Méfiez vous de ce que l'on vous montre à la télévision, sur le plateau on invite pour la promotion des vaccins des gens qui sont liés à l'industrie pharmaceutique :
Cet invité dirige la plate-forme de communication de l’EFPIA (European Pharmaceutical Industry Association) et occupe le poste de Vice-Président « accès au médicament » chez Sanofi depuis 2006. Il est OBLIGATOIRE de nommer de tels liens avant d'intervenir sur un plateau télé.
TPMP, émission indigne et malhonnête !
Cet invité dirige la plate-forme de communication de l’EFPIA (European Pharmaceutical Industry Association) et occupe le poste de Vice-Président « accès au médicament » chez Sanofi depuis 2006.
Il est OBLIGATOIRE de nommer de tels liens… https://t.co/I07foT7ydQ
Les médecins savent pertinemment que l'on ne vaccine pas en période épidémique !
De même, on ne vaccine jamais une femme enceinte !
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"La toxicité des vaccins continuera à apparaître. Si des gens vous consultent pour un problème de santé, il faut toujours leur demander leurs antécédents vaccinaux et s'interroger sur le lien entre la maladie et le vaccin. C'est le devoir des médecins. C'est le devoir de la… pic.twitter.com/8Q9ZYfWXmA
The Lancet : les vaccins Covid comportent des effets secondaires dangereux !
Certains parleront de complotisme . Pourtant , il n’en est rien . Car , l’étude en question est menée par la très prestigieuse revue scientifique The Lancet qui l’a rendue publique il y a deux jours . Ainsi , dans son étude , la revue confirme que les vaccins anti-Covid… pic.twitter.com/p4UGJq94pW
— Le jour viendra où le peuple vaincra (@NaphtalineLeBon) September 19, 2023
Hier c’était une théorie du complot
Aujourd’hui c’est publié dans une revue scientifique par une équipe de 8 chercheurs…
Oui l’ARNm du « vaccin » se retrouve dans le lait maternel… où on nous avait pourtant bien dit qu’il ne se retrouverait jamais. https://t.co/80iMxr0DZw
— Idriss J. Aberkane Ph.D, Ph.D & Ph.D (@idrissaberkane) September 20, 2023
"Le vaccin Pfizer est contaminé par de l'ADN plasmidique, ce n'est pas seulement de l'ARNm… Je suis un peu alarmé par les conséquences possibles de cela… Cela pourrait provoquer certains des effets secondaires rares, mais graves, comme la mort d'origine cardiaque". 2/4
La quasi inutilité du vaccin Covid officiellement admise en Suisse Tournant majeur dans les recommandations des vaccins Covid par la plus haute autorité sanitaire suisse : un courrier destiné au...
La quasi inutilité du vaccin Covid officiellement admise en Suisse
Tournant majeur dans les recommandations des vaccins Covid par la plus haute autorité sanitaire suisse : un courrier destiné aux professionnels indique que la vaccination Covid n’influence “guère” la morbidité pour les moins de 65 ans en bonne santé, qu’elle ne protège “que peu” contre l’infection et contre les maladies légères ainsi que contre la transmission. Seules les personnes à risques et de plus de 65 ans sont invitées à faire un rappel. L’authenticité du document est démontrée.
Les injections Covid ont fait leur temps
Émises par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), ces “grandes lignes” des recommandations de vaccination Covid destinées aux professionnels de la santé en Suisse pour l’automne 2023 marquent un tournant dans la saga covidienne. Seule la version en allemand est disponible publiquement. Elle a été traduite en français par Viviane Cuendet.
Les extraits les plus marquants du document concernent l’efficacité des vaccins pour les moins de 65 ans en bonne santé: elle serait quasi nulle si l’on en croit l’autorité sanitaire OFSP :
On estime, sur la base de l’historique de vaccination et de l’exposition au virus au cours des trois dernières années, que les personnes de moins de 65 ans sans facteurs de risque sont bien protégées contre les évolutions graves, y compris les hospitalisations, par l’immunité existante. La vaccination n’a donc guère d’influence sur la charge de morbidité dans ce groupe de population.
Dans l’original en allemand, “guère” s’avère le mot “kaum”, qui signifie “à peine” ou “quasiment pas”.
L’efficacité pour les groupes à risque, même si elle est admise, se voit relativisée par l’OFSP :
Toutefois, la vaccination ne protège que peu et brièvement contre l’infection et contre les maladies symptomatiques légères liées à Covid-19. De plus, elle ne peut guère protéger contre la transmission du virus.
Autre fait notable, il n’est plus recommandé de vacciner les personnes des groupes à risque de moins de 16 ans.
Authenticité du courrier confirmée par l’OFSP
Dans le contexte de la surprise créée par un message qui détonne par rapport au discours officiel habituel sur l’importance des injections, l’authenticité de la lettre a été remise en question sur les réseaux sociaux.
Plusieurs preuves tangibles étayent pourtant son existence bien réelle, la plus concrète étant sa présence – en allemand – sur le site Internet de l’Association des pédiatres suisses.
De plus, les métadonnées informatiques contenues dans le document indiquent qu’il a été créé par un certain Christian Durisch, qui travaille bien à l’OFSP:
Décalage entre les informations de l’OFSP et la scène médiatico-politique
Contacté par le journaliste indépendant Roger Bittel, l’OFSP confirme bel et bien que le courrier émane de ses services. Le porte-parole affirme cependant qu’il n’y a rien de nouveau. Il précise que les bases scientifiques qui ont mené à ces recommandations figurent sur le site de l’OFSP, notamment dans la partie dédiée aux Foires aux Questions.
Il est vrai que l’OFSP a été honnête sur certains points concernant les vaccins Covid. Ainsi l’ex-responsable des maladies infectieuses, Virginie Masserey avait-elle reconnu en 2021, lors d’une conférence de presse officielle, qu’une étude américaine montrait que les vaccinés étaient tout aussi contagieux que les non-vaccinés.
Ceci n’avait pas empêché le ministre suisse de la Santé, Alain Berset, d’affirmer quelques mois plus tard, juste avant une votation populaire sur la loi Covid, qu’un certificat Covid était la preuve que l’on ne pouvait pas transmettre le virus. De quoi s’interroger sur ce décalage entre les informations de la science et celles transmises à des fins politiques et relayées massivement par les médias.
Président suisse sur la sellette
Une enquête parlementaire visant Alain Berset, actuellement également président de la Confédération, a été ouverte suite à des soupçons entourant la divulgation répétée aux médias durant la pandémie des stratégies du ministre en matière de mesures Covid. Potentiellement pour manipuler l’opinion publique et ses collègues du gouvernement? Selon le Blick, les conclusions de cette enquête sur les fameux Coronaleaks semblent indiquer que «les fuites ont été délibérément utilisées à des fins politiques».
Ceci pourrait-il expliquer pourquoi Alain Berset a récemment annoncé sa démission pour la fin de l’année, alors qu’en 2022 il assurait qu’il allait encore rester plusieurs années, ayant des dossiers à mener à bien? Tout porte à croire qu’en l’absence d’un aveu plus qu’improbable, le doute subsistera longtemps.
Noir sur blanc de l'Office fédéral de la santé publique, (⚠️ trad. Deepl) "Le vaccin ne protège pas de la transmission et la vaccination n'a guère d'influence sur la charge de morbidité chez les moins de 65 ans sans facteur de risque."
Surligné par bibihttps://t.co/uzzuakPhgNhttps://t.co/GvcepxyXqCpic.twitter.com/TKQLy1i4qF
Petit tour d'actualité dont l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins par le Pr. Joyeux Effets des vaccins dans l'armée Américaine, dont pic de myocardite Un militaire qui, plus tôt cette ann...
Edouard Philippe (Médecin et ministre) a autorisé le Rivotril : Ça s’appelle juste l'euthanasie et c’est passible de prison !
Je me pose une question différente : si les médecins et le personnel des EHPAD étaient "choqués" qu'on leur demandait d'utiliser ces 2 médicaments pour faire partir les anciens, pourquoi ils n'ont pas refusé de les leur donner ? On a toujours la possibilité de choisir...
L'annonce de la découverte de l'ARNm en 1961 a été un moment de grande effervescence scientifique. Avant ce point de repère, il y avait eu des observations antérieures de cet intermédiaire d'ARN de courte durée mais vital, contribuant toutes à la compréhension de la façon dont les gènes créent l'ARNm et de son rôle dans la production de protéines.
Essentiellement, l'ARNm transmet des instructions génétiques de l'ADN de la cellule aux ribosomes, permettant l'assemblage de protéines spécifiques basées sur ces instructions.
Peu de temps après la découverte, les scientifiques se sont lancés dans des expériences sur la façon d'utiliser l'ARNm pour faciliter le processus de guérison du corps. En 1990, ils ont injecté de l'ARNm naturel (non modifié) dans le muscle squelettique d'une souris, ce qui a entraîné la production d'une protéine que la souris ne produirait pas naturellement.
Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, le programme de régulation des gènes d'individus en bonne santé a été largement manipulé.
Contrairement aux informations antérieures, les injections de COVID-19 à base d'ARN ont été produites à l'aide d'ARN modifié, et non d'ARN messager (ARNm).
Ces risques ne concernent pas seulement les injections et rappels actuels de COVID-19, mais, à moins que nous n'agissions maintenant, également tous les futurs vaccins à base d'ARN.
L'ARNm et l'ARNmod sont distincts
L'ARNm est d'origine naturelle, résidant dans nos cellules pendant une courte période et étant relativement délicat. Il représente un type d'ARN spécifique chargé de transmettre des instructions ou des « messages » de nos gènes, aidant à la production de protéines, les composants fondamentaux de nos cellules. Il est continuellement généré dans le cadre des processus cellulaires normaux, complétant sa fonction une fois que les messages sont délivrés et finalement décomposés dans le corps.
Lorsque l'ARN d'une source externe pénètre dans nos cellules (comme l'ARN viral), ces cellules peuvent synthétiser des protéines virales.
Bien que nous ayons été informés que les injections de COVID-19 contiennent de l'ARNm, un vaccin reposant sur l'ARNm "naturel" ne durerait pas assez longtemps pour déclencher une réponse immunitaire avant d'être éliminé par notre système immunitaire.
Pour rendre l'ARNm viable pour un usage médical régulier, les scientifiques ont dû le modifier artificiellement pour améliorer à la fois son efficacité et sa durée de vie, ce qui a donné un modARN.
modRNA a été conçu pour une viabilité prolongée et une traduction maximale. Alors que l'ARNm affiche un modèle d'expression spécifique à la cellule, l'ARNmod peut infiltrer presque tous les types de cellules.
Cependant, il est vite devenu évident que le transfert d'ARNm naturel était inefficace. Alors qu'il fonctionnait en principe, il se dégradait rapidement et s'avérait inefficace à des fins thérapeutiques.
Cette prise de conscience a incité l'exploration d'ARNm synthétiques ou artificiellement modifiés. À l'origine, cette recherche visait à reprogrammer et à éliminer les cellules cancéreuses, le seul objectif du modRNA avant la pandémie de COVID-19.
modARN
Comment l'ARN est-il modifié ? Pour le dire simplement, l'un des quatre composés de l'ARN subit une modification (par exemple, l'uridine nucléosidique naturelle est modifiée pour créer de la méthyl-pseudouridine synthétique/artificielle). Le modARN résultant possède les caractéristiques suivantes :
Stabilité accrue (il présente une durée de vie plus longue dans le corps).
Immunogénicité réduite (il déclenche une moindre stimulation du système immunitaire inné).
Efficacité accrue (le modRNA produit plus de protéines par rapport à une quantité équivalente d'ARNm).
Notamment, le modRNA contient une séquence de gène viral. Une fois qu'il pénètre dans une cellule, le modRNA réquisitionne la machinerie cellulaire et la reprogramme pour générer une protéine virale, telle que la protéine de pointe.
Peut-être le plus étonnant, lors du développement des vaccins et des rappels COVID-19, les scientifiques savaient déjà que la livraison ciblée de modRNA était impossible. Le modRNA ne peut pas être délivré de manière sélective à des cellules spécifiques. En conséquence, il attaque des cellules parfaitement saines, franchissant des barrières naturelles comme la barrière hémato-encéphalique.
La production continue d'une protéine virale artificielle épuise l'énergie de la cellule, perturbe son métabolisme et altère la capacité de la cellule à remplir ses fonctions vitales pour l'ensemble de l'organisme.
Pour aggraver les choses, le système immunitaire détruit ensuite les cellules produisant des protéines virales.
Malgré ces inconvénients importants, Pfizer-BioNTech et Moderna ont procédé à la production à grande échelle de «vaccins» COVID-19 utilisant le modARN.
Infection naturelle vs injection d'ARNmod : comment le corps réagit-il ?
La protéine de pointe est largement reconnue comme nocive pour notre corps.
Dans le cas d'une infection naturelle, notre système immunitaire protège les cellules de notre corps contre le virus en produisant des anticorps spécifiques, qui peuvent également fournir une immunité croisée contre les variantes du virus.
Cependant, avec l'injection de modARN, notre système immunitaire ne peut pas empêcher les nanoparticules lipidiques de délivrer le modARN dans toutes les cellules, pas seulement celles qui possèdent le récepteur approprié pour la liaison du virus, comme on le voit dans les infections naturelles.
Distinguer le virus du vaccin
Certains ont affirmé que la réponse du corps au vaccin modARN reflète sa réponse au virus réel, mais c'est faux.
Examinons le virus naturel et comment notre corps y réagit :
L'ARN du virus agit comme un modèle, contenant des instructions pour tous les composants nécessaires à la production d'un nouveau virus, pas uniquement la protéine de pointe.
L'ARN du virus est enveloppé dans une enveloppe protéique, conduisant à la production de divers anticorps par notre système immunitaire, qui peuvent conférer un certain niveau d'immunité croisée pour combattre les variantes du virus.
La majorité des virus respiratoires sont empêchés de pénétrer dans notre corps par le système immunitaire présent dans les muqueuses buccale et nasale. Le virus n'injecte pas son ARN dans les vaisseaux sanguins mais se lie à des récepteurs spécifiques sur les surfaces cellulaires et injecte directement l'ARN dans les cellules.
Il est crucial de souligner que seules des cellules spécifiques avec les récepteurs appropriés à leur surface peuvent être infectées.
Le rôle de notre système immunitaire est d'éliminer les cellules infectées par le virus, empêchant la réplication virale et l'infection de nouvelles cellules. Une fois la bataille gagnée (généralement en quelques jours), notre système immunitaire arrête le processus.
Maintenant, explorons la réponse du corps à l'injection de modARN ("le vaccin") :
Le vaccin contient du modARN exclusivement pour la protéine de pointe, ce qui n'entraîne aucune immunité croisée de la vaccination.
Contrairement au virus, le vaccin-modRNA n'a pas d'enveloppe protéique et est plutôt encapsulé dans une nanoparticule lipidique.
Les nanoparticules lipidiques ne nécessitent pas de récepteurs pour l'entrée dans les cellules ; leur composition lipidique leur permet de fusionner de manière transparente avec la membrane cellulaire.
Le système immunitaire génère des anticorps pour combattre les antigènes, y compris les agents pathogènes (virus, bactéries), les particules étrangères (spores fongiques, allergènes) ou toute substance provoquant une réponse immunitaire spécifique. Cependant, les nanoparticules lipidiques transportant le modARN manquent de ces antigènes, ce qui leur permet d'échapper à l'avis du système immunitaire spécifique et de déclencher une inflammation non spécifique. Par conséquent, cette dynamique conduit à une recrudescence de l'activité du système immunitaire, entraînant une production croissante d'anticorps contre la protéine de pointe. Chaque dose de rappel subséquente de nanoparticules lipidiques délivre une quantité croissante de modARN, perpétuant la production continue de nouvelles protéines de pointe.
Les vaccins sont administrés dans le muscle, mais l'injection directe dans une cellule musculaire est presque impossible en raison de la différence de taille entre la grande seringue et la petite cellule. Souvent, les seringues perforent par inadvertance les vaisseaux sanguins, provoquant le dépôt du vaccin dans l'espace intercellulaire entre les cellules musculaires. Le liquide dans cet espace intercellulaire, connu sous le nom de liquide lymphatique, finit par fusionner avec le sang en raison de l'apport sanguin abondant dans les muscles.
Le vaccin et le modARN de rappel continueront à produire des protéines de pointe pendant des semaines, voire des mois, un écart significatif par rapport à une infection naturelle, car notre machinerie cellulaire (par exemple, l'enzyme RNase) ne peut pas dégrader le modARN artificiel. Les chercheurs ont découvert que les cas graves de COVID-19 étaient parfois liés à un dérèglement du système immunitaire (appelé «tempête de cytokines») plutôt qu'à la présence du virus lui-même.
Mauvais profil d'innocuité du modARN
Les premières études précliniques ont suscité l'optimisme concernant les avantages des injections à base d'ARN. Cependant, lorsqu'elle a été testée sur des humains, la capacité à induire une réponse immunitaire s'est avérée moins efficace que prévu sur la base d'expérimentations animales.
Une revue Nature de 2018 (lire ci-dessous) a souligné que "des essais récents sur l'homme ont démontré des réactions modérées et, dans de rares cas, graves au site d'injection ou systémiques pour différentes plateformes d'ARNm".
En conséquence, l'attention s'est portée sur le modRNA.
L'ARNmod injecté peut entraîner une thrombose , pouvant entraîner un accident vasculaire cérébral, un infarctus du myocarde ou une embolie pulmonaire, et peut également contribuer à la formation de caillots sanguins dans les vaisseaux sanguins.
L'analyse des bases de données en libre accès de divers pays, dont les États-Unis, l'Europe et le Royaume-Uni, révèle que ces risques se sont matérialisés par des effets secondaires réels chez les personnes ayant reçu des injections de COVID-19.
Rapport confidentiel sur les décès liés au COVID-19
En juin 2023, en réponse à une demande du Freedom of Information Act, des rapports auparavant confidentiels de BioNTech à l'Agence européenne des médicaments (EMA) ont été publiés, rendant publics certains de ces effets indésirables. Les rapports comprenaient des données recueillies sur une période de six mois de décembre 2021 à juin 2022, ainsi que des données cumulatives depuis décembre 2020 ( pdf ).
Les données ont révélé 3 280 décès au sein d'un groupe de 508 351 personnes qui ont reçu le vaccin au cours d'une période combinée comprenant des essais cliniques et après la commercialisation. Ces décès, ainsi que des dizaines de milliers d'événements indésirables graves, sont survenus lorsque les fabricants de vaccins ont affirmé que les injections à base d'ARNmod étaient sûres.
Les vaccins COVID-19 n'ont jamais été fabriqués avec de l'ARNm
L'idée de programmer n'importe quelle cellule de notre corps pour produire continuellement une grande quantité d'une protéine virale est illogique et va à l'encontre des principes des infections virales naturelles, conduisant à une activation excessive du système immunitaire.
Mandater des injections de modARN basées sur des gènes, commercialisés sous forme de vaccins, pour des individus en parfaite santé est à la fois contraire à l'éthique et dangereux.
Comment se fait il qu'en février 2021 Pfizer renonce à 1,38 milliards de clients en Inde parce que l'entreprise ne présentait pas les garanties nécessaires d'innocuité vaccinale et que l'Europe qui a 743 millions d'habitants accepte ce vaccin sans aucune garantie, mais également renonçant à tout remboursement des complications par les entreprises pharmaceutiques productrices de vaccins.
" Responsables mais pas coupables" par contrat avec les Etats
« Quel pourcentage des bénéfices Moderna alloue-t-il pour aider les personnes qui ont été blessées par le vaccin ? » – « Zéro. Les blessures causées par les vaccins sont indemnisées, c’est le problème de votre gouvernement pas le nôtre «
AUSTRALIA – Moderna mauling by Senator Rennick.
“What % of profits does Moderna allocate to help people who have been injured by the vaccine?"
Zero. Vaccine injuries are indemnified, it’s your government’s problem not ours👀
Les autorités indiennes à Pfizer : “Vous pouvez soit perdre 1,38 milliards de clients, soit permettre qu’une enquête indépendante soit menée pour déterminer si vos produits sont sûrs et immunogènes.“
Pfizer a choisi de renoncer aux 1,38 milliards de clients. Plus exactement, l’Inde a refusé à Pfizer la permission de distribuer son vaccin sans que des scientifiques indiens ne le vérifient. Pfizer a décidé de perdre un marché de 1,38 milliards plutôt que de permettre cela ! Pour quelles raisons ? Pourquoi le principe de précaution ne s’applique pas en France, alors qu’en Inde, ils appliquent ce principe de précaution ? Se dirige t-on en France vers un nouveau scandale sanitaire comme l’affaire du sang contaminé … ?
Les faits : Pfizer en lnde
Pfizer Inc. a annoncé vendredi qu’il avait retiré une demande d’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin COVID-19 en Inde, après avoir échoué à satisfaire la demande de l’autorité de réglementation des médicaments concernant une étude locale de sécurité et d’immunogénicité.
Cette décision signifie que le vaccin ne sera pas disponible à la vente dans les deux pays les plus peuplés du monde, l’Inde et la Chine, dans un avenir proche. Les deux pays mènent leurs campagnes de vaccination avec d’autres produits.
Contrairement à d’autres entreprises menant de petites études en Inde pour des vaccins développés à l’étranger, Pfizer avait demandé une exception en invoquant les autorisations qu’elle avait reçues ailleurs sur la base d’essais réalisés dans des pays comme les États-Unis et l’Allemagne.
Les responsables indiens de la santé disent qu’ils demandent généralement des essais dits de transition pour déterminer si un vaccin est sûr et génère une réponse immunitaire chez les citoyens. Les règles indiennes prévoient toutefois la possibilité de renoncer à ces essais dans certaines conditions.
BioNTech et Pfizer les premiers à se poser sur le marché indien
La société américaine, qui a été le premier fabricant de médicaments à demander une autorisation d’urgence en Inde pour son vaccin mis au point avec l’entreprise allemande BioNTech, a pris cette décision de retrait après une réunion avec l’organisme central de contrôle des médicaments (CDSCO) mercredi.
L’organisme de réglementation des médicaments a déclaré sur son site Web que ses experts ne recommandaient pas le vaccin en raison des effets secondaires signalés à l’étranger, qui font toujours l’objet d’une enquête. Il a également déclaré que Pfizer n’avait proposé aucun plan pour générer des données sur la sécurité et l’immunogénicité en Inde.
“Sur la base des délibérations de la réunion et de notre compréhension des informations supplémentaires dont le régulateur pourrait avoir besoin, la société a décidé de retirer sa demande pour le moment”, a déclaré Pfizer dans un communiqué.
“Pfizer continuera à s’engager avec l’autorité et soumettra à nouveau sa demande d’approbation avec des informations supplémentaires dès qu’elles seront disponibles dans un avenir proche.”
Pfizer avait demandé l’autorisation pour son vaccin en Inde à la fin de l’année dernière, mais le gouvernement a approuvé en janvier deux vaccins beaucoup moins chers – l’un de l’Université d’Oxford/AstraZeneca et l’autre développé en Inde par Bharat Biotech avec le Conseil indien de la recherche médicale.
Les deux sociétés avaient demandé l’approbation de leurs vaccins après Pfizer, et leurs essais sont en cours en Inde. La société locale Dr. Reddy’s Laboratories Ltd effectue des essais pour le vaccin russe Sputnik V, qui devrait être approuvé ce mois-ci ou le mois prochain.
Reportage de Krishna N. Das ; reportages supplémentaires par Anuron Kumar Mitra ; édition par Raju Gopalakrishnan et Jason Neely.
Source Reuters : Traduction Thierry Jirkovsky Tv Languedoc
NDLR : L’Inde a sa propre version moins chère. Pfizer sait que même si son vaccin ne présente pas un pourcentage plus élevé de blessures liées aux vaccins, il devra toujours faire payer plus cher la dose pour compenser les procès potentiels. Une fois qu’il aura fait cela, les agences de santé choisiront toujours les vaccins locaux.
Alors en pesant le pour et le contre dans la balance, Pfizer a fait son choix. Celui que l’on ne permette à personne d’analyser leur produit et d’éventuellement de bloquer leur rente financière à vis avec la complicité aveugle des autorités européennes.
L’Inde a sa propre version moins chère. Pfizer sait que même si son vaccin ne présente pas un pourcentage plus élevé de blessures liées aux vaccins, il devra toujours faire payer plus cher la dose pour compenser les procès potentiels. Une fois qu’il aura fait cela, les agences de santé choisiront toujours les vaccins locaux.
Pfizer a retiré sa demande d'autorisation d'utilisation d'urgence de son vaccin Covid-19 en Inde, a déclaré la société vendredi 5 février 2021.La société américaine, qui a été le premier...
Dans cette interview Michel Maffesoli éminent sociologue et ex Franc Maçon explique les dérives internes dans la celle ci et notamment au Grand Orient de France. Il faut bien comprendre qu'il y ...
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Dernière minute: Des médecins se sont rassemblés devant la Cour suprême avec plus de 100 000 signatures de pétition pour demander une enquête sur les tromperies et la corruption de Fauci concernant la crise COVID
BREAKING: Physicians gathered at the Supreme Court with over 100,000 petition signatures to call for an investigation into Fauci's misleadings and corruption. pic.twitter.com/MfogJlqbNr
La prochaine fois que vous aurez besoin d’un examen médical annuel, vous devrez peut-être prendre rendez-vous avec la réceptionniste de Guantanamo Bay. Il y a environ un million de médecins en exercice aux États-Unis, et le corps du juge-avocat général de la marine des États-Unis détient des actes d’accusation scellés contre environ 19 000 d’entre eux – médecins généralistes, spécialistes, chirurgiens, personnel des urgences et des soins d’urgence.
Une source du JAG familière avec les actes d’accusation a déclaré à Real Raw News que les médecins inculpés avaient pris part à un partenariat contraire à l’éthique et illégal avec le CDC et le NIH pendant la Plandémie de Covid. Le CDC / NIH a incité les médecins fautifs à contraindre les patients à se faire vaxxer même si les patients protestaient contre le coup potentiellement mortel. Les professionnels de la santé ont été encouragés à tout faire sauf à frapper physiquement un patient pour gagner la conformité. Les tactiques consistaient à réprimander les personnes âgées et à dire aux femmes enceintes que les futures mères non vaccinées mettaient en danger la vie des enfants à naître. Le CDC/NIH a également encouragé les médecins à menacer de «divorcer» les patients qui ne voulaient pas se faire vacciner, et à dire aux patients que leurs noms seraient ajoutés à une liste noire de «refus de vaccination». De nombreux patients se sont vu refuser des traitements et des médicaments vitaux.
Les médecins ont été informés qu’ils avaient la responsabilité médicale de participer, de peur qu’ils n’apparaissent sur une liste différente les nommant parias dans la communauté médicale.
Notre source a déclaré que le JAG avait pris connaissance de la liste par un responsable anonyme du CDC actuellement détenu à Camp Blaz, à Guam.
« Il pouvait accéder à distance à une liste de médecins qui, contraints ou non, avaient accompagné le Scamdemic. Il y avait des noms de pratiques et des dates. Je peux dire que nous avons interrogé, puis arrêté, cinq médecins figurant sur cette liste. Ils ont avoué avoir suivi les instructions du CDC. Si cinq des cinq médecins au hasard dans différentes parties du pays sont coupables, alors la liste est probablement exacte », a déclaré notre source.
Il a ajouté que la liste actuelle n’est pas exhaustive.
«Il prétend, ou dit qu’il croit, que le CDC a d’autres listes auxquelles il n’a pas pu accéder, des listes qui, dit-il, contiennent plus de 100 000 noms de médecins et d’infirmières. Espérons que les futures arrestations du CDC nous mèneront à ces listes, si elles existent vraiment », a déclaré notre source.
Entre-temps, a-t-il ajouté, le JAG a rédigé des actes d’accusation préliminaires sur les 19 000 ; cependant, en raison du nombre écrasant d’actes d’accusation en suspens entre les mains du JAG, il n’y a pas de calendrier fixe pour le moment où les 19 000 seront traduits en justice.
« Nous travaillons plus vite qu’on ne le pense. Mais il y a énormément de gens qui doivent être emprisonnés ou pendus », a-t-il déclaré.
" Responsables mais pas coupables" par contrat avec les Etats
« Quel pourcentage des bénéfices Moderna alloue-t-il pour aider les personnes qui ont été blessées par le vaccin ? » – « Zéro. Les blessures causées par les vaccins sont indemnisées, c’est le problème de votre gouvernement pas le nôtre «
AUSTRALIA – Moderna mauling by Senator Rennick.
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Zero. Vaccine injuries are indemnified, it’s your government’s problem not ours👀
Des familles qui se sont fait injecter ensemble développent des turbo cancers ENSEMBLE. Jusqu'à 4 dans une même famille ! 😳
En cause : les défaillances de l'inoculat s'opèrent PAR LOT.
Mauvais lot à SV40 + même génétique familiale = turbo cancers ! ⤵️https://t.co/KxpGcDR0MO
Nouvel article d’Epoch Times intitulé « Les vaccins COVID à ARNm peuvent déclencher des » turbo-cancers « chez les jeunes » est la PREMIÈRE analyse approfondie de la façon dont l’ARNm peut causer des turbo-cancers !
Les vaccins à ARNm COVID pourraient déclencher des « turbo cancers » chez les jeunes : experts
Les experts constatent une augmentation surprenante du nombre de cancers chez les personnes de moins de 50 ans qui semble biologiquement différente des cancers d’apparition tardive. Alors que certains affirment que les taux de cancer augmentent depuis des décennies et attribuent cette augmentation aux boissons sucrées, au mode de vie et aux perturbations du sommeil, d’autres affirment que les vaccins à ARNm COVID-19 ont provoqué l’émergence de «turbo cancers» – et les agences de réglementation américaines n’ont pas abordé le jamais -problème grandissant.
Bien qu’il n’existe pas de définition médicale officielle de ce que les médecins appellent les « cancers turbo », le terme est couramment utilisé pour définir les cancers agressifs à évolution rapide et résistants au traitement, principalement chez les jeunes individus en bonne santé après la vaccination contre la COVID-19. Ces cas se présentent souvent à un stade avancé avec des métastases et deviennent rapidement mortels.
« Ce qui se passe, ce sont ces cancers que nous avons l’habitude de voir, leurs schémas de croissance et leur comportement sont complètement hors de propos… Donc, le ‘turbo cancer’ est quelque chose qui n’était pas là et, tout d’un coup, il est partout », a déclaré le Dr. Ryan Cole, pathologiste et PDG de Cole Diagnostics, a déclaré dans une interview à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV.
Le Dr Cole a déclaré à Epoch Times dans une interview ultérieure qu’il avait remarqué pour la première fois une augmentation de certains types de cancers après le déploiement du vaccin en décembre 2020 et pense que les chercheurs commencent à comprendre comment ces cancers se produisent.
« Les médecins voient plusieurs types de cancers dans leur pratique quotidienne et dans les cohortes de jeunes patients où vous ne voyez généralement pas de cancer. Bien que l’augmentation du cancer ait été imputée aux dépistages manqués, vous savez qu’elle n’est pas due aux dépistages manqués, car les jeunes ne se font généralement pas dépister », a déclaré le Dr Cole.
Les cancers augmentent à un rythme supérieur à ce qui est attendu, et d’innombrables médecins et cliniciens du monde entier l’ont confirmé. Leurs patients sont sans cancer pendant des années, mais après un rappel, les cancers « apparaissent », a-t-il ajouté. Ce qui est unique avec les turbo cancers, c’est qu’ils ne répondent pas au traitement traditionnel parce que les cellules ont été altérées dans la moelle osseuse et que les cellules « ne font pas ce qu’elles sont censées faire ».
Études et rapports de cas de cancer après la vaccination contre la COVID-19
Des études et des rapports de cas sur divers cancers après la vaccination par l’ARNm aident les experts à comprendre les mécanismes potentiels qui peuvent permettre à ces cancers de proliférer.
Dans une récente étude belge publiée dans Frontiers Oncology, des chercheurs ont présenté le premier cas de lymphome malin chez la souris. Le lymphome malin est un événement indésirable rare signalé après la vaccination par ARNm COVID-19.
Deux jours après avoir reçu une dose de rappel du vaccin COVID-19 de Pfizer, l’une des 14 souris est décédée spontanément. Lors de l’examen, la souris de 14 semaines avait des organes anormalement gros et un lymphome cancéreux dans le foie, les reins, la rate, le cœur et les poumons. Bien que montrer la causalité directe soit complexe, les auteurs ont déclaré que leurs découvertes s’ajoutent aux « rapports cliniques précédents sur le développement d’un lymphome malin après une nouvelle vaccination par ARNm COVID-19 ».
Dans un article de janvier 2023 dans Medicina , les chercheurs ont présenté le cas d’un homme de 66 ans qui a développé des ganglions lymphatiques enflés 10 jours après avoir reçu sa troisième dose de Pfizer. Après d’autres tests, le patient a reçu un diagnostic de lymphome non hodgkinien (LNH) de stade 2. Une revue de la littérature a trouvé huit cas supplémentaires de LNH qui se sont développés peu de temps après la vaccination contre la COVID-19. Cinq cas de lymphome sont survenus après la vaccination avec Pfizer, un cas après la vaccination avec AstraZeneca, un après le vaccin Johnson & Johnson et un après la vaccination avec Moderna.
Dans une lettre d’août 2022 à l’éditeur du Journal de l’Académie européenne de dermatologie et de vénéréologie, les médecins ont décrit deux patients diagnostiqués avec un lymphome diffus à grandes cellules B qui s’est développé à partir de ganglions lymphatiques enflés après la vaccination avec le vaccin COVID-19 de Pfizer.
Les auteurs de l’étude ont découvert que le lymphome diffus à grandes cellules B « peut se développer rapidement » après la vaccination avec le vaccin COVID-19 de Pfizer et ont exhorté les dermatologues à faire attention aux ganglions lymphatiques enflés ou aux masses près du site d’injection.
L’enflure des ganglions lymphatiques, ou lymphadénopathie, est considérée comme un effet secondaire courant de la vaccination contre la COVID-19, plus souvent observée après l’immunisation avec de nouveaux vaccins à ARNm contre la COVID-19 qu’avec d’autres vaccins.
La lymphadénopathie est également un événement indésirable «non grave» reconnu de la vaccination contre le COVID-19 répertorié dans les fiches d’information de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour les prestataires de soins de santé de Moderna et de Pfizer pour les vaccins monovalents et bivalents . Cependant, les sociétés pharmaceutiques et les agences de réglementation américaines n’ont pas évalué s’il existe un lien entre la lymphadénopathie liée au vaccin et le cancer.
Un an après le déploiement du vaccin, les chercheurs ont publié un rapport de cas dans le Journal de l’American Medical Association (JAMA) d’une femme de 39 ans en bonne santé diagnostiquée avec une « lymphadénopathie réactive associée à la vaccination » suite à une vaccination avec le vaccin de Pfizer. Six mois plus tard, on lui a diagnostiqué un cancer du sein invasif au sein droit, le même côté du corps où elle a été vaccinée et où elle a eu des ganglions lymphatiques enflés.
Besoin urgent de déterminer les causes sous-jacentes des turbo-cancers – Dr William Makis
Le mécanisme exact à l’origine des turbo-cancers est inconnu, et il n’est pas clair si un ou plusieurs mécanismes sont responsables de ces cancers, a déclaré le Dr William Makis, oncologue, chercheur sur le cancer et radiologue en médecine nucléaire, à Epoch Times dans un e-mail.
Le Dr Makis a fourni les hypothèses suivantes sur la manière dont les vaccins à ARNm COVID-19 pourraient provoquer des turbo-cancers :
1. Les vaccins à ARNm COVID-19 actuels contiennent de l’ARNm modifié par la pseudo-uridine, qui atténue ou altère l’activité de protéines clés du système immunitaire inné, ce qui nuit à la surveillance du cancer.
Lorsqu’elles sont activées, ces protéines clés, appelées récepteurs de type péage, peuvent empêcher la formation et la croissance des tumeurs.
2. La vaccination modifie la signalisation des lymphocytes T qui induit une altération profonde de l’interféron de type 1 et de la surveillance du cancer.
Les lymphocytes T, un type de globules blancs, aident le système immunitaire de l’organisme à prévenir le cancer. Des études montrent que le fait de recevoir plusieurs injections augmente le niveau d’un anticorps particulier appelé IgG4, provoquant la suppression des lymphocytes T et de l’interféron, entraînant une incapacité à contrôler le cancer, a déclaré le Dr Cole à Epoch Times.
« Chaque jour, tout le monde reçoit des cellules atypiques dans son corps, et il est important d’avoir un système de surveillance, mais lorsque le système de surveillance est éteint, cela permet à ces cellules de se détraquer. Combien de temps il reste supprimé, personne ne le sait, et ce sont les études que les NIH (National Institutes of Health) auraient dû faire », a déclaré le Dr Cole.
3. Le déplacement de l’anticorps IgG4 causé par la vaccination répétée de l’ARNm pourrait créer une tolérance à la protéine de pointe et nuire à la production des anticorps IgG1 et IgG3 et à la surveillance du cancer.
4. La protéine de pointe produite par le corps après la vaccination par l’ARNm du COVID-19 peut interférer avec d’importantes protéines suppresseurs de tumeurs – P53, BRCA 1 et deux gènes suppresseurs de tumeurs .
5. La protéine de pointe peut interférer avec les mécanismes de réparation de l’ADN.
7. Les flacons Pfizer et Moderna contaminés par de l’ADN plasmidique contenant la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 peuvent s’intégrer dans le génome humain.
9. Les vaccins à base d’ARNm peuvent déclencher la libération d’oncogènes – oncomiR ou microARN , qui peuvent favoriser ou inhiber le développement du cancer et participer aux processus biologiques du cancer, tels que la prolifération, l’invasion de métastases, l’angiogenèse, la chimiorésistance et l’évasion immunitaire.
« Je pense qu’il est urgent de déterminer les mécanismes sous-jacents des turbo-cancers car, à l’heure actuelle, les oncologues n’ont rien à offrir aux patients qui ont développé un turbo-cancer, et les traitements conventionnels contre le cancer offrent peu ou pas d’avantages », a déclaré le Dr Makis. The Epoch Times .
M. David Wiseman, chercheur en pharmacie, pharmacologie et pathologie expérimentale, a déclaré à Epoch Times dans un e-mail que ni Comirnaty—la version entièrement approuvée de son vaccin COVID-19 par Pfizer—ni Spikevax de Moderna n’ont été évalués pour leur potentiel à causent le cancer.
Le 30 mars 2023, M. Wiseman et quatre autres experts ont soumis un document de 27 pages au National Academies Committee, un comité ad hoc chargé d’examiner les événements indésirables pertinents associés aux vaccins COVID-19.
À l’aide du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) – une base de données cogérée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et la FDA utilisée pour signaler les événements indésirables liés aux vaccins – M. Wiseman et ses coauteurs ont trouvé un excès de signaux de cancer pour les vaccins COVID-19 du 14 décembre 2020 au 24 juillet 2023, par rapport à tous les autres vaccins pour toutes les années commençant en 1990.
Un signal de sécurité indique qu’une condition peut être liée à un vaccin mais nécessite une analyse plus approfondie pour confirmer une association.
Les résultats ont complété les analyses du Proportional Reporting Ratio (PRR) du CDC obtenues via une demande de la Freedom of Information Act (FOIA) qui a évalué les événements indésirables signalés du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022.
Un PRR compare les rapports d’événements indésirables spécifiques survenus après avoir reçu le vaccin COVID-19 de Moderna ou de Pfizer à ceux qui suivent la vaccination avec tout autre vaccin ou tous les vaccins non COVID-19. Le rapport PRR du CDC a détecté des signaux de cancer pour le cancer du côlon, le cancer du sein métastatique, les métastases au foie, les os, le système nerveux central, les ganglions lymphatiques, les masses mammaires, la leucémie lymphoïde chronique, le lymphome à cellules B et le lymphome folliculaire.
M. Wiseman a déclaré qu’il ressort clairement des documents FOIA que le CDC est au courant des rapports sur le cancer et n’est pas disponible.
« Les agences gouvernementales savaient qu’il y aurait des cancers avec ces injections, et elles essayaient de le dissimuler, mais les données s’écoulent », a déclaré le Dr Cole à Epoch Times, faisant référence à 490 pages de communications obtenues du NIH via une demande FOIA.
Le CDC est censé rendre compte de la morbidité et de la mortalité – et lorsqu’un pathologiste diagnostique quelque chose, il utilise un code de diagnostic, et cela va à la base fédérale qui est signalée aux agences de suivi fédérales, a expliqué le Dr Cole.
« Tous ces sous-ensembles de données devraient être faciles à trouver si les agences rapportaient ce qu’elles ont », a-t-il déclaré. «Nous avons pu voir des changements statistiques dans le diagnostic au cours des deux dernières années et demie depuis que les injections ont été déployées. La question est, pourquoi d’autres gouvernements dans le monde ne le font-ils pas ? »
Megan Redshaw est avocate et journaliste d’investigation avec une formation en sciences politiques. Elle est également naturopathe traditionnelle avec des certifications supplémentaires en nutrition et en science de l’exercice.
Les vaccins COVID-19 sont associés à des maladies auto-immunes telles que la neuropathie des petites fibres et le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS)
Ils se réclamaient de la "SCIENCE" et nous traitaient de complotistes ! Mais bien évidemment nous avions raison et eux étaient soit stupides, soit corrompus et ils ne peuvent plus cacher les effets indésirables désastreux de leurs poisons-vaccins.
Eh oui ! Comme les injections ARNm n'étaient pas considérées comme vaccins selon la définition textuelle et lexicale traditionnelle ils ont changés le sens du mot vaccin.
Le CDC (Centres de prévention et de contrôle des maladies du gouvernement Américain) a donc changé le sens du mot pour prétendre que ces injections d'ARN étaient des vaccins ce qui est une des escroqueries supplémentaires dans cette affaire, mais il n'y a pas que ça ç'est ce que nous raconte Jean Dominique Michel