Le Pentagone confirme avoir armé l’Ukraine dès l’arrivée de Biden
Lors d’une interview de Fox News, le porte parole du Pentagone, l’amiral John Kirby, a déclaré : « L’administration Biden a fourni des armes bien avant le déclenchement des hostilités. Le premier milliard de dollars que le président a alloué à l’Ukraine comprenait la fourniture d’armes létales. Les États-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne et d’autres alliés ont en fait aidé à préparer les Ukrainiens ».
Par Leonid Savin – Le 25 novembre 2015 – Source geopolitics
Malgré les accords internationaux qui régulent les activités du champ de la recherché biologique, ce domaine – comme d’ailleurs celui des armes chimiques – montre une fois de plus l’attitude des deux poids deux mesures qui caractérise les USA. A ce jour, on ne sait pas quel genre de recherche mènent les USA, notamment en matière de virus mortels, ni en quel endroit.
Après les attaques terroristes de New York, le 11 septembre 2001, les menaces terroristes ont été utilisées pour effrayer les États-uniens. L’envoi de lettres renfermant de la poudre contenant des spores d’anthrax a été montée en épingle jusqu’à l’hystérie collective. Cela se déroulait une semaine à peine après les attentats du World Trade Center de New York, ce qui devait donner l’illusion d’un lien entre les deux événements, unis par le thème de la menace dufondamentalisme islamiste.
Dix ans plus tard, en 2011, des documents déclassifiés du FBI démontraient que les spores d’anthrax étaient cultivés à l’institut de recherche médicale contre les maladies infectieuses de l’armée US.
En dix ans, le nombre de laboratoires engagés dans le développement de méthodes de lutte contre le bio-terrorisme, selon les autorités officielles, est passé de 20 à 400. Des centres secrets de recherche biologique sont apparus en Afrique et en Amérique latine, des laboratoires aux finalités inconnues se sont ouverts en Ukraine, en Géorgie, et il est prévu d’ouvrir un centre biologique au Kazakhstan en 2015. La majorité de ces activités est supervisée par la Pentagone.
Un accord entre les USA et la Géorgie portant sur la coopération dans le domaine de la prévention contre la prolifération de matériels, d’agents pathogènes ou d’expertises permettant le développement d’armes biologiques, a été signé en 2012. En 2004, il a été décidé de construire un laboratoire de santé publique de référence dans le village d’Alekseevka près de Tbilissi. L’ouverture officielle a eu lieu en présence du sous-secrétaire à la Défense en matière de programmes nucléaire, chimique et biologique, Andrew Weber.
Concernant le développement de la recherche biologique, l’Ukraine se trouve être d’un intérêt particulier pour les militaires US. Immédiatement après la victoire de la première révolution de couleur [orange, NdT], un accord de principe était signé entre le ministre de la Santé ukrainien et le ministre de la Défense US, concernant la réhabilitation d’infrastructure de recherche biologique en Ukraine. En 2008, un budget a été établi, dans le cadre de l’aide US, au bénéfice du ministère ukrainien de la Santé, et en octobre 2009, un projet pour un programme de réduction de la menace biologique a été lancé.
Avec le soutien des USA, le premier centre biologique ukrainien a été inauguré le 15 juin 2010, partie intégrante de l’Institut de recherche contre la peste Mechnikov, à Odessa, et ce en présence de l’ambassadeur US John Theft. Le centre d’Odessa a été habilité à travailler sur des souches bactériennes utilisées dans les armes biologiques.
En Ukraine, la gestion décentralisée du stockage de substances pathogènes est une pratique courante. Dans cette perspective, une question peut être soulevée: y a-t-il un lien entre les activités menées au centre d’Odessa et le meurtre de nombreuses personnes dans les bâtiments du syndicat d’Odessa, le 2 mai 2014? Certains activistes locaux et organes de presse déclaraient alors qu’une substance inconnue avait été utilisée pour tuer un nombre important de personnes.
En Ukraine, pour la seule année 2013, des laboratoires biologiques ont été ouverts à Vinnytsia, Ternopil, Uzhhorod, Kiev, Dniepropetrovsk, Simferopol, Kherson, Lviv (3 laboratoires pour cette ville !) et Lugansk, avec le soutien des USA. Aujourd’hui, les laboratoires biologiques du Pentagone sont rassemblés en demi-cercle autour de la Russie.
En 2012, la modernisation d’un laboratoire biologique en Azerbaïdjan a été conduite également avec le soutien des USA. La création de centres similaires en Ouzbékistan et au Kirghizstan fait également partie des projets américains. Certaines éléments laissent à penser que Ken Alibek, un ancien militaire micro-biologiste soviétique, et actuellement citoyen US, après avoir émigré aux USA au début de la décennie 1990 – ayant transmis des informations secrètes aux Américains concernant le programme militaro-biologique – sera aux commandes du centre biologique du Kazakhstan. Depuis son retour en 2010 dans ce pays, Alibek est le chef d’un service à l’université de Nazarbayev; et dans le même temps, il est aussi le directeur général d’une holding, National Medical Holdings JSC.
L’intérêt US pour la création de centres biologiques dans les États voisins de la Russie, est prouvé par des faits. En 2010, le centre trans-européen pour la détection d’agents biologique menaçants (TECDOBA) a été lancé sous la direction conjointe du laboratoire de biotechnologie finno-russe, basé à Turku. A la différence des cas ukrainien et géorgien, le travail du centre était planifié en partenariat avec la Russie, et le projet approuvé par le gouvernement finnois. Il a été arrêté soudainement, sans aucun motif. D’après des sources privées, la collaboration entre les deux pays a cessé sous l’injonction impérative de Washington, au moment même où les USA lançaient leur laboratoire biologique en Géorgie.
Ce ne sont pas seulement le Pentagone et les départements spéciaux US qui sont impliqués dans ce programme biologique à finalités militaires, mais aussi les membres de l’Alliance pour la biosécurité. Ce groupe d’industries inclut: Bavarian Nordic, Cangene Corporation, DOR BioPharma, DynPort Vaccine Company, Elusys Therapeutics, Emergent BioSolutions, Hematech, Human Genome Sciences, NanoViricides, Pfizer, PharmAthene, Siga Technologies et Unither Virology. Elles font toutes partie intégrante du monde des grosses boîtes pharmaceutiques. Ce petit univers clos où les intérêts défendus par les congressistes US sont très souvent liés à ceux des industries militaires et pharmaceutiques…
Project Veritas: au Pentagone la nocivité des vaccins à ARN messager est un secret de Polichinelle
Anthony Fauci a dissimulé au Sénat les origines du COVID et les implications américaines dans la recherche menée au Laboratoire P4 de Wuhan. C’est confirmé par une nouvelle vidéo et des documents secrets que s’est procurés Project Veritas. Ces documents viennent compléter des informations datant de la fin du printemps 2021 et que nous avions déjà présentées à nos lecteurs. Surtout, ils confirment comment les médias subventionnés ont créent un écran de fumée permanent qui dissimule la réalité et permet aux dirigeants d’agir de façon dissimulée. Dans les bureaux capitonnés du Pentagone, on dit la vérité non seulement sur l’origine accidentelle de la pandémie mais aussi sur la nocivité des vaccins à ARN messager
Voici, pour nos lecteurs, en traduction française, les explications données par Project Veritas, qui accompagnent la vidéo:
“[WASHINGTON, D.C. – 10 janvier 2022] Project Veritas a obtenu des documents surprenants et jamais vus auparavant concernant les origines du COVID-19, la recherche sur les gains de fonctions, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés, et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout cela.
Les documents en question proviennent d’un rapport de la Defense Advanced Research Projects Agency, mieux connue sous le nom de DARPA, et étaient cachés dans un disque étiqueté “top secret”.
La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.
Project Veritas a obtenu un rapport adressé à l’Inspecteur Général du Département de la Défense écrit par le Major du Corps des Marines, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.
Le rapport indique qu’EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018, demandant un financement pour mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu’elle violait le moratoire sur la recherche de gain de fonction de base.
Selon les documents, le NAIAD, sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.
Le Dr Fauci a affirmé à plusieurs reprises, sous serment, que les NIH et NAIAD n’ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d’EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a certainement classé la recherche comme un gain de fonction.
“La proposition ne mentionne ni n’évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)”, une citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.
Le rapport du Major Murphy détaille les grandes inquiétudes suscitées par le programme COVID-19 de gain de fonction, la dissimulation de documents, la suppression de remèdes potentiels, comme l’Ivermectin et l’Hydroxychloroquine, et les vaccins à ARNm.
Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents cachés et s’est entretenu avec le responsables des communications de documents, Jared Adams, qui a déclaré : “Cela ne me semble pas normal”, lorsqu’il a été interrogé sur la manière dont les documents ont été entourés de secret. “Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée”, a déclaré M. Adams. “Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non.”
Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O’Keefe, a posé une question fondamentale à la DARPA :
“Qui à la DARPA a pris la décision d’enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d’alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d’autres.”
Le Dr Anthony Fauci n’a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire”.
Pour comprendre les documents antérieurs publiés dans la presse de langue anglaise, auxquels il est fait allusion, nous rappelons ce que nous avions exposé à nos lecteurs.
Quand la DARPA refusait, d’autres départements du Pentagone acceptaient de financer la recherche d’EcoHeath Alliance
Le Pentagone a versé sur plusieurs années 39 millions de dollars à Eco Health Alliance, une ONG qui a elle-même transféré de l’argent à l’Institut de virologie de Wuhan. Quelle partie de cette somme est-elle allée aux recherches du Docteur Shi Zhengli, la désormais célèbre “Batwoman”, soupçonnée d’être à l’origine de l’accident de laboratoire qui aurait déclenché la crise du COVID-19? Il va falloir continuer à investiguer mais le comportement d’Anthony Fauci ou de Peter Daszak, scientifique d’origine britannique, collaborateur de longue date de Madame Shi et directeur d’Eco Health Alliance révèle des hommes qui ont cherché à effacer des traces compromettantes d’une collaboration avec les recherches les plus dangereuses menées à Wuhan.
Au début 2020, Donald Trump a vite repéré un sérieux problème
Jusqu’en 2020, EcoHealth Alliance ne s’est jamais caché de ses liens avec l’Institut de virologie de Wuhan. India Today a rediffusé récemment des déclarations décomplexées de Peter Daszak, le responsable de l’organisation sur ce sujet. Et tout expert du secteur savait que cette ONG, créée pour étudier les nouvelles maladies, finançait également des expériences universellement controversées (qu’elles fussent menées en Chine, en France ou aux Etats-Unis) de “gain de fonction”, qui consistent à rendre des virus dangereux plus infectieux pour étudier leurs effets sur les cellules humaines.
Et puis est venu l’épidémie de COVID 19. Rapidement, les soupçons se sont tournés vers le laboratoire P4 de Wuhan. Une tempête politique a éclaté en mai 2020, lorsque l’ancien président Donald Trump a annulé une subvention de 3,7 millions de dollars destinée à EcoHealth Alliance et plus particulièrement à Peter Daszak. En fait, l’ancien président américain avait suffisamment d’informations sur le fait que l’argent gouvernemental avait été très mal utilisé. Et contre ceux qui criaient au scandale, les informations dont nous disposons aujourd’hui lui donnent raison.
En effet, des données sur les subventions fédérales rassemblées par James Baratta et Mariamne Everett montrent qu’EcoHealth Alliance a reçu plus de 123 millions de dollars du gouvernement – de 2017 à 2020 – et que l’un de ses plus grands bailleurs de fonds est le ministère de la Défense, qui a versé près de 39 millions de dollars à l’organisation depuis 2013.
Il va bien entendu falloir déterminer quelle part de cet argent a été consacrée à la recherche menée à l’Institut de virologie de Wuhan – et nous savons par les documents de Project Veritas que la DARPA a refusé le “Projet Defuse” – mais il ne fait aucun doute que de l’argent a été versé par certaines branches du Pentagone comme le montrent à la fois l’intitulé des financements et le comportement suspect de Fauci et Daszak.
De l’argent du Pentagone pour le développement de recherches intéressant hautement l’armée chinoise
Les subventions du Pentagone comprenaient 6 491 025 dollars de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) de 2017 à 2020 avec la description suivante : “Comprendre le risque d’émergence de zoonoses transmises par les chauves-souris en Asie occidentale “.
La subvention a été classée dans la catégorie ” recherche scientifique – lutte contre les armes de destruction massive “. On appréciera cette inversion totale de la réalité puisque, comme nous l’avons indiqué dans un précédent article, l’Armée Populaire de Libération comptait beaucoup sur les recherches menées dans le P4 de Wuhan pour développer des armes biologiques. De même que la mission du DTRA est de “contrer et dissuader les armes de destruction massive et les réseaux de menaces improvisées”, EcoHealth Alliance vous pose la question sur son site web: ” Qui s’interpose entre vous et la prochaine pandémie?”.
EcoHealth Alliance a également reçu 64,7 millions de dollars de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), 13 millions de dollars de Health and Human Services, qui comprend les National Institutes of Health et les Centers for Disease Control, 2,3 millions de dollars du Department of Homeland Security et 2,6 millions de dollars de la National Science Foundation.
Et, comme résume le Daily Mail: “Un chiffre de financement gouvernemental de 3,4 millions de dollars a été largement commenté, après que le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, Anthony Fauci, a été interrogé lors d’une audition au Sénat sur la quantité d’argent que les National Institutes of Health ont envoyé au laboratoire de Wuhan via ses subventions à EcoHealth Alliance en 2019. Mais les chiffres totaux des subventions, y compris le financement du Pentagone sont beaucoup plus importants”. James Baratta et Marianne Everett ont rassemblé les déclarations de subventions des agences gouvernementales américaines à EcoHealth Alliance. Ils ont découvert que la déclaration de l’EHA concernant son vaste financement militaire se trouve dans la section “Politique de confidentialité” de son site web, sous le titre “EcoHealth Alliance Policy Regarding Conflict of Interest in Research”. Dans cette déclaration, l’EHA indique qu’elle est “le bénéficiaire de diverses subventions de la part d’agences fédérales, dont le National Institute of Health, la National Science Foundation, l’US Fish and Wildlife Service, l’US Agency for International Development et le Department of Defense”. EcoHealth Alliance ne divulgue pas le montant exact de son financement par le Pentagone.
Plongée dans les eaux troubles du marécage: de Bagdad 2002 à Wuhan 2019
En 2014, l’administration Obama a instauré un moratoire, qui interdisait de mener aux USA la recherche sur le “gain de fonction”, après que des scientifiques se soient inquiétés du fait qu’elle pourrait conduire à une pandémie mondiale due à un virus génétiquement amélioré s’échappant d’un laboratoire.
Les expériences financées par EcoHealth Alliance en Chine relevaient du même type de recherche. Eh bien, pour contourner le moratoire du gouvernement Obama, EHA a utilisé une faille qui autorise la recherche dans les cas “d’urgence pour protéger la santé publique ou la sécurité nationale”, James Baratta et Marianne Everett, toujours eux, ont découvert que l’un des “conseillers politiques” d’EcoHealth Alliance est David Franz, ancien commandant du principal centre de guerre et de biodéfense biologique du gouvernement américain, Fort Detrick. Franz est surtout connu comme ayant été placé par le Pentagone dans la Commission spéciale des Nations Unies qui avait inspecté l’Irak en 2002 à la recherche d’armes biologiques, chimiques ou nucléaires. Le même homme qui avait contribué à inventer des armes qui n’existaient pas en Irak se retrouve, deux décennies plus tard, à dissimuler des recherches létales menées par son pays.
Quand le Docteur Daszak créait des fake news
En février 2020, M. Daszak a persuadé plus d’une vingtaine d’autres scientifiques de signer une lettre qu’il avait adressée au très respecté journal médical The Lancet. Comme le résume très bien le Daily Mail: “Cette lettre a intimidé la plupart des experts, qui ont refusé d’envisager que le virus puisse avoir été fabriqué par l’homme et s’être échappé de l’institut de Wuhan. Jamie Metzl, ancien haut fonctionnaire de l’administration Clinton, qui siège aujourd’hui au comité consultatif de l’Organisation mondiale de la santé sur l’édition du génome humain, a déclaré au DailyMail.com que la lettre du Lancet “était de la propagande scientifique et une forme de brutalité et d’intimidation”.
La lettre commune, publiée dans le journal médical le 19 février 2020, faisait l’éloge des scientifiques chinois “qui continuent à sauver des vies et à protéger la santé mondiale face à l’épidémie de Covid-19” et ajoutait : “Nous sommes unis pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas une origine naturelle”. Le 21 juin 2021, soit plus d’un an après, The Lancet publiait une mise au point de Peter Daszak qui assurait qu’il n’était pas en conflit d’intérêt en co-signant le courrier de février 2020 étant donné qu’il n’avait jamais reçu d’argent d’un laboratoire chinois sur ce sujet. Et pour cause, c’est lui qui en versait !
Evidemment, vu toutes ces révélations dans les médias avant l’été 2021, chaque département du Pentagone a fait évaluer en interne son évaluation au risque. Le document le plus intéressant de ceux publiés par Project Veritas est précisément cette évaluation du risque pour la DARPA par le Major Murphy, que nous mettons à diposition de nos lecteurs ci-dessus.
Elle contient en outre un témoignage extraordinaire de la liberté avec laquelle, au sein du Pentagone, on évaluait, il y a quelques mois, les origines du COVID-19 et, surtout, la réalité des vaccins à ARN messager.
Une analyse très détaillée en a été proposée par un compte sérieux sur Twitter. Les lecteurs pourront cliquer sur le tweet pour dérouler le THREAD (fil twitter):
Ivermectine – HCQ & mRNA
P_r_o_j_e_c_t ° V_e_r_i_t_a_s nous apprend cette nuit que l’OMS et les acteurs criminels de cette crise savent depuis avril 2020 que l’Ivermectine, l’hydroxychloroquine et l’interféron sont des traitements curatifs contre le Covid.
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Ils savaient aussi que les injections génétiques ARNm étaient toxiques et responsables des mêmes effets secondaires que le virus naturel et dangereux pour les humains !
Que dit le document militaire ?
L’armée américaine produit régulièrement des virus, bactéries et toxines mortels en violation directe de la Convention des Nations Unies sur l’interdiction des armes biologiques. Des centaines de milliers de personnes involontaires sont systématiquement exposées à des agents pathogènes dangereux et à d’autres maladies incurables. Des scientifiques de la guerre biologique utilisant la couverture diplomatique testent des virus artificiels dans les laboratoires biologiques du Pentagone dans 25 pays à travers le monde. Ces bio-laboratoires américains sont financés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) dans le cadre d’un programme militaire de 2,1 milliards de dollars – Cooperative Biological Engagement Program (CBEP), et sont situés dans des pays de l’ex-Union soviétique tels que la Géorgie et l’Ukraine, au Moyen-Orient, Asie du Sud-Est et Afrique.
La Géorgie comme terrain d’essai
Le Lugar Center est le laboratoire biologique du Pentagone en Géorgie. Il est situé à seulement 17 km de la base aérienne militaire américaine de Vaziani dans la capitale Tbilissi. Le programme militaire est confié à des biologistes de l’unité de recherche médicale de l’armée américaine en Géorgie (USAMRU-G) ainsi qu’à des entrepreneurs privés. Le laboratoire de biosécurité de niveau 3 est accessible uniquement aux citoyens américains disposant d’ une habilitation de sécurité . Ils bénéficient de l’immunité diplomatique en vertu de l’accord de 2002 entre les États-Unis et la Géorgie sur la coopération en matière de défense.
Le Lugar Center, République de GéorgieL’armée américaine a été déployée sur la base aérienne militaire de Vaziani, à 17 km du laboratoire biologique du Pentagone au Lugar Center.
L’accord USA-Géorgie accorde un statut diplomatique au personnel militaire et civil américain (y compris les véhicules diplomatiques), travaillant sur le programme du Pentagone en Géorgie.
Les informations obtenues du registre fédéral américain des contrats clarifient certaines des activités militaires du Lugar Center – parmi lesquelles la recherche sur les bio-agents (anthrax, tularémie) et les maladies virales (par exemple la fièvre hémorragique de Crimée-Congo) et la collecte d’échantillons biologiques pour futures expérimentations.
Des sous-traitants du Pentagone produisent des agents biologiques sous couverture diplomatique
La Defense Threat Reduction Agency (DTRA) a externalisé une grande partie du travail dans le cadre du programme militaire à des entreprises privées, qui ne sont pas tenues responsables devant le Congrès, et qui peuvent opérer plus librement et contourner l’état de droit. Le personnel civil américain effectuant des travaux au Lugar Center bénéficie également de l’immunité diplomatique, bien qu’il ne soit pas diplomate. Par conséquent, les entreprises privées peuvent effectuer des travaux, sous couverture diplomatique, pour le gouvernement américain sans être sous le contrôle direct de l’État hôte – dans ce cas, la République de Géorgie. Cette pratique est souvent utilisée par la CIA pour couvrir ses agents. Trois entreprises privées américaines travaillent au bio-laboratoire américain de Tbilissi – CH2M Hill, Battelle et Metabiota. Outre le Pentagone,
CH2M Hill a remporté des contrats DTRA de 341,5 millions de dollars dans le cadre du programme du Pentagone pour des laboratoires biologiques en Géorgie, en Ouganda, en Tanzanie, en Irak, en Afghanistan et en Asie du Sud-Est. La moitié de cette somme ( 161,1 millions de dollars ), étant allouée au Lugar Center, dans le cadre du contrat géorgien. Selon CH2M Hill, la société américaine a obtenu des agents biologiques et a employé d’anciens scientifiques de la guerre biologique au Lugar Center. Ce sont des scientifiques qui travaillent pour une autre société américaine impliquée dans le programme militaire en Géorgie – Battelle Memorial Institute.
Battelle, en tant que sous-traitant de 59 millions de dollars au Lugar Center, possède une vaste expérience dans la recherche sur les bio-agents, car la société a déjà travaillé sur le programme américain d’armes biologiques dans le cadre de 11 contrats précédents avec l’armée américaine (1952-1966).
Source : Activités de l’armée américaine aux États-Unis , programmes de guerre biologique, vol. II, 1977, p. 82
Project Clear Vision (1997 et 2000), une enquête conjointe de la CIA et du Battelle Memorial Institute, dans le cadre d’un contrat attribué par l’Agence, a reconstruit et testé une bombe à anthrax de l’ère soviétique afin de tester ses caractéristiques de diffusion. L’objectif déclaré du projet était d’évaluer les caractéristiques de diffusion des bio-agents des petites bombes. L’opération clandestine CIA-Battelle a été omise des déclarations de la Convention américaine sur les armes biologiques soumises à l’ONU.
Expériences top secrètes
Battelle a exploité un laboratoire Top Secret Bio (National Biodefense Analysis and Countermeasures Center – NBACC) à Fort Detrick, Maryland dans le cadre d’un contrat du Département américain de la sécurité intérieure (DHS ) au cours de la dernière décennie. L’entreprise a obtenu un contrat fédéral de 344,4 millions de dollars (2006 – 2016) et un autre contrat de 17,3 millions de dollars (2015 -2026) du DHS.
Le NBACC est classé comme une installation Top Secret aux États-Unis .Crédit photo : DHS
Outre les expériences militaires au Lugar Center en Géorgie, Battelle a déjà produit des agents de bioterrorisme au Biosafety Level 4 NBACC Top Secret Laboratory à Fort Detrick aux États-Unis. Une présentation du NBACC énumère 16 priorités de recherche pour le laboratoire. Parmi eux, caractériser les agents pathogènes classiques, émergents et génétiquement modifiés pour leur potentiel BTA (agent de menace biologique) ; évaluer la nature de l’induction non traditionnelle, nouvelle et non endémique de la maladie à partir d’un BTA potentiel et étendre la capacité de test de provocation par aérosol pour les primates non humains.
Des scientifiques conçoivent des agents pathogènes au laboratoire du NBACC. Crédit photo : NBACC
La société américaine Metabiota Inc. a obtenu des contrats fédéraux de 18,4 millions de dollars dans le cadre du programme DTRA du Pentagone en Géorgie et en Ukraine pour des services de conseil scientifique et technique. Les services de Metabiota comprennent la recherche mondiale sur le terrain sur les menaces biologiques, la découverte d’agents pathogènes, la réponse aux épidémies et les essais cliniques. Metabiota Inc. avait été engagé par le Pentagone pour effectuer des travaux pour DTRA avant et pendant la crise d’Ebola en Afrique de l’Ouest et a reçu 3,1 millions de dollars (2012-2015) pour des travaux en Sierra Leone – l’un des pays à l’épicentre de l’épidémie d’Ebola .
Metabiota a travaillé sur un projet du Pentagone à l’épicentre de la crise d’Ebola, où se trouvent trois biolabs américains.
Un rapport du 17 juillet 2014 rédigé par le Viral Hemorrhagic Fever Consortium accusait Metabiota Inc. de ne pas avoir respecté un accord existant sur la manière de rapporter les résultats des tests et d’avoir contourné les scientifiques sierra-léonais qui y travaillaient. Le rapport a également évoqué la possibilité que Metabiota cultivait des cellules sanguines au laboratoire, ce qui, selon le rapport, était dangereux, ainsi que des diagnostics erronés de patients en bonne santé.Toutes ces allégations ont été démenties par Metabiota.
2011, The Lugar Center, Andrew C. Weber (à droite) – Secrétaire adjoint américain à la Défense (2009-2014), coordinateur adjoint du DoD américain pour la réponse à Ebola (2014-2015), est actuellement un employé de Metabiota (l’entrepreneur américain) .Pages: 1 2 3 4 5 6 7Source : reseauinternational