Une épidémie de bronchiolites très médiatisée frappe les enfants actuellement.
Même le ministre de la Santé, François Braun, admettait ce 9 novembre 2022 face à l’Assemblée nationale que les services pédiatriques étaient plus que saturés.
La conséquence logique à tout cela est que le 10 novembre une pédiatre alertait sur la pratique du tri des patients.
De son côté, le personnel soignant doit porter tout ce petit monde. « Nous sommes débordés parce que les services manquent de médecins et surtout d’infirmières, ils sont donc obligés de fermer des lits », dit également Stéphane Dauger. Souvenez-vous du personnel licencié pour cause de non-vaccination anti-covid… Cela vient s’ajouter à toutes les autres mesures de restrictions budgétaires et de surcharge du personnel en place. Un peu partout, ce personnel hospitalier sous-estimé, voire harcelé, démissionne en masse. A relever qu’à cette période le personnel lui-même peut être malade comme tout un chacun.
Une stratégie sanitaire qui intègre la fermeture de lits en toutes circonstances
Saviez-vous que malgré la crise Covid on continue de fermer des lits?
Bébés et enfants soignés dans les corridors.
Plus choquant, nous apprenions il y a quelques jours qu’à Nantes la réanimation des petits patients se faisaient dans les couloirs de l’hôpital. Selon le Pr Christèle Gras Le Guen, tous » les lits sont occupés depuis des semaines, avec plus de 100% d’occupation. On fait de la réanimation dans les couloirs. On pousse des enfants aux urgences dans des petits coins pour pouvoir leur administrer de l’oxygène en attendant qu’une place se libère. L’autre nuit encore, on a transféré un enfant à Rennes. Le manque de lits en soins critiques est criant. »
Un virus qui devient plus agressif
De l’aveu du ministre de la Santé, le taux d’hospitalisation dû à l’épidémie actuelle est « sans précédent depuis 10 ans ». Il faut dire qu’il y a une nouveauté : cette maladie qui touchait principalement les moins de 2 ans et les personnes fragiles s’est étendue aux grands enfants. Ceux-ci sont actuellement à risque d’hospitalisation pour un virus qui jusque-là se présentait comme un simple rhume. Pourquoi cette amplification ? Le virus a-t-il muté ? Si oui comment et pourquoi ?
Le virus respiratoire syncytial, Human orthopneumovirus, (VRS, ou HRSV pour Human Respiratory Syncytial Virus ; de syncytium) est la cause la plus fréquente, dans le monde, d’infections respiratoires des jeunes enfants. Très contagieux, ce virus infecte principalement les nourrissons âgés de moins de deux ans. Chez l’adulte, l’infection à VRS est rare, bénigne (sauf chez le sujet âgé), elle est responsable d’une rhinite ou d’un syndrome pseudogrippal. (Wikipédia)
Résumons. Nous sommes confrontés à un virus qui a élargi son impact. Il semble devenir plus virulent et a d’ores et déjà élargi sa population-cible.
Qui dit virus, dit la Fondation Gates. Ils sont, avec la Wellcome Trust Foundation, les chefs d’orchestres de la Santé publique mondiale. Il est donc normal qu’ils s’expriment sur le sujet. Voici un papier publié par Keith Klugman – Directeur Pneumonie de la Fondation Bill & Melinda Gates.
Le Dr Klugman confirme ce que l’on savait déjà. Le virus respiratoire syncytial, ou VRS, est un virus courant, dont de nombreuses personnes n’avaient jamais entendu parler jusqu’à récemment, à l’exception des parents et des pédiatres.
Le vaccin, LA réponse au SRV….
Un vaccin avait été testé dans les années 60. L’expérience s’est soldée par un échec qu’admettent les rédacteurs de Wikipédia. voici ce qu’en dit une scientifique qui commentait les velléités d’éradication de la Polio par la vaccination promue par les Gates.
Le vaccin contre le VRS développé à la fin des années soixante a clairement échoué. Fulginiti et al. (1969). Immunisations contre les virus respiratoires. I. Un essai sur le terrain de deux vaccins à virus respiratoires inactivés… Am J Epidemiology ; 80 (4): 435-448) et d’autres ont montré que le vaccin était inefficace, induisant une réponse clinique exagérée et altérée… provoquant une maladie à VRS nécessitant des hospitalisations parmi les vaccins et une hypersensibilité cutanée retardée.
(Source:https://www.bmj.com/content/344/bmj.e2398/rr/599724 – Respiratory virus immunization. I. A field trial of two inactivated respiratory virus vaccines; an aqueous trivalent parainfluenza virus vaccine and an alum-precipitated respiratory syncytial virus vaccine)
Il n’existe pas encore de vaccin contre le VRS qui puisse protéger les nourrissons. Mais…
Un timing parfait. Extraordinaire sens de l’anticipation avec des résultats quasi parfaits!
Les données ont montré une réduction de 81,8 % des cas graves de VRS chez les nourrissons au cours des 90 premiers jours de vie et une réduction de 69,4 % chez les nourrissons de moins de six mois.
Keith Klugman
Et comme dans le cas du Covid, les résultats n’ont pas encore été évalués par des pairs, mais ils sont prometteurs. Les résultats réels seront à scruter dans quelques années. Quand l’essentiel des enfants auront dû se faire vacciner.
Gates finance les vaccins contre le SRV
L’un des principaux objectifs de [la subvention de la fondation] est le développement d’un flacon multidose abordable pour l’administration du vaccin contre le VRS dans les pays à faible revenu.
KK
M Klugman écrit qu’en septembre (donc AVANT la fameuse épidémie), ils avaient annoncé une subvention pour soutenir le développement de ce vaccin candidat potentiellement salvateur et pour en faciliter l’accès dans les pays à faible revenu s’il reçoit l’approbation réglementaire appropriée. L’un des principaux objectifs de cette subvention est le développement d’un flacon multidose abordable pour la livraison du vaccin contre le VRS dans les pays à faible revenu où l’espace de réfrigérateur nécessaire pour conserver les vaccins au frais est extrêmement limité.
Nous sommes optimistes que ce vaccin pourrait être disponible pour les pays à faible revenu à un prix abordable d’ici 2024.
… Les industriels sont d’ores et déjà prêts
Et voilà que dans un timing parfait, les industriels financiarisés de BigPharma sont DÉJÀ prêts. Enfin aussi prêts qu’ils l’ont été pour le vaccin Covid.
Voici ce que Moderna a dans le pipeline. Tout est à base de ARNm. Vous constaterez que le vaccin contre la bronchiolite viendra en combinaison avec d’autres vaccins, notamment celui du Covid. Bref, les vaccins semblent devoir remplacer le système immunitaire naturel de l’individu.
Les vaccins à ARNmessager peuvent entrer dans les noyaux des cellules et les modifier !
L’avenir des vaccins sera à base de génétique ARNm. Et pour ceux qui ne croient pas que cela pénètre les noyaux, voici la publication qui le prouve. nous l’avions déjà publiée :
Les études précliniques du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2, développé par Pfizer et BioNTech, ont montré des effets hépatiques réversibles chez les animaux ayant reçu l’injection de BNT162b2. De plus, une étude récente a montré que l’ARN du SRAS-CoV-2 peut être rétrotranscrit et intégré dans le génome des cellules humaines. Dans cette étude, nous avons étudié l’effet de BNT162b2 sur la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7 in vitro. Les cellules Huh7 ont été exposées à BNT162b2 et une PCR quantitative a été réalisée sur l’ARN extrait des cellules. Nous avons détecté des niveaux élevés de BNT162b2 dans les cellules Huh7 et des changements dans l’expression génique de l’élément nucléaire 1 intercalé long (LINE-1), qui est une transcriptase inverse endogène. L’immunohistochimie utilisant la liaison d’anticorps à la protéine de liaison à l’ARN du cadre de lecture ouvert LINE-1 (ORFp1) sur des cellules Huh7 traitées avec BNT162b2 a indiqué une distribution accrue du noyau de LINE-1. La PCR sur l’ADN génomique des cellules Huh7 exposées à BNT162b2 a amplifié la séquence d’ADN unique à BNT162b2. Nos résultats indiquent une absorption rapide de BNT162b2 dans la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7, entraînant des modifications de l’expression et de la distribution de LINE-1. Nous montrons également que l’ARNm de BNT162b2 est transcrit de manière intracellulaire en ADN en aussi peu que 6 h lors de l’exposition à BNT162b2. https://www.mdpi.com/1467-3045/44/3/73
Voici une publication où nous alertions sur la chose dès 2021.
Dernière chose à savoir sur le RSV et non des moindres
Ce que je vous écris là vient de la scientifique présentée ci-dessus. Tous ses commentaires, en réponse à la volonté de la Communauté internationale menée par les Gates d’éradication de la Polio, s’appuient sur des sources vérifiables. On peut supposer que le journal scientifique qui a maintenu son commentaire l’approuve. https://www.bmj.com/content/344/bmj.e2398/rr/599724
Avant juillet 1960, les virus grippaux et parainfluenza prédominaient dans les infections respiratoires épidémiques infantiles; en juillet 1961, le schéma a changé brusquement avec une augmentation soudaine des bronchiolites et des bronchites, peu fréquentes auparavant. 58% avaient moins de 12 mois et les patients de moins de 4 ans prédominaient. Les nourrissons atteints de bronchiolite et de bronchite sévère ont présenté des ACR, non isolés auparavant. Des décès sont survenus.
Beem et al. (1960. Association de l’agent du virus du coryza du chimpanzé avec une maladie respiratoire aiguë chez les enfants. NEJM; 263 (11): 523-539) ont isolé le virus chez des patients hospitalisés et ambulatoires au Bobs Robert Memorial Hospital for Children (Université de Chicago) au cours de la hiver 1958-1959, en association avec une maladie respiratoire aiguë humaine. Le virus (nommé Randall) avait un effet cytopathique inhabituel caractérisé par de vastes zones syncytiales et des cellules géantes. Bientôt, 48 agents similaires ont été isolés chez 41 patients. Il y avait des similitudes antigéniques entre les souches RV et Long et Sue de CCA; il provoquait des maladies chez l’homme (la tranche d’âge de 3 semaines à 35 ans) : maladies respiratoires aiguës, croup, bronchiolite, pneumonie et asthme allant du coryza léger à la bronchiolite mortelle.
Chanock et Finberg (1957. Recovery from infants with swimming disease of virus related to chimpanzee coryza agent. II. Am J Hyg; 66 : 291-300) ont rapporté deux isolements d’agents similaires chez des nourrissons atteints d’affections respiratoires inférieures graves (bronchopneumonie, bronchiolite et laryngotrachéobronchite). Les deux virus étaient indiscernables d’un agent associé à l’épidémie de coryza chez les chimpanzés (virus CCA) étudié par Morris et al. (1956). Une personne travaillant avec les chimpanzés infectés a ensuite présenté une infection respiratoire avec une augmentation des anticorps CCA pendant la convalescence. Ils ont proposé un nouveau nom pour cet agent « virus respiratoire syncytial » (VRS).
Vaccin contre la Polio et épidémie de bronchiolite
Ce qui précède est confirmé par le Directeur scientifique de Children Health Defense. Dans un article où le site relève la concordance de timing entre la flambée de bronchiolites et l’arrivée des vaccins, on peut lire que » Comme indiqué précédemment par The Defender, « le SRV lui-même est originaire de singes hébergés dans un établissement du Maryland où ils ont été utilisés pour mener des recherches sur le vaccin contre la poliomyélite.
LHK
Rappel
- https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/01/les-nanoparticules-peuvent-sauto-assembler/
- https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/28/reset-de-la-medecine-par-la-nanotechnolgie-transhumanisme-en-vue/
- https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/17/quy-a-t-il-dautre-que-de-larn-messager-dans-le-vaccin/
- https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/04/la-medecine-financiarisee-est-numerique-elle-na-que-faire-dun-raoult-ou-dun-fouche/
- https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/