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22 août 2024 4 22 /08 /août /2024 18:39
Variole du singe, carnet de vaccination Européen, Pr. Perronne etc...
 
 
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17 août 2024 6 17 /08 /août /2024 18:24
 

 

 

 

La variole portait un autre nom autrefois : la petite vérole !

 

Bientôt la petite vérole va se répandre sur la planète des Singes ; encore un coup des Russes !

 

N'oubliez pas il existe un Plan national de réponse à une menace de variole (2006)

 

La vaccination en France n'est plus devenu obligatoire depuis 1979 et les rappels étaient possibles jusqu'en 1984. Pour ceux nés avant 1979 on invoquera probablement un rappel s'ils veulent envenimer le risque.

 

Pourquoi n'invoque t on pas le contrôle migratoire permanent afin de juguler les risques majeurs de pandémie mondiale ou bien est ce pour se faire encore du pognon et attenter de plus en plus à nos libertés individuelles pour instaurer une société de contrôle social type Chinois !

 

Henry

 

_____________________________________

 

On Résume l’Arnaque Variole du Singe...
 

 
 
Variole du Singe : Comprendre ce virus et se protéger de la désinformation
 
La variole du singe est un virus qui peut être contrôlé par des mesures simples de prévention. La vaccination est inutile et potentiellement dangereuse.

Origine et Transmission :
– La variole du singe est un virus des forêts de l’Afrique orientale, transmis principalement par contact physique (sang, vésicules sur la peau), souvent par morsure.
– Il existe deux variants du virus : l’un avec un risque de mortalité et de morbidité de 0 %, et l’autre avec un risque entre 7 et 10 %.

 

 

Contamination entre Humains :
– Le risque principal reste le contact direct avec la peau des personnes infectées, notamment via les literies et le partage de vêtements.
– Il est crucial d’éviter les contacts intimes avec les personnes malades, y compris les baisers et les relations sexuelles.
– La transmission aérienne est nulle, tout comme la transmission par d’autres moyens.

Porteurs Asymptomatiques :
– Contrairement à d’autres maladies, il n’existe pas de porteurs asymptomatiques pour la variole du singe. Les personnes sont soit malades et contagieuses via les pustules, soit non malades et non contagieuses.

Traitement et Prévention :
– Le traitement est principalement symptomatique, avec l’utilisation de topiques comme l’azithromycine.
– La prévention est simple : éviter les contacts directs et intimes avec les personnes infectées. Un vaccin est inutile car la contamination nécessite un contact direct.

Informations sur le Vaccin

– Vaccin Existant :
Il n’existe pas de vaccin spécifique pour la variole du singe, mais le vaccin contre la variole humaine peut être utilisé en raison de l’immunité croisée. Les personnes nées avant 1980 ont probablement été vaccinées contre la variole humaine et possèdent donc des anticorps croisés.

– Risques du Vaccin :
Le vaccin contre la variole humaine est basé sur une souche de variole atténuée qui crée une mini-maladie locale. Cependant, il y a un risque de recombinaison moléculaire entre le virus de la variole du singe et la souche vaccinale, ce qui pourrait potentiellement recréer la variole humaine.

– Rapport Bénéfice/Risque :
Les effets secondaires du vaccin anti-variolique peuvent être plus dangereux que la variole du singe elle-même. Le rapport bénéfice/risque est donc inexistant, et la vaccination pourrait entraîner des conséquences graves.

Alerte à l’Attentat Organisé

Le Dr Zizi émet une alerte concernant un possible attentat bioterroriste organisé. Si la variole du singe devait se répandre rapidement, ce serait une preuve d’un relâchement volontaire et organisé, probablement orchestré par des entités comme l’OMS. Il souligne que la variole du singe n’est pas un virus aérogène et ne peut se disperser efficacement sans intervention humaine.

Conclusion

La variole du singe est un virus qui, bien que potentiellement dangereux, peut être contrôlé par des mesures simples de prévention. La vaccination est non seulement inutile mais aussi potentiellement dangereuse. Il est crucial de partager ces informations pour éviter la désinformation et les actions inappropriées. Le Dr Zizi appelle également à une vigilance accrue concernant les actions de l’OMS et d’autres entités impliquées dans la gestion de cette crise sanitaire.

Cet article est basé sur les publications du Dr Martin Zizi qui sont a retrouver sur son compte X.

Source

Un principe connu de tous les médecins : on ne vaccine jamais pendant une épidémie, ce qui augmente considérablement le taux de mortalité des vaccinés ! 

 

 

__________________________________

 

 

Le fabricant mondial du vaccin contre la variole du singe vient de demander à l’Agence européenne du médicament une homologation pour les adolescents de 12 à 17 ans !
 
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17 juillet 2024 3 17 /07 /juillet /2024 14:07
Le noyau de la Terre n’a pas seulement ralenti, il a également inversé sa direction

Diagramme montrant les différentes couches de l’intérieur de la Terre. Crédit photo : NASA

Des scientifiques ont confirmé que le noyau de la Terre se comportait d’une manière plutôt inattendue.

Situé à plus de 5 000 km sous la surface de la planète, le noyau interne de la Terre – une vaste boule de métal solide en rotation composée principalement de fer et de nickel – est longtemps resté une énigme en raison de son inaccessibilité et des difficultés inhérentes à l’obtention de données précises.

 

Une grande partie de ce que nous avons appris sur le noyau interne provient de l’analyse des ondes produites par les grands tremblements de terre, les différences entre des ondes de force comparable traversant le noyau à des moments différents fournissant des indices sur la position et la vitesse de rotation du noyau.

L’année dernière, les scientifiques ont proposé un nouveau modèle suggérant que le noyau interne de la Terre avait déjà tourné plus vite que la planète elle-même avant de commencer à ralentir.

Le ralentissement était tel qu’il s’est mis à tourner dans le sens inverse.

Une autre équipe de scientifiques a confirmé cette hypothèse en étudiant les ondes sismiques produites par 121 tremblements de terre survenus entre 1991 et 2023.

Ils ont même analysé les ondes de choc produites par les essais d’armes nucléaires soviétiques dans les années 1970.

« Cela fait 20 ans que nous discutons de cette question, et je pense que cette étude la clôt », a déclaré le co-auteur de l’étude, le Dr John Vidale, du Dornsife College of Letters, Arts and Sciences de l’université de Californie du Sud.

« Je pense que nous avons mis fin au débat sur la question de savoir si le noyau interne se déplace et sur son évolution au cours des deux dernières décennies. »

Si l’idée que le noyau de la Terre tourne désormais à l’envers peut être déconcertante, il convient de rappeler que le noyau a probablement changé de direction et de vitesse de cette manière depuis des milliards d’années.

En d’autres termes, il n’y a pas lieu de s’inquiéter.

Astro Univers

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28 mars 2024 4 28 /03 /mars /2024 19:55

 

 

 

Mais ç'est bien pire que ça : voyons les chiffres :

 

"En avril 2017, deux mois avant l’arrivée au pouvoir du président actuel, la France détenait 66,9 milliards de dollars d’obligations souveraines US." sur lien ci après

 

En Octobre 2023 le montant détenu par la France est de 235,1 milliards soit une augmentation de  351 %

 

Ainsi la France se hausse fin 2023 à la 10 ème place des détenteurs de la dette Américaine alors que le pays est endetté à plus de 3200 milliards.

 

de 2017 à 2023 il y a eut un achat de près de 168,2 milliards de dollars de dette Américaine, soit sur les 1000 milliards de dette Française des mandats Macron un placement  de 16,8 % de cette hausse de 1000 milliards. Une paille !

Ces 168,2 milliards supplémentaires investis dans le tonneau des danaïdes de la dette Américaine  nous manquent aujourd'hui et nous en sommes à compter par manques de 10ne de milliards pour boucler les budgets ; mais de qui se moque t on !

Les Mozart de la finance liquident à bas prix les fleurons des secteurs stratégiques Français et soutiennent leurs amis outre Atlantique quitte à saborder l'économie Française, mais après tout n'est-ce pas le but du jeu !

 

Henry

 

Part des bons du Trésor Américains détenus par les pays étrangers (dont la France) en Octobre 2023

Dette : La France a en possession 235,1 milliards de dette Américaine soit depuis l'arrivée de Macron une hausse de 351 %
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17 mai 2023 3 17 /05 /mai /2023 17:53

Un résumé tout a fait objectif et réaliste de la crise Covid par le Pr. Tritto, confirmé par les éléments joints, mais également par le dossier coronavirus (lien en bas article).

 

Une affaire criminelle dès l'origine, des recherches bactériologiques financées par les états conjointement, puis la mise en place d'un pseudo vaccin dangereux et toxique dont la diffusion a été une source de profits considérables.

Un scandale planétaire jonchés des morts de toutes les nations !

 

Henry

La justice américaine précise que les « vaccins » covid sont des systèmes d’armes militaires et ont été traités comme tels en s’exonérant des règles de précaution

Pourquoi toutes les règles de vigilance ont elles été oubliées? Pourquoi les fameux essais ont ils été baclés? La justice américaine nous donne la réponse.

le contrat a été attribué par le ministère de la Défense (Department of Défense = DoD) sous l’empire des « Other Transaction Authority » (OTA), une réglementation dérogatoire spécifique à l’armée permettant d’acquérir de l’armement en s’exonérant des règles fédérales de droit commun, en gré à gré avec le fournisseur de son choix.

Le recours à ce type de contrat dérogatoire exonère le contractant des règles normalement en vigueur. De ce fait, les protocoles usuels d’essais cliniques, non visés par le contrat, n’ont pas à être respectés. De plus, ces essais n’étant pas financés par le gouvernement, mais par Pfizer lui-même, la réglementation FDA (la Food and Drug Administration américaine) ne s’impose pas pour leur conduite. Le cahier des charges ne conditionne pas le paiement au respect du protocole d’essais cliniques ou à la réglementation.

Dès lors que la FDA a approuvé le produit et n’a pas retiré son autorisation, les conditions de préparation et d’essais du produit sont « hors champ ». Donc même si les protocoles d’essais cliniques n’ont pas été respectés, le juge décide que l’on ne peut pas parler de fraude car il n’existait aucune obligation de les respecter et, la FDA ayant accordé son autorisation au vaccin Pfizer

La DARPA, la « Defense Advanced Research Projects Agency », est une agence américaine qui travaille sur un grand nombre de projets de défense militaire, dont l’objet est de « créer des technologies et capacités révolutionnaires pour la sécurité nationale ».

Le recours au Pentagone, et à un contrat OTA, assimile le vaccin Pfizer non pas à un vaccin ni même à un médicament, mais à une contre-mesure « de nature militaire ».

LIRE L ARTICLE /

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccins-arnm-departement-defense-americain-darpa-pfizer

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/un-contrat-aussi-favorable-lindustriel-cela-me-parait-anormal-olivier-frot

 


Hélène Banoun

 

https://aimsib.org/2023/04/30/grossesses-pathologiques-sous-arnm-anti-covid-la-fda-savait-deja-tout-en-2021/… La FDA savait beaucoup de choses lorsque le vaccin pour les femmes enceintes a été approuvé

Les armes biologiques sont développées malgré les traités internationaux. Entretien essentiel avec le Pr Tritto

 

Nous recevons dans cet entretien essentiel, le Professeur Joseph Tritto, chirurgien et auteur du livre « La chimère qui a changé le monde ». Le Professeur Tritto préside depuis 2000 la WABT (World Alliance for Biomedecine & Technology) un organisme créé en 1997 sous l'égide de l'Unesco, ayant pour mission de s'occuper du transfert de technologie médicale aux pays en voie de développement. Il s'est intéressé au développement des biotechnologies permettant la recherche de traitements médicaux en même temps que le développement d'agents bactériologiques à usage militaire à travers les expériences de "gains de fonction". Pour le Professeur Tritto, l'arme biologique est bien plus flexible et tactique que l'arme nucléaire.

Dans un français parfait, le Professeur Tritto évoque dans le détail la « proximité » existant entre l’industrie du médicament et le complexe militaro-politique, la recherche biomoléculaire pouvant mener à la création d'armes militaires. 

Revenant sur l'histoire et le narratif de l'épisode de SARS-Cov1 en 2002, ainsi que le MERS, il explique la genèse du SARS-Cov2 et rend hommage aux travaux du regretté Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine.

Un entretien essentiel pour qui veut comprendre l’évolution de l’industrie pharmaceutique et les contournements des réglementations internationales visant à protéger les populations des dérives de la recherche sur les armes biologiques à vocation militaire.  

Le procureur général du Texas, Ken Paxton, ouvre une enquête civile à l’encontre des sociétés pharmaceutiques Pfizer, Moderna et Johnson&Johnson afin de déterminer si elles ont menti au peuple américain ou si elles ont dissimulé des informations relatives aux effets des vaccins.

 

 

NEW : « La mafia et la CIA étaient essentiellement une seule et même organisation », déclare Robert F Kennedy.
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11 avril 2023 2 11 /04 /avril /2023 18:46

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 18:18

Doit-on s’inquiéter de la qualité de l’eau potable en France ?

eau-pure-potable | Econo-Ecolo

Selon un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) qui sera publié ce jeudi 6 avril 2023, et que Ouest-France a pu consulter, des traces importantes de résidus de chlorothalonil, un pesticide interdit dès 2019 en Europe et classé « cancérigène probable » depuis 2018 par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), ont été détectées dans l’eau du robinet partout dans l’Hexagone.

Le chlorothalonil est l’un des pesticides les plus répandus dans le monde. Il est principalement utilisé pour ses propriétés fongicides, sur les cultures de céréales, la vigne ou certains tubercules, comme les pommes de terre et betteraves sucrières. En France, en 2016, près de 1 710 tonnes de chlorothalonil ont été vendues aux professionnels.

[…]

Lire la suite sur Ouest-France

En savoir plus sur Le Monde

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15 février 2023 3 15 /02 /février /2023 17:57
A propos de l'auteur

Yuri Rubtsov  est docteur en sciences historiques, académicien de l'Académie russe des sciences militaires et membre de l'Association internationale des historiens de la Seconde Guerre mondiale.

Image en vedette : Adolf Hitler, Hjalmar Schacht et Prescott Bush (famille père Bush Président USA) (Source : The Canadian Patriot )

 

Wall Street a aidé les Alliés à financer leur triomphe de la Seconde Guerre mondiale. Mais comme d'habitude, ils ont couvert leurs paris.

JP Morgan a aidé la reconstruction de l'Allemagne après la guerre mondiale IJP Morgan, sous la direction du gouverneur de la Banque d'Angleterre, a dirigé la renégociation des paiements de réparation et organisé d'autres banques de Wall Street pour renflouer l' Allemagne avec des prêts. Cela ne s'est pas arrêté là.

Selon John Strausbaugh, l'auteur du livre « Victory City, A History Of New York and New Yorkers during World War II » : 

Via la [Banque des règlements internationaux], les banquiers américains et britanniques entretenaient une amitié essentiellement secrète avec leurs homologues nazis et japonais tout au long de la Seconde Guerre mondiale, tandis que des milliers et des milliers d'hommes américains et britanniques en uniforme étaient tués et mutilés dans le combat. vaincre les nazis et les japonais.

Les banquiers d'Hitler , Anthony Isola, 6 février 2019

Vous trouverez ci-dessous un article écrit par l'historien russe Yuri Rubtsov. La source originale de cet article était  Fort Russ tel que traduit du russe par Ollie Richardson pour Fort Russ. La version Fort Russ n'est plus disponible sur Internet. Cependant, une version en russe publiée en 2016 peut être trouvée sur ru-polit.livejournal  ICI . Il a été initialement publié en 2009.

 

 

Par Yuri Rubtsov republié de Global Research

De la Première Guerre mondiale à nos jours : la dette exprimée en dollars a été le moteur de toutes les guerres anticipées par les États-Unis.

Les créateurs de Wall Street sont les principaux acteurs. Ils étaient appelés derrière l'Allemagne nazie. Ils ont financé l'opération Barbarossa et l'invasion de l'Union soviétique.

Les Rockefeller ont financé la campagne électorale d'Hitler.

Wall Street a également « nommé » le chef de la Banque centrale allemande (Reichsbank).

Michel Chossudovsky, 3 décembre 2022

Il y a plus de 80 ans a commencé le plus grand carnage de l'histoire : la Seconde Guerre mondiale.

Si nous voulons aborder le problème de la « responsabilité de la guerre » , nous devons d'abord répondre aux questions clés suivantes :

  • Qui a aidé les nazis à prendre le pouvoir ?
  • Qui les a envoyés vers la catastrophe mondiale ?

Toute l'histoire d'avant-guerre de l'Allemagne montre que la fourniture des politiques "nécessaires" a été gérée par la tourmente financière dans laquelle le monde a été plongé à la suite de la Première Guerre mondiale. 

Les structures clés qui ont défini la stratégie de développement d'après-guerre de l'Occident étaient  les institutions financières centrales de la Grande-Bretagne et des États-Unis - la Banque d'Angleterre et le Federal Reserve System (FRS)  - et les organisations financières et industrielles associées définies comme un moyen d'établir un contrôle absolu sur le système financier de l'Allemagne et sa capacité à contrôler les processus politiques en Europe centrale.

Pour mettre en œuvre cette stratégie, les étapes suivantes ont été décrites :

  1. De 1919 à 1924 –  pour préparer le terrain à un investissement financier américain massif dans l'économie allemande ;
  2. De 1924 à 1929 –  établissement du contrôle sur le système financier de l'Allemagne et soutien financier au nazisme (« socialisme national ») ;
  3. De 1929 à 1933 – provoquèrent et déclenchant une crise financière et économique profonde et  assurant l'arrivée au pouvoir des nazis ;
  4. De 1933 à 1939 –  coopération financière avec le gouvernement nazi et soutien à sa politique étrangère expansionniste,  visant à préparer et réaliser une nouvelle guerre mondiale.
« Réparations de guerre » de la Première Guerre mondiale

Dans un premier temps,  les principaux leviers pour assurer la pénétration du capital américain en Europe ont commencé avec les dettes de guerre de la Première Guerre mondiale  et le problème résolu lié aux  réparations allemandes. 

Après l'entrée officielle des États-Unis dans la Première Guerre mondiale, ils ont accordé aux alliés, principalement l'Angleterre et la France, des prêts d'un montant de 8,8 milliards de dollars. La somme totale des dettes de guerre, y compris les prêts accordés aux États-Unis en 1919-1921, s'élevait à plus de 11 milliards de dollars.

Pour résoudre ce problème,  les pays créanciers ont essayé d'imposer des conditions extrêmement difficiles pour le paiement des réparations de guerre aux dépens de l'Allemagne.  Cela a été amélioré par la fuite des capitaux allemands à l'étranger et le refus de payer des impôts qui ont conduit à un déficit budgétaire de l'État qui ne pouvait être couvert que par la production de masse de marques allemandes non garanties.

Le résultat a été l'effondrement de la monnaie allemande -  la "grande inflation" de 1923 - lorsque le dollar valait 4,2 milliards de marks. Les industriels allemands ont commencé à saboter ouvertement toutes les activités de paiement des obligations de réparation, ce qui a finalement provoqué la fameuse «crise de la Ruhr» - l'occupation franco-belge de la Ruhr en janvier 1923.

Les élites dirigeantes anglo-américaines, pour prendre elles-mêmes l'initiative, ont attendu que la France se lance dans une aventure hasardeuse et prouve son incapacité à résoudre le problème. Le secrétaire d'État américain Hughes a souligné : « Il faut attendre que l'Europe mûrisse pour accepter la proposition américaine.

Le nouveau projet a été élaboré dans les profondeurs de JP Morgan & Co. sous la direction du patron de la Banque d'Angleterre,  Montagu Norman . Au cœur de ses idées se trouve le représentant de la « Dresdner Bank »  Hjalmar Schacht , qui la formule en mars 1922 à la suggestion de  John Foster Dulles , futur secrétaire d'État au cabinet du  président Eisenhower et conseiller juridique du  président W. Wilson ,  à la conférence de paix de Paris.

Dulles a remis cette note au fiduciaire en chef JP Morgan & Co., qui a ensuite recommandé Schacht  en consultation avec  Montagu Norman,  gouverneur de la Banque d'Angleterre.

En décembre 1923,  Schacht devient directeur de la Reichsbank et joue un rôle déterminant dans le rapprochement des élites financières anglo-américaines et allemandes.

À l'été 1924, le projet dit  « plan Dawes » - du nom du président du comité d'experts qui l'a créé, un banquier américain et directeur d'une des banques du groupe Morgan - est adopté à la conférence de Londres . Il a appelé à réduire de moitié les réparations et à résoudre la question des sources de leur couverture. Cependant, la tâche principale était d'assurer des conditions favorables aux investissements américains , ce qui n'était possible qu'avec la stabilisation du mark allemand. 

À cette fin, le plan a été accordé à l'Allemagne un prêt important de 200 millions de dollars, dont la moitié était due à JP Morgan.

Alors que les banques anglo-américaines ont pris le contrôle non seulement du transfert des paiements allemands mais aussi du budget, du système de circulation monétaire et dans une large mesure du système de crédit du pays.

La République de Weimar

En août 1924, l'ancien Mark allemand a été remplacé par une nouvelle situation financière stabilisée en Allemagne et, comme l'a écrit le chercheur GD Preparta, la République de Weimar était préparée pour :

L'aide économique la plus pittoresque de l'histoire, suivie de la moisson la plus amère de l'histoire du monde -  un flot imparable de sang américain versé dans les veines financières de l'Allemagne.

Les conséquences n'ont pas tardé à apparaître.

Cela était principalement dû au fait que les réparations annuelles devaient couvrir le montant de la dette payée par les alliés, formés par le soi-disant « cercle absurde de Weimar ».

L'or que l'Allemagne a payé sous forme de réparations de guerre a été  vendu, mis en gage et a disparu aux États-Unis, où il a été restitué à l'Allemagne sous la forme d'un plan d'aide ",  qui l'a donné à l'Angleterre et à la France, et elles, devaient à leur tour payer la dette de guerre des États-Unis. Il a ensuite été recouvert avec intérêt et de nouveau envoyé en Allemagne. En fin de compte, tous en Allemagne vivaient endettés [étaient endettés], et  il était clair que si Wall Street retirait ses prêts, le pays souffrait d'une faillite complète.

Deuxièmement, bien qu'un crédit formel ait été émis pour garantir le paiement, il s'agissait en fait de la restauration du potentiel militaro-industriel du pays.

Le fait est que les Allemands ont été payés en actions d'entreprises pour les prêts, de sorte que le capital américain a commencé à s'intégrer dans l'économie allemande.

Le montant total des investissements étrangers dans l'industrie allemande au cours de la période 1924-1929 s'élève à près de 63 milliards de marks-or, 30 milliards d'emprunts et le paiement des réparations - 10 milliards de marks. 70 % des revenus étaient fournis par les banques des États-Unis, et la plupart des banques appartenaient à JP Morgan. En conséquence, en 1929, l'industrie allemande occupait la deuxième place mondiale, mais elle était largement aux mains des principaux groupes industriels et financiers américains.

 

Investissements américains dans l'Allemagne nazie. Rockefeller a financé la campagne électorale d'Adolf Hitler

« Interessen-Gemeinschaft Farbenindustrie », principal fournisseur de la machine de guerre allemande, financée à 45 % de la campagne électorale d'Hitler en 1930,  et était sous le contrôle de la Standard Oil de Rockefeller.

Morgan, par l'intermédiaire de General Electric, contrôlait l'industrie allemande de la radio et de l'électricité via AEG et Siemens  (jusqu'en 1933, 30 % des actions d'AEG possédaient General Electric) via la société de télécommunications ITT - 40% du réseau téléphonique en Allemagne.

En outre,  ils détenaient une participation de 30 % dans la société de fabrication d'avions Focke-Wulf .

General Motors, appartenant à la famille DuPont, prend le contrôle d'Opel.

Henry Ford contrôlait 100% des actions de Volkswagen.

En 1926, avec la participation de la Rockefeller Bank Dillon, Reed & Co., le deuxième monopole industriel en Allemagne après IG Farben a émergé - la société métallurgique Vereinigte Stahlwerke (Steel Trust) Thyssen, Flick, Wolff, Feglera etc.

La coopération américaine avec le complexe militaro-industriel allemand  était si intense et omniprésente qu'en 1933, les secteurs clés de l'industrie allemande et les grandes banques telles que Deutsche Bank, Dresdner Bank, Danat-Bank (Darmstädter und Nationalbank), etc. .étaient sous le contrôle de la capitale financière américaine.

La force politique qui devait jouer un rôle crucial dans les plans anglo-américains se préparait simultanément. Nous parlons du financement du parti nazi et d'Adolf Hitler personnellement.

Comme l'a écrit l'ancien  chancelier allemand Brüning  dans ses mémoires, depuis 1923, Hitler a reçu de grosses sommes de l'étranger. On ne sait pas où ils sont allés, mais ils ont été reçus par des banques suisses et suédoises.

On sait également qu'en 1922 à Munich, une rencontre eut lieu entre Hitler et l'attaché militaire des États-Unis en Allemagne, le capitaine Truman Smith , qui rédigea un rapport détaillé pour ses supérieurs de Washington (au bureau du renseignement militaire) , en qu'il parlait hautement d'Hitler.

C'est par le biais du cercle de connaissances de Smith qu'Hitler a été présenté pour la première fois à l'homme d'affaires germano-américain  Ernst Franz Sedgwick Hanfstaengl , diplômé de l'Université de Harvard qui a joué un rôle important dans la formation d'Hitler en tant que politicien, soutenu par un soutien financier important, tout en le sécurisant. liens et communication avec des personnalités éminentes de l'établissement britannique.

Hitler était préparé en politique, cependant, alors que l'Allemagne sous la République de Weimar régnait, son parti restait à la périphérie de la vie publique. La situation a radicalement changé avec le début de la crise financière de 1929.

Depuis l'automne 1929, après l'effondrement de la bourse américaine déclenchée par la Réserve fédérale, la troisième étape de la stratégie de l'établissement financier anglo-américain a commencé.

La Réserve fédérale et JP Morgan ont décidé d'arrêter de prêter à l'Allemagne, inspirés par la crise bancaire et la dépression économique en Europe centrale. En septembre 1931, l'Angleterre abandonne l'étalon-or, détruisant délibérément le système international des paiements et coupant complètement le flux d'« oxygène financier » vers la République de Weimar.

Mais un miracle financier se produisit avec le parti nazi : en septembre 1930, grâce à d'importants dons de Thyssen, IG Farben et de l'industriel  Emil Kirdorf , fervent partisan d'Adolf Hitler, le parti nazi obtint 6,4 millions de voix, et se classe deuxième. place au Reichstag, après quoi des investissements généreux de l'étranger ont été activés.

Le lien principal entre les grands industriels allemands et les financiers étrangers devient Schacht .

 

 

Accord secret de 1932 : Wall Street finance le parti nazi d'Hitler 

Le 4 janvier 1932, une rencontre à lieu entre le financier britannique  Montagu Norman, gouverneur de la Banque d'Angleterre , Adolf Hitler et  Franz Von Papen, qui devient chancelier quelques mois plus tard en mai 1932. Lors de cette rencontre, un accord sur le financement du  Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei  (NSDAP ou parti nazi) a été atteint.

Cette réunion a également été suivie par des décideurs américains et  les frères Dulles , ce que leurs biographes n'aiment pas essayé.

Un an plus tard, le 14 janvier 1933, une autre réunion eu lieu entre Adolph Hitler, le financier allemand  Baron Kurt von Schroeder, le chancelier Franz von Papen et le conseiller économique d'Hitler  Wilhelm Keppler  , où le programme d'Hitler a été approuvé.

C'est là qu'ils ont finalement résolu la question du transfert du pouvoir aux nazis, et  le 30 janvier 1933, Hitler est devenu chancelier . La mise en œuvre de la quatrième étape de la stratégie a ainsi commencé.

L'attitude des élites dirigeantes anglo-américaines vis-à-vis du nouveau gouvernement nazi était très sympathique.

Lorsque Hitler a refusé de payer les réparations, ce qui, naturellement, remettait en cause le paiement des dettes de guerre, ni la Grande-Bretagne ni la France ne lui ont montré les créances des paiements. De plus, après sa visite aux États-Unis en mai 1933, Schacht est redevenu à la tête de la Reichsbank et, après sa rencontre avec le président américain et les grands banquiers de Wall Street, l'Amérique a accordé à l'Allemagne de nouveaux prêts d'un montant total de 1 milliard de dollars.

En juin, lors d'un voyage à Londres et d'une rencontre avec Montagu Norman, Schacht a également demandé un prêt britannique de 2 milliards de dollars et une réduction et une cessation des paiements sur les anciens emprunts.

Ainsi, les nazis ont obtenu ce qu'ils n'avaient pas pu obtenir avec le gouvernement précédent.

À l'été 1934,  la Grande-Bretagne signe l'accord de transfert anglo-allemand, qui devient l'un des fondements de la politique britannique envers le Troisième Reich,  et à la fin des années 1930, l'Allemagne devient le principal partenaire commercial d'Angleterre.

La Schroeder Bank est devenue le principal agent de l'Allemagne au Royaume-Uni et, en 1936, son bureau de New York s'est associé aux Rockefeller pour créer la Schroeder, Rockefeller & Co. Investment Bank, que le Times Magazine appelait « l'axe de propagande économique de Berlin-Rome  »  . .”

Comme Hitler l'a lui-même admis, il a conçu son plan quadriennal sur la base de prêts financiers étrangers, de sorte qu'il ne lui a jamais inspiré la moindre alarme.

En août 1934, la Standard Oil américaine [détenue par les Rockefeller] en Allemagne a acquis 730 000 acres de terrain et a intégré de grandes raffineries de pétrole qui ont approvisionné les nazis en pétrole . Dans le même temps,  l'Allemagne a secrètement pris la livraison des équipements les plus modernes pour les usines d'avions des États-Unis,  qui commençaient la production d'avions allemands.

L'Allemagne a reçu un grand nombre de brevets militaires des sociétés américaines Pratt et Whitney, Douglas, Curtis Wright, et la technologie américaine construit le "Junkers-87". En 1941, alors que la Seconde Guerre mondiale faisait rage, les investissements américains dans l'économie de l'Allemagne s'élevaient à 475 millions de dollars. Standard Oil a investi 120 millions de dollars, General Motors 35 millions de dollars, ITT 30 millions de dollars et Ford 17,5 millions de dollars.

L'étroite coopération financière et économique des milieux d'affaires anglo-américains et nazis a été le contexte dans lequel, dans les années 1930, une politique d'apaisement a conduit à la Seconde Guerre mondiale.

Aujourd'hui, les élites financières mondiales ont mis en place la  Grande Dépression 2.0 [2008] , avec une transition de suivi vers un  « Nouvel Ordre Mondial ».

 

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23 janvier 2023 1 23 /01 /janvier /2023 18:00

 

L'hémisphère Nord pourrait être sur le point d'entrer dans une phase de refroidissement de la température jusqu'aux années 2050 avec une baisse jusqu'à 0,3°C selon six scientifiques internationaux de haut niveau

 

Par extension, cela signifie que le reste du globe sera également refroidi.

 

 

Les  résultats , qui ont été ignorés pour une raison quelconque par les médias grand public, ont été publiés l'année dernière à la suite des travaux des scientifiques dirigés par Nour-Eddine Omrani du Centre norvégien de recherche sur le climat Bjerknes.

Le Daily Skeptic rapporte : Publié dans la revue Nature  Climate and Atmospheric Science , les scientifiques affirment que l'oscillation multidécennale de l'Atlantique Nord, un courant marin important qui a pompé de l'eau plus chaude dans l'Arctique, s'affaiblit et conduit à une zone plus froide de l'Atlantique Nord. et des températures plus basses, comme cela a été observé dans la période 1950-1970.

 

Certes, les observations actuelles étayent ces suggestions. Comme  nous l'avons signalé récemment , la banquise d'été dans l'Arctique a cessé de décliner il y a environ une décennie et a montré une croissance récente. La calotte glaciaire de surface du Groenland a augmenté de près de  500 milliards de tonnes  au cours de l'année jusqu'en août 2022, ce qui équivaut presque à sa perte annuelle estimée. Bien sûr, les alarmistes climatiques n'ont pas tout à fait rattrapé ces tendances récentes, Sir David Attenborough déclarant à son auditoire de la BBC Frozen Planet II que la banquise estivale pourrait disparaître d'ici 12 ans.

Fait intéressant, les six scientifiques, dont les travaux ont contribué à démystifier le mythe de la science "établie", attribuent encore une partie du réchauffement climatique à des causes humaines. L'hémisphère Nord est caractérisé par « plusieurs tendances climatiques multidécennales qui ont été attribuées au changement climatique anthropique ». Mais la production d'un travail qui prédit 30 ans de refroidissement global les place en dehors du récit «établi» qui prétend que le dioxyde de carbone produit par l'homme est le principal – peut-être le seul – déterminant des températures mondiales et locales. À tout le moins, cela atténue l'hystérie qui pousse à des mesures punitives nettes presque immédiates. L'auteur principal Omrani est  signalé d'avoir dit que la pause au réchauffement attendue « nous laisse le temps d'élaborer des solutions techniques, politiques et économiques avant la prochaine phase de réchauffement, qui prendra à nouveau le relais à partir de 2050 ».

Les résultats n'ont fait aucune différence pour les délégués au salon des phénomènes climatiques de Davos qui ont continué à faire monter la campagne de peur à des niveaux record. Dans une diatribe déséquilibrée comme l'ancien vice-président américain Al Gore a mis en garde contre les "bombes de pluie" et les "océans en ébullition" . L'actuel tsar américain du climat - et propriétaire d'un jet privé - John Kerry a décrit le rassemblement comme un groupe "sélectionné" d'êtres humains appelés à "sauver la planète".

 
Rédactrice chez NewsPunch
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21 décembre 2022 3 21 /12 /décembre /2022 19:15

Un nouveau rapport de l'autorité néo-zélandaise de sécurité des médicaments, Medsafe, indique que «par hasard», certaines personnes contracteront une nouvelle maladie ou mourront peu de temps après avoir reçu une injection de Pfizer Covid. Mais selon Medsafe, il n'y a rien à craindre.

Contrairement à ce que dit Medsafe, il y a de nombreuses raisons de s'inquiéter. Actuellement, les décès toutes causes confondues sont supérieurs de 15% à ce que l'on observe habituellement en Nouvelle-Zélande. Et une analyse de séries chronologiques de données néo-zélandaises («NZ») soutient une relation entre la vaccination par ARNm et la mort.

 

Par le Dr Guy Hatchard

Le 14 décembre 2022, Medsafe (NZ Medicines and Medical Devices Safety Authority) a publié son 46e rapport sur la sécurité des vaccins Covid intitulé " Evénements indésirables suite à la vaccination avec les vaccins COVID-19 ". Le rapport couvrait les signaux de sécurité jusqu'au 30 novembre 2022.

Ce rapport contenait de nouveaux conseils sur le risque de décès après la vaccination par l'ARNm. L'évaluation de Medsafe a commencé comme suit :

Par chance, certaines personnes contracteront de nouvelles maladies ou mourront d'une maladie préexistante peu de temps après la vaccination, surtout si elles sont âgées. Par conséquent, une partie de notre processus d'examen comprend la comparaison des taux de mortalité naturelle aux taux de mortalité observés après la vaccination, afin de déterminer s'il existe des tendances ou des modèles spécifiques qui pourraient indiquer un problème d'innocuité des vaccins.

Le rapport intervient après des mois de spéculations concernant des niveaux records de surmortalité toutes causes confondues en Nouvelle-Zélande affectant tous les âges, actuellement à 15% au-dessus des niveaux historiques. 

Après avoir publié la nouvelle explosive, Medsafe passe par un processus entièrement faux et non scientifique conçu pour rassurer le public sur le fait qu'il n'y a rien à craindre. Medsafe compare le nombre de décès signalés au CARM (Centre de surveillance des effets indésirables) dans les 21 jours suivant la vaccination au taux de référence des décès de causes naturelles. Ce faisant, il omet de mentionner (mais le fait ailleurs) que les rapports CARM sont volontaires et massivement sous-déclarés par un facteur estimé à 20 fois. Par conséquent, il n'y a rien de rassurant dans ce rapport de sécurité.

Y a-t-il d'autres raisons de s'inquiéter ? Oui beaucoup: 

1. Medsafe rapporte "Aucun décès n'a été signalé pour les vaccins Vaxzevria ou Nuvaxovid." Alors pourquoi se produisent-ils après le vaccin Pfizer ?

2. Les autopsies ne sont pas pratiquées systématiquement en Nouvelle-Zélande à la suite de décès proches de la vaccination. Une étude allemande récemment publiée « Caractérisation histopathologique basée sur l'autopsie de la myocardite après la vaccination anti-SARS-CoV-2 » rapporte que 16 % des décès dans les 20 jours suivant la vaccination par l'ARNm présentent des symptômes causaux définitifs de myocardite aiguë, un effet indésirable connu de Pfizer Covid vaccination. Alors pourquoi n'y a-t-il aucun effort concerté ici en Nouvelle-Zélande pour enquêter en effectuant régulièrement des autopsies ?

3. Le ministère de la Santé a systématiquement refusé/omis d'enregistrer le statut vaccinal sur les certificats de décès ou de rendre obligatoire la déclaration au CARM. Il est donc très difficile d'étudier scientifiquement et de manière fiable toute relation causale entre la vaccination par ARNm et le décès ou une maladie grave. Le 17 décembre 2021, le directeur du programme de vaccination Covid m'a écrit au nom du Dr Ashley Bloomfield, directeur général de la santé, en disant : « Une mesure précise de tous les événements indésirables n'est pas nécessaire ». 

À la lumière de l'admission Medsafe d'hier, c'est accablant. Incroyablement, le Dr Bloomfield vient d'être nommé président inaugural d'un nouvel institut d'impact sur les politiques publiques à l'Université d'Auckland, proposant de traduire et d'appliquer la recherche dans les politiques qui ont un impact direct sur les communautés - mais il ne souscrit pas à l'exactitude ??? La plupart des gens le font, en particulier les universitaires.

4. Medsafe soutient que la corrélation temporelle entre les décès et la vaccination ne prouve pas une relation causale entre eux. Ils, ainsi que le professeur épidémiologiste Michael Baker, suggèrent que l'infection à Covid ou les problèmes de santé préexistants sont plus susceptibles d'être liés de manière causale aux décès après la vaccination. Il existe en fait d'autres analyses pertinentes qui peuvent déterminer s'il existe une relation entre la vaccination par ARNm et les décès immédiats. Parmi celles-ci, de puissantes techniques d'analyse de séries chronologiques peuvent découvrir si les décès se produisent systématiquement pendant des intervalles de temps spécifiques après la vaccination. Cela fournirait un soutien solide à une relation causale.

Parmi les nations du monde, la Nouvelle-Zélande est dans une position unique pour entreprendre ce type d'analyse. En 2021, la Nouvelle-Zélande avait très peu d'infections à Covid (presque aucune) mais la majorité de la population a été vaccinée sur une période de huit mois. Par conséquent, les décès enregistrés pendant une grande partie de 2021 en Nouvelle-Zélande ne peuvent être attribués à aucun effet de l'infection à Covid. 

Les données préliminaires de 2021 ont été analysées pour enquêter sur la proposition selon laquelle la vaccination par ARNm a entraîné des décès. Cela montre qu'il existe une relation significative (p = 0,045) entre le nombre de vaccins administrés par semaine et les décès hebdomadaires avec un décalage d'une semaine. En d'autres termes, il existe une augmentation statistiquement significative du risque de mourir quelques jours après la vaccination. Téléchargez l'étude ICI . Malgré la nature préliminaire des données de cette étude, les résultats de cette étude sont cohérents avec les résultats des autopsies allemandes. Par conséquent, il devrait y avoir une étude plus rigoureuse des données stockées pour tester davantage ces résultats.

Il existe d'autres méthodes simples pour analyser les données sur les décès. Par exemple, prendre la date d'inoculation pour chaque individu comme un point théorique dans le temps autour duquel toutes les données sur les décès peuvent être évaluées pour des cohortes entières d'individus. Cela révélerait si les taux de mortalité avant et après l'inoculation diffèrent. 

5. L'analyse des séries chronologiques n'exclut pas la possibilité que d'autres décès à des intervalles de temps plus longs après une date d'inoculation puissent se produire à la suite de la vaccination par l'ARNm. Des taux sans précédent de mortalité toutes causes confondues suggèrent que c'est probablement le cas. Malheureusement, le ministère néo-zélandais de la Santé ne publie pas de données sur les causes d'hospitalisation par catégorie de maladie. Il existe des preuves que nous avons précédemment rapportées sur la base des données personnelles de la défense américaine et des statistiques d'assurance, ainsi que des données de l'ONS britannique, indiquant que l'incidence des troubles neurologiques, des cancers, des événements cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux a augmenté.

La position de Medsafe sur la sécurité des vaccins a clairement changé au cours des deux mois depuis la dernière publication d'un rapport sur la sécurité, mais a-t-il réalisé l'importance d'évaluations causales plus fiables ? Apparemment non. Le public néo-zélandais est tenu dans l'ignorance de la sécurité des vaccins, comme cela a été le cas au cours des deux dernières années. Les assurances fades de sécurité continuent sans fondement en fait.

La vaccination par ARNm peut-elle être un événement déclencheur de décès si vous êtes déjà malade ou âgé ? 

La formulation de l'avertissement Medsafe du 14 décembre est étrange et ambiguë : « ..certaines personnes connaîtront de nouvelles maladies ou mourront d'une condition préexistante peu de temps après la vaccination, surtout si elles sont âgées ». Alors, les personnes âgées sont-elles particulièrement susceptibles de mourir après la vaccination à cause de la vaccination ou parce qu'elles sont âgées ? On ne nous le dit pas.

Outre les taux évidemment élevés de décès toutes causes confondues, des rapports anecdotiques du personnel des maisons de repos suggèrent que c'est le cas. Les véhicules d'urgence et les hélicoptères répondent à des appels plus fréquents. Les hôpitaux sont débordés et incapables de faire face. Les dénonciateurs parmi les infirmières parlent de services cardiaques débordés. Un cardiologue britannique de renom a suggéré que les preuves de préjudice sont accablantes et irréfutables . Les travailleurs des pompes funèbres en Nouvelle-Zélande et à l'étranger ont parlé publiquement d'étranges caillots caoutchouteux dans les artères qui ont été confirmés par des pathologistes expérimentés aux États-Unis. Des augmentations statistiquement improbables des données sur les réclamations d'assurance-vie ont été constatées. Les morts subites inexpliquées sont très médiatisées. Le message est cohérent – ​​quelque chose d'inédit et de très inquiétant se passe. 

Malgré la multiplicité des sources de données et des méthodes d'analyse à sa disposition. Medsafe s'est appuyé pendant deux ans sur une seule méthode manifestement défectueuse pour comparer les données CARM aux taux de base, bien qu'il admette que les données CARM sont sous-déclarées. Comment est-ce étrange? Cette lacune est fatale aux affirmations de sécurité de Medsafe. C'est scientifiquement injustifiable et cela ne répondrait pas aux critères de publication. Il n'y a aucune justification possible pour omettre d'utiliser des formes plus fiables d'enquête causale. Medsafe a évité la responsabilité publique en refusant de débattre publiquement des problèmes, en omettant la publication de données clés sur la santé, en massacrant les données publiées et en accusant de manière impardonnable les critiques de diffuser de la désinformation. Ces approches sont dignes d'une dictature mais pas d'une démocratie moderne. 

A propos de l'auteur

Guy Hatchard, PhD, était auparavant cadre supérieur chez Genetic ID, une société mondiale de test et de sécurité alimentaire (maintenant connue sous le nom de FoodChain ID). Vous pouvez vous abonner à ses sites Web HatchardReport.com et GLOBE.GLOBAL pour des mises à jour régulières par e-mail.

 

Source : Expose-News

 

Preuves choquantes de décès excessifs et de dépopulation potentielle liés aux vaccins COVID : les rapports du gouvernement et de Pfizer révèlent la vérité

 

Le vaccin COVID est lié à plus de 750 000 décès dans 38 pays et à un dépeuplement massif selon les rapports gouvernementaux et les documents Pfizer

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