L'effondrement progressif des actions boursières notamment sur les grandes banques laisse présager des fusions dans le principe du (too big to fail) - (trop gros pour faire faillite), mais ce n'est qu'une échappatoire provisoire.
Vous trouverez le lien des cotations bancaires depuis le début de l'année, à l'heure actuelle :
-BNP - 37%
- Crédit agricole - 41 %
- Natixis - 47 %
- Societe Generale - 60 %
"Aujourd'hui, Morgan Stanley se pose la question de l'intérêt d'un rapprochement entre BNP Paribas et Société Générale. Il observe qu'elle aboutirait à la création de la plus importante banque mondiale, la première affichant un bilan de 2 600 milliards d'euros et la seconde de 1 500 milliards. Le nouvel ensemble se verrait ainsi imposer un matelas de capitaux propres supplémentaires, sans doute maximum, de 3,5%. Si l'objectif d'une telle transaction est d'augmenter la rentabilité du nouvel ensemble, une telle surcharge rendrait la transaction moins attrayante. (voir article qui suit)"
Ce post pointe le doigt sur la fragilité bancaire Française qui n'a rien à envier à celle Allemande qui est encore plus vertigineuse. Une faillite de la Deutsch Bank entrainerait a elle seule l'économie mondiale, et elle vacille sérieusement depuis des années.
Une faillite de la Société Générale écornerait sérieusement le crédit Français sur les marchés quand aux capacités de remboursements du pays.
Mais au point ou en sont les dettes internationales y a t il une quelconque solution sinon qu'un effondrement global précurseur d'un reset international qui supprimerait la ou les monnaies papiers par des monnaies électroniques afin de mettre sous tutelle les peuples tout en s'assurant le remboursement des dettes. Les banques principales éviteraient une faillite en chaînes en prélevant sur leurs clients leurs avoirs bancaires, ainsi que leurs placements. L'état de ce fait ne serait pas responsable de la gestion pitoyable de la crise de 2008 et de ses conséquences en s'exonérant du surendettement qu'il a lui même favorisé.
Evidemment il resterait un reliquat de dettes que les particuliers se devraient d'éponger, sur ce qui concerne les banques et leurs investissements, mais surtout en ce qui concerne les conséquences sur le fonctionnement de l'Etat et notamment des aides publiques et sociales, qui de ce fait se retrouveraient anéanties.
On peut dire que ce procédé mettra les peuples sous tutelles renforcées, pieds et poings liés, par un système monétaire sous contrôle, notamment au niveau fiscal et ou les prélèvements se feraient à la source, ne laissant que les miettes aux intéressés.
Avant d'avaler la pilule je citerais le proverbe Africain :
"Si tu avales une noix de coco ç'est que tu fais confiance à ton anus"
Mais les gouvernements ont ils préjugés après une gestion calamiteuse de la Covid19 de la capacité des populations à accepter une chirurgie du sphincter non remboursée.
BNP Paribas / Société Générale : Morgan Stanley évoque une potentielle fusion
Jean-Baptiste André, (Boursier.com) - BNP Paribas et Société Générale trustent les deux premières places du CAC40 ce lundi à la faveur de gains respectifs de 3,2% et 3,5%. Outre la nouvelle ...
Indice boursier du secteur Biens de consommation - Boursorama
Retrouvez le cours de l'indice et des valeurs du secteur Biens de consommation sur Boursorama
Société générale et BNP Paribas vont-ils fusionner ?
Les actions Société générale et BNP Paribas bondissent, alors qu'un courtier étudie la possibilité d'un rapprochement entre les deux banques françaises, qui se traduirait par la création du...
Philippe Herlin: "Les fusions de banques européennes ne régleront rien !"
Assistons-nous à un mouvement de fusion de banques européennes ? Les rumeurs évoquent depuis plusieurs années un rapprochement entre la Commerzbank et la Deutsche Bank ou avec BNP Paribas, entr...