1. La Haute Cour fédérale condamne le gouvernement #Trudeau
(https://vk.com/feed?section=search&q=%23Trudeau) pour avoir utilisé l’état d’urgence en 2022 face aux magnifiques convois de la liberté ! Saisine de leurs comptes en banque et interdiction des manifs étaient illégaux ! (cf : lapresse.ca/actualites/pol
2. Dr. Supriya Sharma, la conseillère médicale principale du ministère de la Santé canadien, vient de cracher le morceau : elle déclare que « les effets à long terme des #vaccins
(https://vk.com/feed?section=search&q=%23vaccins) #covid (https://vk.com/feed?section=search&q=%23covid) ne sont pas connus » !
(cf : torontosun.com/news/national/ (https://vk.com/away.php?to=http%3A%2F%2Ftorontosun.com%2Fnews%2Fnational%2F&post=633833764_211665&cc_key=&track_code=47f31d0b8glWt8qSIWuAhi0Yu1fx27-GnzrQnmSxJ3XmAjmhYPTXAW-ErKRDAYOHm61q5cftg-bIboX3JutXdeBvWNML)…)
Trudeau avait fait passer la répression de la manifestation des camionneurs Canadien pour illégale dans le cadre de l'Etat d'urgence. La Cour Fédérale vient de statuer : " la mesure n’était pas justifiée par rapport aux contraintes factuelles et juridiques pertinentes qui devaient être prises en considération », a écrit le juge. Richard G. Mosley dans sa décision.
Les youngs leaders chéris de Klaus Schwab, qu'il se vante d'avoir installés partout en Occident, imposent des restrictions à leurs populations, mais ils ne respectent pas eux mêmes les limites dans lesquelles ils doivent évoluer.
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La Cour fédérale du Canada a statué mardi que le recours par le premier ministre Justin Trudeau à la Loi sur les situations d’urgence en 2022 pour punir les camionneurs manifestants était à la fois déraisonnable et inconstitutionnel.
« J’ai conclu que la décision de publier la Proclamation ne porte pas les caractéristiques du caractère raisonnable – justification, transparence et intelligibilité – et n’était pas justifiée par rapport aux contraintes factuelles et juridiques pertinentes qui devaient être prises en considération », a écrit le juge. Richard G. Mosley dans sa décision.
La décision fait pour donner suite à une demande de contrôle judiciaire demandée par la « Fondation pour la Constitution » canadienne, l’Association canadienne des libertés civiles et divers autres candidats qui ont crié au scandale sur le recours à des mesures d’urgence pour réprimer les manifestations du « Freedom Convoy » à Ottawa, qui ont permis au gouvernement de geler certains comptes en banque, d’interdire certains récits de manifestants, comme le fait d’arrêter des chauffeurs de dépanneuses, conscrits sans oublier le nombre d’arrestations déraisonnable de personnes pour avoir participé à des rassemblements jugés illégaux par le gouvernement Trudeau.
Selon Mosley, les règlements de Trudeau violaient les droits garantis par la Charte, notamment la liberté de pensée, d’opinion et d’expression. Il a également été jugé que l’ordonnance relative à la Loi sur les situations d’urgence portait atteinte au droit à la sécurité contre les perquisitions et saisies abusives.
« Il est déclaré que la décision d’émettre la proclamation ainsi que les règlements et ordonnances de l’association était déraisonnable et ultra vires de la loi sur les urgences », indique le jugement.
« Il est déclaré que la décision selon laquelle le Règlement violait l’article 2 (b) de la Charte et que le décret violait l’article 8 de la Charte et qu’aucune des deux violations n’était justifiée en vertu de l’article 1. »
La Fondation canadienne de la Constitution avait lancé le contrôle judiciaire, exprimant ses inquiétudes face à ce qu’elle considérait comme un exemple grave de dépassement du gouvernement et de violations des libertés civiles pendant la pandémie.
« L’utilisation par le gouvernement Trudeau de cette loi extraordinaire pourrait être l’exemple le plus grave d’abus et de violations des libertés civiles observé pendant la pandémie », avait déclaré Van Geyn à l’époque.
« L’utilisation de cette loi puissante n’était pas autorisée parce que le seuil légal pour utiliser la loi n’était pas atteint. La Loi sur les mesures d’urgence contient une clause de dernier recours : elle ne peut être utilisée qu’en cas d’urgence nationale et il n’existe aucune autre loi aux niveaux fédéral, provincial et/ou municipal qui puisse remédier à la situation. Le Parlement ne peut pas utiliser la Loi sur les mesures d’urgence comme un outil pratique, comme il l’a fait dans ce cas-ci. » – TNC.news
Source: zerohedge
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