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3 décembre 2023 7 03 /12 /décembre /2023 16:38

Les drogues et leurs réseaux de distributeurs sont devenus le problème de sécurité le plus important de France et le deviendront de plus en plus ; en effet j'ai prévenu plusieurs fois que le fléau de la drogue avait anéanti l'empire du Milieu au XIXème, coup asséné par la Compagnie des Indes Anglaises, vous découvrirez les détails dans les liens suivant.

A la fin la Chine fût incapable de réagir à la submersion de l'opium, toutes les classes de la société étaient infestées par ce fléau ; le système était corrompu par les mandarins eux mêmes, tant et si bien que l'empire s'effondra sous les coups extérieurs mais également par ce que les élites avaient perdues le sens de leur devoirs envers la nation Chinoise.

 

Ici une députée Renaissance dit : "Tout en refusant de les condamner, elle appelle à plus d’empathie envers ces personnalités gouvernementales, dénonçant les dérives comme étant le symptôme d’un engagement excessif plutôt que de jeter le discrédit sur ces individus."

 

Une seule chose a faire ç'est dire NON ! Et se coaliser pour arrêter ces abus ! C'est pas compliqué ! Il n'y a ni excuse ni empathie, le travail de parlementaire doit rester un service pour la Nation et non une partie de plaisir entre copains, soit corrompus, dealers ou usagers.

 

Car la Macronie ce sont des affaires de corruption, violences sexuelles (due parfois à l'abus de drogues) deal, tentatives de viols avec violence....

 

Henry

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La députée Caroline Janvier, membre du parti macroniste, prend la parole, brisant ainsi le tabou persistant autour de la consommation de drogues et d'alcool dans les cercles politiques. Ses déclarations font suite à l'affaire Joël Guerriau, secouant la classe politique suite aux accusations portées à l'encontre du sénateur, impliqué dans une affaire d'agression sexuelle à l'encontre de la parlementaire MoDem Sandrine Josso.

 

mise à jour le 02/12/23

Crédit photo : Capture d’écran de Caroline Janvier, députée du Loiret.

Caroline Janvier, représentante du Loiret, a pris la décision courageuse de parler franchement de la réalité des soirées politiques : « Il y a des soirées où de la drogue circule. Comme il y a des dîners ou des fins de sessions parlementaires où il y a une consommation excessive d’alcool », confie-t-elle sans détours à Paris Match.

Louant le courage de Sandrine Josso pour avoir pris la parole, Caroline Janvier souligne la nécessité d’analyser cette problématique comme un système, sans pour autant justifier ces comportements déviants. Élue depuis 2017, elle témoigne des dérives observées au Palais Bourbon, principalement lors des séances nocturnes ou à la suite de soirées alcoolisées.

 

Elle appuie ses propos sur un aspect peu exploré du quotidien politique : la pression inhérente à cette vie, le rythme effréné et l’exigence d’un sans-faute permanent sous les feux des médias. Caroline Janvier admet elle-même avoir cédé à la tentation de la surconsommation d’alcool pour faire face à ce rythme effréné, soulignant l’existence d’un dilemme : soit maintenir une hygiène de vie exemplaire, soit recourir à des artifices pour tenir le coup.

Mais la députée ne s’arrête pas là. Elle révèle que ces pratiques addictives ne se limitent pas aux députés mais touchent également certains membres du gouvernement, soulignant un niveau de pression insoutenable. Tout en refusant de les condamner, elle appelle à plus d’empathie envers ces personnalités gouvernementales, dénonçant les dérives comme étant le symptôme d’un engagement excessif plutôt que de jeter le discrédit sur ces individus.

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