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7 avril 2024 7 07 /04 /avril /2024 18:36
Il va être compliqué de faire l'équilibriste sur le fil du rasoir !

 

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Thierry Breton est décidément le meilleur ami de la dictature par Bruxelles, et le meilleur idéologue de l’Europe de la surveillance. Cette semaine, il devrait publier des directives à destination des plateformes pour réquisitionner l’accès aux données de connexion des opposants au régime, regroupés sous l’étiquette des ingérences étrangères. Au passage, personne ne juge utile de signaler que ces données permettent de connaître les intentions de vote… et de procéder à des opérations ciblées de contre-influence. Ou comment truquer les élections sans l’avouer.

Soumettre les grandes plateformes numériques (le réseau X compris) à des exigences dignes d’une dictature communiste en matière de violation de la vie privée et de liberté d’expression, tel est l’exercice commencé par le Digital Services Act, la directive totalitaire de l’Union, l’été dernier, et que Thierry Breton poursuit sans discontinuer et sans rien lâcher. Alors que les élections européennes approchent, et s’annoncent comme une victoire populiste, la Commission veut optimiser ses chances d’entraver la parole souverainiste, sous le prétexte fallacieux bien connu de lutter contre les “inégrences étrangères” et, au besoin, de changer l’issue finale du vote.

Donc, cette semaine, pour parvenir à ces objectifs “libéraux”, la commission devrait publier des directives complémentaires à destination des huit grandes plateformes numériques (Telegram n’en fait pas partie) pour qu’elles prennent des mesures pour que les réseaux sociaux “ne soient pas utilisées à mauvais escient pour manipuler nos scrutins”… Superbe inversion accusatoire.

Dans le panel de mesures, la Commission demande pudiquement d'”accorder au régulateur un accès à leurs algorithmes”. Cette expression savante dissimule derrière des concepts mathématiques ce qu’on appelle couramment la surveillance par l’algorithme, parallèlement demandée à titre permanent en France par le président de la commission des Lois à l’Assemblée, le macroniste de gauche Sacha Houlié. Cette surveillance consiste à fournir aux services de renseignement tout le contenu des comptes sociaux des internautes.

Cette transmission est importante, parce qu’elle permet, à grande échelle, de prédire assez précisément les intentions de vote des opposants (et de leurs amis), et, éventuellement de cibler des messages destinés à modifier leur comportement ou leur opinion.

 

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3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 18:08
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3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 17:06
Censure : le Ministre Séjourné veut «proposer» une nouvelle loi contre la «désinformation» russe

C'est un véritable tournant autoritaire qui se confirme sur le plan national, contrôle de l'information a tous les niveaux ! Amendes et prison !

 

Veuillez regarder la panoplie de lois restrictives, de contraintes, de commandements opérés par les gouvernements Macron sur le lien suivant l'article

 

Merci !

 

Henry

 

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Séjourné veut «proposer» une nouvelle loi contre la «désinformation» russe
 

 

Lors d’une conférence de presse le 2 avril, le patron du Quai d’Orsay a annoncé que Paris proposerait aux Européens un «régime de sanctions dédié» à ceux qui «soutiennent les entreprises de désinformation et de déstabilisation» russes. Depuis plusieurs semaines, le gouvernement français a ressorti la menace de supposées fausses informations russes.

 

«La Russie recourt au mensonge et à la manipulation de nos opinions publiques», a accusé le 2 avril le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, lors d’une conférence de presse avec son homologue américain, Antony Blinken. «Elle finance des ingérences, promeut des faux médias», a-t-il ajouté.

«Nous serons déterminés en Europe à contrer cette propagande […] la France proposera d’ailleurs prochainement un régime de sanctions dédiées à ceux qui soutiennent les entreprises de désinformation et de déstabilisation de notre pays et de l’ensemble des Européens», a-t-il annoncé, aux côtés de son invité impassible, sans donner de précisions.

Les réseaux sociaux dans le collimateur de Paris

Depuis plusieurs mois, les autorités françaises s’adonnent à une nouvelle charge contre la Russie, l’accusant d’être impliquée dans «l’amplification artificielle» de polémiques qui auraient écorné l’image de la France.  

Ces accusations coïncident avec un accroissement de tensions entre la France et la Russie, au moins depuis la mi-janvier et l'annonce de la livraison de 40 missiles Scalp supplémentaires à Kiev. Depuis, Moscou a dénoncé l'implication croissante de Paris en Ukraine et l'Élysée a multiplié les déclarations, refusant notamment d'exclure un envoi de troupes occidentales en Ukraine, accroissant les tensions entre les deux pays. 

S’appuyant sur un rapport publié en février dernier par Viginum, l’organisme français supposé lutter contre les ingérences numériques étrangères, le Quai d’Orsay avait accusé Moscou d’une «nouvelle opération d’ingérence numérique russe contre la France», via une «amplification artificielle» de certaines informations sur les réseaux sociaux. On retrouve notamment le cas des étoiles de David, taguées au pochoir fin octobre en région parisienne. Le rapport ciblait aussi une vingtaine de chaînes Telegram, censurées depuis. Leur tort : être des sources du portail «pravda-fr.com».

Un épisode qui fait d’ailleurs partie des prétextes du camp présidentiel à l’Assemblée pour présenter une proposition de loi visant à «prévenir les ingérences étrangères» en autorisant, notamment, les services de renseignement à recourir à des moyens pour l’heure réservés à l’antiterrorisme, comme la surveillance algorithmique.

Même rengaine lors de la polémique autour des punaises de lit, également survenue à l’automne 2023. Suite au tollé suscité par la diffusion de vidéos de ces insectes dans les transports en commun parisiens, à quelques mois des JO, le gouvernement français était allé jusqu'à pointer du doigt la Russie, l’accusant d’avoir «amplifié» la psychose sur les réseaux sociaux.

La version du gouvernement français, nouveau baromètre de l’information autorisée ?

Fin janvier, le ministère français des Armées avait à son tour revendiqué avoir identifié une «manœuvre coordonnée de la Russie» visant à «relayer et amplifier» des «fausses informations». Des accusations portées notamment à l’encontre d’agences de presse russes sur la seule base qu’elles citaient des déclarations de la Défense russe sur l’élimination de «mercenaires français» mi-janvier en Ukraine, une présence que dément Paris.

Une version officielle française qu’a d’ailleurs brandie Stéphane Séjourné le 2 avril comme motif au futur régime de sanctions. Le ministre français a ainsi évoqué, parmi ses accusations à l’encontre de la Russie, le fait qu’elle «accuse l’Ukraine et l’Europe de crimes commis par d’autres». Référence au fait que Moscou n’entend pas arrêter son enquête sur l’attentat qui a frappé le Crocus City Hall le 22 mars à la seule revendication de l’État islamique.

Depuis plusieurs années, l'information russe dérange Paris

Ce n'est bien sûr pas la première tentative française à l'encontre de médias russes. Les autorités européennes ont immédiatement interdit de diffusion sur le territoire de l’UE les médias publics russes Sputnik et RT «et leurs filiales», les accusant de faire la «propagande» des autorités russes, dans la foulée du conflit en Ukraine. Une mesure que les États-Unis n'ont pas prise, en vertu du premier amendement garantissant la liberté d'expression.

Suite aux trains successifs de nouvelles sanctions européennes, Bercy était parvenu en avril 2023 à couler RT France en gelant les comptes bancaires de la chaîne, précipitant au chômage 130 journalistes et professionnels des médias. Ceux-ci n’avaient pourtant jamais été épinglés pour une quelconque «fake-news», en dépit des accusations des soutiens et ministres d’Emmanuel Macron.

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 19:14
Un an de prison et 3750 € d’amende pour un tweet : le délit d’outrage en ligne arrive

Le texte revient devant le Sénat et l'Assemblée nationale en avril 2024 avec un nouvel amendement créant un délit unique au monde : l'outrage en ligne. Ce délit vise à pénaliser et criminaliser toute critique jugée hostile ou offensante envers une personne ou une institution, y compris sur les réseaux sociaux et les messageries privées.

 

 

Cette nouvelle infraction punira d’un an de prison et de 3750 € d’amende la diffusion en ligne de tout contenu portant atteinte à la dignité d’une personne ou présentant à son égard un caractère injurieux, dégradant, humiliant ou créant une situation intimidante, hostile ou offensante. Les avocats alertent sur la subjectivité de cette notion, qui renvoie au ressenti de la personne visée par les propos.

 

Le contexte européen montre une tendance à la criminalisation des discours de haine et à la lutte contre le cyberharcèlement. Toutefois, la création d’un délit d’outrage en ligne aussi large et flou suscite des inquiétudes quant à son application concrète et aux potentielles dérives qu’il pourrait engendrer.

Face à ces enjeux, il est essentiel que les citoyens et les représentants politiques se saisissent de ce débat et veillent à préserver un équilibre entre la protection des individus et le respect de la liberté d’expression sur internet. Il est impératif que les oppositions politiques se mobilisent contre ce projet de loi, qui s’inscrit dans la philosophie du règlement européen DSA (Digital Services Act) et pourrait entraîner la censure de photos et de vidéos à valeur informative.

 

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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 18:16
Suppession du consentement libre et éclairé du patient lors d'essais de médicaments
 
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30 mars 2024 6 30 /03 /mars /2024 18:22

Régis de Castelnau : Vu du droit

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30 mars 2024 6 30 /03 /mars /2024 18:12
Répression au Canada, un homme courageux témoigne ; mais cela vaut aussi pour nous tous !

 

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Ottawa
 
Canada : Le Parlement propose d’imposer une peine d’emprisonnement à perpétuité pour les délits d’opinion
 

 

Nous avons déjà évoqué les attaques incessantes du Premier ministre canadien Justin Trudeau et de ses alliés contre la liberté d’expression. La criminalisation de la liberté d’expression, y compris des plaisanteries et des discours religieux, n’a cessé de progresser au Canada. Aujourd’hui, le Parlement canadien s’apprête à apporter une nouvelle modification qui permettrait d’imposer une peine d’emprisonnement à vie à ceux qui affichent des opinions jugées favorables au génocide.

Avec un mouvement grandissant qui qualifie la guerre d’Israël à Gaza de « génocide », la portée potentielle d’une telle loi est évidente. C’est d’ailleurs ce qui semble attirer les défenseurs de la liberté d’expression dans le pays.

 

La loi sur les préjudices en ligne, ou projet de loi C-63, fait passer les peines potentielles de cinq ans à la prison à vie. Il augmente également la peine pour la promotion délibérée de la haine (un crime dangereusement mal défini) de deux ans à cinq ans. Les changements proposés constituent un doublement de l’engagement du Canada à réduire la liberté d’expression des citoyens, malgré les critiques de nombreux membres de la communauté des libertés civiles.

Il existe également une possibilité d’assignation à résidence qui fait froid dans le dos si un juge estime qu’un prévenu « commettra » un délit. En d’autres termes, si un juge pense qu’un citoyen ne sera pas découragé et tentera à nouveau de s’exprimer librement.

Le ministre de la justice, Arif Virani, a eu recours à la même hystérie pour convaincre les citoyens de céder leurs libertés au gouvernement. Il a exprimé à quel point il était terrifié par le potentiel de la liberté d’expression, déclarant qu’il était « terrifié par les dangers qui se cachent sur Internet pour nos enfants ».

Il est peu probable que les choses s’arrêtent là.

Aujourd’hui, le motif invoqué est le génocide. Cependant, une fois que les nouvelles sanctions seront en place, une multitude d’autres groupes exigeront un traitement similaire pour ceux qui ont des opinions opposées à leurs propres causes.

Cette loi a déjà alourdi les peines pour tout ce qui est considéré comme un discours haineux.

Elle intervient après que le Canada a empêché une dissidente russe de devenir citoyenne en raison de sa violation des lois russes contre la liberté d’expression.

Dans un geste révélateur, le gouvernement a déclaré que le même comportement (c’est-à-dire la liberté d’expression) pouvait être considéré comme un crime au Canada.

En effet, il pourrait désormais être puni encore plus sévèrement.

Traduction de Jonathan Turley par Aube Digitale

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Le Canada va rendre obligatoire les médicaments psychiatriques pour ceux qui refusent les injections d’ARNm ou tout type de vaccination
 
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24 mars 2024 7 24 /03 /mars /2024 20:47

Et si la souveraineté numérique était un combat perdu d'avance ?@epelboin : "Nos données de santé, nous les avons données à Microsoft malgré d'énormes résistances. On ne pourra pas faire machine arrière avec le gouvernement actuel" https://t.co/iBhmXZwHe9 pic.twitter.com/T6TmXQKDzV

— Sud Radio (@SudRadio) March 24, 2024

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24 mars 2024 7 24 /03 /mars /2024 20:20

Selon Zoé Sagan Candace Owens a été virée de Daily Wire à cause de l'affaire Brigitte, mais il y a une autre version que Candace Owens propose, évidemment cela tombe bien pour l'Elysée, est ce un hasard ! Mystère !

 

Les vidéos de Candace Owens sur l'affaire sont retirées de Youtube en à peine une semaine.

 

Ce que l'on constate ç'est que Tucker Carlson a été également viré pour enfin se retrouver sur X, le Forum Economique Mondial évoquait justement la reprise en main de l'information, nous y sommes ! Et après ça allez vous encore les croire !

 

Henry

 

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Dans son introduction au sujet et à l'article, Owens a déclaré qu'« honnêtement, il n'y a que deux options ici, soit ce rabbin ignore véritablement tout ce que j'ai dit… (ou) il en est complètement conscient… et il n'est qu'un monstre. J'ai hâte de le découvrir.

Après que Barclay n'ait pas réussi à étayer bon nombre de ses affirmations dans l'interview, l'éditeur de son article, PJ Media, a semblé tacitement fournir sa réponse à la question d'Owens en  rétractant  l'article. « Après un examen plus approfondi, nous avons déterminé que l'article suivant ne répond pas aux normes éditoriales de PJ Media. Nous nous excusons auprès de nos lecteurs pour cet oubli », indique le  communiqué de l'éditeur  .

Jalsevac : l'entretien d'Owen avec le rabbin "a révélé les graves défauts et dangers du sionisme"

Après avoir visionné l’intégralité de l’interview, le co-fondateur et président de LifeSiteNews, Steve Jalsevac, a déclaré qu’Owens était « incroyablement charitable » envers Barclay, lui permettant de « parler longuement et sans interruption ». « Le problème était qu'elle était également beaucoup trop efficace pour contrer les déclarations irrationnelles du rabbin, son attitude extrêmement condescendante et sa haine pas si subtile pour ses opinions », a-t-il poursuivi. Et en référence à son départ, Owens « a exposé les graves défauts et dangers du sionisme comme je n’ai jamais vu cela auparavant », a-t-il déclaré. "Pour eux, c'est impardonnable."

Greenwald : Comme tout autre pays étranger, Owens a « le droit d’être un critique féroce d’Israël »

Dans une  analyse  de l'interview mercredi, le commentateur juif de gauche Glenn Greenwald a pris la défense d'Owens, affirmant que, comme Tucker Carlson, elle appliquait « les principes conservateurs de manière cohérente », en demandant « pourquoi censurons-nous les critiques d'Israël aux États-Unis ? Pourquoi les citoyens américains n’ont-ils pas le droit de critiquer Israël pour défendre la cause palestinienne qu’ils souhaitent ? Pourquoi des gens sont-ils licenciés pour avoir critiqué Israël ou critiqué Joe Biden pour avoir financé Israël ? Et pourquoi Israël ne devrait-il pas être tenu aux mêmes normes humanitaires dans la façon dont il mène cette guerre que nous le faisons avec d’autres pays ?

« Maintenant, je crois qu'en tant que citoyenne américaine, ce qu'est Candace Owens, elle a le droit de critiquer férocement Israël. Israël est un pays étranger », a observé le journaliste. « Vous pouvez être un critique féroce de la Russie… vous pouvez être un critique féroce du Paraguay ou de la Corée du Sud, et vous pouvez être un critique féroce d’Israël. » « En fait, vous devriez avoir plus d'espace, pas moins, pour critiquer Israël, étant donné que chaque contribuable américain, par définition, contribue à financer l'armée israélienne, ses guerres et son gouvernement, et cela vous donne donc le droit de critiquer cela. pays si vous le souhaitez », a-t-il déclaré.

De fausses accusations d’« antisémitisme » utilisées comme arme pour faire taire les critiques

Greenwald a également dévoilé la tactique courante consistant à utiliser  la calomnie vicieuse  comme « une tentative de détruire la réputation des personnes qui ne sont pas d’accord… et de mettre fin au débat », et a déclaré que cette tactique est utilisée contre « quiconque se demande pourquoi le gouvernement américain soutient Israël ». De tels individus « seront qualifiés de racistes et d’antisémites ».

Pour sa part, Barclay était présent à l'émission d'Owens pour dire qu'elle « est antisémite, tout critique d'Israël est antisémite. Quiconque se demande pourquoi le gouvernement américain finance la guerre d'Israël est absolument un antisémite », a-t-il raillé.

En fournissant un extrait de l’interview où Barclay accusait faussement Owens de « ne pas avoir condamné le Hamas », Greenwald a expliqué comment il avait insisté pour que l’animateur reconnaisse que le 7 octobre est un « mal singulier… différent de tout ce qui s’est jamais produit dans l’histoire ». avant » était « manifestement insensé et absurde ». Dans l’esprit de Barclay, le refus d’Owens de faire cela démontrait qu’elle était une « antisémite ».

Si l’on franchit les limites artificielles du contrôle de la parole sur cette question, « on ne débattra pas de vous, on ne s’engagera pas avec vous, on vous traitera de raciste et votre travail risquera d’être licencié, d’être rejeté ». censuré, comme tant de gens l’ont fait », a-t-il observé avec prévoyance.

En réponse à une attaque de l'Anti-Defamation League (ADL) l'accusant d'« antisémitisme au vitriol » et ajoutant « de l'huile sur le feu de la haine » en l'absence de toute preuve raisonnable, Owens  a tweeté : « Tout le monde peut voir ce que vous me faites. . Votre modèle est bien établi et le monde en prend conscience.

« Mon crime est de ne pas croire que les contribuables américains devraient avoir à payer pour les guerres d'Israël ou celles de n'importe quel autre pays. Je ne changerai pas d'avis. Alors la question est : que vas-tu me faire ensuite ? Le monde regarde

 

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24 mars 2024 7 24 /03 /mars /2024 20:14

L'animateur de Fox News admet que la CIA a infiltré toutes les salles de rédaction aux États-Unis

 

L'animateur de Fox News, Jesse Watters, a révélé cette semaine que la CIA avait infiltré toutes les rédactions américaines, y compris la sienne.

 

« Les noms les plus fiables dans l’actualité travaillaient, sciemment ou involontairement, comme vecteurs de désinformation de l’État profond. Au moins 22 organes de presse américains, du New York Times au magazine Life en passant par CBS, avaient des journalistes à la solde de la CIA.

Video ici

 

Infowars.com rapporte : Watters a également diffusé des images des audiences du Comité Church de 1975, au cours desquelles le directeur sortant de la CIA, William Colby, a admis que l'agence avait intégré des actifs dans les principaux médias.

Le rappel de Watters sur l’Opération Mockingbird fait référence au New York Times admettant cette semaine que le réseau de saboteurs mondialistes de l’« État profond » intégré au sein du gouvernement fédéral et des médias existe non seulement, mais qu’il est « en fait plutôt génial ».

 

Sean Adl-Tabatabai
 
 
https://joseon.com

 

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