Chaque jour confirme le naufrage que nous décrivons régulièrement de la politique menée par l’incapable Bruno Le Maire, pourtant porté au pinacle par la caste et par le cartel de la presse subventionnée. Grâce à sa désastreuse incompétence, Bruno Le Maire a laissé filer les comptes publics et, comme nous l’annonçons depuis plusieurs mois, devrait revenir sur la promesse macronienne de ne pas augmenter les impôts. Où trouver de l’argent ? Une note de l’INSEE explique qu’imposer les propriétaires de leur logement sur les loyers qu’ils ne payent pas rapporterait 11 milliards €…
Comment trouver de l’argent frais dans un pays accablé par les impôts et dont les déficits publics partent en vrille ? En taxant les propriétaires de leur logement sur les loyers qu’ils ne paient pas bien sûr. Voilà une bonne mesure, à un moment où la construction de logements s’effondre… Au fond, dans la patrie de l’impôt, taxer les richesses “perçues” ne suffit plus, on peut aussi taxer les richesses virtuelles, par exemple les grands méchants qui ont acheté un logement et se sont ainsi débarrassés de la lourde tâche de payer un loyer.
Très opportunément, l’INSEE vient d’analyser les bienfaits économiques de cette taxe sur les “loyers imputés” : 11 milliards par an.
Comment trouver de l’argent frais dans un pays accablé par les impôts et dont les déficits publics partent en vrille ? En taxant les propriétaires de leur logement sur les loyers qu’ils ne paient pas bien sûr. Voilà une bonne mesure, à un moment où la construction de logements s’effondre… Au fond, dans la patrie de l’impôt, taxer les richesses “perçues” ne suffit plus, on peut aussi taxer les richesses virtuelles, par exemple les grands méchants qui ont acheté un logement et se sont ainsi débarrassés de la lourde tâche de payer un loyer.
Très opportunément, l’INSEE vient d’analyser les bienfaits économiques de cette taxe sur les “loyers imputés” : 11 milliards par an.
Bien entendu, l’idée de taxer ces “loyers imputés” n’est pas présentée comme une façon de renflouer les caisses de l’Etat plombées par une bureaucratie gloutonne. Il s’agit seulement de lutter contre “un biais en faveur des propriétaires occupants”, hautement inégalitaire.
On retrouve ici l’idée très Great Reset selon laquelle le propriétaire est un coupable.