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28 avril 2024 7 28 /04 /avril /2024 18:46

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19 novembre 2023 7 19 /11 /novembre /2023 18:58

Par Dr Gérard Delépine

Mondialisation.ca,

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium [1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections [2]. 

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes [3, 4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané [5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique  [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches). 

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

Mais aussi dans les pays scandinaves :

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

 « un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays.

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer 

Dr Gérard Delépine

Notes :

1 Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/ 

2 https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html 

3 Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

4Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58. 

5 De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

6 A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

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La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2023


Source : Mondialisation.ca

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11 novembre 2022 5 11 /11 /novembre /2022 19:03
Qui gouverne réellement le monde ?
 

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1 novembre 2022 2 01 /11 /novembre /2022 16:54

Chris Exley - Pour des vaccins sans aluminium

 

L'étouffement des travaux du professeur Christopher Exley sur la toxicité de l'aluminium dans les vaccins est emblématique de la façon dont les institutions scientifiques ont été prises par des intérêts privés – aux dépens du public.

Il s'agit d'une histoire sur la façon dont une université britannique a étouffé une science révolutionnaire d'intérêt public, éventuellement pour satisfaire des intérêts puissants - et sauver son propre bacon.

 

 

En ce qui concerne le grand public, les universités, ces salles sacrées, restent des lieux où les universitaires peuvent poursuivre leurs connaissances sans entraver. Mais de nombreuses universités et établissements d'enseignement supérieur sont compromis par les intérêts de leurs bailleurs de fonds et par une vision de plus en plus étroite et corporatiste de la science.

Le professeur Christopher Exley, biologiste réputé, expert mondial de l'aluminium et membre de la Royal Society of Biology - une reconnaissance que peu de scientifiques obtiennent - a perdu l'année dernière des fonds de recherche pour ses travaux de longue date sur la reconnaissance de l'aluminium dans des maladies comme la maladie d'Alzheimer et l'autisme, et son rôle comme adjuvant dans les vaccins.

Cela s'est produit à travers une série de mouvements politiquement motivés qui ont finalement abouti à la suppression complète de son financement.

L'aluminium est toxique

Si vous prenez le temps d'écouter l'une des nombreuses conférences d'Exley – et vous devriez le faire – vous apprendrez que l'aluminium est omniprésent. Il est partout dans l'environnement et il est hautement toxique pour les êtres humains.

Dans les années 1980, Exley a fait des recherches sur les raisons pour lesquelles les poissons mouraient dans les lacs et les rivières acidifiés - il en est venu à comprendre qu'ils mouraient de la raffinée de l'aluminium. L'aluminium, anciennement emprisonné dans les roches et les argiles ou recyclé dans l'environnement par l'acide silicique, via le processus d'acidification dû aux pluies acides, est devenu biodisponible et est entré dans les cycles biologiques.

Aujourd'hui, nous ingérons de l'aluminium par le biais d'aliments transformés, les buvons dans l'eau, les cuisinons dans des casseroles et des poêles en aluminium (de nombreuses casseroles sont désormais en aluminium anodisé). On le trouve dans les préparations pour nourrissons, les cosmétiques et c'est un ingrédient clé de nombreux vaccins.

Les implications importantes pour la santé publique du travail d'Exley

Professeur titulaire à l'Université Keele dans le Staffordshire pendant près de 30 ans, avec plus de 200 articles à son actif , Exley et son équipe de chercheurs avaient été établis en 2017 ce qu'il décrit comme un lien « sans équivoque » entre la spécialisée de l'aluminium et de la maladie d'Alzheimer..

 "Sans l'aluminium, il n'y aurait pas d'Alzheimer ", déclare-t-il dans son livre, Imaginez que vous êtes un atome d'aluminium .

Quelques années plus tard, en 2020, le groupe d'Exley a publié son article fondateur comparant la teneur en aluminium dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, de la sclérose en plaques et de l'autisme dans Nature's Scientific Reports .

L'équipe avait développé un protocole pour mesurer la teneur en aluminium des cerveaux, qui avait montré que les cerveaux des personnes atteintes d'Alzheimer, d'autisme et de sclérose en plaques avaient des niveaux élevés d'aluminium. Il est important de noter que l'accès aux échantillons d'une banque de cerveaux utilisés dans la recherche a été financé par des dons de bienfaisance plutôt que par des sources de financement plus traditionnelles.

Répondant aux questions de The Looking Glass, Exley dit qu'au moment de la publication de cet article, leurs recherches s'étaient déjà concentrées sur les adjuvants et les vaccins à base d'aluminium , un domaine d'étude qu'ils avaient poursuivi pendant de nombreuses années.

Un article de 2021 a mesuré la teneur en aluminium de 13 vaccins pour nourrissons et l'a comparée aux données du fabricant. Seuls trois vaccins contenaient la quantité d'aluminium indiquée par le fabricant, tandis que six contenaient une quantité supérieure statistiquement significative et quatre une quantité inférieure statistiquement significative.

Le travail d'Exley est révolutionnaire et a des implications évidentes pour la santé publique. Lui et son équipe étaient le dernier groupe de recherche resté en Grande-Bretagne à étudier l'impact de l'exposition toxique à l'aluminium, un domaine d'étude qui à peine vingt ans plus tôt était actif.

La recherche sur l'étouffée en aluminium tranquillement

Exley explique qu'au début des années 1990, l'industrie de l'aluminium a intensifié ses efforts pour influencer le gouvernement, les organismes de bienfaisance et diverses industries afin qu'il soit de plus en plus difficile pour les scientifiques d'obtenir des fonds pour effectuer des recherches sur la résistance de l'aluminium.

« Par conséquent, groupe par groupe, ils ont déplacé leur attention de l'aluminium vers d'autres domaines où le financement était disponible. Je l'ai dit plusieurs fois, mais je ne suis pas devenu scientifique pour la science. J'ai commencé la science pour résoudre le paradoxe de l'aluminium et de la vie humaine.

« Je n'étais pas découragé et j'ai travaillé de plus en plus dur pour obtenir des fonds de recherche auprès d'une base de financement aussi large que possible. Je doute qu'un scientifique ait travaillé aussi dur que moi pour continuer à financer la recherche dans mon laboratoire », dit-il.

Alors qu'Exley avait pu être concluant sur le lien entre la maladie d'Alzheimer et la toxicité de l'aluminium, malheureusement, son travail a été saboté avant qu'il ne puisse être aussi concluant sur le lien entre la toxicité de l'aluminium et l'autisme et il ne pouvait pas non plus continuer ses travaux sur l'aluminium dans les vaccins.

Dans cette interview de 2020, Exley parle de ses recherches sur l'aluminium et la toxicité cérébrale.

Une réponse moins que tiède

Les taux d'autisme et d'Alzheimer continuent de grimper décennie après décennie.

En 2021, les Centers for Disease Control ont rapporté qu'environ 1 enfant sur 44 âgé de huit ans aux États-Unis est atteint avec un trouble du spectre autistique, selon les données de 2018. Une augmentation par rapport au nombre de un sur 54 signalé en 2020 et une énorme augmentation par rapport à la première étude américaine connue sur la prévalence de l'autisme en 1970, qui a établi un taux inférieur à 1 sur 10 000.

Le taux d' Alzheimer ont augmenté de plus de 145 % entre 2000 et 2019 .

Malgré l'incidence croissante de ces maladies, ses recherches sur la maladie d'Alzheimer et l'autisme n'avaient entraîné que le silence des principales organisations caritatives dédiées à ces maladies. Et l'université pour laquelle il travaillait, Keele, ne semblait que le tolérer, dit-il, ne faisant jamais la promotion de ses découvertes ni ne publiant de communiqués de presse.

Peut-être sans surprise, Exley avait également été aux prises avec l'étiquette d'anti-vaxxer. L'insulte lui a été épinglée par des trolls sur Internet immédiatement après la publication de recherches sur l'aluminium dans les tissus cérébraux de l'autisme en 2017, dit-il.

« L'examen de l'article en question et de tous nos travaux publiés n'apporte aucun soutien à cette étiquette. Même si, en vérité, je ne comprends pas pourquoi on ne peut pas être contre la vaccination de la même manière qu'on pourrait s'opposer à toute autre chose. Anti-vaxxer ressemble à être qualifié d'athée dans un monde à prédominance chrétienne.

Exley dit qu'il est agnostique, dans la tradition de l'un de ses héros scientifiques, TH Huxley - réticent à affirmer la certitude de choses qu'il ne peut pas savoir ou autoriser. Et pourtant, malencontreusement, il a démontré que des niveaux élevés d'aluminium se résultaient dans le cerveau des personnes décédées d'autisme.

Un article de 2020 intitulé « Un adjuvant aluminium dans un vaccin est une exposition aiguë à l'aluminium », a tenté d'expliquer pourquoi les quantités dites « minuscules » d'aluminium dans les vaccins pour nourrissons étaient importantes.

« L'exposition à l'aluminium par le biais d'un vaccin est, par rapport à l'alimentation, une exposition aiguë et la physiologie d'un nourrisson réagita différemment à une exposition à une forte concentration d'aluminium sur une très courte périodes. Cette dernière, l'exposition aiguë par rapport à l'exposition chronique, bien qu'elle ne soit pas encore prise en compte dans les programmes de vaccination des nourrissons, doit maintenant être prise en compte pour aider à garantir la sécurité des futurs calendriers de vaccination », terminer l'article.

La science peut-elle être « anti-vaccin » ?

Les travaux d'Exley ont largement examiné l'impact de l'aluminium sur la biologie humaine et ne se limitaient certainement pas à l'exposition via les vaccins, mais son travail attirait une attention négative. Plus tard, il est devenu clair que l'attention était indésirable en ce qui concernait l'université.

Grâce à une série d'interactions bizarres et interminables avec l'administration universitaire, et ce qui est finalement devenu clair était une attaque contre ses sources de financement, la position de longue date d'Exley à Keele a commencé à se défaire.

Exley a déclaré à The Looking Glass qu'au cours de ses dernières années chez Keele, à plus d'une occasion, la haute direction a tenté à son rencontre "des mesures disciplinaires faussement fondées".

"Seule mon utilisation d'avocats du travail de classe mondiale et désigné m'a protégé contre l'éviction. Inutile de dire que ces événements ont eu un impact négatif sur ma santé, mais je n'ai pas cédé, du moins pas tant que j'avais le financement pour continuer à faire de la bonne science.

"Je suis sûr que si j'étais resté à Keele en tant que professeur boiteux, ils continueraient à me traquer jusqu'à mon départ."

Mais il n'a pas été expulsé – à la fin, Exley a démissionné. Sans la capacité de poursuivre ses recherches, il n'avait aucun enthousiasme pour rester.

"Pendant plus de vingt ans, j'ai eu le soutien total et inconditionnel de l'Université", un écrit Exley dans sa déclaration de départ révélatrice .

Alors, qu'est-ce-qu'il s'est passé ?

 

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21 octobre 2022 5 21 /10 /octobre /2022 17:44
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Levothyrox: "La mise en examen du laboratoire Merck n’est qu’un début" Me Colin-Chauley
Auteur(s)
Xavier Azalbert, pour FranceSoir
 
merck
"J’attends d’autres mises en cause."
FS/AFP
 

ENTRETIEN - Ce 18 octobre, le laboratoire Merck a été mis en examen pour tromperie aggravée dans l'affaire du changement de formule du médicament Lévothyrox. Victime en 2017 de lourds effets indésirables suite à la prise de ce médicament contre les troubles de la thyroïde, Me Anne-Catherine Colin-Chauley, avocate au barreau d'Ajaccio et présidente de l’association mouginoise Alerte Thyroïde, est la première personne à avoir porté plainte contre la société. Elle répond à nos questions :

FranceSoir : Pourriez-vous rappeler les contours de l'affaire du Lévothyrox ?

MCC : En mars 2017, le laboratoire Merck a adopté une nouvelle formule du Lévothyrox (nouveaux excipients avec le remplacement du lactose par de l’acide citrique et du mannitol) pour soi-disant rendre le médicament plus stable. Ils l'ont fait sans avertir les patients, qui ont été nombreux à subir des effets secondaires. En 2020, le laboratoire a été condamné par la Cour d'appel de Lyon à indemniser plus de 3 300 victimes du Levothyrox. En mars, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi du laboratoire, confirmant cette condamnation.

FS : Comment vous êtes-vous personnellement impliquée dans cette affaire en tant que patiente et avocate ?

MCC : Les utilisateurs de ce médicament (nouvelle formule), dont j'ai fait partie, ont pour beaucoup d'entre eux rapidement ressenti des effets indésirables : grande fatigue, vertiges, douleurs articulaires, maux de tête, gastriques et brûlures dans la bouche. Pour certains malades, leur taux de TSH (hormone de stimulation de la thyroïde) était totalement déréglé. Pour d’autres, si leur taux était normal, ils avaient des symptômes. Des médecins, vraiment perdus, ont donc interrogé l’ANSM, qui a prétendu qu’il « suffisait juste d’adapter le dosage et que c’était dans la tête des patients ». Pourtant, même en modifiant le dosage, les symptômes persistaient.

Pour ma part, ayant subi une ablation totale de la thyroïde, je ne pouvais me passer de ce médicament. Mon mari médecin a essayé trois fois de réadapter le dosage : sans résultat. J’ai donc décidé de porter plainte contre le laboratoire Merck (une première).

FS : Aujourd'hui, vous êtes présidente de l'association Alerte Thyroide. Combien de victimes des effets indésirables de ce médicament avez-vous recensé ?

MCC : Devant la multitude d’appels téléphoniques, j’ai décidé de monter l’association Alerte thyroïde pour informer les gens qu’ils n’étaient pas seuls. Je me suis déplacée dans toute la France pour donner des conférences et monter des délégations. Par la suite, des victimes ont voulu, comme moi, porter plainte. Je les ai aidées dans leur démarche judiciaire. De fil en aiguille, je me suis retrouvée à déposer des paquets de 200 dossiers auprès du parquet. À ce jour, l'association compte plus de 1 500 membres.

FS : Seul le laboratoire a été mise en examen. Quel rôle a joué l'ANSM dans cette affaire ?

MCC : Le Dr Pigement, vice-président de l’ANSM, fut le seul à demander de pratiquer de nouveaux examens du médicament. Il n’a pas été écouté et a donc démissionné.

J’ai sollicité la juge d’instruction pour demander une confrontation entre le Dr Pigement et M. Martin, ex-directeur de l'ANSM. À ce jour, je n’ai pas encore obtenu satisfaction. Cependant, je ne désespère pas de mettre l'ANSM devant ses responsabilités.

FS : Attendez-vous d'autres mises en examen ?

MCC : J’attends effectivement d’autres mises en cause, notamment contre ceux qui ont suggéré ce changement. En outre, je soulève d’éventuels conflits d’intérêts. Il m’a en effet semblé suspect d’invoquer le changement de formule au motif d’un problème de stabilité. Alors que l’ancienne formule avait une durée 3 ans, la nouvelle n’avait qu’une durée de 2 ans.

FS : Les victimes vont-elles se satisfaire de cette mise en examen ?

MCC : J’ai d’autres recours ainsi que d’autres demandes à solliciter auprès de la juge d’instruction. Maintenant, nous avons un interlocuteur en face de nous.

Parmi les adhérents de l’association, il y a plusieurs décès à déplorer, notamment une jeune fille de 22 ans. S'il est vrai qu’il n’est pas facile de démontrer le lien de causalité, cependant, les rapports d’expertises sont tout de mêmes accablants.

Je sollicite également le prolongement de l’importation de l’ancienne formule, particulièrement celle destinée à la Russie au-delà de la fin de l’année 2022, et un retour définitif de notre médicament par le transfert de la licence obligatoire à un laboratoire concurrent.

L’Espagne a par ailleurs le même problème et nous avons donc installé une délégation de l’association près de Burgos afin d’informer les Espagnols.

Par ailleurs, nous sommes en train de montrer que le laboratoire Merck a décidé d’imposer sa nouvelle formule sur toute l’Europe.  En conséquence, j’ai attaqué le brevet de la nouvelle formule : on est désormais devant la Cour

 

 

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25 février 2021 4 25 /02 /février /2021 19:08

De quoi se réjouir évidemment, mais fichez vous en  puisque Biden vient d'allonger 4 milliards pour les indemnités d'accidents vaccinaux covid19 ; en espérant que vous ne soyez pas trop nombreux ça va réduire les parts du gâteau (empoisonné)

 

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Gouvernement britannique: plus de 240 décès, 8 fausses couches et plus de 100000 effets secondaires signalés peu de temps après avoir reçu l'injection d'ARNm expérimental COVID
HAF 25 février 2021
 

par Dorothy Cummings McLean

Un examen de la sécurité des vaccins du gouvernement britannique a révélé que 244 personnes, dont 8 bébés à naître, sont décédées en Grande-Bretagne peu de temps après avoir reçu l'un des deux vaccins contre le coronavirus.

gouvernement britannique plus de 240 décès, 8 fausses couches et plus de 100000 effets secondaires signalés peu de temps après avoir reçu l'injection expérimentale de mrna de covid

Source de l'image: Shutterstock

 

Le gouvernement a déclaré qu'il ne croyait pas que les vaccinations étaient responsables.

Un rapport détaillé produit par le gouvernement britannique aujourd'hui a détaillé tous les effets secondaires suspectés [plus de 100 000 au total], y compris les décès, signalés par le personnel médical ou les personnes ayant reçu au moins un vaccin Covid-19 entre début décembre 2020 et le 31 janvier, 2021 [février non inclus].

 

Les deux vaccins actuellement utilisés au Royaume-Uni sont le Pfizer / BioNTech et l'Université d'Oxford / AstraZeneca. Ils ont été autorisés par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) du pays.

Selon le rapport :

«La MHRA a reçu 143 rapports britanniques de suspicion d'effets indésirables du vaccin Pfizer / BioNTech dans lesquels le patient est décédé peu de temps après la vaccination, 90 rapports pour le vaccin Université d'Oxford / AstraZeneca et 3 pour lesquels la marque du vaccin n'était pas spécifiée. La majorité de ces rapports concernaient des personnes âgées ou des personnes atteintes d'une maladie sous-jacente. L'examen des rapports individuels et des modèles de déclaration ne suggère pas que le vaccin a joué un rôle dans le décès. »

Le rapport incluait dans ses documents auxiliaires les informations selon lesquelles 5 fausses couches ont été signalées après l'utilisation du vaccin Pfizer et 3 après le vaccin d'Oxford.

La MHRA surveille la sécurité des vaccins tels qu'ils sont utilisés sur le public, et à cette fin, ils ont introduit un «système de carte jaune» pour recueillir les rapports de tout effet secondaire suspecté.

20 319 rapports Carton jaune, y compris un total de 59 614 effets indésirables suspectés, ont été faits concernant le vaccin Pfizer. 11748 ont été faites concernant le vaccin AstraZeneca, qui n'a été déployé que le 4 janvier 2021. 72 rapports Carton jaune ne précisaient pas quel vaccin était utilisé.

 

Le rapport du gouvernement indique qu'il y a eu 3 à 4 rapports de carton jaune pour 1 000 doses et souligne que la grande majorité des inoculations n'ont pas été signalées comme ayant des effets secondaires.

Au 31 janvier, selon les estimations, 6,6 millions de premières doses du vaccin Pfizer et environ 3 millions de premières doses du vaccin Oxford avaient été administrées. En outre, un demi-million de secondes doses, principalement du vaccin Pfizer, ont été utilisées.

Le rapport explique également que le nombre de cartons jaunes soumis n'était pas inhabituel pour un nouveau vaccin que le public et les professionnels de la santé ont été encouragés à examiner.

Il indique également qu'il n'y a pas eu autant de cartons jaunes pour l'utilisation publique du vaccin que de rapports d'effets indésirables au cours des essais cliniques.

Pour les vaccins Pfizer et Oxford, il y en avait plus d'un sur 10. Fait intéressant, les effets secondaires des deux vaccins seraient «plus légers» et «moins fréquents» chez les personnes âgées de plus de 75 ans.

Le déploiement britannique a jusqu'à présent touché principalement les personnes âgées britanniques de plus de 75 ans, les professionnels de la santé et les collègues de travail. Le rapport Yellow Card indique que «l'écrasante majorité» des effets secondaires surviennent peu de temps après la vaccination et n'entraînent pas de complications:

«Pour les deux vaccins, l'écrasante majorité des rapports concernent des réactions au site d'injection (bras douloureux par exemple) et des symptômes généralisés tels que des maladies« grippales », des maux de tête, des frissons, de la fatigue (fatigue), des nausées (mal au cœur), de la fièvre. , étourdissements, faiblesse, douleurs musculaires et rythme cardiaque rapide. En général, ils surviennent peu de temps après la vaccination et ne sont pas associés à une maladie plus grave ou durable. »

Cependant, il y a eu des rapports de dommages plus graves associés au vaccin, notamment l'anaphylaxie et la paralysie de Bell. Aujourd'hui, 130 «effets indésirables spontanés associés à l'anaphylaxie ou aux réactions anaphylactoïdes» en Grande-Bretagne ont été signalés pour le vaccin Pfizer, et 30 pour le vaccin d'Oxford.

La paralysie de Bell, qui implique une paralysie faciale ou un affaiblissement des muscles faciaux, a été signalée 99 fois pour le vaccin Pfizer et 15 fois pour le vaccin Oxford. La MHRA dit que parce que cette maladie «peut également se produire naturellement, une association avec le vaccin n'est pas encore confirmée.»

Le rapport indique qu'une «gamme» de «rapports isolés ou séries de rapports» d'autres effets indésirables graves soupçonnés ont été signalés.

Il a également déclaré, cependant, qu'il n'y avait «actuellement aucune indication de modèles ou de taux de notification spécifiques» suggérant que les vaccins en étaient responsables.

Mais ses liens vers des rapports spécifiques attachés à chaque vaccin montrent une image claire de centaines, voire de milliers de réactions particulières qui seraient désagréables à vivre.

Effets indésirables suspectés après avoir reçu le vaccin Pfizer / BioNTech

Un total de  59 614 effets secondaires suspectés ont  été enregistrés après l'utilisation du vaccin Pfizer / BioNTech .

Le lien avec l'analyse du vaccin Pfizer  montre clairement que  1 437 troubles sanguins  ont été rapportés après l'inoculation, dont 1 204 étant des lymphadénopathies (ganglions lymphatiques hypertrophiés ou enflés). 712 troubles cardiaques  ont été rapportés, notamment des palpitations (303) et une accélération du rythme cardiaque (230). 445 troubles de l'oreille  ont été signalés, dont des vertiges (146), des douleurs auriculaires (122) et des niveaux variables de perte auditive (31).

Il y avait  823 références à des troubles oculaires , dont 145 signalements de douleur oculaire, 126 de vision trouble et 5 de cécité. 6 605 commandes gastro-intestinales  ont été signalées, parmi lesquelles 2 889 cas de nausées, 924 cas de diarrhée, 775 cas de vomissements et 283 cas de douleurs abdominales hautes.

Sur les  19 354 «troubles généraux»  signalés 4 007 étaient des cas de fatigue, 3 665 des fièvres, 2 310 des frissons, 773 des douleurs au site de vaccination, 491 des «maladies de type grippal». Il y avait 308 troubles du système immunitaire , principalement des réactions d'hypersensibilité (146) et anaphylactiques (116).

Ironiquement, on a  signalé 1 186 infections , dont 308 cas (y compris des «cas suspects») de Covid-19 lui-même, 231 cas de grippe et 154 infections des voies respiratoires supérieures.

Il y a eu  224 blessures  signalées et  357 troubles métaboliques , dont 252 étaient une perte d'appétit. 8 129 troubles musculaires et tissulaires  ont été mentionnés, dont 2 690 douleurs musculaires et 1 704 douleurs articulaires. 11 160 troubles nerveux  ont été signalés, dont 5 506 céphalées, 1 546 cas d'étourdissements, 45 convulsions, 15 cas de paralysie et 1 cas de syndrome de verrouillage. Il y a eu  5 fausses couches  signalées.

Sur les  830 troubles psychiatriques  signalés, 162 étaient de l'insomnie, 112 cas de confusion et 73 épisodes d'anxiété. Sur les  120 troubles rénaux et urinaires , 35 étaient des douleurs rénales et 12 étaient de l'incontinence urinaire. Il y avait  187 troubles de la reproduction et du sein  mentionnés, dont 31 étaient des douleurs mammaires et 22 des ménorragies (règles abondantes).

Il y a eu  2 397 troubles respiratoires  signalés, dont 520 cas de difficultés respiratoires, 483 maux de gorge et 426 cas de toux. 3 947 troubles cutanés  ont été signalés, dont au moins 796 éruptions cutanées et 776 cas de démangeaisons. Les  676 troubles vasculaires  enregistrés comprenaient 182 bouffées de chaleur.

Effets indésirables suspectés après avoir reçu l'Université d'Oxford / AstraZeneca

Un total de  42 649 effets secondaires suspectés ont  été enregistrés après l'utilisation du vaccin Université d'Oxford / AstraZeneca. 

Le lien avec l'analyse du vaccin d'Oxford  indique que  202 troubles sanguins  ont été signalés après l'inoculation, dont 171 cas de ganglions lymphatiques modifiés. 406 troubles cardiaques  ont été rapportés, notamment des palpitations (214) et une accélération du rythme cardiaque (141). 203 troubles de l'oreille  ont été signalés, dont des douleurs auriculaires (88), des vertiges (41) et des niveaux variables de perte auditive (31).

Il y avait  456 références à des troubles oculaires , dont 191 rapports de douleur oculaire, 53 comptes de vision trouble et 8 de cécité. 4 693 commandes gastro-intestinales  ont été signalées, parmi lesquelles 2 320 cas de nausées, 479 cas de diarrhée, 862 cas de vomissements et 235 cas de douleurs abdominales.

Sur les 15  644 «troubles généraux»  signalés 2658 étaient de la fatigue, 4562 étaient de la fièvre, 2971 étaient des frissons, 100 étaient des douleurs au site de vaccination, 579 étaient des «maladies de type grippal». Il y avait  90 troubles du système immunitaire , encore une fois principalement des réactions d'hypersensibilité (39) et anaphylactiques (28).

Avec le vaccin Oxford, 695 infections ont été  signalées , dont 42 cas (dont 2 «cas suspects») de Covid-19 lui-même, 358 cas de grippe et 74 infections des voies respiratoires supérieures.

112 blessures  ont été signalées et  491 troubles métaboliques , dont 430 étaient une perte d'appétit. Il y avait 5 427 troubles musculaires et tissulaires , dont 1 983 cas de douleurs musculaires et 1 281 de douleurs articulaires. 9 328 troubles nerveux  ont été signalés, dont 5 112 céphalées, 1 207 cas d'étourdissements, 40 convulsions et 5 cas de paralysie.

Il y a eu 3  fausses couches .

748 troubles psychiatriques  ont été signalés, dont l'insomnie (195), l'état confus (92) et les hallucinations (64). 112 troubles rénaux et urinaires  ont été signalés, dont des douleurs rénales (48) et des mictions fréquentes (22). Il y a eu  83 troubles de la reproduction et du sein  rapportés.

Sur les  1 030 troubles respiratoires  signalés, 282 étaient des cas de difficulté à respirer, 209 des maux de gorge et 169 des cas de toux. 2 052 troubles cutanés  ont été signalés, en particulier une transpiration excessive (615), des éruptions cutanées (271) et des démangeaisons (224. Les  337 troubles vasculaires  enregistrés comprenaient 121 bouffées de chaleur.

Références: Gov.uk ; Assets.publishing.service.gov.uk ; Assets.publishing.service.gov.uk

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14 décembre 2020 1 14 /12 /décembre /2020 17:16

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21 octobre 2020 3 21 /10 /octobre /2020 17:39

Auteur(s): FranceSoir

 

Représentées par Maître Guillaume TUMERELLE, avocat six associations et groupes de citoyens ont déposé un recours en annulation contre le règlement européen concernant le vaccin. Les requérants sont :

 

  • La Coordination Nationale Médicale Sante Environnement (CNMSE)
  • European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV)
  • Children health defense Europe (CHD Europe)
  • La Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV)
  • Association Internationale pour une Medecine Scientifique Indépendante et Bienveillante
  • Terra SOS-Tenible,

 

 

Ce recours fait suite au règlement européen n°2020/1043 adopté en urgence le 15 juillet 2020 qui a supprimé toutes les procédures de protection, d’analyse du risque, de contrôle, de suivi, d’étiquetage et d’information du public concernant l’utilisation, le transport, la dissémination dans l’environnement, l’injection aux Être humains d’organismes et de microorganismes génétiquement modifiés dès qu’il s’agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19.

Ainsi aucune mesure spécifique de contrôle du risque lié à la modification génétique du vivant n’est plus appliquée en cette matière.

L’objectif affiché de cette suppression est de gagner quelques semaines dans l’éventuelle élaboration d’un vaccin. On supprime donc les analyses de risques et mesures de contrôle dans l’unique but d’aller plus vite. La Commission avant de déposer son projet n’a effectué aucune consultation scientifique pour en analyser le risque, notamment lié aux nouvelles techniques de modifications génétiques.

 

Le parlement a voté sans débat, sans discussions, sans questions et sans dépôt d’amendements.

 

Il est pourtant clairement établi que la modification génétique du vivant, notamment de microorganismes artificiellement modifiés pour être injectés à l’Etre humain présente de nombreux risques, notamment des risques de recombinaisons de virus potentiellement plus virulents, ou des risques d’interactions avec l’adn humain provoquant des maladies aléatoires et inconnues.

Cette suppression de toutes mesures d’évaluation du risque et toutes mesures de contrôle de biosécurité pour l’environnement et pour la santé est contraire au principe de précaution, principe fondamental du traité de fonctionnement de l’Union Européenne, et principe constitutionnel de droit français. Cette suppression des gardes fou est également contraire à l’intérêt et la santé des citoyens. L’obtention d’un vaccin sécurisé utile et non dangereux est incompatible avec l’urgence et la suppression des mesures de contrôle du risque.

Les requérants entendent voir respecter le principe de précaution et dénoncent une régression inacceptable en matière de santé publique et d’environnement.

Les associations dénoncent cette suppression arbitraire de mesures de contrôle du risque qui constituent une protection indispensable de la santé et de l’environnement. Les politiques publiques ne peuvent pas être guidées par la peur, par l’actualité immédiate revêtant une fausse urgence mais doivent respecter la santé du citoyen et accorder toutes garanties.

Les associations requérantes ont donc formé un recours en annulation auprès du Tribunal de l’Union Européenne (CJUE) afin d’obtenir l’annulation de ce règlement européen.

Cela confirme les déclarations faites par Michele Rivasil dans son interview du 7 septembre ou elle nous expliquait que cette décision avait été prise en catimini au parlement européen.

 

Ce n’est pas à la population dans ces conditions de devenir cobayes de vaccins et de médicaments expérimentaux présentés comme « sûrs » mais dont les fabricants ne veulent pas assumer les conséquences.

 

Le communiqué de presse est repris ci-après : 

Six associations demandent l’annulation du règlement de l’UE sur les vaccins OGM anti-Covid 19

Le 10 octobre, six associations en Europe ont déposé un recours en annulation devant la Cour de Justice de l’Union Européenne contre un règlement supprimant l’évaluation des risques liés aux OGM pour les vaccins contre la Covid 19.

Le règlement 2020/1043 adopté cet été par l’Union permet aux producteurs de vaccins et de traitements anti-Covid19 contenant des OGM de se passer de produire une étude d’impact environnemental et de biosécurité avant le démarrage d’essais cliniques. Publié le 17 juillet, le texte a été adopté au parlement européen selon une procédure d’urgence, sans amendements, ni débats. Cette exception à la législation OGM est contraire au principe de précaution prévu dans le traité de fonctionnement de l’Union Européenne.

Ces vaccins OGM anti-Covid 19 dont les essais cliniques ont débuté présentent pourtant des risques bien réels. Le rapport du généticien moléculaire Christian Velot du Criigen, rappelle qu’ils pourraient mener à des recombinaisons virales potentiellement plus graves que les virus que l’on cherche à combattre par le vaccin, impactant la vie animale et la santé humaine. Les risques d’interaction avec l’ADN humain ou l’introduction de nouvelles technologies génétiques peuvent avoir des conséquences inconnues, potentiellement graves et irréversibles. En d'autres termes, aucune mesure spécifique ne sera appliquée pour contrôler le risque lié à la modification génétique des êtres vivants.

Les six associations requérantes – CNMSE, Terra SOS Tenible, LNPLV, EFVV, AIMSIB, Children’s Health Defense Europe – dénoncent une expérimentation dangereuse, tant pour les participants aux essais cliniques que pour la population humaine et l’environnement, et exigent l’application immédiate du principe de précaution, dans le respect des règles de droit.

 

« Ayant eu la chance d’organiser sous l’égide du Conseil Régional Ile-de-France, une expérience innovante sur la vaccination personnalisée, j’ai découvert dans la composition des vaccins des molécules hautement toxiques et des pesticides. Il me semble donc essentiel que la mise en place de tout nouveau vaccin anti-Covid soit exemplaire et que toutes les étapes essentielles soient en particulier respectées » explique le Dr Dominique Eraud,  présidente  de la Coordination  Nationale  Médicale  Santé  Environnement (CNMSE).

 

« La mise en œuvre de ce règlement doit être arrêtée immédiatement. Le règlement 2020/1043 de l'UE est fondamentalement un règlement contre la vie, la raison, le droit, la justice et la science, puisque même la Commission, après avoir contourné tous les contrôles démocratiques, n'a pas eu la décence morale de demander un avis scientifique.», déclare Josefina Fraile, présidente de Terra SoS Tenible

 

« En publiant ce règlement, les institutions européennes donnent aux Etats membres de l’Union européenne le droit de mettre en place des mesures législatives dangereuses, voire biocidaires, qu’il convient de dénoncer » souligne Jean-Pierre Eudier, président de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV).

 

Pour le Dr. Kris Gaublomme, président du European Forum for Vaccine Vigilance (EFFV) : « Nous dénonçons la dérive des Etats européens vers l’autoritarisme, le contrôle et la restriction des droits fondamentaux, à travers des dérogations systématiques aux règles de droit sous prétexte de l’épidémie de Covid-19 et que nous constatons particulièrement avec le règlement UE2020/1043. Notre recours auprès de la Cour de Justice de l’Union Européenne vise à faire respecter les règles de droit. »

 

« L’autorité européenne offre un blanc-seing à l’industrie pharmaceutique pour mettre sur le marché des nouvelles technologies de médicaments et de vaccins OGM pour lesquelles toutes les études démontrant l’innocuité n’auront pas été réalisée. Ce sont les patients dans ces conditions qui servent de cobayes et nous, médecins, refusons cet état de fait » insiste Philippe Harvaux, président de l’associations internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB)

 

Enfin, selon l’avocat Robert F. Kennedy Jr., Président de Children’s Health Defense Europe, "On ne peut sous-estimer la nécessité de prendre en compte les différents types de risques avant d'entamer les essais cliniques de vaccins qui seront accélérés et largement distribués. Les vaccins utilisant des organismes génétiquement modifiés peuvent avoir un impact sur l'environnement. D'autres vaccins envisagés pour le Covid 19, tels que les vaccins à ARNm, utilisent des nanoparticules pour introduire du matériel génétique dans nos cellules et programmer leur réponse. Contrairement aux vaccins que nous connaissons, ce mécanisme est une forme de "piratage" de notre fonctionnement génétique. Il s'agit d'une technologie expérimentale entièrement nouvelle, dont nous savons très peu de choses.  De nombreuses personnes ont déjà subi de graves effets secondaires lors d'essais cliniques avec les vaccins Covid en cours de développement. Autoriser et poursuivre de telles expériences sans aucune évaluation et sans débat sur le risque à long terme qu'elles représentent  pour  notre  santé  ou  sur  leurs  aspects  éthiques  est  irresponsable  et inconscient.  L'urgence ne doit pas conduire à des décisions aveugles. Nos dirigeants politiques ont le devoir de veiller à ce que le principe de précaution soit respecté, sinon nous serons tous en danger".

 

 

 

Auteur(s): FranceSoir

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15 octobre 2020 4 15 /10 /octobre /2020 17:29

La FDA et l'OMS ont interdit l'administration humaine sans s'en rendre compte de tous les médicaments à usage humain contenant de l'aluminium1


Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN Ingénieur chimiste, Professeur honoraire de chimie thérapeutique et pharmacocinétique, expert pharmacologue-toxicologue spécialisé en pharmacocinétique auprès de l'AFSSAP

 

(aujourd'hui ANSM) Aux Etats-Unis, Robert F.Kennedy

Je viens de remporter un procès historique contre le gouvernement américain (voir document ci-joint, ci-dessous), dont le jugement a été rendu le 30 décembre 2019.

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15 octobre 2020 4 15 /10 /octobre /2020 17:21
 
 
L'aluminium ne devrait jamais avoir été présent dans les médicaments oraux anti-acides gastriques ou dans les vaccins. Parce qu'il est à l'origine du plus grand scandale jamais vu dans l'histoire de la médecine: le «massacre» imposé de tous les enfants nés en France depuis le 1er janvier 2018, c'est tout simplement la vérité!
 
Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN (Poitiers, octobre 23, 2019)
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