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19 janvier 2024 5 19 /01 /janvier /2024 18:35
Macron et l'infertilité, Perrone avance la cause de l'inoculation du vaccin Covid, pétition

C'est à se poser des questions sur l'état mental de certains gouvernants !

 

On en verra la démonstration éclatante lors des JO, une apothéose d'incompétence et d'inefficacité, aux yeux du monde et des Français ;  normal, après la Justice, la Santé, l'Education Nationale, les retraites, l'Agriculture, les forces de l'Ordre..., ça suivra la logique de déconfiture totale. J'ai des doutes à ce que l'on nous serve alors "du Mozart de la Finance, ou du Einstein de la politique"

 

Henry

Pétition à l’Assemblée nationale pour l’abrogation des 11 vaccins obligatoires – Aidez-nous en signant, merci !

 

La lettre de la LNPLV.

Pourquoi avons-nous mis notre pétition sur le site de l’Assemblée nationale ?

Le 07 novembre 2023, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations a lancé cette pétition pour l’abrogation des 11 vaccins obligatoires sur le site dédié de l’Assemblée nationale, pour réclamer la liberté vaccinale pour tous.
Nous avons choisi cette option pour que les parlementaires répondent à notre demande.

En effet, des pétitions qui ont recueilli plus d’un million de signatures sur des sites privés, comme celle du Pr Joyeux pour le retour du DTP seul sans adjuvant, n’ont guère eu d’écho pendant les débats, en particulier sur l’extension des vaccins obligatoires infantiles.

Pour que notre pétition ait un quelconque impact, il faut qu’elle atteigne les 10 000 signatures en 6 mois, seuil réclamé par la Commission des Affaires Sociales pour être traitée, sinon c’est le classement d’office.

Avec 100 000 signatures, elle serait mise en ligne sur le site de l’Assemblée nationale. A ce jour, une seule a atteint ce score.
Avec 500 000 signatures, elle serait débattue dans l’hémicycle.
À la fin de la mandature, soit le 15 juin 2027, toutes les pétitions sont clôturées et archivées. Au 17 janvier 2024, nous sommes 4 787 signataires, soit la sixième place des pétitions en cours les plus soutenues.

D’aucuns nous reprochent d’avoir privilégié ce site qui réclame de passer par FranceConnect.
Ils craignent d’être pistés par les autorités. Pourtant, sur les sites abritant des pétitions, ils doivent aussi transmettre un pseudo, une adresse mail et parfois davantage.
Au final, ce n’est pas bien différent.

Avec 40 millions d’utilisateurs, il est plus que probable que chacun ait un compte FranceConnect, via les Impôts, la Poste ou l’Assurance Maladie.
Cela ne coûterait alors que quelques clics supplémentaires.
Ce serait dommage de faire l’impasse sur un des rares leviers démocratiques qu’il nous reste encore par crainte de montrer nos convictions.

Quotidiennement, la Ligue reçoit des appels de personnes qui souhaitent esquiver les vaccins pour eux-mêmes ou leurs enfants. Ils cherchent une solution facile, rapide, qui ne leur coûte rien, la solution miracle qui leur ôterait une épine du pied.

Mais elle n’existera pas tant qu’il y aura des obligations vaccinales. Nous serons toujours obligés de leur fournir des pis-aller, qui ne leur conviendront que le temps qu’une autre pression (crèche, école, services sociaux, employeur…) les conduisent à recevoir des injections, voire à frauder. Cette situation n’est pas satisfaisante.

Il est temps d’unir nos forces pour faire sauter toutes les obligations vaccinales, que chacun ait réellement la liberté de choisir, pour lui-même et ses enfants, ce qu’il veut faire en matière de vaccinations.

Réclamons cette liberté ! Il nous reste 4 mois, jusqu’au 7 mai 2024, pour faire la différence. Nous comptons sur vous pour signer et surtout partager cette pétition.

Pétition en cliquant ici


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Diffusion :Il est crucial de prendre conscience que nos libertés et notre santé sont de plus en plus menacées. C’est pourquoi je vous invite à diffuser cette lettre à tous vos contacts, que l’information circule, afin que chacun puisse prendre position en toute connaissance de cause. Ces articles sont partagés uniquement dans un but informatif. Aucune intention politique, religieuse ou autre n’est associée à cette démarche. Il s’agit simplement de notre droit fondamental d’être informés. Chacun est libre de lire ou non les articles qui lui semblent pertinents. Merci de votre attention et ensemble, faisons en sorte que l’information circule pour préserver notre liberté et notre santé.

Source : La Lettre de la LNPLV

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30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 19:19

 

 

Nicole Delépine

28/11/2023 (2023-11-28)

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.

 

 

______________________________________________________________________

Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée


1 https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/11/21/une-loi-anti-casasnovas-pour-criminaliser-les-non-vax/

2 https://www.la-croix.com/France/necessaire-reforme-lutte-contre-derives-sectaires-2017-09-08-1200875184

3 Niels Bohr critique de la théorie quantique : « sans paradoxe pas de progrès »

4 B. Russell, Science et religion (1971)

5 « Quatre-vingt-dix pour-cent de protection contre le Covid-19 avec deux doses et 80 % avec une seule », c’est le messages des fabricants des vaccins de Pfizer et de Moderna, rendu public lundi 29 mars 21

6 « Le message que nous passons depuis le début, quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de contaminer les autres, alors que si vous n’êtes pas vacciné, vous faites courir ce risque », a prétendu Mr Blanquer ministre de l’éducation nationale sur France info le mercredi 28 juillet 2021
https://www.vie-publique.fr/discours/281190-jean-michel-blanquer-28072021-protocole-sanitaire-rentree-scolaire

7 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-empeche-t-il-la-transmission-du-virus_4361707.html

8 https://ansm.sante.fr/actualites/la-vaccination-est-efficace-a-plus-de-90-pour-reduire-les-formes-graves-de-covid-19-chez-les-personnes-de-plus-de-50-ans-en-france

9 https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiqu es/les-vaccins-contre-la-covid-19-sont-efficaces

10 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/side-effects-of-covid-19-vaccines

11 https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2021/05/21.5.25-Obligation-vaccinale-contre-Covid.pdf

12 https://lemediaen442.fr/jean-francois-delfraissy-avoue-veran-savait-que-le-vaccin-ne-protegeait-pas/

13 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/side-effects-of-covid-19-vaccines

14 https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2023-001202_FR.html

15 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-foi-propagande-ou-213244

16 Nicole Delépine, Gérard Delépine HYSTÉRIE VACCINALE Gardasil et cancer : un paradoxe Fauves éditions

17 https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/2013/11/27/gardasil-un-medecin-reunionnais-l-origine-de-l-alerte-un-vaccin-couteux-dangereux-et-inutile-88859.html

18 https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Vaccins-anti-HPV-15-medecins-denoncent-les-risques-des-conflits-d-interets-1621133

19 https://www.humanite.fr/societe/vaccins/gardasil-la-vaccination-a-3-millions-dadolescents-fait-debat-801725

20 https://www.elysee.fr/la-presidence/la-declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen

21 https://www.conseil-etat.fr/avis-consultatifs/derniers-avis-rendus/au-gouvernement/avis-sur-un-projet-de-loi-visant-a-renforcer-la-lutte-contre-les-derives-sectaires-et-la-repression-des-emprises-mentales-gravement-dommageables

22 Ioannidis JP. Why most published research findings are false. PLoS Med. 2005 Aug;2(8):e124. doi : 10.1371/journal.pmed.0020124. Epub 2005 Aug 30. Erratum in : PLoS Med. 2022 Aug 25;19(8):e1004085. PMID : 16 060 722 ; PMCID : PMC1182327.

23 https://www.tf1info.fr/sante/la-plupart-des-etudes-sont-fausses-un-chercheur-remet-en-cause-les-etudes-scientifiques-2092416.html

24 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/15/covid-19-le-lancetgate-revele-des-failles-de-l-edition-scientifique_6042946_1650684.html

25 https://www.francesoir.fr/politique-france/dans-son-projet-de-loi-contre-les-derives-sectaires-le-gouvernement-vise-t-il-les

26 Maitre Virginie Araujo-Recchia CE SERA DÉSORMAIS LES PARTISANS DE LA CORRUPTION FACE AUX PARTISANS DU DROIT À LA VIE ET DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE.NOUS NE VOULONS PAS DE VOTRE INHUMANITÉ
https://www.profession-gendarme.com/attention-nouvelle-attaque-contre-la-sante-humaine-la-liberte-dexpression-et-les-lanceurs-dalerte/

Source : Nouveau monde

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19 octobre 2022 3 19 /10 /octobre /2022 17:21
Cette vidéo est protégée contre la censure.
Ursula von der Leyen doit être virée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme Présidente de la Commission européenne» en raison de l’enquête ouverte (https://www.eppo.europa.eu/en/news/ongoing-eppo-investigation-acquisition-covid-19-vaccines-eu ) par le Bureau du procureur européen», l’EPPO, a lancé le 17 octobre 2022 l'eurodéputé roumain au Parlement de l’UE. Il dénonce les clauses cachées dans les contrats juteux et ultra avantageux pour Pfizer... Ces clauses ne resteront pas secrètes très longtemps, si les médias ne mettent pas de bâton dans les roues, la vérité va exploser. Agora TV, le 19/10/22
Pétition nationale française et européenne
à la Présidente du Parlement européen Madame Roberta METSOLA

Sous initiative du CSAPE – Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

Sur fondement des textes légaux et notamment du règlement interne de l’U.E.

Concernant :
La levée de l’immunité de la présidente de la Commission européenne Von Der LEYEN pour corruption passive
La démission de l’ensemble de la Commission européenne pour complicité de corruption passive de fait
Certains membres du parlement européen commencent à découvrir ce qui a été dénoncé depuis plusieurs mois par le CSAPE, concrètement argumenté dans la plainte déposée devant la Cour pénale internationale, enregistrée le 02 juillet 2021 sous le numéro OTP-CR-271/21, appuyée par plus de 370 preuves non contestables, appelant à une ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité contre le gouvernement français et ses institutions complices, contre la présidente de la commission européenne Von Der LEYEN et autres protagonistes. D’autre part, personne ne peut ignorer que les laboratoires s’imposent par pots-de-vin et sontcoutumiers d’escroqueries lourdement condamnées.

Les révélations de l’audience Covid :

Lors de l’audience Covid au Parlement européen, la responsable Janine SMALL déléguée en l’absence du patron de PFIZER, Albert BOURLA, a reconnu que le laboratoire n’a pas testé l’efficacité de ses « vaccins » contre la transmission du virus avant leur autorisation de mise sur le marché.


En conséquence :


Toute la propagande consensuelle sur l’ « obligation vaccinale », termes d’autant plus impropres dans la mesure où il est avéré qu’il s’agit en réalité d’une injection expérimentale en phase d’essais cliniques, est uniquement et délibérément fondée depuis décembre 2020 sur le mensonge et la manipulation.
En outre, au vu des statistiques, ces injections sont non seulement inutiles mais de plus présentent des effets gravement nocifs.
Toutes les mesures contraignantes prises en matière de « passe-sanitaire » d’ « obligation vaccinale », de discrimination, de suspension des personnels soignants, non seulement ont été imposées sans aucun fondement scientifique, mais de plus ont porté atteinte à l’intégrité physique et morale des personnes.


Mise en cause :


La part essentielle des doses achetées pour plusieurs milliards par l’Europe a été directement négociée entre le PDG Albert BOURLA de PZFIZER et la présidente de la Commission européenne Ursula Von Der LEYEN en situation factuelle de conflits d’intérêts.
En suite de l’audition parlementaire Covid et s’appuyant sur un rapport de la Cour des comptes de l’union européenne, la députée européenne pour la France, Virginie JORON, suivie par d’autres députés de la Communauté européenne, envisagent de saisir le Parquet européen aux fins de l’ouverture d’une enquête sur les conditions d’une décision prise unilatéralement par la présidente de la Commission européenne en faveur de l’industrie pharmaceutique sans aucune garantie ni contrepartie sérieuse. La députée appelle les citoyens à engager la même action.


Cependant, tous les membres de la Commission bénéficient d’une immunité liée à l’exercice de leur fonction.
Toute plainte déposée ne peut produire un effet contre le responsable d’un crime tant que ce responsable dispose d’une immunité.
Mme Von der LEYEN étant parfaitement consciente qu’il n’avait été procédé à aucun test sur les produits expérimentaux, elle a néanmoins décidé de l’achat et de la diffusion de ces produits n’hésitant pas à mentir afin de faciliter des intérêts privés et personnels financiers ayant entrainé la mort et des handicaps graves sur des millions de personnes civiles.Les présents signataires de la pétition adressent à la Présidente du Parlement européen, Sur le fondement de la Décision 2006/313/PESC et la Décision 2011/168/PESC du Conseil relatives à la conclusion de l’accord entre la Cour pénale internationale et l’Union européenne en ce qui concerne la coopération et l’assistance et selon cet Accord publié au JO L 115 du 28.4.2006, p. 50-56, une demande :
* En vertu de l’article 12, d’employer tous les moyens pour lever les privilèges et l’immunité de Mme Von der LEYEN.
Article 12
« Privileges and immunities
If the Court seeks to exercise its jurisdiction over a person who is alleged to be criminally responsible for a crime within the jurisdiction of the Court and if such person enjoys, according to the relevant rules of international law, any privileges and immunities, the relevant institution of the EU undertakes to cooperate fully with the Court and, with due regard to its responsibilities and competencies under the EU Treaty and the relevant rules thereunder, to take all necessary measures to allow the Court to exercise its jurisdiction, in particular by waiving any such privileges and immunities in accordance with all relevant rules of international law. »
* De saisir la Cour pénale internationale
* De saisir la Cour de justice de l’union européenne
* De dissoudre immédiatement la commission par le vote d’une motion de censure à la majorité des 2/3 des voix exprimées et à la majorité de ses membres (art. 234 TFUE).
* De constituer une commission temporaire d’enquête à la demande d’un quart de ses membres afin
d’examiner les allégations d’infraction ou de mauvaise administration dans l’application du droit de l’Union
(art. 226 TFUE).
Tout ceci relevant des attributions de la Présidente du Parlement européen, y compris cette pétition.

Nom, prénom et signature

 

 


Siège social : Les Tricolores, 15, rue des Halles – 75001 PARIS – FRANCE

– site : www.csape.international

– E.mail : csape.sg@hotmail.com

ATTENTION – TRES IMPORTANT – Au vu de ce qui se passe entre le Parlement européen et la Commission européenne et afin de soutenir la position courageuse de Virginie JORON, députée européenne pour la France et ses rares collègues, je vous invite à signer la pétition jointe et à la retourner à l’adresse e.mail suivante : rafa14@hotmail.fr  en prévision d’un envoi groupé par LRAR. C’est le moment d’agir fort.

Diffusez cette pétition avec l’adresse du retour. Nous sommes à un moment qui peut permettre un basculement non seulement au plan européen mais également par effet induit au plan national. Merci à chacun de se concentrer sur cette action concrète essentielle. Simultanément à cette action nous déposons une procédure de levée d’immunité à l’appui de la plainte pour crime contre l’humanité enregistrée à la CPI.  

En pièce jointe ci-dessous, le fichier (PDF) de la pétition. 

Comptant sur votre participation. 

Patrice LEPILLER – S.G. du CSAPE 

Pétition française et européenne
La levée de l’immunité de la présidente de la Commission européenne Von Der LEYEN pour corruption passive
La démission de l’ensemble de la Commission européenne pour complicité de corruption passive de fait
TRES IMPORTANT – Au vu de ce qui se passe entre le Parlement européen et la Commission européenne et afin de soutenir la position courageuse de Virginie JORON, députée européenne pour la France et de ses rares collègues des autres pays européens, je vous invite à signer la pétition jointe et à la retourner à l’adresse e.mail suivante, rafa14@hotmail.fr , en prévision d’un envoi groupé par LRAR à la Présidente du Parlement européen.
C’est le moment d’agir fort. Diffusez cette pétition avec l’adresse du retour. Nous sommes à un moment qui peut permettre un basculement non seulement au plan européen mais également par effet induit au plan national. Merci à chacun de se concentrer sur cette action concrète essentielle.
Simultanément à cette action nous déposons une procédure de levée d’immunité à l’appui de la plainte pour crime contre l’humanité enregistrée à la CPI (OTP-CR-271/21)
Comptant sur votre participation.
Patrice LEPILLER – Secrétaire général du CSAPE
Pour télécharger la pétition en français, voici le lien : http://gofile.me/6yJnx/G793Z4fo

French and european petition
The lifting of immunity for the President of the European Commission Von Der LEYEN for passive corruption
The resignation of the entire European Commission for complicity of passive bribery, de facto

VERY IMPORTANT – In view of what is happening between the European Parliament and the European
Commission and in order to support the courageous position of Virginie JORON, european deputy for France and of her rare european colleagues, I invite you to sign the attached petition and to return it to the following e. mail address, rafa14@hotmail.fr, in anticipation of a group shipment by register letter to the President of the European Parliament.
Now is the time to act strong. Distribute this petition with the return address. We are at a time that can allow a shift not only at European level but also by induced effect at national level. Thank you to everyone for focusing on this essential concrete action.
Simultaneously with this action, we are filing a procedure for the waiver of immunity in support of the
complaint for a crime against humanity registered at the ICC (OTP-CR-271/21).
Counting on your participation.
Patrice LEPILLER – S.G. of the CSAPE
Link to download the petition in English : http://gofile.me/6yJnx/yxJVE78n

Link to download the petition in English : http://gofile.me/6yJnx/yxJVE78n

Christine Anderson, députée, alerte sur la commission d'enquête UE Pfizer

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30 décembre 2021 4 30 /12 /décembre /2021 20:07
 

NON AU PASS VACCINAL

Non à la discrimination dans notre pays !

Adressé à : Mesdames et Messieurs les députés de l’Assemblée Nationale, Mesdames et Messieurs les Sénateurs

Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblé Nationale et du Sénat,

Le projet du gouvernement de Jean Castex d’instaurer un Pass vaccinal qui remplacera le Pass sanitaire est une atteinte à l’état de droit.

C’est aussi un contresens scientifique.

Nous vous demandons solennellement, vous élus du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, d’assumer votre rôle de garants d’une loi équitable pour tous les citoyens.

Votre responsabilité est historique : si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le pass vaccinal, vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale.

Si vous autorisez cette mesure,

  • Vous acceptez de créer deux classes de citoyens – vaccinés et non-vaccinés ;
  • Vous mettez au ban de la société des citoyens qui n’auront pas accès aux mêmes droits et services que la majorité, une première dans l’histoire de notre pays ;
  • Vous contraignez la totalité des citoyens à une vaccination tous les 3 à 5 mois, sans limite annoncée de durée.

Vous ne pouvez pas laisser faire cela.

Ces dispositions portent gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée, et non contraint[1].

Ces dispositions violent la loi de l’Union Européenne encadrant l’instauration du pass sanitaire, qui a expressément interdit qu’un pass puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés[2].

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le pass sanitaire soit temporaire.

Allez-vous accepter, vous représentants de la loi, une telle atteinte à la légalité?

Facteur aggravant, ce pass vaccinal n’a pas de fondement scientifique.

Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le pass sanitaire n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination[3]. Le pass sanitaire n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux débordent maintenant de doubles et triples vaccinés.

La loi portée par M. Castex est une obligation vaccinale pure et simple, assortie d’un dispositif punitif.

Un tel schéma ne s’est jamais produit dans l’histoire de notre République.

L’accepter, c’est accepter une discrimination du peuple français.

Nous vous demandons solennellement de ne pas voter cette loi qui reviendra à discriminer les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et nous enfermera dans un cercle de mesures toujours plus coercitives.

Le moment est grave, chers élus.

Il vous appartient aujourd’hui de défendre la liberté républicaine et la justice sociale.

Le peuple français tout entier compte sur vous.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblée Nationale et du Sénat, l’expression de notre très haute considération. 

Rodolphe Bacquet

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2 août 2021 1 02 /08 /août /2021 17:09
Pass sanitaire ou pass suicidaire ? "Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France."
Publié le 01/08/2021 à 16:47
Jean-Pierre Joseph
fl.m./SudOuest
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Auteur(s): FranceSoir
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ENTRETIEN - Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans "Profession Gendarme", un article intitulé "Quand cesserons nous d'être des moutons ?" dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n'empêcheraient la deuxième vague. L'Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l'Histoire m'a donné raison, mais cela a continué, car j'avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n'auraient aucun effet sur le freinage de l'épidémie. En fait à l'époque, les gens croyaient qu'en obéissant cela s'arrêterait, et je leur disais "C'est justement parce que vous obéissez que cela ne s'arrêtera jamais..."

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu'il m'est difficile d'accepter qu'une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n'a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n'aient pas d'avantage dénoncé ces contradictions :

- Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
- Le confinement "allait faire accélérer l'épidémie", puis un mois plus tard, "allait la freiner"
- Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d'antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
- Plus récemment "les enfants n'attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux" puis "Ils doivent se vacciner".
- Dans les restaurants, dès que l'on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu'en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
- Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s'il travaillait de nuit comme les infirmières..."

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la "Scientocratie". Comment définissez vous cela ?

Ce que j'appelle la Scientocratie, c'est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de "scientifiques" dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d'intérêts importants avec l'industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu'il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l'on tombait malade, car "il n'y avait pas de traitement", et que seul le "vaccin" nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant "laissez-nous prescrire", car quiconque prescrivait l'une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s'il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l'objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l'on continue d'écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l'inefficacité de leur "Savoir". Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des "thérapeutiques mondialement connues". Pouvez vous préciser ?

Comme je l'ai déjà expliqué, l'on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d'un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l'artemisia annua
4- l'ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d'effets secondaires, à condition qu'elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s'ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l'on avait attendu que l'état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques "ne marchaient pas..."

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le "vaccin" pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d'autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d'arrêter l'épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé "Covid 19 : injection chimérique transgénique- l'hécatombe vaccinale s'étend dans le monde" le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu... le variant anglais... Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n'en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu'ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l'un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd'hui.

J'ai l'impression que non seulement ce "vaccin" ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on "vaccine", plus il y a de malades !

On parle d'effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance "EUDRAVigilance", il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu'au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d'effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». - COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu'il "y a très peu d'effets indésirables !". Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n'est pas parce que ce scandale sanitaire n'est pas mentionné par les médias « grand public » qu'il n'existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d'Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu'ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l'on est sur le point d'assister à la publication d'un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d'essai clinique jusqu'en 2022, voire 2023.

La Convention d'Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d'entre nous risquent d'être contraints de recevoir une injection d'un produit expérimental, qui n'est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s'arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d'autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n'existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d'autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d'infirmières ou de pompiers stupéfaits d'amener tous les jours des "vaccinés" aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : "Dois-je risquer de mourir ou d'être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?"

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d'importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d'arrêter toute cette campagne de "vaccinations".

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

"On peut faire accepter n'importe quoi à une population qui a peur"

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid. : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement "du Covid" ! La consigne dans les hôpitaux était d'en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m'ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d'hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l'épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l'on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n'avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N'importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d'autre promeneurs, c'est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s'ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l'aide des slogans publicitaires, des affiches etc...

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre "comme avant"... Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu'on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies "aux composants du vaccin..."

On baigne dans l'absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d'essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c'est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens...) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu'on ne connait pas.
2- Pour savoir si l'on est allergique à un des composants, il n'y a qu'une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, "Maintenant je sais que je suis allergique..."

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu'avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
- Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
- Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
- Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d'empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l'Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d'empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d'instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d'encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n'est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu'ils qualifient faussement de "vaccin", dont l'efficacité n'est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d'encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves "sont très rares", procède d'une volonté criminelle délibérée.

Il s'agit donc bien d'une tentative d'empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l'intention de recevoir l'un des produits actuellement proposés, mais viennent d'y renoncer, devant la multitude d'informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu'ils appellent un "muselage de la population" Par dizaines, ils nous expliquent l'inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l'Irsan qui écrit : «De la même manière que le confinement généralisé d'une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n'a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l'Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d'établissements de l'académie, il s'est rendu coupable, ainsi que d'autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d'obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l'expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d'enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d'âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d'instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l'Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n'étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n'ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n'a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d'être interdite, étaient rappelés à l'ordre par le Conseil National de l'Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux "données acquises de la Science" et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et "prendre du Doliprane",
b) Soit de se rendre aux urgences à l'hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu'attendre que l'état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l'ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n'avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l'hôpital.

M. le Président du Conseil National de l'Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu'en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l'une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n'obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C'est donc en connaissance de cause qu'il a contribué à laisser s'aggraver l'état de santé de milliers de personnes.


Comment voyez-vous l'avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l'annonce du 12 juillet, j'ai reçu des dizaines d'appels d'infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

- Inquiétude pour les personnes : Ils m'indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une "vaccination". Ils me parlent d'hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.

- Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L'avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on "vaccine", et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l'on apprend que tant en Israël qu'en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic "Covid" avaient été "vaccinées", l'on est en droit de se demander si le "vaccin" n'a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit "n'avait pas eu le temps de faire son effet", comme si l'on allait tenir pour postulat que la personne l'aurait "attrapée" même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c'est que dans l'esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l'aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

Pour la gauche, c'est un acquis social, un progrès de l'humanité. Il est vrai que j'y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l'évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu'il s'agit d'une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s'agit de décès ou d'effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu'on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d'école, font comme s'ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu'ils nous obligent à manger, nous perturbe autant... Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le "vaccin" était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu'ils voient. C'est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d'un kilomètre de cortège le long d'une avenue à quatre voies, le journal local écrivait "Quelques centaines de manifestants..."

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu'en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n'en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : "La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé..."

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s'arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l'ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on "vaccine", et plus il y a de malades.

Cela n'était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague "C'est de la faute des non-vaccinés", il est fort possible que dans beaucoup d'hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant "Etes-vous vacciné ?" Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l'information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l'efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n'annulerait pas les contrats...

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu'elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement "mort du Covid" (et non de l'injection)

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l'on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

 

Jean-Pierre Joseph est auteur de "Vaccins : on nous aurait menti ?" (5° édition 2020)

L'association BonSens.org informe qu'elle a apporté son soutien total à ces plaintes.

Auteur(s): FranceSoir

10 juristes alertent le Conseil Constitutionnel sur les attaques contre nos libertés fondamentales contenues dans la loi Covid Pass Sanitaire: le 5 août le Conseil Constitutionnel censurera la tyrannie ou se couchera et la validera !

Maître Fabrice Di Vizio : L’article 225-1 du code pénale interdit toute discrimination fondée sur la santé… On n’a pas le droit de mentir aux gens !
 

Pourquoi on nous ment tout le temps comme ça ?

citoyens  et avocats,
une  alliance européenne

PétitionTransparence vaccins Covid-19

NOUS, citoyens conscients et informés – ayant déjà vu plusieurs scandales causés par Big Pharma – entendons rappeler quelques principes simples et incontestables, destinés à promouvoir l’intérêt de tous face à la Covid-19.

L’urgence de la lutte contre le coronavirus ne justifie pas toutes les dérogations. La nécessité de relancer la machine économique ne doit pas exposer la population à des effets secondaires indéterminés ou à des bénéfices incertains, lesquels ne peuvent être vérifiés que par la transparence des données.

La tentation des autorités de créer une obligation vaccinale, même par l’intermédiaire d’un passeport vaccinal, ne doit pas l’emporter sur les libertés publiques. Le secret – prétendument des affaires – et l’opacité des décisions prises par des autorités lointaines sont sources de questions légitimes et de vérifications nécessaires.

Face à une balance bénéfices-risques incertaine, pas question d’offrir aux fabricants de vaccins une impunité absolue. La transparence impose un accès direct aux données pour vérifier le bien-fondé des décisions arrêtées. Nos voix s’élèvent pour demander des comptes aux autorités européennes.

Il est nécessaire de donner aux citoyens et aux parlementaires européens l’accès :

  • Aux entiers dossiers d’autorisations de mise sur le marché dits AMM (conditionnelles) des vaccins, déposés notamment auprès de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) ;
  • Aux contrats d’achat des vaccins passés entre la Commission européenne et les principaux fabricants de vaccin ;
  • Aux privilèges accordés aux fabricants pour voir leur responsabilité supportée par la collectivité si leurs produits étaient défectueux.

Nous ne sommes pas des cobayes. Avec nos familles, nous sommes les premiers concernés. Nous exigeons que ces éléments soient tous rendus publics. Faute pour la Commission européenne de jouer le jeu de la transparence, nous nous réservons le droit d’engager une action collective en Justice en vue d’obtenir les informations requises.

En tant que citoyens signataires de cette pétition, nous nous réservons également la possibilité d’agir collectivement en justice en vue d’être protégés contre une obligation vaccinale et notamment contre l’instauration d’un “pass sanitaire” conditionnant l’exercice de nos libertés fondamentales à une preuve de vaccination Covid-19. 

Signez la Pétition ICI :

https://dejavu.legal/fr?fbclid=IwAR1POoOFsO8BFi-t5GkmnPrYnyjmkqxcLBtt5McS76KpemF9_VgfJjwbgQQ

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19 février 2021 5 19 /02 /février /2021 18:02
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19 février 2021 5 19 /02 /février /2021 17:47

Il y a 72 ans s'ouvrait le procès de Nuremberg - vidéos ...

 

Par Jean-Michel Grau Nouveau Monde.ca

[Pour vous associer aux recours collectifs français :
voir en fin de page après les notes.
]

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19
  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

Àpartir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un “populicide” qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5)Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.
.


Notes

(1) https://youtu.be/T3DNV7v5i74

(2) 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/

(3) corona-ausschuss.de

(4) nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/

(5) francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris


Pour vous associer aux recours collectifs français

Vous avez le choix entre :

Sur le site, voir aussi les articles correspondants :

Me de Araujo-Recchia — Illégalité des mesures Covid, action collective contre l’état. Mise à jour

Maître Fabrice Di Vizio et Louis Fouché : recours en indemnisation pour les 2 confinements

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31 janvier 2021 7 31 /01 /janvier /2021 18:42

https://1.bp.blogspot.com/-3HV1m1cjnmE/YBWGuCCQnlI/AAAAAAABF8M/Bj01sa4TBUYm6ns78nLUi_PwA06Nxl8sgCLcBGAsYHQ/w334-h640/Es7DSlFW8AQzvL_.jpg

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28 janvier 2021 4 28 /01 /janvier /2021 17:09

Maître Brusa évoque la situation actuelle au niveau politique et juridique concernant l'évolution des vaccins à thérapie génique ainsi que les mesures de confinements qui ont été dénoncées par plusieurs pays en Europe.

La vidéo est longue mais vaut le détour, Merci de la visionner ç'est important !

 

Le tribunal régional de Weimar déclare inconstitutionnel le confinement voir article ci dessous.

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 19:22
Plainte pénale pour génocide des Français contre Macron, ses ministres et son administration

 

Plainte pénale pour génocide du peuple français contre Macron, ses ministres et son administration
Klaus Hausmann

 

Auteur(s): FranceSoir

 

Après les saisies chez divers ministres ou ancien ministres (Edouard Philippe, Olivier Véran, Agnès Buzyn), ce 1er décembre, une plainte au pénal pour "génocide du peuple français" a été déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration.

Pierre-Alain Depauw, de medias-presse.info, rapporte que Mme Bonny encourage chacun à adresser copie de cette plainte aux parlementaires, à son député et son sénateur.

La plainte a été transmise en français avec traduction dans six autres langues : allemand, anglais, espagnol, italien, danois, néerlandais.

La plainte complète est reproduite ci-dessous.


A Mesdames et Messieurs les parlementaires, 

à Monsieur François Molins, Procureur général près la Cour de cassation,
à Monsieur Rémy Heitz, Procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris,

Je soussignée, Madame Marion BONNY, née le 9 décembre 1980 à Nice (06), de nationalité française, thérapeute domiciliée xxxxxxx.

Ancien médecin militaire formée aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires. Suite à une blessure de guerre j’ai été réformée le 14 juillet 2020, à cause de mes séquelles d’un syndrome de stress post traumatique suite à une mission de cinq mois en Afghanistan.

Après huit ans de psychothérapie, je me suis spécialisée dans la prise en charge des traumatismes psychiques. Désormais je n’exerce plus la médecine. Je préfère, dans ma thérapeutique, faire le lien que je crois essentiel entre l’histoire émotionnelle du patient et la survenue d’une maladie, car l’environnement socio-économique et le contexte émotionnel sont des facteurs importants de notre état de santé global.

Forte de mon expérience, je veux contribuer à mettre un terme aux abus du gouvernement dans le cadre de la crise sanitaire, épidémie ou pandémie dite du « coronavirus », puis du « covid-19 ».

La population de notre pays subit depuis le mois de janvier 2020 une insupportable persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires et par des mesures en tous sens : « gestes barrières », masque déconseillés puis obligatoire, confinements à échelle variable, couvre-feu, obligation de rester chez soi sans soins en cas de symptômes, drame des EPHAD, fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants et des dancings, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mises au chômage, travail et enseignement à distance etc.

Cela se paie d’une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont sources de traumatismes psychiques qui auront toujours plus de conséquences (isolement, violence, burn-out, dépression, intoxications médicamenteuses, usages de stupéfiants, suicide). En particulier, les jeunes générations sont privées d’un accès au savoir qu’elles ne rattraperont jamais, et spécialement les tout petits sont en danger, parce qu’ils sont privés de phases essentielles à l’humanisation (depuis leur premier souffle jusqu’aux années d’apprentissage de la parole et de la socialisation).

L’argument du protocole sanitaire doit être sérieusement interrogé. Nombre de scientifiques se sont élevés, en vain, contre l’absurdité des mesures prises. Derrière l’irresponsabilité d’un appareil administratif aveugle, il ne faut écarter ni l’œuvre de corruption d’une industrie pharmaceutique orientée exclusivement par la soif de profit, ni la possibilité de la volonté délibérée d’un ennemi invisible qui se sert de la crise sanitaire comme d’un prétexte.

Il est nécessaire d’établir ce fait par une enquête indépendante, sérieuse et objective, notamment en clarifiant les conflits d’intérêts entre gouvernants, administratifs et lobby pharmaceutique.

Parmi les nombreuses infractions en cause, la principale et la plus claire à établir est celle qui figure à l’article 211-1 du code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

C’est pourquoi

Vu que d’après l’article 68 de la Constitution et la Loi organique du 24 novembre 2014, dans le cas de manquement aux devoirs d’un Président de la République manifestement incompatible avec l’exercice d’un mandat, une Haute Cour peut prononcer la destitution du chef de l’Etat. L’initiative de cette procédure appartient à un dixième des parlementaires de l’une ou l’autre chambre qui déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour.

Vu l’article 68-2 de la Constitution du 4 octobre 1958 et les articles 13 et suivants de la loi n°93-1252 du 23 novembre 1993 sur la Cour de justice de la République, étant donné que pour la saisine de la Cour de Justice de la République, s’agissant de la responsabilité de ministres, le procureur général près la Cour de cassation peut agir d’office.

Vu l’article 40 du code de procédure pénal et la compétence des magistrats judiciaires, s’agissant de voie de fait et de crime commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions.

J’ai l’honneur de porter plainte, en tant que victime individuelle directe, contre le chef de l’Etat, contre ses ministres et contre son administration, et par conséquent, la chaîne de commandement et la spécialisation des procédures commandant une action trine,

De demander

Au parlementaire, de prendre l’initiative de déposer une proposition de résolution portant mise en accusation du président de la République, Emmanuel MACRON,

A Monsieur le Procureur Général près la cour de cassation, de saisir d’office la Cour de justice de la République concernant les premiers ministres, les ministres de la santé et de l’intérieur en exercice depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Nommément Madame Agnès BUZYN et Messieurs Edouard PHILIPPE, Jean CASTEX, Gérald DARMANIN, Olivier VERAN ainsi que tous ceux dont l’enquête déterminera la responsabilité,

A Monsieur le Procureur de la République, d’ouvrir une enquête afin de déterminer les négligences et les intentions, et, en fonction des résultats de cette enquête, de requérir les mises en examen nécessaires.

Sous toutes réserves

Le 30 novembre 2020

Marion BONNY
 

Madame ou Monsieur le sénateur

Palais du Luxembourg

15, rue de Vaugirard

75291 PARIS Cedex 06
 

Madame ou Monsieur le député

Assemblée nationale

126 rue de l’Université

75355 Paris 07 SP

 

Monsieur le Procureur près la Cour de cassation

Cour de cassation

5 quai de l’Horloge – TSA 19201

75055 Paris Cedex 01

 

Monsieur le Procureur de la République

Parvis du Tribunal de Paris

75017 PARIS

 
 

Auteur(s): FranceSoir

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