Un indice parfait de mesure de la soumission aux USA des pays : la détention de la dette Américaine.
Dans le listing vous remarquerez les pays ou l'influence Américaine est la plus élevée :
Situation en Juillet 2024
Les Royaumes Unis avec 728 milliards,
Le Luxembourg avec 400 milliards (paradis fiscal européen),
le Canada avec 377 milliards de Justin Trudeau,
Le Belgique avec 316 milliards, vu sa superficie et son économie ç'est un sacrifice complet,
l'Irlande et enfin,
La France pour 291 milliards en Octobre 2023 ç'était 235 milliards en 2017 à l'arrivée de Macron la détention etait de 70 milliards.
Vous vous demandiez outre les 40 milliards pour l'Ukraine, les 75 milliards pour le Covid ou était passé une partie de notre dette, et bien dans l'achat de celle des USA.
A votre avis pourquoi !
Mais cela n'explique pas tout le dérapage du déficit !
Henry
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Hit parade des gouvernements les PLUS SOUMIS à Washington
Alors qu'il n'y a plus d'argent dans les caisses, la France a quand même continué à acheter de la dette pourrie en dollars pour la somme de presque 300 milliards de dollars...
C'est un tel scandale qu'il y aurait de quoi jeter tout Bercy en prison pour haute trahison et sortir la guillotine pour Bruno Le Maire.
Mais ce tableau vous montre beaucoup plus de choses, en fait il vous donne le hit parade des gouvernements les PLUS SOUMIS à Washington et sous cet angle, la France arrive en 9e position alors que le Mexique (qui est à couteaux tirés avec les US) n'a acheté que pour 95 milliards.
En revanche si vous enlevez les 2 blanchisseuses Luxembourg et Iles Caïmans, dès lors la France se retrouve en 7e position, derrière la... Belgique (si, si) et à quasi égalité avec l'autre blanchisseur qu'est la Suisse.
Autre information : la Chine a sérieusement baissé son exposition, alors que le Japon, contrôlé par les US, est le PREMIER ACHETEUR de la dette dollars !
En revanche, les Allemands (101 milliards) et les Saoudiens freinent des quatre fers, n'ayant clairement plus trop confiance !
Question: combien d'hôpitaux, combien de lycées, de crèches, de maternelles, etc. Macron aurait-il pu reouvrir avec ces 290 milliards de dollars ?
Et en même temps, la Bank of Japan a décidé de vendre la dette de la France et de se désengager (9 milliards en juillet), sentant que la situation du pays ne peut qu'empirer, lire ici Bloomberg.
Écoutez cette courte vidéo qui nous apprend que #MACRON a acheté pour 112 milliards de $ des bons du Trésor Américain...mais pourquoi faire? @pierrejovanovic nous répond ...
Pierre de Gaulle avait évoqué la mise en place d'une titrisation de la dette pour l'épargne. C'est à dire que votre épargne va être transformée en titre (obligation) de participation à la dette Européenne.
En effet la dette Française sera fondue dans la dette générale Européenne, ç'est une manoeuvre subtile qui permet d'éponger les dettes des états mais aussi d'engager plus de dettes encore, car il y a des états qui ont une gestion rigoureuse , vous connaissez le principe des communautés de communes, elles n'ont pas permis un relèvement des comptes des communes mais un engagement plus profond dans les dettes, mettant ainsi les communes bien gérées dans l'embarras. Il en sera de même pour cette opération, suivant le fameux adage "to big to fail" - trop gros pour tomber. D'où la tentation au final de la pyramide de Ponzi, ç'est à dire faire de la cavalerie financière et de la faillite.
Cela va permettre également d'enchaîner les citoyens Européens à l'Europe par la dette. Les élus des états comme la France vont se défausser de leurs responsabilités comme d'habitude et refiler le baigneur à l'Europe.
Il ne faut pas se faire d'illusion, la dette ne fera que s'accroître et les rendements obligataires ne feront que baisser, du coup votre épargne disparaîtra dans les gestions calamiteuses des technocrates Européens.
Cependant il y a une chose que je tiens à dire ; après avoir laisser filer les déficits, laisser des dilapideurs de la Nation en place, je ne vous plaindrais pas ! Il fallait agir le moment venu, ils en ont profité, ils ont coulé le pays par la dette, dispersé la patrimoine sans que personne ne bronche donc il ne faut pas venir pleurer, d'autre part ça permettra peut être maintenant que votre épargne est engagée dans la les comptes publics de vous intéresser de prés à la gestion des gouvernants, qu'ils soient Français ou Européens. En sommes beaucoup vont être les dindons de la farce c' est arrivé à cause de votre inertie, toujours croire que les uns ou les autres favorisaient une épargne, une capitalisation plus ou moins rentable. Chacun a été au plus près de ses intérêts en ignorant l'intérêt commun qui était de se mêler de ce qui vous regardait ç'est à dire de la gestion de l'Etat. (un mandat et demi à 1 000 milliards de dettes faut le faire)
Maintenant vous aller découvrir qu'ils vous ont pris pour des pigeons, mais cela ça fait plusieurs décennies. Quant à eux ils seront toujours au dessus de la mêlée enfin pour le moment.
Bon courage
Henry
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Déficit : « L’UE va faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée »
Le journaliste et essayiste Tom Benoit revient pour Epoch Times sur le déficit public et le meurtre d’un agent municipal à Grenoble dimanche 8 septembre.
Epoch Times : Dans un courrier envoyé aux parlementaires en charge des questions budgétaires incluant une note du Trésor, le ministre sortant de l’Économie et des Finances, Bruno le Maire ainsi que celui des comptes publics, Thomas Cazenave ont mis en garde contre une dérive des comptes publics liée selon eux, à une « hausse extrêmement rapide des dépenses des collectivités territoriales ». Le déficit public pourrait représenter 5,6 % du PIB en 2024 contre les 5,1 % prévus par le gouvernement. Faut-il blâmer les collectivités territoriales ?
Tom Benoit : Non, il ne faut pas les blâmer, notamment pour plusieurs raisons. Premièrement, le discours qui consiste à accuser les collectivités territoriales vise, dans une forme de double langage, à justifier le fait que l’État central doit prendre le pas sur les collectivités territoriales en matière de dépenses comme de décisions, qu’elles soient urbanistiques, sociales ou entrepreneuriales, mais aussi que l’Union européenne doit prendre le pas sur les nations qui sont d’une certaine manière, des grandes collectivités territoriales.
Je dirais également que les dépenses des collectivités territoriales sont directement encadrées, structurées par les décisions politiques de l’État central. C’est, par exemple, l’État qui décide du nombre de fonctionnaires dans le pays, non pas les maires ou les présidents de régions.
Par ailleurs, concernant ce qu’on appelle de manière arbitraire la « transition écologique », c’est-à-dire un retour à plus d’écologie, plus de bien vivre avec une forme de respect de l’environnement, l’archaïsme qui peut être décidé par rapport à des mesures et des décisions ciblées par les collectivités territoriales serait bien plus efficace que toutes les décisions technocratiques et hors-sol qui sont prises à la fois aujourd’hui par les États européens et plus généralement par la Commission européenne.
L’ancien président du conseil des ministres italien, Mario Draghi a rendu ces derniers jours un rapport de 400 pages avec 170 propositions à la Commission européenne dans lequel on nous dit que l’Europe doit être davantage intégrée, c’est-à-dire une Europe qui s’endette comme un seul État pour tous les États, qui décide comme un seul gouvernement pour tous les gouvernements nationaux, avec d’une part, des émissions des titres obligataires communs à l’Europe et d’autre part, avec des commissaires européens, notamment à la Défense comme le souhaite Mario Draghi, très prochainement aux Finances, mais aussi au commerce intérieur.
Nous aurions alors des ministres de la Commission européenne qui seront en quelque sorte les ministres uniques de tous les États européens avec des dépenses décidées bien loin des territoires et des collectivités territoriales.
Selon des informations de La Tribune, le nouveau Premier ministre Michel Barnier a demandé à l’UE un délai supplémentaire pour le redressement des comptes de la France. L’hexagone a récemment été placé par Bruxelles en procédure de déficit excessif. Comment voyez-vous l’avenir de la France sur le plan budgétaire ?
Nous avons plus de 3100 milliards de dette publique avec une durée de vie moyenne de huit années et demie à rembourser, sinon plus justement à faire rouler. La grande question est de savoir si nous allons pouvoir nous endetter auprès des marchés financiers avec des taux longs qui vont très certainement augmenter. Aujourd’hui, on s’endette à un peu moins de 3 % en remplaçant de la dette majoritairement à zéro.
Deuxièmement, notre économie libérale, c’est-à-dire d’entreprises, est de plus en plus ankylosée par un commerce intérieur paralysé. Ce qui par ailleurs n’est pas le cas chez nos voisins allemands qu’on cite souvent comme exemple. Et on constate aujourd’hui que les Allemands sont en récession. Officieusement, la France l’est déjà. Elle ne l’est pas par rapport à des dépenses publiques faramineuses, mais sur un plan purement nominal, officiel et comptable.
Par ailleurs, j’observe que la situation des Allemands sur le plan public est bien plus rassurante que celle des Français. Les Allemands ont un commerce intérieur qui fonctionne, leur dette représente 65 % du PIB tandis qu’encore une fois, notre commerce intérieur est paralysé et notre endettement représente presque le double de celui de nos voisins d’outre-Rhin.
Si nous comparons avec l’Italie, nous pouvons également constater que Rome bénéficie contrairement à Paris d’un excédent commercial. Ce qui est un élément rassurant pour les Italiens qui eux aussi ont un déficit public abyssal.
En Europe, d’autres États s’en sortent très bien. Je pense notamment à l’Irlande qui ne sait plus quoi faire de son excédent, qui est en plus largement investi dans des sociétés américaines, donc à l’abri pour une longue durée – en tout cas, tant que la bourse américaine et que des valeurs comme Pfizer, Amazon et Apple se porteront convenablement.
Les finances de la France sont donc paralysées d’une part par la santé économique précaire de notre pays et d’autre part par les mauvaises décisions budgétaires. Je regrette que les décisions prises sur le plan purement économique et financier ne soient pas propices à relancer l’économie, et que les économies évoquées par le gouvernement soient totalement marginales. Je parle bien entendu des économies et pas des nouvelles taxations puisqu’il faut s’attendre à des réductions, par exemple au taux réduit de la TVA sur certains produits ou certaines catégories de produits. Plus largement, ce qui me préoccupe est que pour sauver l’euro, l’UE va faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée. Parce que, sans cela, jamais l’Allemagne, le Luxembourg ou l’Irlande n’accepteront de faire pot commun avec des pays comme la France ou l’Italie.
Le 8 septembre, Lilian Dejean, un agent municipal grenoblois a été tué par balles par un individu ayant provoqué un accident de la circulation dont il essayait de bloquer la fuite.L’auteur des tirs est toujours en fuite. Selon le procureur de la République de Grenoble Éric Vaillant, il est connu de la justice pour diverses infractions, notamment « vols, violences et trafic de stupéfiants ». Comment analysez-vous ce drame et quel regard portez-vous sur le profil du suspect ?
Contrairement à ce qu’a affirmé le maire de Grenoble Éric Piolle, ce n’est pas un accident. C’est un fait divers qui s’inscrit dans une multitude de faits divers récurrents. Je constate aussi que c’est un profil qui est de plus en plus impliqué dans ce type de drame.
J’ai tendance à penser que le problème provient davantage du manque de considération de certains individus à l’endroit de la nation et de l’idée que l’on se fait individuellement de la nation par rapport à ses parents, ses grands-parents, sa culture, son identité, que par rapport au fait de rencontrer des périodes de la vie parsemées de certaines formes de délinquance. Il y a toujours eu des délinquants.
Mais là où il y a une fracture qui est terriblement inquiétante aujourd’hui, c’est qu’il y a une catégorie de personnes qui est en dehors de l’ordre national et qui ne s’inscrit pas dans une nation, en l’occurrence la France. C’est la grande différence par rapport au passé.
Le maire écologiste de Grenoble Éric Piolle est critiqué après la mort de l’employé municipal. L’ancien maire LR de la ville iséroise et opposant d’Éric Piolle, Alain Carignon a estimé sur Cnews hier qu’il a « failli deux fois, comme maire et comme employeur ». Au micro d’Apolline de Malherbe, l’édile de Nice, Christian Estrosi a déclaré qu’ « Éric Piolle est un maire qui n’est pas sécuritaire et autoritaire » et qui « ne parle que de prévention ». Comment jugeriez-vous le bilan sécuritaire de l’actuel maire de Grenoble ?
Je ne serai pas très à même de juger le bilan sécuritaire du maire de Grenoble. En outre, son attitude vis-à-vis de ce drame m’a choqué. J’ai constaté qu’Éric Piolle avait une fâcheuse tendance à se réfugier, pour ne pas dire se défiler derrière certaines situations, notamment la circulation d’armes pour expliquer la mort de l’employé municipal.
Ce genre de drames n’est pas lié à la circulation des armes, mais au fait que certaines personnes se trouvent dans des dispositions malsaines qui conduisent justement à ces drames. Donc quand le maire parle d’accident ou émet il y a quelques mois l’idée d’étudier des possibilités permettant à des résidents de mieux vivre en proximité avec des dealers, je pense que le constat de Christian Estrosi sur la complaisance dont fait preuve Éric Piolle est juste.
Mais ce qui est davantage regrettable, c’est le manque de prise de responsabilité d’un maire et d’un homme politique qui affiche d’une façon assumée parfois des ambitions nationales. Cette faculté à se résoudre à accepter une décadence qui touche à la sécurité, à la santé et à la vie de ses concitoyens est dramatique.
Pierre de Gaulle, petit-fils du Général : il est fort probable que l'Etat contraigne les Français ayant de l'épargne, à contribuer au remboursement de la dette française, en particulier sous ...
Notre énorme #dette (3000 milliards + 5000 milliards ) nous enferme dans une situation de dépendance vis-à-vis de nos créanciers anglo-saxons Retrouvez @PierredeGaulle dans le Samedi Politique ...
Ce que j'avais prévu arrive, les pays dont l'économie est fragile et dont le surendettement est trop important vendent les dettes des pays dits alliés. Ce n'est donc que le début d'une grande déliquescence économique des pays Occidentaux, ces derniers se tiennent par la dette, chacun détenant la dette de l'autre sauf au moment ou il faut sauver sa peau !
Henry
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Le Japon se débarrasse de 9.2 milliards de $ de dette française
Nous allons parler de nos amis japonais qui viennent de larguer pour plus de 9.2 milliards de dollars de dettes françaises ce qui en fait l’une des plus grosse ventes.
Je vous en avais parlé dans un édito précédent de manière rapide.
Compte tenu de l’importance du sujet et des risque qui pèsent sur la dette française, il était utile de se pencher un peu plus sur cette histoire et de creuser un peu.
Alors que se passe-t-il du côté du Japon ?
Perte de confiance ? Spéculation ? Attaque sur la dette souveraine de la France ?
Essayons de comprendre ce qui se passe, les causes, les risques, et surtout, ce qui semble le plus probable, le Japon et la France faisant partie du G7 et de la même alliance politico-économico-militaire une attaque frontale contre la dette de notre pays semble une hypothèse peu crédible.
Voici les derniers éléments que je peux soumettre à votre sagacité !
Ici pas de vérité intangible, mais une analyse basée sur des probabilité analytiques.
Italie: la dette publique frôle les 3.000 milliards €, un nouveau record alarmant… La croissance occidentale n’existe plus car elle est artificiellement gonflée par toujours davantage de dettes et un creusement continu des déficits !
Italie : la dette publique frôle les 3.000 milliards d'euros, un nouveau record alarmant https://t.co/W3uhT6UUiF
Je crois que ça résume assez bien la situation ! Depuis le 30 juillet, la France est officiellement sous observation stricte de l'Union Européenne pour déficit excessif, La France doit remettre...
On ferme des lits d'hôpitaux, des classes, on veut tuer les vieux pour qu'ils débarrassent le plancher en économisant leur retraite pour l'état qui lui par le truchement du traître qui gouvern...
Les banques américaines sont en pleine déconfiture, stress bancaires négatifs, 539 fermetures de succursales, 600 milliards de dépôts ont quittés les USA depuis 2023, 525 milliards de pertes bancaires, liquidation des actifs douteux (revente comme en 2008), sur un fond de 168 000 de produits dérivés. La Chine suit le même parcours et les banques Chinoises liquident 70 % des bons du Trésor Américain.
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Les banques américaines signalent des pertes et augmentent leurs réserves pour pertes dans un contexte de hausse de 23 % des impayés
Richard Wolff tire la sonnette d’alarme: les grandes banques s’effondrent ! La récession économique mondiale s’est accélérée
Les banques américaines ont fermé 539 succursales en seulement 6 mois – Wells Fargo et Chase étant parmi celles qui ont fermé le plus
Les banques américaines ferment 28 succursales en seulement UNE semaine… Si ce rythme se poursuit pendant le reste de l’année 2024, cela signifie que plus de 1 000 succursales disparaîtront des centres commerciaux et des centres-villes.
La France et ses finances mis sous surveillance par l'Europe.
C'est après les élections législatives que l'Europe vient au secours de Macron pour empêcher de revenir sur toute réforme (telle la réforme des retraites) par le futur gouvernement et l'obliger à se conformer à une feuille de route budgétaire telle qu'elle sera prévue par la commission européenne (et les mondialistes).
Merci Von der Leyen !
Pour jeter un discrédit total sur la France et son gouvernement il suffirait d'un attentat durant les Jeux Olympiques ; bien sûr Macron se défausserait sur le premier Ministre arguant qu'il a fait le nécessaire pour la sécurité des jeux.
L'opprobre jetée sur la France et l'immobilisme parlementaire permettrait au FMI de mettre le pays sous tutelle budgétaire.
Ce dernier imposera une cure d'austérité qui permettrait alors de ponctionner l'épargne des Français comme lors de la crise Chypriote ou Grecque.
Macron artisan de la chute par la dette ira pleurer auprès des Institutions Internationales, le pays sera livré en pâture aux groupes financiers internationaux ; ce sera la curée, dès lors il pourra se consacrer à son élection à la Présidence de la Commission Européenne. La France sera muselée en devenant un état fédéré soumis à Bruxelles.
Quant à Bruno Le Maire il a déjà trouvé une issue en Suisse.
La Grèce passe à la semaine de travail de 6 jours.
Cette UE ultra corrompue instaure l'esclavage pour satisfaire les employeurs.pic.twitter.com/tVTvScWcti
Après sept ans passés à jouer le banquier du gouvernement, Bruno Le Maire est sur le point de quitter la France sans même dire Bercy ! Selon les infos du "Canard", il a même trouvé un point de chute en Suisse, à Lausanne.
— Le Canard enchaîné (@canardenchaine) July 16, 2024
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"On va ponctionner l'épargne des Français avec ce fameux plan de l'union des marchés de capitaux en octobre ou novembre ! Voilà le plan européiste! C'est le sujet brûlant du moment ! " @TomBenoit_ sur Putsch Live ! Entretien intégral ici :https://t.co/6NkvU2UV3Zpic.twitter.com/E0jPNPE3HR
L’Europe met la France et ses finances sous surveillance
Après l’ouverture d’une procédure déficit excessif, le prochain gouvernement devra serrer la ceinture budgétaire ou aller au conflit avec nos partenaires de la zone euro.
Francis Brochet - Aujourd'hui à 06:30 l'Est républicain
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La machine est en marche : les ministres européens de l’Économie ont discuté mardi des procédures de déficit excessif contre la France, l’Italie et cinq autres pays, qui seront lancées le 26 juillet prochain. En cause, les niveaux de déficit et de dette de ces pays, très supérieurs aux 3 % et 60 % fixés par le Pacte de stabilité de la zone euro.
La France se distingue avec un déficit public à 5,5 % du PIB en 2023, et une dette à 110,6 % - seules la Grèce et l’Italie font pire. « Bien sûr, nous sommes conscients des difficultés institutionnelles » de la France, a poliment concédé le commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, mais « il y a un besoin d’ajustement budgétaire ».
Il sera rude, au minimum de 14 à 15 milliards d’euros chaque année, évalue l’économiste Mathieu Plane (lire ci-dessous). Le ministre des Finances Bruno Le Maire a déjà annoncé pour cette année 25 milliards...
📺 Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici : https://bit.ly/3R2pVqo ✉️ Abonnez-vous à la Lettre des Affranchis, la lettre économique alternative...
Information a prendre avec des pincettes, cependant, il y a un contexte, deux sources, des recoupements. A voir sur le moment évidemment ! La France avec son épargne peut facilement combler le déficit actuel, ce seront les électeurs une fois de plus qui en feront les frais. Merci qui !
La France officiellement placée en redressement pour déficit excessif.
Plusieurs leçons à tirer de cela :
❌ La France n’est plus souveraine en matière budgétaire
❌ C’est la conséquence de la politique économique catastrophique de Le Maire et Macron : 1000 Md€ de dette en plus
❌ Le programme du NFP, base de l’alliance des perdants du premier tour, contre-nature, sera totalement inapplicable. Les castors se seront fait avoir une cinquième fois
La France officiellement placée en redressement pour déficit excessif.
Plusieurs leçons à tirer de cela :
❌ La France n’est plus souveraine en matière budgétaire
❌ C’est la conséquence de la politique économique catastrophique de Le Maire et Macron : 1000 Md€ de dette en… pic.twitter.com/cx7QuyXI5M
C’est officiel : Emmanuel Macron est sûr de perdre sa majorité relative à l’Assemblée nationale.
Un scénario prévisible vu les résultats des précédentes élections…
Mais pourquoi Macron a-t-il pris ce risque personnel démesuré, alors qu’il pouvait continuer de gouverner jusqu’en 2027 ?
C’est comme s’il avait voulu jouer à la roulette russe en étant sûr de perdre…
Une décision incompréhensible… SAUF si un risque majeur le demande.
Alors que voit arriver Emmanuel Macron dans les prochains jours, que nous ne voyons pas ?
Dans quelques instants, vous allez voir que ce chaos politique permet en réalité de cacher quelque chose de bien plus grave,
Grave pour la France, mais aussi pour votre argent.
Ce qu’Emmanuel Macron a “oublié” de vous dire
La grande majorité des gens n’ont aucune idée de ce qui est en train de se passer,
Et les médias préfèrent nous distraire en parlant du RN et du nouveau Front populaire,
Mais le mois dernier, la France a reçu une délégation entière du Fond Monétaire International (FMI)…
Une visite restée secrète que le gouvernement s’est bien gardé d’annoncer aux Français…
Car le FMI envisage de placer la France sous tutelle budgétaire
Une décision explosive qui aurait des conséquences bien plus graves que n’importe quel changement politique,
Car cette décision inquiète beaucoup les marchés financiers et menace directement vos économies :
Attention : CHAOS annoncé après le 15 août 2024
D’après Charles Gave, plusieurs fonds d’investissement se préparent à vendre les dettes françaises à partir du 15 août
Charles Gave est un gestionnaire de fonds Français entre Londres et Hong Kong depuis plus de 30 ans !
Et sa fine connaissance des marchés financiers en fait l’un de mes économistes préférés.
Écoutez bien la bombe qu’il a lâchée il y a quelques jours :
« Il y a bien un ou deux fonds de chez Soros et Schwartz détenant des dettes de l’État français prêts à se délester de concert vers le 15 août afin d’entraîner un marché baissier et une petite panique qui va bien.
Ce qu’il peut se passer est une attaque sur la dette… La France n’aura plus de liquidités, donc on appelle le FMI.”
Pour rappel : ces fonds d’investissement détiennent une partie importante de la dette Française.
Si ces fonds vendent leurs dettes, notre taux d’emprunt va littéralement exploser : c’est le dépôt de bilan assuré !
Si cette attaque a bien lieu vers le 15 août, juste après la fin des jeux Olympiques… Il nous reste seulement quelques semaines pour nous préparer.
C’est peut-être l’un des avertissements les plus graves de toute la carrière de Charles Gave, après avoir repéré les prémisses de la crise de l’euro dès 2003.
Selon lui, la dissolution de l’Assemblé nationale est une mascarade qui cache une menace bien plus grande pour votre argent :
Une dette incontrôlable qui va créer une panique sur les marchés et aboutir à une intervention du FMI
Deux graphiques indiquent un krach obligataire imminent en France : La vitesse d’endettement : la France s’est autant endettée en 7 ans qu’entre 1945 et 2004 :
Depuis 2017, le gouvernement actuel s’est presque autant endetté que le Général de Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand et Jacques Chirac réunis !
Rien que cette année en 2024, le gouvernement a dû contracter 200 milliards de dette auprès de plusieurs créanciers…
Et cela a une répercussion immédiate sur notre économie et le budget de l’État.
Car depuis 2022, le coût de la dette augmente 2 fois plus vite que les recettes de l’État
Le budget alloué au remboursement de la dette dépasse désormais celui du Ministère de l’Éducation nationale…
A ce rythme, le coût de la dette pourrait bientôt aussi engloutir le budget du ministère de l’intérieur d’ici à peine 3 ans.
Une situation intenable qui nous condamne à payer toujours plus d’impôts pour de moins en moins de services publics.
Une seule chose est sûre : nous sommes dans le dernier virage avant la chute finale.
La France est en danger, et vos économies aussi.
Et Emmanuel Macron le sait très bien.
Dissoudre l’assemblée nationale n’avait rien de démocratique. C’était un calcul purement politique.
Maintenant que la bombe de la Dette s’apprête à nous exploser au visage,
Le gouvernement, quelle que soit sa coloration politique, va devoir mener une cure d’austérité d’un violence inédite en France.
Il est donc très habile de la part d’Emmanuel Macron de faire endosser à l’opposition les mesures impopulaires à sa place.
C’est notamment ce que pense le trader et économiste Anice Lajnef
En instaurant un chaos politique à l’assemblée nationale, le parti présidentiel n’aura pas à endosser toute la responsabilité de l’austérité à venir !
Car ce plan d’austérité va toucher aussi bien les retraites que la santé, l’école, vos biens immobiliers et même vos comptes bancaires…
Egon Von Greyerz: « Nous assistons à la chute de l’empire américain, mais cette fois-ci, elle est financière plutôt que territoriale. La plupart des gouvernements européens sont des chiens de garde sous la puissance américaine. Mais à mesure que la bulle de la dette américaine éclate, leur supériorité financière et militaire va rapidement s’évaporer. »
We are seeing the fall of the US empire, but this time it is financial rather than territorial. Most European governments are lapdogs under the US might. But as the US debt bubble bursts, their financial and military superiority will rapidly evaporate.
🇸🇦 🇺🇲 Le pétrodollar a pris fin hier, le 9 juin 2024. Nous sommes désormais dans une nouvelle ère.
Un accord de 50 ans entre les États-Unis et l’Arabie Saoudite visant à vendre le pétrole uniquement en dollars est terminé.
Des temps turbulents et de grands changements… pic.twitter.com/MjUxf3QKrA
Un géant bancaire Japonais va vendre 63 milliards $ de bons du Trésor américain – Attendez-vous à des faillites et à des pertes encore plus importantes
La crise américaine est générale : immobilier, endettement des ménages, crise de la dette nationale, faillite des petites sociétés, etc.... petit à petit les Brics abandonnent le dollar, ç'est une dédollarisation générale, les USA ne parvenaient a vivre qu'avec la confiance que le monde accordait dans leur monnaie.
Aujourd'hui le dollar est remis en question, les pays Africains rapatrient leur or des USA, ç'est l'abandon du pétro -dollar.
A l'intérieur se déroule les pré élections, le tout sur fond de guerre en Ukraine !
Trump veut s'éloigner de L'OTAN, il y a fort à parier que ce que l'on nomme l'Etat profond agisse avant le terme des élections puisqu'il est en majorité soutenu par les complexes militaro industriels, d'une manière ou d'une autre, l'alerte sur une guerre civile aux USA n'est pas vains mots.
La tentation d'un conflit généralisé permettrait de faire d'une pierre deux coups, reprendre en mains l'intérieur et redynamiser l'économie Américaine en faillite via le biais de la production d'armement et la mobilisation générale ; vous voyez ou je veux en venir :
Le Chaos à bon dos, mais il permet aux élites de conserver le pouvoir, regardez ce qui se passe en France, calque de la société Américaine, comme si tout était de la même nature ou même tenue.
On y pressent la main invisible agissante et meurtrière qui sévit depuis des siècles sur le monde et notamment l'Europe enjeu de tous les conflits
Je pense qu'il faudra peu de temps pour que les fameux alliés n'abandonnent leur maître quand ils verront sa chûte proche, l'Europe sera vouée à disparaître en temps que sujet soumis de l'oncle Sam ; les peuples reprendront leur liberté et se regrouperont sous une autre forme, comme le fût autrefois l'Union Latine.
Soyez sur vos gardes ne tombez pas dans le panneau d'un manichéisme de façade ; ce monde n'est qu'une illusion
Écoutez cette courte vidéo qui nous apprend que #MACRON a acheté pour 112 milliards de $ des bons du Trésor Américain...mais pourquoi faire? @pierrejovanovic nous répond ...
Les avoirs étrangers en bons du Trésor américain ont diminué en avril par rapport au niveau record atteint en mars, selon les données du département du Trésor. Les avoirs en bons... -Le 18 j...
En 1790, la dette publique US n’était que de 70 millions $. En 1980, elle atteignait 1 000 milliards $ → un voyage de 220 ans. Les USA ont désormais dépassé le montant hallucinant de 34 500 milliards $. Il ne faudra pas longtemps avant que la bulle de la dette n’explose !
In 1790, US national debt was just $70 million
By 1980, it had hit $1 trillion → a 220 year journey
Une nouvelle restructuration est annoncée à la Société générale : elle devrait se conclure par la suppression de 947 postes au siège du groupe, à la Défense. Une réorganisation qui en rap...
ALERTE – La Crise sans fin des banques régionales américaines
La crise bancaire du printemps 2023 fut, avant tout et surtout, marquée par la faillite de trois banques régionales américaines. Ces types de banques, d’autant plus vulnérables aux conditions de marché et n’étant pas systémiques, connaissent encore aujourd’hui des difficultés financières susceptibles de mener à de nouvelles faillites. Le pouvoir gigantesque et singulier donné par les pouvoirs publics américains aux plus grands établissements bancaires et financiers ne peut qu’aggraver cette situation.Les temps à venir risquent d’être troubles pour les banques régionales américaines. Après des faillites en cascade au début de l’année 2023, et la réduction de la note de crédit de plusieurs banques par diverses agences de notation, leurs bénéfices n’ont cessé de se dégrader. Leurs résultats du dernier trimestre 2023 en témoignent. Ainsi notamment de KeyBank qui a connu une baisse de 90% sur un an, de Citizens Financial Group avec une baisse de 70%, et de PNC Financial Services, de plus de 40%. Nombreuses d’entre-elles chutent en bourse. Par exemple, la banque régionale américaine New York Community Bank, qui avait racheté Signature Bank lors de sa faillite au printemps dernier, a vu son titre perdre 40% après la publication de ses résultats. Ces banques, qualifiées de « régionales » par leur poids financier, dont la valeur des actifs est comprise entre 10 et 100 milliards de dollars, sont particulièrement dépendantes de la conjoncture.
La chute de leurs bénéfices est, en premier lieu, la conséquence de l’augmentation des taux d’intérêts par la Réserve fédérale américaine. Ces hausses entraînent, depuis deux ans déjà, une dépréciation des obligations qu’elles détiennent dans leur bilan (notamment des obligations d’états qui demeurent très liquides), et de lourdes pertes qui génèrent des fuites des dépôts au profit des plus grandes banques. Ces mouvements de capitaux sont exacerbés par l’absence de garantie des dépôts situés chez ces banques régionales, mais aussi par les rendements proposés qui restent globalement plus faibles que chez d’autres établissements. De plus, la numérisation des moyens de paiement et l’émergence des systèmes de paiement instantané intensifient ce phénomène, comme l’a montré le cas de la Silicon Valley Bank. Sa faillite a eu lieu en seulement dix heures, après 42 milliards de dollars de retraits de ses déposants, conduisant à des fuites de liquidités vers des banques disposant d’une garantie de soutien quoi qu’il en coûte par le gouvernement américain, telles que JP Morgan ou Bank of America (dont les profits ont atteint, d’ailleurs, des records sur le dernier trimestre 2023).
Pour contrecarrer cette situation, dans un contexte bancaire concurrentiel et une demande accrue des ménages pour des rendements élevés face à l’inflation, les banques régionales sont contraintes d’augmenter les intérêts qu’elles proposent. Cette hausse a un prix, très coûteux, qui impacte leurs bénéfices. D’autant que la composition de leurs revenus, davantage tirés par les dépôts de leurs clients que les banques systémiques, les obligent à accroître continuellement les rendements proposés.
Leur forte exposition à l’immobilier commercial (environ quatre à cinq fois plus importante que les plus grandes banques) aggrave cette situation puisque le secteur est en proie à de grandes difficultés. Aux États-Unis, les prix de l’immobilier commercial ont chuté de 11% depuis mars 2022, soit la baisse la plus importante jamais connue pendant un cycle de resserrement monétaire. Et tout porte à croire que cette situation perdura puisque, d’un côté, le travail à distance séduit de plus en plus de salariés (laissant des bureaux inoccupés), et d’autre part, car 1.200 milliards de dollars de dettes immobilières commerciales arriveront à échéance d’ici 2026 aux États-Unis alors que les taux d’intérêts devraient rester élevés pour plusieurs années et que le taux de défaillance ne cesse d’augmenter.
Dans le même temps, la situation économique américaine, marquée par une croissance économique qui ralentit malgré tout avec une hausse de 3.3% sur le dernier trimestre 2023, affecte aussi lourdement les résultats des banques régionales. La hausse de plus de 30% des faillites aux États-Unis entre 2022 et 2023 et la multiplication des défauts de paiement les incitent à épargner davantage qu’auparavant. Et l’apparition de nouvelles réglementations accentue ce phénomène, puisque la FDIC (organisme qui gère le fonds de garantie des dépôts dans le pays) demande aux banques d’augmenter leurs réserves afin de payer des frais visant à indemniser les déposants non assurés. Ces nouvelles réglementations, liées à la modification du modèle de perte de crédit, prennent désormais en compte le contexte bouleversant des taux d’intérêts élevés et les incertitudes futures basées sur des prévisions. Pour éviter le même scénario qu’en mars 2023, jugé avec recul comme l’une des pires crises bancaires de l’histoire moderne américaine, avec en termes d’actifs, trois faillites puis importantes que les vingt-cinq qui ont eu lieu en 2007-2008, les organismes de surveillance américains cherchent à prendre les précautions nécessaires. Mais ces mesures font toutefois fi des mouvements longs qui ont rendu ces banques, aujourd’hui comme hier, plus que jamais vulnérables.
La dévitalisation des banques régionales est avant tout liée aux politiques monétaires qui se sont succédé ces dernières décennies, favorisant toujours le plus riche (peu importe son activité et utilité), tant d’un point des ménages, que des entreprises, banques en premier lieu. Les baisses successives de taux d’intérêts et les liquidités abondantes ont accentué la conséquence principale du système-dette : la concentration des richesses. Par extension, le pouvoir s’est concentré dans les mains d’une minorité d’acteurs, permettant à ces derniers de prendre toujours plus de risque au détriment des autres. Cette inégalité structurelle n’a cessé de permettre aux plus grandes banques de racheter dans des montants symboliques des banques de moindre taille et très fragiles, comme l’a montré le rachat de First Republic Bank par JP Morgan, et de la Silicon Valley Bank par First Citizens Bank. Depuis 2008, le nombre de banques a ainsi diminué d’environ 40% aux États-Unis, et de plus de 80% depuis 1980.
La monnaie n’étant autre chose que de la confiance qui se concentre, et s’échange, elle se déplace dès lors vers les plus grandes banques (qui seraient d’ailleurs les premières à utiliser le dollar numérique de banque centrale lors de son instauration dans les années à venir)
Dans ce contexte, le risque de faillite s’accroît pour de nombreuses banques régionales. La chute de leurs bénéfices lors du dernier trimestre 2023 laisse craindre, à tout moment, l’irruption d’un épisode semblable voir plus tragique que celui de mars dernier. D’autant que si la demande de prêt diminue davantage sous l’effet de la hausse des taux d’intérêts, leurs bénéfices baisseront en conséquence. La dégradation de l’activité économique et la menace d’une récession aux États-Unis au cours de l’année à venir incitent, de plus, les banques à sélectionner et à restreindre leurs clients pour éviter de subir des défauts de paiement en cascade qui les fragiliseraient davantage. Malgré d’éventuelles baisses de taux par la Fed, les pressions auxquelles elles font aujourd’hui face ne vont pas disparaître mais, au contraire, s’accentuer dans un environnement global incertain.
Face à cette situation, les autorités publiques auraient tout intérêt, pour assurer la stabilité et la durabilité nécessaires, à décentraliser le système bancaire. Dans un premier temps, ils devraient accorder plus de pouvoir aux banques régionales, mais aussi aux plus petites banques, dont l’apport total pour l’économie réelle est majeur puisqu’elles distribuent, au total, près de 40% des prêts dans le pays. Cela doit non seulement passer par un soutien financier, mais aussi par la création et la multiplication de nouvelles banques intermédiaires ainsi que des caisses d’épargne, dans tous les états américains. Parallèlement, cette transition doit s’accompagner de mesures politiques visant à contraindre les plus grandes banques à financer des activités réellement utiles et productives, et à pénaliser les investissements destructifs. Enfin et surtout, cette décentralisation ne pourra perdurer que par un changement profond de la politique monétaire, libérée progressivement du système-dette et des maux qu’il génère, et par un retour à une création monétaire limitée qui stimule continuellement les échanges.
Si rien n’est fait en ce sens, alors le statu quo continuera à concentrer naturellement les richesses et le pouvoir dans les mains d’une minorité de banques, qui ne finira par distribuer des crédits qu’aux gagnants de ce même système. En 2023, par exemple, la banque systémique Goldman Sachs n’a cessé de renoncer à prêter aux consommateurs dits « ordinaires » pour augmenter les prêts (+12% sur un an) à ses clients privés qui détiennent en moyenne 60 millions de dollars auprès de la banque. Ainsi, les inégalités ne cesseront de s’accentuer jusqu’à mener, comme l’histoire l’a toujours montré, à des désordres des plus tragiques.