Depuis que j'informe et réinforme, j'ai acquis une certaine connaissance sur le monde politico-financier de ce monde :
j'en retire la même conclusion que M. Asselineau, la France n'a plus sa souveraineté depuis longtemps, que ce soit en matière financière et économique ou elle est dirigée par la BCE, en matière politique ou elle est en partie dirigée par la Commission Européenne, et en matière militaire ou elle est sous la tutelle, je dis bien la tutelle de l'OTAN.
Pour ce qui concerne la politique migratoire ç'est du ressort de la décision de la Commission Européenne et du Parlement.
Aucun politique ne vous a parlé de ceci, comme si leur élection était encore nécessaire à la France.
Il faut voir que l'OTAN mène une politique belliciste vis à vis de la Russie et essaie d'entraîner l'Europe et les pays Europe vers un conflit ouvert avec cette dernière.
Les USA ont fichés et recensés les hommes de 18 à 26 ans pour une conscription militaire, ainsi que l'Angleterre et certains pays Européens.
L'OTAN est le bras armé des USA et n'a pas toujours eut une politique stratégique et tactique heureuse en matière militaire.
D'ailleurs le Général de Gaulle s'en était séparé le 7 mars 1966.
Voulez participer à un conflit ouvert avec la Russie ! En votant chacun des partis vous avez voté pour cela car tous sont pro OTAN en général. Pro OTAN et pro Européen, ce qui consiste à priver la France de tout pouvoir décisionnel dans le futur, que ce soit en matière politique, financière, économique, migratoire, militaire.
Ces élections n'ont été qu'une vaste fumisterie orchestrée par les médias et les partis politiques, Macron joue le rôle du chef de fanfare et chacun y va de son couac, tout ceci n'est qu'artifice et tromperie et vous rester en stupéfaction devant ce grand théâtre.
Nous avons une classe politique qui se maintient au crochet de la société, si la France doit abandonner sa souveraineté alors doit se débarrasser de tout ou partie cet appareil inutile et onéreux.
Ou elle retrouve sa souveraineté et fait agir ses politiques pour négocier avec Bruxelles et imposer la voix et la voie de la France, à ce moment là l'appareil se justifie mais on ne peut laisser l'illusion, l'apparence d'une souveraineté quand elle n'existe plus. C'est payer grassement des acteurs en représentation permanente, qui occupent l'espace médiatique pour donner l'illusion d'une existence d'un pays en réalité fédéralisé à une Commission technocratique elle même sous influence extérieure à la Communauté et à celle des lobby internationaux.
Cette omerta des partis évoque une connivence avec le fonctionnement de Bruxelles, une soumission, une allégeance au fonctionne dont on s'arrange très bien par la vénalité de la fonction.
Voilà donc la vérité ou une vérité parmi tant d'autres.
Il s'agit de se concentrer sur le nécessaire, s'informer justement, agir en conséquence et ne plus nous laisser abuser par les artifices de mauvais comédiens et des échotiers (ceux qui se font l'écho des financeurs, orientateurs mondialistes) médiatiques
Henry