Malgré les démentis du gouvernement, selon lesquels il serait prévu de déployer des passeports vaccinaux COVID, des rapports ont au contraire confirmé que les personnes vaccinées dans deux régions sélectionnées de Grande-Bretagne se verront délivrer ce laisser-passer "à l'essai". Il est en cours de déploiement avec effet immédiat.
Le London Telegraph rapporte que la société de biométrie iProov et la société de cybersécurité Mvine ont développé les passeports vaccinaux, qui seront fournis sous forme d'application sur les téléphones des personnes vaccinées.
Le gouvernement mènera le déploiement dans deux régions et suivra son application jusqu'en mars.
Le rapport note que le gouvernement a déjà investi 75.000 £ dans l'essai, afin de surveiller les vaccinés.
Frank Joshi, directeur et fondateur de Mvine, a noté que, bien que le projet ait commencé comme un simple moyen de conserver un registre des tests COVID, des fonds supplémentaires y ont été injectés afin de le transformer en un programme de passeport vaccinal.
«À l'origine, nous avons commencé avec un suivi individualisé des tests PCR, mais il peut également être utilisé pour vérifier si vous avez bien été vacciné», a déclaré Joshi, selon le rapport.
Andrew Bud, directeur général de l'autre société impliquée, iProov, a déclaré que le système serait intégré au Service national de santé et pourrait facilement être déployé à tout le pays.
«Nous parlons d'une technologie remarquable qui peut être mise en œuvre et peut être facilement intégrée au NHS», a-t-il déclaré.
Le développement semble être distinct des contrats gouvernementaux accordés à deux autres entreprises pour développer des «passeports liberté» COIVD, dont nous avons fait état il y a plusieurs semaines.
Le mois dernier, le ministre britannique des vaccins, Nadhim Zahawi, a annoncé que le gouvernement n'avait pas l'intention d'introduire des passeports d'immunité en masse, ni d'imposer des restrictions à ceux qui ne l'ont pas.
Cette dernière révélation met sérieusement en doute l'affirmation déjà douteuse de Zahawi.
Nous avions également précédemment rendu compte, en novembre, des projets du gouvernement britannique de développer un système de code QR à utiliser comme «passeport d'immunité».
Le rapport, issu de sources proches du gouvernement, a noté que «ceux qui refusent de recevoir le vaccin se verraient probablement refuser l'entrée de certains lieux, dans le cadre de ces mêmes propositions.»
D'autres rapports ont suggéré qu'une application déjà utilisée au Royaume-Uni par des personnes pour prendre des rendez-vous chez le médecin et à l'hôpital, pourrait mettre en œuvre une section sur l'état de la vaccination, qui montrera si une personne a reçu le vaccin contre le coronavirus ou non, et que les entreprises pourraient l'utiliser pour refuser l'entrée à ceux qui ne l'ont pas fait.
Le spectre des soi-disant «passeports d'immunité» se profile à l'échelle mondiale.
Hier, il a été révélé que le Danemark est le dernier pays à avoir annoncé qu'il déploie un «passeport Covid», pour permettre à ceux qui ont pris le vaccin de naviguer dans la société sans aucune restriction.
Récemment, le gouvernement de l'Ontario, au Canada, a admis qu'il étudie les «passeports d'immunité» en conjonction avec des restrictions sur les voyages et l'accès aux lieux sociaux pour les non-vaccinés.
Le mois dernier, Israël a annoncé que les citoyens qui reçoivent le vaccin COVID-19 recevront des «passeports verts», qui leur permettront de se rendre partout et de manger dans les restaurants.
Une litanie d' autres personnalités du gouvernement et de l'industrie du voyage aux États-Unis, en Grande - Bretagne et au delà, ont suggéré que les «passeports COVID» arrivent pour que «la vie revienne à la normale» !
Sam Grant, directeur de campagne du groupe de défense des libertés civiles Liberty, a averti que «toute forme de passeport d'immunité risque de créer un système à deux vitesses dans lequel certains d'entre nous ont accès aux libertés et au soutien tandis que d'autres sont exclus.»
«Ces systèmes pourraient entraîner l'interdiction des personnes qui n'ont pas été vaccinés des services publics essentiels, du travail et du logement - les plus marginalisés d'entre nous étant les plus durement touchés», a en outre averti Grant.
«Cela a également des implications plus larges, car toute forme de passeport d'immunité pourrait ouvrir la voie à un système d'identité complet - une idée qui a été à plusieurs reprises rejetée comme incompatible avec la construction d'une société respectueuse des droits», a en outre exhorté Grant.
Un député européen nous transmet le document ci-dessous qui démontre comment, au Parlement Européen, on se prépare à pérenniser la dictature sanitaire. Des débats vont s’entamer le 2 février sur le projet d’un European Tourism Certificate, variante du passeport vaccinal.