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Par Me Virginie de Araujo-Recchia sur Telegram le 1er juillet 2023
Etant sollicitée actuellement par des associations et collectifs concernant la campagne de « vaccination » Gardasil à venir (rentrée 2023/2024) au sein des établissements scolaires, je réitère cette observation, qui était déjà dans mon rapport de novembre 2020 :
« En ce qui concerne la mise en place éventuelle, par le ministère de l’Education et le ministère de la Santé conjointement, d’une campagne de vaccination obligatoire au sein des établissements scolaires, nous rappellerons, que cela n’est pas autorisé par la loi, a fortiori dans l’hypothèse où le représentant légal n’a pas donné son accord.
En effet, dans le cadre des discussions en première lecture devant le Sénat, concernant le projet de loi n°1481 pour une école de la confiance (Loi promulguée n°2019-791 du 26 juillet 2019), le gouvernement avait déposé un amendement n° 508 modifiant l’article 16 ter du projet de loi (article définitif 53) ainsi rédigé:
« L’article L. 541-1 du code de l’éducation est complété par deux alinéas ainsi rédigés :
Les médecins de l’éducation nationale peuvent prescrire des actes diagnostiques et, à titre préventif, des produits de santé. Un décret fixe la liste et les conditions de prescription de ces actes et produits de santé. Ces actes et produits sont remboursés par les caisses d’assurance maladie dans les conditions de prise en charge prévues par le code de la sécurité sociale.
« Les infirmiers de l’éducation nationale peuvent administrer aux élèves ou étudiants des médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire. À titre exceptionnel et dans le cadre de protocoles d’urgence, ils peuvent administrer des médicaments soumis à prescription médicale obligatoire. Un décret détermine les modalités d’application du présent alinéa et fixe les listes de médicaments soumis et non soumis à prescription médicale obligatoire que peuvent administrer les infirmiers de l’éducation nationale aux élèves et aux étudiants. »
Lors de la séance de discussion en date du 17 mai 2019 au Sénat, le ministre de l’Education justifiait notamment cette modification de la manière suivante, en reprenant l’exposé de l’amendement:
« M. Jean-Michel Blanquer, ministre. Cet amendement a un double objet.
Tout d’abord, il reprend l’article 16 ter, introduit en commission, en y apportant des améliorations rédactionnelles, afin de préciser le cadre des prescriptions par les médecins de l’éducation nationale de certains actes et produits de santé.
(…)
Les actes concernés seront des actes ou des produits préventifs, tels qu’un bilan orthophonique ou orthoptique, un vaccin, une contraception. Un décret en précisera la liste. (…)
Le second alinéa de l’amendement a pour objet de sécuriser juridiquement l’administration aux élèves ou aux étudiants, par les infirmiers de l’éducation nationale, de médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire, dont la liste sera fixée par décret.
Pratiquée sauf indication contraire d’un médecin ou des responsables légaux de l’enfant, l’administration ainsi encadrée de certains médicaments permet un retour rapide en classe ou permet de soulager l’élève dans l’attente d’une prise en charge adaptée.
(…)
Enfin, cet alinéa sécurise juridiquement l’administration par les infirmiers de l’éducation nationale de médicaments soumis à prescription médicale obligatoire dans le cadre des protocoles, en particulier le protocole national de soins et d’urgence élaboré par le ministère de l’éducation nationale avec le ministère chargé de la santé.
Ainsi, cet amendement tend à sécuriser utilement ces activités importantes au quotidien pour la santé et la scolarité des élèves, dans le respect du droit de s’y opposer que détiennent évidemment les responsables légaux de l’enfant. C’est donc un amendement pragmatique ».
(suite) Or, l’article 16 ter dudit projet de loi, devenu l’article 53 définitif a été censuré par le Conseil constitutionnel, par décision n°2019-787 DC du 25 juillet 2019 (paragraphes 13 à 15), comme étant contraire à la Constitution étant donné que cet article ne présentait alors aucun lien, même indirect, avec les dispositions qui figuraient dans le projet de loi déposé à l’origine sur le bureau de l’Assemblée nationale. »
https://www.senat.fr/amendements/2018-2019/474/Amdt_508.html
https://www.senat.fr/seances/s201905/s20190517/s20190517_mono.html#R16ter
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000038829161
J’ajoute que l’article L541-1 du code de l’éducation n’a toujours pas été modifié en ce sens à ce jour :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043423973
Nous en concluons donc que les médecins et infirmiers de l’éducation nationale ne peuvent en aucun cas légalement administrer un vaccin aux élèves ou étudiants au sein des établissements scolaires, que ce soit avec ou sans le consentement de leur responsable légal.
Ils ne peuvent en aucun cas procéder à des actes médicaux.
Ces gestes médicaux ne peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires.
Les familles souhaitent donc savoir sur quelle base légale se fonde cette campagne vaccinale au sein des établissements scolaires.
BREAKING: Tennessee, Missouri, North Dakota, Idaho, and Arizona legislators have all introduced bills to ban mRNA from meat, or require labels on its packaging.
— Leading Report (@LeadingReport) June 11, 2023
Depuis plus de deux ans, il y a eu des spéculations selon lesquelles les «vaccins» Covid-19 contenaient de l'oxyde de graphène, une substance toxique qui peut provoquer d'étranges caillots sanguins et détruire les globules rouges.
Alors que plusieurs études indépendantes menées par des médecins et des scientifiques ont confirmé que l'oxyde de graphène est présent dans ces injections, les régulateurs des médicaments et les vérificateurs des faits , avec le soutien des médias grand public, ont nié à plusieurs reprises ces affirmations.
Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a maintenant confirmé que l'oxyde de graphène se trouve dans l'ARNm des vaccins Covid après avoir été forcée de publier des documents confidentiels de Pfizer sur ordonnance de la Cour fédérale des États-Unis.
The Expose rapporte : La FDA avait initialement tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer pendant 75 ans, malgré l'approbation de l'injection après seulement 108 jours d'un examen de sécurité le 11 décembre 2020.
Cependant, un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux a poursuivi la FDA en vertu de la FOIA pour forcer la publication de centaines de milliers de documents liés à l'autorisation du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19.
Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois, et depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web au fur et à mesure de leur publication.
L'un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l'utilisation de l'oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19.
Le document est une description d'une étude menée par Pfizer entre le 7 avril 2020 et le 19 août 2020, dont l'objectif était "d'exprimer et de caractériser l'antigène vaccinal codé par BNT162b2".
La conclusion de l'étude est la suivante-
En termes simples, l'étude a été menée pour déterminer le fonctionnement du vaccin. L'étude a révélé que le vaccin utilisait de l'ARNm pour demander à vos cellules de produire une protéine (appelée P2 S), qui est la protéine Spike du prétendu virus Covd-19.
Les millions de protéines de pointe se lient ensuite à un récepteur appelé ACE2 à la surface de vos cellules, induisant une réponse du système immunitaire.
Mais ce qui est le plus intéressant dans l'étude, c'est qu'elle confirme à la page 7 que l'oxyde de graphène réduit est nécessaire pour fabriquer le vaccin Pfizer Covid-19 car il est nécessaire comme base pour les nanoparticules lipidiques.
Pfizer déclare à la page 7 de l'étude dans la section 3.4 ce qui suit -
C'est d'autant plus étrange que les régulateurs des médicaments, avec l'aide des médias grand public, ont nié pendant des mois que l'oxyde de graphène soit un ingrédient du vaccin Covid-19. Ils ont pu dire cela parce que ceux qui ont prouvé et spéculé que l'oxyde de graphène est dans l'injection Pfizer Covid19 ont posé la mauvaise question.
Ce que tout le monde aurait dû se demander, c'est : « L'oxyde de graphène est-il utilisé dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid ?
Car comme le montre ce document, que la FDA a tenté de garder confidentiel et scellé depuis 75 ans, l'Oxyde de Graphène est bel et bien utilisé dans le processus de fabrication du vaccin car il est vital pour contribuer à la stabilité des nanoparticules lipidiques du vaccin.
Par conséquent, des traces ou de grandes quantités, selon le lot, d'oxyde de graphène réduit se retrouvent inévitablement dans les injections Pfizer Covid-19.
Vaccinator a encore frappé : après les 11 vaccins obligatoires pour les enfants en 2017, mais les enfants ne contestent pas et les parents l'ont ils fait dans la majorité des cas, il a récidivé avec la vaccination Covid a répétition à grands renforts de larmoiements et de citoyenneté, aujourd'hui il va séduire les adolescents pour les convaincre de se faire vacciner contre le papillomavirus.
Je reconnais qu'en effet les cancers induits par les papillomavirus sont inquiétants, mais le gardasil ne l'est pas moins ; là aussi ç'est un vaccin à larges suspicions, dont le parcours qui n'est pas récent est déjà émaillés de multiples procédures juridiques pour effets secondaires notoires.
Si vous désirez vous faire vacciner sur ce réfléchissez y a deux fois !
Henry
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🔴GARDASIL - Le témoignage de Karine 25 ans (Mars 2016)
— JDLM (@NicolasPichot6) March 1, 2023
👉"3 mois après, on m'annonce que j'ai une sclérose en plaques"
📢⚡️⚡️⚡️ pic.twitter.com/qatr6V8G1G
Le 8 décembre 2022, le président de la République s’inquiétait de la faible couverture vaccinale des adolescents contre les infections à papillomavirus humains (HPV). Il déclarait à ce sujet vouloir “aller vite” et “faire dès l’école un énorme travail d’information”, sans exclure la possibilité de rendre obligatoire le vaccin Gardasil.
En visite dans un collège de Charente, ce mardi 1er mars, Emmanuel Macron appelle à une campagne de vaccination ”généralisée” des élèves de 5ème (11-13 ans). Un empressement qui interroge, alors qu’une class action (ndlr : action judiciaire collective) est initiée aux États-Unis : ses plaignants accusent le laboratoire Merck d’avoir exagéré les bénéfices du Gardasil et masqué des effets secondaires avérés.
À quatre jours de la Journée mondiale de la sensibilisation autour des maladies induites par le papillomavirus humain, Emmanuel Macron enfile son costume de médecin.
“À partir de la rentrée prochaine, pour tous les 5èmes, on va généraliser la vaccination” contre les HPV, a-t-il indiqué lors d’une rencontre avec des élèves dans un collège de Jarnac (Charente). Selon le président de la République, “cela permet d’éviter beaucoup de cancers. Beaucoup de pays l’ont fait”.
Beaucoup de pays l’ont fait mais certains commencent sérieusement à en revenir. Les États-Unis assistent depuis le mois dernier à l’ouverture d’un procès contre le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD).
Suite à l’enregistrement d’une action judiciaire collective en octobre 2022, les plaignants veulent obtenir réparation quant à des effets secondaires graves, et parfois même mortels, attribués au vaccin Gardasil 9, le même pourtant fréquemment préconisé par le Président français.
Selon eux, ces effets adverses auraient été minorés par le fabricant. Quant aux bénéfices réels du vaccin en matière de protection face aux divers cancers faisant suite à une IST (infection sexuellement transmissible), ils auraient été exagérés.
Les HPV sont l’IST la plus fréquente. Au cours de leur vie, près de 80% des personnes sont confrontées à ce virus. Pour autant, dans environ 90% des cas, selon la Haute autorité de Santé (HAS), sa disparition est effective en moins de 24 mois, sans conséquence pour la santé.
Certes, si l’infection persiste, l’évolution d’une lésion précancéreuse (dysplasie) vers un cancer du col de l’utérus reste possible. Mais avec 0,7% des infections dégénérant en cancer, ce risque est rare et se produit après un délai moyen de 30 ans.
Ainsi, le vaccin ne bénéficie que d’une “fenêtre de tir” particulièrement réduite pour démontrer son efficacité. Et la présence avérée d’effets secondaires pourrait très rapidement faire pencher la balance bénéfice-risque du mauvais côté.
Ce n’est pas la première fois que l’efficacité du vaccin fait polémique après une présentation particulièrement flatteuse de la part de responsables politiques ou de sociétés savantes.
En 2019, plusieurs d’entre elles avaient lancé l’appel des 50, une campagne de communication qui proposait “un dépistage et une vaccination universelle contre le papillomavirus”.
Cet appel dressait un tableau dramatique du risque encouru par la jeunesse et préconisait “d’augmenter la couverture vaccinale des populations déjà ciblées en rétablissant activement la vérité scientifique et donc la confiance vis-à-vis de ces vaccins actifs et très bien tolérés”.
Un avis qui n’est pas partagé aujourd’hui par les plaignants américains en procès contre Merck. Après avoir étudié 48 dossiers de victimes, le juge a constaté une homogénéité des problèmes de santé, aussi bien chez les hommes que chez femmes.
En réponse à l’appel des 50, une quinzaine de professionnels de la santé avaient riposté à l’époque. Ils avaient rappelé de concert l’état de la science, la déontologie médicale et le principe de précaution face à cette vaccination.
Cité dans un article de Paris Match du 30 avril 2019, signé par la journaliste Vanessa Boy-Landry, le pharmacien hospitalier Amine Umlil affirmait alors :
“La communication de l’appel des 50 n’était ni objective, ni non trompeuse. Elle ne présentait pas le risque en perspective du bénéfice attendu et ne faisait pas état des éventuelles incertitudes, comme l’exigent le Code de la santé publique et les règles de communication rappelées en 2018 par l’Agence du médicament.”
Des médecins avaient aussi vigoureusement contesté la vision naïve d’un vaccin présenté comme une “solution miracle”. Selon eux, l’appel des 50 n’était qu’une “opération de lobbying” qui demeurait “dans la pensée magique d’un produit révolutionnaire qui ne l’est pas”.
Dans un autre article publié par Paris Match, le 11 janvier 2019, Vanessa Boy-Landry interrogeait Catherine Riva, une autre journaliste, fondatrice du collectif Re-check. Celle-ci déclarait :
“Les meilleures données disponibles indiquent que la vaccination n'aura pas l'effet attendu. Les résultats des essais cliniques révèlent qu'il n'y a pas de différence d'efficacité statistiquement significative entre les filles vaccinées non porteuses des HPV ciblés par le vaccin et celles du groupe placebo. Les filles vaccinées ne font plus de lésions précancéreuses associées aux HPV 16 et 18, mais elles en font toujours autant!”
Emmanuel Macron jouait pourtant le 8 décembre dernier, lors d’une conférence de presse à Fontaine-le-Comte, sur la corde sensible. Il décrivait l’urgence à vacciner les adolescents : “Pour un jeune, si ses parents disent de ne pas se faire vacciner, ça peut être trop tard”. Et alertait sur la faible couverture vaccinale : “On est en retard là-dessus.”
Des propos à mettre en relation avec une autre analyse de Catherine Riva :
“Brandir la couverture vaccinale comme un objectif sacré (…), c'est grotesque, intenable d'un point de vue scientifique, et choquant : ces vaccins sont administrés à une population jeune, a priori en parfaite santé, pour empêcher la survenue d'une maladie qu'on prévient par ailleurs déjà avec le frottis de dépistage. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n'y a rien d'obscurantiste à la poser”.
Les premiers jugements dans l’affaire du Gardasil outre-Atlantique devaient initialement être rendus en septembre 2023. Soit comme le disait Emmanuel Macron, “à la prochaine rentrée des classes”, date à partir de laquelle le chef d’État souhaite voir appliquée “la généralisation de la vaccination”.
Les chercheurs de Merck ont publié lundi une étude suggérant que des preuves montrent que le passage de la vaccination systématique contre le VPH aux âges de 9 à 10 ans peut améliorer les taux de couverture vaccinale au début et au milieu de l'adolescence, mais les critiques ont appelé le fabricant de vaccins à se concentrer sur les profits, pas sur la santé.
Affaires en justice et effets secondaires du Gardasil aux USA
Vaccin Gardasil ! Attention effets secondaires ! - Vouillé un peu d'Histoire
Cancer: Le Gardasil, un vaccin à l'effet boomerang Océane a subi six attaques cérébrales depuis sa 2e injection de Gardasil. Vaccin indiqué en prévention du cancer du col de l'utérus dû à ...
https://www.henrydarthenay.com/2022/12/vaccin-gardasil-attention-effets-secondaires.html
Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l'AFP Factuel
Auteur(s) Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir 1) NON, IL N'EXISTE AUCUNE PREUVE D'EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l'AFP Factuel, est mensonger : Pour ...
https://www.profession-gendarme.com/gardasil-10-mensonges-dans-un-seul-article-de-lafp-factuel-2/
Un scandale sanitaire le vaccin Gardasil - Vouillé un peu d'Histoire
Souvenez vous : 7 octobre 2019 GARDASIL: augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées confirmée sur analyse des registres officiels des cancers Un petit rappel alors ! POUR NOUS SOUTENIR
https://www.henrydarthenay.com/2020/07/un-scandale-sanitaire-le-vaccin-gardasil.html
L’aluminium dans les vaccins, c’est utile ou dangereux ? Pour y répondre, un documentaire qui nous amène des réponses aussi précises qu’effrayantes. Cancer, papillomavirus, Big Pharma, ce documentaire est une bombe. Vidéo ici : https://t.co/Z442WssVBU pic.twitter.com/LTnY5JkO30
— Vivre Sainement (@VSainement) January 18, 2023
IL VEUT TUER LA PLANETE CE DINGUE !
(Natural News) Les sbires insidieux de Bayer fabriquent des vaccins à ARNm pour les animaux en Allemagne, y compris pour des variantes potentielles du SRAS-CoV-2. Merck vend déjà des vaccins à ARNm pour les porcs et exploite la technologie des particules d’ARN pour d’autres vaccinations animales contre le circovirus porcin et le virus de la grippe A, selon leur propre site Web cette année. Maintenant, le tristement célèbre Bill « tout OGM » Gates prétend vouloir améliorer la génétique des animaux en leur injectant la technologie ARNm. Bien entendu, il se concentre uniquement sur les animaux consommés par les humains, afin d’ »améliorer » l’approvisionnement alimentaire mondial.
Le milliardaire fondateur de Microsoft est en train d’acquérir d’énormes étendues de terres agricoles américaines plus vite que McDonald’s ne peut agrandir vos frites OGM. S’agit-il d’une façon pour Bill de vacciner indirectement de force les humains, y compris ceux qui savent déjà que l’ARNm est une arme biologique de destruction massive ? Beaucoup le pensent. Il semble que M. Contrôle de la population lui-même ait trouvé un autre moyen de réduire la population mondiale de plusieurs milliards de personnes.
L’eugénisme des fast-foods est-il en train de se transformer en une technologie vaccinale à base d’ARNm où la nourriture crée des protéines de pointe qui obstruent et coagulent les systèmes vasculaires de ceux qui la mangent ?
Si vous êtes américain, vous savez probablement déjà que les fast-foods, qui sont chargés d’OGM, de gluten, d’huiles transformées, de produits laitiers, de viande avariée et de sucre, sont les principaux responsables des maladies évitables qui sévissent dans ce pays, notamment les maladies cardiaques, l’obésité, le cancer, le diabète et la démence. Aujourd’hui, les injections de protéines prions pour Covid-19 entraînent des vagues apocalyptiques de mort subite, notamment des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des coagulations vasculaires et le SADS (syndrome de mort subite des adultes).
Puisque Bill Gates veut réduire la population mondiale de quelques milliards de personnes, comme il l’a clairement déclaré lors de ses conférences TED préférées, pourquoi ne pas utiliser des injections d’ARNm mortelles chez les animaux d’élevage, et doubler le nombre de morts chroniques induites par la restauration rapide ? Sa « philanthropie » va tellement loin qu’il veut simplement aider le bétail à avoir une meilleure génétique pour qu’il soit « plus productif », puisqu’il était « en Éthiopie » et qu’il a vu comment les poules pondaient plus d’œufs et « étaient mieux nourries », ce qui permettait de « faire des économies dans le ménage ». Est-ce pour cela que les œufs ont été si durement touchés par l’inflation, Bill ?
Saviez-vous que le père de Bill Gates était à la tête de Planned Parenthood ? Oui, le réductionnisme démographique est de famille, et c’est pourquoi l’un des principaux objectifs de Bill Gates est d’éliminer quelques milliards de personnes en faisant un « excellent travail avec les soins de santé et les vaccins » (avortement et piqûres de coagulation Covid). Maintenant, il investit de l’argent dans les vaccins pour animaux, puisque environ un cinquième des humains dans le monde ne recevront pas les injections de caillots ou ne succomberont pas aux avortements du Planning familial.
Il n’existe AUCUNE preuve que les animaux d’élevage puissent transmettre le Covid-19 aux humains, et pratiquement aucun d’entre eux ne l’attrape au départ.
La campagne de propagande et d’escroquerie fondée sur la peur du Covid-19 est implacable, et les voyous du CDC, de la FDA et de l’OMS n’ont pas l’intention de la relâcher de sitôt. Aux Etats-Unis, plusieurs milliards de poulets, une centaine de millions de bovins et 75 millions de porcs sont destinés à l’abattage à tout moment. Puisque la rumeur veut que le Covid-19 ait commencé chez les animaux (rappelez-vous le canular du marché humide chinois où l’on mange des chauves-souris), la pandémie fondée sur la peur évolue vers la crainte que les animaux du monde entier transmettent le Covid-19 aux humains, de sorte que tout le monde soutiendra les vaccins à ARNm pour leurs animaux de compagnie et d’élevage également. C’est absurde.
Peut-être que la bande de scientifiques insidieux de Fauci au laboratoire de Wuhan, en Chine communiste, travaille sur un nouveau gain de fonction pour les virus bovins et porcins, afin qu’ils puissent eux aussi passer aux humains qui aiment les hot-dogs, les hamburgers, les sandwichs au poulet et les côtelettes de porc. Les scientifiques ont déjà étudié le coronavirus chez les animaux d’élevage et il n’y a AUCUNE preuve qu’ils puissent le transmettre aux humains. Pourtant, Bill Gates cherche toujours des moyens de sauver la planète en éliminant plusieurs milliards d’humains. Il appelle cela de la philanthropie.
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Sources for this article include:
https://www.naturalnews.com/2023-01-17-bill-gates-to-force-vaccinate-humans-animals.html
Source : Anna Bellas
Que l’on continue à laisser faire ce fou est hallucinant !
Cinquante organisations dédiées à la souveraineté alimentaire et aux questions de justice alimentaire interpellent Bill Gates sur sa dernière affirmation selon laquelle la technologie est la solution à la faim dans le monde et à la souveraineté alimentaire.
(Article de Ron Friedman republié de ChildrensHealthDefense.org)
Dans une « lettre ouverte » publiée au début du mois, les groupes ont répondu aux commentaires que Bill Gates a faits, lors d’interviews avec le New York Times et l’Associated Press, au sujet du rapport 2022 de la Fondation Bill & Melinda Gates.
Les principaux auteurs de la lettre, Community Alliance for Global Justice/AGRA Watch et Alliance for Food Sovereignty in Africa, ont écrit :
« Dans les deux articles, vous faites un certain nombre d’affirmations qui sont inexactes et doivent être remises en question. Les deux articles admettent que le monde produit actuellement suffisamment de nourriture pour nourrir adéquatement tous les habitants de la planète, mais vous continuez à diagnostiquer de manière fondamentalement erronée le problème comme étant lié à une faible productivité ; nous n’avons pas besoin d’augmenter la production autant que d’assurer un accès plus équitable à la nourriture. »
Les auteurs ont également critiqué les affirmations de Gates selon lesquelles nous avons « sous-investi dans l’innovation agricole » et que la révolution verte était « l’une des plus grandes choses qui soient jamais arrivées ».
Gates a déclaré au New York Times :
« Aider les agriculteurs doit être la priorité absolue du programme d’adaptation au climat. Et dans ce cadre, il y a beaucoup de choses comme le crédit pour les engrais, les engrais bon marché, les meilleures semences, que nous devrions avoir à cœur de financer et pour lesquelles nous devrions fixer des objectifs ambitieux ».
Mais les auteurs de la lettre ouverte ne sont pas d’accord :
« Il existe déjà de nombreuses propositions et projets tangibles et en cours qui visent à stimuler la productivité et la sécurité alimentaire — des installations de fabrication de biofertilisants et de biopesticides aux programmes de formation des agriculteurs à l’agroécologie, en passant par l’expérimentation de nouvelles techniques de gestion de l’eau et des sols, de systèmes agricoles à faible niveau d’intrants et d’espèces végétales déprédatrices. »
Ils sont également en désaccord avec l’affirmation de Gates selon laquelle la révolution verte a été un « succès retentissant » :
« Si [la révolution verte] a joué un certain rôle dans l’augmentation des rendements des cultures céréalières au Mexique, en Inde et ailleurs entre les années 1940 et 1960, elle a très peu contribué à réduire le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde ou à garantir un accès équitable et suffisant à la nourriture. »
Les auteurs rappellent à Gates que la révolution verte a entraîné « une foule d’autres problèmes, qu’il s’agisse de questions écologiques telles que la dégradation à long terme des sols ou de questions socio-économiques telles que l’accroissement des inégalités et de l’endettement (qui a largement contribué à l’épidémie de suicides d’agriculteurs en Inde) ».
Ils ont également critiqué la pression exercée par Gates en faveur des semences génétiquement modifiées, affirmant que « les semences résistantes au climat existent déjà et sont développées par les agriculteurs et échangées sur des marchés de semences informels. »
« Vous participez à la création du problème même que vous nommez », ont écrit les groupes. « L’initiative AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique), que votre fondation continue de financer, a également poussé une législation restrictive sur les semences qui limite et restreint l’innovation en matière de cultures aux laboratoires et aux entreprises disposant de bonnes ressources. »
Ces initiatives n’augmentent pas l’innovation généralisée, mais contribuent plutôt à la privatisation et à la consolidation des monopoles des entreprises sur le développement et les marchés des semences, ont-ils ajouté.
Les groupes ont mis Gates au défi de « prendre du recul et d’apprendre de ceux qui sont sur le terrain » et ont demandé aux médias de réfléchir à la manière dont ils couvrent Gates et sa vision de l’avenir de l’alimentation.
Ils ont écrit : « Nous invitons les médias de premier plan à faire preuve de plus de prudence et à ne pas accorder de crédibilité aux hypothèses erronées, à l’orgueil démesuré et à l’ignorance d’un riche homme blanc, au détriment des personnes et des communautés qui vivent et s’adaptent à ces réalités au moment même où nous parlons ».
Russell Brand : C’est une « belle lettre ».
Russell Brand s’est rangé contre Gates et avec les auteurs de la lettre, déclarant aux téléspectateurs :
« C’est une belle lettre. Elle est brillamment articulée et la raison pour laquelle nous voulons vous la présenter aujourd’hui est qu’elle démontre que critiquer Bill Gates ne fait pas de vous un théoricien du complot et elle démontre aussi que les actions et l’influence de Bill Gates sont néfastes et nuisibles. »
Brand s’est moqué de Gates, en entrecoupant son podcast YouTube de bribes du milliardaire lors de la récente conférence Goalkeepers 2030 de sa fondation :
« Ah, Bill Gates, il est la réponse à tous les problèmes du monde et quiconque le critique est un théoricien de la conspiration ou un universitaire réfléchi qui s’inquiète de le voir coloniser et monopoliser les ressources du monde. »
Mais ce « n’est pas une théorie du complot », a déclaré Brand. « Il s’agit de politiques néfastes conçues pour centraliser le pouvoir et contrôler la nourriture, et les gens répondent depuis une position d’autorité, d’intégrité et d’expertise. »
Il ajoute :
« Ce que vous faites, c’est de l’éclairage – présenter des solutions pratiques, permanentes, dirigées par des agriculteurs comme étant en quelque sorte fantaisistes ou ridicules, tout en présentant vos propres approches préférées comme étant pragmatiques. »
Brand s’est fait l’écho de l’argument du groupe de souveraineté alimentaire selon lequel il existe « déjà des mesures en place qui peuvent être contrôlées et mises en œuvre par les communautés elles-mêmes et qui ne nécessitent pas la centralisation du pouvoir, le brevetage des semences et des cultures, la technologisation du processus de l’agriculture – tout cela, soit dit en passant – par un type qui semble acheter des terres agricoles en ce moment – par coïncidence ! »
Brand a ajouté :
« Gates aime voir le monde comme de simples données. Ce que je vous propose, c’est cette question : Bill Gates essaie-t-il d’aider ? Ou Bill Gates est-il simplement en train de suggérer que la solution à tous ces problèmes est de donner plus de pouvoir à Bill Gates ? »
https://www.foodsupply.news/2022-11-23-50-groups-target-bill-gates-farming-technology.html#
Source : Anna Bellas
Ce premier épisode d'une série en plusieurs parties sur le vaccin contre le virus du papillome humain, ou VPH, explore la littérature scientifique évaluée par des pairs qui révèle de graves problèmes de sécurité concernant un vaccin largement considéré comme sûr.
Par Yuhong Dong
La baisse de confiance du public dans les vaccins COVID-19 a un impact significatif sur les taux de vaccination contre les maladies infantiles courantes. Cette série en plusieurs parties explore la recherche internationale effectuée au cours des deux dernières décennies sur le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH) - considéré comme l'un des vaccins les plus efficaces développés à ce jour.
Résumé des principaux faits
Le vaccin contre le VPH est largement considéré comme l'un des vaccins les plus efficaces développés à ce jour. Néanmoins, des problèmes de sécurité ont été soulevés à la suite de son approbation, et en réponse, des recherches supplémentaires ont été publiées et des litiges ont été intentés au nom de ceux qui ont été blessés par le vaccin .
Dans cette série de vaccins contre le VPH, les parties I et II expliquent comment le vaccin fonctionne et les preuves suggérant qu'il peut y avoir des problèmes de sécurité légitimes. Les parties restantes présentent des questions sur l'efficacité réelle des vaccins et identifient des ingrédients spécifiques qui peuvent être nocifs.
Les informations présentées ici sont tirées de la littérature scientifique évaluée par des pairs des États-Unis, de l'Australie, du Danemark, de la Suède, de la France et du Japon, ainsi que des statistiques publiées par les agences de santé publique de chacun de ces pays.
Plus de 100 heures de recherche et d'examen interne par des pairs parmi des scientifiques ayant de l'expérience dans les maladies infectieuses, la virologie, les essais cliniques et l'épidémiologie des vaccins ont été investies dans la présentation de ce résumé des preuves.
De vastes études basées sur des registres ont identifié des associations plausibles entre la vaccination contre le VPH et les maladies auto-immunes , y compris l'insuffisance ovarienne prématurée ou l'insuffisance ovarienne prématurée, le syndrome de Guillain-Barré (SGB), le syndrome de tachycardie orthostatique posturale et le syndrome de douleur régionale chronique.
S'il est facile d'être enthousiasmé par les progrès récents de la technologie des vaccins humains, nous devons garder à l'esprit que l'atteinte d'une bonne santé réelle et durable est bien plus que la simple absence d'un certain virus.
Qu'est-ce que le VPH ?
Selon le CDC, le VPH est l' infection sexuellement transmissible la plus courante aux États-Unis .
Le VPH est un petit virus à ADN qui infecte les cellules épithéliales cutanées humaines de la muqueuse et de la peau. Plus de 150 souches du virus HPV ont été identifiées.
L'infection au VPH est si courante que la majorité des personnes sexuellement actives l'attraperont à un moment donné de leur vie, même si elles n'ont qu'un ou très peu de partenaires sexuels. Il peut se propager lors de rapports sexuels et de relations sexuelles orales. Il peut également se transmettre entre les personnes par contact peau à peau, même par des personnes qui ne présentent aucun symptôme.
L'infection au VPH provoque des verrues génitales, dont certaines peuvent se transformer en cancer. Pour la plupart, cependant, l'infection par le VPH est bénigne. Plus de 90 % des infections au VPH ne provoquent aucun symptôme clinique et sont autolimitées, ce qui signifie que le virus est éliminé par l'organisme via les défenses immunologiques naturelles.
Cancers associés au VPH
Les types de VPH à haut risque (types 16, 18 et autres) peuvent provoquer des anomalies des cellules cervicales qui sont des précurseurs de cancers.
Le type 16 est associé à environ 50 % des cancers du col de l'utérus dans le monde, et les types 16 et 18 sont associés à 66 % des cancers du col de l'utérus.
Cinq autres types à haut risque, 31, 33, 45, 52 et 58, sont liés à 15 % supplémentaires des cancers du col de l'utérus et à 11 % de tous les cancers associés au VPH.
L'infection par un type de VPH à haut risque est associée à un risque plus élevé de développer un cancer du col de l'utérus, mais, en soi, l'infection au VPH n'est pas le seul facteur de risque de cancer. Il existe de nombreuses autres raisons, comme discuté dans cet article.
Compte tenu de la prévalence de l'infection, il n'est pas surprenant qu'à l'échelle mondiale, le cancer du col de l'utérus soit le quatrième cancer le plus fréquent chez les femmes. En 2018, on estime que 570 000 femmes ont reçu un diagnostic de cancer du col de l'utérus dans le monde et plus de 300 000 sont décédées de la maladie.
Aux États-Unis, près de 50 000 nouveaux cancers associés au VPH surviennent chaque année, les femmes étant infectées à un taux légèrement plus élevé que les hommes.
Mais dans 9 cas sur 10, le VPH disparaît en deux ans sans causer de problèmes de santé.
Seules les infections persistantes au VPH peuvent entraîner un cancer. Ces infections échappent aux défenses cellulaires innées du système immunitaire .
L'incidence du cancer du col de l'utérus peut être contrôlée grâce à la mise en œuvre de tests et de dépistages de routine, y compris les tests Pap et ADN.
Vaccins contre le VPH
Trois vaccins contre le VPH – le vaccin bivalent contre le VPH (Cervarix, 2vHPV), le vaccin quadrivalent contre le VPH (Gardasil, 4vHPV ou HPV4) et le vaccin 9-valent contre le VPH (Gardasil 9, 9vHPV) – ont été homologués par la FDA.
Le vaccin contre le VPH utilise la technologie recombinante pour assembler l'enveloppe du virus - la protéine de capside L1. Ces particules de type viral ne contiennent pas le génome du virus et ne sont pas infectieuses.
Cervarix, développé par GlaxoSmithKline , est un vaccin bivalent contre les types 16 et 18 du VPH, qui a été retiré du marché américain en 2016 en raison d'une "très faible demande du marché".
Le vaccin Gardasil original de Merck a été conçu pour prévenir les infections par quatre souches (types 6, 11, 16 et 18).
Le 8 juin 2006, après l'examen accéléré de la FDA, Gardasil a été approuvé pour une utilisation chez les femmes âgées de 9 à 26 ans pour la prévention des cancers du col de l'utérus, de la vulve et du vagin.
Selon l'étiquette accompagnant le vaccin, les ingrédients du premier vaccin Gardasil de Merck étaient des protéines de HPV , du sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe , des protéines de levure, du chlorure de sodium, de la L-histidine, du polysorbate 80, du borate de sodium et de l'eau pour injection.
Le 16 octobre 2009, la FDA a approuvé Gardasil (HPV4) pour une utilisation chez les garçons âgés de 9 à 26 ans pour la prévention des verrues génitales causées par les types 6 et 11 du VPH, mais pas pour le cancer.
En 2010, il a approuvé Gardasil pour la prévention du cancer anal chez les hommes et les femmes âgés de 9 à 26 ans.
Quatre ans plus tard, la FDA a approuvé un vaccin mis à jour, le Gardasil 9 de Merck, destiné aux filles de 9 à 26 ans et aux garçons de 9 à 15 ans pour la prévention des cancers du col de l'utérus, du vagin et de l'anus.
Gardasil 9 contient les mêmes ingrédients que Gardasil, mais offre une protection contre neuf souches de VPH, en ajoutant cinq types supplémentaires (types de VPH 31, 33, 45, 52 et 58).
Le calendrier actuel de vaccination contre le VPH recommandé par le CDC est de deux doses pour les garçons et les filles âgés de 11 ou 12 ans. Cependant, il est approuvé pour les enfants dès l'âge de 9 ans. La deuxième dose est administrée 6 à 12 mois après la première.
Pour les personnes âgées de 15 ans et plus, un calendrier à trois doses est mis en œuvre à des intervalles d'un à deux mois et de six mois, bien que des études sur le niveau d'anticorps suggèrent que deux doses sont suffisantes .
Le vaccin incite le corps à produire des anticorps neutralisants contre le VPH. Les réponses en anticorps semblent culminer sept mois après la première dose (ou un mois après la troisième dose). Les niveaux d'anticorps induits par le vaccin semblent être 10 à 100 fois plus élevés que ceux après une infection naturelle .
L'efficacité élevée du vaccin ( 90 à 98 % ) contre les cellules anormales à croissance rapide qui peuvent causer des lésions précancéreuses chez les personnes âgées de 16 à 26 ans suggère que le meilleur moment pour la vaccination était de l'administrer aux patients avant qu'ils ne deviennent sexuellement actifs.
Rapports HPV VAERS de 2 grands pays
Effets indésirables du vaccin américain contre le VPH
Le 19 août 2009, le Journal of the American Medical Association a publié un article rédigé par des scientifiques de la FDA et du CDC qui a passé en revue les données de sécurité de Gardasil pour les événements indésirables signalés au VAERS entre juin 2006 et décembre 2008.
Au cours de cette période, 12 424 événements indésirables ont été signalés. Parmi ceux-ci, 772 (6,2 %) étaient graves.
Le VAERS est un système de surveillance passive, qui est soumis à de multiples limitations , notamment la sous-déclaration, le diagnostic non confirmé, le manque de données de dénominateur et l'absence de groupes de comparaison impartiaux.
Néanmoins, il s'agit d'un outil utile et important pour détecter les problèmes de sécurité post-commercialisation des vaccins.
Un pourcentage disproportionnellement élevé de rapports Gardasil VAERS concernait des syncopes (évanouissements) et des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins dans les veines) par rapport aux autres vaccins. Il y a eu 8,2 événements de syncope pour 100 000 doses de VPH et 0,2 événements thromboemboliques veineux pour 100 000 doses de VPH signalés, respectivement.
La notice de Gardasil inclut une mise en garde concernant les évanouissements, la fièvre, les étourdissements, les nausées et les maux de tête (page 1) et note au moins les effets indésirables suivants rapportés au cours de la surveillance post-commercialisation (rubrique 6.2) : syndrome de Guillain-Barré, myélite transverse, maladie du motoneurone, les événements thromboemboliques veineux, la pancréatite et les maladies auto-immunes.
Événements indésirables des vaccins contre le VPH en Australie
En 2007, l'Australie a signalé un taux annuel de réactions indésirables aux médicaments de 7,3/100 000, le plus élevé depuis 2003, ce qui représente une augmentation de 85 % par rapport à 2006 .
Selon l'analyse de la base de données Adverse Drug Reactions System par le ministère australien de la Santé et du Vieillissement, cette augmentation était "presque entièrement due" aux rapports faisant suite au déploiement national du programme de vaccination contre le VPH à trois doses pour les jeunes femmes en avril 2007 ; 705 des 1 538 effets indésirables signalés cette année-là provenaient du vaccin Gardasil.
De plus, bien que les gens puissent prendre différents vaccins autres que le VPH, le vaccin contre le VPH était le seul vaccin suspecté de provoquer des effets indésirables dans 96 % des dossiers. Vingt-neuf pour cent avaient des cotes de causalité « certaines » ou « probables » et 6 % étaient définies comme « sérieuses ».
Le Japon retire sa recommandation, l'acceptation des vaccins plonge
En 2013, les Japonais ont fait part de leurs préoccupations concernant une variété d'événements indésirables graves post-vaccination largement signalés. Cela a conduit le gouvernement à suspendre la recommandation du vaccin contre le VPH pendant six ans. L'acceptation du vaccin contre le VPH au Japon a considérablement chuté après 2013, passant de 42,9 % à 14,3 % , ou de 65,4 % à 3,9 % .
Des chercheurs du monde entier ont également commencé à étudier la sécurité du VPH. Un document de position de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) publié le 14 juillet 2017 a conclu que les vaccins contre le VPH étaient « extrêmement sûrs ».
Le même rapport a estimé à environ 1,7 cas d'anaphylaxie par million de doses de VPH, qu'aucune association avec le SGB n'a été trouvée et que la syncope (évanouissement) a été "établie comme une anxiété courante ou une réaction liée au stress à l'injection".
Au printemps 2022, le Japon a annoncé qu'il relançait sa campagne de vaccination contre le VPH . Les organes de presse grand public ont rapporté que pour des milliers de femmes, le coût de la prudence pourrait avoir conduit à des cancers évitables induits par le VPH et à environ 5 000 à 5 700 décès .
Cependant, une véritable analyse risques-avantages tiendrait également compte du nombre d'événements indésirables graves évités en mettant le programme en attente. La question demeure : la prudence du Japon était-elle justifiée ou son programme national de vaccination aurait-il dû se poursuivre ?
Insuffisance ovarienne
Les inquiétudes selon lesquelles le vaccin pourrait avoir un effet négatif sur la fertilité ont été détaillées dans la littérature scientifique.
En 2014, une série de cas évalués par des pairs décrivant une insuffisance ovarienne prématurée chez des femmes australiennes après une vaccination contre le VPH a été publiée dans le Journal of Investigative Medicine.
Cela a incité d'autres chercheurs à examiner systématiquement les données du VAERS pour voir s'il existait un lien entre l'insuffisance ovarienne prématurée et le Gardasil. Leur étude a trouvé un "signal de sécurité potentiel" et a conclu que "d'autres enquêtes sont justifiées".
Analyse VAERS sur l'insuffisance ovarienne
Deux publications récentes basées sur les rapports du VAERS ( première étude, deuxième étude ) ont révélé que les événements avec un arrière-plan auto-immun probable étaient significativement plus fréquents après la vaccination contre le VPH par rapport aux autres vaccinations.
L'équipe de scientifiques internationaux qui a réalisé la deuxième étude a évalué les rapports entre 1990 et 2018. Ils ont constaté que parmi les 228 341 rapports d'insuffisance ovarienne prématurée, 0,1 % étaient considérés comme associés à la vaccination contre le VPH avec un âge médian de 15 ans et le délai d'apparition. était de 20,5 jours après la vaccination.
Les principaux symptômes étaient l'aménorrhée (80,4 %) et la ménopause précoce (15,3 %).
Plus frappant encore, le nombre moyen de cas d'insuffisance ovarienne prématurée a augmenté de manière significative, passant de 1,4 par an avant 2006 à 22,2 par an après l'approbation du vaccin contre le VPH, avec un rapport de déclaration proportionnel de 46.
Les enquêteurs ont noté que l'OMS et le CDC ont déclaré le vaccin contre le VPH sûr, malgré le manque de recherches adéquates sur les problèmes de sécurité.
Par exemple, les auteurs notent que dans une étude VAERS parrainée par le CDC, 17 cas d'insuffisance ovarienne prématurée ont été identifiés mais 15 ont été exclus en raison d'informations insuffisantes pour confirmer le diagnostic. Une étude observationnelle distincte utilisant le Vaccine Safety Datalink n'a trouvé aucun risque accru.
Mais cette étude était trop peu puissante pour détecter un signal. En outre, une étude d'enquête transversale utilisant les données de l'enquête nationale sur la santé et la nutrition s'est appuyée sur une mesure inexacte de l'insuffisance ovarienne prématurée et de la vaccination contre le VPH autodéclarée.
En résumé, les chercheurs ont détecté un fort signal de sécurité même après avoir pris en compte une augmentation potentielle des rapports en raison de la couverture médiatique après le lancement du produit (ils appellent cela un « biais de notoriété »).
Étant donné que le VAERS est un système de déclaration passif, les données peuvent être incomplètes et souvent non confirmées par les médecins. Par conséquent, cette étude ne peut pas fournir un lien définitif entre la vaccination contre le VPH et l'insuffisance ovarienne prématurée ou l'insuffisance ovarienne prématurée, mais génère un lien hypothétique.
Les auteurs de la deuxième étude concluent en insistant sur le fait que « ce signal justifie une recherche épidémiologique bien conçue et appropriée ». Ils notent que "si le signal est confirmé, le risque est faible par rapport au risque à vie de cancer du col de l'utérus".
Cependant, le profil bénéfice-risque au niveau individuel n'est pas uniforme.
Compte tenu des effets sur la santé de l'insuffisance ovarienne prématurée et de l'insuffisance ovarienne prématurée - dont certaines peuvent être irréversibles - et de la baisse du taux de mortalité par cancer du col de l'utérus, même à l'ère prévaccinale, le profil risques-avantages de la vaccination contre le VPH reste incertain.
3 rapports de cas sur l'insuffisance ovarienne
Dans l'enquête de 2014 mentionnée ci-dessus, un médecin généraliste australien a remarqué que trois filles avaient développé une insuffisance ovarienne prématurée après la vaccination contre le VPH4.
À la suite de la vaccination, chacune des filles (âgées de 16, 16 et 18 ans) s'était vu prescrire une contraception orale pour traiter les irrégularités du cycle menstruel. En règle générale, les femmes présentent une aménorrhée (absence de règles) ou une oligoménorrhée (règles peu fréquentes) comme symptôme initial d'une insuffisance ovarienne prématurée.
Une fille a eu des règles irrégulières après trois doses de vaccination contre le VPH. Elle est alors devenue aménorrhéique et a été diagnostiquée avec une insuffisance ovarienne prématurée.
Les règles d'une autre fille étaient « comme sur des roulettes » jusqu'après la troisième dose de VPH, qu'elle a reçue à 15 ans. Son premier cycle après avoir été vaccinée pour la troisième fois a commencé avec deux semaines de retard et son cycle suivant avec deux mois de retard. Le cycle final a commencé neuf mois plus tard. La patiente n'avait pas d'antécédent familial de ménopause précoce.
Elle a reçu un diagnostic d'insuffisance ovarienne prématurée à 16 ans. Les travaux de laboratoire ont révélé des niveaux d'hormones compatibles avec ceux des femmes ménopausées, mais sa densité minérale osseuse était normale.
Les auteurs de cette série de cas ont noté que dans les études précliniques sur le VPH4, les rats âgés de cinq semaines n'ont conçu qu'une seule portée et que les seules études toxicologiques disponibles semblent porter sur le système reproducteur des rongeurs mâles.
Cependant, seulement deux des trois doses ont été administrées avant l'accouplement, et la fécondité globale était de 95 %, légèrement inférieure à celle des rats témoins (98 %) qui n'avaient reçu aucune vaccination avant l'accouplement.
Les recommandations de tolérance à la dose étaient basées sur un poids moyen de 50 kilogrammes pour une adolescente, mais ne tenaient pas compte du fait que le VPH4 est administré à des filles âgées de 9 à 13 ans, dont le poids varie de 28 à 46 kilogrammes.
Une étude de cohorte rétrospective danoise ne trouve aucun lien
Une étude de 2021 a également évalué l'insuffisance ovarienne prématurée dans une cohorte nationale de près d'un million de femmes danoises âgées de 11 à 34 ans.
Les chercheurs ont utilisé la régression des risques proportionnels de Cox pour détecter un risque accru de diagnostic d'insuffisance ovarienne prématurée selon le statut vaccinal contre le VPH4 au cours des années 2007-2016. Le risque relatif d'insuffisance ovarienne prématurée (vaccinés versus non vaccinés) était de 0,96.
Une limitation était que les données sur l'âge à la ménarche (première menstruation) et l'utilisation de contraceptifs oraux n'étaient pas disponibles. Les filles qui n'avaient pas encore atteint leurs premières règles ne seraient pas à risque d'insuffisance ovarienne prématurée, bien sûr.
Les auteurs ont exclu les filles de moins de 15 ans dans une analyse de sensibilité et n'ont toujours trouvé aucun signal, concluant qu'aucune association n'a été trouvée entre la vaccination contre le VPH4 et l'insuffisance ovarienne prématurée.
Reproduit avec la permission d' Epoch Times .
Le Dr Yuhong Dong, docteur en médecine qui détient également un doctorat en maladies infectieuses de la Chine, est le directeur scientifique et co-fondateur d'une société suisse de biotechnologie et un ancien expert scientifique médical senior pour le développement de médicaments antiviraux chez Novartis Pharma en Suisse.
Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les points de vue de Children's Health Defence.
C'est officiel Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, le vaccin covid de Pfizer est lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées
Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, le vaccin covid de Pfizer est lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées, mais il n'a pris aucune mesure car les résultats "sont toujours à l'étude et nécessitent une étude plus approfondie".
Après avoir analysé les données d'une base de données de personnes âgées aux États-Unis, les chercheurs de la FDA ont découvert que la coagulation du sang dans les poumons, l'embolie pulmonaire, atteignait le seuil initial d'un signal statistique et continuait de répondre aux critères après une évaluation plus approfondie.
Cependant, la FDA "croit fermement que les avantages potentiels de la vaccination Covid l'emportent sur les risques potentiels d'infection au COVID-19".
The Epoch Times rapporte : Trois autres résultats intéressants - un manque d'oxygène au cœur, un trouble des plaquettes sanguines appelé thrombocytopénie immunitaire et un autre type de coagulation appelé coagulation intravasculaire - ont initialement déclenché des signaux d'alerte, ont déclaré les chercheurs. Des évaluations plus approfondies, telles que des comparaisons avec des populations qui ont reçu des vaccins contre la grippe, ont montré que ces trois personnes n'atteignaient plus le seuil statistique d'un signal.
Les chercheurs ont examiné des données couvrant 17,4 millions d'Américains âgés qui ont reçu un total de 34,6 millions de doses de vaccin entre le 10 décembre 2020 et le 16 janvier 2022.
L'étude a été publiée par la revue Vaccine le 1er décembre.
La FDA a déclaré qu'elle ne prenait aucune mesure sur les résultats car ils ne prouvent pas que les vaccins causent l'un des quatre résultats, et parce que les résultats "sont toujours à l'étude et nécessitent une étude plus approfondie".
Le Dr Peter McCullough, conseiller médical en chef de la Truth for Health Foundation, a déclaré à Epoch Times par e-mail que le nouvel article « corrobore les inquiétudes des médecins selon lesquelles la forte augmentation des caillots sanguins, la progression de la maladie cardiaque athéroscléreuse et les troubles sanguins sont indépendamment associé à la vaccination contre la COVID-19.
Pfizer n'a pas répondu à une demande de commentaire.
Les chercheurs de la FDA, avec l'aide de chercheurs des Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS), ont analysé les données de la base de données CMS. Ils comprenaient les bénéficiaires de Medicare Fee-for-Service âgés de 65 ans ou plus qui ont reçu un vaccin dans les délais, ont été inscrits lorsqu'ils ont été vaccinés et ont été inscrits pour une « fenêtre de temps propre » avant la vaccination. La fenêtre était de 183 jours ou 365 jours, selon le résultat.
Environ 25 millions de personnes reçoivent le Medicare Fee-for-Service, mais seulement 17 millions environ ont été vaccinées au cours de la période étudiée.
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