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17 août 2024 6 17 /08 /août /2024 18:24
 

 

 

 

La variole portait un autre nom autrefois : la petite vérole !

 

Bientôt la petite vérole va se répandre sur la planète des Singes ; encore un coup des Russes !

 

N'oubliez pas il existe un Plan national de réponse à une menace de variole (2006)

 

La vaccination en France n'est plus devenu obligatoire depuis 1979 et les rappels étaient possibles jusqu'en 1984. Pour ceux nés avant 1979 on invoquera probablement un rappel s'ils veulent envenimer le risque.

 

Pourquoi n'invoque t on pas le contrôle migratoire permanent afin de juguler les risques majeurs de pandémie mondiale ou bien est ce pour se faire encore du pognon et attenter de plus en plus à nos libertés individuelles pour instaurer une société de contrôle social type Chinois !

 

Henry

 

_____________________________________

 

On Résume l’Arnaque Variole du Singe...
 

 
 
Variole du Singe : Comprendre ce virus et se protéger de la désinformation
 
La variole du singe est un virus qui peut être contrôlé par des mesures simples de prévention. La vaccination est inutile et potentiellement dangereuse.

Origine et Transmission :
– La variole du singe est un virus des forêts de l’Afrique orientale, transmis principalement par contact physique (sang, vésicules sur la peau), souvent par morsure.
– Il existe deux variants du virus : l’un avec un risque de mortalité et de morbidité de 0 %, et l’autre avec un risque entre 7 et 10 %.

 

 

Contamination entre Humains :
– Le risque principal reste le contact direct avec la peau des personnes infectées, notamment via les literies et le partage de vêtements.
– Il est crucial d’éviter les contacts intimes avec les personnes malades, y compris les baisers et les relations sexuelles.
– La transmission aérienne est nulle, tout comme la transmission par d’autres moyens.

Porteurs Asymptomatiques :
– Contrairement à d’autres maladies, il n’existe pas de porteurs asymptomatiques pour la variole du singe. Les personnes sont soit malades et contagieuses via les pustules, soit non malades et non contagieuses.

Traitement et Prévention :
– Le traitement est principalement symptomatique, avec l’utilisation de topiques comme l’azithromycine.
– La prévention est simple : éviter les contacts directs et intimes avec les personnes infectées. Un vaccin est inutile car la contamination nécessite un contact direct.

Informations sur le Vaccin

– Vaccin Existant :
Il n’existe pas de vaccin spécifique pour la variole du singe, mais le vaccin contre la variole humaine peut être utilisé en raison de l’immunité croisée. Les personnes nées avant 1980 ont probablement été vaccinées contre la variole humaine et possèdent donc des anticorps croisés.

– Risques du Vaccin :
Le vaccin contre la variole humaine est basé sur une souche de variole atténuée qui crée une mini-maladie locale. Cependant, il y a un risque de recombinaison moléculaire entre le virus de la variole du singe et la souche vaccinale, ce qui pourrait potentiellement recréer la variole humaine.

– Rapport Bénéfice/Risque :
Les effets secondaires du vaccin anti-variolique peuvent être plus dangereux que la variole du singe elle-même. Le rapport bénéfice/risque est donc inexistant, et la vaccination pourrait entraîner des conséquences graves.

Alerte à l’Attentat Organisé

Le Dr Zizi émet une alerte concernant un possible attentat bioterroriste organisé. Si la variole du singe devait se répandre rapidement, ce serait une preuve d’un relâchement volontaire et organisé, probablement orchestré par des entités comme l’OMS. Il souligne que la variole du singe n’est pas un virus aérogène et ne peut se disperser efficacement sans intervention humaine.

Conclusion

La variole du singe est un virus qui, bien que potentiellement dangereux, peut être contrôlé par des mesures simples de prévention. La vaccination est non seulement inutile mais aussi potentiellement dangereuse. Il est crucial de partager ces informations pour éviter la désinformation et les actions inappropriées. Le Dr Zizi appelle également à une vigilance accrue concernant les actions de l’OMS et d’autres entités impliquées dans la gestion de cette crise sanitaire.

Cet article est basé sur les publications du Dr Martin Zizi qui sont a retrouver sur son compte X.

Source

Un principe connu de tous les médecins : on ne vaccine jamais pendant une épidémie, ce qui augmente considérablement le taux de mortalité des vaccinés ! 

 

 

__________________________________

 

 

Le fabricant mondial du vaccin contre la variole du singe vient de demander à l’Agence européenne du médicament une homologation pour les adolescents de 12 à 17 ans !
 
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19 mai 2024 7 19 /05 /mai /2024 10:04
L’Institut Rockefeller et la grippe espagnole de 1918
 

Rockefeller

La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe, ni d’origine espagnole ?

 

Des documents récemment analysés révèlent que la « grippe espagnole » pourrait avoir été une expérience vaccinale militaire qui a mal tourné.

Résumé

La raison pour laquelle la technologie moderne n’a pas pu identifier la souche virale mortelle de cette grippe pandémique tient en ce que ce n’était pas la grippe en tant que telle qui était mortelle.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de soldats sont morts de maladies que tués par les balles.

La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe.

La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.

Une étude décrit des soldats comme :

[…] présentant des infections actives [qui] propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d’autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l’invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)

La grippe dite « espagnole » s’est attaquée à des personnes en bonne santé dans la fleur de l’âge. La pneumonie bactérienne s’attaque aux personnes dans la force de l’âge. La grippe s’attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées. Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d’origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier.

Pendant la pandémie de 1918-1919, la grippe dite « espagnole » a tué cinquante à cent millions de personnes, dont de nombreux soldats. Beaucoup de gens ne se rendent pas compte que la maladie a tué beaucoup plus de soldats de tous bords que les mitrailleuses ou le gaz moutarde ou tout ce qui est typiquement associé à la Première Guerre mondiale.

J’ai un lien personnel avec la grippe espagnole. Parmi les personnes tuées par la maladie en 1918-1919, il y a des membres des familles de mes deux parents.

Du côté de mon père, sa grand-mère Sadie Hoyt est morte d’une pneumonie en 1918. Sadie était secrétaire en Chef dans la marine. À sa mort, ma grand-mère Rosemary et sa sœur Anita ont été élevées par leur tante. La sœur de Sadie, Marian, s’est également engagée dans la marine. Elle est morte de la « grippe » en 1919.

Du côté de ma mère, deux des sœurs de son père sont mortes dans l’enfance. Tous les membres de la famille qui sont morts vivaient à New York.

Je soupçonne que de nombreuses familles américaines, et de nombreuses familles dans le monde entier, ont été touchées de la même manière par la mystérieuse grippe dite « espagnole ».

En 1918, « grippe » ou « influenza » était un terme fourre-tout pour désigner une maladie d’origine inconnue. Il n’avait pas la signification spécifique qu’il a aujourd’hui. Ce terme signifiait une maladie mystérieuse qui tombait du ciel. En fait, le terme « grippe » vient du latin médiéval influencia [de influere (« influer ») – NdT] au sens astrologique, qui signifie venir de l’influence des étoiles.

Pourquoi ce qu’il s’est passé il y a cent ans est-il important aujourd’hui ?

Entre 1900 et 1920, d’énormes efforts ont été déployés dans le monde industrialisé pour construire une société meilleure. J’utiliserai l’exemple de New York pour parler de trois changements majeurs de la société qui s’y sont produits à cette époque et de leur impact sur la mortalité due aux maladies infectieuses.

1. Eau propre et assainissement

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York a construit un système extraordinaire pour amener de l’eau propre à la ville depuis les Catskills, un système encore utilisé aujourd’hui. La ville de New York a également construit près de dix mille kilomètres d’égouts pour évacuer et traiter les déchets, ce qui protège l’eau potable. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l’importance de l’eau propre et de l’assainissement dans la lutte contre les maladies infectieuses. (2)

2. Électricité

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York a construit un réseau électrique et câblé la ville pour que l’électricité soit disponible dans chaque foyer. L’électricité permet la réfrigération. La réfrigération est un héros méconnu en tant que bienfait pour la santé publique. Lorsque les aliments sont réfrigérés de la ferme à la table, le public est protégé contre les maladies infectieuses potentielles. L’énergie renouvelable bon marché est importante pour de nombreuses raisons, notamment pour lutter contre les maladies infectieuses.

3. L’industrie pharmaceutique de Rockefeller

De la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle, New York est devenue le siège de l’Institut Rockefeller pour le Medical Research (aujourd’hui l’Université Rockefeller). L’Institut est le lieu où l’industrie pharmaceutique moderne est née et il fut le pionnier de nombreuses approches utilisées aujourd’hui par l’industrie pharmaceutique, y compris la préparation de sérums vaccinaux, pour le meilleur ou pour le pire. Le vaccin utilisé sur les soldats dans l’expérience de Fort Riley a été cultivé sur les chevaux.

Les données sur les taux de mortalité aux États-Unis du début du 20ème siècle à 1965 indiquent clairement que l’eau propre, les toilettes à chasse d’eau, les systèmes d’égouts efficaces et les aliments réfrigérés se sont tous combinés pour réduire efficacement la mortalité due aux maladies infectieuses AVANT que les vaccins contre ces maladies ne soient disponibles.

Les médecins et les sociétés pharmaceutiques se sont-ils vantés d’avoir réduit la mortalité due aux maladies infectieuses qui touchent légitimement les mineurs urbains [qui travaille dans des projets de construction souterrains ou sous-marins – NdT], les plombiers, les électriciens et les ingénieurs ?

Si l’orgueil de l’Institut Rockefeller en 1918 a conduit à une pandémie qui a tué des millions de personnes, quelles leçons pouvons-nous en tirer et comment pouvons-nous les appliquer à 2018 ? [Article publié à l’origine sur FirstFreedoms en 2018, et re-publié sur FortRussNews en 2020 avec autorisation – NdT].

La maladie n’avait rien d’espagnole

En regardant un épisode de American Experience sur PBS il y a quelques mois, j’ai été surpris d’apprendre que les premiers cas de « grippe espagnole » se sont produits à Fort Riley, au Kansas, en 1918. Je me suis demandé comment il était possible que cet événement d’importance historique ait pu être aussi mal nommé il y a cent ans et ne jamais être corrigé.

Pourquoi « espagnol » ? L’Espagne était l’un des rares pays à ne pas avoir participé à la Première Guerre mondiale. La plupart des pays impliqués dans la guerre ont censuré leur presse.

Libérés des préoccupations liées à la censure, les premiers rapports de presse faisant état de décès de personnes malades en grand nombre provenaient d’Espagne. Les pays en guerre ne voulaient pas effrayer davantage les troupes, ils se sont donc contentés de faire de l’Espagne un bouc émissaire. Les soldats de tous les camps devaient traverser le no man’s land sous les tirs des mitrailleuses, ce qui était déjà assez effrayant sans savoir que les tranchées étaient un terrain propice aux maladies.

Cent ans plus tard, il est grand temps de laisser tomber le mot « espagnol » de toute discussion sur cette pandémie. Si la grippe dite « espagnole » a débuté sur une base militaire américaine au Kansas, alors cette pathologie/pandémie pourrait et devrait être nommée de façon plus appropriée. Afin de prévenir de futures catastrophes, les États-Unis — et le reste du monde — doivent examiner attentivement ce qui a réellement causé la pandémie.

L’appellation de grippe « espagnole » n’a peut-être jamais été corrigée parce qu’elle contribue en partie à dissimuler l’origine de la pandémie.

Si l’origine de la pandémie est liée à une expérience de vaccination sur des soldats américains, les États-Unis auront sans doute préféré la nommer « grippe espagnole » plutôt que « bactérie de Fort Riley » de 1918, ou toute autre appellation similaire. La grippe dite « espagnole » a débuté sur les lieux mêmes où ce vaccin bactérien expérimental a été administré, ce qui en fait le principal suspect en tant que source des infections bactériennes à l’origine de la mort de tant de personnes.

Si une expérience vaccinale originaire des États-Unis réalisée au cours des années où la production était des plus rudimentaires causait la mort de cinquante à cent millions de personnes, il serait beaucoup plus difficile de maintenir le mantra marketing « les vaccins sauvent des vies ».

« L’Institut américain Rockefeller pour le Medical Research et son vaccin bactérien expérimental contre le méningocoque pourraient avoir tué cinquante à cent millions de personnes en 1918-1919 », est un slogan commercial bien moins efficace que celui trop simpliste les vaccins sauvent des vies, Kevin Barry.

Grippe espagnole - 2

Des policiers portant des masques fournis par la Croix-Rouge américaine à Seattle en 1918

La maladie à l’origine d’un si grand nombre de victimes n’était ni la grippe ni un virus. C’était une bactérie.

« Se préparer à une pandémie » est devenu au milieu des années 2000 un sujet de discussion récurrent. Pour développer des vaccins afin de prévenir tout autre « grippe » pandémique mortelle comme celle de 1918-1919, les fabricants de vaccins contre la grippe aux États-Unis ont reçu des milliards de dollars des contribuables.

Quand bien même les scientifiques savaient à l’époque que la pneumonie bactérienne constituait la véritable cause de mortalité, les fabricants de vaccins ont pu obtenir des milliards de dollars de subventions gouvernementales en capitalisant sur la composante « grippe » de la grippe dite « espagnole ».

Aujourd’hui, je pense que la pneumonie bactérienne fut responsable de cette pandémie — des milliers d’autopsies le confirment.

Selon un document de l’Institut national de la santé de 2008, la pneumonie bactérienne fut la cause des décès dans au moins 92,7 pour cent des autopsies menées en 1918-1919. Il est même probable qu’elle soit supérieure à 92,7 pour cent, puisque sur les neuf mille autopsies pratiquées par les scientifiques, « aucune ne présentait de résultats négatifs (bactériens) dans les cultures pulmonaires ».

[…] Dans les 68 séries d’autopsies parmi les plus qualitatives, au sein desquelles la possibilité de cultures négatives non signalées a pu être exclue, 92,7 pour cent des cultures pulmonaires d’autopsie étaient positives à la bactérie ≥1. … dans une étude portant sur environ 9 000 sujets qui ont été suivis depuis leur présentation clinique pour cause de grippe jusqu’à la guérison ou l’autopsie, les chercheurs ont obtenu, par le biais d’une technique stérile, des cultures de pneumocoques ou de streptocoques à partir de 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires.

On a pu dénombrer 89 cultures pures de pneumocoques ; 19 cultures dans lesquelles seuls des streptocoques étaient présents ; 34 cultures ont résulté en des mélanges de pneumocoques et/ou de streptocoques ; 22 cultures ont résulté en un mélange de pneumocoques, de streptocoques et d’autres organismes (principalement des pneumocoques et des streptocoques non hémolytiques) ; et 3 cultures ont uniquement résulté en des streptocoques non hémolytiques. Aucun résultat négatif n’a été obtenu des cultures pulmonaires. (3)

Des pneumocoques ou des streptocoques ont été trouvés dans « 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires » autopsiés. Cela représente 98,2 pour cent. La bactérie était l’agent pathogène.

D’où vient la pneumonie bactérienne de la grippe espagnole de 1918-1919 ?

Lorsque les États-Unis ont déclaré la guerre en avril 1917, l’industrie pharmaceutique naissante disposait d’une ressource sans précédent — un grand nombre de sujets humains pour des tests effectués sous forme de première ébauche de l’armée américaine.

Avant la guerre, en 1917, l’armée américaine comptait 286.000 hommes. Après la guerre, en 1920, l’armée américaine s’est dissoute et en comptait 296 000. [Bien que l’armistice ait été signé le 11 novembre 1918, la Première Guerre mondiale ne cesse pas ce jour-là : sur le front ouest, la démobilisation est lente et partielle jusqu’en 1921, et à l’Est, des combats d’un type nouveau se poursuivent jusqu’en 1923 – NdT]

Pendant les années de guerre 1918-1919, les effectifs de l’armée américaine ont atteint 6 000 000 d’hommes, dont 2.000.000 ont été envoyés outre-mer. L’Institut Rockefeller pour le Medical Research a profité de ce nouveau réservoir de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales.

Rapport sur la vaccination contre la méningite et observations sur les agglutinines dans le sang des porteurs chroniques de méningocoques, tel qu’enregistré par Frederick L. Gates, MD en 1918 depuis l’hôpital de base, Fort Riley, Kansas et de l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, New York. Reçu le 20 juillet 1918. [Note de l’auteur : Veuillez lire le document Pdf de Fort Riley dans son intégralité afin de pouvoir apprécier la négligence des expériences menées sur ces troupes.]

Entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, le Dr. Gates rend compte d’une expérience où des soldats ont reçu trois doses d’un vaccin contre la méningite bactérienne. Les personnes qui ont mené l’expérience sur les soldats se contentaient de doser au petit bonheur la chance le sérum vaccinal fabriqué à partir de chevaux.

Le programme vaccinal a été conçu sur la base de trois doses. La première dose a été administrée à 4 792 hommes, mais seulement 4 257 d’entre eux ont reçu la deuxième (soit une baisse de 11 %), et 3 702 ont reçu les trois doses (soit une baisse de 22,7 %). Au total, 1 090 hommes n’ont pas reçu la troisième dose. Qu’est-il arrivé à ces soldats ? Ont-ils été envoyés dans l’Est par train depuis le Kansas pour embarquer sur un bateau à destination de l’Europe ? Se trouvaient-ils à l’hôpital de Fort Riley ? Le rapport du Dr. Gates ne nous le dit pas.

Un article accompagnant l’émission « American Experience » que j’ai visionnée nous éclaire sur le lieu où auraient pu se trouver ces 1.090 hommes. Gates a commencé ses expériences en janvier 1918. En mars de cette année-là, « cent hommes par jour » entraient à l’infirmerie de Fort Riley. Certains de ces hommes sont-ils ceux qui manquent dans le rapport du Dr Gates — ceux-là même qui n’ont pas reçu la 2e ou 3e dose ?

[…] Peu avant le petit déjeuner du lundi 11 mars, le premier domino tombait, signalant le début de la première vague de grippe de 1918. Le cuisinier de la compagnie, Albert Gitchell, s’est présenté à l’infirmerie du camp en se plaignant d’un « mauvais rhume ». Juste derrière lui s’est présenté le caporal Lee W. Drake exprimant des plaintes similaires. À midi, le chirurgien du camp Edward R. Schreiner avait en charge plus de cent hommes malades, tous apparemment atteints de la même pathologie… (5)

Gates signale que plusieurs des hommes qui ont participé à l’expérience vaccinale ont présenté ensuite des symptômes de type grippal : toux, vomissements et diarrhée. Ces symptômes sont une catastrophe pour les hommes qui vivent dans des casernes, voyagent en train jusqu’à la côte atlantique, naviguent vers l’Europe, vivent et se battent dans des tranchées. Les conditions d’insalubrité à chaque étape du voyage constituent un environnement idéal pour la propagation d’une maladie contagieuse comme la pneumonie bactérienne.

D’après le rapport du Dr Gates :

Plusieurs cas de relâchement des intestins ou de diarrhée passagère ont été constatés. Ce symptôme n’avait jamais été rencontré auparavant. Une enquête minutieuse sur les cas individuels a souvent permis de découvrir que les hommes qui se plaignaient des effets de la vaccination souffraient au moment de l’injection de coryza léger, de bronchite, etc.

Parfois, la réaction était déclenchée par une sensation de froid ou de frilosité, et un certain nombre d’hommes se sont plaints de fièvre ou de sensations fébriles pendant la nuit suivante.

Viennent ensuite des nausées (parfois des vomissements), des vertiges et des « douleurs » générales dans les articulations et les muscles, qui, dans quelques cas, sont particulièrement localisées dans la région du cou ou des lombaires, provoquant une raideur de la nuque ou du dos. Quelques injections ont été suivies de diarrhée.

Les réactions ont donc parfois ressemblé au début d’une méningite épidémique et plusieurs hommes vaccinés ont été envoyés à l’hôpital de la Base pour diagnostic. (4)

Selon Gates, ils ont injecté à des soldats des doses aléatoires d’un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne. Par la suite, certains de ces soldats ont présenté des symptômes qui « imitaient » ceux de la méningite, mais le Dr Gates a déclaré de façon fantasque qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.

Les soldats ont développé des symptômes semblables à ceux de la grippe. La méningite bactérienne, à l’époque comme aujourd’hui, est connue pour provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe. (6)

La similitude des premiers symptômes de la méningite bactérienne et de la pneumonie bactérienne avec les symptômes de la grippe est peut-être la raison pour laquelle les expériences de vaccination à Fort Riley ont pu échapper à tout examen en tant que cause potentielle de la grippe dite « espagnole » depuis cent ans et plus.

Comment la grippe dite « espagnole » s’est-elle répandue si largement et si rapidement ?

Un élément propre à créer une tempête parfaite existe dans la façon dont la bactérie de Gates s’est répandue. La Première Guerre mondiale s’est terminée seulement dix mois après les premières injections. Malheureusement pour les 50 à 100 millions de morts, les soldats à qui l’on a injecté des bactéries chevalines se sont rapidement déplacés pendant ces dix mois.

Un article de 2008 sur le site du CDC décrit comment des soldats malades de la Première Guerre mondiale ont pu transmettre la bactérie à d’autres en devenant des « vecteurs de propagation ».

Enfin, pendant de brèves périodes et à des degrés divers, les hôtes affectés sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont accru l’aérosolisation des souches de bactéries colonisatrices, en particulier les pneumocoques, les streptocoques hémolytiques, Haemophilus influenzae et Staphylococcusaureus [bacille de Pfeiller et Staphylocoque doré – NdT].

Pendant plusieurs jours au cours des épidémies locales – en particulier dans les lieux très fréquentés tels que les salles d’hôpital, les camps militaires, les navires de transport de troupes et les mines (et les tranchées) — certaines personnes étaient immunologiquement sensibles, infectées ou en phase de guérison d’une infection par le virus de la grippe.

Les personnes présentant des infections actives propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d’autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l’invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)

A trois reprises dans son rapport sur l’expérience vaccinale de Fort Riley, le Dr Gates déclare que certains soldats ont eu une « réaction sévère » indiquant « une sensibilité individuelle inhabituelle au vaccin ».

Grippe espagnole - 1

Soldats de Fort Riley, Kansas, malades de la grippe dite « espagnole », dans un service hospitalier du Camp Funston

Bien que le vaccin ait rendu beaucoup de gens malades, il n’a tué que ceux qui y étaient sensibles. Ceux qui sont tombés malades et ont survécu sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont transmis la bactérie à d’autres, créant davantage de vecteurs de propagation, lesquels se sont propagé à d’autres personnes en tuant les personnes qui y étaient vulnérables. Et le cycle s’est répété au-delà des conditions d’insalubrité qui prévalaient en temps de guerre, et les millions de soldats sur lesquels faire des expériences n’étaient plus là.

Le bilan pour les troupes américaines fut énorme et il est bien documenté. Le Dr Carol Byerly décrit comment la « grippe » s’est propagée comme une traînée de poudre dans l’armée américaine — Substituez les termes de « grippe » ou de « virus » utilisés par le Dr Byerly par celui de « bactérie » :

[…] Quatorze des plus grands camps d’entraînement avaient signalé des épidémies de grippe en mars, avril ou mai, et certains des soldats infectés avaient transporté le virus avec eux à bord de navires à destination de la France…

Lorsque les soldats dans les tranchées sont tombés malades, les militaires les ont évacués des lignes de front et les ont remplacés par des hommes en bonne santé.

Ce processus a continuellement mis le virus en contact avec de nouveaux hôtes — de jeunes soldats en bonne santé dans lesquels il pouvait s’adapter, se reproduire et devenir extrêmement virulent sans danger d’épuisement.

[…] Avant qu’une interdiction de voyager puisse être imposée, un contingent de troupes de remplacement a quitté le Camp Devens près de Boston pour le Camp Upton à Long Island, qui était le point d’embarquement de l’armée pour la France, et a emporté la grippe avec lui.

Les médecins d’Upton ont déclaré qu’elle était arrivée « brusquement » le 13 septembre 1918, avec 38 admissions à l’hôpital, suivies de 86 le lendemain, et de 193 le jour suivant.

Les admissions à l’hôpital ont atteint un sommet le 4 octobre avec 483 personnes et, en quarante jours, Camp Upton a envoyé 6 131 hommes à l’hôpital pour cause de grippe. Certains ont développé une pneumonie si rapidement que les médecins l’ont diagnostiquée simplement en observant le patient plutôt qu’en écoutant ses poumons… (7)

Les États-Unis n’étaient pas le seul pays à posséder le vaccin bactérien expérimental de l’Institut Rockefeller.

Un rapport de 1919 de l’Institut indique qu’il « convient de mentionner qu’avant l’entrée en guerre des États-Unis (en avril 1917), l’Institut avait repris la préparation de sérum anti-méningococcique, afin de répondre aux demandes de l’Angleterre, de la France, de la Belgique, de l’Italie et d’autres pays. »

Le même rapport indique que « Afin de répondre à la demande soudainement accrue de sérums curatifs élaborés à l’Institut, une écurie spécialement dédiée aux chevaux fut rapidement construite… » (8)

Qu’est-ce qui pourrait donc mal tourner dans le fait qu’un sérum anti-méningococcique expérimental soit fabriqué à partir de chevaux et injecté à des soldats sur le point d’être soumis aux conditions de vie exiguës et insalubres de la guerre ?

Ce sérum bactérien fabriqué à l’Institut Rockefeller, injecté aux soldats américains et distribué dans de nombreux autres pays, est-il responsable des cinquante à cent millions de personnes tuées par des infections pulmonaires bactériennes en 1918-1919 ?

L’Institut affirme l’avoir distribué pendant la Première Guerre mondiale en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays. On n’en sait pas assez sur la façon dont ces pays ont mené leurs propres expérimentations sur leurs soldats.

J’espère que des scientifiques indépendants porteront un regard honnête sur ces questions.

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Je ne crois pas que quiconque ait participé à ces expériences vaccinales ait tenté de nuire à qui que ce soit. Certains verront le nom Rockefeller et crieront « Illuminati ! » ou « Réduction de la population ! ».

Je ne crois pas que c’est ce qui s’est passé. Je crois que l’orgueil médical standard est responsable — les médecins « se prennent pour Dieu » et pensent qu’ils peuvent apprivoiser la Nature sans créer de problèmes inattendus.

En ce qui concerne l’orgueil médical, je ne pense pas que la situation ait changé de manière significative au cours des cent dernières années.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

L’industrie des vaccins est toujours à la recherche de sujets humains. Elle a le plus de succès lorsqu’elle parvient à trouver des populations qui ne sont pas en mesure de refuser.

Les soldats (9), les nourrissons, les handicapés, les prisonniers, les habitants des pays en voie de développement — tous ceux qui ne sont pas en mesure de refuser.

L’expérimentation de vaccins sur les populations vulnérables n’est pas chose du passé. Regardez ce clip vidéo du Dr Stanley Plotkin où il décrit l’utilisation de vaccins expérimentaux sur les orphelins, les retardés mentaux, les prisonniers et les personnes sous domination coloniale. La déposition a eu lieu en janvier 2018. L’orgueil de la communauté médicale est le même, voire pire, qu’il y a cent ans.

Voici ce que le Dr Plotkin admet avoir écrit :

La question est de savoir si nous devons faire des expériences sur des adultes pleinement fonctionnels et sur des enfants qui sont potentiellement des contributeurs à la société ou si nous devons faire des études initiales sur des enfants et des adultes qui sont humains dans leur forme mais pas dans leur potentiel social.


Veuillez regarder l’effrayant clip vidéo du Dr Stanley Plotkin témoignant sous serment des expériences menées par l’industrie pharmaceutique sur des patients inconscients des enjeux parce que non informés.

 


En partie parce que la communauté mondiale est bien consciente de l’orgueil médical et du piètre bilan de l’éthique médicale, la Déclaration universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme a élaboré des normes internationales concernant le droit au consentement éclairé pour les procédures médicales préventives comme la vaccination.

La communauté internationale est bien consciente que l’industrie pharmaceutique commet des erreurs et est toujours à l’affût de sujets humains à tester. La Déclaration stipule que les individus ont le droit de consentir à toute intervention médicale préventive telle que la vaccination.

Article 3 — Dignité humaine et droits de l’homme

I. La dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés.

II. Les intérêts et le bien-être de l’individu devraient l’emporter sur le seul intérêt de la science ou de la société.

Article 6 – Consentement

I. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations suffisantes. Le cas échéant, le consentement devrait être exprès et la personne concernée peut le retirer à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice. (11)

L’eau propre, l’assainissement, les toilettes à chasse d’eau, les aliments réfrigérés et les régimes alimentaires sains ont fait et font encore beaucoup plus pour protéger l’humanité des maladies infectieuses que n’importe quel programme de vaccination. Les médecins et l’industrie des vaccins ont usurpé le crédit qui revient de droit aux plombiers, aux électriciens, aux mineurs urbains, aux ingénieurs et aux urbanistes.

Pour ces raisons, les décideurs politiques à tous les niveaux du gouvernement devraient protéger les droits de l’homme et les libertés individuelles des individus de se soustraire des programmes de vaccination par le biais d’exemptions. L’orgueil de la communauté médicale ne disparaîtra jamais. Les décideurs politiques doivent savoir que les vaccins, comme toutes les interventions médicales, ne sont pas infaillibles. Les vaccins ne sont pas magiques. Nous avons tous une sensibilité différente aux maladies. Les êtres humains ne répondent pas à une approche bonne pour tous et ont des besoins qui sont spécifiques à chacun.

En 1918-1919, l’industrie du vaccin a fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux.

En 2018, l’industrie du vaccin expérimente tous les jours sur des nourrissons. Le calendrier vaccinal n’a jamais été testé tel qu’il est administré [dans le temps et par rapport à l’accumulation des injections – NdT]. Les résultats de l’expérience sont toutefois connus : un enfant américain sur sept, entièrement vacciné, suit une forme ou une autre d’éducation spécialisée et plus de 50 % d’entre eux souffrent d’une maladie chronique. (12)

En 1918-1919, aucun suivi du ou des risques n’a été effectué après les vaccinations.

En 2018, il n’y a pratiquement pas de suivi du ou des risques après l’administration d’un vaccin.

Qui exactement vous a administré ce vaccin contre la grippe à Rite Aid [chaîne de pharmacies américaine – NdT] ? Avez-vous le numéro de portable de l’employé du magasin si quelque chose se passe mal ?

En 1918-1919, le fabricant n’était pas responsable des lésions ou des décès causés par les vaccins.

En 2018, aucune responsabilité n’est prévue pour les fabricants de vaccins en cas de lésions ou de décès causés par des vaccins, ce qui fut officialisé en 1986. (13)

En 1918-1919, aucune enquête indépendante n’a été menée pour contester l’histoire officielle selon laquelle la « grippe espagnole » était une mystérieuse maladie tombée du ciel. Je soupçonne que beaucoup de personnes de l’Institut Rockefeller savaient ce qu’il en était, et que beaucoup de médecins parmi ceux qui ont administré les vaccins aux troupes le savaient aussi, mais ces personnes sont mortes depuis longtemps.

En 2018, l’industrie pharmaceutique est le plus grand donateur des hommes politiques lors des campagnes électorales et le plus grand annonceur dans toutes les formes de médias, donc peu de choses ont changé en cent ans.

Cette histoire sera probablement ignorée par les grands médias parce que leurs salaires sont payés par la publicité pharmaceutique.

La prochaine fois que vous entendrez quelqu’un dire « les vaccins sauvent des vies », n’oubliez pas que la véritable histoire du rapport coût/bénéfice des vaccins est beaucoup plus compliquée que leur slogan en trois mots. N’oubliez pas non plus que les vaccins ont peut-être tué cinquante à cent millions de personnes en 1918-1919. Si c’est vrai, ces coûts ont largement dépassé tout bénéfice, surtout si l’on considère que les plombiers, les électriciens, les mineurs urbains et les ingénieurs ont fait, et continuent de faire, le vrai travail qui réduit la mortalité due aux maladies.

Les vaccins ne sont pas magiques. Les droits de l’homme et la bioéthique sont d’une importance capitale. Les décideurs politiques doivent comprendre l’histoire de l’orgueil médical et protéger les droits humains individuels et parentaux tels qu’ils sont décrits dans la Déclaration universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme.

Kevin Barry

Dr. Gary G. Kohls, MD


Il appartient à chacun de se forger sa propre opinion

Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Rockefeller

https://en.wikipedia.org/wiki/Rockefeller_University

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/14/8/07-1313_article

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2862337/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2126288/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2126288/pdf/449.pdf

https://www.freedomcenterdc.com/the-truth-about-the-spanish-flu-of-1918/

https://www.pbs.org/wgbh/americanexperience/features/influenza-first-wave/

https://www.disabilityscoop.com/2016/03/14/cdc-disability-prevalence/22034/

https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/meningitis/symptoms-causes/syc-20350508

https://www.sott.net/article/434959-Did-psychopath-Rockefeller-create-the-Spanish-Flu-pandemic-of-1918

https://www.fort-russ.com/2020/05/did-psychopath-rockefeller-create-the-spanish-flu-pandemic-of-1918/

https://fr.sott.net/article/35731-Le-psychopathe-Rockefeller-est-il-a-l-origine-de-la-pandemie-de-grippe-espagnole-de-1918

https://fr.sott.net/article/35505-La-Fondation-Rockefeller-et-le-programme-international-pour-la-sante-ou-l-ancetre-des-fondements-de-l-OMS

Article :

Traduction : Sott.net

À propos de l’auteur :

Kevin Barry est le président de First Freedoms, Inc. a 501.c.3. Il est un ancien procureur fédéral, un représentant au siège des Nations Unies à New York et l’auteur de Vaccine Whistleblower : Exposing Autism Research Fraud at the CDC [« Lanceur d’alerte en matière de vaccins – Démasquer la fraude du CDC dans le domaine de la recherche sur l’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]

Références :

[1]. Deaths from Bacterial Pneumonia during 1918-19 Influenza Pandemic – John F. Brundage* and G. Dennis Shanks† – Author affiliations: *Armed Forces Health Surveillance Center, Silver Spring, Maryland, USA; †Australian Army Malaria Institute, Enoggera, Queensland, Australia

[2]. World Health Organization: Unsafe drinking water, sanitation and waste management

[3]. J Infect Dis. 2008 Oct 1; 198(7): 962-970 – « Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness» – David M. Morens, Jeffery K. Taubenberger, and Anthony S. Fauci

[4]. PDF of Fort Riley Study(1918)

[5]. American Experience, « The First Wave », PBS

[6]. Mayo Clinic: Meningitis

[7]. Public Health Rep. 2010; 125(Suppl 3): 82-91 – « The U.S. Military and the Influenza Pandemic of 1918-1919» – Carol R. Byerly, PhD

[8]. Rockefeller Institute pamphlet PDF(1919)

[9]. « Is Military Research Hazardous to Veterans’ Health? Lessons Spanning Half a Century, A Staff Report Prepared for the Committee on Veterans’ Affairs» – United States Senate, December 1994

[10]. Stanley Plotkin: vaccine experiments on orphans, the mentally retarded, and others(January 2018)

[11]. Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme(19 octobre 2005)

[12]. CDC Offers New Stats On Disability Prevalence

[13]. 1986 Vaccine Injury Compensation Act

Vidéo :

[1] Vaccins – Dr. Stanley Plotkin : Déposition sous serment sur leurs sordides compositions – Mr Aphadolie / YouTube

Source

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7 avril 2024 7 07 /04 /avril /2024 17:58

vaccin DTC :  diphtérie, coqueluche, tétanos

 

Il a oeuvré en Afrique mais aussi en Inde tant et si bien qu'il est persona non grata dans certains pays, dans d'autres il est saisissable immédiatement pour crime. Voir dossier Fondation Bill et Mélinda Gates.

 

Henry

Bill Gates a tué « des millions d’enfants »en Afrique  avec le vaccin DTC, selon une étude du gouvernement danois

Bill Gates est responsable de la mort de centaines de millions de jeunes filles africaines, selon les conclusions d’une enquête du gouvernement danois qui allègue que le milliardaire mondialiste a détruit leur santé avec de dangereux vaccins DTC.

 

Bill Gates a demandé au gouvernement danois de soutenir la vaccination DTC de 161 millions d'enfants africains. Comme l'explique Robert F. Kennedy, les Danois étaient méfiants en raison de la mauvaise réputation du vaccin à cellules entières contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC), interdit en Europe et aux États-Unis, car il provoquait de graves lésions cérébrales et tuait une personne sur chaque. 300 enfants.

 

Cependant, Gates était responsable du maintien en vie du vaccin DTC en Afrique, et grâce à ses efforts, le vaccin a été administré à 161 millions d’enfants africains même après son interdiction dans les pays occidentaux pour avoir provoqué une mort massive.

 

Gates a déclaré au gouvernement danois que le vaccin avait sauvé 30 millions de vies en Afrique, le gouvernement danois a donc demandé les données, dont Gates n'avait aucune.

Le gouvernement danois a donc envoyé des chercheurs en Afrique et a mené ses propres études, enquêtant sur 30 ans de données sur le vaccin DTC.

Les enquêteurs avouent avoir été choqués par ce qu’ils ont découvert.

Les jeunes filles ayant reçu une injection du vaccin DTC de Gates mouraient à un taux 10 fois supérieur à celui de celles qui n'étaient pas vaccinées. Montre:

 

speech de Robert F. Kennedy junior ICI

 

Ces filles étaient protégées contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos, mais elles mouraient de causes que personne n'avait jamais associées au vaccin.

 

«Ils mouraient d'anémie, de paludisme, de maladie pulmonaire, de maladie respiratoire et de pneumonie», explique Robert F. Kennedy.

Bref, leur système immunitaire était complètement détruit. Ils étaient incapables de se défendre contre d’autres maladies mineures.

"Pendant trente ans, personne n'a remarqué que c'étaient les filles vaccinées, et non les filles non vaccinées, qui mouraient", a déclaré Kennedy.

 

Le professeur Christine Stabell Benn, l'un des chercheurs danois impliqués dans l'enquête, a remercié Robert F. Kennedy d'avoir partagé l'histoire du vaccin DTC en Afrique.

Le professeur Christine Stabell Benn donne une conférence TED à Copenhague l'année dernière.

Le professeur Benn s'est adressé à LinkedIn pour expliquer comment l'étude est parvenue à ses conclusions :

« De nombreuses personnes m'ont alerté sur le fait que Robert F. Kennedy Jr. avait mentionné les études de notre groupe sur le vaccin à cellules entières contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) utilisé en Afrique. Ils m'ont demandé si l'histoire était vraie. Permettez-moi de présenter l’histoire de notre point de vue. En bref, certains détails sont erronés, mais le message global – selon lequel nous avons découvert un signal de sécurité sérieux concernant le vaccin DTC pour les femmes – est correct.

« L’analyse a montré que l’introduction du vaccin DTC en Guinée-Bissau était associée à une multiplication par 2 de la mortalité globale. Chez les filles, l’estimation était une multiplication par 2,60 (IC à 95 % = 1,57–4,32) de la mortalité. Il convient de noter que ces études ont été publiées après l’examen de l’OMS. S'ils avaient été inclus dans l'étude de l'OMS, l'effet négatif du vaccin DTC aurait été plus fort.

« En 2020, nous avons revu l'ensemble des données, dans le cadre d'une revue majeure des effets non spécifiques . En incluant toutes les études avec un suivi prospectif, ainsi que les nouvelles études, pour un total de 17 études, le fait d'être vacciné contre le DTC par rapport au fait de ne pas être vacciné contre le DTC était associé à une mortalité 2,07 (IC à 95 % = 1,60-2,67) fois plus élevée. L'estimation était de 2,54 (1,68-3,86) chez les femmes. Parmi les enfants vaccinés par le DTC, les filles présentaient une mortalité presque 50 % plus élevée que les garçons (1,47 (1,18-1,84)). Une relation dose-réponse a été observée, le rapport de mortalité femmes-hommes augmentant avec chaque dose supplémentaire de vaccin DTC.

« La conclusion est très claire : le vaccin DTC à cellules entières utilisé dans les pays à faible revenu est associé à une mortalité accrue chez les femmes. Cette observation n'a pas été contredite par de bonnes études prospectives . Ce qui reste flou, c’est pourquoi l’OMS n’agit pas. Par conséquent, nous sommes heureux que Robert F. Kennedy Jr partage l’histoire du vaccin DTC, même s’il s’est trompé sur certains détails.

 

Baxter Dmitri
 
 
Baxter Dmitry est écrivain pour The People's Voice. Il couvre la politique, les affaires et le divertissement. Dire la vérité au pouvoir depuis qu'il a appris à parler, Baxter a voyagé dans plus de 80 pays et a remporté des débats dans chacun d'entre eux. Vivre sans peur.
Courriel : baxter@thepeoplesvoice.tv
 

 

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12 février 2024 1 12 /02 /février /2024 19:15

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19 novembre 2023 7 19 /11 /novembre /2023 18:58

Par Dr Gérard Delépine

Mondialisation.ca,

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium [1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections [2]. 

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes [3, 4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané [5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique  [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches). 

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

Mais aussi dans les pays scandinaves :

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

 « un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays.

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer 

Dr Gérard Delépine

Notes :

1 Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/ 

2 https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html 

3 Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

4Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58. 

5 De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

6 A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

7

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2023


Source : Mondialisation.ca

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1 octobre 2023 7 01 /10 /octobre /2023 19:16
Le gouvernement veut vacciner TOUS les bébés avec un vaccin expérimental appelé Nirsévimab. Son nom commercial est Beyfortus
 
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24 septembre 2023 7 24 /09 /septembre /2023 17:34

N'oubliez pas il y a des procès en cours suite aux vaccinations au gardasil en France ! (voir lien en bas)

 

_____________________________________

 

Le Gardasil la nouvelle poule aux œufs d'or de Bigpharma La corruption est bien plus gigantesque que vous ne pouvez l'imaginer ! C'est 100% de bénéfice pour les labos et ils sont 100% immunisés contre les conséquences juridiques des effets secondaires liés à la vaccination. Tant que les gens se comporteront comme des crétins, les politiques et Bigpharma les traiteront comme du bétail.

 

Odysee https://odysee.com/@laileastick:4/2023-051-Le-Gardasil-la-nouvelle-poule-aux-%C5%93ufs-d'or-de-bigpharma:9

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21 septembre 2023 4 21 /09 /septembre /2023 10:23
Voici donc les effets des entreprises du bienfaiteur de l'humanité
Vaccin DTP : décès et lésions cérébrales
 
 
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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:19

Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications

Par Me Virginie de Araujo-Recchia sur Telegram le 1er juillet 2023

Etant sollicitée actuellement par des associations et collectifs concernant la campagne de « vaccination » Gardasil à venir (rentrée 2023/2024) au sein des établissements scolaires, je réitère cette observation, qui était déjà dans mon rapport de novembre 2020 :

« En ce qui concerne la mise en place éventuelle, par le ministère de l’Education et le ministère de la Santé conjointement, d’une campagne de vaccination obligatoire au sein des établissements scolaires, nous rappellerons, que cela n’est pas autorisé par la loi, a fortiori dans l’hypothèse où le représentant légal n’a pas donné son accord.

En effet, dans le cadre des discussions en première lecture devant le Sénat, concernant le projet de loi n°1481 pour une école de la confiance (Loi promulguée n°2019-791 du 26 juillet 2019), le gouvernement avait déposé un amendement n° 508 modifiant l’article 16 ter du projet de loi (article définitif 53) ainsi rédigé:

« L’article L. 541-1 du code de l’éducation est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

Les médecins de l’éducation nationale peuvent prescrire des actes diagnostiques et, à titre préventif, des produits de santé. Un décret fixe la liste et les conditions de prescription de ces actes et produits de santé. Ces actes et produits sont remboursés par les caisses d’assurance maladie dans les conditions de prise en charge prévues par le code de la sécurité sociale.
« Les infirmiers de l’éducation nationale peuvent administrer aux élèves ou étudiants des médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire. À titre exceptionnel et dans le cadre de protocoles d’urgence, ils peuvent administrer des médicaments soumis à prescription médicale obligatoire. Un décret détermine les modalités d’application du présent alinéa et fixe les listes de médicaments soumis et non soumis à prescription médicale obligatoire que peuvent administrer les infirmiers de l’éducation nationale aux élèves et aux étudiants. »

Lors de la séance de discussion en date du 17 mai 2019 au Sénat, le ministre de l’Education justifiait notamment cette modification de la manière suivante, en reprenant l’exposé de l’amendement:

« M. Jean-Michel Blanquer, ministre. Cet amendement a un double objet.
Tout d’abord, il reprend l’article 16 ter, introduit en commission, en y apportant des améliorations rédactionnelles, afin de préciser le cadre des prescriptions par les médecins de l’éducation nationale de certains actes et produits de santé.
(…)
Les actes concernés seront des actes ou des produits préventifs, tels qu’un bilan orthophonique ou orthoptique, un vaccin, une contraception. Un décret en précisera la liste. (…)
Le second alinéa de l’amendement a pour objet de sécuriser juridiquement l’administration aux élèves ou aux étudiants, par les infirmiers de l’éducation nationale, de médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire, dont la liste sera fixée par décret.
Pratiquée sauf indication contraire d’un médecin ou des responsables légaux de l’enfant, l’administration ainsi encadrée de certains médicaments permet un retour rapide en classe ou permet de soulager l’élève dans l’attente d’une prise en charge adaptée.
(…)
Enfin, cet alinéa sécurise juridiquement l’administration par les infirmiers de l’éducation nationale de médicaments soumis à prescription médicale obligatoire dans le cadre des protocoles, en particulier le protocole national de soins et d’urgence élaboré par le ministère de l’éducation nationale avec le ministère chargé de la santé.
Ainsi, cet amendement tend à sécuriser utilement ces activités importantes au quotidien pour la santé et la scolarité des élèves, dans le respect du droit de s’y opposer que détiennent évidemment les responsables légaux de l’enfant. C’est donc un amendement pragmatique ».

(suite) Or, l’article 16 ter dudit projet de loi, devenu l’article 53 définitif a été censuré par le Conseil constitutionnel, par décision n°2019-787 DC du 25 juillet 2019 (paragraphes 13 à 15), comme étant contraire à la Constitution étant donné que cet article ne présentait alors aucun lien, même indirect, avec les dispositions qui figuraient dans le projet de loi déposé à l’origine sur le bureau de l’Assemblée nationale. »

https://www.senat.fr/amendements/2018-2019/474/Amdt_508.html

https://www.senat.fr/seances/s201905/s20190517/s20190517_mono.html#R16ter

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000038829161

J’ajoute que l’article L541-1 du code de l’éducation n’a toujours pas été modifié en ce sens à ce jour :

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043423973

Nous en concluons donc que les médecins et infirmiers de l’éducation nationale ne peuvent en aucun cas légalement administrer un vaccin aux élèves ou étudiants au sein des établissements scolaires, que ce soit avec ou sans le consentement de leur responsable légal.

Ils ne peuvent en aucun cas procéder à des actes médicaux.
Ces gestes médicaux ne peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires.

Les familles souhaitent donc savoir sur quelle base légale se fonde cette campagne vaccinale au sein des établissements scolaires.

 

Le Dr Gérard DÉLÉPINE, chirurgien cancérologue, apporte son éclairage : « Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications »

Fiche du Collectif Parents & Citoyens IDF

 
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11 juin 2023 7 11 /06 /juin /2023 18:34
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