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19 décembre 2022 1 19 /12 /décembre /2022 18:11
Des suspendus, des (in)humains et des chiens…
 
Voir la France s’enfoncer dans sa psychose paranoïaque est une véritable vision d’horreur pour tout esprit qui n’a pas encore été infecté par cette nouvelle peste brune, savamment inoculée par des « élites » perverses et corrompues.

L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.

 

 

Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…

Le premier épithète est faux, absurde, et même plus : frauduleux et putassier ! On laisse des soignants injectés contagieux contaminer des patients mais des non-injectés naturellement immunisés (la plus robuste forme d’immunité rappelons-le) sont interdits de pratique…

La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…

Quant à l’argument éthique, on se demande par quel mystère de la nature humaine des esprit aussi dépravés que ceux dont il est question osent employer ce terme, si ce n’est par le sentiment tout-puissant d’impunité qui les enivre… et leur fureur perverse à tout profaner, jusqu’au sens des mots.

La persécution que j’évoque va bien sûr bien au-delà de l’interdiction de travailler. Comme le tyran qu’il est bel et bien (au sens le plus littéral, celui du dictionnaire), Emmanuel Macron entend châtier ces professionnels de leur insoumission à son diktat, lequel violait et viole allègrement le code de Nuremberg, les conventions internationales ainsi que le droit constitutionnel, civil et pénal.

Ma foi, tant qu’à se donner la peine de devenir tyran, quelle jouissance y aurait-il si cela ne s’accompagnait de la licence de maltraiter avec un quasi-pouvoir de vie ou de mort des innocents ayant l’outrecuidance de ne pas se soumettre aux injonctions sadiques du potentat ?

La privation des moyens d’existence infligée à ces malheureux, la stigmatisation et la mort sociale auxquelles ils sont condamnés est une ignominie digne des pires régimes totalitaires de l’histoire. Tout ceci se déroulant aujourd’hui, en France, avec la complicité vile et veule des corps constitués et des castes de privilégiés (élus, fonctionnaires, corporations corrompues) qui osent croire et encore prétendre qu’il sont l’élite de ce pays. Que l’Académie de médecine, en particulier, se vautre ainsi dans la fange totalitaire est d’une indignité indicible.

Tous ces gens ne sont plus qu’une lie d’humanité fanatisée, mauvaise, haineuse, et, précisément, déshumanisée.

*******

Je reproduis ici une très belle tribune publiée sur France Soir par Pierre Lecot, d’une limpide et implacable pertinence, avec ma gratitude à son auteur ainsi qu’à ce média digne de ce nom pour leur autorisation. Précédée d’une vidéo que j’ai enregistrée à l’occasion de la journée d’hommage aux victimes des injections géniques expérimentales fallacieusement appelées vaccins.

Je n’y souris point et le ton est sombre de colère.

Je sais (nombre d’âmes bien intentionnées ont attiré mon attention sur ce fait) que le style que j’emploie parfois -comme ici- ne va pas dans le sens de s’adresser de manière engageante aux personnes sous hypnose qu’il s’agirait de convaincre. Et que je fragilise ma position d’expert en renonçant à une parole ayant plus de recul, sinon de diplomatie.

Michel Maffesoli vient d’ailleurs de rappeler fort à propos dans un entretien essentiel accordé à France Soir comment il convient que la posture du savant soit contemplative et non militante. Tout en nommant sans ambages la réalité du système de mensonge qui prévaut actuellement parmi les « élites » – montrant par là la combinaison du penseur et de l’homme vivant dans son temps, attaché à en nommer les phénomènes avec lucidité et une courageuse honnêteté.

  • Pour lire et voir “La puissance populaire ne se reconnaît plus dans cette élite et se moque de ses mensonges”, entretien avec Michel Maffesoli dans France Soir : cliquer ici.

Je crois qu’aucun d’entre nous ne peut jouer tous les rôles. Ma conception du savoir n’est pas dissociée de l’action -c’est mon expérience et mon parcours, je ne prétends pas qu’il doive en être ainsi pour tout le monde, bien au contraire !

J’ai pour ma part renoncé à une carrière universitaire ou administrative pour travailler à appliquer les compréhensions géniales des grands penseurs à la glèbe humaine, dans son quotidien. C’est ainsi que j’ai passé ma vie à créer des dispositifs novateurs en santé, mais aussi vulgarisé au niveau du terrain, pour que les intéressés s’en emparent, des concepts fructueux.

J’assume donc cette position, n’ayant aucune ambition à me faire aussi gros que le bœuf (même si mon corps prend hélas de plus en plus cette direction…)

Je suis et reste un modeste anthropologue de terrain, quand bien même j’y importe des sagacités fulgurantes comme celles de Gaston Bachelard, Gilbert Durand, Michel Maffesoli, Viktor Frankl, David Graeber ou Brenee Brown et bien d’autres, au service des humains là où ils vivent et souffrent.

J’ai l’impression que cette inscription m’a été bénéfique, en soi comme dans la mesure où elle me permet de n’avoir rien ni personne à ménager pour préserver une position, des avantages ou l’approbation de qui que ce soit.

Et quand quelque chose me pue au nez autant que ce que nous évoquons ici, je me laisse la liberté de l’aborder en artiste autant qu’en penseur. Au fond, je revendique (sans prétention) de faire une littérature de combat, certes appuyée sur une expertise intellectuelle et professionnelle, mais essentiellement parole adressée par un pauvre humain à ses frères et sœurs humains.

Alors, je n’emploie pas toujours des mots prudents. Parfois même au contraire. Comme le disait notre vieux complice Léo Ferré :

Nous aboyons avec des armes dans la gueule
Des armes noires et blanches comme des mots noirs et blancs
Noirs comme la terreur que vous assumerez
Blancs comme la virginité que nous assumons
Nous sommes des chiens et les chiens
Quand ils sentent la compagnie, ils se dérangent
Ils se décolliérisent
Et posent leur os comme on pose sa cigarette
Quand on a quelque chose d’urgent à faire
Même et de préférence si l’urgence contient l’idée
De vous foutre sur la margoulette
Je n’écris pas comme de Gaulle ou comme Perse
Je cause et je gueule comme un chien
Je suis un chien !


Soignants suspendus : pourquoi le gouvernement les laisse crever ?

Auteur : Pierre Lecot, pour France Soir. Publié le 13 décembre 2022

Nous avons une nouvelle fois vécu une parodie de démocratie. Le 24 novembre, la petite bande au pouvoir en France a encore usé de tous les stratagèmes à sa disposition pour satisfaire aux caprices de Jupiter : continuer de laisser crever les soignants suspendus. La France est désormais seule en Europe à maintenir cette loi inhumaine. Le ministre de la Santé a même dévoilé les vraies raisons du blocage : l’ego du chef et la rancœur de quelques soldats qui ont obéi et préfèrent bannir les dissidents que d’y être confronté. Comme pour toutes les statistiques, le gouvernement maintient le flou sur leur nombre réel et ne compte que ce qui l’arrange. Enfin, nous verrons que la totalité des statistiques à notre disposition nous montre à quel point cette décision ne repose sur rien de scientifique. Une vidéo sur le sujet est disponible ici.

Un gouvernement minoritaire qui s’arroge tous les pouvoirs

Les Français se sont malheureusement habitués à vivre dans un régime ploutocratique et sans contre-pouvoirs. Dans la mandature précédente, l’hyperprésident Macron avait réussi à faire élire un nombre suffisamment grand de députés LREM, dont le seul rôle a été de voter toutes les propositions du gouvernement en refusant le reste. Cette mascarade a permis de cacher un totalitarisme gouvernemental, gardant l’illusion de la démocratie en faisant voter des lois par le Parlement. Pour cette nouvelle mandature, les règles du jeu ont changé. Les soldats LREM ne sont plus assez nombreux pour faire passer toutes les volontés de leurs maîtres. Heureusement, le désormais célèbre 49.3 est là pour pallier à tous les manques. L’intervention pleine d’ironie du député Pierre Dharréville permet d’en apprécier toute la saveur. Les partis se présentant comme “de l’opposition” déposent des motions de censure pour faire bonne figure, mais les parlementaires s’arrangent toujours pour qu’elles ne passent jamais. On les comprend, la soupe est bonne. Le 24 novembre, à l’occasion du projet de loi concernant la réintégration des soignants, le gouvernement a encore innové. Le député Manuel Bompard nous détaille dans un thread Twitter comment le gouvernement s’est sorti de l’impasse. Lorsque les membres du gouvernement se sont rendu compte que la proposition de loi allait passer, ils ont fait déposer 200 sous-amendements aux députés LREM de façon à empêcher le vote de se tenir. Certaines pépites sont diffusées par la députée Martine Etienne. Par exemple, un amendement doit être débattu pour écrire “personnes” au lieu de “personnels”. Malheureusement pour les députés LREM, le député LR ayant déposé l’amendement d’origine sur lesquels se sont appuyés les 200 sous-amendements était absent à la reprise des débats, faisant s’écrouler la stratégie mesquine. Pour ne pas perdre la face, c’est le gouvernement lui-même qui est venu déposer un amendement en catastrophe pour récupérer les 200 sous-amendements factices et empêcher la tenue du vote avant la fermeture des débats. Dans la mandature précédente, nous avions un gouvernement qui œuvrait contre le peuple en utilisant un Parlement fantoche. Aujourd’hui, nous avons un gouvernement qui œuvre contre le peuple et qui lutte contre le Parlement. Vous avez dit démocratie ?

 

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