Un résumé tout a fait objectif et réaliste de la crise Covid par le Pr. Tritto, confirmé par les éléments joints, mais également par le dossier coronavirus (lien en bas article).
Une affaire criminelle dès l'origine, des recherches bactériologiques financées par les états conjointement, puis la mise en place d'un pseudo vaccin dangereux et toxique dont la diffusion a été une source de profits considérables.
Un scandale planétaire jonchés des morts de toutes les nations !
Pourquoi toutes les règles de vigilance ont elles été oubliées? Pourquoi les fameux essais ont ils été baclés? La justice américaine nous donne la réponse.
le contrat a été attribué par le ministère de la Défense (Department of Défense = DoD) sous l’empire des « Other Transaction Authority » (OTA), une réglementation dérogatoire spécifique à l’armée permettant d’acquérir de l’armement en s’exonérant des règles fédérales de droit commun, en gré à gré avec le fournisseur de son choix.
Le recours à ce type de contrat dérogatoire exonère le contractant des règles normalement en vigueur. De ce fait, les protocoles usuels d’essais cliniques, non visés par le contrat, n’ont pas à être respectés. De plus, ces essais n’étant pas financés par le gouvernement, mais par Pfizer lui-même, la réglementation FDA (la Food and Drug Administration américaine) ne s’impose pas pour leur conduite. Le cahier des charges ne conditionne pas le paiement au respect du protocole d’essais cliniques ou à la réglementation.
Dès lors que la FDA a approuvé le produit et n’a pas retiré son autorisation, les conditions de préparation et d’essais du produit sont « hors champ ». Donc même si les protocoles d’essais cliniques n’ont pas été respectés, le juge décide que l’on ne peut pas parler de fraude car il n’existait aucune obligation de les respecter et, la FDA ayant accordé son autorisation au vaccin Pfizer
La DARPA, la « Defense Advanced Research Projects Agency », est une agence américaine qui travaille sur un grand nombre de projets de défense militaire, dont l’objet est de « créer des technologies et capacités révolutionnaires pour la sécurité nationale ».
Le recours au Pentagone, et à un contrat OTA, assimile le vaccin Pfizer non pas à un vaccin ni même à un médicament, mais à une contre-mesure « de nature militaire ».
Edouard Husson est directeur de la rédaction. Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, agrégé et docteur en histoire, professeur des universités, ancien vice-chancelier des universités d...
Les armes biologiques sont développées malgré les traités internationaux. Entretien essentiel avec le Pr Tritto
Nous recevons dans cet entretien essentiel, le Professeur Joseph Tritto, chirurgien et auteur du livre « La chimère qui a changé le monde ». Le Professeur Tritto préside depuis 2000 la WABT (World Alliance for Biomedecine & Technology) un organisme créé en 1997 sous l'égide de l'Unesco, ayant pour mission de s'occuper du transfert de technologie médicale aux pays en voie de développement. Il s'est intéressé au développement des biotechnologies permettant la recherche de traitements médicaux en même temps que le développement d'agents bactériologiques à usage militaire à travers les expériences de "gains de fonction". Pour le Professeur Tritto, l'arme biologique est bien plus flexible et tactique que l'arme nucléaire.
Dans un français parfait, le Professeur Tritto évoque dans le détail la « proximité » existant entre l’industrie du médicament et le complexe militaro-politique, la recherche biomoléculaire pouvant mener à la création d'armes militaires.
Revenant sur l'histoire et le narratif de l'épisode de SARS-Cov1 en 2002, ainsi que le MERS, il explique la genèse du SARS-Cov2 et rend hommage aux travaux du regretté Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine.
Un entretien essentiel pour qui veut comprendre l’évolution de l’industrie pharmaceutique et les contournements des réglementations internationales visant à protéger les populations des dérives de la recherche sur les armes biologiques à vocation militaire.
NEW : « La mafia et la CIA étaient essentiellement une seule et même organisation », déclare Robert F Kennedy.
💥NEW : "La mafia et la CIA étaient essentiellement une seule et même organisation", déclare RFK. pic.twitter.com/cVntXpHySd
— Le Canal 17 sur Telegram (@MaelAffarezzo) May 13, 2023
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Slovénie, une des responsables de la vaccination covid a avoué publiquement qu'il y avait des lots placebo
"[En Slovénie, une des responsables de la vaccination covid a avoué publiquement qu'il y avait des lots placebo [afin d'éviter les effets secondaires] destinés aux officiels, politiques et journalistes !]"https://t.co/WexRKbbdGZpic.twitter.com/IdWB0VCVvU
L'humanité semble paralysée dans son évolution. De nos jours, nos ordinateurs évoluent plus vite que nous. Quelque chose ne va pas. Quand la bureaucratie s'empare des décisions concernant les ...
Doit-on s’inquiéter de la qualité de l’eau potable en France ?
Selon un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) qui sera publié ce jeudi 6 avril 2023, et que Ouest-France a pu consulter, des traces importantes de résidus de chlorothalonil, un pesticide interdit dès 2019 en Europe et classé « cancérigène probable » depuis 2018 par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), ont été détectées dans l’eau du robinet partout dans l’Hexagone.
Le chlorothalonil est l’un des pesticides les plus répandus dans le monde. Il est principalement utilisé pour ses propriétés fongicides, sur les cultures de céréales, la vigne ou certains tubercules, comme les pommes de terre et betteraves sucrières. En France, en 2016, près de 1 710 tonnes de chlorothalonil ont été vendues aux professionnels.
Yuri Rubtsov est docteur en sciences historiques, académicien de l'Académie russe des sciences militaires et membre de l'Association internationale des historiens de la Seconde Guerre mondiale.
Image en vedette : Adolf Hitler, Hjalmar Schacht et Prescott Bush (famille père Bush Président USA) (Source : The Canadian Patriot )
Wall Street a aidé les Alliés à financer leur triomphe de la Seconde Guerre mondiale. Mais comme d'habitude, ils ont couvert leurs paris.
JP Morgan a aidé la reconstruction de l'Allemagne après la guerre mondiale IJP Morgan, sous la direction du gouverneur de la Banque d'Angleterre, a dirigé la renégociation des paiements de réparation et organisé d'autres banques de Wall Street pour renflouer l' Allemagne avec des prêts. Cela ne s'est pas arrêté là.
Selon John Strausbaugh, l'auteur du livre « Victory City, A History Of New York and New Yorkers during World War II » :
Via la [Banque des règlements internationaux], les banquiers américains et britanniques entretenaient une amitié essentiellement secrète avec leurs homologues nazis et japonais tout au long de la Seconde Guerre mondiale, tandis que des milliers et des milliers d'hommes américains et britanniques en uniforme étaient tués et mutilés dans le combat. vaincre les nazis et les japonais.
Vous trouverez ci-dessous un article écrit par l'historien russe Yuri Rubtsov. La source originale de cet article était Fort Russ tel que traduit du russe par Ollie Richardson pour Fort Russ. La version Fort Russ n'est plus disponible sur Internet. Cependant, une version en russe publiée en 2016 peut être trouvée sur ru-polit.livejournal ICI . Il a été initialement publié en 2009.
De la Première Guerre mondiale à nos jours : la dette exprimée en dollars a été le moteur de toutes les guerres anticipées par les États-Unis.
Les créateurs de Wall Street sont les principaux acteurs. Ils étaient appelés derrière l'Allemagne nazie. Ils ont financé l'opération Barbarossa et l'invasion de l'Union soviétique.
Les Rockefeller ont financé la campagne électorale d'Hitler.
Wall Street a également « nommé » le chef de la Banque centrale allemande (Reichsbank).
Michel Chossudovsky, 3 décembre 2022
Il y a plus de 80 ans a commencé le plus grand carnage de l'histoire : la Seconde Guerre mondiale.
Si nous voulons aborder le problème de la « responsabilité de la guerre » , nous devons d'abord répondre aux questions clés suivantes :
Qui a aidé les nazis à prendre le pouvoir ?
Qui les a envoyés vers la catastrophe mondiale ?
Toute l'histoire d'avant-guerre de l'Allemagne montre que la fourniture des politiques "nécessaires" a été gérée par la tourmente financière dans laquelle le monde a été plongé à la suite de la Première Guerre mondiale.
Les structures clés qui ont défini la stratégie de développement d'après-guerre de l'Occident étaient les institutions financières centrales de la Grande-Bretagne et des États-Unis - la Banque d'Angleterre et le Federal Reserve System (FRS) - et les organisations financières et industrielles associées définies comme un moyen d'établir un contrôle absolu sur le système financier de l'Allemagne et sa capacité à contrôler les processus politiques en Europe centrale.
Pour mettre en œuvre cette stratégie, les étapes suivantes ont été décrites :
De 1919 à 1924 – pour préparer le terrain à un investissement financier américain massif dans l'économie allemande ;
De 1924 à 1929 – établissement du contrôle sur le système financier de l'Allemagne et soutien financier au nazisme (« socialisme national ») ;
De 1929 à 1933 – provoquèrent et déclenchant une crise financière et économique profonde et assurant l'arrivée au pouvoir des nazis ;
De 1933 à 1939 – coopération financière avec le gouvernement nazi et soutien à sa politique étrangère expansionniste, visant à préparer et réaliser une nouvelle guerre mondiale.
« Réparations de guerre » de la Première Guerre mondiale
Dans un premier temps, les principaux leviers pour assurer la pénétration du capital américain en Europe ont commencé avec les dettes de guerre de la Première Guerre mondiale et le problème résolu lié aux réparations allemandes.
Après l'entrée officielle des États-Unis dans la Première Guerre mondiale, ils ont accordé aux alliés, principalement l'Angleterre et la France, des prêts d'un montant de 8,8 milliards de dollars. La somme totale des dettes de guerre, y compris les prêts accordés aux États-Unis en 1919-1921, s'élevait à plus de 11 milliards de dollars.
Pour résoudre ce problème, les pays créanciers ont essayé d'imposer des conditions extrêmement difficiles pour le paiement des réparations de guerre aux dépens de l'Allemagne. Cela a été amélioré par la fuite des capitaux allemands à l'étranger et le refus de payer des impôts qui ont conduit à un déficit budgétaire de l'État qui ne pouvait être couvert que par la production de masse de marques allemandes non garanties.
Le résultat a été l'effondrement de la monnaie allemande - la "grande inflation" de 1923 - lorsque le dollar valait 4,2 milliards de marks. Les industriels allemands ont commencé à saboter ouvertement toutes les activités de paiement des obligations de réparation, ce qui a finalement provoqué la fameuse «crise de la Ruhr» - l'occupation franco-belge de la Ruhr en janvier 1923.
Les élites dirigeantes anglo-américaines, pour prendre elles-mêmes l'initiative, ont attendu que la France se lance dans une aventure hasardeuse et prouve son incapacité à résoudre le problème. Le secrétaire d'État américain Hughes a souligné : « Il faut attendre que l'Europe mûrisse pour accepter la proposition américaine.
Le nouveau projet a été élaboré dans les profondeurs de JP Morgan & Co. sous la direction du patron de la Banque d'Angleterre, Montagu Norman . Au cœur de ses idées se trouve le représentant de la « Dresdner Bank » Hjalmar Schacht , qui la formule en mars 1922 à la suggestion de John Foster Dulles , futur secrétaire d'État au cabinet du président Eisenhower et conseiller juridique du président W. Wilson , à la conférence de paix de Paris.
Dulles a remis cette note au fiduciaire en chef JP Morgan & Co., qui a ensuite recommandé Schacht en consultation avec Montagu Norman, gouverneur de la Banque d'Angleterre.
En décembre 1923, Schacht devient directeur de la Reichsbank et joue un rôle déterminant dans le rapprochement des élites financières anglo-américaines et allemandes.
À l'été 1924, le projet dit « plan Dawes » - du nom du président du comité d'experts qui l'a créé, un banquier américain et directeur d'une des banques du groupe Morgan - est adopté à la conférence de Londres . Il a appelé à réduire de moitié les réparations et à résoudre la question des sources de leur couverture. Cependant, la tâche principale était d'assurer des conditions favorables aux investissements américains , ce qui n'était possible qu'avec la stabilisation du mark allemand.
À cette fin, le plan a été accordé à l'Allemagne un prêt important de 200 millions de dollars, dont la moitié était due à JP Morgan.
Alors que les banques anglo-américaines ont pris le contrôle non seulement du transfert des paiements allemands mais aussi du budget, du système de circulation monétaire et dans une large mesure du système de crédit du pays.
La République de Weimar
En août 1924, l'ancien Mark allemand a été remplacé par une nouvelle situation financière stabilisée en Allemagne et, comme l'a écrit le chercheur GD Preparta, la République de Weimar était préparée pour :
L'aide économique la plus pittoresque de l'histoire, suivie de la moisson la plus amère de l'histoire du monde - un flot imparable de sang américain versé dans les veines financières de l'Allemagne.
Les conséquences n'ont pas tardé à apparaître.
Cela était principalement dû au fait que les réparations annuelles devaient couvrir le montant de la dette payée par les alliés, formés par le soi-disant « cercle absurde de Weimar ».
L'or que l'Allemagne a payé sous forme de réparations de guerre a été vendu, mis en gage et a disparu aux États-Unis, où il a été restitué à l'Allemagne sous la forme d'un plan d'aide ", qui l'a donné à l'Angleterre et à la France, et elles, devaient à leur tour payer la dette de guerre des États-Unis. Il a ensuite été recouvert avec intérêt et de nouveau envoyé en Allemagne. En fin de compte, tous en Allemagne vivaient endettés [étaient endettés], et il était clair que si Wall Street retirait ses prêts, le pays souffrait d'une faillite complète.
Deuxièmement, bien qu'un crédit formel ait été émis pour garantir le paiement, il s'agissait en fait de la restauration du potentiel militaro-industriel du pays.
Le fait est que les Allemands ont été payés en actions d'entreprises pour les prêts, de sorte que le capital américain a commencé à s'intégrer dans l'économie allemande.
Le montant total des investissements étrangers dans l'industrie allemande au cours de la période 1924-1929 s'élève à près de 63 milliards de marks-or, 30 milliards d'emprunts et le paiement des réparations - 10 milliards de marks. 70 % des revenus étaient fournis par les banques des États-Unis, et la plupart des banques appartenaient à JP Morgan. En conséquence, en 1929, l'industrie allemande occupait la deuxième place mondiale, mais elle était largement aux mains des principaux groupes industriels et financiers américains.
Investissements américains dans l'Allemagne nazie. Rockefeller a financé la campagne électorale d'Adolf Hitler
« Interessen-Gemeinschaft Farbenindustrie », principal fournisseur de la machine de guerre allemande, financée à 45 % de la campagne électorale d'Hitler en 1930, et était sous le contrôle de la Standard Oil de Rockefeller.
Morgan, par l'intermédiaire de General Electric, contrôlait l'industrie allemande de la radio et de l'électricité via AEG et Siemens (jusqu'en 1933, 30 % des actions d'AEG possédaient General Electric) via la société de télécommunications ITT - 40% du réseau téléphonique en Allemagne.
En outre, ils détenaient une participation de 30 % dans la société de fabrication d'avions Focke-Wulf .
General Motors, appartenant à la famille DuPont, prend le contrôle d'Opel.
Henry Ford contrôlait 100% des actions de Volkswagen.
En 1926, avec la participation de la Rockefeller Bank Dillon, Reed & Co., le deuxième monopole industriel en Allemagne après IG Farben a émergé - la société métallurgique Vereinigte Stahlwerke (Steel Trust) Thyssen, Flick, Wolff, Feglera etc.
La coopération américaine avec le complexe militaro-industriel allemand était si intense et omniprésente qu'en 1933, les secteurs clés de l'industrie allemande et les grandes banques telles que Deutsche Bank, Dresdner Bank, Danat-Bank (Darmstädter und Nationalbank), etc. .étaient sous le contrôle de la capitale financière américaine.
La force politique qui devait jouer un rôle crucial dans les plans anglo-américains se préparait simultanément. Nous parlons du financement du parti nazi et d'Adolf Hitler personnellement.
Comme l'a écrit l'ancien chancelier allemand Brüning dans ses mémoires, depuis 1923, Hitler a reçu de grosses sommes de l'étranger. On ne sait pas où ils sont allés, mais ils ont été reçus par des banques suisses et suédoises.
On sait également qu'en 1922 à Munich, une rencontre eut lieu entre Hitler et l'attaché militaire des États-Unis en Allemagne, le capitaine Truman Smith , qui rédigea un rapport détaillé pour ses supérieurs de Washington (au bureau du renseignement militaire) , en qu'il parlait hautement d'Hitler.
C'est par le biais du cercle de connaissances de Smith qu'Hitler a été présenté pour la première fois à l'homme d'affaires germano-américain Ernst Franz Sedgwick Hanfstaengl , diplômé de l'Université de Harvard qui a joué un rôle important dans la formation d'Hitler en tant que politicien, soutenu par un soutien financier important, tout en le sécurisant. liens et communication avec des personnalités éminentes de l'établissement britannique.
Hitler était préparé en politique, cependant, alors que l'Allemagne sous la République de Weimar régnait, son parti restait à la périphérie de la vie publique. La situation a radicalement changé avec le début de la crise financière de 1929.
Depuis l'automne 1929, après l'effondrement de la bourse américaine déclenchée par la Réserve fédérale, la troisième étape de la stratégie de l'établissement financier anglo-américain a commencé.
La Réserve fédérale et JP Morgan ont décidé d'arrêter de prêter à l'Allemagne, inspirés par la crise bancaire et la dépression économique en Europe centrale. En septembre 1931, l'Angleterre abandonne l'étalon-or, détruisant délibérément le système international des paiements et coupant complètement le flux d'« oxygène financier » vers la République de Weimar.
Mais un miracle financier se produisit avec le parti nazi : en septembre 1930, grâce à d'importants dons de Thyssen, IG Farben et de l'industriel Emil Kirdorf , fervent partisan d'Adolf Hitler, le parti nazi obtint 6,4 millions de voix, et se classe deuxième. place au Reichstag, après quoi des investissements généreux de l'étranger ont été activés.
Le lien principal entre les grands industriels allemands et les financiers étrangers devient Schacht .
Accord secret de 1932 : Wall Street finance le parti nazi d'Hitler
Le 4 janvier 1932, une rencontre à lieu entre le financier britannique Montagu Norman, gouverneur de la Banque d'Angleterre , Adolf Hitler et Franz Von Papen, qui devient chancelier quelques mois plus tard en mai 1932. Lors de cette rencontre, un accord sur le financement du Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei (NSDAP ou parti nazi) a été atteint.
Cette réunion a également été suivie par des décideurs américains et les frères Dulles , ce que leurs biographes n'aiment pas essayé.
Un an plus tard, le 14 janvier 1933, une autre réunion eu lieu entre Adolph Hitler, le financier allemand Baron Kurt von Schroeder, le chancelier Franz von Papen et le conseiller économique d'Hitler Wilhelm Keppler , où le programme d'Hitler a été approuvé.
C'est là qu'ils ont finalement résolu la question du transfert du pouvoir aux nazis, et le 30 janvier 1933, Hitler est devenu chancelier . La mise en œuvre de la quatrième étape de la stratégie a ainsi commencé.
L'attitude des élites dirigeantes anglo-américaines vis-à-vis du nouveau gouvernement nazi était très sympathique.
Lorsque Hitler a refusé de payer les réparations, ce qui, naturellement, remettait en cause le paiement des dettes de guerre, ni la Grande-Bretagne ni la France ne lui ont montré les créances des paiements. De plus, après sa visite aux États-Unis en mai 1933, Schacht est redevenu à la tête de la Reichsbank et, après sa rencontre avec le président américain et les grands banquiers de Wall Street, l'Amérique a accordé à l'Allemagne de nouveaux prêts d'un montant total de 1 milliard de dollars.
En juin, lors d'un voyage à Londres et d'une rencontre avec Montagu Norman, Schacht a également demandé un prêt britannique de 2 milliards de dollars et une réduction et une cessation des paiements sur les anciens emprunts.
Ainsi, les nazis ont obtenu ce qu'ils n'avaient pas pu obtenir avec le gouvernement précédent.
À l'été 1934, la Grande-Bretagne signe l'accord de transfert anglo-allemand, qui devient l'un des fondements de la politique britannique envers le Troisième Reich, et à la fin des années 1930, l'Allemagne devient le principal partenaire commercial d'Angleterre.
La Schroeder Bank est devenue le principal agent de l'Allemagne au Royaume-Uni et, en 1936, son bureau de New York s'est associé aux Rockefeller pour créer la Schroeder, Rockefeller & Co. Investment Bank, que le Times Magazine appelait « l'axe de propagande économique de Berlin-Rome » . .”
Comme Hitler l'a lui-même admis, il a conçu son plan quadriennal sur la base de prêts financiers étrangers, de sorte qu'il ne lui a jamais inspiré la moindre alarme.
En août 1934, la Standard Oil américaine [détenue par les Rockefeller] en Allemagne a acquis 730 000 acres de terrain et a intégré de grandes raffineries de pétrole qui ont approvisionné les nazis en pétrole . Dans le même temps, l'Allemagne a secrètement pris la livraison des équipements les plus modernes pour les usines d'avions des États-Unis, qui commençaient la production d'avions allemands.
L'Allemagne a reçu un grand nombre de brevets militaires des sociétés américaines Pratt et Whitney, Douglas, Curtis Wright, et la technologie américaine construit le "Junkers-87". En 1941, alors que la Seconde Guerre mondiale faisait rage, les investissements américains dans l'économie de l'Allemagne s'élevaient à 475 millions de dollars. Standard Oil a investi 120 millions de dollars, General Motors 35 millions de dollars, ITT 30 millions de dollars et Ford 17,5 millions de dollars.
L'étroite coopération financière et économique des milieux d'affaires anglo-américains et nazis a été le contexte dans lequel, dans les années 1930, une politique d'apaisement a conduit à la Seconde Guerre mondiale.
Aujourd'hui, les élites financières mondiales ont mis en place la Grande Dépression 2.0 [2008] , avec une transition de suivi vers un « Nouvel Ordre Mondial ».
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N ouvel Ordre Mondial ou Nouveau Désordre Mondial ? de Peter Dale Scott La Route Vers le Nouveau Désordre Mondial de Peter Dale Scott (Editions Demi-Lune) " Peter Dale Scott est l'un des écrivai...
Auteur Cyril Leysin Vous trouverez ce livre aux : Editions de Chiré Qui proposent de nombreux cadeaux de lecture en cette fin d'année ; sous la bienveillante ligne éditoriale de M. François Xav...
L'hémisphère Nord pourrait être sur le point d'entrer dans une phase de refroidissement de la température jusqu'aux années 2050 avec une baisse jusqu'à 0,3°C selon six scientifiques internationaux de haut niveau
Par extension, cela signifie que le reste du globe sera également refroidi.
Les résultats , qui ont été ignorés pour une raison quelconque par les médias grand public, ont été publiés l'année dernière à la suite des travaux des scientifiques dirigés par Nour-Eddine Omrani du Centre norvégien de recherche sur le climat Bjerknes.
Le Daily Skeptic rapporte : Publié dans la revue Nature Climate and Atmospheric Science , les scientifiques affirment que l'oscillation multidécennale de l'Atlantique Nord, un courant marin important qui a pompé de l'eau plus chaude dans l'Arctique, s'affaiblit et conduit à une zone plus froide de l'Atlantique Nord. et des températures plus basses, comme cela a été observé dans la période 1950-1970.
Certes, les observations actuelles étayent ces suggestions. Comme nous l'avons signalé récemment , la banquise d'été dans l'Arctique a cessé de décliner il y a environ une décennie et a montré une croissance récente. La calotte glaciaire de surface du Groenland a augmenté de près de 500 milliards de tonnes au cours de l'année jusqu'en août 2022, ce qui équivaut presque à sa perte annuelle estimée. Bien sûr, les alarmistes climatiques n'ont pas tout à fait rattrapé ces tendances récentes, Sir David Attenborough déclarant à son auditoire de la BBC Frozen Planet II que la banquise estivale pourrait disparaître d'ici 12 ans.
Fait intéressant, les six scientifiques, dont les travaux ont contribué à démystifier le mythe de la science "établie", attribuent encore une partie du réchauffement climatique à des causes humaines. L'hémisphère Nord est caractérisé par « plusieurs tendances climatiques multidécennales qui ont été attribuées au changement climatique anthropique ». Mais la production d'un travail qui prédit 30 ans de refroidissement global les place en dehors du récit «établi» qui prétend que le dioxyde de carbone produit par l'homme est le principal – peut-être le seul – déterminant des températures mondiales et locales. À tout le moins, cela atténue l'hystérie qui pousse à des mesures punitives nettes presque immédiates. L'auteur principal Omrani est signalé d'avoir dit que la pause au réchauffement attendue « nous laisse le temps d'élaborer des solutions techniques, politiques et économiques avant la prochaine phase de réchauffement, qui prendra à nouveau le relais à partir de 2050 ».
Les résultats n'ont fait aucune différence pour les délégués au salon des phénomènes climatiques de Davos qui ont continué à faire monter la campagne de peur à des niveaux record. Dans une diatribe déséquilibrée comme l'ancien vice-président américain Al Gore a mis en garde contre les "bombes de pluie" et les "océans en ébullition" . L'actuel tsar américain du climat - et propriétaire d'un jet privé - John Kerry a décrit le rassemblement comme un groupe "sélectionné" d'êtres humains appelés à "sauver la planète".
Un nouveau rapport de l'autorité néo-zélandaise de sécurité des médicaments, Medsafe, indique que «par hasard», certaines personnes contracteront une nouvelle maladie ou mourront peu de temps après avoir reçu une injection de Pfizer Covid. Mais selon Medsafe, il n'y a rien à craindre.
Contrairement à ce que dit Medsafe, il y a de nombreuses raisons de s'inquiéter. Actuellement, les décès toutes causes confondues sont supérieurs de 15% à ce que l'on observe habituellement en Nouvelle-Zélande. Et une analyse de séries chronologiques de données néo-zélandaises («NZ») soutient une relation entre la vaccination par ARNm et la mort.
Le 14 décembre 2022, Medsafe (NZ Medicines and Medical Devices Safety Authority) a publié son 46e rapport sur la sécurité des vaccins Covid intitulé " Evénements indésirables suite à la vaccination avec les vaccins COVID-19 ". Le rapport couvrait les signaux de sécurité jusqu'au 30 novembre 2022.
Ce rapport contenait de nouveaux conseils sur le risque de décès après la vaccination par l'ARNm. L'évaluation de Medsafe a commencé comme suit :
Par chance, certaines personnes contracteront de nouvelles maladies ou mourront d'une maladie préexistante peu de temps après la vaccination, surtout si elles sont âgées. Par conséquent, une partie de notre processus d'examen comprend la comparaison des taux de mortalité naturelle aux taux de mortalité observés après la vaccination, afin de déterminer s'il existe des tendances ou des modèles spécifiques qui pourraient indiquer un problème d'innocuité des vaccins.
Le rapport intervient après des mois de spéculations concernant des niveaux records de surmortalité toutes causes confondues en Nouvelle-Zélande affectant tous les âges, actuellement à 15% au-dessus des niveaux historiques.
Après avoir publié la nouvelle explosive, Medsafe passe par un processus entièrement faux et non scientifique conçu pour rassurer le public sur le fait qu'il n'y a rien à craindre. Medsafe compare le nombre de décès signalés au CARM (Centre de surveillance des effets indésirables) dans les 21 jours suivant la vaccination au taux de référence des décès de causes naturelles. Ce faisant, il omet de mentionner (mais le fait ailleurs) que les rapports CARM sont volontaires et massivement sous-déclarés par un facteur estimé à 20 fois. Par conséquent, il n'y a rien de rassurant dans ce rapport de sécurité.
Y a-t-il d'autres raisons de s'inquiéter ? Oui beaucoup:
1. Medsafe rapporte "Aucun décès n'a été signalé pour les vaccins Vaxzevria ou Nuvaxovid." Alors pourquoi se produisent-ils après le vaccin Pfizer ?
2. Les autopsies ne sont pas pratiquées systématiquement en Nouvelle-Zélande à la suite de décès proches de la vaccination. Une étude allemande récemment publiée « Caractérisation histopathologique basée sur l'autopsie de la myocardite après la vaccination anti-SARS-CoV-2 » rapporte que 16 % des décès dans les 20 jours suivant la vaccination par l'ARNm présentent des symptômes causaux définitifs de myocardite aiguë, un effet indésirable connu de Pfizer Covid vaccination. Alors pourquoi n'y a-t-il aucun effort concerté ici en Nouvelle-Zélande pour enquêter en effectuant régulièrement des autopsies ?
3. Le ministère de la Santé a systématiquement refusé/omis d'enregistrer le statut vaccinal sur les certificats de décès ou de rendre obligatoire la déclaration au CARM. Il est donc très difficile d'étudier scientifiquement et de manière fiable toute relation causale entre la vaccination par ARNm et le décès ou une maladie grave. Le 17 décembre 2021, le directeur du programme de vaccination Covid m'a écrit au nom du Dr Ashley Bloomfield, directeur général de la santé, en disant : « Une mesure précise de tous les événements indésirables n'est pas nécessaire ».
À la lumière de l'admission Medsafe d'hier, c'est accablant. Incroyablement, le Dr Bloomfield vient d'être nommé président inaugural d'un nouvel institut d'impact sur les politiques publiques à l'Université d'Auckland, proposant de traduire et d'appliquer la recherche dans les politiques qui ont un impact direct sur les communautés - mais il ne souscrit pas à l'exactitude ??? La plupart des gens le font, en particulier les universitaires.
4. Medsafe soutient que la corrélation temporelle entre les décès et la vaccination ne prouve pas une relation causale entre eux. Ils, ainsi que le professeur épidémiologiste Michael Baker, suggèrent que l'infection à Covid ou les problèmes de santé préexistants sont plus susceptibles d'être liés de manière causale aux décès après la vaccination. Il existe en fait d'autres analyses pertinentes qui peuvent déterminer s'il existe une relation entre la vaccination par ARNm et les décès immédiats. Parmi celles-ci, de puissantes techniques d'analyse de séries chronologiques peuvent découvrir si les décès se produisent systématiquement pendant des intervalles de temps spécifiques après la vaccination. Cela fournirait un soutien solide à une relation causale.
Parmi les nations du monde, la Nouvelle-Zélande est dans une position unique pour entreprendre ce type d'analyse. En 2021, la Nouvelle-Zélande avait très peu d'infections à Covid (presque aucune) mais la majorité de la population a été vaccinée sur une période de huit mois. Par conséquent, les décès enregistrés pendant une grande partie de 2021 en Nouvelle-Zélande ne peuvent être attribués à aucun effet de l'infection à Covid.
Les données préliminaires de 2021 ont été analysées pour enquêter sur la proposition selon laquelle la vaccination par ARNm a entraîné des décès. Cela montre qu'il existe une relation significative (p = 0,045) entre le nombre de vaccins administrés par semaine et les décès hebdomadaires avec un décalage d'une semaine. En d'autres termes, il existe une augmentation statistiquement significative du risque de mourir quelques jours après la vaccination. Téléchargez l'étude ICI . Malgré la nature préliminaire des données de cette étude, les résultats de cette étude sont cohérents avec les résultats des autopsies allemandes. Par conséquent, il devrait y avoir une étude plus rigoureuse des données stockées pour tester davantage ces résultats.
Il existe d'autres méthodes simples pour analyser les données sur les décès. Par exemple, prendre la date d'inoculation pour chaque individu comme un point théorique dans le temps autour duquel toutes les données sur les décès peuvent être évaluées pour des cohortes entières d'individus. Cela révélerait si les taux de mortalité avant et après l'inoculation diffèrent.
5. L'analyse des séries chronologiques n'exclut pas la possibilité que d'autres décès à des intervalles de temps plus longs après une date d'inoculation puissent se produire à la suite de la vaccination par l'ARNm. Des taux sans précédent de mortalité toutes causes confondues suggèrent que c'est probablement le cas. Malheureusement, le ministère néo-zélandais de la Santé ne publie pas de données sur les causes d'hospitalisation par catégorie de maladie. Il existe des preuves que nous avons précédemment rapportées sur la base des données personnelles de la défense américaine et des statistiques d'assurance, ainsi que des données de l'ONS britannique, indiquant que l'incidence des troubles neurologiques, des cancers, des événements cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux a augmenté.
La position de Medsafe sur la sécurité des vaccins a clairement changé au cours des deux mois depuis la dernière publication d'un rapport sur la sécurité, mais a-t-il réalisé l'importance d'évaluations causales plus fiables ? Apparemment non. Le public néo-zélandais est tenu dans l'ignorance de la sécurité des vaccins, comme cela a été le cas au cours des deux dernières années. Les assurances fades de sécurité continuent sans fondement en fait.
La vaccination par ARNm peut-elle être un événement déclencheur de décès si vous êtes déjà malade ou âgé ?
La formulation de l'avertissement Medsafe du 14 décembre est étrange et ambiguë : « ..certaines personnes connaîtront de nouvelles maladies ou mourront d'une condition préexistante peu de temps après la vaccination, surtout si elles sont âgées ». Alors, les personnes âgées sont-elles particulièrement susceptibles de mourir après la vaccination à cause de la vaccination ou parce qu'elles sont âgées ? On ne nous le dit pas.
Outre les taux évidemment élevés de décès toutes causes confondues, des rapports anecdotiques du personnel des maisons de repos suggèrent que c'est le cas. Les véhicules d'urgence et les hélicoptères répondent à des appels plus fréquents. Les hôpitaux sont débordés et incapables de faire face. Les dénonciateurs parmi les infirmières parlent de services cardiaques débordés. Un cardiologue britannique de renom a suggéré que les preuves de préjudice sont accablantes et irréfutables . Les travailleurs des pompes funèbres en Nouvelle-Zélande et à l'étranger ont parlé publiquement d'étranges caillots caoutchouteux dans les artères qui ont été confirmés par des pathologistes expérimentés aux États-Unis. Des augmentations statistiquement improbables des données sur les réclamations d'assurance-vie ont été constatées. Les morts subites inexpliquées sont très médiatisées. Le message est cohérent – quelque chose d'inédit et de très inquiétant se passe.
Malgré la multiplicité des sources de données et des méthodes d'analyse à sa disposition. Medsafe s'est appuyé pendant deux ans sur une seule méthode manifestement défectueuse pour comparer les données CARM aux taux de base, bien qu'il admette que les données CARM sont sous-déclarées. Comment est-ce étrange? Cette lacune est fatale aux affirmations de sécurité de Medsafe. C'est scientifiquement injustifiable et cela ne répondrait pas aux critères de publication. Il n'y a aucune justification possible pour omettre d'utiliser des formes plus fiables d'enquête causale. Medsafe a évité la responsabilité publique en refusant de débattre publiquement des problèmes, en omettant la publication de données clés sur la santé, en massacrant les données publiées et en accusant de manière impardonnable les critiques de diffuser de la désinformation. Ces approches sont dignes d'une dictature mais pas d'une démocratie moderne.
A propos de l'auteur
Guy Hatchard, PhD, était auparavant cadre supérieur chez Genetic ID, une société mondiale de test et de sécurité alimentaire (maintenant connue sous le nom de FoodChain ID). Vous pouvez vous abonner à ses sites Web HatchardReport.com et GLOBE.GLOBAL pour des mises à jour régulières par e-mail.
C'est officiel Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, le vaccin covid de Pfizer est lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées
Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, le vaccin covid de Pfizer est lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées, mais il n'a pris aucune mesure car les résultats "sont toujours à l'étude et nécessitent une étude plus approfondie".
Après avoir analysé les données d'une base de données de personnes âgées aux États-Unis, les chercheurs de la FDA ont découvert que la coagulation du sang dans les poumons, l'embolie pulmonaire, atteignait le seuil initial d'un signal statistique et continuait de répondre aux critères après une évaluation plus approfondie.
Cependant, la FDA "croit fermement que les avantages potentiels de la vaccination Covid l'emportent sur les risques potentiels d'infection au COVID-19".
The Epoch Times rapporte : Trois autres résultats intéressants - un manque d'oxygène au cœur, un trouble des plaquettes sanguines appelé thrombocytopénie immunitaire et un autre type de coagulation appelé coagulation intravasculaire - ont initialement déclenché des signaux d'alerte, ont déclaré les chercheurs. Des évaluations plus approfondies, telles que des comparaisons avec des populations qui ont reçu des vaccins contre la grippe, ont montré que ces trois personnes n'atteignaient plus le seuil statistique d'un signal.
Les chercheurs ont examiné des données couvrant 17,4 millions d'Américains âgés qui ont reçu un total de 34,6 millions de doses de vaccin entre le 10 décembre 2020 et le 16 janvier 2022.
La FDA a déclaré qu'elle ne prenait aucune mesure sur les résultats car ils ne prouvent pas que les vaccins causent l'un des quatre résultats, et parce que les résultats "sont toujours à l'étude et nécessitent une étude plus approfondie".
Le Dr Peter McCullough, conseiller médical en chef de la Truth for Health Foundation, a déclaré à Epoch Times par e-mail que le nouvel article « corrobore les inquiétudes des médecins selon lesquelles la forte augmentation des caillots sanguins, la progression de la maladie cardiaque athéroscléreuse et les troubles sanguins sont indépendamment associé à la vaccination contre la COVID-19.
Pfizer n'a pas répondu à une demande de commentaire.
Comment la recherche a été effectuée
Les chercheurs de la FDA, avec l'aide de chercheurs des Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS), ont analysé les données de la base de données CMS. Ils comprenaient les bénéficiaires de Medicare Fee-for-Service âgés de 65 ans ou plus qui ont reçu un vaccin dans les délais, ont été inscrits lorsqu'ils ont été vaccinés et ont été inscrits pour une « fenêtre de temps propre » avant la vaccination. La fenêtre était de 183 jours ou 365 jours, selon le résultat.
Environ 25 millions de personnes reçoivent le Medicare Fee-for-Service, mais seulement 17 millions environ ont été vaccinées au cours de la période étudiée.
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Melbourne installe des défibrillateurs à l'extérieur des maisons suite à l'augmentation des arrêts cardiaques
"Hecatombe" en AUSTRALIE...
Melbourne installe des défibrillateurs à l'extérieur des maisons, s'assurant que chaque résident en a un accès facile suite à l'augmentation des arrêts cardiaques soudains...
🔴Le pseudo vaxxxxin Tue !pic.twitter.com/5febTZRxkF
UK : Un député parle des effets secondaires de vaccins. Tous les autres prennent la fuite. Le vaccin est devenu une religion qui ne tolère pas la contradiction.https://t.co/dTwehzmHYl
The most important parliamentary speech you will see & it may save your life. MP calls for suspension of mRNA vaccine because of unprecedented harms & little benefit. ‘Something is rotten in British medicine & has been for a long time’@RishiSunakhttps://t.co/uFz1JNtrOy#NHSpic.twitter.com/l91XR6Jws1
Auteur : Guillaume Le Pessec
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Rouen
Relecteur : Théo Pezel
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Paris
Sous la supervision de : Albert Hagège
Président du Comité Éditorial de Cardio-online
Nancy
En direct de l’ESC Congress 2022
D’après la présentation de Christian Eugen Mueller (Basel, Switzerland) : « Myocardial Inflammation/Myocarditis After COVID-19 mRNA Booster Vaccination«
L’essentiel
Il n’existait avant cette étude aucune donnée prospective sur les lésions myocardiques post vaccinales lors de la vaccination par un vaccin à ARNm. Seules les myocardites les plus graves hospitalisées ont été rapportées, touchant majoritairement les hommes de moins de 18 ans.
L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives
Les lésions myocardiques touchent plus les femmes contrairement à ce qui est décrit dans les études précédentes.
La possibilité de doses répétées de vaccin afin de maintenir la couverture vaccinale efficace doit mener à une grande prudence concernant de possibles lésions myocardiques à répétition et leurs impacts sur d’éventuelles complications cardio-vasculaires.
Introduction
Nous savons qu’il existe des effets secondaires potentiellement graves au vaccin ARNm contre le COVID 19 tels que des myocardites.
Dans les données rétrospectives la principale complication cardiaque est la myocardite, qui reste rare avec une incidence de 0.0035 % et touche principalement les hommes jeunes de moins de 18 ans.
Néanmoins il existe un biais de sélection car seuls les cas graves, nécessitant une hospitalisation sont reportés.
L’incidence réelle des lésions myocardiques serait donc probablement beaucoup plus élevée dans la population générale. De plus, du fait de la nécessité de doses répétées et du grand nombre de personnes à vacciner, même rare cette complication n’est pas anecdotique.
Cette étude avait pour but d’évaluer l’incidence réelle des lésions myocardiques lors des vaccinations par un vaccin ARNm dans le COVID 19 de manière prospective et d’évaluer d’éventuelles mesures de prévention et de protection à appliquer chez les patients présentant ces lésions myocardiques asymptomatiques.
Méthodologie et résultats
Cette étude était prospective monocentrique avec un bras contrôle. La population étudiée était composée d’employés du CHU de Basel en Suisse, ayant reçu une dose de vaccin ARNm Pfizer-BioNTech ou Moderna.
Le critère de jugement principal était la survenue d’une lésion myocardique, définie par une élévation de la troponinémie au-dessus de la norme, dosée à J3 post vaccination.
En cas d’élévation, un nouveau dosage était réalisé à J4 avec possibilité de réaliser de plus amples explorations cardiologiques. De plus, les patients présentant des lésions myocardiques étaient contre-indiqués à l’effort, et ce jusqu’à la décroissance de la troponinémie. Dans tous les cas le suivi était poursuivi jusqu’à J30.
Les critères de jugement secondaires étaient la comparaison de la population totale avec des patients ayant été admis pour douleur thoracique sans qu’aucune cause cardiaque ne soit retrouvée. L’appareillement était réalisé sur l’âge, le sexe et les antécédents de coronaropathie et de maladie athéromateuse périphérique.
Le second critère de jugement secondaire était la survenue de MACE à 30 jours (mort d’origine cardiovasculaire, hospitalisation pour insuffisance cardiaque, arythmie ventriculaire et infarctus du myocarde).
Au total, 835 patients ont été inclus, dont 777 ayant bénéficié du dosage de troponinémie à J3, parmi ces patients 40 avait une troponinémie augmentée. Chez 18 d’entre eux il a été identifié d’autres causes que le vaccin pouvant expliquer l’élévation de troponinémie, et chez les 22 restants aucune autre cause que le vaccin était mis en cause. La population étudiée était majoritairement composée de femmes (69 %), la moyenne d’âge était de 37 ans et les patients recevaient très majoritairement leur 3ème dose 92 %. Moins de 2 % d’entre eux avaient des antécédents cardiovasculaires.
Les résultats de l’étude retrouvent que 2,8 % de la population vaccinée présentait des lésions myocardiques, 3,7 % chez les femmes et 0,8 % chez les hommes (Figure 1).
Figure 1.
Cela est une surprise à la vue de la population décrite dans les myocardites hospitalisées. Lors de la comparaison de la population avec des lésions myocardiques versus la population sans lésion myocardique, le seul facteur de risque retrouvé était le sexe féminin (p=0.03).
La comparaison avec le groupe contrôle ne retrouvait pas de différence significative en dehors des antécédents d’infarctus du myocarde et de maladie athéromateuse périphérique.
De plus on peut noter, que la troponinémie dans la population vaccinée semble plus élevée que dans le groupe contrôle sans que le test statistique n’ait été réalisé (Figure 2).
Figure 2.
Conclusion
L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.
Aucun MACE n’a été rapporté dans la population étudiée à 30 jours, néanmoins du fait de la réalisation de doses répétées, il est intéressant de se demander si cela ne pourrait pas entrainer des séquelles à long terme (insuffisance cardiaque, arythmie). Pour cela un essai randomisé avec un suivi au long cours serait nécessaire.
Les limites évoquées sont la réalisation de la troponinémie à J3, avec une élévation peu importante de la troponinémie, avec possiblement une sous-estimation de l’incidence des lésions précoces à J1 potentiellement déjà normalisées à J3. De plus, devant la faible atteinte myocardique celle-ci ne parait pas possible à détecter en IRM cardiaque. Une autre limite serait l’absence d’inclusion de patient de moins de 18 ans dans la population étudiée.
Pour en savoir plus, consultez les Late-Breaking Trials complets, en langue anglaise, présentées lors de l’ESC 2022 :
Près de 750.000 Français sont touchés par une myocardite suite à l'injection vaccinale ! (27 millions de triple dose x 2.8% d'incidence) Selon le résultat de l'étude prospective de la sociét...
Très important à écouter Dr Philippe de Chazournes médecin Attaqué et suspondu par l'ARS de la Réunion il a fait appel, écoutez le sur la responsabilité des effets secondaires et surtout la responsabilité du soignant selon l'ARS (hier @Dosumani_off ) pic.twitter.com/iSf5TuSmQP
L’état actuel des connaissances sur l’excrétion de l’ARNm et de la protéine spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid, amène une plausibilité biologique de la contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits.
Des personnes sont mortes de cœurs endommagés par l'ARNm d'un vaccin, une nouvelle étude allemande évaluée par des pairs fournit des preuves directes
Des médecins pathologistes de l'hôpital universitaire de Heidelberg à Heidelberg, en Allemagne, ont publié des preuves directes montrant comment les personnes retrouvées mortes après la vaccination par l'ARNm sont décédées . Comme cette équipe de six scientifiques l'explore dans son étude, ces patients vaccinés par l'ARNm souffraient de lésions cardiaques parce que leur cœur était attaqué par leurs propres cellules immunitaires. Cette attaque auto-immune sur leurs propres cellules cardiaques conduit alors leurs cœurs endommagés à battre tellement de fois par seconde que, une fois la tachycardie déclenchée de manière inattendue, ils meurent en quelques minutes.
L'article, « Caractérisation histopathologique basée sur l'autopsie de la myocardite après une vaccination anti-SARS-CoV-2 », a été publié le 27 novembre 2022 dans la revue Clinical Research in Cardiology, la revue officielle de la Société allemande de cardiologie. L'équipe de recherche a autopsié 25 victimes d'âges différents qui ont été retrouvées mortes à la maison dans les 28 jours suivant la vaccination. Ils ont examiné leur tissu cardiaque au microscope pour découvrir pourquoi ces personnes sont mortes d'une perturbation du rythme cardiaque alors qu'elles n'avaient aucune maladie cardiaque sous-jacente apparente.
Selon les propres mots des auteurs : « Nos découvertes établissent le phénotype histologique de la myocardite mortelle associée à la vaccination. ”
Le phénotype histologique signifie l'observation directe du tissu microscopique.
Dans une vidéo analysant les résultats, l'infirmière enseignante, le Dr John Campbell, qui est basée au Royaume-Uni, a déclaré à son auditoire: «Ceci est évalué par des pairs. Il s'agit d'une véritable science et d'un diagnostic pathologique définitif par un groupe d'éminents pathologistes allemands. La vidéo de Campbell a été visionnée 918 000 fois. Il compte 2,58 millions d'abonnés sur sa chaîne.
Décédé de tachycardie ventriculaire ou de fibrillation
La tachycardie ventriculaire se produit lorsque le cœur commence à battre si vite qu'il n'a pas le temps de se remplir de sang entre les battements, de sorte qu'il ne pompe pas suffisamment le sang. Le problème provient des ventricules : les cavités qui poussent le sang du cœur vers le reste du corps.
La fibrillation, c'est quand, au lieu que le cœur bat réellement, il commence à trembler. Ce problème peut provenir des ventricules ou des oreillettes. Les oreillettes sont les chambres supérieures qui aspirent essentiellement le sang dans le cœur en se dilatant et en se contractant. Bien que de plus en plus de gens connaissent le A-Fib (fibrillation auriculaire), la fibrillation ventriculaire est beaucoup plus dangereuse et généralement mortelle en quelques minutes.
Les personnes décédées dont les cœurs ont été autopsiés dans cette étude ont été retrouvées mortes à la maison , chacune étant décédée de tachycardie ventriculaire ou de fibrillation dans les 28 jours suivant la vaccination par l'ARNm .
Coeurs visiblement endommagés
Les macrophages sont de grosses cellules qui font partie de notre système immunitaire. Lorsque le système immunitaire fonctionne correctement, notre corps utilise des macrophages pour attaquer les agents infectieux et autres corps étrangers. Les macrophages sont un élément clé du système immunitaire inné, aidant au développement normal des tissus ainsi qu'à la réparation des tissus endommagés, selon des chercheurs de la Northwestern University .
Mais dans le cas des personnes décédées subitement moins d'un mois après avoir été vaccinées, les propres macrophages du corps ont imprégné leur muscle cardiaque, mâchant le muscle et provoquant des taches qui perturbaient le rythme cardiaque. Cette invasion de macrophages semble avoir littéralement court-circuité la conduction cardiaque des impulsions électriques, provoquant des battements irréguliers du cœur.
Les battements cardiaques irréguliers ont conduit à une boucle de rétroaction négative, faisant battre le cœur de plus en plus vite alors qu'il tente de se redresser. Lorsque cela se produit, le cœur ne pompe pas de sang et la victime meurt en quelques secondes ou minutes à moins qu'il n'y ait un défibrillateur à proximité - pour délivrer un choc électrique au cœur pour l'aider à reprendre son rythme - et quelqu'un sait l'utiliser immédiatement .
L' étude évaluée par des pairs de chercheurs allemands comprenait des images au microscope montrant les dommages causés aux cellules cardiaques des victimes, la présence de lymphocytes (un autre type de cellule immunitaire plus petite) dans le muscle cardiaque et de macrophages invasifs dans le muscle cardiaque. Des macrophages et des lymphocytes appelés cellules T auxiliaires ont été trouvés dans le tissu cardiaque. Les cellules immunitaires étaient concentrées dans des taches, dont chacune est appelée un foyer. Des taches de tissu cardiaque endommagé comme celle-ci peuvent générer des signaux décalés qui perturbent le rythme régulier du cœur.
Il y a des milliers de cellules cardiaques dans le cœur. Ces cellules ne sont pas passives, comme les cellules de vos biceps qui ont besoin de nerfs séparés pour les faire bouger. Au lieu de cela, les cellules cardiaques génèrent leurs propres impulsions électriques.
Les cellules du muscle cardiaque agissent également comme des nerfs, transmettant des signaux vers et depuis les cellules musculaires adjacentes. Cela synchronise leurs contractions et perpétue la continuité régulière du rythme cardiaque.
Une fois qu'un cœur bat, il en faut beaucoup pour l'arrêter. Une concentration qui brise ce rythme, c'est comme un mauvais batteur dans un groupe de collège. Cela peut provoquer une cascade de chaos qui empêche le cœur de pomper le sang de manière productive.
Myocardite : un événement indésirable reconnu lié aux vaccins
L'OMS et le CDC reconnaissent la myocardite après la vaccination par l'ARNm . Les deux organismes de réglementation considèrent qu'il s'agit d'une « complication reconnue mais rare ». La plupart des médecins considèrent également les cas de myocardite comme « bénins ».
Mais les sujets décédés de l'étude allemande, comme le souligne Campbell , souffraient également d'une myocardite supposée "légère". La myocardite n'apparaissait que par endroits microscopiques ici et là. Cependant, la perturbation électrique de ces spots a causé des décès rapides et dramatiques. En d'autres termes, il n'y a pas de myocardite légère , comme l'a dit un parent d'un adolescent blessé par un vaccin à ARNm nommé Aiden Ekanayake.
Campbell a recommandé que les cliniciens aient un "indice de suspicion élevé" que les personnes vaccinées par l'ARNm pourraient être sujettes à cette myocardite auto-immune afin qu'ils puissent la diagnostiquer et la traiter pendant que les personnes sont encore en vie. Les cliniciens prétendant que cette blessure vaccinale est «rare et bénigne» ont conduit à d' innombrables tragédies potentiellement évitables .
Votre corps attaque vos propres cellules cardiaques
Pour être clair, ce n'est pas le vaccin à ARNm qui endommage directement le cœur - c'est pire. L'ARNm est injecté dans vos cellules musculaires, transformant la cellule en une usine produisant des protéines de pointe COVID-19.
À la suite de l'immunisation à l'ARNm, votre corps génère une réponse immunitaire contre les protéines de pointe COVID-19.
Étant donné que vos propres cellules musculaires ont été utilisées pour fabriquer les protéines de pointe COVID-19 et peuvent les avoir à la surface des cellules, vos cellules immunitaires nouvellement armées ciblant la protéine de pointe peuvent commencer à attaquer vos propres cellules musculaires saines.
Cette nouvelle étude allemande montre des preuves photographiques que cela se produit et a tué des gens.
Sir Austin Bradford Hill était un statisticien médical anglais qui a établi un ensemble de directives épidémiologiques en 1965, maintenant appelées les critères de Bradford Hill , qui aident à prouver la cause et l'effet. Si nous appliquons les critères de Bradford Hill à cette nouvelle recherche, cela montre que la myocardite mortelle de ces patients a bien été causée par des vaccins à ARNm. La recherche allemande a démontré les critères de force de Bradford Hill (plus deux choses se produisent en même temps, plus l'une cause l'autre, même pour des événements rares) ; cohérence (la découverte d' une mort subite due à une myocardite induite par un vaccin à ARNm s'est produite de manière constante dans différents endroits et populations); la spécificité (pour Bradford Hill, c'est quand une seule cause produit un seul effet. Dans ce cas, la cause est le vaccin à ARNm et l'effet est la myocardite) ; et plusieurs autres.
Dr. Gregory H. Stanton — Genocide Watch Sott.net
jeu., 04 fév. 2021 18:22 UTC
Le génocide est un processus qui se développe en dix étapes prévisibles mais pas inexorables. À chaque étape, des mesures préventives peuvent l'arrêter. Le processus n'est pas linéaire. Les étapes peuvent se dérouler simultanément. [En général et] de façon logique, les étapes ultérieures doivent être précédées par les étapes antérieures. Mais chaque étape [antérieure] continuent à fonctionner tout au long du processus [qui mènent aux étapes ultérieures - NdT].
Note du traducteur : Inventé en 1944 par Raphael Lemkin, un juif polonais, conseiller au secrétariat américain à la Guerre, pour désigner les crimes commis par les nazis sur les juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, le terme « génocide » a été adopté par la Convention ses Nations-Unies en 1948. Il est utilisé pour la première fois dans un cadre juridique par le tribunal militaire international de Nuremberg en 1945, au moment de la mise en accusation des responsables nazis, finalement condamnés pour crimes contre l'humanité. Dans le droit international, la Convention énumère une série de crimes, dont le meurtre, qui constituent le génocide à condition d'être commis « avec l'intention de détruire en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux ».
Son étymologie est composé de la racine du grec ancien γένος, genos, la « race », le « clan », la « descendance », la « génération », la « naissance », et du latin cide, « tuer » ; γένος, genos est une racine grecque que l'on retrouve dans les termes « gène », « génétique », « génome », « eugénisme ». Après un détour par le latin genus, il donnera « généreux » ou encore « généalogie ».
Il peut être intéressant — dans un contexte de globalisation et de « guerre » de quelques-uns contre le plus grand nombre — d'élargir le concept d'un groupe puissant et d'un groupe plus faible tels qu'il est présenté ci-dessous, à ce qui pourrait constituer une « idéologie d'exclusion » à même de tenter de mettre en œuvre ce qui fut gravé en 1980 sur les Georgia Guidestones. À chaque lecteur de se faire sa propre opinion.
1 — Classification
Toutes les cultures possèdent des catégories permettant de distinguer les gens entre « nous et eux » selon l'appartenance ethnique, la race, la religion ou la nationalité : Allemand et Juif, Hutu et Tutsi. Les sociétés bipolaires qui ne possèdent pas de catégories variées, comme le Rwanda et le Burundi, sont les plus susceptibles de connaître un génocide.
La principale mesure préventive à ce stade précoce est de développer des institutions universalistes qui transcendent les divisions ethniques ou raciales, qui promeuvent activement la tolérance et la compréhension, et qui favorisent des classifications qui transcendent les divisions. L'Église catholique romaine aurait pu jouer ce rôle au Rwanda, si elle n'avait pas été déchirée par les mêmes clivages ethniques que la société rwandaise. La promotion d'une langue commune dans des pays comme la Tanzanie a également favorisé une identité nationale transcendante. Cette recherche d'un terrain d'entente est vitale pour la prévention précoce du génocide.
2 — Symbolisation
Nous attribuons aux classifications des noms ou d'autres symboles. Nous nommons les gens « Juifs » ou « Tsiganes », ou les distinguons par leurs couleurs ou leurs vêtements ; et nous appliquons les symboles aux membres des groupes. La classification et la symbolisation sont universellement humaines et n'entraînent pas nécessairement un génocide, sauf si elles conduisent à la déshumanisation. Lorsqu'ils sont associés à la haine, les symboles peuvent être imposés à des membres réticents de groupes parias : l'étoile jaune pour les Juifs sous le régime nazi, le foulard bleu pour les personnes de la zone orientale au Cambodge des Khmers rouges.
Pour lutter contre la symbolisation, les symboles de haine peuvent être légalement interdits (croix gammées en Allemagne), tout comme les discours de haine. Les marques de groupe, comme les vêtements de gang ou les cicatrices tribales, peuvent également être interdites. Le problème réside dans le fait que les limitations légales échoueront si elles ne sont pas soutenues par une application dans la culture populaire. Bien que les termes Hutu et Tutsi aient été interdits au Burundi jusque dans les années 1980, des mots-codes les ont remplacés. Cependant, si elle est largement soutenue, le refus de la symbolisation peut constituer un levier puissant, comme ce fut le cas en Bulgarie, où le gouvernement a refusé de fournir suffisamment de badges jaunes et où au moins 80 pour cent des Juifs ne les portaient pas, privant ainsi l'étoile jaune de sa signification en tant que symbole nazi désignant les Juifs.
3 — Discrimination
Un groupe dominant utilise la loi, la coutume et le pouvoir politique pour refuser leurs droits aux autres groupes. Le groupe dépourvu de pouvoir peut ne pas se voir accorder les pleins droits civils, le droit de vote, ou même la citoyenneté. Le groupe dominant est animé par une idéologie d'exclusion qui priverait de leurs droits les groupes plus faibles. Cette idéologie préconise la monopolisation ou l'expansion du pouvoir par le groupe dominant. Elle légitime la victimisation des groupes les moins puissants. Les partisans des idéologies d'exclusion sont souvent charismatiques, exprimant le ressentiment de leurs adeptes, attirant le soutien des masses. Les lois de Nuremberg de 1935 dans l'Allemagne nazie, qui ont dépouillé les Juifs de leur citoyenneté allemande et interdit leur emploi par le gouvernement et les universités, en sont des exemples. Le refus de la citoyenneté à la minorité musulmane Rohingya en Birmanie en est une illustration actuelle.
Prévenir la discrimination implique une pleine émancipation politique et des droits de citoyenneté pour tous les groupes d'une société. La discrimination fondée sur la nationalité, l'origine ethnique, la race ou la religion devrait être interdite. Si leurs droits sont violés, les individus devraient avoir le droit de poursuivre l'État, les entreprises et d'autres individus.
4 — Déshumanisation
Un groupe nie l'humanité de l'autre groupe. Ses membres sont assimilés à des animaux, de la vermine, des insectes ou des maladies. La déshumanisation inhibe l'habituelle répugnance de l'homme à l'égard du meurtre. À ce stade, la propagande haineuse dans la presse écrite et sur les radios est utilisée pour diaboliser le groupe victime. On apprend au groupe majoritaire à considérer l'autre groupe comme moins qu'humain, et même comme étranger à sa société. Ils sont endoctrinés à croire que « Nous sommes mieux sans eux ». Le groupe dépourvu de pouvoir peut devenir à ce point dépersonnalisé qu'on lui attribue des numéros plutôt que des noms, comme l'étaient [entre autres - NdT] les Juifs dans les camps de la mort. Ils sont assimilés à la saleté, l'impureté et l'immoralité. Les discours de haine répandent la propagande des discours officiels par le biais des radios et des organes de presse tout aussi officiels.
Pour lutter contre la déshumanisation, l'incitation au génocide ne devrait pas être confondue avec le droit de parole. Les sociétés génocidaires n'offrent aucune protection constitutionnelle pour les discours contradictoires et devraient être traitées différemment des démocraties. Les leaders locaux et internationaux devraient condamner l'usage de discours haineux et le décréter inacceptable d'un point de vue culturel. Les leaders qui prônent le génocide devraient être interdits de voyage à l'étranger et voir leurs finances étrangères gelées. Les stations de radio diffusant la haine devraient être bloquées ou fermées et la propagande haineuse devrait être interdite. Les crimes de haine et les atrocités devraient être rapidement punis.
5 — Organisation
Le génocide est toujours organisé, généralement par l'État, souvent en utilisant des milices pour faciliter le déni de toute responsabilité étatique. (Un exemple est le soutien et l'armement des Janjawids au Darfour par le gouvernement soudanais). Parfois, l'organisation est informelle (foules hindoues dirigées par des militants RSS locaux pendant la partition de l'Inde) ou décentralisée (groupes terroristes djihadistes.) Les unités spéciales de l'armée ou les milices sont souvent formées et armées. Des armes sont achetées par les États et les milices, souvent en violation des embargos sur les armes de l'ONU, pour faciliter les actes de génocide. Les États organisent une police secrète pour espionner, arrêter, torturer et assassiner les personnes soupçonnées d'être des opposants aux dirigeants politiques. Une formation spéciale est dispensée aux milices meurtrières et aux unités spéciales de l'armée chargées de tuer.
Pour lutter contre cette étape, l'appartenance aux milices génocidaires devrait être interdite. Leurs leaders devraient se voir refuser des visas pour voyager à l'étranger tout comme devraient être gelés les avoirs qu'ils peuvent y détenir. L'ONU devrait imposer des embargos sur les armes aux gouvernements et aux citoyens des pays impliqués dans des massacres génocidaires, et créer des commissions pour enquêter sur les violations, comme cela a été fait dans le Rwanda post-génocide, et utiliser les systèmes juridiques nationaux pour poursuivre ceux qui violent ces embargos.
6 — Polarisation
Les extrémistes font éclater les groupes. Les groupes haineux diffusent une propagande polarisante. Les motivations pour cibler un groupe spécifique sont accompagnées d'un endoctrinement médiatique. Les lois peuvent interdire les mariages mixtes ou l'interaction sociale. Le terrorisme extrémiste cible les modérésen les intimidant et en les réduisant au silence. Les modérés appartenant au groupe dominant sont les plus à même de mettre fin à un génocide, de même que les premiers à être arrêtés et tués. Les leaders des groupes ciblés sont les prochains à être arrêtés et assassinés. Le groupe dominant adopte des lois ou des décrets d'urgence qui lui confèrent un pouvoir total sur le groupe ciblé. Ces lois érodent les libertés et les droits civils fondamentaux. Les groupes ciblés sont désarmés et deviennent incapables de se défendre et le groupe dominant exerce sur eux un contrôle total.
Prévenir la polarisation pourrait nécessiter la protection et la sécurité de ces dirigeants modérés ou l'assistance des groupes de défense des droits de l'homme. Les avoirs des extrémistes pourraient être saisis et les visas pour les voyages à l'étranger pourraient leur être refusés. Les coups d'État des extrémistes devraient faire l'objet de sanctions internationales. Des objections vigoureuses au désarmement des groupes d'opposition devraient s'élever. Si nécessaire, ils devraient être armés pour se défendre.
7 — Préparation
Des plans sont élaborés pour des assassinats génocidaires. Les leaders des groupes nationaux ou des groupes d'extrémistes planifient la « solution finale » à la « question » juive, arménienne, tutsie ou autre groupe ciblé. Pour masquer leurs intentions, ils utilisent souvent des euphémismes comme par exemple en parlant de leurs objectifs comme d'un « nettoyage ethnique », d'une « purification » ou d'un « contre-terrorisme ». Ils construisent des armées, achètent des armes et forment leurs troupes et leurs milices. Ils endoctrinent la population en lui insufflant la peur du groupe victime. Les leaders prétendent souvent que « si nous ne les tuons pas, ils nous tueront », déguisant le génocide en légitime défense. Si un conflit armé ou une guerre civile est en cours, les actes de génocide sont déguisés en contre-insurrection. Il se produit alors une augmentation soudaine de la rhétorique enflammée et de la propagande haineuse dans le but de créer un sentiment de peur à l'égard de l'autre groupe. Les processus politiques tels que les accords de paix qui menacent la domination totale du groupe génocidaire, ou les élections à venir qui peuvent leur coûter leur emprise sur le pouvoir total, peuvent en fait déclencher un génocide.
Empêcher la préparation pourrait inclure des embargos sur les armes et des commissions pour les faire respecter, et devrait inclure des poursuites pour incitation et conspiration en vue de commettre un génocide, deux crimes visés à l'Article 3 de la Convention sur le génocide.
8 — Persécution
Les victimes sont identifiées et séparées en raison de leur identité ethnique ou religieuse. Des listes de mise à mort sont rédigées. Dans les génocides parrainés par l'État, les membres des groupes de victimes peuvent être contraints de porter des symboles d'identification. Leurs biens sont souventexpropriés. Parfois, ils sont même séparés dans des ghettos, déportés dans des camps de concentration ou confinés dans une région où la famine sévit et où ils sont affamés. Ils sont délibérément privés de ressources telles que l'eau ou la nourriture afin de les détruire lentement. Des programmes sont mis en œuvre pour empêcher la procréation par la stérilisation forcée ou les avortements. Les enfants sont enlevés de force à leurs parents. Les droits fondamentaux des victimes sont systématiquement bafoués par des exécutions extrajudiciaires, la torture et les déplacements forcés. Des massacres génocidaires commencent. Ce sont des actes de génocide car ils détruisent intentionnellement une partie du groupe. Les auteurs de ces actes surveillent si ces massacres suscitent une réaction internationale. Si ce n'est pas le cas, ils se rendent compte que la communauté internationale sera à nouveau spectateur et autorisera un autre génocide.
À ce stade, une urgence génocidaire devrait être déclarée. Si la volonté politique des grandes puissances, des alliances régionales, du Conseil de sécurité ou de l'Assemblée générale des Nations unies peut être mobilisée, il faut préparer une intervention internationale armée ou fournir une aide lourde au groupe victime pour qu'il se prépare à se défendre. L'aide humanitaire doit être organisée par les Nations unies et les groupes de secours privés pour faire face à l'inévitable vague de réfugiés à venir.
9 — Extermination
À ce stade, l'extermination commence, et devient rapidement le massacre de masse légalement appelé « génocide ». Il s'agit bien pour les tueurs d'une « extermination », car ils sont persuadés que leurs victimes ne sont pas totalement humaines. Lorsque cette extermination est parrainée par l'État, les forces armées travaillent souvent avec des milices pour perpétrer les massacres. Parfois, le génocide se traduit par des meurtres par vengeance de groupes les uns contre les autres, créant ainsi le cycle descendant du génocide bilatéral (comme au Burundi). Les actes de génocide montrent à quel point les victimes sont déshumanisées. Les cadavres sont déjà démembrés ; le viol est utilisé comme un outil de guerre pour modifier génétiquement et éradiquer l'autre groupe. La destruction des biens culturels et religieux est utilisée pour anéantir l'existence du groupe dans l'histoire. L'ère de la « guerre totale » a commencé pendant la Seconde Guerre mondiale. Les bombardements aériens ne différenciaient pas les civils des non-combattants. Les guerres civiles qui ont éclaté après la fin de la Guerre froide n'ont pas non plus différencié les civils et les combattants. Elles se traduisent par des crimes de guerre généralisés. Les viols collectifs de femmes et de filles sont devenus une caractéristique de tous les génocides modernes. Tous les hommes en âge de combattre sont dans certains génocides assassinés. Dans les génocides totaux, tous les membres du groupe ciblé sont exterminés.
À ce stade, seule une intervention armée rapide et massive peut mettre fin au génocide. De véritables zones de sécurité ou des couloirs humanitaires pour évacuer les réfugiés devraient être établis avec une protection internationale fortement armée. (Une zone « sûre » non sécurisée est pire que pas de zone du tout.) La Brigade multinationale d'intervention rapide des forces en attente pour les opérations des Nations unies, la Force d'intervention rapide européenne [EUROFOR - NdT] ou les forces régionales — devraient être autorisées par le Conseil de sécurité des Nations unies à agir si le génocide est de faible ampleur. Pour les interventions plus importantes, une force multilatérale autorisée par l'ONU devrait intervenir. Si le Conseil de sécurité de l'ONU est paralysé, les alliances régionales devraient de toute façon agir en vertu du chapitre VIII de la Charte de l'ONU, ou l'Assemblée générale de l'ONU devrait autoriser une action en vertu de la résolution 330 du 3 novembre 1950 intitulée « L'union pour le maintien de la paix », qui a été utilisée treize fois pour une telle intervention armée. Depuis 2005, la responsabilité internationale de protéger transcende les intérêts étroits des États nations individuels. Si les nations fortes ne fournissent pas de troupes pour intervenir directement, elles devraient fournir le transport aérien, l'équipement et les moyens financiers nécessaires à l'intervention des États régionaux.
10 - Déni
Le déni est l'étape finale qui s'inscrit dans la durée et qui suit toujours le génocide. Il constitue l'un des indicateurs les plus probants de [l'existence de] nouveaux massacres génocidaires. Les auteurs du génocide creusent les fosses communes, brûlent les corps, tentent de dissimuler les preuves et intimident les témoins. Ils nient avoir commis des crimes et rejettent souvent la responsabilité de ce qui s'est passé sur les victimes. Ils bloquent les enquêtes sur les crimes et continuent à gouverner jusqu'à ce qu'ils soient chassés du pouvoir par la force, puis s'enfuient en exil. Ils y restent en toute impunité, comme Pol Pot ou Idi Amin, à moins qu'ils ne soient capturés et qu'un tribunal ne soit créé pour les juger.
La meilleure réponse au déni est la punition par un tribunal international ou des tribunaux nationaux. Là, les preuves peuvent être entendues et les auteurs punis. Des tribunaux comme ceux de la Yougoslavie, du Rwanda ou de la Sierra Leone, le tribunal chargé de juger les Khmers rouges au Cambodge ou la Cour pénale internationale ne peuvent pas dissuader les pires tueurs génocidaires. Mais avec la volonté politique de les arrêter et de les poursuivre, certains peuvent être traduits en justice. Dans la mesure du possible, les procédures locales devraient permettre d'entendre les preuves contre les auteurs qui n'étaient pas eux-mêmes les principaux leaders et organisateurs d'un génocide, avec des opportunités de dédommagement et de conciliation. Les procès rwandais gacaca en sont un exemple. La justice devrait s'accompagner d'une éducation dans les écoles et les médias sur les faits d'un génocide, les souffrances qu'il a causées à ses victimes, les motivations de ses auteurs et la nécessité de rétablir les droits de ses victimes.
À propos de l'auteur
Le Dr Gregory H. Stanton est le fondateur et le président de Genocide Watch. Il fut aussi Professeur de recherche en études et prévention du génocide, à l'université George Mason d'analyse et de résolution des conflits, à l'université George Mason, Arlington, en Virginie — États-Unis
Source de l'article initialement publié en anglais en 2016 : Genocide Watch
Traduction : Sott.net