Pr Joyeux pour le retour du DTP seul sans adjuvant, n’ont guère eu d’écho pendant les débats, en particulier sur l’extension des vaccins obligatoires infantiles.

Pour que notre pétition ait un quelconque impact, il faut qu’elle atteigne les 10 000 signatures en 6 mois, seuil réclamé par la Commission des Affaires Sociales pour être traitée, sinon c’est le classement d’office.

Avec 100 000 signatures, elle serait mise en ligne sur le site de l’Assemblée nationale. A ce jour, une seule a atteint ce score.
Avec 500 000 signatures, elle serait débattue dans l’hémicycle.
À la fin de la mandature, soit le 15 juin 2027, toutes les pétitions sont clôturées et archivées. Au 17 janvier 2024, nous sommes 4 787 signataires, soit la sixième place des pétitions en cours les plus soutenues.

D’aucuns nous reprochent d’avoir privilégié ce site qui réclame de passer par FranceConnect.
Ils craignent d’être pistés par les autorités. Pourtant, sur les sites abritant des pétitions, ils doivent aussi transmettre un pseudo, une adresse mail et parfois davantage.
Au final, ce n’est pas bien différent.

Avec 40 millions d’utilisateurs, il est plus que probable que chacun ait un compte FranceConnect, via les Impôts, la Poste ou l’Assurance Maladie.
Cela ne coûterait alors que quelques clics supplémentaires.
Ce serait dommage de faire l’impasse sur un des rares leviers démocratiques qu’il nous reste encore par crainte de montrer nos convictions.

Quotidiennement, la Ligue reçoit des appels de personnes qui souhaitent esquiver les vaccins pour eux-mêmes ou leurs enfants. Ils cherchent une solution facile, rapide, qui ne leur coûte rien, la solution miracle qui leur ôterait une épine du pied.

Mais elle n’existera pas tant qu’il y aura des obligations vaccinales. Nous serons toujours obligés de leur fournir des pis-aller, qui ne leur conviendront que le temps qu’une autre pression (crèche, école, services sociaux, employeur…) les conduisent à recevoir des injections, voire à frauder. Cette situation n’est pas satisfaisante.

Il est temps d’unir nos forces pour faire sauter toutes les obligations vaccinales, que chacun ait réellement la liberté de choisir, pour lui-même et ses enfants, ce qu’il veut faire en matière de vaccinations.

Réclamons cette liberté ! Il nous reste 4 mois, jusqu’au 7 mai 2024, pour faire la différence. Nous comptons sur vous pour signer et surtout partager cette pétition.

Pétition en cliquant ici


Adhésion / dons :
Nous nous adressons à vous, fidèles lecteurs, car plus que jamais, nous avons besoin de vous pour continuer les actions que nous menons pour promouvoir la liberté vaccinale. C’est pourquoi aujourd’hui, nous faisons appel à vous afin de soutenir notre cause en faisant un don ou en devenant adhérent.

En devenant adhérent, vous contribuerez activement à la pérennité de nos actions. Vous recevrez aussi le bulletin papier de la LNPLV, édité trois fois par an.

Votre adhésion est un moyen concret et puissant de montrer votre engagement envers notre association. Merci du fond du cœur pour votre soutien continu et votre générosité.

Tout particulier ou entreprise peut faire des dons, lui permettant une réduction d’impôt de 66 % des sommes versées, dans la limite de 20% de son revenu imposable.


Diffusion :Il est crucial de prendre conscience que nos libertés et notre santé sont de plus en plus menacées. C’est pourquoi je vous invite à diffuser cette lettre à tous vos contacts, que l’information circule, afin que chacun puisse prendre position en toute connaissance de cause. Ces articles sont partagés uniquement dans un but informatif. Aucune intention politique, religieuse ou autre n’est associée à cette démarche. Il s’agit simplement de notre droit fondamental d’être informés. Chacun est libre de lire ou non les articles qui lui semblent pertinents. Merci de votre attention et ensemble, faisons en sorte que l’information circule pour préserver notre liberté et notre santé.

Source : La Lettre de la LNPLV

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29 décembre 2023 5 29 /12 /décembre /2023 18:47
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1 octobre 2023 7 01 /10 /octobre /2023 19:16
Le gouvernement veut vacciner TOUS les bébés avec un vaccin expérimental appelé Nirsévimab. Son nom commercial est Beyfortus
 
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17 mai 2023 3 17 /05 /mai /2023 16:19
 
 
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3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 19:30

Vaccinator a encore frappé : après les 11 vaccins obligatoires pour les enfants en 2017, mais les enfants ne contestent pas et les parents l'ont ils fait dans la majorité des cas, il a récidivé avec la vaccination Covid a répétition à grands renforts de larmoiements et de citoyenneté, aujourd'hui il va séduire les adolescents pour les convaincre de se faire vacciner contre le papillomavirus.

Je reconnais qu'en effet les cancers induits par les papillomavirus sont inquiétants, mais le gardasil ne l'est pas moins ; là aussi ç'est un vaccin à larges suspicions, dont le parcours qui n'est pas récent est déjà émaillés de multiples procédures juridiques pour effets secondaires notoires.

Si vous désirez vous faire vacciner sur ce réfléchissez y a deux fois !

Henry

____________________________________________________

 

GARDASIL : témoignage de Karine 25 ans
 

 

Charlie hebdo vaccine Macron - Courrier picard

 

Gardasil: l’étonnante précipitation du VRP Macron pour vacciner les enfants
 

 

 

Le 8 décembre 2022, le président de la République s’inquiétait de la faible couverture vaccinale des adolescents contre les infections à papillomavirus humains (HPV). Il déclarait à ce sujet vouloir “aller vite” et “faire dès l’école un énorme travail d’information”, sans exclure la possibilité de rendre obligatoire le vaccin Gardasil.

En visite dans un collège de Charente, ce mardi 1er mars, Emmanuel Macron appelle à une campagne de vaccination ”généralisée” des élèves de 5ème (11-13 ans). Un empressement qui interroge, alors qu’une class action (ndlr : action judiciaire collective) est initiée aux États-Unis : ses plaignants accusent le laboratoire Merck d’avoir exagéré les bénéfices du Gardasil et masqué des effets secondaires avérés. 

 

À quatre jours de la Journée mondiale de la sensibilisation autour des maladies induites par le papillomavirus humain, Emmanuel Macron enfile son costume de médecin.  

Procès en cours outre-Atlantique 

“À partir de la rentrée prochaine, pour tous les 5èmes, on va généraliser la vaccination” contre les HPV, a-t-il indiqué lors d’une rencontre avec des élèves dans un collège de Jarnac (Charente). Selon le président de la République, “cela permet d’éviter beaucoup de cancers. Beaucoup de pays l’ont fait”. 

Beaucoup de pays l’ont fait mais certains commencent sérieusement à en revenir. Les États-Unis assistent depuis le mois dernier à l’ouverture d’un procès contre le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD). 

Suite à l’enregistrement d’une action judiciaire collective en octobre 2022, les plaignants veulent obtenir réparation quant à des effets secondaires graves, et parfois même mortels, attribués au vaccin Gardasil 9, le même pourtant fréquemment préconisé par le Président français. 

Selon eux, ces effets adverses auraient été minorés par le fabricant. Quant aux bénéfices réels du vaccin en matière de protection face aux divers cancers faisant suite à une IST (infection sexuellement transmissible), ils auraient été exagérés. 

Une efficacité qui peine à être démontrée scientifiquement 

Les HPV sont l’IST la plus fréquente. Au cours de leur vie, près de 80% des personnes sont confrontées à ce virus. Pour autant, dans environ 90% des cas, selon la Haute autorité de Santé (HAS), sa disparition est effective en moins de 24 mois, sans conséquence pour la santé.  

Certes, si l’infection persiste, l’évolution d’une lésion précancéreuse (dysplasie) vers un cancer du col de l’utérus reste possible. Mais avec 0,7% des infections dégénérant en cancer, ce risque est rare et se produit après un délai moyen de 30 ans.  

Ainsi, le vaccin ne bénéficie que d’une “fenêtre de tir” particulièrement réduite pour démontrer son efficacité. Et la présence avérée d’effets secondaires pourrait très rapidement faire pencher la balance bénéfice-risque du mauvais côté.  

Ce n’est pas la première fois que l’efficacité du vaccin fait polémique après une présentation particulièrement flatteuse de la part de responsables politiques ou de sociétés savantes. 

Plan de communication 

En 2019, plusieurs d’entre elles avaient lancé l’appel des 50, une campagne de communication qui proposait “un dépistage et une vaccination universelle contre le papillomavirus”.  

Cet appel dressait un tableau dramatique du risque encouru par la jeunesse et préconisait “d’augmenter la couverture vaccinale des populations déjà ciblées en rétablissant activement la vérité scientifique et donc la confiance vis-à-vis de ces vaccins actifs et très bien tolérés”. 

Un avis qui n’est pas partagé aujourd’hui par les plaignants américains en procès contre Merck. Après avoir étudié 48 dossiers de victimes, le juge a constaté une homogénéité des problèmes de santé, aussi bien chez les hommes que chez femmes. 

En réponse à l’appel des 50, une quinzaine de professionnels de la santé avaient riposté à l’époque. Ils avaient rappelé de concert l’état de la science, la déontologie médicale et le principe de précaution face à cette vaccination.  

Cité dans un article de Paris Match du 30 avril 2019, signé par la journaliste Vanessa Boy-Landry, le pharmacien hospitalier Amine Umlil affirmait alors :  

“La communication de l’appel des 50 n’était ni objective, ni non trompeuse. Elle ne présentait pas le risque en perspective du bénéfice attendu et ne faisait pas état des éventuelles incertitudes, comme l’exigent le Code de la santé publique et les règles de communication rappelées en 2018 par l’Agence du médicament.” 

Corde sensible 

Des médecins avaient aussi vigoureusement contesté la vision naïve d’un vaccin présenté comme une “solution miracle”. Selon eux, l’appel des 50 n’était qu’une “opération de lobbying” qui demeurait “dans la pensée magique d’un produit révolutionnaire qui ne l’est pas”.  

Dans un autre article publié par Paris Match, le 11 janvier 2019, Vanessa Boy-Landry interrogeait Catherine Riva, une autre journaliste, fondatrice du collectif Re-check. Celle-ci déclarait :  

“Les meilleures données disponibles indiquent que la vaccination n'aura pas l'effet attendu. Les résultats des essais cliniques révèlent qu'il n'y a pas de différence d'efficacité statistiquement significative entre les filles vaccinées non porteuses des HPV ciblés par le vaccin et celles du groupe placebo. Les filles vaccinées ne font plus de lésions précancéreuses associées aux HPV 16 et 18, mais elles en font toujours autant!” 

Emmanuel Macron jouait pourtant le 8 décembre dernier, lors d’une conférence de presse à Fontaine-le-Comte, sur la corde sensible. Il décrivait l’urgence à vacciner les adolescents : “Pour un jeune, si ses parents disent de ne pas se faire vacciner, ça peut être trop tard”. Et alertait sur la faible couverture vaccinale : “On est en retard là-dessus.” 

Des propos à mettre en relation avec une autre analyse de Catherine Riva : 

“Brandir la couverture vaccinale comme un objectif sacré (…), c'est grotesque, intenable d'un point de vue scientifique, et choquant : ces vaccins sont administrés à une population jeune, a priori en parfaite santé, pour empêcher la survenue d'une maladie qu'on prévient par ailleurs déjà avec le frottis de dépistage. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n'y a rien d'obscurantiste à la poser”. 

Les premiers jugements dans l’affaire du Gardasil outre-Atlantique devaient initialement être rendus en septembre 2023. Soit comme le disait Emmanuel Macron, “à la prochaine rentrée des classes”, date à partir de laquelle le chef d’État souhaite voir appliquée “la généralisation de la vaccination”.  

Source

 

L'appel de Merck à abaisser l'âge du vaccin Gardasil contre le VPH n'est "qu'un autre stratagème marketing", déclare un critique

Les chercheurs de Merck ont ​​​​publié lundi une étude suggérant que des preuves montrent que le passage de la vaccination systématique contre le VPH aux âges de 9 à 10 ans peut améliorer les taux de couverture vaccinale au début et au milieu de l'adolescence, mais les critiques ont appelé le fabricant de vaccins à se concentrer sur les profits, pas sur la santé.

 

Affaires en justice et effets secondaires du Gardasil aux USA

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24 janvier 2023 2 24 /01 /janvier /2023 20:07

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24 janvier 2023 2 24 /01 /janvier /2023 19:53
L’INSIDIEUX Bill Gates a l’intention de vacciner de force tous les HUMAINS en injectant d’abord des ARNm mortels à des animaux de ferme…..PARTAGEZ EN MASSE SVP

IL VEUT TUER LA PLANETE CE DINGUE !

 

(Natural News) Les sbires insidieux de Bayer fabriquent des vaccins à ARNm pour les animaux en Allemagne, y compris pour des variantes potentielles du SRAS-CoV-2. Merck vend déjà des vaccins à ARNm pour les porcs et exploite la technologie des particules d’ARN pour d’autres vaccinations animales contre le circovirus porcin et le virus de la grippe A, selon leur propre site Web cette année. Maintenant, le tristement célèbre Bill « tout OGM » Gates prétend vouloir améliorer la génétique des animaux en leur injectant la technologie ARNm. Bien entendu, il se concentre uniquement sur les animaux consommés par les humains, afin d’ »améliorer » l’approvisionnement alimentaire mondial.

Le milliardaire fondateur de Microsoft est en train d’acquérir d’énormes étendues de terres agricoles américaines plus vite que McDonald’s ne peut agrandir vos frites OGM. S’agit-il d’une façon pour Bill de vacciner indirectement de force les humains, y compris ceux qui savent déjà que l’ARNm est une arme biologique de destruction massive ? Beaucoup le pensent. Il semble que M. Contrôle de la population lui-même ait trouvé un autre moyen de réduire la population mondiale de plusieurs milliards de personnes.

L’eugénisme des fast-foods est-il en train de se transformer en une technologie vaccinale à base d’ARNm où la nourriture crée des protéines de pointe qui obstruent et coagulent les systèmes vasculaires de ceux qui la mangent ?
Si vous êtes américain, vous savez probablement déjà que les fast-foods, qui sont chargés d’OGM, de gluten, d’huiles transformées, de produits laitiers, de viande avariée et de sucre, sont les principaux responsables des maladies évitables qui sévissent dans ce pays, notamment les maladies cardiaques, l’obésité, le cancer, le diabète et la démence. Aujourd’hui, les injections de protéines prions pour Covid-19 entraînent des vagues apocalyptiques de mort subite, notamment des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des coagulations vasculaires et le SADS (syndrome de mort subite des adultes).

Puisque Bill Gates veut réduire la population mondiale de quelques milliards de personnes, comme il l’a clairement déclaré lors de ses conférences TED préférées, pourquoi ne pas utiliser des injections d’ARNm mortelles chez les animaux d’élevage, et doubler le nombre de morts chroniques induites par la restauration rapide ? Sa « philanthropie » va tellement loin qu’il veut simplement aider le bétail à avoir une meilleure génétique pour qu’il soit « plus productif », puisqu’il était « en Éthiopie » et qu’il a vu comment les poules pondaient plus d’œufs et « étaient mieux nourries », ce qui permettait de « faire des économies dans le ménage ». Est-ce pour cela que les œufs ont été si durement touchés par l’inflation, Bill ?

Saviez-vous que le père de Bill Gates était à la tête de Planned Parenthood ? Oui, le réductionnisme démographique est de famille, et c’est pourquoi l’un des principaux objectifs de Bill Gates est d’éliminer quelques milliards de personnes en faisant un « excellent travail avec les soins de santé et les vaccins » (avortement et piqûres de coagulation Covid). Maintenant, il investit de l’argent dans les vaccins pour animaux, puisque environ un cinquième des humains dans le monde ne recevront pas les injections de caillots ou ne succomberont pas aux avortements du Planning familial.

Il n’existe AUCUNE preuve que les animaux d’élevage puissent transmettre le Covid-19 aux humains, et pratiquement aucun d’entre eux ne l’attrape au départ.
La campagne de propagande et d’escroquerie fondée sur la peur du Covid-19 est implacable, et les voyous du CDC, de la FDA et de l’OMS n’ont pas l’intention de la relâcher de sitôt. Aux Etats-Unis, plusieurs milliards de poulets, une centaine de millions de bovins et 75 millions de porcs sont destinés à l’abattage à tout moment. Puisque la rumeur veut que le Covid-19 ait commencé chez les animaux (rappelez-vous le canular du marché humide chinois où l’on mange des chauves-souris), la pandémie fondée sur la peur évolue vers la crainte que les animaux du monde entier transmettent le Covid-19 aux humains, de sorte que tout le monde soutiendra les vaccins à ARNm pour leurs animaux de compagnie et d’élevage également. C’est absurde.

Peut-être que la bande de scientifiques insidieux de Fauci au laboratoire de Wuhan, en Chine communiste, travaille sur un nouveau gain de fonction pour les virus bovins et porcins, afin qu’ils puissent eux aussi passer aux humains qui aiment les hot-dogs, les hamburgers, les sandwichs au poulet et les côtelettes de porc. Les scientifiques ont déjà étudié le coronavirus chez les animaux d’élevage et il n’y a AUCUNE preuve qu’ils puissent le transmettre aux humains. Pourtant, Bill Gates cherche toujours des moyens de sauver la planète en éliminant plusieurs milliards d’humains. Il appelle cela de la philanthropie.

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Sources for this article include:

Pandemic.news

NaturalNews.com

RWMaloneMD.substack.com

Rumble.com

WealthofGeeks.com

ModernFarmer.com

https://www.naturalnews.com/2023-01-17-bill-gates-to-force-vaccinate-humans-animals.html

Source : Anna Bellas

 
50 groupes s’en prennent à Bill Gates à propos de l’agriculture et de la technologie : « Vous participez à la création du problème que vous nommez »…. bah oui mais ce criminel oui criminel est toujours la a diriger le monde et a vouloir décimer la Planète

 

Que l’on continue à laisser faire ce fou est hallucinant !

 

Cinquante organisations dédiées à la souveraineté alimentaire et aux questions de justice alimentaire interpellent Bill Gates sur sa dernière affirmation selon laquelle la technologie est la solution à la faim dans le monde et à la souveraineté alimentaire.

(Article de Ron Friedman republié de ChildrensHealthDefense.org)

Dans une « lettre ouverte » publiée au début du mois, les groupes ont répondu aux commentaires que Bill Gates a faits, lors d’interviews avec le New York Times et l’Associated Press, au sujet du rapport 2022 de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Les principaux auteurs de la lettre, Community Alliance for Global Justice/AGRA Watch et Alliance for Food Sovereignty in Africa, ont écrit :

« Dans les deux articles, vous faites un certain nombre d’affirmations qui sont inexactes et doivent être remises en question. Les deux articles admettent que le monde produit actuellement suffisamment de nourriture pour nourrir adéquatement tous les habitants de la planète, mais vous continuez à diagnostiquer de manière fondamentalement erronée le problème comme étant lié à une faible productivité ; nous n’avons pas besoin d’augmenter la production autant que d’assurer un accès plus équitable à la nourriture. »

Les auteurs ont également critiqué les affirmations de Gates selon lesquelles nous avons « sous-investi dans l’innovation agricole » et que la révolution verte était « l’une des plus grandes choses qui soient jamais arrivées ».

Gates a déclaré au New York Times :

« Aider les agriculteurs doit être la priorité absolue du programme d’adaptation au climat. Et dans ce cadre, il y a beaucoup de choses comme le crédit pour les engrais, les engrais bon marché, les meilleures semences, que nous devrions avoir à cœur de financer et pour lesquelles nous devrions fixer des objectifs ambitieux ».

Mais les auteurs de la lettre ouverte ne sont pas d’accord :

« Il existe déjà de nombreuses propositions et projets tangibles et en cours qui visent à stimuler la productivité et la sécurité alimentaire — des installations de fabrication de biofertilisants et de biopesticides aux programmes de formation des agriculteurs à l’agroécologie, en passant par l’expérimentation de nouvelles techniques de gestion de l’eau et des sols, de systèmes agricoles à faible niveau d’intrants et d’espèces végétales déprédatrices. »

Ils sont également en désaccord avec l’affirmation de Gates selon laquelle la révolution verte a été un « succès retentissant » :

« Si [la révolution verte] a joué un certain rôle dans l’augmentation des rendements des cultures céréalières au Mexique, en Inde et ailleurs entre les années 1940 et 1960, elle a très peu contribué à réduire le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde ou à garantir un accès équitable et suffisant à la nourriture. »

Les auteurs rappellent à Gates que la révolution verte a entraîné « une foule d’autres problèmes, qu’il s’agisse de questions écologiques telles que la dégradation à long terme des sols ou de questions socio-économiques telles que l’accroissement des inégalités et de l’endettement (qui a largement contribué à l’épidémie de suicides d’agriculteurs en Inde) ».

Ils ont également critiqué la pression exercée par Gates en faveur des semences génétiquement modifiées, affirmant que « les semences résistantes au climat existent déjà et sont développées par les agriculteurs et échangées sur des marchés de semences informels. »

« Vous participez à la création du problème même que vous nommez », ont écrit les groupes. « L’initiative AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique), que votre fondation continue de financer, a également poussé une législation restrictive sur les semences qui limite et restreint l’innovation en matière de cultures aux laboratoires et aux entreprises disposant de bonnes ressources. »

Ces initiatives n’augmentent pas l’innovation généralisée, mais contribuent plutôt à la privatisation et à la consolidation des monopoles des entreprises sur le développement et les marchés des semences, ont-ils ajouté.

Les groupes ont mis Gates au défi de « prendre du recul et d’apprendre de ceux qui sont sur le terrain » et ont demandé aux médias de réfléchir à la manière dont ils couvrent Gates et sa vision de l’avenir de l’alimentation.

Ils ont écrit : « Nous invitons les médias de premier plan à faire preuve de plus de prudence et à ne pas accorder de crédibilité aux hypothèses erronées, à l’orgueil démesuré et à l’ignorance d’un riche homme blanc, au détriment des personnes et des communautés qui vivent et s’adaptent à ces réalités au moment même où nous parlons ».

Russell Brand : C’est une « belle lettre ».

Russell Brand s’est rangé contre Gates et avec les auteurs de la lettre, déclarant aux téléspectateurs :

« C’est une belle lettre. Elle est brillamment articulée et la raison pour laquelle nous voulons vous la présenter aujourd’hui est qu’elle démontre que critiquer Bill Gates ne fait pas de vous un théoricien du complot et elle démontre aussi que les actions et l’influence de Bill Gates sont néfastes et nuisibles. »

Brand s’est moqué de Gates, en entrecoupant son podcast YouTube de bribes du milliardaire lors de la récente conférence Goalkeepers 2030 de sa fondation :

« Ah, Bill Gates, il est la réponse à tous les problèmes du monde et quiconque le critique est un théoricien de la conspiration ou un universitaire réfléchi qui s’inquiète de le voir coloniser et monopoliser les ressources du monde. »

Mais ce « n’est pas une théorie du complot », a déclaré Brand. « Il s’agit de politiques néfastes conçues pour centraliser le pouvoir et contrôler la nourriture, et les gens répondent depuis une position d’autorité, d’intégrité et d’expertise. »

Il ajoute :

« Ce que vous faites, c’est de l’éclairage – présenter des solutions pratiques, permanentes, dirigées par des agriculteurs comme étant en quelque sorte fantaisistes ou ridicules, tout en présentant vos propres approches préférées comme étant pragmatiques. »

Brand s’est fait l’écho de l’argument du groupe de souveraineté alimentaire selon lequel il existe « déjà des mesures en place qui peuvent être contrôlées et mises en œuvre par les communautés elles-mêmes et qui ne nécessitent pas la centralisation du pouvoir, le brevetage des semences et des cultures, la technologisation du processus de l’agriculture – tout cela, soit dit en passant – par un type qui semble acheter des terres agricoles en ce moment – par coïncidence ! »

Brand a ajouté :

« Gates aime voir le monde comme de simples données. Ce que je vous propose, c’est cette question : Bill Gates essaie-t-il d’aider ? Ou Bill Gates est-il simplement en train de suggérer que la solution à tous ces problèmes est de donner plus de pouvoir à Bill Gates ? »

https://www.foodsupply.news/2022-11-23-50-groups-target-bill-gates-farming-technology.html#

Source : Anna Bellas

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