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1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 13:19
la Dame a la Licorne

la Dame a la Licorne

Chaque année la Toussaint invite chacun à s’orienter vers ses racines.

Ainsi de tous temps les racines parlent à ceux qui entendent les murmures d’un chant pareil à celui de l’oiseau

Comme un cycle arthurien révélé un jour dans une année, pareil à celui de Kyot de Narbonensis

Cycle méridien, s’il en est.

De là au travers des mailles de l’Histoire un fil apparait dans un tissage que seul un œil avisé serait reconnaitre.

Un temps, des temps, passent comme un écho mille fois répété, ombre attachée au soleil qui la crée.

Un temps propice qui baille l’espace d’un instant laissant apparaitre le feu que gardent les vestales.

Des vestiges du passé des douze anciles un s’éclaire et est enfin connu.

Là se dévoile de contenu de cette mémoire enfouie dans la caverne du temps

D’un mont fort, si mon histoire suit le fil, on découvre l’ouvrage opéré comme capturé à sa terre, et posé là au bord d’un précipice près d’une lande ou courent les plantes, genets, bruyères.

Pareille a une lande écossaise, que parcouraient les Stuart comme l’ancien David.

Etranges vieilles brumes sur d’autres comtés éloignés, Leceister, Salisbury comme s’ils n’étaient qu’un même songe. Ne vit le pôle comme un phare d’un mont fort.

Tu dors ! tranches ce rêve et éveilles toi !

Mais voilà qu’il ressurgit dans cette lande d’étroits « j’aime » soupirent, mais à l’instant une ligne rose se profile alors dans un angle embellit.

Le temps passe et le règne de morphée voyage de l’Ecosse à la France, traversant le Valois pour finir en Bourbonnais. Un rais gents ne voient ensuite l’éclat, éclat du passé des aimes cachés.

Des traces trouvées un siècle a passé et la belle endormie attends son éveil.

Là, ici, ailleurs penches et trouves, ce songe réel qui fait taire le renoncement et l’échec usés par des marionnettistes habiles fossoyeurs de rêves.

Bonne journée

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