Votre dose quotidienne de catastrophes naturelles et de phénomènes étonnants pour le 16 octobre 2024...
Tous les corps majeurs de notre système solaire évoluent rapidement, mais personne n'en parle. Nous observons des changements climatiques rapides et observables sur presque toutes les planètes :
L'atmosphère de Pluton s'est récemment effondrée
Les tempêtes de Neptune ont soudainement commencé à tourner en sens inverse
Les régions polaires d'Uranus s'embrasent visiblement
Jupiter a récemment connu une impulsion de température de 700 degrés provenant de son pôle nord, et sa grande tache rouge s'estompe
Mars affiche soudainement une activité sismique
Nos propres régions polaires se sont réchauffées de manière drastique récemment, l’activité volcanique que nous observons atteint un niveau record
Les vents planétaires de Vénus ont augmenté leur vitesse de 33 % au cours des 20 dernières années
Cela continue à partir de là, nous avons récemment observé :
changements à grande échelle dans la couverture de glace sur la lune de Jupiter, Europe
changements à grande échelle dans la calotte glaciaire polaire de Mars
une diminution à grande échelle de la pression atmosphérique sur Vénus
un mystérieux éclaircissement de l'atmosphère de Saturne
un mystérieux assombrissement de l'atmosphère de Vénus
changements inhabituels dans la température et la pression de l'atmosphère de Neptune
un éclaircissement de l'atmosphère de Jupiter
une mystérieuse tache sombre près du pôle sud de Vénus
Ici sur Terre, notre propre magnétosphère perd rapidement de sa force alors que nos pôles magnétiques continuent de s'éloigner de leurs positions habituelles, provoquant des ravages sur les migrations animales - voyez toutes les baleines échouées au cours des deux dernières années ainsi qu'une augmentation des rapports de migrations d'oiseaux inhabituelles.
Les choses en sont arrivées au point où nous mettons désormais à jour nos modèles magnétiques chaque année, et bientôt il y aura des zones de flux suffisamment rompues pour causer un réel danger de vol en raison d'une reconnexion magnétique constante.
Nos aurores atteignent des niveaux d’intensité record, avec des colorations auroriques indiquant des intensités énergétiques très élevées observées.
La nature électromagnétique fondamentale de cette planète change rapidement.
L'électromagnétisme est responsable de divers effets sur les êtres vivants, plus particulièrement sur la santé cardiaque et pulmonaire chez l'homme.
L'activité volcanique sur notre planète atteint actuellement des records, avec de plus en plus de volcans qui montrent une élévation inquiétante, des éruptions ou une augmentation de la coulée de lave. Tous les volcans actifs le long de la ceinture du Pacifique montrent une activité accrue.
Étant donné un seul des deux points de données, il serait facile de considérer les événements comme des valeurs aberrantes isolées et sans rapport, dénuées de signification.
Cependant, pris dans leur ensemble, l’ensemble des preuves devient impossible à ignorer et, une fois que l’on présume que ces informations sont connues de nos dirigeants, cela explique en grande partie les motivations de leurs actions.
Tout change. Personne ne nous le dit. En fait, ils nous ont construit un monde où ces questions sont taboues, où chaque réponse nous éloigne de la vérité évidente et flagrante : nous vivons sur une planète soumise à des cataclysmes cycliques. Ceux qui sont au pouvoir savent que le prochain cataclysme est imminent et s'y préparent depuis longtemps. C'est juste que leurs plans ne nous incluent pas.
Au fait, ce document déclassifié de la CIA, « L'histoire d'Adam et Eve » par Chan Thomas (lien de téléchargement pdf vers la version 127 pages ; ici la version CIA 57 pages ), révèle que la Terre subit des événements cataclysmiques (changements de pôles) environ tous les 6.500 ans, conduisant à la destruction, aux extinctions massives et à la renaissance des civilisations.
La circulation méridionale de retournement de l'Atlantique (AMOC) ralentit depuis au moins trois décennies.
Ce courant crucial joue un rôle important dans le transport de la chaleur jusqu'au pôle nord.
Lorsque tout cela cessera dans un avenir proche, ce ne sera pas bon pour nous tous.
L’AMOC est « la mère de tous les points de basculement ».
Et je dois admettre que cet effondrement provoquerait un changement si rapide des modèles climatiques et des températures que ce serait un enfer sur Terre si l’on essayait de s’adapter assez rapidement à ces changements.
Bombardement de la tempête ayant provoqué les pluies à Valence, en Espagne
Un video que tiene miles de reproducciones, muestra un bombardeo de la tormenta antes de precipitar las lluvias en Valencia, Españapic.twitter.com/8LH7EryPkb
L'équipe de Report24 a commencé ses recherches sur le thème des stations météorologiques au début de l'année. À cette époque, des Autrichiens déclaraient que la température la plus élevée de tous les temps avait été mesurée dans…pic.twitter.com/hYCQZMt0jd
https://tallbloke.wordpress.com/2024/09/04/dungeness-wmo-03888-and-the-103-missing-met-stations-mystery/ Dungeness WMO 03888 - et le mystère des 103 stations météorologiques manquantes. Publié ...
En France, l'ensemencement des nuages pour provoquer la pluie a commencé dans les années 1950. Cette technique a été utilisée pour réduire les dégâts causés par la grêle, notamment dans les régions viticoles comme Bordeaux et Cognac[2]. L'Association nationale d'études et de lutte contre les fléaux atmosphériques (ANELFA) a été créée en 1951 pour mettre en pratique cette méthode et évaluer ses effets[2].
Le noyau de la Terre n’a pas seulement ralenti, il a également inversé sa direction
Diagramme montrant les différentes couches de l’intérieur de la Terre. Crédit photo : NASA
Des scientifiques ont confirmé que le noyau de la Terre se comportait d’une manière plutôt inattendue.
Situé à plus de 5 000 km sous la surface de la planète, le noyau interne de la Terre – une vaste boule de métal solide en rotation composée principalement de fer et de nickel – est longtemps resté une énigme en raison de son inaccessibilité et des difficultés inhérentes à l’obtention de données précises.
Une grande partie de ce que nous avons appris sur le noyau interne provient de l’analyse des ondes produites par les grands tremblements de terre, les différences entre des ondes de force comparable traversant le noyau à des moments différents fournissant des indices sur la position et la vitesse de rotation du noyau.
L’année dernière, les scientifiques ont proposé un nouveau modèle suggérant que le noyau interne de la Terre avait déjà tourné plus vite que la planète elle-même avant de commencer à ralentir.
Le ralentissement était tel qu’il s’est mis à tourner dans le sens inverse.
Une autre équipe de scientifiques a confirmé cette hypothèse en étudiant les ondes sismiques produites par 121 tremblements de terre survenus entre 1991 et 2023.
Ils ont même analysé les ondes de choc produites par les essais d’armes nucléaires soviétiques dans les années 1970.
« Cela fait 20 ans que nous discutons de cette question, et je pense que cette étude la clôt », a déclaré le co-auteur de l’étude, le Dr John Vidale, du Dornsife College of Letters, Arts and Sciences de l’université de Californie du Sud.
« Je pense que nous avons mis fin au débat sur la question de savoir si le noyau interne se déplace et sur son évolution au cours des deux dernières décennies. »
Si l’idée que le noyau de la Terre tourne désormais à l’envers peut être déconcertante, il convient de rappeler que le noyau a probablement changé de direction et de vitesse de cette manière depuis des milliards d’années.
En d’autres termes, il n’y a pas lieu de s’inquiéter.
Je voudrais vous présenter plusieurs prophéties, qui se recoupent celles d'Edgar Cayce, puis celles de Gordon Michael Scallion, enfin une vidéo de Iam Masikeen sur les prophéties amérindiennes...
Au final ce qui tue l'humanité, ç'est le conformisme, la soumission aux codes, aux modèles de pensées, à l'éducation, il faut sortir des sentiers battus, innover (pas que dans l'art car cela tiens plus souvent de la supercherie) mais dans la technologie, la recherche de nouveaux modèles économiques, sociaux.... il faut s'affranchir des cadres qui ne servent qu'a nous enfermer, nous asservir, le principal fer que l'on nous a forgé est l'énergie, se libérer des monopoles, serait se libérer de charges supplémentaires, de moyens de contrôle, permettrait un gain de salaire, un abaissement des prix, une amélioration de la qualité de vie. Tout ne tient qu'a la conception que cela est impossible, et qu'il faut se résigner à ce que l'on a, ç'est une pure vue de l'esprit que vos maîtres savent très bien contrôler.
Voyez il y a d'autres moyens de produire de l'énergie peu couteuse pour tous dans le lien ENERGIES LIBRES
Nous allons vers un changement climatique, mais pas un réchauffement, en Europe nous allons vers un refroidissement sans précédent à cause du ralentissement et plus tard de l'arrêt du gulf stream.
Le narratif qui est proposé n'est qu'une manière de continuer à financer les élites par le moyen obscur de taxes carbones, une vaste fumisterie, une manière de faire payer la décroissance !
La fin du gulf stream mettrait l'Europe au niveau du Canada EST SUD voire New York ç'est à dire un climat nettement plus froid ; donc préparez vous dés maintenant.
La défaillance du gulf stream explique les alternances tempérées océaniques et les chauds/froids continentaux donc tout est normal !
Henry
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Le Canada frappé par des extrêmes
Les conditions météorologiques au Canada ont apporté à la fois chaleur et un froid record.
Récemment, l'ouest du Canada a connu d'importantes chutes de neige et un froid record en juin, tandis que l'est du Canada a fait face à un avant-goût de l'été. Mercredi dernier seulement, l'Alberta a établi 13 nouveaux records de températures basses, le ruisseau Hendrickson chutant à -2,7°C. Simultanément, des records de chaleur ont été battus en Ontario, au Québec et dans les provinces de l'Atlantique. Ken Dosanjh, météorologue à Environnement et Changement climatique Canada (ECCC), a noté que même si les fluctuations de la circulation atmosphérique sont normales, les extrêmes récents sont inhabituels. Kerri Lang, météorologue chargée de la préparation aux alertes pour ECCC, a fait écho à Dosanjh, affirmant que la situation actuelle se distingue par l'intensité de ces extrêmes, qui battent les records de tous les temps.
Un facteur clé de ces conditions météorologiques est le courant-jet, qui sépare l’air plus froid du nord de l’air plus chaud du sud.
Généralement, il s'écoule d'ouest en est sur une ligne relativement droite. Cependant, les scientifiques, comme l'ont même rapporté des médias grand public tels que cbc.ca, affirment que le courant-jet est devenu moins stable et plus ondulé, contribuant ainsi aux récents phénomènes météorologiques extrêmes.
À mesure que le courant-jet descend à travers le Canada, il provoque de la chaleur à l’est (en dessous du courant-jet) et du froid à l’ouest (au-dessus).
Certains chercheurs suggèrent que des périodes prolongées de faible activité solaire pourraient être responsables de l’affaiblissement du courant-jet.
Pendant le minimum de Maunder, une période notable de diminution de l'activité solaire, l'Europe et l'Amérique du Nord ont connu certains des hivers les plus froids de l'histoire documentée.
Un courant-jet affaibli a joué un rôle important à cet égard, car il est passé de son écoulement zonal typique (ouest-est) à un écoulement plus méridional (nord-sud). Ce changement a permis aux masses d’air arctiques de pénétrer beaucoup plus au sud que d’habitude, provoquant des vagues de froid prolongées et un refroidissement important dans les régions touchées. À l’inverse, la chaleur extrême était également un thème, comme en Sibérie .
De nombreuses études soulignent l’influence de l’activité solaire sur le courant-jet.
Cliquez ci-dessous pour une analyse plus approfondie :
Les glaciers suisses ont connu une saison de fortes chutes de neige, ce qui a considérablement amélioré leur état, selon Matthias Huss , responsable du Réseau suisse d'études glaciologiques (GLAMOS).
Dans un article récent sur X, Huss a noté qu'au solstice d'été, l'état des glaciers suisses est meilleur qu'il ne l'a été depuis de nombreuses années. Plus tôt en juin, Huss avait décrit la météo de cette année comme une "bénédiction" pour les glaciers suisses.
La circulation océanique de l'Atlantique Nord connaît un important ralentissement. Une poursuite du réchauffement en lien avec les émissions humaines pourrait amplifier ce phénomène au cours ...
Des chercheurs américains viennent d’apporter la preuve que la vitesse du courant nord-américain a ralenti de 4% lors des quarante dernières années. Jusqu’ici, seuls les modèles climatiques faisaient apparaître un tel phénomène.
Image obtenue par le spectroradiomètre de la Nasa du Gulf Stream sur l'océan Atlantique.
NASA / AFP
Fin d’un doute. Le sixième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur le climat (Giec) publié en 2022 présentait comme de "faible confiance" (selon la terminologie employée par les climatologues) la probabilité d’un ralentissement de la circulation méridienne de retournement atlantique, ce grand courant océanique partant du golfe du Mexique dont les eaux de surface s’enfoncent dans les abysses à l’approche du cercle arctique. L’un des principaux acteurs de ce courant, le Gulf Stream, a bien vu sa vitesse diminuer de 4% ces quarante dernières années, selon les résultats publiés dans Geophysical Research Letters. La "faible confiance" se transforme en "forte probabilité".
"C’est la plus forte et la plus définitive des preuves que nous ayons"
Pour arriver à en établir la preuve, les chercheurs du Woods Hole oceanographic institution (Massachusetts, États-Unis) et de l’université de Floride ont compilé toutes les mesures effectuées depuis 1982 dans le détroit de Floride, entre les côtes américaines, Cuba et les Bahamas. Trois sources principales ont été utilisées : des mesures in situ de la force des courants par des navires océanographiques, les données apportées par les câbles sous-marins et l’altimétrie satellitaire qui permet d’observer le relief des océans.
Ces trois jeux de données ont été associés pour obtenir le résultat, mais les chercheurs ont également vérifié qu’ils arrivaient à la même conclusion quand l’une des sources était supprimée. "C’est la plus forte et la plus définitive des preuves que nous ayons de l’affaiblissement de ce courant océanique de la plus grande importance climatique", affirme ainsi Chris Piecuch, océanographe au Woods Hole et principal auteur de l’étude dans le communiqué de l’institution. Il faudra entreprendre de nouvelles recherches pour le déterminer.
Le climat de l'Europe pourrait devenir plus frais
Les climatologues surveillent avec beaucoup d’attention la vigueur des courants atlantiques du fait de leur rôle majeur dans le climat régional et mondial. La circulation méridienne de retournement atlantique est la cause principale d’un climat européen bien plus doux et tempéré que celui de la côte est des États-Unis avec l’apport vers le nord de masses d’eau de surface chaude évaluées à 20 millions de m3 par seconde. Ces volumes se densifient et se salinisent quand ils refroidissent, provoquant leur plongée vers les profondeurs et leur retour vers le sud. Un ralentissement de ce courant pourrait provoquer des effets en cascade.
Les climatologues redoutent notamment que ce phénomène n’affecte l’oscillation nord-atlantique déterminée par la différence de pression entre l’anticyclone des Açores et la dépression d’Islande et dont le positionnement selon la latitude affecte la température et les précipitations en Europe. Avec une oscillation placée à des latitudes plus basses, le climat du continent européen en serait modifié, provoquant un régime bien plus frais. Côté américain, c’est une augmentation des cyclones qui est redoutée ainsi qu’une hausse accrue du niveau de l’océan affectant la côte est des États-Unis.
Les auteurs de l’article mettent cependant en garde : leurs résultats ne signifient pas que le ralentissement mesuré est provoqué par la hausse mondiale des températures. "Bien que nous pouvons définitivement affirmer que l’affaiblissement du courant soit bien en cours, nous ne sommes pas capables de dire dans quelle mesure cela est relié au changement climatique ou si c’est une variation naturelle", prévient Chris Piecuch. Ces résultats mettent en évidence l’importance d’avoir des mesures sur une longue période de temps. Pour les chercheurs en effet, plus un changement est subtil, plus longue doit être la série d’enregistrements des mesures pour pouvoir le détecter. Ainsi, il fallait au moins trente ans de données pour pouvoir constater le ralentissement.
Le miscanthus, cette plante dépolluante aux mille vertus
Une collectivité iséroise mise sur le miscanthus, une graminée n’ayant besoin d’aucun intrant. Pour convaincre les agriculteurs de la cultiver, elle s’engage à acheter leur récolte afin de chauffer un gymnase.
Saint-Jean-de-Bournay (Isère), reportage
«C’est clairsemé, il y a des zones où rien ne pousse encore. Ils m’ont dit que c’était normal. Moi, j’ai l’habitude de semer au GPS, tout droit, tout régulier. Alors là, ça me change!» À Saint-Jean-de-Bournay, à une cinquantaine de kilomètres de Lyon, Jean-Vincent Chollier se demande encore à quoi va ressembler son champ. Le végétal qu’il y a planté en avril dernier lui est inconnu.
Il s’agit du «miscanthus xgiganteus», une graminée qui, visuellement, ressemble à la canne de Provence ou à l’herbe de la pampa — sans le côté envahissant. «Il paraît que les rhizomes vont ramifier peu à peu», ajoute-t-il. Des rhizomes, il en a acheté 70 000, qui ont été répartis sur deux parcelles, pour un total de 3,4 hectares. Jean-Vincent Chollier et son frère Damien, avec lequel il est associé en Gaec, ont décidé de «jouer le jeu» : ils ont répondu positivement à la suggestion de la communauté de communes (comcom) de Bièvre-Isère. Celle-ci leur proposait de cultiver une plante qui n’a pas besoin de grand-chose : pas d’engrais chimiques ou de pesticides… L’intérêt est double : cela permet de diminuer la pollution des eaux due aux cultures alentour tout en proposant un débouché aux agriculteurs volontaires. La plante, une fois broyée, sert en effet à chauffer un futur gymnase tout proche.
Cette collectivité réunit cinquante communes rurales du département de l’Isère, au centre du triangle Lyon-Grenoble-Valence. Un paysage vallonné, entre la vallée du Rhône et les contreforts du Vercors, qui compte 664 exploitations agricoles et 36 500 hectares de surface agricole utilisée, selon le recensement agricole de 2020. Sur ce territoire, l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse (l’établissement public qui audite l’état des ressources en eau du bassin hydrographique du Rhône) a identifié huit points de captages «prioritaires». En clair : il est pollué — on y retrouve des résidus de nitrates et de pesticides. Lorsque l’Agence de l’eau émet un tel constat, les collectivités concernées sont tenues d’agir pour protéger l’aire d’alimentation du captage.
Vingt ans de stockage de CO2
Pour diminuer le recours aux pesticides et aux engrais (nitrates), le travail de coopération avec le monde agricole est incontournable. Les leviers sont multiples : promotion de la filière biologique, plantation de haies, développement du désherbage mécanique et des cultures à bas niveau d’intrants… Le miscanthus entre dans cette dernière catégorie. Mis à part l’année de la plantation, sa culture ne nécessite ni désherbage, ni engrais, ni arrosage — c’est bien simple, il pousse tout seul. Autre atout, c’est une plante vivace : elle repousse chaque année après la récolte. Sa durée de vie dépasse la vingtaine d’années. Vingt ans minimum, donc, durant lesquels les sols n’absorberont aucun intrant, et au contraire, stockeront durablement du CO2. Le miscanthus a donc tout pour lui, et c’est ce qui a séduit les élus, les techniciens de la communauté de communes et les experts de l’Agence de l’eau. Mais comment convaincre les exploitants de remplacer les céréales auxquelles ils sont habitués par cette plante qui ne se mange pas, ni par les humains ni par le bétail?
«Ce n’est pas que simple», résume dans une belle litote Éric Savignon, vice-président de Bièvre-Isère Communauté, chargé du grand cycle de l’eau. Tous le savent : pour que les agriculteurs se lancent, il faut qu’ils s’y retrouvent économiquement. Les tiges de miscanthus, qui peuvent dépasser quatre mètres de haut, se récoltent en mars, si sèches qu’elles ne contiennent plus que 15% d’eau. Elles constituent une biomasse très absorbante qui peut servir de combustible, de litière, de paillis — autant de pistes de valorisation des récoltes. Seul hic, elles sont tellement légères et volumineuses que seule une utilisation locale est pertinente.
La communauté de communes a donc décidé de créer elle-même le débouché. Un gymnase est justement en construction, à quelques encâblures du point de captage. Il sera doté d’une chaudière polycombustibles, adaptée au broyat de miscanthus. Une étude «d’opportunité économique» a été effectuée par la chambre d’agriculture de l’Isère, avec le concours de l’Association pour une gestion durable de l’énergie. Elle a établi le nombre d’hectares de miscanthus à cultiver pour assurer le chauffage du gymnase et comparé la rentabilité du miscanthus par rapport à d’autres cultures locales, comme le maïs irrigué. Ces calculs ont permis d’établir un prix acceptable à la fois pour la collectivité et pour les agriculteurs : 130 euros la tonne. Montant que la comcom a décidé d’augmenter à 180 euros pour être encore plus incitative.
«On espère que cela fera ricochet dans d’autres collectivités»
Pour Jean-Vincent Chollier, le seuil de rentabilité du miscanthus «n’est pas miraculeux», certes, mais a l’avantage d’être assuré, loin des incertitudes qu’il vit avec le prix des céréales ou celui du lait. Le fait que le point de captage soit situé entre ses deux parcelles ne lui est pas non plus indifférent : «Ce qu’on fait a forcément un impact sur l’eau, on en est très conscient aujourd’hui.» Tout comme la proximité d’un lotissement, en bordure du champ. «Même si on traite toujours la nuit, on n’était jamais très à l’aise. Là, on n’aura plus à passer», dit-il. Et puis, même si chaque hectare de miscanthus lui a coûté 4 000 euros d’investissement, il n’en cède que 3,4 à cette innovation, sur les 330 qu’il cultive au total. Le risque est circonscrit. L’an prochain, les plants seront encore trop petits pour qu’il ait une récolte. Mais les feuilles, tombées à terre, lui épargneront désherbage et fertilisation. En 2025, il devrait avoir un rendement succinct, mais à compter de 2026, lui a-t-on promis, il peut compter sur quinze tonnes de biomasse à l’hectare. La communauté de communes s’est engagée à lui acheter sa récolte pour alimenter la chaudière du gymnase qui sera alors sorti de terre. Et si elle ne prend pas tout? Il a lui-même une chaudière biomasse et ses cent vaches pourraient bénéficier d’une litière d’un nouveau type. Alors, pourquoi pas?
À l’Agence de l’eau, on s’enthousiasme pour ce projet qui coche toutes les cases. Solène Dominjon, qui a suivi ce dossier pour l’établissement public, en énumère les vertus : «économie locale et circulaire, coconstruction, système gagnant-gagnant, des agriculteurs qui s’engagent, y compris financièrement, c’est assez rare! Cela nous garantit vingt ans de pérennité d’action, sans intrant dans ces parcelles. On espère que cela fera ricochet dans d’autres collectivités.»
La comcom attend bien sûr des retombées sur la qualité de l’eau brute, mais surtout, elle espère lancer une dynamique. Car pour l’heure, seuls 3,4 hectares sont concernés sur les 662 hectares agricoles situés sur l’aire de captage. Au niveau national, cette culture reste également confidentielle — 11 000 hectares de miscanthus sont cultivés en France selon la filière. «Les quarante autres exploitants de la zone sont attentistes, reprend Éric Savignon, mais l’important, c’est que la collectivité initie les choses et s’engage aux côtés de ses agriculteurs pour leur garantir un revenu sans les montrer du doigt, comme c’est trop souvent le cas. C’est une incitation à faire évoluer les pratiques.» Jean-Vincent Chollier, lui, ne cache pas que sa curiosité l’a emporté : «J’aime bien essayer.» Il attend de voir si la graminée tient ses promesses.
N'en déplaise aux esprits chagrins, médias aux ordres, fake checker à la mord moi le noeud tout aussi rampants, la théorie des chemtrails est confirmée par le fait que le New Hampshire vient de les interdire !
Henry
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Le New Hampshire est devenu le deuxième État américain à interdire potentiellement la pulvérisation de particules en aérosol dans le ciel – un phénomène communément appelé « chemtrails ».
Le Texas est entré dans l'histoire l'année dernière lorsque les représentants de l'État ont envisagé de modifier la loi pour interdire la pulvérisation atmosphérique dangereuse d'aérosols sans approbation préalable ni test des produits chimiques pulvérisés.
Selon le projet de loi 1700 de New Hampwhire House ( HB1700 ) :
[E]tablit un processus réglementaire pour empêcher le rejet intentionnel d'émissions polluantes, dans l'atmosphère du New Hampshire et au niveau du sol et prévoit des sanctions en cas de violation. Ce projet de loi exige que les représentants de l'État et les membres du public signalent de telles violations à la division de conformité des ressources aériennes du ministère des Services environnementaux et oblige les shérifs du comté du New Hampshire à faire appliquer les dispositions.
Granitegrok.com rapporte : Quelles émissions ? Le rejet intentionnel d’émissions polluantes, notamment l’ensemencement de nuages, la modification du temps, les fréquences radio électromagnétiques excessives et les rayonnements micro-ondes.
Le tribunal général estime que de nombreuses activités atmosphériques telles que la modification du temps, l'injection d'aérosols stratosphériques (SAI), la modification du rayonnement solaire (SRM) et d'autres formes de géo-ingénierie, impliquant le rejet intentionnel d'émissions polluantes, nuisent à la santé et à la sécurité humaines, à l'environnement, l'agriculture, la faune, l'aviation, la sécurité de l'État et l'économie de l'État du New Hampshire.
Sans utiliser le mot « chem-trails », qui peut déclencher des réactions chez certaines personnes, le projet de loi aborde un véritable ensemble de circonstances. Des personnalités publiques aux grandes universités, on parle beaucoup de l’aérosolisation de l’atmosphère avec des matériaux pour bloquer le soleil. Nous disposons de moins d’informations sur ce que cela signifie que sur les vaccins contre la COVID, et nous pouvons supposer qu’ils ne sont ni sûrs ni efficaces.
En l’absence de connaissance ou de compréhension, sachant que les agents ou agences susceptibles de suggérer ou de tenter une telle chose mentiront à ce sujet. Que nos élites aient, au mieux, une opinion déclinante de la vie humaine et, au pire, un engagement à y mettre fin dans leur quête de dépeuplement, ce n’est pas une mesure législative ridicule.
L'un des parrains est un ami, alors je m'attendrais à ce qu'il fasse un suivi, mais si je suis honnête, je ne sais pas jusqu'où ce projet de loi ira probablement. J'espère que nous aurons un débat vigoureux dans les commentaires, mais la composition actuelle de la State House et du Sénat ne me suggère pas de succès, étant entendu que vous êtes assuré de rater 100 % des clichés que vous ne prenez jamais.
Il y a des factions qui veulent répandre des choses dans les airs au-dessus de nous. Ils n’hésitent pas à le faire, et si nous manquons du sens de la transparence, des limites ou de la réglementation, nous pourrions nous retrouver soumis aux effets atmosphériques causés par l’homme sans connaître les recours.
Le deuxième constructeur automobile japonais Honda et l'Américain General Motors ont annoncé jeudi renoncer à leur projet de fabriquer ensemble des véhicules électriques « abordables », dont la vente devait débuter en 2027.
La vie des constructeurs automobiles n'est pas un long fleuve tranquille depuis la montée en puissance de l'électrique. Dernier exemple, Honda et General Motors (GM) viennent d'annoncer qu'ils renonçaient à collaborer pour fabriquer des véhicules électriques « abordables », dont la vente devait débuter en 2027.
« Après des études et des analyses approfondies, nous avons décidé d'un commun accord de mettre fin au programme », ont fait savoir les deux groupes dans un communiqué commun, ajoutant que tous deux « restent déterminés à rendre le marché des véhicules électriques abordable ».
Pour rappel, Honda et GM avaient annoncé au printemps dernier ce projet de développer ensemble une nouvelle ligne de véhicules électriques à des prix « abordables et souhaitables », en combinant leurs technologies réciproques.
« Après avoir étudié la question pendant un an, nous avons décidé qu'il s'agirait d'une entreprise difficile. Nous avons donc mis un terme » au projet, a confirmé le président de Honda, Toshihiro Mibe, dans un entretien à la chaîne de télévision Bloomberg TV.
GM pénalisé par un mouvement social
Honda a précisé qu'il reste « concentré » sur son objectif de réaliser 100% de ses ventes mondiales dans l'électrique d'ici à 2040. General Motors est actuellement touché par un mouvement social, dont il estime qu'il a pesé à hauteur de 200 millions de dollars sur son bénéfice d'exploitation au troisième trimestre, et a décidé mardi de retirer ses prévisions de résultats annuels.
Dans un message envoyé à ses actionnaires cette semaine à l'occasion de ses résultats trimestriels, l'Américain a dit vouloir « modérer l'accélération de la production de véhicules électriques en Amérique du Nord afin de protéger nos prix, de nous adapter au ralentissement de la croissance de la demande à court terme et de mettre en œuvre des améliorations techniques (...) qui rendront nos véhicules moins coûteux à produire et plus rentables ».
D'autres projets communs
GM et Honda collaborent sur divers projets depuis plusieurs années, notamment autour de la société de véhicules autonomes Cruise, dont GM possède la majorité des parts et dans laquelle Honda a investi. Ils ont ainsi annoncé la semaine dernière leur intention de lancer début 2026 un service commercial de taxis sans chauffeur au Japon.
Il démarrera dans le centre de Tokyo avec quelques dizaines de véhicules Cruise Origin, un modèle 100% autonome, et pourrait par la suite être étendu. Honda, GM et Cruise expliquent vouloir contribuer de la sorte « à résoudre les problèmes de société auxquels le Japon est confronté, tels que la pénurie de chauffeurs de taxi et de bus » à cause du vieillissement démographique de plus en plus prononcé de l'archipel. Près de 30% des Japonais sont âgés de 65 ans et plus, et plus de 10% ont 80 ans ou plus.
Cruise transporte déjà des passagers payants à bord de ses robots-taxis dans quelques villes américaines depuis 2022. Elle a toutefois essuyé un revers majeur mardi : les autorités californiennes ont en effet suspendu son permis de faire rouler ses voitures sans chauffeur, après plusieurs accidents. Au début du mois, à San Francisco, une voiture sans chauffeur de Cruise a roulé sur une piétonne qui venait d'être percutée par un autre véhicule, avec conducteur. La victime avait été hospitalisée dans un état critique, selon les pompiers, et Cruise a indiqué mardi dans un communiqué « espérer qu'elle se remettrait complètement ».
Volkswagen stoppe la production de ses voitures électriques et va réduire ses effectifs administratifs
Après les ventes en bernes, Volkswagen va mettre son usine de voitures électriques ID.3 et ID.4 une nouvelle fois à l’arrêt, mais pour une raison pour le moins surprenante. Par ailleurs, plusieurs sources rapportent que le géant allemand s’apprête à réduire de 20% ses coûts administratifs. Ce qui passera nécessairement par des licenciements.
Volkswagen passe encore une fois une zone de turbulences particulièrement intense. En effet, après l’affaire du Dieselgate, le changement à mainte reprise de l’équipe dirigeante, les difficultés en Chine et un premier arrêt de l’usine de production de voitures électriques ID.3 et ID.4, le constructeur a décidé de stopper une nouvelle fois sa chaîne de production de voitures à batterie.
Sauf que cette fois, ce n’est pas en raison de la baisse de la demande. En effet, la production des Audi Q4 e-tron, Audi Q4 Sportback e-tron, ID.4 et ID.5 qui sont assemblées dans l’usine de Zwickau va être arrêtée pour une tout autre raison : la pénurie de moteurs électriques ! L’usine doit ainsi être arrêtée pendant 3 semaines en raison « de la production de moteurs électriques sur le site de Kassel en Allemagne actuellement très limitée. »
Volkswagen peine donc toujours à rester dans la course à la voiture électrique, même si le constructeur allemand peut actuellement se targuer de rester le leader en Europe (avec 531.000 modèles 100 % électriques vendus), devant Stellantis et Tesla. On suppose que le partenariat avec XPeng aidera prochainement VW à sortir de l’ornière.
Des réductions drastiques des coûts aussi
En outre, plusieurs sources ont confié à Automotive News Europe que le constructeur s’apprêtait aussi à réduire de 20% ses coûts administratifs afin de réaliser des économies et de pouvoir conserver un niveau de rentabilité acceptable.
Selon le journal économique allemand Handelsblatt, Volkswagen espère économiser 10 milliards d’euros d’ici à 2026. L’information n’a pas été confirmée par Volkswagen, mais le constructeur l’admet à demi-mot en expliquant que l’entreprise allait tirer profit d’une « courbe démographique » positive. Autrement dit, les travailleurs les plus âgés se verront proposer un plan de retraite anticipée. VW s’attend à ce que 3.000 personnes acceptent cette transaction, soit près de 8% des effectifs (estimés à 40.000).
Pourquoi ce sacrifice ? Tout simplement parce que Volkswagen a vu ses marges bénéficiaires fondre ces dernières années. Le constructeur espère ainsi pouvoir remonter ce niveau à 6,5% contre 3,4% au cours des neuf premiers mois de 2023. Des économies qui permettront au constructeur de retrouver la santé ? À vérifier.