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7 avril 2024 7 07 /04 /avril /2024 17:58

vaccin DTC :  diphtérie, coqueluche, tétanos

 

Il a oeuvré en Afrique mais aussi en Inde tant et si bien qu'il est persona non grata dans certains pays, dans d'autres il est saisissable immédiatement pour crime. Voir dossier Fondation Bill et Mélinda Gates.

 

Henry

Bill Gates a tué « des millions d’enfants »en Afrique  avec le vaccin DTC, selon une étude du gouvernement danois

Bill Gates est responsable de la mort de centaines de millions de jeunes filles africaines, selon les conclusions d’une enquête du gouvernement danois qui allègue que le milliardaire mondialiste a détruit leur santé avec de dangereux vaccins DTC.

 

Bill Gates a demandé au gouvernement danois de soutenir la vaccination DTC de 161 millions d'enfants africains. Comme l'explique Robert F. Kennedy, les Danois étaient méfiants en raison de la mauvaise réputation du vaccin à cellules entières contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC), interdit en Europe et aux États-Unis, car il provoquait de graves lésions cérébrales et tuait une personne sur chaque. 300 enfants.

 

Cependant, Gates était responsable du maintien en vie du vaccin DTC en Afrique, et grâce à ses efforts, le vaccin a été administré à 161 millions d’enfants africains même après son interdiction dans les pays occidentaux pour avoir provoqué une mort massive.

 

Gates a déclaré au gouvernement danois que le vaccin avait sauvé 30 millions de vies en Afrique, le gouvernement danois a donc demandé les données, dont Gates n'avait aucune.

Le gouvernement danois a donc envoyé des chercheurs en Afrique et a mené ses propres études, enquêtant sur 30 ans de données sur le vaccin DTC.

Les enquêteurs avouent avoir été choqués par ce qu’ils ont découvert.

Les jeunes filles ayant reçu une injection du vaccin DTC de Gates mouraient à un taux 10 fois supérieur à celui de celles qui n'étaient pas vaccinées. Montre:

 

speech de Robert F. Kennedy junior ICI

 

Ces filles étaient protégées contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos, mais elles mouraient de causes que personne n'avait jamais associées au vaccin.

 

«Ils mouraient d'anémie, de paludisme, de maladie pulmonaire, de maladie respiratoire et de pneumonie», explique Robert F. Kennedy.

Bref, leur système immunitaire était complètement détruit. Ils étaient incapables de se défendre contre d’autres maladies mineures.

"Pendant trente ans, personne n'a remarqué que c'étaient les filles vaccinées, et non les filles non vaccinées, qui mouraient", a déclaré Kennedy.

 

Le professeur Christine Stabell Benn, l'un des chercheurs danois impliqués dans l'enquête, a remercié Robert F. Kennedy d'avoir partagé l'histoire du vaccin DTC en Afrique.

Le professeur Christine Stabell Benn donne une conférence TED à Copenhague l'année dernière.

Le professeur Benn s'est adressé à LinkedIn pour expliquer comment l'étude est parvenue à ses conclusions :

« De nombreuses personnes m'ont alerté sur le fait que Robert F. Kennedy Jr. avait mentionné les études de notre groupe sur le vaccin à cellules entières contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) utilisé en Afrique. Ils m'ont demandé si l'histoire était vraie. Permettez-moi de présenter l’histoire de notre point de vue. En bref, certains détails sont erronés, mais le message global – selon lequel nous avons découvert un signal de sécurité sérieux concernant le vaccin DTC pour les femmes – est correct.

« L’analyse a montré que l’introduction du vaccin DTC en Guinée-Bissau était associée à une multiplication par 2 de la mortalité globale. Chez les filles, l’estimation était une multiplication par 2,60 (IC à 95 % = 1,57–4,32) de la mortalité. Il convient de noter que ces études ont été publiées après l’examen de l’OMS. S'ils avaient été inclus dans l'étude de l'OMS, l'effet négatif du vaccin DTC aurait été plus fort.

« En 2020, nous avons revu l'ensemble des données, dans le cadre d'une revue majeure des effets non spécifiques . En incluant toutes les études avec un suivi prospectif, ainsi que les nouvelles études, pour un total de 17 études, le fait d'être vacciné contre le DTC par rapport au fait de ne pas être vacciné contre le DTC était associé à une mortalité 2,07 (IC à 95 % = 1,60-2,67) fois plus élevée. L'estimation était de 2,54 (1,68-3,86) chez les femmes. Parmi les enfants vaccinés par le DTC, les filles présentaient une mortalité presque 50 % plus élevée que les garçons (1,47 (1,18-1,84)). Une relation dose-réponse a été observée, le rapport de mortalité femmes-hommes augmentant avec chaque dose supplémentaire de vaccin DTC.

« La conclusion est très claire : le vaccin DTC à cellules entières utilisé dans les pays à faible revenu est associé à une mortalité accrue chez les femmes. Cette observation n'a pas été contredite par de bonnes études prospectives . Ce qui reste flou, c’est pourquoi l’OMS n’agit pas. Par conséquent, nous sommes heureux que Robert F. Kennedy Jr partage l’histoire du vaccin DTC, même s’il s’est trompé sur certains détails.

 

Baxter Dmitri
 
 
Baxter Dmitry est écrivain pour The People's Voice. Il couvre la politique, les affaires et le divertissement. Dire la vérité au pouvoir depuis qu'il a appris à parler, Baxter a voyagé dans plus de 80 pays et a remporté des débats dans chacun d'entre eux. Vivre sans peur.
Courriel : baxter@thepeoplesvoice.tv
 

 

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12 février 2024 1 12 /02 /février /2024 19:15

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19 novembre 2023 7 19 /11 /novembre /2023 18:58

Par Dr Gérard Delépine

Mondialisation.ca,

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium [1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections [2]. 

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes [3, 4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané [5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique  [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches). 

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

Mais aussi dans les pays scandinaves :

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

 « un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays.

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer 

Dr Gérard Delépine

Notes :

1 Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/ 

2 https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html 

3 Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

4Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58. 

5 De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

6 A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

7

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2023


Source : Mondialisation.ca

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1 octobre 2023 7 01 /10 /octobre /2023 19:16
Le gouvernement veut vacciner TOUS les bébés avec un vaccin expérimental appelé Nirsévimab. Son nom commercial est Beyfortus
 
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24 septembre 2023 7 24 /09 /septembre /2023 17:34

N'oubliez pas il y a des procès en cours suite aux vaccinations au gardasil en France ! (voir lien en bas)

 

_____________________________________

 

Le Gardasil la nouvelle poule aux œufs d'or de Bigpharma La corruption est bien plus gigantesque que vous ne pouvez l'imaginer ! C'est 100% de bénéfice pour les labos et ils sont 100% immunisés contre les conséquences juridiques des effets secondaires liés à la vaccination. Tant que les gens se comporteront comme des crétins, les politiques et Bigpharma les traiteront comme du bétail.

 

Odysee https://odysee.com/@laileastick:4/2023-051-Le-Gardasil-la-nouvelle-poule-aux-%C5%93ufs-d'or-de-bigpharma:9

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21 septembre 2023 4 21 /09 /septembre /2023 10:23
Voici donc les effets des entreprises du bienfaiteur de l'humanité
Vaccin DTP : décès et lésions cérébrales
 
 
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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:19

Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications

Par Me Virginie de Araujo-Recchia sur Telegram le 1er juillet 2023

Etant sollicitée actuellement par des associations et collectifs concernant la campagne de « vaccination » Gardasil à venir (rentrée 2023/2024) au sein des établissements scolaires, je réitère cette observation, qui était déjà dans mon rapport de novembre 2020 :

« En ce qui concerne la mise en place éventuelle, par le ministère de l’Education et le ministère de la Santé conjointement, d’une campagne de vaccination obligatoire au sein des établissements scolaires, nous rappellerons, que cela n’est pas autorisé par la loi, a fortiori dans l’hypothèse où le représentant légal n’a pas donné son accord.

En effet, dans le cadre des discussions en première lecture devant le Sénat, concernant le projet de loi n°1481 pour une école de la confiance (Loi promulguée n°2019-791 du 26 juillet 2019), le gouvernement avait déposé un amendement n° 508 modifiant l’article 16 ter du projet de loi (article définitif 53) ainsi rédigé:

« L’article L. 541-1 du code de l’éducation est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

Les médecins de l’éducation nationale peuvent prescrire des actes diagnostiques et, à titre préventif, des produits de santé. Un décret fixe la liste et les conditions de prescription de ces actes et produits de santé. Ces actes et produits sont remboursés par les caisses d’assurance maladie dans les conditions de prise en charge prévues par le code de la sécurité sociale.
« Les infirmiers de l’éducation nationale peuvent administrer aux élèves ou étudiants des médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire. À titre exceptionnel et dans le cadre de protocoles d’urgence, ils peuvent administrer des médicaments soumis à prescription médicale obligatoire. Un décret détermine les modalités d’application du présent alinéa et fixe les listes de médicaments soumis et non soumis à prescription médicale obligatoire que peuvent administrer les infirmiers de l’éducation nationale aux élèves et aux étudiants. »

Lors de la séance de discussion en date du 17 mai 2019 au Sénat, le ministre de l’Education justifiait notamment cette modification de la manière suivante, en reprenant l’exposé de l’amendement:

« M. Jean-Michel Blanquer, ministre. Cet amendement a un double objet.
Tout d’abord, il reprend l’article 16 ter, introduit en commission, en y apportant des améliorations rédactionnelles, afin de préciser le cadre des prescriptions par les médecins de l’éducation nationale de certains actes et produits de santé.
(…)
Les actes concernés seront des actes ou des produits préventifs, tels qu’un bilan orthophonique ou orthoptique, un vaccin, une contraception. Un décret en précisera la liste. (…)
Le second alinéa de l’amendement a pour objet de sécuriser juridiquement l’administration aux élèves ou aux étudiants, par les infirmiers de l’éducation nationale, de médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire, dont la liste sera fixée par décret.
Pratiquée sauf indication contraire d’un médecin ou des responsables légaux de l’enfant, l’administration ainsi encadrée de certains médicaments permet un retour rapide en classe ou permet de soulager l’élève dans l’attente d’une prise en charge adaptée.
(…)
Enfin, cet alinéa sécurise juridiquement l’administration par les infirmiers de l’éducation nationale de médicaments soumis à prescription médicale obligatoire dans le cadre des protocoles, en particulier le protocole national de soins et d’urgence élaboré par le ministère de l’éducation nationale avec le ministère chargé de la santé.
Ainsi, cet amendement tend à sécuriser utilement ces activités importantes au quotidien pour la santé et la scolarité des élèves, dans le respect du droit de s’y opposer que détiennent évidemment les responsables légaux de l’enfant. C’est donc un amendement pragmatique ».

(suite) Or, l’article 16 ter dudit projet de loi, devenu l’article 53 définitif a été censuré par le Conseil constitutionnel, par décision n°2019-787 DC du 25 juillet 2019 (paragraphes 13 à 15), comme étant contraire à la Constitution étant donné que cet article ne présentait alors aucun lien, même indirect, avec les dispositions qui figuraient dans le projet de loi déposé à l’origine sur le bureau de l’Assemblée nationale. »

https://www.senat.fr/amendements/2018-2019/474/Amdt_508.html

https://www.senat.fr/seances/s201905/s20190517/s20190517_mono.html#R16ter

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000038829161

J’ajoute que l’article L541-1 du code de l’éducation n’a toujours pas été modifié en ce sens à ce jour :

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043423973

Nous en concluons donc que les médecins et infirmiers de l’éducation nationale ne peuvent en aucun cas légalement administrer un vaccin aux élèves ou étudiants au sein des établissements scolaires, que ce soit avec ou sans le consentement de leur responsable légal.

Ils ne peuvent en aucun cas procéder à des actes médicaux.
Ces gestes médicaux ne peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires.

Les familles souhaitent donc savoir sur quelle base légale se fonde cette campagne vaccinale au sein des établissements scolaires.

 

Le Dr Gérard DÉLÉPINE, chirurgien cancérologue, apporte son éclairage : « Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications »

Fiche du Collectif Parents & Citoyens IDF

 
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11 juin 2023 7 11 /06 /juin /2023 18:34
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11 avril 2023 2 11 /04 /avril /2023 18:12

Coups covid de Pfizer

 

Depuis plus de deux ans, il y a eu des spéculations selon lesquelles les «vaccins» Covid-19 contenaient de l'oxyde de graphène, une substance toxique qui peut provoquer d'étranges caillots sanguins et détruire les globules rouges.

 

Alors que plusieurs études indépendantes menées par des médecins et des scientifiques ont confirmé que l'oxyde de graphène est présent dans ces injections, les régulateurs des médicaments et les vérificateurs des faits , avec le soutien des médias grand public, ont nié à plusieurs reprises ces affirmations.

 

 

Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a maintenant confirmé que l'oxyde de graphène se trouve dans l'ARNm des vaccins Covid après avoir été forcée de publier des documents confidentiels de Pfizer sur ordonnance de la Cour fédérale des États-Unis.

The Expose rapporte : La FDA avait initialement tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer pendant 75 ans, malgré l'approbation de l'injection après seulement 108 jours d'un examen de sécurité le 11 décembre 2020.

Cependant, un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux a poursuivi la FDA en vertu de la FOIA pour forcer la publication de centaines de milliers de documents liés à l'autorisation du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19.

Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois, et depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web au fur et à mesure de leur publication.

L'un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l'utilisation de l'oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19.

Le document est une description d'une étude menée par Pfizer entre le 7 avril 2020 et le 19 août 2020, dont l'objectif était "d'exprimer et de caractériser l'antigène vaccinal codé par BNT162b2".

La conclusion de l'étude est la suivante-

En termes simples, l'étude a été menée pour déterminer le fonctionnement du vaccin. L'étude a révélé que le vaccin utilisait de l'ARNm pour demander à vos cellules de produire une protéine (appelée P2 S), qui est la protéine Spike du prétendu virus Covd-19.

Les millions de protéines de pointe se lient ensuite à un récepteur appelé ACE2 à la surface de vos cellules, induisant une réponse du système immunitaire.

Mais ce qui est le plus intéressant dans l'étude, c'est qu'elle confirme à la page 7 que l'oxyde de graphène réduit est nécessaire pour fabriquer le vaccin Pfizer Covid-19 car il est nécessaire comme base pour les nanoparticules lipidiques.

Pfizer déclare à la page 7 de l'étude dans la section 3.4 ce qui suit -

Source – Page 7

C'est d'autant plus étrange que les régulateurs des médicaments, avec l'aide des médias grand public, ont nié pendant des mois que l'oxyde de graphène soit un ingrédient du vaccin Covid-19. Ils ont pu dire cela parce que ceux qui ont prouvé et spéculé que l'oxyde de graphène est dans l'injection Pfizer Covid19 ont posé la mauvaise question.

Ce que tout le monde aurait dû se demander, c'est : « L'oxyde de graphène est-il utilisé dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid ?

Car comme le montre ce document, que la FDA a tenté de garder confidentiel et scellé depuis 75 ans, l'Oxyde de Graphène est bel et bien utilisé dans le processus de fabrication du vaccin car il est vital pour contribuer à la stabilité des nanoparticules lipidiques du vaccin.

Par conséquent, des traces ou de grandes quantités, selon le lot, d'oxyde de graphène réduit se retrouvent inévitablement dans les injections Pfizer Covid-19.

 

 
Écrivain chez La Voix du Peuple
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3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 19:30

Vaccinator a encore frappé : après les 11 vaccins obligatoires pour les enfants en 2017, mais les enfants ne contestent pas et les parents l'ont ils fait dans la majorité des cas, il a récidivé avec la vaccination Covid a répétition à grands renforts de larmoiements et de citoyenneté, aujourd'hui il va séduire les adolescents pour les convaincre de se faire vacciner contre le papillomavirus.

Je reconnais qu'en effet les cancers induits par les papillomavirus sont inquiétants, mais le gardasil ne l'est pas moins ; là aussi ç'est un vaccin à larges suspicions, dont le parcours qui n'est pas récent est déjà émaillés de multiples procédures juridiques pour effets secondaires notoires.

Si vous désirez vous faire vacciner sur ce réfléchissez y a deux fois !

Henry

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GARDASIL : témoignage de Karine 25 ans
 

 

Charlie hebdo vaccine Macron - Courrier picard

 

Gardasil: l’étonnante précipitation du VRP Macron pour vacciner les enfants
 

 

 

Le 8 décembre 2022, le président de la République s’inquiétait de la faible couverture vaccinale des adolescents contre les infections à papillomavirus humains (HPV). Il déclarait à ce sujet vouloir “aller vite” et “faire dès l’école un énorme travail d’information”, sans exclure la possibilité de rendre obligatoire le vaccin Gardasil.

En visite dans un collège de Charente, ce mardi 1er mars, Emmanuel Macron appelle à une campagne de vaccination ”généralisée” des élèves de 5ème (11-13 ans). Un empressement qui interroge, alors qu’une class action (ndlr : action judiciaire collective) est initiée aux États-Unis : ses plaignants accusent le laboratoire Merck d’avoir exagéré les bénéfices du Gardasil et masqué des effets secondaires avérés. 

 

À quatre jours de la Journée mondiale de la sensibilisation autour des maladies induites par le papillomavirus humain, Emmanuel Macron enfile son costume de médecin.  

Procès en cours outre-Atlantique 

“À partir de la rentrée prochaine, pour tous les 5èmes, on va généraliser la vaccination” contre les HPV, a-t-il indiqué lors d’une rencontre avec des élèves dans un collège de Jarnac (Charente). Selon le président de la République, “cela permet d’éviter beaucoup de cancers. Beaucoup de pays l’ont fait”. 

Beaucoup de pays l’ont fait mais certains commencent sérieusement à en revenir. Les États-Unis assistent depuis le mois dernier à l’ouverture d’un procès contre le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD). 

Suite à l’enregistrement d’une action judiciaire collective en octobre 2022, les plaignants veulent obtenir réparation quant à des effets secondaires graves, et parfois même mortels, attribués au vaccin Gardasil 9, le même pourtant fréquemment préconisé par le Président français. 

Selon eux, ces effets adverses auraient été minorés par le fabricant. Quant aux bénéfices réels du vaccin en matière de protection face aux divers cancers faisant suite à une IST (infection sexuellement transmissible), ils auraient été exagérés. 

Une efficacité qui peine à être démontrée scientifiquement 

Les HPV sont l’IST la plus fréquente. Au cours de leur vie, près de 80% des personnes sont confrontées à ce virus. Pour autant, dans environ 90% des cas, selon la Haute autorité de Santé (HAS), sa disparition est effective en moins de 24 mois, sans conséquence pour la santé.  

Certes, si l’infection persiste, l’évolution d’une lésion précancéreuse (dysplasie) vers un cancer du col de l’utérus reste possible. Mais avec 0,7% des infections dégénérant en cancer, ce risque est rare et se produit après un délai moyen de 30 ans.  

Ainsi, le vaccin ne bénéficie que d’une “fenêtre de tir” particulièrement réduite pour démontrer son efficacité. Et la présence avérée d’effets secondaires pourrait très rapidement faire pencher la balance bénéfice-risque du mauvais côté.  

Ce n’est pas la première fois que l’efficacité du vaccin fait polémique après une présentation particulièrement flatteuse de la part de responsables politiques ou de sociétés savantes. 

Plan de communication 

En 2019, plusieurs d’entre elles avaient lancé l’appel des 50, une campagne de communication qui proposait “un dépistage et une vaccination universelle contre le papillomavirus”.  

Cet appel dressait un tableau dramatique du risque encouru par la jeunesse et préconisait “d’augmenter la couverture vaccinale des populations déjà ciblées en rétablissant activement la vérité scientifique et donc la confiance vis-à-vis de ces vaccins actifs et très bien tolérés”. 

Un avis qui n’est pas partagé aujourd’hui par les plaignants américains en procès contre Merck. Après avoir étudié 48 dossiers de victimes, le juge a constaté une homogénéité des problèmes de santé, aussi bien chez les hommes que chez femmes. 

En réponse à l’appel des 50, une quinzaine de professionnels de la santé avaient riposté à l’époque. Ils avaient rappelé de concert l’état de la science, la déontologie médicale et le principe de précaution face à cette vaccination.  

Cité dans un article de Paris Match du 30 avril 2019, signé par la journaliste Vanessa Boy-Landry, le pharmacien hospitalier Amine Umlil affirmait alors :  

“La communication de l’appel des 50 n’était ni objective, ni non trompeuse. Elle ne présentait pas le risque en perspective du bénéfice attendu et ne faisait pas état des éventuelles incertitudes, comme l’exigent le Code de la santé publique et les règles de communication rappelées en 2018 par l’Agence du médicament.” 

Corde sensible 

Des médecins avaient aussi vigoureusement contesté la vision naïve d’un vaccin présenté comme une “solution miracle”. Selon eux, l’appel des 50 n’était qu’une “opération de lobbying” qui demeurait “dans la pensée magique d’un produit révolutionnaire qui ne l’est pas”.  

Dans un autre article publié par Paris Match, le 11 janvier 2019, Vanessa Boy-Landry interrogeait Catherine Riva, une autre journaliste, fondatrice du collectif Re-check. Celle-ci déclarait :  

“Les meilleures données disponibles indiquent que la vaccination n'aura pas l'effet attendu. Les résultats des essais cliniques révèlent qu'il n'y a pas de différence d'efficacité statistiquement significative entre les filles vaccinées non porteuses des HPV ciblés par le vaccin et celles du groupe placebo. Les filles vaccinées ne font plus de lésions précancéreuses associées aux HPV 16 et 18, mais elles en font toujours autant!” 

Emmanuel Macron jouait pourtant le 8 décembre dernier, lors d’une conférence de presse à Fontaine-le-Comte, sur la corde sensible. Il décrivait l’urgence à vacciner les adolescents : “Pour un jeune, si ses parents disent de ne pas se faire vacciner, ça peut être trop tard”. Et alertait sur la faible couverture vaccinale : “On est en retard là-dessus.” 

Des propos à mettre en relation avec une autre analyse de Catherine Riva : 

“Brandir la couverture vaccinale comme un objectif sacré (…), c'est grotesque, intenable d'un point de vue scientifique, et choquant : ces vaccins sont administrés à une population jeune, a priori en parfaite santé, pour empêcher la survenue d'une maladie qu'on prévient par ailleurs déjà avec le frottis de dépistage. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n'y a rien d'obscurantiste à la poser”. 

Les premiers jugements dans l’affaire du Gardasil outre-Atlantique devaient initialement être rendus en septembre 2023. Soit comme le disait Emmanuel Macron, “à la prochaine rentrée des classes”, date à partir de laquelle le chef d’État souhaite voir appliquée “la généralisation de la vaccination”.  

Source

 

L'appel de Merck à abaisser l'âge du vaccin Gardasil contre le VPH n'est "qu'un autre stratagème marketing", déclare un critique

Les chercheurs de Merck ont ​​​​publié lundi une étude suggérant que des preuves montrent que le passage de la vaccination systématique contre le VPH aux âges de 9 à 10 ans peut améliorer les taux de couverture vaccinale au début et au milieu de l'adolescence, mais les critiques ont appelé le fabricant de vaccins à se concentrer sur les profits, pas sur la santé.

 

Affaires en justice et effets secondaires du Gardasil aux USA

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