Agriculteur: « Si ça continue comme ça, y a aucune alternative, c’est la Révolution ! Depuis la trahison du référendum de 2005, le taux de participation aux élections ne fait que baisser.. Et ça se finira par une Révolution !! »
La trahison du référendum de 2005 est la frontière de cassure entre la population et les institutions pic.twitter.com/dj2EmeiW0v
Distribution de la PAC pas forcément pour les agriculteurs !
Je ne sais combien de fois j'ai lu ces derniers jours, des politiciens de la Macronie, crier que l'on ne pouvait quitter l'UE car les agriculteurs bénéficient des milliards de la PAC ! Déjà on donne PLUS que l'on ne reçoit, mais en plus écoutez bien à qui profite cette PAC !pic.twitter.com/mb1eewZ6k6
Scandale ! L’Allemagne force pour appliquer le volet commercial du Mercosur avec les importations de produits agricoles. Ils veulent sacrifier les agriculteurs français pour vendre leurs voitures ! E. Macron au pied du mur !#AgriculteursEnColerepic.twitter.com/bHJ8WcnPFg
Dans le contexte actuel, cette image de Macron de sa soirée hier soir est terrible.
Santé les gueux 😡 pic.twitter.com/h6BMEmEKiQ
— fred le gaulois Uniondesdroites 🐱 (@FredGaulois) January 31, 2024
Mensonges éhontés des médias !
Médiapart révèle les salaires des dirigeants de la FNSEA payés par les cotisations des agriculteurs
Jusqu'à 14.900 euros mensuels. Avec un art consommé du timing - le Salon de l'Agriculture (SIA) ouvre ses portes samedi à Paris -, le site d'information Mediapart vient de dévoiler la rémunération des hauts dirigeants du syndicat majoritaire chez les agriculteurs. Alors que "30% des agriculteurs n'ont pas pu se dégager de revenu durant l'exercice 2017", ces révélations font tache pour le syndicat agricole qui accuse Mediapart de "règlement de comptes".
La première organisation syndicale agricole, la FNSEA, a accusé mercredi le site d'information Mediapart de s'être livré à un "règlement de comptes" en révélant les rémunérations importantes perçues par ses principaux dirigeants. Des révélations gênantes au vu de la précarité d'une grande part des agriculteurs, comme le reconnaissait d'ailleurs mardi 18 février la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert, cité en introduction de l'article de Mediapart:
« (...) un certain nombre d'agriculteurs ont l'économie de leur exploitation dans le rouge. 30 % des agriculteurs n'ont pas pu se dégager de revenu durant l'exercice 2017. »
Dans un communiqué, la FNSEA "s'insurge contre un article tenant plus du règlement de comptes que de l'enquête journalistique". Elle dit "assumer pleinement les niveaux de rémunération de ses cadres dirigeants", situés selon elle "en dessous des normes de rémunération pour une organisation professionnelle nationale de cette taille".
La FNSEA argue que les informations divulguées lui ont été volées
Le syndicat explique également que les informations divulguées par le journal d'investigation ont fait l'objet d'un vol pour lequel une plainte a été déposée.
Or, s'il s'agit d'un vol, c'est que ces informations n'étaient donc pas publiques, ce qui semble en contradiction avec les propos de la FNSEA qui dit, citons-les à nouveau, "assumer pleinement les niveaux de rémunération de ses dirigeants".
Mercredi à la mi-journée, Mediapart a publié les salaires du nouveau directeur général du syndicat Clément Faurax, de son remplaçant au poste de directeur adjoint Jean-Louis Chandellier, et les différentes rémunérations attribuées à la directrice générale sortante Catherine Lion.
Selon le média, Clément Faurax "émarge aujourd'hui à 13.400 euros brut mensuels" à l'issue d'une revalorisation de 22% décidée après son arrivée en avril 2019. Toujours selon cet article, son remplaçant, Louis Chandellier, a bénéficié pour sa part d'une augmentation de 30% de sa rémunération, désormais de 9.600 euros brut.
Un cumul emploi-retraite qui atteint 12.500 euros par mois
"Les augmentations réalisées restent dans la tendance des augmentations habituelles", avait répondu M. Faurax dans un entretien à Mediapart.
Enfin, le journal en ligne s'était penché sur les rémunérations attribuées à Catherine Lion après son départ de la direction. Restée conseillère à temps partiel jusqu'en septembre, elle avait bénéficié d'un salaire de base de 8.900 euros et d'une prime mensuelle de 6.000 euros, selon l'avenant à son contrat de travail consulté par Mediapart.
À la retraite depuis octobre, elle cumule désormais sa pension avec un salaire à temps partiel (notamment, car elle a été désignée par le syndicat pour siéger au Conseil économique, social et environnemental) pour un montant total de 12.500 euros, sans que cette situation de cumul soit inédite au sein de la FNSEA, signale Mediapart.
La FNSEA a demandé mardi une "revalorisation urgente" des pensions de retraite des agriculteurs, "au moins à 85% du Smic", en déclarant "attendre des réponses du président de la République et du gouvernement" sur le sujet lors du Salon de l'agriculture qui s'ouvre samedi à Paris.
La société @Leclercdont le dirigeant est toujours en train de larmoyer et de mettre son honnêteté en avant face aux vilains fabricants qui augmentent leurs prix, à été condamné à une amende de 6 millions d’euros pour avoir détourné la loi EGALIM au détriment des agriculteurs. pic.twitter.com/gZQT1eycZH
Macron, grand joueur de flute à l'international, en représentation permanente en France sous les huées et jets de pierres !
Le public en est crevé de la symphonie en sol do mi à traversière sur les ondes, la télé, dvd, blue ray, k7 vidéo, disques 33, 45 et 78 tours et en morse
Henry
Un document de France Stratégie dévoile les ambitions du gouvernement : diviser la consommation de viande par 2, faire baisser les constructions neuves de 85%, la consommation d’eau de 15%…
En pleine grogne des agriculteurs, les chiffres avancés comme base de travail donnent le tournis au maire : en 2050, la consommation de viande est divisée par deux. Le maïs ? 40 % de cultures en moins. La vigne ? Moins 20 %, comme pour la betterave et la pomme de terre. Partant de ces hypothèses, les besoins d’irrigation sont revus de 15 % à la baisse, malgré l’augmentation prévisible des périodes de sécheresse.À LIRE AUSSI Le vrai scandale de l’eau
Le document table sur « une baisse générale de l’activité industrielle ». Avec une diminution de 85 % de la construction neuve. Ou encore de 30 % de l’industrie pharmaceutique grâce à l’hypothétique développement de la marche et du vélo et à une alimentation moins carnée ( !). Quant au nucléaire, il est quasiment rayé de la carte, avec 80 % de production en moins.
Administration hors sol
Intitulé « Étude prospective des besoins en eau », le document porte l’en-tête de France Stratégie, institution autonome placée auprès du Premier ministre et chargée d’« éclairer les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux ». Ses prévisions s’appuient sur l’étude Transitions 2050 de l’Ademe. Parmi les quatre scénarios qui mènent à la neutralité carbone, le choix s’est porté sur l’un des deux décroissants, qui aboutit à « une réduction de la consommation en eau ». Au détriment de certaines productions agricoles. Les scénarios reposent pourtant sur des bases fragiles, l’Ademe reconnaissant que ses « indicateurs de la dépendance à l’eau [sont] une première approche qu’il conviendrait d’affiner ».
Comme l’annonce Politico ce matin, l’affaire devrait faire scandale et probablement finir de miner le gouvernement Attal, qui, pourtant, n’y est pas pour grand chose. Le 13 février 2023, l’Assemblée Nationale a adopté une proposition de loi très soutenue par la FNSEA, et portée par le LR Julien Dive (suppléant de Xavier Bertrand). Ce texte changeait la méthode de calcul des retraites agricoles.
Selon Politico, un rapport du ministère de l’Agriculture montrerait que cette innovation permettra d’améliorer sensiblement les plus grosses retraites, mais ruinera les plus petites…Julien Dive, suppléant de Xavier Bertrand, n’est pas l’élu le plus connu parmi les LR.
Mais il a bataillé pour faire adopterune proposition de loi très soutenue par la FNSEA consistant à calculer les retraites agricoles non plus sur la totalité de la carrière, mais seulement sur les 25 meilleures années. Promulguée le 13 février 2023, cette loi devait mécaniquement améliorer la retraite des agriculteurs. Le changement de règles doit intervenir le 1er janvier 2026.Or, selon Politico (qui a bénéficié d’un tuyau), un rapport du ministère de l’Agriculture, que le gouvernement est sommé de publier, montre que la loi Dive ne sera profitable qu’aux retraites les plus élevées. Les plus maigres baisseraient de 10% .Renforcer les inégalités au profit des plus riches ?
Voilà une idée bien gaulliste sociale en mode Xavier Bertrand, qui fera le beurre de LR. Renforcer ces inégalités pour faire une fleur à la FNSEA ? Encore mieux.
Dans cette vidéo hebdomadaire consacrée à l'économie, je plonge aujourd'hui dans les comptes de la FNSEA et je vous explique en quoi ils témoignent du corporatisme français (en mode Ancien R...
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Révision des normes de commercialisation : la Commission européenne programme la fin de la filière volailles fermières française !
Dans le cadre de la révision en cours des normes de commercialisation européennes, la Commission européenne prévoit de changer les règles concernant l’étiquetage des modes d’élevage des volailles. L’interprofession française de la volaille de chair (ANVOL) alerte le Gouvernement sur ce projet qui fait peser de lourdes menaces sur la production de volailles fermières élevées en plein air et sur la clarté et la véracité de l’information des consommateurs.
En effet, la Commission envisage de supprimer les normes permettant aux consommateurs d’identifier clairement les modes d’élevage des volailles grâce aux cinq seules mentions jusqu’à présent autorisées :
« Alimenté avec x % de … »
« Élevé à l’intérieur - système extensif »
« Sortant à l’extérieur »
« Fermier - élevé en plein air »
« Fermier - élevé en liberté ».
En lieu et place de cette liste strictement définie, en particulier les mentions relatives à l’extérieur et au plein air, le marché pourrait ainsi voir se multiplier des mentions fantaisistes pour qualifier les modes d’élevages, sans aucun cadre ni contrôle. Cette multiplication de désignations brouillerait l’information des consommateurs, les orientant vers les produits les moins-disants, mais les mieux « marketés ». Les modes d’élevage vertueux seront donc dilués, ce qui entraînera la disparition en France d’ici 5 à 10 ans des productions « fermières - élevées en plein air/liberté », de leurs éleveurs et de leurs emplois dans les régions, soit 5 000 éleveurs et 10 000 collaborateurs à ce jour.
La France au premier rang des victimes de la suppression des règles d’étiquetage
Cet étiquetage est très important en France en particulier où les productions « fermières - élevées en plein air/en liberté » ont une place importante puisqu’elles représentent au moins 20% de la production française, notamment via les productions AOC, Label Rouge et bio.
La France est le pays européen avec la plus grande production de volailles alternatives et donc le pays le plus concerné par l’évolution de l’étiquetage. Le pays compte environ 20% de volailles bénéficiant d’un accès à l’extérieur, loin devant l’Italie qui se place en deuxième position avec 7 %.
ANVOL demande à la France de bloquer le projet de la Commission
Les acteurs de la filière estiment ainsi que le projet de la Commission européenne est une aberration en termes d’information des consommateurs, de protection des agriculteurs et de durabilité. Il va à l’encontre de toutes les annonces faites en France au sujet de « la montée en gamme » et en Europe concernant « le Green deal » et la stratégie « Farm to fork » qui visent à soutenir la production locale et durable.
Ce projet met en danger l’avenir, non seulement des éleveurs, mais aussi de tout le tissu économique qui en découle et qui fait vivre les territoires ruraux : couvoirs, abattoirs, fabricants d’aliments, etc. C’est l’exception et l’excellence gastronomique française qui est en jeu !
La discussion entre la Commission européenne et les états membres prenant fin le 2 février 2023, ANVOL demande à la France d’opposer son veto au changement des règles actuelles.
Éléments complémentaires :
Un étiquetage clair avec cinq mentions autorisées en Europe
Les éleveurs disposent depuis 1991 d’une liste fermée de cinq mentions valorisantes précisément définies pour valoriser leurs produits et faciliter leur identification par les consommateurs. Il s’agit de :
« Alimenté avec x % de … »
« Élevé à l’intérieur - système extensif »
« Sortant à l’extérieur »
« Fermier - élevé en plein air »
« Fermier - élevé en liberté ».
Ces mentions sont exclusives : elles seules peuvent figurer sur les étiquettes en Europe et les opérateurs (éleveurs, abattoirs) sont contrôlés pour vérifier le bon respect de ces règles.
Ces normes ont ainsi établi une segmentation et un étiquetage clairs, et ont permis aux productions de volailles alternatives d’être mieux connues des consommateurs, de trouver une place sur le marché et de se développer grâce à :
des conditions de concurrence équitables pour tous les producteurs européens
une meilleure visibilité des productions alternatives : elles sont plus chères donc l’étiquetage est nécessaire pour faire connaître leurs spécificités
une information claire des consommateurs : ils savent précisément ce qu’ils achètent, les normes évitent la confusion et les abus.
Le projet de nouvelles normes présenté par la Commission européenne fin 2022 change complètement les règles actuelles en supprimant l’exclusivité de cette liste fermée de 5 mentions. Si les 5 modes d’élevage existants deviennent facultatifs, et particulièrement ceux concernant la sortie à l’extérieur et le plein air, tout opérateur européen pourra désormais utiliser n’importe quelle autre mention de mode d’élevage sans aucun contrôle (exemples : « Poulets des champs », « Poulets de plein vent », « Poulets libres », « Poulets à l’air libre » …).
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Souveraineté : Macron va voir Cruella Von der Leyen pour lui demander la permission
Nous ne sommes pas un peu souverain ou un peu libre, comme une femme n’est pas un peu enceinte.
C’est un état complet. Total. Binaire pourrait-on dire.
Depuis des décennies j’ai vu la souveraineté de notre pays être bradée, détruite, vendue, détricotée, petit à petit. Bout après bout.
Il n’en reste aujourd’hui plus rien.
Le président de la république qui se rêve en premier président (fondateur) des Etats-Unis d’Europe est confronté à une crise avec ses agriculteurs en raison de la directive européenne et de la stratégie dite « farm to fork » en anglais, car désormais à la grosse commission on parle tous englishe dans le texte. De la ferme à la fourchette donc en bon français.
Comme Manuléon ne veut pas faire un truc sans l’aval de Bruxelles, car l’Europe est son mantra, il faut la permission de Cruella.
Cela montre à quel point la France est devenue petite.
A quel point nos dirigeants ne dirigent plus rien.
Macron est juste un petit gouverneur de province et finalement, dans sa tête il n’est guère plus qu’un Préfet.
C'est dans cet esprit retors que Manu va faire allégeance à sa suzeraine, et certainement pas pour le bien de son peuple. Flatter pour en tirer des grâces et s'attirer la bienveillance de l'impératrice d'Europe amovible, proclamée par l'élite mondialiste Occidentale. L'élève va se faire bonne mine tout lorgnant sur le trône de sa supérieure hiérarchique.
C'est dans sa nature : "faible avec les puissants et forts avec les faibles !"
Il n'y a rien a espérer de ce côté sinon chausse trappe et combinaisons foireuses pour ceux qui croient encore en ces illusions.
Henry
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Des barbelés installés autour du Parlement européen à Bruxelles !
L'ère des soulèvements... chaotique, significative, féconde, et surtout signe d'un temps de transition entre deux époques.
Les soubresauts sectoriels en cours en France et à travers le monde sont les symptômes de ce changement de monde, entre décadence et effondrement des…pic.twitter.com/lSVfFrYwoM
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Souveraineté : Macron va voir Cruella Von der Leyen pour lui demander la permission Nous ne sommes pas un peu souverain ou un peu libre, comme une femme n'est pas un peu enceinte. C'est un état ...
Révision des normes de commercialisation : la Commission européenne programme la fin de la filière volailles fermières française ! Dans le cadre de la révision en cours des normes de ...
Des apiculteurs ont rejoint ce mardi les agriculteurs qui bloquent l’autoroute A43 au niveau de la barrière de péage de Saint-Quentin-Fallavier (Isère). Vêtus, pour certains, de leur combinaison et munis d’un enfumoir ou de leurs ruches, les éleveurs d’abeilles ont rappelé avoir « des revendications communes » avec les agriculteurs.
Laurent Daniel : "Contre quoi nos paysans se mobilisent. Bœuf né en Autriche, élevé en Argentine, abattu aux USA, découpé en France !"
Macon avait bien dit : "Nous sommes en guerre !" OUI ! Macron est en guerre contre son peuple et pour cela il use de tous les moyens dont il dispose puisqu'il est chef des armées Henry ...
L’Europe va faire baisser de 49 % la production de blé et prépare famines et pénuries
La stratégie agricole européenne à 2030 est un véritable chiffon rouge agité devant une grande partie des agriculteurs. Appelée « farm to fork » de la « ferme à la fourchette », elle s’inscrit dans la volonté de parvenir à la neutralité carbone en 2050.
Le problème de la neutralité carbone voulue par l’Union Européenne et nos europathes c’est que quoi que vous fassiez, moins de carbone = moins de production agricole.
Et pas qu’un peu.
Pour le blé c’est -49 % de production attendue.
La politique européenne prépare et organise la décroissance de notre production agricole, au point de menacer notre souveraineté agricole, mais encore plus grave, l’UE nous prépare des pénuries majeures et des famines.
Cette politique de transition à marche forcée est de la folie douce, alors que je peux vous dire que je suis un fervent partisan d’autres méthodes de cultures comme notamment la permaculture, mais il faut d’abord faire monter en puissance les alternatives et voir si elles peuvent fonctionner avant de faire reculer notre agriculture actuelle. C’est du bon sens de base.
Je vous invite donc à voir cette vidéo de Xerfi Canal, où ils ne font pas de politique mais de l’économie, et vous verrez, cela ne passe pas.