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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 18:33

Coup de théâtre : le retour d'Edmond Dantes (Montecristo)  !

Va t il assouvir une vengeance mémorable, ou accorder un pardon magnanime  à ses opposants.

Le retour de l'ancien César fait trembler l'Amérique démocrate et leurs colonies outre Atlantique ; vous savez celles qui ont honnies son nom pendant une décade. Il va s'en dire que la Commission Européenne a vaciller quelques instants sous le choc de la nouvelle.

Pour se distinguer et faire prévaloir ses vues sur la Commission Macron répond a l'América First par le Macron First comme à son habitude oublieux des casseroles qu'il trimbale.

Vraisemblablement Macron le va-t-en guerre devra ranger son lance pierre et ses aiguilles ; va t il échapper à la chasse qui va s'ouvrir aux USA sur la politique vaccinale.

Dans tous les cas une mandature s'ouvre très sportive, ou les uns risques de courir pour s'échapper et les autres pour les attraper.

 

Pour ma part je reste dubitatif sur la participation de Musk a celle ci car on ne peut prétendre dire que "l'IA mettra fin à l'Humanité" et agir en ce sens par ses investissements.

 

Henry

 

 
 
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"On est dans une mauvaise foi qui est absolument spectaculaire"
 
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RFK Jr. vient de s’engager à supprimer des départements entiers de la FDA !

 

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Robert Kennedy Jr : « Le président Trump m'a demandé de faire trois choses...
 

 

 

Trump donne carte blanche à Robert Kennedy Jr. pour faire le ménage dans le secteur de la santé.

– Oui, l’autisme est causé par les vaccins. @RobertKennedyJr x.com/dref2023/statu…

L’étude trompeuse Pradelle Lega qui a faussement calculé qu’il y aurait 17000 décès de l’hydroxychloroquine dans le monde dont quelque 12 000 aux USA, se retrouvera-t-elle au centre de l’attention sur la désinformation scientifique aux États-Unis par

@RobertKennedyJr et

@elonmusk. Cautionnée par les universités de Lyon et de Bordeaux avec des promoteurs comme

@mathieuMolimard accueillis sans contradicteur dans les médias qui étaient ainsi en mesure de contribuer à la pollution informationnelle. Plus de 600 000 mentions dans Google US contribuant à la perte de chance des patients américains et potentiellement à des décès. La suppression des traitements précoces pourrait avoir contribué à plus de 4 millions de décès dans le monde sans compter les pertes de chance liées aux mensonges sur les bénéfices risques des injection

X Azalbert

 
 
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La Slovaquie, Premier Pays à Interdire les Vaccins à ARN
 
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30 octobre 2024 3 30 /10 /octobre /2024 18:59

Le 16 octobre 2024, un juge du tribunal de Leeuwarden aux Pays-Bas s’est déclaré compétent pour examiner si Bill Gates, comme 16 autres personnes physiques et morales, est coupable d’avoir induit en erreur le public sur la sécurité et l’efficacité des prétendus  »vaccins » contre le Covid19 et d’avoir mis en danger la santé des citoyen.nes.

Ce jugement intervient dans une procédure civile initiée le 10 juillet 2023 par une association néerlandaise nommée « RechtopRecht » (Droit au Droit) contre 17 personnes physiques et personnes morales pour avoir trompé le public à propos de la sécurité et de l’efficacité des prétendus  »vaccins » anti-Covid19 et pour avoir mis en danger la santé et la vie de sept personnes.

L’association et son avocat principal Me Arno van Kessel représentent en effet sept citoyen.nes néerlandais.es ordinaires qui étaient en bonne santé avant 2020, qui avaient confiance dans les vaccins et qui sont tombé.es malades après avoir reçu les injections anti-Covid19. Sur les 7 plaignant.es du début, un est décédé des suites de sa maladie.

Cette plainte a été déposée devant le tribunal de district de Leeuwarden, dans le nord des Pays-Bas. Elle se présente comme une assignation à comparaître délivrée aux 17 accusé.es (qu’on appelle aussi défendeurs et défenderesses) : l’assignation (qui fait plus de 80 pages en format PDF et qui est rédigée en néerlandais) est mise en ligne sur le site de l’association : https://rechtoprecht.online/

Elle est fondée essentiellement sur le code pénal et le code de procédure pénale néerlandais, avec avec des incriminations pénales comme les atteintes à la santé des plaignant.es ou « attentat pris dans l’intention de placer tout ou partie du royaume sous domination étrangère ». Des griefs précis sont avancés contre chacun des défendeurs : il est remarquable que toutes les pièces (PDF, vidéos, captures d’écran, photographies) étayant les accusations sont téléchargeables à partir de liens hypertexte dans la plainte en ligne.

L’assignation vise d’abord l’état néerlandais lui-même, ainsi que différentes personnalités de la vie politique, médiatique et industrielle des Pays-Bas, dont beaucoup ont fait partie de la Cellule de gestion des épidémies (OMT = Outbreak Management Team) :

  • Ernst Kuipers, médecin, président du National Acute Care Network (LNAZ) qui joua un grand rôle dans la pseudo-pandémie de Covid19 et ministre de la Santé en 2022-2024 ;
  • Mark Rutte, ancien Premier ministre des Pays-Bas et actuel Secrétaire général de l’OTAN ;
  • Hugo de Jonge, ancien ministre de la Santé en 2020-2022 et responsable de la gestion de la pseudo-crise sanitaire ;
  • Sigrid Kaag, ancienne vice-Première ministre et ministre des Finances des Pays-Bas ;
  • Jaap van Dissel, directeur de l’Institut national de Santé publique, l’équivalent néerlandais de Anthony Fauci aux USA ou de Jérôme Salomon en France ;
  • Agnes Kant, directrice générale du Lareb, le centre national de pharmacovigilance, équivalent de l’ANSM en France ;
  • Wopke Hoekstra, ancien ministre des affaires étrangères et actuel commissaire européen à l’action climatique, qui a travaillé pour la société Shell et le cabinet McKinsey.

Mais il y a aussi des personnalités étrangères très connues :

  • Albert Bourla, directeur général de la firme pharmaceutique Pfizer depuis le 1er janvier 2019,
  • William Henry Gates III, dit Bill Gates, créateur de Microsoft et actuel directeur de la fondation Bill-et-Melinda-Gates, fondation humaniste philanthropique créée en janvier 2000.

Lorsque Bill Gates a reçu l’assignation l’an dernier, il a choisi le très connu cabinet d’avocats Pels Rijcken, basé à La Haye, pour le défendre : il n’a pas rejeté la plainte mais a affirmé que le tribunal néerlandais était incompétent pour l’examiner puisque lui-même ne résidait pas aux Pays-Bas mais aux États-Unis. Le tribunal devait donc trancher sur ce point et une audience publique s’est tenue le 18 septembre 2024 : le jugement du 16 octobre affirme que le tribunal néerlandais est compétent pour juger Bill Gates au même titre que les autres 16 accusé.es.

J’expliquerai l’importance de ce jugement dans un second article mais d’abord je vais présenter l’argumentation des 7 plaignant.es contre 4 accusé.es, en reprenant l’analyse de Me X dans deux vidéos Youtube en 2023 et 2024.

I. Mark Rutte

Mark Rutte, 57 ans, a travaillé comme cadre des ressources humaines dans la multinationale anglo-néerlandaise Unilever. Passé en politique, il entre dans un gouvernement de droite en 2003 puis se fait élire député. Devenu chef du Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD), il est Premier ministre des Pays-Bas du 14 octobre 2010 au 2 juillet 2024. depuis le 1er octobre 2024, il a succédé à Jens Stoltenberg comme secrétaire général de l’OTAN : et bien sûr il n’a aucune envie de laisser la Russie s’imposer facilement en Ukraine de l’Est…

Rutte était un poulain du Forum économique mondial, fondé par Klaus Schawb en 1971 avec cet définition : « des dirigeants économiques, de chefs d’entreprises et de dirigeants gouvernementaux réunis dans une communauté globale et s’engageant à améliorer l’état du monde ». Cette proximité de Rutte avec le FEM ressort notamment de diverses lettres de Schwab adressées à Rutte, par exemple une lettre datée du 20 octobre 2020. Cette lettre montre que des idées et des plans sont forgés à partir du FEM pour réformer le monde post-Covid19 et l’ensemble de ces réformes est la Grande Réinitialisation ou Great Reset, du nom du livre co-écrit par Schwab et Thierry Malleret et publié à Genève en juin 2020 : Covid-19, la Grande réinitialisation.

Dans cette lettre du 20 octobre 2020, Klaus Schwab charge Mark Rutte de veiller que les Pays-Bas mènent ces réformes en Europe ; et pour cela, les injections des prétendus  »vaccins anti-Covid19 » sont cruciales. Mark Rutte a accepté cette mission pour le compte du FEM et il a donc conseillé les injections à la population néerlandaise. La plainte allègue que Rutte savait que le récit de la soi-disant pandémie de Covid-19 n’était pas vraie et que les injections du vaccin anti-Covid19, en particulier certains lots, pouvaient causer de graves dommages physiques. Les espoirs portés par Mark Rutte n’étaient rien d’autre qu’un moyen d’induire en erreur les Néerlandais.es afin de faire aboutir le projet de réformes post-Covid19. La tromperie de Rutte, selon les plaignant.es, était d’une nature sans précédent, d’autant plus qu’au moment des déclarations citées, il savait déjà que dans un procès Pfizer initié par d’autres citoyens, plus de 11.000 personnes avaient subi de graves blessures physiques permanentes après avoir reçu les injections du prétendu vaccin anti-Covid19.

La plainte rappelle que, le 10 octobre 2022, lors d’une série d’auditions devant la commission spéciale du Parlement sur le COVID-19 avec cinq représentants de l’industrie pharmaceutique, Janine Small, présidente des marchés internationaux développés de la société Pfizer et représentante de Albert Bourla (qui avait refusé de se déplacer), a formellement reconnu que Pfizer n’avait jamais testé le vaccin Covid-19 relativement à la transmission du coronavirus. Mark Rutte ne pouvait pas ignorer cela. En conséquence, il savait également que la doctrine « Vaccinez-vous pour les autres » était un mensonge et une tromperie psychologique, et ne visait qu’à persuader les gens de se faire injecter le  »vaccin anti-Covid19 ». La responsabilité de Mark Rutte est aggravée du fait qu’il a martelé que le refus de se faire vacciner était « anti-social ».

II. L’état néerlandais du Royaume des Pays-Bas.

Selon les plaignant.es, l’état aurait méconnu son obligation d’enquêter dès qu’il a eu connaissance du crime que pouvait constituer la campagne de vaccination contre le Covid-19, alors que « de nombreux citoyens néerlandais, bienveillants et bien informés, ont exprimé leurs sérieuses objections et préoccupations aux autorités néerlandaises, mais que rien n’a été fait par la suite à ce sujet. »

En outre, les plaignant.es accusent leur état d’avoir « publiquement menacé de mort, à la télévision nationale, les personnes qui ne voulaient pas se faire injecter le vaccin anti-Covid19. À cette fin, l’état avait commandé deux messages vidéo horribles par l’intermédiaire de ces radiodiffuseurs publics, et les a diffusés via la chaîne de télévision Postbus51 du gouvernement central. Dans ces clips vidéo, le message clair est donné que les personnes qui ne se sont pas fait vacciner contre le Covid19 doivent être assassinées sans pitié. Un tel message de l’état est abject et infâme. »

Une preuve de ces clips est apportée par des captures d’écran datant d’octobre 2021. L’avocate Me X (auteure des 2 capsules juridiques sur Youtube) a regardé ces vidéos et confirme que le message est brutal, dans la même veine que la répression policière aux Pays-Bas depuis 2020…

III. Albert Bourla

Albert Bourla (de son vrai nom Alvértos Bourlá puisqu’il est né à Thessalonique en Grèce en 1961) a suivi une formation de docteur vétérinaire puis est entré dans la société pharmaceutique Pfizer : directeur en 1993, il est devenu directeur général le 1er janvier 2019 et a ensuite pris toutes les décisions importantes.

La plainte constate que Bourla est lui aussi en lien avec le FEM de Klaus SCHWAB : il en est membre et Pfizer est un contributeur. Bourla défendait le FEM et le projet post-Covid19 de la Grande réinitialisation. Au moment de la fabrication des pseudo  »vaccins » anti-Covid19, Bourla a fait plusieurs communications et promesses officielles à propos de ces produits expérimentaux.

Selon l’avocat des plaignant.es, Bourla savait cependant que Pfizer et d’autres fabricants de  »vaccins » anti-Covid19 n’avaient prêté aucune attention à la prévention de la transmission du supposé nouveau coronavirus lors du développement des  »vaccins ». Bourla savait que l’information du public mondial (et donc aussi des 7 plaignant.es néerlandais.es) reposait sur un grand malentendu en grande partie créé par lui. En effet, toute la politique de lutte contre le Covid19 dans le monde était basée sur l’idée que, grâce à la vaccination, la transmission du prétendu virus pouvait être évitée, faisant de la vaccination un moyen efficace de lutter contre la prétendue pandémie.

La plainte rappelle encore que, le 10 octobre 2022, la suppléante de Albert Bourla devant la commission spéciale du Parlement européen dû répondre à une question de l’eurodéputé néerlandais Rob Roos : «Le vaccin Pfizer contre le Covid a-t-il été testé quant à sa capacité à prévenir la transmission du virus avant son arrivée sur le marché ?». Mme Small a répondu «Non», expliquant que les équipes de Pfizer devaient alors « avancer à la vitesse de la science pour vraiment comprendre ce qui se passait sur le marché» et que, « de ce point de vue, Pfizer devait prendre des risques sur tout. » Cette référence à la rapidité de la science a été faite à maintes reprises par Bourla et les autres accusé.es mais elle est fausse et mensongère, selon l’avocat Me Arno van Kessel, car en réalité les injections anti-Covid19 avaient été développées avant la prétendue pandémie : cette affirmation est étayée par des documents plus loin dans la plainte.

La plainte détaille ensuite le raisonnement par lequel les demandeurs estiment que d’autres substances comme l’oxyde de graphène sont bien présentes dans les injections : « Le modus operandi extrêmement vicieux de Bourla pour ne pas diffuser des informations cruciales sur le contenu et la fonction de son vaccin à ARNm COMIRNATY BNT162b2 s’applique également à la présence d’oxyde de graphène dans chacune des injections d’ARN messager, que ce soit de Pfizer ou de Moderna. » En renvoyant à des documents téléchargeables,Me Arno van Kessel conclut : « Au vu de ce qui précède, l’oxyde de graphène peut être qualifié de composant principal du vaccin Pfizer anti-Covid19. Il va sans dire que l’oxyde de graphène, qui est hautement toxique pour les humains, n’aurait pas dû faire partie du vaccin et, l’aurait-on su, personne n’aurait été prêt à se faire injecter ce poison. »

IV. William Henry Gates III, dit Bill Gates.

La plainte retrace le parcours de ce milliardaire philanthrope, depuis la création de Microsoft jusqu’à sa fondation et ses autres sociétés, la manière dont il a pénétré des instances internationales comme l’Organisation mondiale de la Santé et GAVI, l’Alliance des Vaccins, ses prédictions sur de futures épidémies, des brevets déjà déposés en 2015. Surtout, la plainte rappelle que la Fondation Gates a co-organisé le 18 octobre 2019 à New York, avec le Forum de Davos et le Centre John John Hopkins de sécurité sanitaire, l’exercice de simulation Event 201 : il s’agissait explicitement de planifier la réaction de sociétés transnationales et de gouvernements à une épidémie de coronavirus.

La plainte rappelle les liens de Bill Gates avec l’entreprise Moderna et avec le NIAID (Institut national des allergies et maladies infectieuses, un centre de recherche du département de la Santé des USA) de Anthony Fauci, mais aussi les investissements de Gates dans la société Heineken, elle aussi partenaire du FEM : Heineken a participé à la campagne de promotion des injections notamment par le slogan publicitaire « La nuit appartient aux vacciné.es », sous-entendant que les non-injecté.es ne pourraient plus mener une vie normale en sortant le soir et en faisant la fête.

Ainsi, l’avocat Me van Kessel insiste sur l’importance que les déclarations de Gates ont pu avoir sur la population alors qu’il clamait haut et fort que les injections seraient sûres et efficaces avant même qu’elles ne soient disponibles.

« Il est impossible que Gates, qui avait tout l’intérêt et toutes les ressources, n’ait pas su que, lors des essais cliniques de Pfizer de novembre-décembre 2020, des sujets étaient décédés et d’autres avaient subi des blessures physiques irréversibles. De plus, il est établi que Gates savait qu’un élément important des vaccins anti-Covid19 à ARN messager était l’utilisation du très dangereux oxyde de graphène tel que décrit par Bourla. Il ne fait aucun doute que Gates a délibérément violé le respect de la santé [des plaignant.es]. » (§224)

Un exemple très connu des déclarations de Bill Gates est cette capsule vidéo publiée sur la chaîne Youtube de Gates le 30 avril 2020 et intitulée : « Je vous explique la course au vaccin Covid-19 » :

Selon Me X, qui a consacré deux vidéos à cette plainte en juillet 2023 et octobre 2024, cette plainte est un travail remarquable, semblable aux documents d’une autre avocate ayant résisté à la tyrannie covidiste, Me Virginie de Araujo Recchia. Cette procédure civile est une première judiciaire dans la mesure où la Fondation RechtopRecht, les 7 plaignant.es et leurs avocats affirment que la  »crise » du Covid-19 n’a pas seulement été une prétendue pandémie mais faisait partie d’un agenda beaucoup plus vaste connu comme la Grande réinitialisation ou le Great Reset, créé et promu par le Forum de Davos et son patron Klaus Schwab. Les victimes des injections accusent les 17 personnes physiques et morales d’avoir agi à la fois individuellement et collectivement pour mettre en danger leur santé, leur causant effectivement de très graves dommages.

Dans le prochain article, j’expliquerai le raisonnement du juge néerlandais pour affirmer sa compétence à juger le citoyen étatsunien Bill Gates avec et sur le même plan que les autres accusé.es de nationalité néerlandaise, et pourquoi ce jugement est important.

Jocelyne Chassard

Sources :

RFK Jr : « Désespéré », Bill Gates a versé 50 millions de dollars aux démocrates pour éviter un procès aux États-Unis

 

Bill Gates a fait don de 50 millions de dollars à Kamala Harris cette semaine dans une dernière tentative désespérée d'éviter d'être jugé aux États-Unis pour ses crimes, selon Robert F. Kennedy Jr.

 

« [Bill Gates] a été inculpé aux Pays-Bas pour avoir menti au public à propos du vaccin contre le COVID. Et il va devoir passer en jugement », a déclaré RFK Jr lors d'un meeting de Trump en Géorgie mercredi.

 

Ce qui est fascinant dans la révélation selon laquelle Gates a discrètement fait don de la somme astronomique de 50 millions de dollars à un super PAC soutenant Harris , c'est qu'en 2020, Gates n'a pas fait un seul don politique. Pas un seul centime. 

« Vous pensez qu’il [Gates] veut aller en procès ici, aux États-Unis ? », a demandé Kennedy. « Pensez-vous que c’est l’une des raisons pour lesquelles il a choisi de donner 50 millions de dollars à Kamala Harris ? »

Pendant des décennies, Bill Gates a commis ses crimes sous les yeux du monde entier. Mais aujourd’hui, un courageux juge néerlandais a ordonné que Bill Gates soit jugé – et Bill Gates est terrifié. Comment le savons-nous ?

Parce que Gates a supplié le juge de classer l’affaire, arguant que s’il était traduit en justice aux Pays-Bas, il y aurait un « effet de contagion » – ses mots – et le reste du monde exigerait qu’il soit traduit en justice pour crimes contre l’humanité.

Bill Gates a fait valoir que le juge n'avait aucune compétence à son égard. Mais la semaine dernière, le 16 octobre, le juge a rendu une décision contre Bill Gates.

Il ne peut pas se soustraire à cette situation.

 

Les démocrates, dans leur ensemble, deviennent de plus en plus déséquilibrés et désespérés.

L'ancien stratège de Clinton et analyste chevronné, James Carville, a laissé tomber son masque lors d'une apparition sur MSNBC mercredi, approuvant de nouvelles violences contre Trump.

 

Les démocrates et les libéraux de tout le pays doivent s’unir et « prendre les armes » contre Trump et « construire un pays meilleur » , a déclaré Carville.

 

À propos de Baxter Dmitry The peoples voice
Baxter Dmitry est un écrivain pour The People's Voice. Il couvre la politique, les affaires et le divertissement. Dire la vérité au pouvoir depuis qu'il a appris à parler, Baxter a voyagé dans plus de 80 pays et a remporté des débats dans chacun d'entre eux. Vivez sans peur.
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18 octobre 2024 5 18 /10 /octobre /2024 18:52

L'Etat Japonais tient pour responsable Bill Gates des effets de la vaccination Covid sur la population Japonaise. Ses Jours sont comptés !

Ici nous voyons que suite aux derniers remarques du gouvernement Japonais il y a quelques temps des mesures coercitives seront prises à l'encontre de Bill Gates ; ce qui prouve que ce dernier est bien l'instigateur et le financeur de ce programme.

On doit s'interroger pour  ce contrat sur la tête de Bill Gates, cette fois on passe à la vitesse supérieure, finit de jouer !

Les grands psychopathes n'ont qu'a bien se tenir !

 

Henry

L'Argentine appelle à l'interdiction de l'ARNm après la découverte d'arsenic et d'autres produits chimiques mortels dans les vaccins

 

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11 septembre 2024 3 11 /09 /septembre /2024 18:26
A noter que Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918 est l'arrière grand-père de Bill Gates

 

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La grippe de 1918 n’était pas une grippe : « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri »
 
 
Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie. En 1941, avec 145.000 juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne.

Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugéniste lancé en 1915 aux USA, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d’autres, dont l’objectif déclaré était de réduire la population des USA de 10%, soit 15 millions d’hommes et de femmes.
Dans son livre écrit en 1957, “The poisoned Needle, Suppressed facts about vaccination”, le Dr Eleana McBean, médecin, a été le témoin oculaire de l’épidémie de 1918. Elle écrit « Seuls les vaccinés ont péris. ».

 
La grippe de 1918 n’était pas une grippe 
 
Dans le rapport qu’il a publié en 1918, il note que le vaccin a été administré en 3 doses aléatoires, ce qui n’est pas exact.

En 1915, une entreprise commune d’eugénisme a été organisée par John D. Rockefeller, fondateur de la Standart oil, Andrew Carnegie détenant l’industrie américaine de l’acier et Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone.

Ils avaient déjà consolidé leur monopole dans le pétrole, les chemins de fer, l’acier et les industries bancaires. Ils ont donc cherché à préserver leurs vastes richesses et à faire progresser leurs intérêts en investissant dans des méthodes de contrôle et de réduction des populations.

L’objectif de l’eugénisme était et reste d’éliminer les personnes que l’élite jugeait inférieures sur le plan génétique. Ils ont financé une campagne de lobbying massive pour la promulgation de lois visant à stériliser ceux qu’ils jugeaient inaptes. Les lois sur la stérilisation ont d’abord été promues seulement dans 28 états des USA. Leur objectif était de stériliser 10% de la population américaine soit 15 millions de personnes.

Cet objectif devait être atteint sous prétexte d’améliorer la santé publique et la race humaine. Ces lois sur la stérilisation ont servi de modèles aux nazis sur l’hygiène sociale. Pendant plus d’un siècle, les Rockefeller ont continué à être les plus grands bailleurs de fonds et les moteurs de l’eugénisme et du programme de dépopulation. Voilà donc surtout de quoi je veux surtout parler :
 
La grippe espagnole de 1918
 
On estime qu’elle a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. « Cette pandémie catastrophique a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle ».

Un examen des faits révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celle du coronavirus de 2020 !

« La pandémie de 1918 n’a pas émané d’Espagne ! . Ce n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. En l’identifiant à tord comme une grippe venant d’Espagne, on a contribué à en dissimuler la véritable nature et l’origine ».

En 1918, alors que les USA entraient dans la première guerre mondiale, les effectifs militaires ont été portés à 6 millions d’hommes dont 2 millions ont été envoyés sur les champs de bataille en Europe. Les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponibles. Peu de gens réalisent que la maladie a tué bien plus de soldats de tous les camps que les mitrailleuses et le gaz moutarde ou tout autre élément associé à la première guerre mondiale.

En janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite », fabriqué à partir de chevaux, a été testé sur des soldats. C’est Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918.
  • 4792 hommes ont reçu la première dose.
  • 4257 hommes ont reçu la seconde dose
  • 3702 hommes ont reçu les trois doses.
Le Dr Gates ne dit pas ce qui est arrivé aux 1090 hommes qui ne se sont pas présentés à la troisième dose. Gates écrit que peu de temps après avoir été injectés, les soldats présentaient certains des symptômes semblables à ceux de la grippe, notamment de la toux, des vomissements et de la diarrhée. Ses réactions simulaient selon lui le début d’une « méningite épidémique » mais le Dr Gates a balayé cela d’un revers de main et a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.

On peut se demander sur quelle science il s’est appuyé.

Des épidémies de grippe ont été enregistrées dans 14 des plus grands camps d’entrainement des forces armées. Les troupes récupérées ont porté et transmis l’infection à des soldats sains sur les champs de bataille d’Europe. Un rapport de 2008 a étudié les taux de mortalité et d’invalidité dans le monde entier pendant la pandémie. Ils ont décrit comment « les bactéries » se propageaient rapidement des personnes infectées à d’autres en particulier dans des environnements surpeuplés, tels que les services hospitaliers, les casernes des camps militaires, les navires de transport de troupes.

Quelques 9000 personnes dans le monde ont été autopsiées pour trouver que « la grippe de 1918 n’était pas une grippe » D’après les cultures longues des autopsies, la « bactérie pneumonia » a tué au moins 92,7% d’entre eux.

Lorsque la première guerre mondiale s’est terminée le 11 novembre 1918, les soldats sont rentrés chez eux, propageant la « pneumonia bactérienne meurtrière » dans le monde entier.

L’un des témoins oculaires les plus importants était le Dr Eleana Mac Bean. Elle fut témoin du carnage humain à l’âge de 13 ans. Elle et sa famille afro-américaine ne se sont pas faits vacciner. Ils sont restés en bonne santé tout le long de la pandémie. Elle est devenue médecin et a écrit plusieurs livres dont :

- « L’aiguille empoisonnée », en 1957.
- « Vaccination : le tueur silencieux », en 1977.
- « Exposé sur la grippe porcine », en 1977.


Elle a fourni des descriptions très vivantes et je vais en lire un extrait :

« Lorsque la grippe était à son apogée, tous les magasins étaient fermés ainsi que les écoles, les entreprises, l’hôpital, car les médecins et les infirmiers avaient été vaccinés et étaient atteints de « la grippe… ». Il n’y avait personne dans la rue. C’était comme une ville fantôme. Il semblait que la seule famille qui n’avait pas attrapé cette « grippe… » était ma famille. Mes parents sont donc allés de maison en maison faisant ce qu’ils pouvaient pour soigner les malades car il était impossible de trouver un médecin.

S’il était possible que les germes des bactéries et des virus ou des bacilles provoquaient des maladies, ils avaient tout loisir d’attaquer mes parents alors qu’ils passaient tant d’heures par jour dans les chambres des malades ! Mais ils n’ont pas eu la grippe. Ils n’ont pas ramené le germe à la maison pour nous contaminer, nous leurs enfants. Aucun membre de notre famille n’a eu la grippe… ni un rhume. C’était en hiver avec de la neige épaisse au sol. »

Un document a identifié le vaccin expérimental contre la « méningite bactérienne » comme principal coupable. Il y est écrit que « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri ».

Cela vous semble familier ?!

Une telle catastrophe générée par un vaccin peut-elle se reproduire ?

Je pense vraiment que cet exemple est extrêmement important, mais ensuite les acteurs.

En 2018, la Radio diffusion publique a diffusé un documentaire. La première vague qui compte certaines lacunes que le Dr Gates n’a pas dites. Nous avons appris que le 11 mars, le chirurgien du camp militaire de Fort Sill était confronté à la première vague d’une épidémie. 100 hommes par jour entraient à l’infirmerie avec la même maladie. Quelques 2 millions de soldats américains ont reçu le vaccin expérimental de Rockefeller. C’était « pour affaiblir leur système immunitaire » avant qu’ils ne soient envoyés en Europe. Et lorsque la guerre a pris fin, l’institut Rockefeller a envoyé la « concoction mortelle » de la méningite pour qu’elle soit utilisée chez les civils en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie, et dans d’autres pays d’Europe occidentale, propageant ainsi l’épidémie dans le monde entier.

La décision d’expédier le vaccin mortel à l’étranger était prise alors qu’ils savaient déjà ce qu’ils faisaient.

Etait-ce simplement pour aider les autres ou cela faisait-il partie d’un plan de génocide eugénique ?!
 
Vera Sharav
 
Extrait de la vidéo  : "Pandémie de grippe espagnole"
 
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11 septembre 2024 3 11 /09 /septembre /2024 18:00

Ce que n'aurons jamais le courage de vous dire les médias mainstream ç'est que l'Etat profond tente par tous les moyens d'imposer sa volonté, pour cela ils usent de la médecine et notamment des vaccins ; Bill Gates utilise sa fortune non pas pour sauvegarder des parties de l'Amazonie, recréer des zones naturelles, développer une agriculture durable, non il utilise celle ci pour des expériences vaccinales plus ou moins douteuses, voire mortelles, (voir le lien fondation bill Gates) donc on a affaire a un psychopathe digne des séries de James Bond, sans qu'aucun média n'y trouve à redire, puisqu'il les arrose abondamment. Il est de ces genres de personnages qui prévoient des pandémies, ou des catastrophes, oiseaux de mauvaises augures, comme Attali, et il en vient à annoncer ceci que vous verrez à la suite que "l'humanité aura deux choix : soit la guerre, soit une autre pandémie", outre ses qualités de prophète du mal et ses volontés médicales, il a mis en place la production de viande synthétique (analysée comme extrêmement toxique) car il prévoit des famines généralisées). Mais de l'autre côté il est devenu le premier propriétaire terrien des USA.

Henry

 

Il a crée des usines à moustiques pour la propagation de vaccins

 

Bill Gates ouvre une usine d'ARNm en Afrique pour la production de masse mondiale du vaccin contre la variole du singe

 

Bill Gates va forcer la vaccination contre la polio d'un million d'enfants palestiniens déplacés

 

 

 

 

Le meilleur oncologue du Japon critique Bill Gates, le « tsar de la santé mondiale » : « Il doit retourner au collège »

Selon le professeur émérite Masanori Fukushima, oncologue de premier plan au Japon, Bill Gates a obtenu la fonction de dicter la politique de santé mondiale sans même avoir suivi un cursus de biologie médicale de niveau secondaire.

 

L’oncologue de renommée mondiale a même suggéré que Bill Gates devrait « retourner au collège » pour acquérir une compréhension de base de la biologie médicale avant d’avoir l’arrogance de prendre des décisions aussi importantes pour l’humanité sans consultation publique.

Commentant le rôle de Bill Gates dans la santé publique mondiale lors d’une conférence de presse au Japon, Fukushima a qualifié Bill Gates d’imposteur, déclarant : « Donc, honnêtement, il doit retourner au collège et refaire ses examens de biologie pour aller au lycée et passer les examens d’entrée à l’université. »

 

Ces conseils impliquent que ceux qui sont à la tête des décisions en matière de santé mondiale n’ont pas la connaissance biologique nécessaire pour comprendre l’ensemble des implications des vaccins.

Fukushima, qui compte plus de 7 000 citations sur ResearchGate et donne des conférences à l'Université de Kyoto, a également déclaré que les dommages causés par les vaccins contre le Covid-19 sont « sans précédent » dans l'histoire de la médecine.

Gates s’est hissé au poste de tsar officieux de la santé mondiale en finançant l’Organisation mondiale de la santé à hauteur de milliards de dollars par an, dépassant de loin le financement de n’importe quel État-nation.

Gates finance également de nombreuses agences gouvernementales de santé et régulateurs dans les pays occidentaux, dont beaucoup sont responsables de la réglementation de ses vaccins expérimentaux.

Dans le même temps, Gates est un soutien financier important des principaux médias occidentaux, qui offrent fréquemment une couverture élogieuse de ses initiatives.

TENDANCE : Un initié de la Fondation Gates admet que l'ivermectine guérit le « cancer turbo artificiel »

Ces médias publient des articles flatteurs qui passent sous silence ses faux pas et mènent des entretiens de type softball qui évitent soigneusement d'aborder ses controverses.

Les critiques du professeur Fukushima à l'égard de Gates font écho aux propos de Robert F. Kennedy Jr, qui a commencé à dénoncer le milliardaire mondialiste avant la pandémie.

Comme l’a expliqué Kennedy Jr , Gates « a obtenu la tâche de dicter la politique de santé mondiale sans élection, sans nomination, sans surveillance et sans responsabilité ».

Kennedy Jr., qui veut savoir comment et pourquoi un homme qui n'est manifestement pas qualifié a été autorisé à obtenir un tel pouvoir, a ajouté : « Est-ce que quelqu'un d'autre pense que c'est effrayant ? »

 

À propos de Baxter Dmitry thepeoplesvoice
Baxter Dmitry est un écrivain pour The People's Voice. Il couvre la politique, les affaires et le divertissement. Dire la vérité au pouvoir depuis qu'il a appris à parler, Baxter a voyagé dans plus de 80 pays et a remporté des débats dans chacun d'entre eux. Vivez sans peur.
 
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Bill Gates déclare que l’humanité a deux choix : « La troisième guerre mondiale ou une autre pandémie »
Le meilleur oncologue du Japon critique Bill Gates, le « tsar de la santé mondiale » : « Il doit retourner au collège »

L'eugéniste milliardaire Bill Gates a prévenu que l'humanité serait confrontée soit à une troisième guerre mondiale, soit à une autre pandémie mortelle dans les prochaines années.

 

Dans une interview accordée à CNBC , Gates a évoqué « de nombreux troubles » dans le monde en ce moment, qui pourraient déclencher « une guerre majeure ».

 

Mais même si ce conflit est évité, « alors oui, il y aura une autre pandémie, très probablement dans les 25 prochaines années », a poursuivi Gates.

Fortune.com rapporte : Le cofondateur de Microsoft n'a pas été impressionné par la réponse mondiale à la pandémie et a déclaré que des leçons cruciales ont été ignorées.

Il a critiqué la réponse américaine à la crise, déclarant : « Le pays dont le monde s'attendait à ce qu'il dirige et soit un modèle n'a pas répondu à ces attentes.

« Bien que certaines leçons de la pandémie [de coronavirus] aient été tirées, [cela a été] bien moins que ce à quoi je m'attendais, malheureusement », a ajouté l'homme de 69 ans.

Gates n’est pas le seul à être déçu ; de nombreux autres défenseurs de la santé mondiale font également pression sur le monde occidental pour qu’il apporte de meilleures réponses aux nouvelles épidémies.

Le professeur Paul Hunter est un expert en épidémiologie des maladies émergentes basé à l'Université d'East Anglia.

Le mois dernier, dans une interview accordée à  Fortune  au sujet d’une nouvelle souche mortelle de mpox, le professeur Hunter a déclaré : « En Occident, nous ne nous intéressons vraiment à une maladie que lorsqu’elle commence à nous menacer directement. Le problème est que la propagation de nombreuses maladies aurait pu être évitée si les pays sur place avaient eu les ressources nécessaires. »

Il s’agit d’un thème récurrent, qui s’est manifesté pendant la COVID, a-t-il ajouté : « L’Occident ne se préoccupe du contrôle des épidémies que lorsque nous commençons à voir des cas, et il est alors presque toujours trop tard pour éradiquer l’infection. »

Gates a ajouté qu'il espérait que les organismes de santé commenceraient à réfléchir à plus long terme dans les années à venir, ajoutant : « Nous ne parvenons toujours pas à réfléchir à ce que nous avons bien fait et à ce que nous n'avons pas bien fait... Peut-être que dans les cinq prochaines années, la situation s'améliorera. »

« Mais jusqu’à présent, c’est assez surprenant. »

Ce message est également transmis depuis le sommet de l’arbre : l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Plus tôt cette année, l’OMS a lancé un avertissement concernant la propagation du virus de la grippe par le bétail, les oiseaux et les humains et a exhorté les nations à travailler ensemble pour mieux se préparer à une pandémie.

« Il y a une certitude : il y aura une autre pandémie de grippe dans le futur », a déclaré Nicola Lewis, directrice du Centre mondial de la grippe.

Lewis a ajouté : « Mon message aux communautés internationales est que nous devons mettre de côté nos réticences. Nous devons mettre de côté nos préoccupations locales et nous souvenir des impacts et des conséquences dévastatrices d’une pandémie mondiale, quel que soit l’agent pathogène dont elle provient. »

Craintes d'une guerre mondiale

Gates, dont la fortune est estimée à 157 milliards de dollars selon l'indice Bloomberg des milliardaires, n'est pas le seul nom influent à mettre en garde contre un éventuel conflit mondial.

Le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, a déjà déclaré que les tensions géopolitiques sont la plus grande menace à laquelle l'économie mondiale est confrontée, déclarant à la chaîne d'information affiliée à CNBC, CNBC TV-18, en septembre dernier : « Nous avons déjà fait face à l'inflation, nous avons déjà fait face aux déficits, nous avons déjà fait face aux récessions, et nous n'avons pas vraiment vu quelque chose comme ça depuis la Seconde Guerre mondiale », a-t-il déclaré à la chaîne d'information indienne.

« Je pense que l’Amérique prend très au sérieux l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Je ne sais pas trop comment le reste du monde le prend. On a affaire à une nation démocratique européenne envahie sous la menace d’un chantage nucléaire. Je pense que c’est une bonne réponse, mais cela va affecter toutes nos relations jusqu’à ce que la guerre soit résolue. »

 

À propos de Sean Adl-Tabatabai tehpeoplesvoice
Ayant fait ses armes dans les médias grand public, notamment à la BBC, Sean a été témoin de la corruption du système et a développé un désir ardent de révéler les secrets qui protègent l'élite et lui permettent de continuer à faire la guerre à l'humanité. Dérangé par l'agenda des élites et insatisfait des médias alternatifs, Sean a décidé qu'il était temps de faire bouger les choses. Knight of Joseon (https://joseon.com)
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19 mai 2024 7 19 /05 /mai /2024 10:23
Nouveau scandale pour Pfizer qui va tester un vaccin sur des femmes enceintes africaines sans leur consentement éclairé
 

 

Des firmes pharmaceutiques, comme Pfizer, utilisent l'Afrique comme terrain d'expérimentation médicale depuis des décennies, au mépris de l'éthique. Une enquête du Média révèle que le géant américain prévoit de tester discrètement un vaccin sur des femmes enceintes africaines, sans leur fournir toutes les informations nécessaires. Le tout soutenu par l'OMS et la Fondation Bill et Melinda Gates.

 

 

La journaliste indépendante Ariane Denoyel a mené une enquête sur les méthodes de Pfizer en Afrique. Selon elle, le médicament est un milieu très peu transparent, et les essais cliniques menés sur le continent africain le sont encore moins. Elle a été alertée par un médecin généraliste anglais, devenu investigateur indépendant, qui a détecté un problème de jaunisse dans les premiers essais d’un vaccin maternel.

L’Abrysvo, le vaccin en question, est soutenu par l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill et Melinda Gates, et prévoit de vacciner la maman pendant la grossesse afin d’obtenir une protection chez le bébé. Cependant, le docteur Peter Rost a découvert que ce vaccin peut provoquer un risque accru de prématurité et de naissance prématurée. Les femmes enceintes africaines, qui pourraient être vaccinées, n’ont pas été informées de ces risques.

Ce n’est pas la première fois que Pfizer est impliqué dans des essais cliniques controversés en Afrique. En 1996, un essai clinique sauvage mené par la firme au Nigéria a causé la mort de cinq enfants et laissé d’autres avec des séquelles lourdes. Un accord transactionnel a été signé en 2009 pour mettre fin aux poursuites, mais Pfizer a tout fait pour ne pas payer les sommes dues.

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19 mai 2024 7 19 /05 /mai /2024 10:04
L’Institut Rockefeller et la grippe espagnole de 1918
 

Rockefeller

La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe, ni d’origine espagnole ?

 

Des documents récemment analysés révèlent que la « grippe espagnole » pourrait avoir été une expérience vaccinale militaire qui a mal tourné.

Résumé

La raison pour laquelle la technologie moderne n’a pas pu identifier la souche virale mortelle de cette grippe pandémique tient en ce que ce n’était pas la grippe en tant que telle qui était mortelle.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de soldats sont morts de maladies que tués par les balles.

La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe.

La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.

Une étude décrit des soldats comme :

[…] présentant des infections actives [qui] propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d’autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l’invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)

La grippe dite « espagnole » s’est attaquée à des personnes en bonne santé dans la fleur de l’âge. La pneumonie bactérienne s’attaque aux personnes dans la force de l’âge. La grippe s’attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées. Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d’origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier.

Pendant la pandémie de 1918-1919, la grippe dite « espagnole » a tué cinquante à cent millions de personnes, dont de nombreux soldats. Beaucoup de gens ne se rendent pas compte que la maladie a tué beaucoup plus de soldats de tous bords que les mitrailleuses ou le gaz moutarde ou tout ce qui est typiquement associé à la Première Guerre mondiale.

J’ai un lien personnel avec la grippe espagnole. Parmi les personnes tuées par la maladie en 1918-1919, il y a des membres des familles de mes deux parents.

Du côté de mon père, sa grand-mère Sadie Hoyt est morte d’une pneumonie en 1918. Sadie était secrétaire en Chef dans la marine. À sa mort, ma grand-mère Rosemary et sa sœur Anita ont été élevées par leur tante. La sœur de Sadie, Marian, s’est également engagée dans la marine. Elle est morte de la « grippe » en 1919.

Du côté de ma mère, deux des sœurs de son père sont mortes dans l’enfance. Tous les membres de la famille qui sont morts vivaient à New York.

Je soupçonne que de nombreuses familles américaines, et de nombreuses familles dans le monde entier, ont été touchées de la même manière par la mystérieuse grippe dite « espagnole ».

En 1918, « grippe » ou « influenza » était un terme fourre-tout pour désigner une maladie d’origine inconnue. Il n’avait pas la signification spécifique qu’il a aujourd’hui. Ce terme signifiait une maladie mystérieuse qui tombait du ciel. En fait, le terme « grippe » vient du latin médiéval influencia [de influere (« influer ») – NdT] au sens astrologique, qui signifie venir de l’influence des étoiles.

Pourquoi ce qu’il s’est passé il y a cent ans est-il important aujourd’hui ?

Entre 1900 et 1920, d’énormes efforts ont été déployés dans le monde industrialisé pour construire une société meilleure. J’utiliserai l’exemple de New York pour parler de trois changements majeurs de la société qui s’y sont produits à cette époque et de leur impact sur la mortalité due aux maladies infectieuses.

1. Eau propre et assainissement

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York a construit un système extraordinaire pour amener de l’eau propre à la ville depuis les Catskills, un système encore utilisé aujourd’hui. La ville de New York a également construit près de dix mille kilomètres d’égouts pour évacuer et traiter les déchets, ce qui protège l’eau potable. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l’importance de l’eau propre et de l’assainissement dans la lutte contre les maladies infectieuses. (2)

2. Électricité

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York a construit un réseau électrique et câblé la ville pour que l’électricité soit disponible dans chaque foyer. L’électricité permet la réfrigération. La réfrigération est un héros méconnu en tant que bienfait pour la santé publique. Lorsque les aliments sont réfrigérés de la ferme à la table, le public est protégé contre les maladies infectieuses potentielles. L’énergie renouvelable bon marché est importante pour de nombreuses raisons, notamment pour lutter contre les maladies infectieuses.

3. L’industrie pharmaceutique de Rockefeller

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York est devenue le siège de l’Institut Rockefeller pour le Medical Research (aujourd’hui l’Université Rockefeller). L’Institut est le lieu où l’industrie pharmaceutique moderne est née et il fut le pionnier de nombreuses approches utilisées aujourd’hui par l’industrie pharmaceutique, y compris la préparation de sérums vaccinaux, pour le meilleur ou pour le pire. Le vaccin utilisé sur les soldats dans l’expérience de Fort Riley a été cultivé sur les chevaux.

Les données sur les taux de mortalité aux États-Unis du début du 20ème siècle à 1965 indiquent clairement que l’eau propre, les toilettes à chasse d’eau, les systèmes d’égouts efficaces et les aliments réfrigérés se sont tous combinés pour réduire efficacement la mortalité due aux maladies infectieuses AVANT que les vaccins contre ces maladies ne soient disponibles.

Les médecins et les sociétés pharmaceutiques se sont-ils vantés d’avoir réduit la mortalité due aux maladies infectieuses qui touchent légitimement les mineurs urbains [qui travaille dans des projets de construction souterrains ou sous-marins – NdT], les plombiers, les électriciens et les ingénieurs ?

Si l’orgueil de l’Institut Rockefeller en 1918 a conduit à une pandémie qui a tué des millions de personnes, quelles leçons pouvons-nous en tirer et comment pouvons-nous les appliquer à 2018 ? [Article publié à l’origine sur FirstFreedoms en 2018, et re-publié sur FortRussNews en 2020 avec autorisation – NdT].

La maladie n’avait rien d’espagnole

En regardant un épisode de American Experience sur PBS il y a quelques mois, j’ai été surpris d’apprendre que les premiers cas de « grippe espagnole » se sont produits à Fort Riley, au Kansas, en 1918. Je me suis demandé comment il était possible que cet événement d’importance historique ait pu être aussi mal nommé il y a cent ans et ne jamais être corrigé.

Pourquoi « espagnol » ? L’Espagne était l’un des rares pays à ne pas avoir participé à la Première Guerre mondiale. La plupart des pays impliqués dans la guerre ont censuré leur presse.

Libérés des préoccupations liées à la censure, les premiers rapports de presse faisant état de décès de personnes malades en grand nombre provenaient d’Espagne. Les pays en guerre ne voulaient pas effrayer davantage les troupes, ils se sont donc contentés de faire de l’Espagne un bouc émissaire. Les soldats de tous les camps devaient traverser le no man’s land sous les tirs des mitrailleuses, ce qui était déjà assez effrayant sans savoir que les tranchées étaient un terrain propice aux maladies.

Cent ans plus tard, il est grand temps de laisser tomber le mot « espagnol » de toute discussion sur cette pandémie. Si la grippe dite « espagnole » a débuté sur une base militaire américaine au Kansas, alors cette pathologie/pandémie pourrait et devrait être nommée de façon plus appropriée. Afin de prévenir de futures catastrophes, les États-Unis — et le reste du monde — doivent examiner attentivement ce qui a réellement causé la pandémie.

L’appellation de grippe « espagnole » n’a peut-être jamais été corrigée parce qu’elle contribue en partie à dissimuler l’origine de la pandémie.

Si l’origine de la pandémie est liée à une expérience de vaccination sur des soldats américains, les États-Unis auront sans doute préféré la nommer « grippe espagnole » plutôt que « bactérie de Fort Riley » de 1918, ou toute autre appellation similaire. La grippe dite « espagnole » a débuté sur les lieux mêmes où ce vaccin bactérien expérimental a été administré, ce qui en fait le principal suspect en tant que source des infections bactériennes à l’origine de la mort de tant de personnes.

Si une expérience vaccinale originaire des États-Unis réalisée au cours des années où la production était des plus rudimentaires causait la mort de cinquante à cent millions de personnes, il serait beaucoup plus difficile de maintenir le mantra marketing « les vaccins sauvent des vies ».

« L’Institut américain Rockefeller pour le Medical Research et son vaccin bactérien expérimental contre le méningocoque pourraient avoir tué cinquante à cent millions de personnes en 1918-1919 », est un slogan commercial bien moins efficace que celui trop simpliste les vaccins sauvent des vies, Kevin Barry.

Grippe espagnole - 2

Des policiers portant des masques fournis par la Croix-Rouge américaine à Seattle en 1918

La maladie à l’origine d’un si grand nombre de victimes n’était ni la grippe ni un virus. C’était une bactérie.

« Se préparer à une pandémie » est devenu au milieu des années 2000 un sujet de discussion récurrent. Pour développer des vaccins afin de prévenir tout autre « grippe » pandémique mortelle comme celle de 1918-1919, les fabricants de vaccins contre la grippe aux États-Unis ont reçu des milliards de dollars des contribuables.

Quand bien même les scientifiques savaient à l’époque que la pneumonie bactérienne constituait la véritable cause de mortalité, les fabricants de vaccins ont pu obtenir des milliards de dollars de subventions gouvernementales en capitalisant sur la composante « grippe » de la grippe dite « espagnole ».

Aujourd’hui, je pense que la pneumonie bactérienne fut responsable de cette pandémie — des milliers d’autopsies le confirment.

Selon un document de l’Institut national de la santé de 2008, la pneumonie bactérienne fut la cause des décès dans au moins 92,7 pour cent des autopsies menées en 1918-1919. Il est même probable qu’elle soit supérieure à 92,7 pour cent, puisque sur les neuf mille autopsies pratiquées par les scientifiques, « aucune ne présentait de résultats négatifs (bactériens) dans les cultures pulmonaires ».

[…] Dans les 68 séries d’autopsies parmi les plus qualitatives, au sein desquelles la possibilité de cultures négatives non signalées a pu être exclue, 92,7 pour cent des cultures pulmonaires d’autopsie étaient positives à la bactérie ≥1. … dans une étude portant sur environ 9 000 sujets qui ont été suivis depuis leur présentation clinique pour cause de grippe jusqu’à la guérison ou l’autopsie, les chercheurs ont obtenu, par le biais d’une technique stérile, des cultures de pneumocoques ou de streptocoques à partir de 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires.

On a pu dénombrer 89 cultures pures de pneumocoques ; 19 cultures dans lesquelles seuls des streptocoques étaient présents ; 34 cultures ont résulté en des mélanges de pneumocoques et/ou de streptocoques ; 22 cultures ont résulté en un mélange de pneumocoques, de streptocoques et d’autres organismes (principalement des pneumocoques et des streptocoques non hémolytiques) ; et 3 cultures ont uniquement résulté en des streptocoques non hémolytiques. Aucun résultat négatif n’a été obtenu des cultures pulmonaires. (3)

Des pneumocoques ou des streptocoques ont été trouvés dans « 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires » autopsiés. Cela représente 98,2 pour cent. La bactérie était l’agent pathogène.

D’où vient la pneumonie bactérienne de la grippe espagnole de 1918-1919 ?

Lorsque les États-Unis ont déclaré la guerre en avril 1917, l’industrie pharmaceutique naissante disposait d’une ressource sans précédent — un grand nombre de sujets humains pour des tests effectués sous forme de première ébauche de l’armée américaine.

Avant la guerre, en 1917, l’armée américaine comptait 286.000 hommes. Après la guerre, en 1920, l’armée américaine s’est dissoute et en comptait 296 000. [Bien que l’armistice ait été signé le 11 novembre 1918, la Première Guerre mondiale ne cesse pas ce jour-là : sur le front ouest, la démobilisation est lente et partielle jusqu’en 1921, et à l’Est, des combats d’un type nouveau se poursuivent jusqu’en 1923 – NdT]

Pendant les années de guerre 1918-1919, les effectifs de l’armée américaine ont atteint 6 000 000 d’hommes, dont 2.000.000 ont été envoyés outre-mer. L’Institut Rockefeller pour le Medical Research a profité de ce nouveau réservoir de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales.

Rapport sur la vaccination contre la méningite et observations sur les agglutinines dans le sang des porteurs chroniques de méningocoques, tel qu’enregistré par Frederick L. Gates, MD en 1918 depuis l’hôpital de base, Fort Riley, Kansas et de l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, New York. Reçu le 20 juillet 1918. [Note de l’auteur : Veuillez lire le document Pdf de Fort Riley dans son intégralité afin de pouvoir apprécier la négligence des expériences menées sur ces troupes.]

Entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, le Dr. Gates rend compte d’une expérience où des soldats ont reçu trois doses d’un vaccin contre la méningite bactérienne. Les personnes qui ont mené l’expérience sur les soldats se contentaient de doser au petit bonheur la chance le sérum vaccinal fabriqué à partir de chevaux.

Le programme vaccinal a été conçu sur la base de trois doses. La première dose a été administrée à 4 792 hommes, mais seulement 4 257 d’entre eux ont reçu la deuxième (soit une baisse de 11 %), et 3 702 ont reçu les trois doses (soit une baisse de 22,7 %). Au total, 1 090 hommes n’ont pas reçu la troisième dose. Qu’est-il arrivé à ces soldats ? Ont-ils été envoyés dans l’Est par train depuis le Kansas pour embarquer sur un bateau à destination de l’Europe ? Se trouvaient-ils à l’hôpital de Fort Riley ? Le rapport du Dr. Gates ne nous le dit pas.

Un article accompagnant l’émission « American Experience » que j’ai visionnée nous éclaire sur le lieu où auraient pu se trouver ces 1.090 hommes. Gates a commencé ses expériences en janvier 1918. En mars de cette année-là, « cent hommes par jour » entraient à l’infirmerie de Fort Riley. Certains de ces hommes sont-ils ceux qui manquent dans le rapport du Dr Gates — ceux-là même qui n’ont pas reçu la 2e ou 3e dose ?

[…] Peu avant le petit déjeuner du lundi 11 mars, le premier domino tombait, signalant le début de la première vague de grippe de 1918. Le cuisinier de la compagnie, Albert Gitchell, s’est présenté à l’infirmerie du camp en se plaignant d’un « mauvais rhume ». Juste derrière lui s’est présenté le caporal Lee W. Drake exprimant des plaintes similaires. À midi, le chirurgien du camp Edward R. Schreiner avait en charge plus de cent hommes malades, tous apparemment atteints de la même pathologie… (5)

Gates signale que plusieurs des hommes qui ont participé à l’expérience vaccinale ont présenté ensuite des symptômes de type grippal : toux, vomissements et diarrhée. Ces symptômes sont une catastrophe pour les hommes qui vivent dans des casernes, voyagent en train jusqu’à la côte atlantique, naviguent vers l’Europe, vivent et se battent dans des tranchées. Les conditions d’insalubrité à chaque étape du voyage constituent un environnement idéal pour la propagation d’une maladie contagieuse comme la pneumonie bactérienne.

D’après le rapport du Dr Gates :

Plusieurs cas de relâchement des intestins ou de diarrhée passagère ont été constatés. Ce symptôme n’avait jamais été rencontré auparavant. Une enquête minutieuse sur les cas individuels a souvent permis de découvrir que les hommes qui se plaignaient des effets de la vaccination souffraient au moment de l’injection de coryza léger, de bronchite, etc.

Parfois, la réaction était déclenchée par une sensation de froid ou de frilosité, et un certain nombre d’hommes se sont plaints de fièvre ou de sensations fébriles pendant la nuit suivante.

Viennent ensuite des nausées (parfois des vomissements), des vertiges et des « douleurs » générales dans les articulations et les muscles, qui, dans quelques cas, sont particulièrement localisées dans la région du cou ou des lombaires, provoquant une raideur de la nuque ou du dos. Quelques injections ont été suivies de diarrhée.

Les réactions ont donc parfois ressemblé au début d’une méningite épidémique et plusieurs hommes vaccinés ont été envoyés à l’hôpital de la Base pour diagnostic. (4)

Selon Gates, ils ont injecté à des soldats des doses aléatoires d’un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne. Par la suite, certains de ces soldats ont présenté des symptômes qui « imitaient » ceux de la méningite, mais le Dr Gates a déclaré de façon fantasque qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.

Les soldats ont développé des symptômes semblables à ceux de la grippe. La méningite bactérienne, à l’époque comme aujourd’hui, est connue pour provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe. (6)

La similitude des premiers symptômes de la méningite bactérienne et de la pneumonie bactérienne avec les symptômes de la grippe est peut-être la raison pour laquelle les expériences de vaccination à Fort Riley ont pu échapper à tout examen en tant que cause potentielle de la grippe dite « espagnole » depuis cent ans et plus.

Comment la grippe dite « espagnole » s’est-elle répandue si largement et si rapidement ?

Un élément propre à créer une tempête parfaite existe dans la façon dont la bactérie de Gates s’est répandue. La Première Guerre mondiale s’est terminée seulement dix mois après les premières injections. Malheureusement pour les 50 à 100 millions de morts, les soldats à qui l’on a injecté des bactéries chevalines se sont rapidement déplacés pendant ces dix mois.

Un article de 2008 sur le site du CDC décrit comment des soldats malades de la Première Guerre mondiale ont pu transmettre la bactérie à d’autres en devenant des « vecteurs de propagation ».

Enfin, pendant de brèves périodes et à des degrés divers, les hôtes affectés sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont accru l’aérosolisation des souches de bactéries colonisatrices, en particulier les pneumocoques, les streptocoques hémolytiques, Haemophilus influenzae et Staphylococcusaureus [bacille de Pfeiller et Staphylocoque doré – NdT].

Pendant plusieurs jours au cours des épidémies locales – en particulier dans les lieux très fréquentés tels que les salles d’hôpital, les camps militaires, les navires de transport de troupes et les mines (et les tranchées) — certaines personnes étaient immunologiquement sensibles, infectées ou en phase de guérison d’une infection par le virus de la grippe.

Les personnes présentant des infections actives propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d’autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l’invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)

A trois reprises dans son rapport sur l’expérience vaccinale de Fort Riley, le Dr Gates déclare que certains soldats ont eu une « réaction sévère » indiquant « une sensibilité individuelle inhabituelle au vaccin ».

Grippe espagnole - 1

Soldats de Fort Riley, Kansas, malades de la grippe dite « espagnole », dans un service hospitalier du Camp Funston

Bien que le vaccin ait rendu beaucoup de gens malades, il n’a tué que ceux qui y étaient sensibles. Ceux qui sont tombés malades et ont survécu sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont transmis la bactérie à d’autres, créant davantage de vecteurs de propagation, lesquels se sont propagé à d’autres personnes en tuant les personnes qui y étaient vulnérables. Et le cycle s’est répété au-delà des conditions d’insalubrité qui prévalaient en temps de guerre, et les millions de soldats sur lesquels faire des expériences n’étaient plus là.

Le bilan pour les troupes américaines fut énorme et il est bien documenté. Le Dr Carol Byerly décrit comment la « grippe » s’est propagée comme une traînée de poudre dans l’armée américaine — Substituez les termes de « grippe » ou de « virus » utilisés par le Dr Byerly par celui de « bactérie » :

[…] Quatorze des plus grands camps d’entraînement avaient signalé des épidémies de grippe en mars, avril ou mai, et certains des soldats infectés avaient transporté le virus avec eux à bord de navires à destination de la France…

Lorsque les soldats dans les tranchées sont tombés malades, les militaires les ont évacués des lignes de front et les ont remplacés par des hommes en bonne santé.

Ce processus a continuellement mis le virus en contact avec de nouveaux hôtes — de jeunes soldats en bonne santé dans lesquels il pouvait s’adapter, se reproduire et devenir extrêmement virulent sans danger d’épuisement.

[…] Avant qu’une interdiction de voyager puisse être imposée, un contingent de troupes de remplacement a quitté le Camp Devens près de Boston pour le Camp Upton à Long Island, qui était le point d’embarquement de l’armée pour la France, et a emporté la grippe avec lui.

Les médecins d’Upton ont déclaré qu’elle était arrivée « brusquement » le 13 septembre 1918, avec 38 admissions à l’hôpital, suivies de 86 le lendemain, et de 193 le jour suivant.

Les admissions à l’hôpital ont atteint un sommet le 4 octobre avec 483 personnes et, en quarante jours, Camp Upton a envoyé 6 131 hommes à l’hôpital pour cause de grippe. Certains ont développé une pneumonie si rapidement que les médecins l’ont diagnostiquée simplement en observant le patient plutôt qu’en écoutant ses poumons… (7)

Les États-Unis n’étaient pas le seul pays à posséder le vaccin bactérien expérimental de l’Institut Rockefeller.

Un rapport de 1919 de l’Institut indique qu’il « convient de mentionner qu’avant l’entrée en guerre des États-Unis (en avril 1917), l’Institut avait repris la préparation de sérum anti-méningococcique, afin de répondre aux demandes de l’Angleterre, de la France, de la Belgique, de l’Italie et d’autres pays. »

Le même rapport indique que « Afin de répondre à la demande soudainement accrue de sérums curatifs élaborés à l’Institut, une écurie spécialement dédiée aux chevaux fut rapidement construite… » (8)

Qu’est-ce qui pourrait donc mal tourner dans le fait qu’un sérum anti-méningococcique expérimental soit fabriqué à partir de chevaux et injecté à des soldats sur le point d’être soumis aux conditions de vie exiguës et insalubres de la guerre ?

Ce sérum bactérien fabriqué à l’Institut Rockefeller, injecté aux soldats américains et distribué dans de nombreux autres pays, est-il responsable des cinquante à cent millions de personnes tuées par des infections pulmonaires bactériennes en 1918-1919 ?

L’Institut affirme l’avoir distribué pendant la Première Guerre mondiale en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays. On n’en sait pas assez sur la façon dont ces pays ont mené leurs propres expérimentations sur leurs soldats.

J’espère que des scientifiques indépendants porteront un regard honnête sur ces questions.

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Je ne crois pas que quiconque ait participé à ces expériences vaccinales ait tenté de nuire à qui que ce soit. Certains verront le nom Rockefeller et crieront « Illuminati ! » ou « Réduction de la population ! ».

Je ne crois pas que c’est ce qui s’est passé. Je crois que l’orgueil médical standard est responsable — les médecins « se prennent pour Dieu » et pensent qu’ils peuvent apprivoiser la Nature sans créer de problèmes inattendus.

En ce qui concerne l’orgueil médical, je ne pense pas que la situation ait changé de manière significative au cours des cent dernières années.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

L’industrie des vaccins est toujours à la recherche de sujets humains. Elle a le plus de succès lorsqu’elle parvient à trouver des populations qui ne sont pas en mesure de refuser.

Les soldats (9), les nourrissons, les handicapés, les prisonniers, les habitants des pays en voie de développement — tous ceux qui ne sont pas en mesure de refuser.

L’expérimentation de vaccins sur les populations vulnérables n’est pas chose du passé. Regardez ce clip vidéo du Dr Stanley Plotkin où il décrit l’utilisation de vaccins expérimentaux sur les orphelins, les retardés mentaux, les prisonniers et les personnes sous domination coloniale. La déposition a eu lieu en janvier 2018. L’orgueil de la communauté médicale est le même, voire pire, qu’il y a cent ans.

Voici ce que le Dr Plotkin admet avoir écrit :

La question est de savoir si nous devons faire des expériences sur des adultes pleinement fonctionnels et sur des enfants qui sont potentiellement des contributeurs à la société ou si nous devons faire des études initiales sur des enfants et des adultes qui sont humains dans leur forme mais pas dans leur potentiel social.


Veuillez regarder l’effrayant clip vidéo du Dr Stanley Plotkin témoignant sous serment des expériences menées par l’industrie pharmaceutique sur des patients inconscients des enjeux parce que non informés.

 


En partie parce que la communauté mondiale est bien consciente de l’orgueil médical et du piètre bilan de l’éthique médicale, la Déclaration universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme a élaboré des normes internationales concernant le droit au consentement éclairé pour les procédures médicales préventives comme la vaccination.

La communauté internationale est bien consciente que l’industrie pharmaceutique commet des erreurs et est toujours à l’affût de sujets humains à tester. La Déclaration stipule que les individus ont le droit de consentir à toute intervention médicale préventive telle que la vaccination.

Article 3 — Dignité humaine et droits de l’homme

I. La dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés.

II. Les intérêts et le bien-être de l’individu devraient l’emporter sur le seul intérêt de la science ou de la société.

Article 6 – Consentement

I. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations suffisantes. Le cas échéant, le consentement devrait être exprès et la personne concernée peut le retirer à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice. (11)

L’eau propre, l’assainissement, les toilettes à chasse d’eau, les aliments réfrigérés et les régimes alimentaires sains ont fait et font encore beaucoup plus pour protéger l’humanité des maladies infectieuses que n’importe quel programme de vaccination. Les médecins et l’industrie des vaccins ont usurpé le crédit qui revient de droit aux plombiers, aux électriciens, aux mineurs urbains, aux ingénieurs et aux urbanistes.

Pour ces raisons, les décideurs politiques à tous les niveaux du gouvernement devraient protéger les droits de l’homme et les libertés individuelles des individus de se soustraire des programmes de vaccination par le biais d’exemptions. L’orgueil de la communauté médicale ne disparaîtra jamais. Les décideurs politiques doivent savoir que les vaccins, comme toutes les interventions médicales, ne sont pas infaillibles. Les vaccins ne sont pas magiques. Nous avons tous une sensibilité différente aux maladies. Les êtres humains ne répondent pas à une approche bonne pour tous et ont des besoins qui sont spécifiques à chacun.

En 1918-1919, l’industrie du vaccin a fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux.

En 2018, l’industrie du vaccin expérimente tous les jours sur des nourrissons. Le calendrier vaccinal n’a jamais été testé tel qu’il est administré [dans le temps et par rapport à l’accumulation des injections – NdT]. Les résultats de l’expérience sont toutefois connus : un enfant américain sur sept, entièrement vacciné, suit une forme ou une autre d’éducation spécialisée et plus de 50 % d’entre eux souffrent d’une maladie chronique. (12)

En 1918-1919, aucun suivi du ou des risques n’a été effectué après les vaccinations.

En 2018, il n’y a pratiquement pas de suivi du ou des risques après l’administration d’un vaccin.

Qui exactement vous a administré ce vaccin contre la grippe à Rite Aid [chaîne de pharmacies américaine – NdT] ? Avez-vous le numéro de portable de l’employé du magasin si quelque chose se passe mal ?

En 1918-1919, le fabricant n’était pas responsable des lésions ou des décès causés par les vaccins.

En 2018, aucune responsabilité n’est prévue pour les fabricants de vaccins en cas de lésions ou de décès causés par des vaccins, ce qui fut officialisé en 1986. (13)

En 1918-1919, aucune enquête indépendante n’a été menée pour contester l’histoire officielle selon laquelle la « grippe espagnole » était une mystérieuse maladie tombée du ciel. Je soupçonne que beaucoup de personnes de l’Institut Rockefeller savaient ce qu’il en était, et que beaucoup de médecins parmi ceux qui ont administré les vaccins aux troupes le savaient aussi, mais ces personnes sont mortes depuis longtemps.

En 2018, l’industrie pharmaceutique est le plus grand donateur des hommes politiques lors des campagnes électorales et le plus grand annonceur dans toutes les formes de médias, donc peu de choses ont changé en cent ans.

Cette histoire sera probablement ignorée par les grands médias parce que leurs salaires sont payés par la publicité pharmaceutique.

La prochaine fois que vous entendrez quelqu’un dire « les vaccins sauvent des vies », n’oubliez pas que la véritable histoire du rapport coût/bénéfice des vaccins est beaucoup plus compliquée que leur slogan en trois mots. N’oubliez pas non plus que les vaccins ont peut-être tué cinquante à cent millions de personnes en 1918-1919. Si c’est vrai, ces coûts ont largement dépassé tout bénéfice, surtout si l’on considère que les plombiers, les électriciens, les mineurs urbains et les ingénieurs ont fait, et continuent de faire, le vrai travail qui réduit la mortalité due aux maladies.

Les vaccins ne sont pas magiques. Les droits de l’homme et la bioéthique sont d’une importance capitale. Les décideurs politiques doivent comprendre l’histoire de l’orgueil médical et protéger les droits humains individuels et parentaux tels qu’ils sont décrits dans la Déclaration universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme.

Kevin Barry

Dr. Gary G. Kohls, MD


Il appartient à chacun de se forger sa propre opinion

Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Rockefeller

https://en.wikipedia.org/wiki/Rockefeller_University

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/14/8/07-1313_article

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2862337/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2126288/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2126288/pdf/449.pdf

https://www.freedomcenterdc.com/the-truth-about-the-spanish-flu-of-1918/

https://www.pbs.org/wgbh/americanexperience/features/influenza-first-wave/

https://www.disabilityscoop.com/2016/03/14/cdc-disability-prevalence/22034/

https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/meningitis/symptoms-causes/syc-20350508

https://www.sott.net/article/434959-Did-psychopath-Rockefeller-create-the-Spanish-Flu-pandemic-of-1918

https://www.fort-russ.com/2020/05/did-psychopath-rockefeller-create-the-spanish-flu-pandemic-of-1918/

https://fr.sott.net/article/35731-Le-psychopathe-Rockefeller-est-il-a-l-origine-de-la-pandemie-de-grippe-espagnole-de-1918

https://fr.sott.net/article/35505-La-Fondation-Rockefeller-et-le-programme-international-pour-la-sante-ou-l-ancetre-des-fondements-de-l-OMS

Article :

Traduction : Sott.net

À propos de l’auteur :

Kevin Barry est le président de First Freedoms, Inc. a 501.c.3. Il est un ancien procureur fédéral, un représentant au siège des Nations Unies à New York et l’auteur de Vaccine Whistleblower : Exposing Autism Research Fraud at the CDC [« Lanceur d’alerte en matière de vaccins – Démasquer la fraude du CDC dans le domaine de la recherche sur l’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]

Références :

[1]. Deaths from Bacterial Pneumonia during 1918-19 Influenza Pandemic – John F. Brundage* and G. Dennis Shanks† – Author affiliations: *Armed Forces Health Surveillance Center, Silver Spring, Maryland, USA; †Australian Army Malaria Institute, Enoggera, Queensland, Australia

[2]. World Health Organization: Unsafe drinking water, sanitation and waste management

[3]. J Infect Dis. 2008 Oct 1; 198(7): 962-970 – « Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness» – David M. Morens, Jeffery K. Taubenberger, and Anthony S. Fauci

[4]. PDF of Fort Riley Study(1918)

[5]. American Experience, « The First Wave », PBS

[6]. Mayo Clinic: Meningitis

[7]. Public Health Rep. 2010; 125(Suppl 3): 82-91 – « The U.S. Military and the Influenza Pandemic of 1918-1919» – Carol R. Byerly, PhD

[8]. Rockefeller Institute pamphlet PDF(1919)

[9]. « Is Military Research Hazardous to Veterans’ Health? Lessons Spanning Half a Century, A Staff Report Prepared for the Committee on Veterans’ Affairs» – United States Senate, December 1994

[10]. Stanley Plotkin: vaccine experiments on orphans, the mentally retarded, and others(January 2018)

[11]. Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme(19 octobre 2005)

[12]. CDC Offers New Stats On Disability Prevalence

[13]. 1986 Vaccine Injury Compensation Act

Vidéo :

[1] Vaccins – Dr. Stanley Plotkin : Déposition sous serment sur leurs sordides compositions – Mr Aphadolie / YouTube

Source

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7 avril 2024 7 07 /04 /avril /2024 17:58

vaccin DTC :  diphtérie, coqueluche, tétanos

 

Il a oeuvré en Afrique mais aussi en Inde tant et si bien qu'il est persona non grata dans certains pays, dans d'autres il est saisissable immédiatement pour crime. Voir dossier Fondation Bill et Mélinda Gates.

 

Henry

Bill Gates a tué « des millions d’enfants »en Afrique  avec le vaccin DTC, selon une étude du gouvernement danois

Bill Gates est responsable de la mort de centaines de millions de jeunes filles africaines, selon les conclusions d’une enquête du gouvernement danois qui allègue que le milliardaire mondialiste a détruit leur santé avec de dangereux vaccins DTC.

 

Bill Gates a demandé au gouvernement danois de soutenir la vaccination DTC de 161 millions d'enfants africains. Comme l'explique Robert F. Kennedy, les Danois étaient méfiants en raison de la mauvaise réputation du vaccin à cellules entières contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC), interdit en Europe et aux États-Unis, car il provoquait de graves lésions cérébrales et tuait une personne sur chaque. 300 enfants.

 

Cependant, Gates était responsable du maintien en vie du vaccin DTC en Afrique, et grâce à ses efforts, le vaccin a été administré à 161 millions d’enfants africains même après son interdiction dans les pays occidentaux pour avoir provoqué une mort massive.

 

Gates a déclaré au gouvernement danois que le vaccin avait sauvé 30 millions de vies en Afrique, le gouvernement danois a donc demandé les données, dont Gates n'avait aucune.

Le gouvernement danois a donc envoyé des chercheurs en Afrique et a mené ses propres études, enquêtant sur 30 ans de données sur le vaccin DTC.

Les enquêteurs avouent avoir été choqués par ce qu’ils ont découvert.

Les jeunes filles ayant reçu une injection du vaccin DTC de Gates mouraient à un taux 10 fois supérieur à celui de celles qui n'étaient pas vaccinées. Montre:

 

speech de Robert F. Kennedy junior ICI

 

Ces filles étaient protégées contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos, mais elles mouraient de causes que personne n'avait jamais associées au vaccin.

 

«Ils mouraient d'anémie, de paludisme, de maladie pulmonaire, de maladie respiratoire et de pneumonie», explique Robert F. Kennedy.

Bref, leur système immunitaire était complètement détruit. Ils étaient incapables de se défendre contre d’autres maladies mineures.

"Pendant trente ans, personne n'a remarqué que c'étaient les filles vaccinées, et non les filles non vaccinées, qui mouraient", a déclaré Kennedy.

 

Le professeur Christine Stabell Benn, l'un des chercheurs danois impliqués dans l'enquête, a remercié Robert F. Kennedy d'avoir partagé l'histoire du vaccin DTC en Afrique.

Le professeur Christine Stabell Benn donne une conférence TED à Copenhague l'année dernière.

Le professeur Benn s'est adressé à LinkedIn pour expliquer comment l'étude est parvenue à ses conclusions :

« De nombreuses personnes m'ont alerté sur le fait que Robert F. Kennedy Jr. avait mentionné les études de notre groupe sur le vaccin à cellules entières contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) utilisé en Afrique. Ils m'ont demandé si l'histoire était vraie. Permettez-moi de présenter l’histoire de notre point de vue. En bref, certains détails sont erronés, mais le message global – selon lequel nous avons découvert un signal de sécurité sérieux concernant le vaccin DTC pour les femmes – est correct.

« L’analyse a montré que l’introduction du vaccin DTC en Guinée-Bissau était associée à une multiplication par 2 de la mortalité globale. Chez les filles, l’estimation était une multiplication par 2,60 (IC à 95 % = 1,57–4,32) de la mortalité. Il convient de noter que ces études ont été publiées après l’examen de l’OMS. S'ils avaient été inclus dans l'étude de l'OMS, l'effet négatif du vaccin DTC aurait été plus fort.

« En 2020, nous avons revu l'ensemble des données, dans le cadre d'une revue majeure des effets non spécifiques . En incluant toutes les études avec un suivi prospectif, ainsi que les nouvelles études, pour un total de 17 études, le fait d'être vacciné contre le DTC par rapport au fait de ne pas être vacciné contre le DTC était associé à une mortalité 2,07 (IC à 95 % = 1,60-2,67) fois plus élevée. L'estimation était de 2,54 (1,68-3,86) chez les femmes. Parmi les enfants vaccinés par le DTC, les filles présentaient une mortalité presque 50 % plus élevée que les garçons (1,47 (1,18-1,84)). Une relation dose-réponse a été observée, le rapport de mortalité femmes-hommes augmentant avec chaque dose supplémentaire de vaccin DTC.

« La conclusion est très claire : le vaccin DTC à cellules entières utilisé dans les pays à faible revenu est associé à une mortalité accrue chez les femmes. Cette observation n'a pas été contredite par de bonnes études prospectives . Ce qui reste flou, c’est pourquoi l’OMS n’agit pas. Par conséquent, nous sommes heureux que Robert F. Kennedy Jr partage l’histoire du vaccin DTC, même s’il s’est trompé sur certains détails.

 

Baxter Dmitri
 
 
Baxter Dmitry est écrivain pour The People's Voice. Il couvre la politique, les affaires et le divertissement. Dire la vérité au pouvoir depuis qu'il a appris à parler, Baxter a voyagé dans plus de 80 pays et a remporté des débats dans chacun d'entre eux. Vivre sans peur.
Courriel : baxter@thepeoplesvoice.tv
 

 

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30 mars 2024 6 30 /03 /mars /2024 19:32

La Fondation Bill & Melinda Gates

La Fondation Gates a donné 750 millions de dollars US pour fonder Gavi en 1999

C'est un partenaire essentiel de Gavi en matière de façonnage du marché des vaccins

 

______________________________________

 

Image à la une : Bill Gates, fondateur de Microsoft, et Adar Poonawalla, PDG du Serum Institute. Source : Menthe

 

Le Serum Institute of India, déjà le plus grand fabricant de vaccins au monde, devrait lancer un nouveau vaccin contre le paludisme d’ici juin et jouer un rôle crucial dans la réponse aux futures épidémies d’ici 100 jours. Avant la pandémie de covid, les vaccins de l'institut atteignaient près des deux tiers des enfants dans le monde. Avec le vaccin contre le paludisme, Serum veut se rendre indispensable au niveau mondial.

La production d'injections de covid, y compris le vaccin Oxford/AstraZeneca , a propulsé Serum à l'avant-garde de la fourniture de vaccins au centre COVAX pour les pays à revenu faible et intermédiaire.

L'institut vise à consolider sa réputation de fabricant de vaccins pour les plus pauvres du monde. Elle s'apprête à distribuer 25 millions de doses de son vaccin contre le paludisme, développé avec l'université d'Oxford, en Afrique subsaharienne.

Serum s'est également associé à la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (« CEPI ») pour fournir des vaccins d'urgence lors de futures pandémies. L'entreprise s'efforce d'améliorer sa préparation à la pandémie et s'est engagée à maintenir ses installations de production en veille grâce à son partenariat avec le CEPI.

Il travaille également sur un pipeline de vaccins, notamment un vaccin contre le VPH et un vaccin contre la dengue, et étudie la prévention de la tuberculose.

GAVI, de Bill Gates, souhaite que les vaccins soient fabriqués localement en Afrique, dans des installations développées à l'aide du nouvel instrument de financement de GAVI d'un milliard de dollars, appelé African Vaccine Manufacturing Accelerator, lancé en décembre 2023. Cependant, l'Institut indien du sérum s'y oppose.

 

GAVI, COVAX et CEPI de Bill Gates

GAVI, initialement connue sous le nom d'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, est un partenariat public-privé créé en 2000. Le financement de démarrage nécessaire au lancement de GAVI a été fourni par Bill Gates. Au cours de la période 2021-2025 , la Fondation Bill & Melinda Gates est le quatrième donateur de GAVI, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Ses principaux partenaires sont répertoriés comme partenaires principaux, l'Organisation mondiale de la santé, l'UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill & Melinda Gates.

GAVI a lancé le mécanisme d'accès mondial aux vaccins contre la Covid-19 (« COVAX ») en juin 2020. Au 19 octobre 2020, 184 pays avaient rejoint COVAX . De 2020 à 2023, il a été codirigé par GAVI, l'Alliance du Vaccin, le CEPI, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'UNICEF.  L’OMS le décrit ainsi : « COVAX était un effort multilatéral historique » qui s’est achevé le 31 décembre 2023.

Le CEPI est un partenariat public-privé mondial lancé après la réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest de 2014 à 2016. L' idée a été lancée dans un article publié en 2015 dans le New England Journal of Medicine , co-écrit par Jeremy Farrar, directeur du Wellcome Trust. 

Il a été fondé par les gouvernements de Norvège et d'Inde, la Fondation Bill & Melinda Gates, Wellcome et le Forum économique mondial (« WEF ») et lancé lors de la réunion annuelle du WEF à Davos, en Suisse, en 2017, grâce à un investissement initial des gouvernements de L'Allemagne, le Japon et la Norvège, ainsi que la Fondation Bill & Melinda Gates et le Wellcome Trust.

Un communiqué de presse annonçant son lancement déclarait : « Le CEPI est également soutenu par de grandes sociétés pharmaceutiques, l’Organisation mondiale de la santé et Médecins Sans Frontières, ainsi que par des organismes philanthropiques et des groupes universitaires de recherche sur les vaccins de premier plan. »

Notamment, le CEPI qualifie ses partisans d’« investisseurs » et non de « bailleurs de fonds » ou de « donateurs ». En décembre 2023, la Fondation Bill & Melinda Gates et Wellcome Trust sont les deux plus grands investisseurs privés . Ces investissements représentent ensemble le quatrième plus grand investisseur, après l'Allemagne, la Norvège et le Royaume-Uni.

Il existe évidemment un « donateur » ou investisseur privé et influent commun aux trois organisations GAVI, COVAX et CEPI : Bill et Melinda Gates.

Lectures complémentaires :

GAVI, l'OMS et des organisations associées financent le développement local de vaccins dans le but de tromper les populations des pays en développement en leur faisant croire que les vaccins qui leur sont imposés sont les leurs.

« GAVI prévoit de consacrer un milliard de dollars à la production locale de vaccins, voir ICI. Mais certains estiment que la production locale est une mauvaise idée. Moi aussi, car il s'agit simplement d'une arnaque ; vous ne pouvez pas créer une usine de vaccins sans une infrastructure massive pour la soutenir et un personnel bien formé et compétent pour la gérer et résoudre les problèmes à mesure qu’ils surviennent. Le Dr Meryl Nass a écrit dans un article de Substack .  

Le Dr Nass a ajouté : « Le Serum Institute de l'Inde est la plus grande usine de fabrication de vaccins au monde et ils reculent, bien que pour des raisons commerciales, expliquant que la production locale coûtera en réalité plus cher.

Le Dr Nass faisait référence à un article mis en évidence dans un fil de presse daté du 29 mars 2024 par Helen Murphy, rédactrice en chef de Devex. « Une leçon que les dirigeants du Serum Institute ont tirée de l'histoire de l'entreprise indienne est leur engagement en faveur des économies d'échelle – et cela les a amenés à résister à la demande croissante de production locale de vaccins », a-t-elle écrit.

Devex rapporte « depuis les lignes de front de la lutte pour atteindre les ODD ». Les ODD sont les 17 objectifs de développement durable de l'Agenda 2030 des Nations Unies .

Le média se vante : « Parmi nos lecteurs, nous comptons des dirigeants si importants qu’un seul nom suffit, de Tedros à Kristalina en passant par Melinda. Nous donnons aux membres du Parlement, du Congrès, des agences de développement, des philanthropes, des chercheurs, des banques multilatérales et des ONG les informations dont ils ont besoin pour faire leur travail.

Prenant leurs propres mots au pied de la lettre, Devex est un média pour les mondialistes et illustre le partenariat public-privé mondial .

(Connexe : Le groupe Carlyle : un exemple du fonctionnement du partenariat public-privé mondial )

Commentant l'article de Devex « Local ne signifie pas faible coût : Serum Institute partage des plans de mise à l'échelle mondiale », le Dr Nass a déclaré (c'est moi qui souligne) :

 

 

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4 janvier 2024 4 04 /01 /janvier /2024 20:55
Bill Gates mècéne, humaniste, du moins voilà l'image que l'on nous sert, mais Bill Gates pédophile, amateur de jeunes filles, grand vaccinateur, manipulateur, dont le but est de réduire la population mondiale.
Voyez le dossier fondation Bill et Mélida Gates en lien sur la page !
 
Henry
 
 

Suite à l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, une série de révélations ont émergé sur le lien entre Bill Gates et Jeffrey Epstein.

Cependant, il existe des preuves solides que le lien entre Gates et Epstein existait des décennies avant 2011 et qu’il est toujours censuré par les grands médias.

Non pas pour protéger Bill Gates, mais pour protéger Microsoft.

 

 

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Les dossiers Pedos : une vérité choquante et horrible sur Bill Gates, Jeffrey Epstein et Microsoft

par l'Exposé | 3 janvier 2024

Suite à l'annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, une série de révélations ont émergé sur le lien entre Bill Gates et Jeffrey Epstein.

Cependant, il existe des preuves solides que le lien entre Gates et Epstein existait des décennies avant 2011 et qu’il est toujours censuré par les grands médias.

Non pas pour protéger Bill Gates, mais pour protéger Microsoft.

Début mai 2021, l'annonce du divorce de Bill et Melinda Gates après vingt-sept ans de mariage a choqué à la fois ceux qui vantent le couple de puissance « philanthropique » et ceux qui le détestent.

Moins d'une semaine après la première annonce du divorce, le 7 mai 2021, le Daily Beast a rapporté que Melinda Gates aurait été « profondément troublée » par la relation de Bill Gates avec le trafiquant sexuel d'enfants et agent de renseignement Jeffrey Epstein. Le rapport suggère que Melinda était l'une des principales raisons de la décision de son mari de se distancier d'Epstein vers 2014, car elle se sentait mal à l'aise avec Epstein après leur rencontre en 2013. Cette rencontre inédite a eu lieu dans le manoir d'Epstein, dans l'Upper East Side de New York.

Daily Beast a également révélé que les détails du divorce de Gates avaient déjà été décidés plusieurs semaines avant l'annonce officielle. Puis le 9 mai, le Wall Street Journal a publié un rapport suggérant que les projets de divorce remontaient encore plus loin et que Melinda avait consulté des avocats spécialisés en divorce en 2019. Apparemment, ce conseil est intervenu après que les détails de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein aient attiré l'attention des grands médias, notamment du New York Times .

Alors que les grands médias semblent s'accorder sur le fait que Jeffrey Epstein a probablement été un facteur dans la rupture des Gates, ces mêmes médias refusent de rapporter la véritable étendue de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein. En fait, le courant dominant affirme que la relation entre Gates et Epstein a commencé en 2011, même s’il existe des preuves que leur relation a commencé des décennies plus tôt.

Ce refus général de rendre compte honnêtement de la relation entre Gates et Epstein est probablement dû au rôle prééminent de Gates dans les événements actuels, à la fois en termes de politique de santé mondiale liée au COVID-19 et à son rôle de sponsor et de bailleur de fonds majeur. des « solutions » technocratiques à une série de problèmes sociaux. Il est cependant plus probable que la nature de la relation entre Gates et Epstein avant 2011 soit encore plus scandaleuse que ce qui a été révélé plus tard, et qu'elle ait des implications majeures non seulement pour Gates, mais aussi pour Microsoft en tant qu'entreprise et pour certains de ses anciens dirigeants. les hauts dirigeants auraient pu.

Cette dissimulation particulière fait partie d’une tendance apparente des grands médias à ignorer l’influence évidente qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell ont exercée – et continuent sans doute d’exercer – dans la Silicon Valley. En fait, les personnes qui ont fondé des géants de la technologie comme Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon ont tous des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroitement que d’autres.

Cette enquête est une adaptation de mon prochain livre, One Nation Under Blackmail , qui sera publié au début de l'année prochaine et comprendra un examen plus large des liens d'Epstein avec la Silicon Valley, les institutions universitaires et les agences de renseignement.

 

Le mystère de l' étalon du soir

En 2001, l’article peut-être le plus important jamais écrit sur Jeffrey Epstein a été publié. L'article, qui portait principalement sur la relation de Ghislaine Maxwell et Epstein avec le prince Andrew, a été publié dans le London Evening Standard le 22 janvier 2001 . L'article, écrit par Nigel Rosser, n'a jamais été rétracté et a été publié bien avant la première arrestation d'Epstein et le début de sa notoriété publique. Cependant, il a désormais été supprimé du site Web d’Evening Standard et ne peut être trouvé que dans les bases de données de journaux professionnels. En octobre 2019, j'ai publié une version PDF de cet article et plusieurs autres articles supprimés sur Epstein. (Voir MintPress )

Les principaux messages de l'article expliquent clairement pourquoi il a été supprimé d'Internet, apparemment après la première arrestation d'Epstein en Floride. Rosser présente Epstein comme « un promoteur immobilier et financier new-yorkais extrêmement puissant », un clin d’œil au passé d’Epstein sur le marché immobilier new-yorkais. Plus loin dans l'article, il note qu'Epstein « a autrefois affirmé avoir travaillé pour la CIA, bien qu'il le nie maintenant », l'une des nombreuses raisons probables pour lesquelles l'article a été supprimé d'Internet bien avant la deuxième arrestation d'Epstein en 2019.

Une grande partie de l'article fait référence à la proximité d'Epstein et de Maxwell avec le prince Andrew et suggère que tous deux ont exercé une influence considérable sur le prince, en grande partie grâce au rôle de Maxwell en tant que « fixateur social ». On dit que Maxwell a « manipulé » le prince et que « toute l’affaire Andrew a probablement été faite pour Epstein ».

Cependant, une ligne s’impose comme le premier indice important pour démystifier les véritables origines de la relation Gates-Epstein. Peu de temps après avoir présenté Epstein dans l'article, Rosser note qu'Epstein "a gagné plusieurs millions grâce à ses relations commerciales avec Bill Gates, Donald Trump et le milliardaire de l'Ohio Leslie Wexner, dont il dirige la fondation".

Les relations de Wexner et Trump avec Epstein avant 2001 sont bien connues, remontant respectivement à 1985 et 1987. Cependant, les grands médias continuent de rapporter que Gates et Epstein se sont rencontrés pour la première fois en 2011 et refusent de donner suite aux pistes exposées par Nigel Rosser. Je suis personnellement conscient dans une certaine mesure de cette rétention d’informations, car en 2019, un journaliste de la BBC m’a demandé des détails sur cet article de l’Evening Standard de 2001 , que je lui ai fourni. À ce jour, la BBC n’a jamais rapporté le contenu de cet article. Il est à noter que la BBC reçoit depuis des années des millions de la Fondation Bill & Melinda Gates. (Voir BBC et Candide )

Non seulement l’article de Rosser n’a jamais été rétracté, mais ni Gates, Trump ni Wexner n’ont contesté les affirmations contenues dans l’article à l’époque, bien avant qu’Epstein ne devienne tristement célèbre. Le fait que Gates soit nommé aux côtés de deux proches collaborateurs connus d’Epstein – Donald Trump et Leslie Wexner – suggère également que les liens de Gates avec Epstein avant 2001 étaient suffisamment importants pour justifier sa mention aux côtés de ces deux autres hommes.

En plus de l' article de l' Evening Standard , il existe des preuves de Maria Farmer, une victime d'Epstein qui a été employée par Epstein et Maxwell de 1995 à 1996. Elle a rappelé qu'Epstein avait mentionné Bill Gates d'une manière qui suggérait une amitié étroite et lui donnait l'impression que le cofondateur de Microsoft se rendrait bientôt dans l'une des résidences d'Epstein. (Voir Le dernier vagabond américain )

 

Microsoft, McKinley et Isabel Maxwell

En plus de ces deux éléments de preuve clés, il y a aussi le fait que même avant l'article de l'Evening Standard, Gates avait un lien documenté avec une société dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell, dans laquelle Ghislaine avait un intérêt financier, ce qui est un indice pour la nature de celles évoquées par Nigel Rosser « relations d’affaires » pourrait exister. De plus, un article du Guardian de 2000 a documenté l'étrange relation de Gates avec Isabel Maxwell, liée au scandale d'espionnage du logiciel PROMIS et aux renseignements israéliens.

Les sœurs jumelles Christine et Isabel Maxwell ont fondé le groupe McKinley avec leurs maris d'alors en janvier 1992. Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la fausse société Information on Demand, que leur père Robert Maxwell utilisait pour vendre le faux logiciel PROMIS au gouvernement américain. (Voir Hangout illimité ) Après la mort de Robert Maxwell, Christine et Isabel voulaient « prendre un nouveau départ » et considéraient McKinley comme « l'opportunité de retrouver un morceau de l'héritage de leur père ». (Voir Filaire )

Le groupe McKinley n'était cependant pas seulement une entreprise d'Isabel, Christine et de leurs maris, car Ghislaine Maxwell avait également « un intérêt significatif » dans l'entreprise, selon un article du Sunday Times publié en novembre 2000. Cet article notait également que tout au long des années 1990, Ghislaine avait « discrètement construit un empire commercial aussi opaque que celui de son père » et qu'« elle est secrète au point de paranoïa et ses affaires sont profondément mystérieuses ». Pendant cette période, elle s’est décrite comme une « opératrice Internet », même si « son bureau de Manhattan refuse même de confirmer le nom ou la nature de son entreprise ».

Un autre article paru dans The Scotsman en 2001 note séparément que Ghislaine est « extrêmement secrète sur ses affaires et se décrit comme une opératrice Internet ». On ne sait pas exactement dans quelle mesure Ghislaine était réellement impliquée dans les affaires du groupe McKinley. Pendant ce temps, cependant, elle a mené une campagne de chantage sexuel pour recueillir des renseignements avec Jeffrey Epstein, et il y avait un chevauchement considérable dans leurs finances, comme l'ont noté les articles de presse de l'époque et par la suite.

McKinley a fondé ce qu'on appelle l'annuaire Internet Magellan, dont on se souvient comme « le premier site Web à publier des critiques et des évaluations détaillées de sites Web ». L'approche du « contenu à valeur ajoutée » de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, aboutissant à des « alliances significatives » avec AT&T, Time-Warner, IBM, Netcom et Microsoft Network (MSN), toutes négociées par Isabel Maxwell. L'alliance la plus importante de Microsoft avec McKinley a eu lieu fin 1995, lorsque Microsoft a annoncé que Magellan alimenterait l'option de recherche pour le service MSN de l'entreprise. (Voir CNET )

La chance de McKinley a décliné lorsque sa tentative de devenir le premier moteur de recherche à être rendu public a échoué et qu'un différend a éclaté entre Christine Maxwell et le mari d'Isabel (voir The Jerusalem Post ), ce qui a également conduit l'entreprise à la faillite, derrière d'autres. leaders du marché. (Voir The New York Times ) En conséquence, McKinley a raté la fenêtre d'une deuxième introduction en bourse et a pris encore plus de retard dans l'expansion de son modèle commercial pour inclure les revenus publicitaires. Excite, qui a ensuite été acquis par AskJeeves, a finalement acheté le groupe McKinley et Magellan en 1996 pour 1,2 million d'actions d'Excite, alors évaluées à 18 millions de dollars. (Voir SFGATE ) Apparemment, c'est Isabel Maxwell qui a rendu l'accord possible, et George Bell, alors PDG d'Excite, a affirmé qu'elle seule avait sauvé l'achat de McKinley.

Malgré la fin terne de McKinley, les jumeaux Maxwell et d'autres actionnaires de la société, dont Ghislaine Maxwell, ont non seulement reçu un paiement de plusieurs millions de dollars grâce à l'accord, mais ont également noué des liens étroits avec les gros bonnets de la Silicon Valley. On ne sait pas si l’argent que Ghislaine Maxwell a reçu de la vente a été utilisé pour poursuivre l’extorsion sexuelle qu’elle menait avec Jeffrey Epstein à l’époque.

Après la vente de McKinley/Magellan, les relations ouvertes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignement des États-Unis et d'Israël se sont considérablement accrues. Les liens d'Isabel avec Microsoft sont restés même après la vente du groupe McKinley. Elle est devenue présidente de la société technologique israélienne CommTouch, dont le financement était lié à des personnes et à des groupes impliqués dans l’affaire d’espionnage nucléaire de Jonathan Pollard. (Voir Hangout illimité ) CommTouch, un "développeur de logiciels obscur" fondé en 1991 par d'anciens officiers militaires israéliens, se concentrait sur "la vente, la maintenance et le service de produits logiciels clients de messagerie autonomes pour les ordinateurs centraux et les ordinateurs personnels". L’entreprise courtisait spécifiquement Isabel parce qu’elle était la fille du « super espion » israélien Robert Maxwell. Isabel avait les mêmes raisons de rejoindre l'entreprise, déclarant à Haaretz que diriger l'entreprise « lui donne l'opportunité de poursuivre l'engagement de son père en Israël ».

De toutes les alliances et partenariats négociés par Isabel Maxwell au cours de ses premières années chez CommTouch, ce sont ses relations avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch « sur la carte ». Cependant, les cofondateurs de Microsoft ont fait bien plus que mettre CommTouch « sur la carte », puisqu’ils sont essentiellement intervenus pour empêcher l’effondrement de l’introduction en bourse, un sort qui est arrivé peu de temps auparavant à l’ancienne société d’Isabel Maxwell, McKinley Group. En fait, CommTouch a continué à retarder son introduction en bourse jusqu'en juillet 1999, lorsqu'un investissement massif a été annoncé par des sociétés liées au cofondateur de Microsoft, Paul Allen. (Voir Bloomberg )

Les investissements d'Allen's Vulcan et Go2Net ont entraîné une montée en flèche de « l'intérêt pour la vente d'actions et pour CommTouch, un développeur de logiciels jusqu'alors inconnu », selon un rapport de Bloomberg, et ont également fait grimper le cours de l'action juste avant l'introduction en bourse. L’argent des sociétés affiliées à Allen a été spécifiquement utilisé pour « développer les ventes et le marketing et étendre la présence sur les marchés internationaux ». La décision d'Allen d'investir dans CommTouch semble étrange d'un point de vue financier, car la société n'a jamais réalisé de bénéfices et a enregistré des pertes de plus de 4 millions de dollars rien que l'année précédente. Cependant, grâce à l'investissement opportun d'Allen et à son apparente coordination avec les retards répétés de l'introduction en bourse de la société, CommTouch a été évalué à plus de 230 millions de dollars lors de l'introduction en bourse, contre une valorisation de 150 millions de dollars quelques semaines seulement avant l'investissement d'Allen. (Voir le New York Times )

 

Paul Allen et Nicole Junkermann au Cinéma contre le SIDA à Cannes, France. Source : Médias vocaux

 

On ne sait pas exactement pourquoi Paul Allen a participé à l'introduction en bourse de CommTouch et ce qu'il attendait de son investissement. Cependant, il convient de noter qu'Allen est devenu plus tard membre d'une communauté en ligne d'élite appelée A Small World, fondée en 2004 (voir Reuters ), dont les membres comprenaient également Jeffrey Epstein et des personnalités liées à Epstein telles que Lynn Forester de Rothschild et Naomi Campbell, ainsi que Petrina Khashoggi, la fille d'Adnan Khashoggi, ancien client d'Epstein, ont compté. Le plus grand actionnaire de A Small World était Harvey Weinstein, le magnat des médias aujourd'hui en disgrâce, qui était un associé d'Epstein et a depuis été reconnu coupable de viol et d'abus sexuels. À peu près à la même époque, Paul Allen a été photographié avec Nicole Junkermann, associée d'Epstein, elle-même agent des services secrets. (Voir MARAIS )

Moins de trois mois après l'investissement d'Allen dans CommTouch en octobre 1999, la société a annoncé avoir conclu un accord important avec Microsoft en vertu duquel « Microsoft utilisera le service CommTouch Custom MailTM pour fournir des solutions de messagerie Web à certains partenaires MSN ». et les marchés internationaux." (Voir Yahoo! ) De plus, CommTouch fournira à ses clients le service MSN Messenger et Microsoft Passport tout en élargissant son expertise Windows NT en prenant en charge les futures technologies de messagerie MSN", indique l'accord. « Nous sommes impatients d'élargir davantage notre relation avec Microsoft en intégrant des produits Microsoft de pointe supplémentaires », a déclaré Gideon Mantel de CommTouch en annonçant publiquement l'accord.

En décembre 1999 , Microsoft a annoncé avoir investi 20 millions de dollars dans CommTouch en achetant 4,7 % des actions de la société. L'annonce a fait grimper le cours de l'action de CommTouch de 11,63 $ à 49,13 $ en quelques heures. Une partie de cet accord a été conclue par Richard Sorkin, récemment nommé directeur de CommTouch. Sorkin venait de devenir multimillionnaire en vendant Zip2, la première société d'Elon Musk, dont il avait été PDG.

De plus, Bill Gates, alors patron de Microsoft, semble avoir personnellement investi dans CommTouch à la demande d'Isabel Maxwell. Dans un article publié dans le Guardian en octobre 2000 , Isabel Maxwell plaisante en disant qu'à un moment donné, elle a persuadé Bill Gates de faire un investissement personnel dans CommTouch.

L' article du Guardian dit étrangement à propos d'Isabel Maxwell et de Bill Gates :

 

"Avec un faux accent du Sud, [Isabel] ronronne : 'Il doit dépenser 375 millions de dollars par an pour conserver son statut d'exonéré d'impôt, pourquoi ne devrais-je pas l'aider.' Elle explose de rire.

 

Étant donné que des individus aussi riches que Gates ne peuvent pas bénéficier d'un « statut d'exonération fiscale » et que cet article a été publié peu de temps après la création de la Fondation Bill & Melinda Gates, les déclarations d'Isabel suggèrent que c'est le Bill & Melinda Gates Foundation Trust qui gère la Fondation. la dotation de la fondation, qui a réalisé cet investissement important dans CommTouch.

En outre, il convient de noter la manière étrange dont Isabel décrit son interaction avec Gates (« purement », parlant avec un faux accent du Sud) et décrit ses interactions avec lui d'une manière qui n'apparaît dans aucune de ses nombreuses autres interviews. Une variété de sujets peuvent être trouvés. Ce comportement étrange pourrait être lié aux interactions précédentes d'Isabel avec Gates et/ou à la relation mystérieuse entre Gates et Epstein pendant cette période.

 

Isabel Maxwell en tant que présidente de CommTouch

 

Après 2000, les activités et l'influence de CommTouch ont connu une croissance rapide. Isabel Maxwell a ensuite imputé la fortune de l'entreprise et le succès de ses efforts pour pénétrer le marché américain aux investissements de Microsoft, menés par Gates et Paul Allen. Maxwell, cité dans le livre Fastalliances de 2002 , explique que Microsoft considérait CommTouch comme un « réseau de distribution » important, ajoutant : « L'investissement de Microsoft en nous nous a mis sur la carte. Cela nous a donné une crédibilité instantanée et a validé notre technologie et nos services sur le marché. » À cette époque, les liens de Microsoft avec CommTouch s'étaient approfondis grâce à de nouveaux partenariats, notamment l'hébergement de Microsoft Exchange par CommTouch .

Même si Isabel Maxwell a réussi à obtenir des investissements et des alliances lucratifs pour CommTouch et à garantir que les produits de l'entreprise étaient intégrés dans les composants logiciels et matériels clés fabriqués et vendus par Microsoft et d'autres géants de la technologie, elle n'a pas été en mesure d'améliorer la situation financière désastreuse de l'entreprise. En 1998, CommTouch a enregistré une perte de 4,4 millions de dollars (voir Bloomberg ) et des pertes similaires se sont poursuivies jusque dans les années 2000, avec des pertes nettes totalisant 24 millions de dollars en 2000 (un an seulement après les investissements importants de Microsoft, Paul Allen et Gates). (Voir The Marker ) Les pertes se sont poursuivies même après qu'Isabel ait officiellement quitté l'entreprise et soit devenue présidente émérite en 2001. En 2006, l'entreprise avait une dette de plus de 170 millions de dollars. Isabel Maxwell a quitté son poste chez CommTouch en 2001, mais a conservé une quantité importante d'actions CommTouch pendant des années, évaluées à l'époque à environ 9,5 millions de dollars. (Voir The Scotsman ) Aujourd'hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une « pionnière technologique » pour le Forum économique mondial. (Voir Forum économique mondial )

 

Epstein, Edge et Nathan Myhrvold

Une autre indication d'une relation entre Epstein et Gates avant 2001 est les liens étroits d'Epstein avec Nathan Myhrvold, qui a rejoint Microsoft dans les années 1980 et est devenu le premier directeur technologique de l'entreprise en 1996. À l’époque, Myhrvold était l’un des plus proches conseillers de Gates, sinon le plus proche. Il a co-écrit le livre de Gates en 1996, The Road Ahead , dans lequel il cherchait à expliquer comment les nouvelles technologies affecteraient la vie dans les années et décennies à venir.

En décembre de la même année, où il est devenu CTO de Microsoft, Myhrvold a voyagé dans l'avion d'Epstein du Kentucky au New Jersey, puis de nouveau en janvier 1997 du New Jersey à la Floride. Les autres passagers qui accompagnaient Myhrvold sur ces vols étaient Alan Dershowitz et "GM", vraisemblablement Ghislaine Maxwell. Il est important de se rappeler que Gates avait une relation documentée avec Isabel, la sœur de Ghislaine, à cette époque.

Myhrvold a également voyagé avec Epstein en Russie dans les années 1990 aux côtés d'Esther Dyson, une consultante en technologie numérique qui a été qualifiée de "femme la plus influente de tout l'informatique". (Voir BBC ) Elle entretient actuellement des liens étroits avec Google et la société de tests ADN 23andme, est membre du Forum économique mondial et contribue à son ordre du jour. (Voir Forum économique mondial ) Dyson a déclaré plus tard que la rencontre avec Epstein avait été planifiée par Myhrvold. D'après les informations publiées sur les comptes de réseaux sociaux de Dyson, la réunion semble avoir eu lieu en 1998. Une photo montre Dyson et Epstein avec un horodatage indiquant le 28 avril 1998, posant avec Pavel Oleynikov, qui semble avoir été un employé du Centre nucléaire fédéral russe. (Voir The Nonprolifération Review ) Sur la photo, ils se tiennent devant la maison du regretté scientifique nucléaire et dissident soviétique Andrei Sakharov, qui aurait des liens avec les services secrets américains. Sakharov et son épouse, Jelena Bonner, étaient des partisans des causes sionistes. (Voir JTA et Israel National News )

Les photos ont été prises à Sarov, où se trouve le Centre nucléaire fédéral russe. Le même jour, une autre photo a été prise montrant Epstein dans une salle de classe pleine d'adolescents, apparemment également à Sarov, d'après l'horodatage.

 

 

 

 

 

Une autre image de Dyson, sans horodatage visible mais avec une légende indiquant que la photo a été prise "chez Microsoft Russie à Moscou" en avril 1998, montre Nathan Myhrvold. La légende de Dyson poursuit : "C'était le début d'un voyage de trois semaines au cours duquel Nathan et un certain nombre de compagnons (dont un garde du corps) ont exploré l'état de la science post-soviétique." Epstein semble être l'un des "suiveurs", si vous considérez que les photos, les données et le but décrit du voyage sont consultés.

Myhrvold et Epstein avaient apparemment plus en commun qu’un simple intérêt pour les progrès scientifiques russes. Lorsque Myhrvold a quitté Microsoft pour cofonder Intellectual Ventures, Vanity Fair a rapporté qu'il avait rencontré Epstein au bureau de l'entreprise accompagné de « jeunes filles » qui semblaient être des « mannequins russes ». Une source proche de Myhrvold, citée par Vanity Fair , a affirmé que Myhrvold avait ouvertement parlé d'emprunter le jet d'Epstein et de rester chez lui en Floride et à New York. Vanity Fair a également souligné que Myhrvold avait été accusé d'avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs procurés par Epstein par nul autre que le professeur de droit de Harvard, Alan Dershowitz, qui est accusé du même crime et avait déjà volé avec Myhrvold dans l'avion privé d'Epstein.

De plus, une ancienne collègue de Myhrvold chez Microsoft a développé plus tard ses propres liens avec Epstein. Linda Stone, qui a rejoint Microsoft en 1993 et ​​a travaillé directement sous Myhrvold, est finalement devenue vice-présidente de Microsoft. Elle a présenté Epstein à Joi Ito du MIT Media Lab après sa première arrestation. "Il a un passé trouble, mais Linda m'assure qu'il est formidable", a déclaré plus tard Ito dans un e-mail adressé à trois employés du MIT. (Voir le rapport du MIT ) Il existe plusieurs numéros de téléphone pour Stone dans le célèbre petit livre noir d'Epstein, et son contact d'urgence est répertorié comme étant Kelly Bovino, une ancienne mannequin et co-conspiratrice présumée d'Epstein. Après l'arrestation d'Epstein en 2019, il a été révélé qu'Epstein avait « demandé » à Bill Gates de faire un don de 2 millions de dollars au laboratoire du MIT en 2014. (Voir Business Insider ) Epstein aurait également obtenu un don de 5 millions de dollars de Leon Black pour le laboratoire. Ito a été contraint de démissionner de son poste de directeur du laboratoire peu après l'arrestation d'Epstein en 2019.

Nathan Myhrvold, Linda Stone, Joi Ito, Esther Dyson et Bill Gates, entre autres icônes de la Silicon Valley, faisaient partie de la communauté Edge Foundation . Décrit comme une organisation exclusive d'intellectuels « redéfinissant qui et ce que nous sommes », Edge a été fondée par John Brockman, un « imprésario culturel » autoproclamé et agent littéraire bien connu. Brockman est surtout connu pour ses liens étroits avec le monde de l'art à la fin des années 1960, mais ses diverses missions en tant que "consultant en gestion" auprès du Pentagone et de la Maison Blanche au cours de la même période sont moins connues. (Voir Dazed ) Edge, que le Guardian a qualifié un jour de « site Web le plus intelligent du monde », est un symposium en ligne exclusif associé à ce que Brockman appelle « la troisième culture ». Epstein semble avoir travaillé avec Brockman dès 1995, lorsqu'il a aidé à financer et à sauver un projet de livre en difficulté dirigé par Brockman.

Cependant, Edge est bien plus qu’un simple site Web. Pendant des décennies, la fondation a également joué un rôle déterminant en réunissant des dirigeants de l'industrie technologique, des scientifiques qui étaient souvent les clients de Brockman et des financiers de Wall Street lors du dîner des millionnaires, organisé pour la première fois en 1985. En 1999, cet événement a été rebaptisé Dîner des Milliardaires, et Epstein s'est étroitement impliqué dans ces affaires ainsi que dans la Fondation Edge elle-même. Epstein a été photographié assistant à plusieurs de ces dîners, tout comme Sarah Kellen, la principale « assistante » de Ghislaine Maxwell et co-conspiratrice du projet de trafic sexuel et d'extorsion dirigé par Epstein et Maxwell.

De 2001 à 2017, Epstein a financé 638 000 $ sur un total de 857 000 $ collectés par Edge. (Voir Insidehook ) Au cours de cette période, Epstein a été le seul donateur d'Edge pendant plusieurs années. Epstein a arrêté de faire des dons en 2015, qui était d'ailleurs la même année où Edge a décidé de mettre fin à sa tradition annuelle de dîner de milliardaire. De plus, le seul prix jamais décerné par Edge, le Edge of Computation Prize de 100 000 $, a été décerné au pionnier de l'informatique quantique David Deutsch en 2005 – il a été entièrement financé par Epstein. Un an avant de commencer à faire des dons importants à Edge, Epstein avait fondé la Fondation Jeffrey Epstein VI pour « financer et soutenir la recherche de pointe dans le monde entier ».

Depuis le scandale Epstein, les participants réguliers au dîner des milliardaires, parfois appelé le dîner annuel d'Edge, ont décrit l'événement comme une « campagne d'influence ». Si l’on suit l’argent, il semble qu’il s’agisse d’une opération d’influence qui a principalement profité à un homme, Jeffrey Epstein, et à son réseau. Les preuves suggèrent que Myhrvold et Gates faisaient partie de ce réseau avant même que l'implication d'Epstein dans Edge n'augmente de manière significative.

 

Une histoire de deux projets de loi

Il vaut la peine d’examiner les liens entre les efforts « philanthropiques » de Bill Gates et Bill Clinton au début des années 2000, en particulier compte tenu des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative au cours de cette période. Selon l'ancien responsable du renseignement israélien Ari Ben-Menashe, Bill Clinton était au centre du chantage sexuel d'Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par les déclarations des victimes d'Epstein et les relations intimes d'Epstein avec des personnes proches de l'ancien président. (Voir MintPress et Hangout illimité )

 

Bill Gates à la conférence de la Maison Blanche sur la nouvelle économie en 2000 - Source : LA Times

 

Malgré les tensions nées de la poursuite du monopole de Microsoft par l'administration Clinton à la fin des années 1990, les relations entre Gates et Clinton s'étaient dégelées en avril 2000, lorsque Gates a participé à la « Conférence sur la nouvelle économie » à la Maison Blanche. Outre Gates, les participants comprenaient également Lynn Forester, une proche associée d’Epstein (aujourd’hui Lady de Rothschild) et Larry Summers, alors ministre des Finances, qui a également été critiqué pour ses relations avec Epstein. Un autre participant était le chef de cabinet de la Maison Blanche, Thomas « Mack » McLarty, dont l’assistant spécial Mark Middleton a rencontré Epstein au moins trois fois à la Maison Blanche de Clinton. Middleton a été licencié après que des articles de presse ont fait surface détaillant ses liens avec des dons illégaux liés à des gouvernements étrangers en faveur de la campagne de réélection de Clinton en 1996. Une autre participante à la conférence était Janet Yellen, l'actuelle secrétaire au Trésor de Biden.

Gates a pris la parole lors d’une conférence intitulée « Combler le fossé mondial : santé, éducation et technologie ». Il a expliqué comment la cartographie du génome humain conduirait à une nouvelle ère de percées technologiques et a évoqué la nécessité de fournir un accès Internet à tous pour réduire la fracture numérique et créer la « nouvelle » économie basée sur Internet. À l’époque, Gates et le milliardaire américain des télécommunications Craig McCaw soutenaient une entreprise qui souhaitait créer un monopole mondial sur les services Internet en utilisant un réseau de satellites en orbite basse. Cette société, Teledesic, a fermé ses portes entre 2002 et 2003 et est considérée comme l'inspiratrice du Starlink d'Elon Musk. (Voir le New York Times )

Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment : la Fondation Bill & Melinda Gates a été fondée en 2000, la Fondation Clinton en 2001. Wired a décrit les deux fondations comme « les précurseurs d'une nouvelle ère de philanthropie dans laquelle « les décisions – souvent appelés investissements – sont réalisés avec la précision stratégique requise par les entreprises et les gouvernements, puis soigneusement suivis pour mesurer leur succès.

D'autres médias, comme Cependant, certaines publications, comme le Huffington Post , ont contesté le fait que ces fondations se livrent à de la « philanthropie », affirmant que cette désignation conduit à une « déconstruction rapide du terme accepté ». Le Huffington Post a en outre noté que la Clinton Global Initiative (qui fait partie de la Fondation Clinton), la Fondation Gates et plusieurs organisations similaires « vont toutes dans le sens d'un brouillage des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif ». L’étude note que ce modèle de « philanthropie » a été promu par le Forum économique mondial et le Milken Institute. Il convient également de noter que plusieurs des véhicules « philanthropiques » d’Epstein ont également été fondés au moment même où commençait cette nouvelle ère de philanthropie.

Le Milken Institute a été fondé par Michael Milken, le tristement célèbre « roi des obligations de pacotille » de Wall Street qui a été inculpé de 98 chefs d’accusation de racket et de fraude en valeurs mobilières en 1989. (Voir Los Angeles Times ) Il n'a purgé qu'une courte peine et a finalement été gracié par Donald Trump. (Voir CNN ) Milken a commis ses crimes aux côtés de Leon Black et Ron Perelman à Drexel Burnham Lambert avant son effondrement scandaleux. (Voir CNBC ) Black était étroitement associé à Epstein et a même laissé Epstein gérer sa fondation « philanthropique » personnelle pendant plusieurs années, même après la première arrestation d’Epstein. (Voir New York Post ) Perelman était un donateur majeur de Clinton, dont la collecte de fonds pour le président de l'époque en 1995 a réuni Epstein, et dont les entreprises ont offert des emplois à Webster Hubbell et Monica Lewinsky après leurs scandales respectifs dans l'administration Clinton. Comme Gates, Milken a transformé sa réputation d’entrepreneur impitoyable en celle d’un « éminent philanthrope ». Une grande partie de sa « philanthropie » profite à l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée. (Voir Middle East Eye )

Des années après avoir lancé leur fondation, Gates et Clinton ont expliqué à quel point ils étaient « depuis longtemps liés par leur mission commune » visant à normaliser ce nouveau modèle de philanthropie. Gates a parlé à Wired en 2013 de « leurs incursions dans les régions en développement » et « a cité les partenariats étroits entre leurs organisations ». Dans cette interview, Gates a révélé qu'il avait rencontré Clinton avant de devenir président : "Je l'ai connu avant qu'il ne soit président, je l'ai connu quand il était président, et je le connais maintenant qu'il n'est plus président."

Également dans cette interview, Clinton a déclaré qu'il souhaitait se concentrer sur deux choses spécifiques après avoir quitté la Maison Blanche. La première est la Clinton Health Access Initiative (CHAI), qui, dit-il, existe « en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates », et la seconde est la Clinton Global Initiative (CGI), « dans laquelle j'essaie de créer un réseau mondial de personnes faisant leur propre travail.

La Clinton Health Access Initiative a reçu son premier don de la Fondation Gates de 11 millions de dollars en 2009. (Voir Fondation Gates ) Au cours des douze dernières années, la Fondation Gates a fait don de plus de 497 millions de dollars à CHAI. CHAI a été fondée en 2002 dans le but de lutter contre le VIH/SIDA dans le monde entier grâce à des « relations gouvernementales solides » et à l’élimination des « inefficacités du marché ». Cependant, les dons importants de la Fondation Gates ont commencé peu de temps après l'expansion de CHAI dans le domaine du diagnostic et du traitement du paludisme. (Voir CHAI ) En 2011, Tachi Yamada, ancien président du programme de santé mondiale de la Fondation Gates, a rejoint le conseil d'administration de CHAI aux côtés de Chelsea Clinton.

 

Bill Gates et Bill Clinton lors de la Clinton Global Initiative annuelle en 2010

 

Concernant le CGI, les avocats de la défense d'Epstein ont fait valoir devant le tribunal en 2007 qu'Epstein faisait « partie du groupe initial qui a conçu la Clinton Global Initiative », qui a été lancée pour la première fois en 2005. Les avocats d'Epstein ont décrit le CGI comme un projet qui « rassemble une communauté de dirigeants mondiaux pour développer et mettre en œuvre des solutions innovantes à certains des défis les plus urgents du monde ». La Fondation Gates a donné au CGI un total de 2,5 millions de dollars entre 2012 et 2013, en plus de ses dons massifs à CHAI et de 35 millions de dollars supplémentaires à la Fondation Clinton elle-même. En plus des dons de la Fondation Gates, Microsoft de Gates était étroitement impliqué dans d'autres « projets philanthropiques » soutenus par Clinton.

En plus de ces liens, Hillary Clinton a établi un partenariat entre la Fondation Clinton et la Fondation Gates en 2014 dans le cadre de l'initiative No Ceilings des Clinton. Ce partenariat visait à "collecter et analyser des données sur l'état d'autonomisation des femmes et des filles dans le monde" et impliquait les deux fondations travaillant "avec des partenaires technologiques de premier plan pour collecter et compiler ces données". Pendant des mois, avant d'annoncer le partenariat, Gates et Epstein s'est réuni pour dîner et a discuté de la Fondation Gates et de la philanthropie, selon le New York Times . Lors de la campagne infructueuse d'Hillary Clinton à la présidence en 2016, Bill et Melinda Gates figuraient sur sa liste restreinte de candidats possibles à la vice-présidence. (Voir GeekWire )

En outre, Epstein a tenté d'investir directement dans la Fondation Gates, comme en témoignent ses efforts pour persuader la Fondation Gates de s'associer à JP Morgan sur un « fonds caritatif mondial pour la santé » de plusieurs milliards de dollars, dont Epstein a convenu qu'il était très fortement impliqué dans JP Morgan. Morgan, à cette époque, aurait rapporté des frais élevés. (Voir Daily Beast ) Bien que ce fonds ne se soit jamais matérialisé, Epstein et Gates ont discuté de la participation d'Epstein aux efforts philanthropiques de Gates. Certains de ces contacts n'ont été rapportés par la grande presse qu'après l'annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Cependant, comme mentionné précédemment, on savait qu’Epstein avait « ordonné » à Gates de faire un don à au moins une organisation – 2 millions de dollars en 2014 au MIT Media Lab.

De récentes révélations sur les rencontres entre Gates et Epstein qui ont eu lieu entre 2013 et 2014 ont encore souligné l'importance qu'Epstein avait apparemment dans le monde de la « philanthropie » d'un milliard de dollars, Gates aurait affirmé qu'Epstein était son « ticket » pour le prix Nobel. est. (Voir Daily Beast ) Cependant, les médias norvégiens ont rapporté en octobre 2020 que Gates et Epstein avaient rencontré le président du comité Nobel, ce qui n'a pas suscité beaucoup d'attention dans les médias internationaux à l'époque. ( DN Magasinet ) La question se pose de savoir si Epstein a réussi à organiser de telles rencontres avec d'autres personnes qui convoitaient également un prix Nobel, et si ces personnes ont ensuite reçu le prix. Si Epstein avait de telles relations, il est peu probable qu’il les ait utilisées une seule fois dans le cas de Bill Gates, car son réseau était très étendu, notamment dans le monde de la technologie et de la science.

L'année 2013 est également l'année où Bill et Melinda Gates ont rencontré Epstein dans sa résidence de New York, après quoi Melinda aurait commencé à demander à son futur ex-mari de se distancier d'Epstein. (Voir Daily Beast ) La raison invoquée après l'annonce du divorce des Gates était que Melinda était rebutée par le passé d'Epstein et sa personne. Mais cela pourrait aussi être lié à d’autres inquiétudes concernant la réputation de Melinda et celle de la fondation qui porte son nom.

En fait, 2013 a également été l'année où la police de Seattle a commencé à enquêter sur l'ingénieur système de Gates Mansion, Rick Allen Jones, pour sa collection de pédopornographie et de viols d'enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir Gates un an plus tard, il n’a pas été envoyé en prison après son arrestation, mais a simplement reçu l’ordre de rester à l’écart des enfants », selon les médias locaux. (Voir Kiro7 ) Du point de vue de Melinda, ce scandale, associé à l'association croissante de Bill Gates avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, aurait pu constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates bien avant l'arrestation d'Epstein en 2019.

2013 a également été l’année où les Maxwell se sont impliqués auprès de la Fondation Clinton. Cette année, le projet TerraMar de Ghislaine Maxwell, qui soutient officiellement les objectifs de développement durable des Nations Unies liés aux océans de la planète, a donné 1,25 million de dollars à la Clinton Global Initiative pour former une alliance pour les océans durables. TerraMar a été fermée peu de temps après l'arrestation d'Epstein en 2019.

 

Isabel Maxwell et Al Seckel à la réunion annuelle du Forum économique mondial 2011

 

Le projet TerraMar de Ghislaine était à bien des égards le successeur de l'échec de la Blue World Alliance d'Isabel Maxwell, qui était également censée s'intéresser aux océans du monde. La Blue World Alliance a été fondée par Isabel et son mari, aujourd'hui décédé, Al Seckel, qui avaient organisé une « conférence scientifique » sur l'île d'Epstein. La Blue World Alliance opérait également sous le nom de Globalsolver Foundation, et Xavier Malina, le fils de Christine Maxwell, figurait sur la liste des agents de liaison de Globalsolver auprès de la Fondation Clinton. (Voir Twitter ) Il était auparavant stagiaire à la Clinton Global Initiative.

Malina a ensuite travaillé dans l'administration Obama au bureau du personnel de la Maison Blanche. Maintenant, il travaille pour Google. Il convient également de noter que le fils d'Isabel Maxwell, Alexander Djerassi, était chef de cabinet au Bureau des affaires du Proche-Orient du département d'État dirigé par Hillary Clinton au cours de la même période.

Science Gates et science Epstein

Alors que la Fondation Gates et la Fondation Clinton étaient étroitement liées et que cette dernière avait des liens avec Epstein et Maxwell, Epstein semble également avoir eu une influence significative sur deux des conseillers scientifiques les plus éminents de Bill Gates au cours des quinze dernières années : Melanie Walker et Boris Nikolic. .

Melanie Walker, aujourd'hui neurochirurgienne célèbre, a rencontré Jeffrey Epstein en 1992, peu après avoir obtenu son diplôme universitaire, lorsqu'il lui a proposé un poste de mannequin chez Victoria's Secret. De telles offres étaient fréquemment faites par Epstein et ses complices lors du recrutement de femmes pour son entreprise, et il n'est pas clair si Walker a réellement travaillé comme mannequin pour l'entreprise appartenant à Leslie Wexner. Lors de ses visites à New York, elle a séjourné dans un immeuble new-yorkais lié aux opérations de traite d'êtres humains d'Epstein, mais on ne sait pas combien de temps elle y a vécu ou dans d'autres propriétés appartenant à Epstein. Après avoir obtenu son diplôme de médecine en 1998, elle est devenue conseillère scientifique d'Epstein pendant au moins un an. En 1999, elle était devenue si proche du prince Andrew qu'elle a assisté à une fête d'anniversaire au château de Windsor organisée par la reine avec Epstein et Ghislaine Maxwell. (Voir The Sun ) Pendant ce temps, Melanie apparaît dans les journaux de vol d'Epstein sous son nom de naissance Melanie Starnes, bien qu'il ressemble à « Starves » dans les journaux de vol. (Voir le livre noir d'Epstein )

La relation étroite entre le prince Andrew et Melanie Walker a été critiquée après que l'ancienne femme de ménage d'Epstein au Zorro Ranch, Deidre Stratton, a déclaré dans une interview que le prince Andrew avait rencontré une "belle jeune neurochirurgienne" pendant son séjour dans la propriété d'Epstein au Nouveau-Mexique. . (Voir Daily Beast ) Étant donné qu'il n'y avait qu'une seule femme neurochirurgienne qui était à la fois proche du prince Andrew et membre de l'entourage d'Epstein, il est très probable que la femme qui a été « offerte » à Andrew concernait Melanie Walker. Selon Stratton, Andrew « sortait » avec cette femme pendant trois jours. L'accord a été conclu par Epstein, qui n'était pas sur place à ce moment-là. La date exacte du séjour est incertaine, mais il a probablement eu lieu entre 1999 et 2001.

Stratton a commenté le séjour comme suit :

 

« À l'époque, Jeffrey avait cette femme qui était censée être neurochirurgienne, assez jeune, belle et brillante, et elle vivait chez lui... À un moment donné, nous avions tous ces différents types de thé et vous pouviez choisir les types de thé. le thé que tu voulais et elle m'a demandé d'en trouver un qui rendrait Andrew encore plus excité.

Je suppose qu'elle a compris que c'était son travail de le divertir, parce que je suppose que la peur, je ne sais pas, la peur était qu'Andrew dise : "Non, je ne la trouvais pas vraiment si attirante." . . Il le dirait à Jeffrey et elle serait alors dans les cordes.

Je suppose qu'une autre théorie est que Jeffrey l'a probablement embauchée et qu'elle savait quel serait, devrait être son travail pour rendre ces gens heureux. . . . Le sexe était la seule chose à laquelle ils pensaient. Je veux dire, je sais pertinemment que, idéalement, Jeffrey aurait reçu trois massages par jour.

 

Quelque temps plus tard, Walker a déménagé à Seattle et a commencé à vivre avec Steven Sinofsky, alors dirigeant de Microsoft, aujourd'hui associé au conseil d'administration de la société de capital-risque Andreesen Horowitz . Andreesen Horowitz soutient principalement Carbyne911, la start-up liée au renseignement israélien et financée par Epstein et son proche associé, l'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak, ainsi qu'une autre société technologique israélienne appelée Toka dirigée par Barak. (Voir PitchBook ) Toka a récemment signé des contrats avec les gouvernements de Moldavie, du Nigeria et du Ghana par l'intermédiaire de la Banque mondiale, dont Melanie Walker est actuellement directrice et ancienne conseillère spéciale du président. (Voir WEF ) On ne sait pas exactement quand, comment et dans quelles circonstances Walker a rencontré Sinofsky.

Après avoir déménagé à Seattle pour travailler avec Sinofsky et un bref passage en tant que « praticien du tiers monde » en Chine à l'Organisation mondiale de la santé, Walker a été embauché par la Fondation Bill et Melinda Gates en 2006 en tant que responsable de programme principal. Considérant que la principale caractéristique du curriculum vitae de Walker à l'époque était qu'elle était conseillère scientifique auprès d'un autre riche « philanthrope », Jeffrey Epstein, son embauche par la Fondation Gates pour ce poste important souligne encore que Bill Gates, au moins, non seulement savait qui était Epstein, mais en savait aussi suffisamment sur ses intérêts scientifiques et ses investissements pour vouloir embaucher Walker. Walker est ensuite devenu directeur adjoint du développement mondial et directeur adjoint des initiatives spéciales à la fondation. Selon la Fondation Rockefeller , dont elle est membre, Walker a ensuite conseillé Gates sur la neurotechnologie et la recherche sur le cerveau pour la société secrète bgC3 de Gates, que Gates avait initialement enregistrée comme groupe de réflexion sous le nom de Carillon Holdings. (Voir 15 captures et Business Insider ) Selon des documents fédéraux, l'objectif du bgC3 était « les services scientifiques et technologiques », « l'analyse et la recherche industrielles » et « la conception et le développement de matériel informatique et de logiciels ».

Pendant son séjour à la Fondation Gates, Walker a présenté Boris Nikolic, le conseiller scientifique de Gates, à Epstein. Aujourd'hui, Melanie Walker est coprésidente du Global Future Council on Neurotechnology and Brain Science du Forum économique mondial, après avoir été nommée jeune leader mondial du WEF. Elle conseille également l'Organisation mondiale de la santé, étroitement liée à la « philanthropie » de Bill Gates.

Au WEF en 2016, Walker a écrit un article intitulé « Healthcare in 2030: Goodbye Hospital, Hello Home-spital », dans lequel elle explique comment les appareils portables, les interfaces cerveau-machine et les « médicaments » robotiques injectables/avalables d'ici 2030 seront norme. Des années avant le COVID-19 et les efforts inspirés par la Grande Réinitialisation pour transformer les soins de santé de cette manière, Walker a écrit que même si le scénario dystopique qu'elle a peint « semble fou... la plupart de ces technologies sont soit presque prêtes pour le marché, soit en train de le devenir. en cours de publication." Développement". Bien entendu, nombre de ces technologies ont vu le jour grâce au patronage de leurs anciens patrons, Jeffrey Epstein et Bill Gates.

Dans le cas de Boris Nikolic, après avoir été présenté à Epstein par Walker, il a assisté à une réunion avec Gates et Epstein en 2011, aux côtés de James Staley, alors cadre chez JP Morgan, et de Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et proche collaborateur d'Epstein. , a été photographié. (Voir Newsweek ) Nikolic était à l'époque le principal conseiller scientifique et technologique de Bill Gates et conseillait à la fois la Fondation Gates et bgC3. (Voir MedCity News ) Selon le récit populaire, c'était la première fois que Gates et Epstein se rencontraient. De plus, c’est peut-être à ce moment-là qu’Epstein a dévoilé la Fondation Gates et le Global Health Charitable Fund conjoint de JP Morgan.

 

La réunion de 2011 au manoir de Jeffrey Epstein à Manhattan, en présence de James E. Staley, Larry Summers, Jeffery Epstein, Bill Gates et Boris Nikolic.

 

En 2014, Nikolic a exprimé son « sentiment d'enthousiasme » concernant le prétendu penchant d'Epstein pour les conseils financiers avant l'introduction en bourse d'une société d'édition de gènes dans laquelle Nikolic a pris une participation de 42 millions de dollars. (Voir New York Post ) Notamment, Nikolic et Epstein étaient tous deux clients du même groupe de banquiers chez JP Morgan, Bloomberg rapportant plus tard qu'Epstein aidait régulièrement ces banquiers à attirer de nouveaux clients fortunés.

En 2016, Nikolic a cofondé Biomatics Capital , qui investit dans des entreprises liées aux soins de santé à la « convergence de la génomique et des données numériques » qui « permettent le développement des meilleurs modèles thérapeutiques, diagnostiques et de prestation ». Nikolic a fondé Biomatics avec Julie Sunderland, ancienne directrice du Fonds d'investissement stratégique de la Fondation Gates.

Au moins trois des sociétés soutenues par Biomatics – Qihan Biotech , eGenesis et Editas – ont été cofondées par George Church, un généticien de Harvard ayant des liens étroits avec Epstein et également étroitement lié à la Fondation Edge. L'investissement de Biomatics dans Qihan Biotech n'est plus répertorié sur le site Web de Biomatics. Qihan Biotech de Church vise à produire des tissus et des organes humains chez des porcs pour les transplanter chez des humains, tandis qu'eGenesis tente de modifier génétiquement des organes de porcs pour les utiliser chez les humains. Editas fabrique des « médicaments » d’édition génétique CRISPR et est également soutenu par la Fondation Gates et Google Ventures.

Church a été accusé de promouvoir l'eugénisme et l'expérimentation humaine contraire à l'éthique. (Voir Daily Beast ) Le grand intérêt d'Epstein pour l'eugénisme a été rendu public après sa mort, et Bill Gates et son père William H. Gates II ont également été associés aux mouvements et aux idées eugéniques. (Voir The Guardian et The Corbett Report )

Après la mort d'Epstein en 2019, il a été révélé que Nikolic avait été nommé « exécuteur successeur » de la succession d'Epstein, suggérant des liens étroits avec Epstein malgré les affirmations contraires de Nikolic. Après que les détails du testament d'Epstein aient été rendus publics, Nikolic n'a pas signé de formulaire indiquant sa volonté de servir d'exécuteur testamentaire et n'a finalement pas exercé cette fonction. (Voir le New York Post )

 

La dissimulation d’Epstein continue

Malgré le changement relativement brutal dans les médias grand public concernant ce qui peut être discuté en relation avec la relation entre Jeffrey Epstein et Bill Gates, nombre de ces médias refusent de reconnaître une grande partie des informations contenues dans ce rapport d'enquête. Cela est particulièrement vrai de l' article de l'Evening Standard et de l'étrange relation de Bill Gates avec Isabel, la sœur de Ghislaine Maxwell, et de CommTouch, la société qu'Isabel dirigeait.

La raison probable de la dissimulation continue de l'étendue réelle des liens d'Epstein avec Gates a bien plus à voir avec la société Microsoft de Gates qu'avec Bill Gates lui-même. les informations qui pourraient relier sa relation avec Epstein et les Maxwell à Microsoft ont été supprimées.

Si, comme le rapporte l'Evening Standard , Epstein gagnait des millions grâce à ses relations commerciales avec Gates avant 2001, et si les liens de Gates avec Isabel Maxwell et la société d'espionnage israélienne CommTouch devenaient de notoriété publique, cela pourrait facilement conduire à un scandale impliquant l'affaire du logiciel PROMIS. est comparable. Une telle révélation pourrait être très préjudiciable pour Microsoft et son partenaire, le Forum économique mondial, dans la mesure où Microsoft est devenu un acteur majeur dans les initiatives de la quatrième révolution industrielle du WEF, allant de l'identité numérique et des passeports vaccinaux aux efforts visant à donner aux travailleurs humains les moyens de remplacer l'intelligence artificielle. .

Il existe clairement des acteurs puissants qui ont tout intérêt à ce que l'histoire d'Epstein-Gates se concentre sur 2011 et les années ultérieures - pas nécessairement pour protéger Gates, mais plutôt pour protéger l'entreprise elle-même et d'autres hauts dirigeants de Microsoft, qui semblent avoir été compromis par Epstein. et d'autres membres du même réseau de renseignement.

Il ne s’agit pas d’un incident isolé, car des efforts similaires ont été déployés pour dissimuler (ou obscurcir) les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux de Jeff Bezos et d’Elon Musk. Une raison importante à cela est que l'opération d'extorsion du réseau Epstein comprenait non seulement du chantage sexuel, mais aussi des formes de chantage électronique, qui ont été utilisées avec beaucoup de succès par Robert Maxwell dans le cadre de l'opération PROMIS pour le compte des renseignements israéliens. Les formes électroniques de chantage par le biais de surveillance illégale ou de logiciels de porte dérobée peuvent être utilisées pour compromettre ceux au pouvoir qui ont quelque chose à cacher mais ne sont pas disposés à se livrer à l’exploitation de mineurs comme ceux maltraités par Epstein.

Le fait qu'Isabel et Christine Maxwell aient pu nouer des liens commerciaux étroits avec Microsoft après avoir fait partie de la société écran qui a joué un rôle central dans l'espionnage lié à PROMIS et après avoir explicitement créé leurs sociétés ultérieures avec l'intention avouée de « restaurer » " Le travail et l'héritage de son père espion suggèrent fortement la probabilité qu'au moins certains produits Microsoft aient été compromis d'une manière ou d'une autre, probablement par le biais d'alliances avec des entreprises technologiques dirigées par Maxwell. Le fait que les grands médias ne se soucient pas des liens documentés du réseau Epstein avec d'autres hauts dirigeants de Microsoft du passé, tels que Nathan Myhrvold, Linda Stone et Steven Sinofsky, montre clairement que la relation entre Bill Gates et Epstein, bien qu'elle soit C’est évident, cela ne s’applique pas à Microsoft et Epstein.

Les liens d'Epstein et des Maxwell avec la Silicon Valley, et pas seulement avec Microsoft, font partie d'une tentative plus large visant à occulter la forte composante de renseignement dans la création des entreprises les plus puissantes de la Silicon Valley. De gros efforts ont été déployés pour donner l’impression au public que ces sociétés sont des entités purement privées, même si elles entretiennent depuis longtemps des liens étroits avec les services de renseignement et l’armée des États-Unis et d’Israël. (Voir Unlimited Hangout et MintPress ) La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera jamais entendue dans les médias grand public, car de nombreux médias appartiennent aux mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour leur lectorat en ligne.

La raison la plus importante pour laquelle les origines de l'agence militaire/de renseignement et ses liens avec l'oligarchie actuelle de la Silicon Valley ne sont jamais honnêtement examinées est peut-être que ces mêmes entités travaillent désormais à une vitesse vertigineuse pour inaugurer la quatrième révolution industrielle qui rendrait l'intelligence artificielle, l’automatisation, la surveillance électronique de masse et le transhumanisme au cœur de la société humaine. L’un des architectes de cette « révolution », Klaus Schwab, a déclaré plus tôt cette année que restaurer et maintenir la confiance du public était essentiel à ce projet. Cependant, si la véritable nature de la Silicon Valley, y compris ses liens importants avec le violeur d'enfants en série et le trafiquant sexuel Jeffery Epstein et son réseau, devait être révélée, la confiance du public serait considérablement ébranlée, menaçant ce que l'oligarchie mondiale considère comme un projet vital. .

 

Source : L'Exposé

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