Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 171 541 visiteurs 276 832 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 18:29

Il faut reprendre en main le circuit de distribution alimentaire, en s'exonérant des grandes surfaces qui ont le quasi monopole, alors pour ne plus avoir des prix de supermarchés au prix d'épiciers changez le circuit en collaboration avec les clients et pourquoi pas les collectivités locales (locaux à moindres prix) pour favoriser les productions locales agricoles

 

Henry

Partager cet article
Repost0
3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 18:26

Pieter Kerstens

Et ils ont bien raison, car le président Micron et son acolyte Attal les écoutent mais ne les comprennent pas.

C’est bien simple : après plus de 60 heures de labeur hebdomadaire, les paysans veulent vivre de leur travail, ce qui n’est pas le cas pour la majorité d’entre eux.

Le monde agricole a toujours été traversé de crises successives et je me souviens que dans les années 1950, j’avais assisté dans mon enfance à des manifestations des charrettes de fumier et de foin tirées par des chevaux, en Normandie. En 1958, les agriculteurs manifestaient suite à une surproduction de choux-fleurs et d’artichauts et en 1961 pour des surplus de pomme de terre. En 1970 et 1976, à cause d’une concurrence européenne dans les vins, le Midi et le Languedoc se révoltaient avec la Comité d’Action Viticole. Dans l’Aude une manifestation violente déclenchait une fusillade dans laquelle un commandant de CRS et un producteur de vins sont tués. De 1984 à 2009, la France aura vécu plusieurs révoltes contre les quotas laitiers imposés par les bureaucrates de Bruxelles.

Qu’on les nomme croquants, péquenots, bouseux, culterreux ou paysans, leur colère est justifiée.

Au fil des décennies, ils ont subi une avalanche de règlements, de normes, de lois et d’interdictions qui, au lieu d’améliorer leur situation, a surtout entravé la production d’une grande partie de ceux qui nous approvisionnent en denrées alimentaires.

Mais certains politiciens avaient tiré la sonnette d’alarme depuis longtemps. Notre devoir de mémoire nous rappelle à ce titre que déjà en 1969, pour les élections présidentielles du 15 juin, le candidat Alain Poher écrivait dans sa profession de foi  « Un programme agricole moderne :

  • Le travail et les investissements agricoles doivent être rémunérés par des prix garantissant aux producteurs un revenu et des conditions de vie comparables à ceux des autres secteurs de l’économie.
  • Une adaptation des structures est nécessaire pour que les entreprises agricoles atteignent une meilleure efficacité économique, mais elle doit être organisée de façon à préserver le monde rural d’un exode dommageable pour la collectivité nationale.
  • La formation professionnelle doit être intensifiée.
  • En outre, l’essor nouveau de l’économie et un aménagement dynamique des régions doivent entraîner l’implantation d’activités économiques non agricole en milieu rural.
  • La rapidité de l’évolution place les agriculteurs trop âgés pour une reconversion professionnelle, mais trop jeune pour bénéficier de l’indemnité viagère de départ, dans une situation dramatique. Pour ceux-là, les conditions de la pré-retraite doivent être rendues plus humaines et plus efficaces. »

Par ailleurs Alain Poher – Président du Sénat – insistait dans son programme : « La politique agricole commune (la fameuse PAC) ne peut exister sans une politique européenne globale, concernant la fiscalité, les structures, l’aménagement des régions à la dimension européenne, les régimes sociaux. Le Plan Mansholt n’apporte pas une conclusion à la définition de cette politique d’ensemble. » Et il terminait par : « Il est temps de donner enfin à la France une politique agricole qui fixe les orientations de production claires et durables. »

En 1970 il y avait 1.587.600 exploitations agricoles en France. Il n’y en a plus que 387.000 aujourd’hui, plus grandes et plus performantes, certaines certes exportatrices, mais dont la grande majorité ne sont pas bénéficiaires.

L’Aisne avant l’Ukraine.

Dans un contexte de déficit budgétaire chronique, Bruno Lemaire avait annoncé l’obligation de trouver 10 milliards d’euros d’économies pour 2024 et 20 milliards pour 2025.

Le monde agricole aurait bénéficié d’environ 600 millions d’euros d’aides et de subventions pour 2024, tels que le Premier ministre Attal et le ministre de l’agriculture l’ont annoncé en janvier.

Pour sa part le Président Micron déclarait le vendredi 16 février : « En 2024 la France (vous les contribuables) fournira jusqu’à 3 milliards d’euros supplémentaires d’aides militaires. Cela concerne la livraison d’avions Mirages 2000 D, des missiles antichars et antiaériens, 18 canons Caesar à livrer prochainement (en plus des 32 déjà en Ukraine) et 60 autres à produire, des blindés et des équipements de surveillance satellitaire. En outre 1.000 à 3.000 obus de 155mm seront envoyés à Kiev chaque mois, ce qui correspond à la consommation quotidienne des canons ukrainiens…

Alors que les paysans tirent le diable par la queue avec moins de mille euros par mois, on trouve immédiatement des milliards pour faire une guerre qui ne nous concerne pas !

Le bon-sens est absent dans cette nouvelle crise agricole et c’est pourquoi le monde paysan est en colère, non seulement en France, mais aussi en Allemagne, en Belgique, en Espagne ou aux Pays-Bas, paysans auxquels se joignent également les indépendants eux-aussi maltraités par les aberrations du mondialisme.

En effet, il est intolérable d’accepter que des produits qui ne répondent pas aux normes en vigueur en Europe, soient encore importés chez nous.

Le 9 juin nous devrons exprimer notre refus d’une Europe ouverte au monde entier et sanctionner les charlatans qui nous gouvernent.

Source : Synthèse Nationale

Partager cet article
Repost0
3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 18:21

Partager cet article
Repost0
22 mars 2024 5 22 /03 /mars /2024 19:03
 

 

Le Ceta est un traité de libre-échange stupide et inéquitable signé avec le Canada au nom de la religion du saint-libre-échange que plus personne n’a le droit de contester sous peine d’excommunication.

 

 

Ce dossier date de 2019, soit avant la « grande pandémie ».

« Enterré depuis 2019, le texte a été exhumé par les communistes à l’occasion de leur journée d’initiative parlementaire. En pleine campagne européenne, il place l’exécutif en difficulté.

C’est un petit coup de tonnerre symbolique lourd de conséquences politiques. Ce jeudi après-midi, au bout du suspense, le Sénat a rejeté la ratification de l’accord de libre-échange Ceta, grâce au rejet de l’article 1 du projet de loi par 211 voix contre 44 pour seulement. Ce vote intervient cinq ans après un scrutin difficile à l’Assemblée nationale où, en 2019, les députés avaient validé dans la douleur ce traité économique et commercial avec le Canada. Or Covid-19 et suspension des travaux parlementaires obligent, le texte était ensuite tombé dans l’oubli et il n’avait jusqu’ici pas été débattu à la Chambre haute. C’est désormais chose faite. »

Et les sénateurs viennent de mettre une raclée au gouvernement.

« Nous ne pouvons plus continuer à importer d’ailleurs ce que nous produisons chez nous »

« Sur le fond, si les sénateurs macronistes et Centristes ont vanté les mérites du Ceta, les bancs de la gauche et des Républicains ont largement critiqué l’accord. « Nous ne pouvons plus continuer à importer d’ailleurs ce que nous produisons chez nous », a cinglé le LR Laurent Duplomb. « Il ne s’agit pas ici de remettre en cause le libre-échange », a de son côté plaidé la LR Valérie Boyer, estimant que le Ceta, loin de répondre aux « objectifs louables », mettait « une épée de Damoclès sur notre agriculture ».

Le patron du groupe écologiste, Guillaume Gontard, ne dit pas autre chose, lui qui y voit une « catastrophe pour le climat et la santé humaine » source de « concurrence déloyale, particulièrement en matière agricole ». « Après sept ans de mise en œuvre, le bilan de cet accord provisoire permet de dresser un tableau mitigé pour le commerce et clairement négatif pour l’environnement, pesant sur nos normes et qui serait plus dangereux encore si les dispositions relatives à la protection des investissements étaient adoptées », a ajouté le socialiste Didier Marie. »

Faire venir du Canada des produits agricoles que nous savons produire chez nous et que nous produisons chez nous, avec des normes draconiennes pour importer à grand coup de CO2 et de transport des produits de moins bonnes qualité est tout simplement une approche délirante aussi bien économique qu’écologique.

Selon les informations du Figaro (source ici), « le président du groupe à l’Assemblée, André Chassaigne, a ainsi promis que le texte serait inscrit au menu de leur niche parlementaire, le 30 mai prochain. Soit à quelques jours du scrutin des européennes, qui se tiendront le 9 juin ».

Alors jusque-là vous pouvez vous dire que c’est génial, que c’est super, que la résistance continue et que l’on va peut-être gagner contre un traité absurde.

Que nenni mes amis.

C’est sans compter la grande démocratie européenne qu’est devenue l’UErss. Au nom du bon fonctionnement des institutions européennes, et pour rendre les avancées possibles, il faut réduire les pouvoirs de blocages des pays et donc des représentations nationales. Avoir plus d’Europe, c’est avoir toujours moins de démocratie. Cette réalité doit être comprise par le plus grand nombre.

Et c’est exactement ce que cette histoire de CETA permet de toucher du doigt car…Comme le dit le Figaro très justement « un nouveau rejet serait un message fort, mais ses répercussions seraient toutefois limitées : le gouvernement n’est pas obligé de notifier les institutions européennes de la décision du Parlement national – c’est par exemple le cas de Chypre. Autrement dit, l’exécutif pourrait décider de s’extraire du vote de la représentation nationale et laisser l’application provisoire de l’accord se poursuivre à l’échelle européenne. »

Les Français n’en veulent pas.

les sénateurs votent contre.

Et même si l’Assemblée Nationale rejette aussi le texte… vous l’aurez quand même.

La conclusion est simple.

Sans appel.

Plus d’Europe, c’est toujours moins de démocratie.

Et c’est ainsi que nous devenons, sans nous en rendre compte, insidieusement, la Corée de l’Ouest et l’UErss.

Charles SANNAT

Partager cet article
Repost0
8 mars 2024 5 08 /03 /mars /2024 10:48
Agriculture les multiples mensonges de Macron et son Gouvernement

Les prix planchers promis par #Macron aux #agriculteurs sont en réalité “interdits par le droit européen depuis 1995”. (Le Canard enchaîné) pic.twitter.com/hJipTlDObF

— Actu Direct (@ActuDirectFR) March 7, 2024

 

 

___________________________________

 

Macron a trompé les agriculteurs
 

Après l'Italie :

 

Partager cet article
Repost0
29 février 2024 4 29 /02 /février /2024 13:54
Agriculture : Blackrock, Vanguard, rachat des terres céréalières d'Ukraine, manipulation des cours des céréales, asphyxie des agriculteurs Européens

Le PDG de Blackrock Larry Fink et Macron en réunion juste avant la réforme des retraites

 

 

Agriculture : Pourquoi le renoncement de l'Europe à une indépendance agricole quitte à sacrifier ses agriculteurs.

En premier lieu l'inflation, maintenir les prix bas pour le public, quitte a faire venir des produits toxiques ou qui ne correspondent pas aux normes que l'on impose aux agriculteurs Européens. Donc on ouvre les marchés, ç'est un renoncement d'opportunité, car en fait ils sont incapables de réguler les excès financiers et dérives financières (voir dans les rubriques banques, grande crise, finance bourse)

D'autre part la corruption et un plan de réappropriation des terres par des grands groupes d'investissement ; dont Blackrock.

 

Depuis la guerre en Ukraine, les importations Ukrainiennes agricoles sont exemptées de frais de douane ; ces exemptions ont été reconduites récemment par la Commission Européenne.

 

Blackrock par l'intermédiaire de filiales rachète (ainsi que Vanguard) les terres agricoles céréalières d'Ukraine en Septembre 2021, accord validé par Zelensky contre l'avis des agriculteurs Ukrainiens.

 

On voit et je vous prie de vous reporter au cours de la bourse l'augmentation, puis la dégringolade des cours du blé (l'Ukraine est l'un des plus grand producteur de céréales mondiales)

 

Donc non seulement les importations agricoles minent les agriculteurs européens, mais l'ouverture des marchés extérieurs les plombent. Marchés qui ne profiteront qu'aux groupes d'investissements en majorité anglo -saxons.

 

D'autre part, puisque tout est lié, vous verrez l'influence du complexe militaro industriel dans la guerre en Ukraine, dont Blackrock est un des principaux actionnaires, Puis dans les liens vous découvrirez que le chantier de reconstruction de l'UKraine a été remporté par ce même Blackrock, Blackrock  également qui lorgne sur le système de retraite par répartition Français, Blacrock qui également a des actions dans plusieurs laboratoires pharmaceutiques et le Président Directeur Général de Blackrock est un partenaire privilégié de Macron comme vous l'avez vu dans la photo !

 

Donc on peut estimer au vue des documents liens (car si mes articles sont longs ç'est par ce que je les alimentent en liens et preuves de façon a être incontestables) que Macron et la Commission sont à la manoeuvre pour anéantir l'agriculture Européenne au profit d'une ou plusieurs sociétés Américaines.

 

Henry

 

 

 

 

 

 

Maison de Yuriy Koziuk, qui inonde la France avec ses poulets sans droits de douane
 
Une bonne partie des terres agricoles ukrainiennes (productrices de blé) ont été achetées par trois compagnies américaines contre l'avis des paysans et c'est #Zelensky qui a forcé l'achat.
Qui possède les terres à blé ukrainiennes : Cargill, Dupont, Monsanto. Et derrière : Vanguard, Blackrock, Blackstone
Le blé ukrainien est bourré de toxines et de pesticides
 
BlackRock : "Nous dirigeons l'Amérique, pas Biden - Nous souhaitons que la guerre en Ukraine ne se termine jamais"
 
Partager cet article
Repost0
24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 18:37

Embobiner, en patois Poitevin on dit embiboler (assez proche du Gascon) ! En vieux Français on disait embabouiner !

 

Du coup Embobinator  a joué sur la corde sensible comme le caméléon, il est de la couleur que vous désirez, mais ne vous y trompez pas ç'est lui qui mène la danse, mentir ç'est tout un art et il le maîtrise bien. Vous serez toujours perdant à l'écouter !

 

Ecoutez bien la vidéo qui suit, ç'est exactement ce qui se passe, ç'est une attaque globale sur l'agriculture traditionnelle, pour mettre la main sur celle ci. En Effet ç'est bien Blackrock et Vanguard (fonds de pensions Américains) qui détiennent les trois quart des terres agricoles (céréalières de l'Ukraine), l'Europe vient de reconduire les importations Ukrainiennes sans aucun droit de douane, au final le cours des céréales doit chuter au profit de Blackrock et Vanguard. Cette guerre aura eut plusieurs effets, dont celui de reprendre les terres de ceux qui se sont fait tuer au combat pour le corrompu Zelensky et sa cohorte d'oligarques tout aussi corruptibles, faire effondrer les cours et mettre dans le viseur l'agriculture Occidentale, mais pas seulement. Macron a parlé d'économie de guerre, le texte de réquisition des biens et personnes est voté ; tout est prêt !

 

Henry

 

____________________________________________________

 

 

 
 
« On en a rien à foutre de ses mesurettes à macron, encore une fois il nous balade comme il a baladé les Français. C’est un danger, faut qu’il sorte de là, faut qu’il démissionne. C’est un gouvernement de collabos à la solde des mondialistes…  On va pas crever comme ça. On va… Voir plus
 
_________________________________
 
 
 
 
____________________________
 
 
Les paysans encerclent la voiture d'exfiltration de Macron
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
23 février 2024 5 23 /02 /février /2024 11:32

Après sa prestation aux Invalides Macron va faire son grand baratin au Salon de l'Agriculture, la vedette va donner de la voix, parader, être l'attention de tous, mais cette fois au garde à vous, pas de sifflets sinon amende. Donc ce sera dans un silence religieux (du moins l'espère t'il ) que l'auditoire s'abreuvera de ses paroles mielleuses.

Evidemment ç'est toujours du théâtre même s'il est de médiocre qualité, comme on connait le récital depuis 7 ans, à force on s'en lasse.

Le monologue pourra peut être se conclure par un Molière de la pomme de terre, du rutabaga (des périodes de disettes) ou du navet qui serait plus approprié !

 

Faites comme Ulysse bouchez vous les oreilles à la cire afin d'échapper aux sirènes des promesses !

 

Henry

 

______________________________________

 

 

Au salon de l’agriculture, l’évènement sera filmé. Macron interdit les sifflets, sinon ce sera 350 euros d’amende !

 

Partager cet article
Repost0
23 février 2024 5 23 /02 /février /2024 11:18
Partager cet article
Repost0
15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:29

Toutes les informations sur la crise agricole en lien "Agriculture" dans  "catégories" à droite sur le site !

Agriculture  : "C’est tout le système qu’il faut changer. Les politiques veulent nous tuer"
 
 

L'agriculture Française il y à a peine 60 ans ! (Dans certaines régions)

Partager cet article
Repost0

Pages