Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d’en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d’une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C’est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre… l’hiver. Jusqu’à quand la cécité, voire la corruption la plus échevelée ? Bonne lecture.
AIMSIB
Résumé : Le fait que les vaccins ARNm anti-covid provoquent des «turbo-cancers» a été présenté par les médias mainstream comme une «fake news» (par exemple ici France Culture en octobre 2023). C’est pourtant une réalité empirique. La docteure Ute Krüger est spécialiste en pathologie avec 25 ans d’expérience professionnelle. Elle a travaillé comme médecin-chef dans le service de pathologie clinique de plusieurs hôpitaux suédois. Depuis que ces injections ont été rendue obligatoires et administrées en masse, elle a observé une augmentation des cancers très agressifs («turbo-cancers»), des maladies auto-immunes et des maladies neurologiques. Elle présente ici le résultat de ses observations cliniques et de son enquête.
par Dr Ute Krüger
Depuis mon enfance, j’ai toujours souhaité devenir médecin pour pouvoir aider les gens. Au lycée de Seelow/Brandebourg, mon intérêt pour le microscope a été éveillé dans un cours de biologie. La structure des plantes à fort grossissement me fascinait beaucoup. Après mon année de stage préuniversitaire en 1989 dans le service de cardiologie aiguë de la Charité de Berlin, j’ai étudié la médecine à la Humboldt-Universität de Berlin. Dans ma thèse de doctorat, j’ai analysé près de 7500 cas d’autopsie. J’y ai comparé les diagnostics posés par les médecins cliniciens, comme les causes de décès, avec les résultats de l’autopsie à des fins de contrôle de qualité. Au cours des années suivantes, j’ai travaillé comme médecin assistant au service de pathologie clinique de l’hôpital Oskar-Ziethen Lichtenberg et j’ai réussi l’examen de spécialisation en pathologie en 2004. Le microscope est devenu mon compagnon de tous les jours.
En raison de l’impossibilité de concilier travail et famille en tant que médecin en Allemagne, je suis partie avec mon partenaire de l’époque à Växjö, dans le sud de la Suède, en 2005. J’y ai travaillé pendant dix ans en tant que médecin-chef au service de pathologie clinique de l’hôpital central, dont j’ai également été la directrice médicale pendant les quatre dernières années. Au cours des huit années suivantes, j’ai été chef de clinique en pathologie à l’hôpital national de Kalmar, en Suède, et, en même temps, chef de clinique à l’Institut des sciences cliniques de l’université de Lund, en Suède.
A l’université, j’ai mené des recherches sur le cancer du sein afin de mieux comprendre la biologie des tumeurs et les facteurs de risque du cancer du sein. L’objectif était de trouver des moyens de prévenir cette maladie. En même temps que j’ai commencé à travailler à Kalmar et à Lund, j’ai été membre du conseil d’administration de la Société suédoise de pathologie pendant cinq ans, afin d’améliorer la qualité de la pathologie en Suède. J’ai donc 25 ans d’expérience dans le domaine de la pathologie. Jusqu’en 2022, j’ai diagnostiqué des milliers de cancers et d’autres maladies dans le cadre de mon activité clinique en tant que spécialiste du cancer du sein.
A l’automne 2021, d’étranges cas de cancer se sont multipliés
En automne 2021, j’ai remarqué un changement dans l’apparition du cancer du sein dans mon travail de routine à l’hôpital. Je voyais plus souvent que d’habitude des tumeurs chez des patientes plus jeunes, souvent âgées de 30 à 50 ans, et je voyais plus de tumeurs à croissance rapide et donc des tumeurs plus grosses. Il y avait le plus souvent non pas une, mais plusieurs tumeurs simultanées dans un sein. Le cancer du sein semblait également se développer plus souvent dans les deux seins en même temps. J’ai également remarqué qu’il y avait apparemment plus de récidives chez les patientes qui avaient guéri du cancer du sein auparavant. Il s’agissait alors d’une croissance tumorale très rapide avec une dissémination tout aussi rapide de la tumeur dans tout le corps, ce que j’ai constaté à plusieurs reprises quelques mois après la vaccination anti-covid à ARNm (désormais «Corona», pour raccourcir).
Comme je voyais un lien entre ces tumeurs «d’un genre nouveau» et la vaccination contre la Covid-19 (appelée par la suite, pour simplifier, vaccination Corona), j’ai signalé de nombreux cas à l’agence suédoise des médicaments. En outre, j’ai essayé de trouver des collègues germanophones lors de la deuxième conférence de pathologie à Berlin afin d’infirmer ou de confirmer mon hypothèse de ce que j’ai appelé le «turbo-cancer» après la vaccination Corona. Je voulais lancer une étude à grande échelle. Mon objectif était d’arrêter toutes les vaccinations Corona avant que cette question ne soit résolue. Malheureusement, il ne s’est trouvé qu’un seul collègue pathologiste autrichien intéressé pour répondre à mon appel. À deux et surtout en plus de l’activité clinique quotidienne, un tel travail n’était pas gérable.
Au fil des mois, j’ai reçu de nombreux courriels de collègues, de proches et de personnes concernées par le turbo-cancer. Il semblait donc que je n’étais pas la seule à avoir remarqué un lien possible entre les vaccins Corona et les cancers agressifs.
Une étude réalisée enGrande-Bretagne en octobre 2023 a examiné la mortalité par cancer chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. Il s’agit donc de personnes très jeunes, chez qui le cancer était jusqu’à présent plutôt rare comme cause de décès. Pour le cancer du sein chez les femmes, on a constaté une augmentation de 28% des décès par cancer en 2022. Les chiffres sont encore plus alarmants pour le cancer du pancréas : dans ce cas, on a constaté une augmentation de 80 pour cent des décès chez les femmes et de 60 pour cent chez les hommes. En outre, on a constaté une augmentation de 120 pour cent des décès chez les hommes, causés par un cancer de la peau (mélanome).
Une surmortalité inexpliquée
Cette question est d’autant plus brûlante que nous avons effectivement affaire depuis 2021 à une surmortalité inexpliquée.
Si l’on regarde les taux de mortalité des quatre dernières années en Allemagne, on constate une nette surmortalité, surtout pour les dernières années. Dans la prépublication d’une étude de cette année, on peut voir que la surmortalité est corrélée aux infections Corona et aux décès pendant la première phase de la pandémie sans vaccination. Cependant, au cours de la deuxième et de la troisième année de la pandémie, on constate une augmentation considérable de la surmortalité qui ne peut pas être expliquée par les infections Corona, mais qui doit être considérée en relation avec les vaccinations Corona.
Selon l’étude, plus le nombre de vaccins administrés était important, plus la surmortalité était élevée. De plus, la surmortalité au cours des deux dernières années de pandémie a considérablement varié entre les Länder. Ainsi, pour la troisième année de la pandémie, la surmortalité a été estimée à 5-6% à Berlin, en Brandebourg et en Saxe, alors qu’elle était environ deux fois plus élevée à Brême et dans la Sarre avec 11%. La surmortalité est en corrélation avec le nombre de personnes vaccinées contre la maladie de Corona dans les Länder. L’étude dit textuellement : «Plus le nombre de vaccins administrés dans un Land est élevé, plus l’augmentation de la surmortalité est importante» (traduction de l’auteur).
Dans ce travail scientifique, le nombre de mort-nés a également été étudié. Là encore, il apparaît que le nombre de mort-nés est en corrélation avec le nombre de vaccinations Corona dans la population au cours de la troisième année de la pandémie.
Dans la prépublication d’une autre étude parue en août 2024, la surmortalité en Autriche est étudiée. L’âge des personnes décédées y est notamment pris en compte. Il s’avère que la surmortalité des 15-29 ans pour l’année 2023 atteint le chiffre incroyable de 34%.
Dès août 2021, le célèbre pathologiste et directeur de l’Institut de pathologie de la Clinique universitaire de Heidelberg, le professeur Peter Schirmacher, a mis en garde contre un nombre élevé de décès dus à la vaccination qui ne sont pas connus. Ensuite, fin novembre 2022, il a publié une étude, et, dans un entretien avec Die Welt, il a expliqué peu après les résultats de sa recherche. L’étude a porté sur des personnes qui, dans les 14 jours suivant la vaccination, sont décédées de manière inattendue alors qu’elles semblaient en bonne santé. Dans 30% des cas, il y avait un lien entre la vaccination et le décès. Schirmacher a souligné que d’autres études étaient nécessaires et a supposé que «dans l’un ou l’autre cas, la crainte de résultats désagréables» pourrait peut-être faire obstacle à la poursuite des recherches.
Les autopsies fournissent des informations importantes
Sans autopsie, il n’est pas possible de déclarer les décès dus aux effets secondaires des vaccins au Paul-Ehrlich-Institut, l’institut fédéral allemand pour les vaccins et les médicaments biomédicaux. Dans ce contexte, il faut aussi mentionner que de nombreuses personnes vaccinées sont décédées subitement chez elles. Lors de l’examen externe du corps, la mention «naturel» a été cochée comme type de décès et aucune autopsie n’a été pratiquée. Ainsi, les décès éventuellement liés aux vaccins Corona n’ont pas été pris en compte dans les statistiques.
En 2021, j’ai fait la connaissance du professeur Arne Burkhardt, un collègue pathologiste très compétent. Il avait décidé, avec l’avocat Elmar Becker, d’enquêter sur les décès survenus après une vaccination Corona. Burkhardt voulait déterminer s’il existait un lien de cause à effet entre la vaccination et le décès. De nombreuses personnes de l’espace européen s’étaient adressées à lui après que des proches soient décédés après avoir été vaccinés. Les rapports d’autopsie des pathologistes ou des médecins légistes n’ont toutefois pas établi de lien avec la vaccination Corona. Les familles ont cependant douté de ce résultat et ont veillé à ce que les instituts de pathologie ou de médecine légale envoient des échantillons de tissus de leurs défunts au professeur Burkhardt.
Ce travail sans doute unique au monde a commencé au premier semestre 2021 dans son laboratoire de pathologie à Reutlingen. En été 2021, le professeur Walter Lang, un pathologiste expérimenté, a rejoint l’équipe.
Dans presque trois quarts des 89 cas de décès examinés jusqu’en juin 2023, les résultats indiquent, selon Burkhardt, un lien entre le décès et la vaccination Corona. Il a été constaté que les lésions tissulaires étaient liées au nombre de vaccinations Corona. Ainsi, les lésions tissulaires graves étaient nettement plus fréquentes chez les personnes décédées après plusieurs vaccinations Corona qu’après une seule. Dans plus de la moitié des cas, la cause du décès était une inflammation du muscle cardiaque. La plus jeune personne décédée était une étudiante de 16 ans. Il était connu que tous les nouveaux vaccins Corona pouvaient provoquer une myocardite. Cela se retrouve également dans l’analyse des rapports sur les effets indésirables du vaccin de la société Pfizer. Toutefois, au vu des résultats des professeurs Burkhardt et Lang, la fréquence indiquée dans l’analyse de Pfizer semble bien en dessous de la réalité.
Dans près de 90% des cas de décès étudiés par Burkhardt et Lang, on a constaté une inflammation des vaisseaux sanguins, grands et petits. L’inflammation de l’aorte, le plus gros vaisseau sanguin de notre corps, était plus fréquente que la moyenne. Vous vous doutez bien qu’une inflammation de la paroi vasculaire entraîne une fragilité du vaisseau, qui peut alors se rompre sous l’effet de la pression exercée, ce qui provoque une hémorragie rapide de la personne.
Les maladies auto-immunes comme conséquence de la vaccination ?
Par ailleurs, les deux pathologistes ont décrit des modifications inflammatoires dans les organes, appelées maladies auto-immunes. Il s’agit de maladies dans lesquelles le système immunitaire du corps attaque les propres tissus de l’organisme. J’aimerais ici expliquer brièvement comment les vaccins à ARNm agissent selon l’état actuel des connaissances. Ces vaccins modifient la programmation cellulaire des cellules saines du corps. Avant ces vaccins Corona, notre corps ne produisait pas de protéines de pointe [Spike]. Depuis ces vaccinations Corona basées sur l’ARNm, les cellules saines de notre corps produisent ces protéines du coronavirus et les présentent à la surface des cellules. Pour les cellules de la défense immunitaire de l’organisme, ces cellules sont étrangères et elles sont combattues.
Ainsi, les cellules saines (présentant des protéines Spike) sont donc attaquées, ce qui provoque une inflammation appelée réaction auto-immune. Dans une étude coréenne publiée en juillet de cette année dans la revue scientifique reconnue Nature, il apparaît qu’après une vaccination de rappel, c’est-à-dire une deuxième vaccination Corona, on trouve un risque accru de certaines maladies auto-immunes. On cite ici l’alopécie circulaire [zones circulaires sans cheveux], le psoriasis et le rhumatisme articulaire. Il est important de mentionner ici que ces complications vaccinales peuvent en principe survenir sur tous les organes.
Après le décès inattendu et soudain de notre cher collègue Burkhardt, j’ai considéré qu’il était de mon devoir de mettre à la disposition du public les résultats qu’il avait trouvés. En l’espace d’un an, j’ai rassemblé ces résultats et les ai publiés dans le livre Geimpft – gestorben – Histopathologischer Atlas der Corona-Impfschäden, paru en août 2024. Il présente 57 cas de patients dont le décès est, dans la grande majorité des cas, en relation démontrable avec l’injection du vaccin Corona. Ce livre s’adresse en priorité aux pathologistes, mais aussi aux médecins d’autres spécialités ainsi qu’aux non-médecins intéressés par la santé.
D’une part, les images de coupes de tissus sont présentées afin de sensibiliser les collègues travaillant dans le domaine de la pathologie de routine et de la médecine légale à l’égard de ces résultats totalement nouveaux et d’attirer l’attention sur les modifications typiques des injections d’ARNm. D’autre part, les descriptions de cas correspondantes sont incluses, documentant les circonstances tragiques et les souffrances multiformes des personnes ayant subi ces vaccinations.
Apparition fréquente de maladies neurologiques
Les maladies neurologiques sont également plus fréquentes après les vaccinations Corona. Voici un exemple tiré de mon activité de pathologiste : j’ai autopsié un patient décédé après avoir reçu deux vaccins Corona. En raison d’une maladie maligne, il avait reçu une chimiothérapie et une thérapie visant à atténuer la réponse immunitaire. En même temps, il a reçu deux doses du vaccin contre la Covid-19.
J’affirme que n’importe quel non-médecin comprend qu’on ne peut pas, d’une part, freiner le système immunitaire et, d’autre part, donner un vaccin qui présuppose une réponse du système immunitaire au plus haut degré. L’homme a développé des paralysies sur tout le corps relativement peu de temps après les vaccinations et est décédé trois mois plus tard. J’ai voulu publier ce cas avec deux professeurs très expérimentés de l’hôpital universitaire de Lund, en Suède, et de la Charité de Berlin. Pendant plus de six mois, j’ai donc été en contact avec le British Medical Journal, une revue spécialisée reconnue. On m’a demandé à plusieurs reprises d’apporter des modifications au texte et d’effectuer de nouvelles colorations en laboratoire, pour finalement recevoir, après de nombreux contacts par courriel, un bref message me disant qu’un cas similaire venait d’être publié et que le journal n’était plus intéressé par mon article.
Suite à cela, je me suis adressé à un autre journal, où le texte a été publié en décembre 2022. Malheureusement, cet article ne se trouve pas sur Pubmed, la plateforme de publications scientifiques – que j’appellerais le «Wikipédia des scientifiques et des médecins». Je me demande donc combien d’études scientifiques et de descriptions de cas publiées ne se trouvent pas non plus sur cette plateforme.
Jusqu’à présent, les vaccins étaient normalement développés et testés pendant sept à huit ans avant d’être autorisés. Les vaccins Corona, quant à eux, ont été mis sur le marché moins d’un an après avoir été testé de manière totalement insuffisante.
Non seulement d’innombrables personnes sont tombées malades après ces vaccins, mais de nombreuses personnes sont également décédées après ces vaccins. Dans une étude de juin 2024, des effets secondaires graves ont été constatés dans 11% des cas pour le vaccin de Pfizer et dans 21% des cas pour celui de Moderna après ces vaccinations à ARNm. En comparaison, les anciens vaccins influenza n’ont provoqué que 0 à 4% d’effets secondaires graves. En revanche, la probabilité de mourir d’une infection à Corona est désormais estimée à seulement 0,1%. À mes yeux, le vaccin Corona était et est malheureusement toujours une expérience sur nous, les humains.
D’autres chiffres alarmants concernent le taux de natalité. Une étude des naissances vivantes en Europe datant de 2022 montre que dans tous les pays étudiés, on constate une baisse du nombre de naissances pouvant aller jusqu’à plus de 10%. Dans ce contexte, il a pu être démontré dans les coupes de tissus de l’institut du laboratoire de Burkhardt que la protéine Spike était présente dans les ovaires. Ce fait permet de conclure qu’une inflammation peut également se produire à cet endroit, ce qui peut à son tour entraîner la formation de cicatrices et une éventuelle stérilité. Dans les coupes de tissus des testicules de jeunes décédés, on a trouvé un nombre considérablement réduit de spermatozoïdes, un cas est également illustré dans le livre décrit ci-dessus. Ces changements dans les organes sexuels sont effrayants et pourraient expliquer la baisse de la natalité.
La politique plutôt que la science
On sait désormais, après la divulgation des documents de l’état-major de crise, d’abord secrets, de l’Institut Robert Koch (RKI) en Allemagne, qu’il n’y avait et qu’il n’y a pas de base scientifique pour de nombreuses mesures imposées par les politiques en rapport avec le Corona.
Les scientifiques et les médecins qui se sont longuement penchés sur les conséquences de ces vaccinations Corona sont traités d’affabulateurs, de conspirationnistes, voire d’extrémistes de droite. Ma tentative de mettre en garde contre de ce que l’on appelle le turbo-cancer après les vaccinations Corona a été qualifiée de sabotage par les médias suédois – sabotage contre la campagne de vaccination qui prévoyait de vacciner tout le monde contre le Corona.
En raison du fait que la politique a pris le pas sur la science, j’ai démissionné de mon poste de médecin-chef à l’hôpital de Kalmar et à l’hôpital universitaire de Lund. J’étais profondément choquée et je ne pouvais plus, en mon âme et conscience, faire partie d’un système de santé aussi peu scientifique. L’un de mes principes est de ne pas faire de mal aux gens, comme je l’ai juré dans le serment d’Hippocrate (la formulation de l’éthique médicale).
J’en appelle à vous, soyez actifs. Informez-vous. Remettez tout en question, même ce que l’on vous sert sans cesse sur un plateau d’argent dans les médias. Contrôlez également les références bibliographiques que j’ai citées.
Les dégâts causés par ces vaccins à base d’ARNm contre Corona sont désormais connus. Cette technique à ARNm n’a pas encore été suffisamment testée et éprouvée. A l’avenir, veuillez-vous informer sur les bases à partir desquelles sont fabriqués les vaccins que vous souhaitez recevoir.
Et n’oubliez pas que la peur affaiblit notre système immunitaire. Soyez le plus possible dans la nature et renforcez-le de cette manière. Notre corps est fantastique, soutenez-le et ayez confiance en lui et en vous !
Cet article constitue la version française d’un article publié en allemand par le Berliner Zeitung le 2 octobre 2024. Il a été traduit par Francis Leboutte (La Décroissance, Belgique) et Laurent Mucchielli (CNRS, Aix-en-Provence), avec l’accord de l’auteure.
Un chirurgien britannique décrit de nouveaux cancers agressifs avec une biologie différente après la propagation des injections de Covid
M. James Royle, chirurgien consultant du NHS, a décrit ce que lui et son équipe ont observé depuis le début de la campagne d'injection massive de Covid.
« Les cancers observés concernent tous les âges. Je suis d'avis, comme le font de nombreux oncologues et collègues cliniciens du monde entier, que les cancers que nous observons sont extrêmement agressifs et qu'ils ont une biologie différente », a-t-il déclaré.
Et ce ne sont pas seulement les nouveaux cancers agressifs et les cancers rares qui deviennent plus fréquents.
« Après les rappels de vaccins, j'ai observé ce qui semble être beaucoup de morts subites dues à une pancréatite nécrosante », at-il déclaré aux participants d'un sommet organisé à Stormont il ya une semaine.
Des membres de l'équipe de la People's Vaccine Inquiry (« PVI ») se sont rendus à Belfast pour assister à une réunion pour les personnes blessées et endeuillées par le vaccin contre le Covid à Stormont, le bâtiment du Parlement d'Irlande du Nord . Pendant son séjour à Belfast, l'équipe PVI a organisé le Stone Summit qui s'est tenu le 14 octobre 2024 également à Stormont.
Le Sommet doit son nom au Dr Jackie Stone, un médecin courageuse qui a été persécutée pour avoir défendu ses principes éthiques. Elle a été persécutée sans relâche et cruellement par les autorités et s'est vu retirer injustement son permis d'exercer. Cette bataille lui a coûté très cher et, tragiquement, elle s'est suicidée au début du mois.
M. James Royle est un chirurgien colorectal et général qui travaille comme consultant du NHS dans le nord-est de l'Angleterre depuis 9 ans. Il était l'un de ceux qui ont fait une présentation à Stormont.
Lors de la 4e session du Stone Summit, M. Royle a évoqué l’impact du confinement sur la chirurgie, soulignant les échecs de la politique de confinement. Il a ensuite décrit les cas inhabituels de thrombose pulmonaire observés chez les patients suivis pour un cancer colorectal, la corrélation entre les injections d’ARNm contre le covid et l’augmentation des cas de cancer, l’augmentation inquiétante des récidives de cancer multisites agressifs, en particulier chez les patients plus jeunes, et les défis auxquels les chirurgiens sont confrontés pour exprimer leurs inquiétudes.
Parlant des premiers jours de la pandémie de Covid-19, après l’émission des ordres de confinement, M. Royle a déclaré : « Pour moi, notre hôpital ne s’est jamais senti dépassé. »
En montrant une photo du livre « A State of Fear » de Laura Dodsworth sur l’écran à côté de lui, il a déclaré : « Cependant, beaucoup de mes collègues ressentaient un stress psychologique important, principalement dû aux messages incessants des médias. J’ai très tôt convenu avec un ami personnel qu’il s’agissait d’une pandémie de peur. »
Il a expliqué que toutes les opérations contre le cancer, sauf celles urgentes, ont été annulées et que les médecins n’ont pu assurer que des consultations téléphoniques. « Nous avons diagnostiqué autant de cancers colorectaux, voire plus, pendant cette période », a-t-il déclaré. Presque toutes les opérations qu’il pratique sont des opérations par mini-cœur, de sorte que les patients sont renvoyés dans les services généraux, et non dans les services de soins intensifs ou de soins intensifs. Par conséquent, il n’a dû annuler ou reporter que très peu de cas.
Mais il s’inquiétait de savoir où étaient passées toutes les urgences de chirurgie générale. Le public se tenait consciencieusement à l’écart, comme demandé, afin que les hôpitaux ne soient pas débordés. « Rétrospectivement, je pense qu’une grande partie des appendicites, des inflammations de la vésicule biliaire et des diverticulites ont dû être traitées dans la communauté grâce à des prescriptions d’antibiotiques à distance », a-t-il déclaré.
« Cependant, le confinement a été un échec dévastateur que nous reconnaissons tous aujourd’hui, j’espère », a déclaré M. Royle. « Les conséquences néfastes pour les patients étaient évidentes [à l’époque]. »
Les confinements, associés aux messages de peur, ont entraîné un stress social et psychologique qui a altéré la fonction immunitaire. Le manque d’air frais, de soleil et d’exercice a entraîné une carence en vitamine D, une déficience immunitaire, un déconditionnement physiologique et une aggravation des maladies chroniques et du syndrome métabolique (obésité, hypertension et résistance à l’insuline), a-t-il déclaré. « Tous ces facteurs de risque entraînent de mauvais résultats en cas de diagnostic de covid-19. »
« Je n’ai donc pas été surpris de constater que mon taux de mortalité par cancer électif est passé d’un décès au cours de mes cinq premières années en tant que consultant à six décès en 30 jours – cinq non liés au Covid, dont trois morts cardiaques subites », a déclaré M. Royle.
Et puis est arrivé ce qu’ils disaient être notre seule solution pour sortir de la pandémie, a-t-il dit. « Les vaccins, imposés par la force. »
M. Royle s'est montré sceptique dès le début du déploiement du vaccin. Mais sa ligne rouge était que l'injection soit administrée aux enfants en bonne santé.
« À partir de mars 2021 environ, j’ai commencé à remarquer de nouveaux schémas de maladie qui apparaissaient soudainement et fréquemment chez mes patients, ce que je n’avais jamais vu auparavant », a-t-il déclaré. « Le premier schéma était une coagulation sanguine [inhabituelle]. »
On a également constaté une augmentation significative des cas de pancréatite d'un nouveau type chez des patients qui ne semblaient pas très malades lorsqu'ils se sont rendus chez le médecin, mais dont le scanner initial a montré une nécrose pancréatique importante, des zones où le pancréas était mort. « Il s'agit d'un phénomène nouveau », a déclaré M. Royle.
« Après les rappels de vaccins, j'ai observé ce qui semble être un grand nombre de morts subites dues à une pancréatite nécrosante chez les patients âgés », a-t-il déclaré.
Il a également constaté une augmentation des cas de chirurgie générale d’urgence « inflammatoires ou infectieux » comme la cholécystite gangréneuse et l’appendicite gangréneuse ou perforée, en particulier chez les patients d’âge moyen. C’est inhabituel.
Selon M. Royle, on a également constaté une augmentation notable des cancers de l'appendice. Les cancers de l'appendice sont considérés comme rares.
Dans les pays où la vaccination est très répandue, on observe une augmentation alarmante et significative des cancers depuis le lancement des vaccins injectables. « Ces cancers ont été appelés familièrement « cancers turbo », a déclaré M. Royle. « Il ne s’agit évidemment pas d’un terme scientifique, mais il semble refléter la nature biologique agressive observée par le public ainsi que par les cliniciens. »
Malgré les articles publiés par les médias d’entreprise dans le but de mettre en lumière l’augmentation des cancers, « il y a une augmentation spectaculaire et claire qui s’est produite en 2021, peu de temps après le déploiement [des « vaccins »] », a-t-il déclaré.
Il a poursuivi : « Les cancers observés concernent tous les âges. Je suis d’avis, comme le font de nombreux oncologues experts et collègues cliniciens du monde entier, que les cancers que nous observons sont extrêmement agressifs et qu’ils ont une biologie différente. »
« J’ai constaté des récidives agressives et généralisées dans des cas de cancer colorectal précédemment traités avec succès et que je considérais comme guéris », a déclaré M. Royle. « De nombreuses métastases dans ces cas sont inhabituelles ou atypiques. »
« Les personnes d’âge moyen et les personnes âgées présentent des cancers colorectaux de stade 4 qui apparaissent soudainement et qui sont incurables et qui meurent en quelques semaines ou quelques mois », a-t-il déclaré. « Dans de nombreux cas, le foie entier semble rempli de grosses tumeurs rondes. C’est horrible de voir cela toutes les semaines dans mon MVT [?]. »
« D’après mon expérience, il est rare que le cancer colorectal soit agressif chez les personnes âgées. En général, les cancers sporadiques diagnostiqués sont encore opérables lorsqu’ils se déclarent. Les patients âgés présentent rarement une maladie de stade 4. Et certainement pas de la manière dont je commence à le voir. »
« Nous avons récemment constaté que trois patients présentaient des cancers synchrones. Il s'agit de deux cancers intestinaux distincts dans différentes zones du côlon qui se présentent en même temps. Ce cas était auparavant considéré comme rare, moins de 3 % », a déclaré M. Royle.
Plusieurs membres de ses équipes multidisciplinaires, composées de chirurgiens, d’oncologues, de pathologistes, de radiologues et d’infirmières spécialisées, lui ont dit avoir remarqué un changement soudain dans les tendances et une augmentation spectaculaire de ces cancers agressifs et avancés au cours des deux dernières années.
M. Royle a brièvement exposé certaines des théories qui sont avancées pour tenter d'expliquer l'augmentation des cas de cancer. Mais il a pu les réfuter toutes en s'appuyant sur des faits simples ou sur son expérience personnelle, à l'exception d'une seule.
« Il existe une étroite corrélation temporelle entre l’augmentation des cancers et le déploiement des injections génétiques d’ARNm contre la Covid-19 à l’échelle de la population. Cette corrélation évidente remplit la majorité des 9 critères épidémiologiques de Bradford-Hill pour la causalité », a déclaré M. Royle.
« Il existe de multiples mécanismes plausibles qui ont été proposés par lesquels le cancer peut être induit ou potentialisé, accéléré, par les injections de gènes d'ARNm, y compris des niveaux inacceptables de contamination par des plasmides bactériens, la découverte du promoteur tumoral SV40, la perturbation du suppresseur p53, etc. », a-t-il ajouté.
« De manière plus générale, les injections provoquent clairement une immunosuppression généralisée », a-t-il déclaré. Comme M. Royle l’avait expliqué plus tôt dans sa présentation, la suppression du système immunitaire est un facteur de risque de cancer.
M. Royle a soumis plus de 20 rapports de type « carton jaune » depuis juin 2021. « J’aurais pu en soumettre bien plus, mais il devenait évident que la MHRA [Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé] ignorait les données. »
« Je n'ai jamais reçu de retour sur l'analyse de mes dossiers, ni même de reconnaissance, à l'exception de deux ou trois cas où des informations supplémentaires, que j'avais déjà fournies, ont été demandées. Je n'ai reçu aucune information de la part de la MHRA indiquant qu'elle examinait les données de la carte jaune ou qu'elle les analysait », a-t-il déclaré.
« Malgré cela, le signal de sécurité émis par la MHRA et le système VAERS aux États-Unis est sans précédent et indéniablement évident. »
En conclusion, M. Royle a déclaré : « Les données montrent clairement que les vaccins contre la Covid-19 ne sont ni efficaces ni sûrs. Mes observations personnelles sont de plus en plus corroborées par d’autres données provenant d’études de recherche menées dans le monde entier ainsi que par l’avis d’experts d’autres centres. »
« J’exige personnellement que ces injections et toute promotion de celles-ci soient arrêtées avec effet immédiat. »
Pour en savoir plus sur la manière de souligner ces problèmes de sécurité auprès de votre médecin généraliste, veuillez visiter le site Web de PVI pour obtenir un modèle de lettre ICI .
Vous pouvez regarder les autres sessions du Stone Summit et une conférence de presse qui aura lieu par la suite en suivant les liens ci-dessous :
Présentation du Dr Ros Jones au Stone Summit ICI (14 minutes)
Présentation du Dr Liz Evans au Stone Summit ICI (13 minutes)
Présentation du Dr Jonathan Engler au Stone Summit ICI (6 minutes)
Conférence de presse tenue après le Stone Summit ICI (117 min)
Comment les injections de Covid provoquent le cancer et comment le vaincre
En octobre 2022, on a constaté une augmentation significative de quatorze types différents de cancers dans 44 pays, en particulier chez les jeunes.
L’American Cancer Society a rapporté que la mortalité par cancer chez les jeunes avait doublé par rapport aux niveaux d’avant 2020.
Le rapport de sécurité 2022 de Pfizer sur les « vaccins » contre le Covid a documenté des milliers de cas de cancer après les vaccinations, avec 3 711 cas signalés en juin 2022.
L'oncologue britannique Angus Dalgleish a observé des rechutes agressives du cancer chez des patients ayant reçu des vaccins de rappel contre le Covid, suggérant un lien entre les vaccins et le cancer.
L’oncologue canadien William Makis a constaté des cas sans précédent de cancers de stade quatre chez les jeunes adultes, les décrivant comme des « cancers turbo » en raison de leur nature agressive et de leur résistance aux traitements conventionnels.
Le pathologiste Ryan Cole a critiqué les injections de Covid-19 pour avoir provoqué une immunosuppression, ce qui altère la capacité du corps à lutter contre le cancer, et a signalé une augmentation significative des cas de cancer après le déploiement du vaccin. Cole a estimé que 17 millions de personnes sont mortes à cause des injections d'ARNm, décrivant la situation comme un « holocauste silencieux » et critiquant le système médical pour avoir nié ces décès.
« Il est important d’évaluer pleinement la charge en protéines de pointe chez les personnes vaccinées, afin de pouvoir trouver les meilleures stratégies pour inverser le risque et les dommages causés par cette toxine… Mieux nous comprendrons ces processus, mieux nous serons en mesure de défendre les patients et le public contre les taux de cancer records qui devraient se produire dans les années à venir », a écrit le Dr Coleen Huber dans un essai récent.
Au fil des ans , The Exposé a fréquemment publié des articles sur le risque de cancers induits par les vaccins et sur l’augmentation des cas de cancer après le déploiement massif des soi-disant vaccins contre le covid. Mais beaucoup ont peut-être manqué toutes les pièces du puzzle, surtout s’ils n’ont pas suivi les véritables nouvelles au fur et à mesure qu’elles se sont produites. Heureusement, le Dr Huber a rassemblé toutes les preuves dans un seul essai que nous avons reproduit ci-dessous. Dans son essai, le Dr Huber explique :
– Le mécanisme des « vaccins » à ARNm et la production de protéines de pointe qui en résulte par l’organisme des personnes après la vaccination.
– La corrélation entre les injections de covid et certains cancers dont les lymphomes, les glioblastomes, les cancers colorectaux, de l’ovaire et du sein.
– L’augmentation mondiale des cas de cancer et de la mortalité post-vaccinale. À l’échelle mondiale, les diagnostics de cancer et la surmortalité ont augmenté après le déploiement du vaccin contre le Covid, avec une accélération notable après les doses de rappel, affectant particulièrement les groupes d’âge les plus jeunes. « La vulnérabilité est suffisante pour que tous les humains soient sûrs d’éviter les vaccins contre le Covid », écrit le Dr Huber.
– Les inquiétudes et les mises en garde concernant la vaccination des patients atteints de cancer. Les personnes qui sont déjà confrontées au cancer comme principale cause de décès doivent éviter les injections contre le covid.
– L’impact des injections de covid sur la réponse immunitaire et la production d’anticorps et le rôle de l’interféron de type I dans la fonction immunitaire et la suppression du cancer.
– Les mécanismes de développement du cancer et le rôle de la protéine Spike.
– L’impact de la protéine Spike sur les dommages et la réparation de l’ADN.
– La suppression des gènes suppresseurs de tumeurs par la protéine Spike.
– Le rôle de la protéine Spike dans la croissance du cancer et l’angiogenèse.
– L’évasion immunitaire des cellules cancéreuses et l’impact de la vaccination. Les injections de Covid peuvent affaiblir le système immunitaire et permettre aux cellules cancéreuses d’échapper à la détection immunitaire. Les tumeurs peuvent échapper au système immunitaire en se faisant passer pour « elles-mêmes », ce qui rend difficile pour le système immunitaire de les cibler.
– Renforcer la vigilance immunitaire et le rôle de la vitamine A. Il a été démontré que la vitamine A aide à démasquer les cancers cachés, permettant au système immunitaire de les cibler, et sa carence est liée au cancer colorectal camouflé.
– Métastase, propagation des cellules cancéreuses vers de nouveaux emplacements dans le corps et importance de l’intégrité de la membrane basale.
– La contamination de l’ADN dans les injections de covid (baptisée PlasmidGate ) et ses risques potentiels.
– La N1-méthyl-pseudouridine, utilisée dans l’ARNm des injections contre le covid pour stabiliser la protéine Spike pour la reconnaissance immunitaire, et son lien potentiel avec le cancer. Parmi les autres risques potentiels de cancer liés aux injections contre le covid, citons la contamination par le virus oncogène SV40, la présence de CD147 dans la protéine Spike et les microcaillots induits par les protéines Spike.
– L’ivermectine comme traitement potentiel contre le covid et le cancer. L’ivermectine a montré son efficacité contre la protéine spike, qui est la principale toxine de l’infection par le covid et de ses vaccins. Des études ont montré que l’ivermectine peut réduire les tumeurs de 50 à 85 % dans des cancers tels que les glioblastomes, le cancer du côlon et du sein, et elle a montré son efficacité contre un plus large éventail de cancers in vitro. L’ivermectine s’est avérée plus efficace que la gemcitabine, un médicament de chimiothérapie standard, dans le traitement du cancer du pancréas.
En octobre 2022, les médias grand public ne pouvaient plus ignorer l'énorme augmentation de quatorze types de cancer différents dans 44 pays à travers le monde et plus particulièrement chez les jeunes. [1] [2] [3] L'American Cancer Society a reconnu que la mortalité par cancer a doublé chez les jeunes par rapport aux niveaux d'avant 2020. [4] Le rapport de sécurité 2022 de Pfizer sur les vaccins contre le covid a révélé des milliers de cancers de centaines de types après les injections. [5] En juin 2022, Pfizer avait signalé 3 711 cas sous cette rubrique.
Les oncologues constatent une nette différence dans les cancers d'avant 2020 à aujourd'hui
Angus Dalgleish, oncologue clinicien britannique et l’un des principaux chercheurs en oncologie au Royaume-Uni, constate un nombre alarmant de patients atteints de cancer, en rémission depuis longtemps, qui « … présentent ensuite une rechute très agressive alors qu’ils auraient dû rester en rémission. Malheureusement, je n’ai pas encore trouvé de cas où les patients n’ont pas reçu de vaccin de rappel contre le covid de la part de leur médecin généraliste ou de l’hôpital parce qu’ils sont « à risque » ». [6] Son commentaire sur l’évolution de la mortalité par cancer dans le monde est que « les vaccins contre le covid sont liés au cancer et à la mort ». [7]
Le Dr William Makis, oncologue canadien qui a diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer au cours de sa carrière, déclare : « Je n’ai jamais rien vu de tel… Je n’ai jamais vu de cancer du sein de stade 4 chez des femmes dans la vingtaine. Je n’ai jamais vu de cancer du côlon de stade 4 chez des hommes et des femmes dans la vingtaine et la trentaine… Ces cancers se présentaient toujours au stade 4, et ils les tuaient toujours en quelques mois, et ce toujours en moins d’un an… Le « turbo cancer » est un terme que les gens ont inventé pour décrire la nature extrêmement agressive de ces cancers chez les personnes vaccinées contre le covid, et ces cancers se comportent de manière extrêmement différente, contrairement à tout ce que j’ai vu auparavant dans ma carrière… Et l’autre caractéristique de ces cancers est qu’ils sont très résistants au traitement conventionnel ; ils sont résistants à la radiothérapie, ils sont résistants à la chimiothérapie, et les patients semblent très mal réagir aux traitements conventionnels. Les oncologues sont vraiment déconcertés et ne savent pas quoi faire. » [8]
Le pathologiste Ryan Cole, ancien de la Mayo Clinic, est spécialisé dans les examens post-mortem. Il a critiqué les vaccins contre le Covid pour, entre autres dangers, la grave altération du système immunitaire et la diminution de la capacité à lutter contre le cancer. Il dit : « Les gens demandent : "Ces injections provoquent-elles le cancer ?" Eh bien, elles provoquent une suppression immunitaire. Elles provoquent une perturbation et une dysrégulation de votre système immunitaire qui combat normalement le cancer. C'est donc à cela que nous sommes confrontés... Lorsque je voyage dans le monde et que je parle aux médecins... ils voient des cancers dans des groupes d'âge qu'ils n'avaient jamais vus auparavant, et cela s'est produit après le déploiement des [injections de Covid]... En 2021, il y a eu une augmentation d'environ 6 % ou 7 % du nombre de cancers. En 2022, le nombre de cancers a augmenté de 35 % par rapport à la moyenne… Des personnes qui n’avaient plus de cancer depuis 2, 3, 5, 10 et même 20 ans, et qui, après les injections, ont vu leur cancer revenir de manière agressive, et on estime que 17 millions de personnes sont mortes à cause de ces injections d’ARNm… C’est un holocauste silencieux, et c’est ce qui est triste dans tout cela. Des gens ont été contraints de participer à une expérience, et les décès sont niés par le système médical. » [9]
Dosage de la protéine Spike par Pfizer et Moderna
La quantité de dose d’ARNm dans chaque vaccin Pfizer est de 13 000 milliards de molécules d’ARNm, et dans celui de Moderna, de 40 000 milliards de molécules, chacune enveloppée dans sa propre nanoparticule lipidique cationique. Ces chiffres ont été déterminés par le poids moléculaire de chacun des deux vaccins. [10] Pour mettre ces chiffres en perspective, il y a environ 30 000 milliards de cellules dans le corps humain. On peut donc imaginer l’impact d’une distribution omniprésente maximale dans tout le corps, dans un rapport d’environ un pour un ou un pour trois entre l’unité de charge utile et la cellule humaine.
Chacun de ces deux vaccins codait des protéines de pointe entières et chacun des milliards d’ARNm enveloppés de nanoparticules lipidiques (« LNP ») code pour la protéine de pointe. [11]
Le vaccin Pfizer n'a pas été étudié pour sa cancérogénicité ou sa génotoxicité (potentiel de dommages à l'ADN) par Pfizer avant son déploiement, comme nous pouvons le voir dans la propre documentation de Pfizer à la FDA : [12]
Dès le début de l’apogée du vaccin contre la Covid, en février 2021, il existait déjà des preuves que les vaccins contre la Covid produisaient une charge en protéines Spike beaucoup plus élevée chez les personnes vaccinées qu’après une infection naturelle. Même dans les trois semaines suivant la vaccination, les anticorps contre les protéines Spike étaient mesurés jusqu’à 100 fois plus élevés chez les personnes vaccinées contre la Covid que chez les personnes non vaccinées et précédemment infectées par la Covid. [13] Bien que certains puissent interpréter ces anticorps comme le signe d’une réponse immunitaire plus intense à la protéine Spike, cela indique également une présence plus importante et/ou plus impactante dans l’organisme de cette toxine connue.
Il est donc important de bien comprendre la charge en protéines de pointe chez les personnes vaccinées afin de pouvoir trouver les meilleures stratégies pour inverser le risque et les dommages causés par cette toxine. À cette fin, cet article explore les mécanismes du risque de cancer lié à la protéine de pointe. Plus nous comprendrons ces processus, mieux nous serons en mesure de défendre les patients et le public contre les taux de cancer record qui devraient se produire dans les années à venir.
Il convient de noter que la protéine de pointe apparaît rarement intacte plus de 20 jours après l'infection par le virus de la COVID-19, mais la protéine de pointe recombinante, c'est-à-dire générée par le vaccin, a été observée chez les personnes vaccinées contre la COVID-19, de 69 à 187 jours après la vaccination. [14] Cette étude particulière s'est arrêtée à 187 jours, plutôt qu'à un moment où aucune autre protéine de pointe n'a été observée, ce qui implique qu'il peut y avoir une période de présence de pointe plus longue dans le corps des personnes vaccinées. Cette persistance comprend à la fois l'ARNm injecté enveloppé dans des liposomes ainsi que sa protéine de pointe dérivée. [15] C'est largement suffisant pour que les voies favorisant le cancer et l'inhibition des défenses immunitaires contre le cancer commencent. Et c'est certainement assez de temps pour que les lésions cardiovasculaires et cardiaques commencent, ainsi que la rupture de la barrière hémato-encéphalique, comme je l'explique dans d'autres articles. Le pic d’absorption dans l’hémisphère nord a eu lieu au printemps 2021. Il s’agit donc d’une période assez longue pour que la protéine Spike persiste dans l’organisme des personnes vaccinées, alors que l’ARNm fragile qui a initié cette production de protéine Spike se dégrade en quelques semaines, après l’administration de la charge utile.
Épidémiologie du risque de cancer suite aux vaccins contre la Covid
Les vaccins contre le Covid sont corrélés à une incidence accrue des cancers suivants.
Les lymphomes sont si étroitement liés à l'injection d'ARNm que 45,7 % des patients atteints de lymphome étudiés qui ont été vaccinés contre le covid ont développé un lymphome dans les 30 jours suivant l'injection, plutôt que plus tard. [16] Il n'est pas surprenant qu'il s'agisse de l'un des principaux cancers observés après le vaccin contre le covid, car les cellules T et B du système lymphatique se reproduisent non seulement rapidement, mais en tant que draineurs de déchets, les ganglions lymphatiques sont parmi les premiers tissus du corps à absorber les protéines de pointe.
Les glioblastomes sont des cancers pernicieux en raison de leur accessibilité facile aux tissus cérébraux environnants et de leur protection contre la plupart des traitements potentiels derrière la barrière hémato-encéphalique, entre autres défis. Pfizer a signalé des centaines de cancers du cerveau et d'états précancéreux dans sa mise à jour de juin 2022. [17] Des niveaux réduits de cytochrome C ont été constatés chez les patients atteints de gliome après le vaccin contre le covid, ce qui semble être dû à une phosphorylation oxydative altérée et à une baisse conséquente de l'ATP dans les mitochondries. [18]
Les cancers de l’ovaire et du sein sont également observés avec une incidence accrue depuis le déploiement du vaccin contre le Covid, probablement en raison de leur impact sur le p53, mais les vaccins contre le Covid ont endommagé ce gène p53, le « gardien du génome » protecteur de l’ADN, dont je parle ci-dessous.
Les cancers colorectaux se sont multipliés de manière agressive et chez des personnes d’un âge sans précédent depuis l’arrivée des vaccins contre la Covid. William Dahut est le directeur scientifique de l’American Cancer Society. Il déclare : « Le cancer colorectal se présente également sous la forme d’une maladie plus agressive et de tumeurs plus grosses au moment du diagnostic ; il est plus difficile à traiter. » Concernant cette forte augmentation du cancer colorectal chez les jeunes, Kimmie Ng, professeur de médecine à Harvard, commente que « les augmentations les plus fortes concernent les personnes les plus jeunes, celles qui ont entre 20 et 30 ans. » [19]
Bien que les cancers mentionnés ci-dessus figurent parmi ceux dont l'incidence a le plus augmenté, aucun type de cancer courant n'a connu une incidence stable depuis le lancement des vaccins contre la COVID-19. Tous ont été répertoriés dans la documentation de Pfizer. [20]
Le Vaccine Adverse Events Reporting System (« VAERS »), supervisé par les Centres for Disease Control (« CDC ») et la Food and Drug Administration (« FDA ») des États-Unis, est un système national de surveillance des effets indésirables des vaccins, pour tous les vaccins administrés aux États-Unis, y compris les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Pour toutes les entrées concernant les cancers en 2021, les chercheurs ont constaté que 96 % de toutes les entrées pour l’un des termes de recherche liés au cancer étaient spécifiques aux vaccins contre la COVID-19, et seulement 4 % pour tous les autres types de vaccins réunis. [21]
Partout dans le monde, les diagnostics de cancer et le nombre total de décès excédentaires ont commencé à augmenter après le déploiement des vaccins contre la Covid, puis à s'accélérer après les rappels. Les résultats sont particulièrement remarquables chez les jeunes âges généralement touchés par le cancer. [22]
Les données du CDC sur la mortalité par cancer résumées ci-dessous par The Ethical Skeptic montrent un point d’inflexion net dans la mortalité par cancer considérablement accrue (les personnes dont le cancer est répertorié comme cause de décès) aux États-Unis à partir du moment même du déploiement des vaccins contre le covid, la dernière semaine de décembre 2020. Dans le graphique suivant sur la mortalité par cancer chez les 0 à 54 ans, le point d’inflexion du moment où le cancer a commencé à augmenter au-delà des moyennes annuelles est assez clair, à partir de la semaine suivant le 14 décembre 2020, lorsque le vaccin est devenu disponible pour la première fois. [23] Étant donné que ce graphique montre un écart par rapport à la tendance plutôt que des chiffres réels, la courbe est souvent inférieure à zéro de 2018 à 2020, car la mortalité par cancer était alors légèrement inférieure aux taux antérieurs. Mon autre observation est que le premier pic après le déploiement du vaccin reflète probablement ceux qui avaient déjà un cancer fulminant, maintenant aggravé par la toxicité des vaccins, auquel cas le cancer aurait été la cause de décès par défaut indiquée sur le certificat de décès. Cependant, la tendance à la hausse continue de la mortalité par cancer de 2021 à aujourd’hui est un indicateur très fort qu’un événement sanitaire national survenu fin 2020-début 2021 a provoqué cette forte augmentation, et nous n’en connaissons qu’un seul. Toutes les données suivantes sont tirées des données rapportées par les CDC.
Une vaste étude portant sur l'ensemble de la population japonaise à partir des statistiques nationales de l'état civil a montré qu'une surmortalité était observée pour tous les cancers examinés, 20 types de cancer, chacun avec plus de 95 ou 99 % de PI depuis le déploiement des vaccins contre le covid. [24] Les conclusions politiquement incorrectes de l'article, basées sur des données inconfortables, ont valu sa rétractation par la revue Cureus . Au moins 80 % de la population japonaise avait reçu deux doses de vaccins à ARNm et 68 % de la population avait reçu une troisième dose. Dans cette étude de la population japonaise, les principaux cancers à augmenter après le déploiement du vaccin contre le covid étaient le cancer de l'ovaire, la leucémie, la prostate, les cancers des lèvres/de la bouche/du pharynx et du pancréas. Les cancers du sein ont d'abord diminué, puis sont également passés à la surmortalité, bien que ce dernier soit sans signification statistique.
Au Royaume-Uni, la hausse vertigineuse des cas de cancer a été attribuée au tabagisme, [25] bien que le tabagisme ait considérablement diminué au Royaume-Uni au cours des dernières décennies, comme dans le reste du monde. Treize nouveaux cancers sont désormais attribués au tabagisme par les médias grand public, ce qui est hautement improbable.
Les attaques du cancer sur l’organisme sont multiples. Elles sont si complexes que les chercheurs Valdes et Perea écrivent : « Cette complexité stupéfiante [des nombreux effets du cancer] appelle à la prudence lorsqu’on conseille à toutes les personnes atteintes de cancer (ou ayant des antécédents de cancer) de recevoir la série de vaccins primaires contre la covid-19 ainsi que des doses de rappel supplémentaires. » [26]
A cela j'ajouterais : faites-vous partie d'une espèce, comme l'homme, chez laquelle le cancer était déjà la première ou la deuxième cause de décès chaque année avant les vaccins contre le covid ? Dans ce cas, la vulnérabilité est suffisante pour que tous les humains soient sûrs d'éviter les vaccins contre le covid, comme je le montrerai en détail ci-dessous.
PARTIE 2 : Mécanismes par lesquels les vaccins contre la Covid induisent le cancer et thérapies naturelles qui les inversent
L’IgG4 est un anticorps produit en abondance par les personnes vaccinées contre le Covid, bien plus que par les personnes non vaccinées. [27] Les anticorps tels que les immunoglobulines de type IgG sont faciles à tester par un laboratoire sanguin et sont faciles à comprendre. Lorsqu’un irritant – qu’il s’agisse d’un microbe pathogène ou d’un allergène – pénètre dans l’organisme, nous produisons des anticorps réactifs sous forme de molécules soldats nouvellement générées pour combattre les intrus. C’est le rôle des anticorps immunoglobulines générés par les cellules B. Ainsi, lorsque les chercheurs ont découvert l’énorme disparité entre les taux d’IgG4 des personnes vaccinées contre le Covid et des personnes non vaccinées, les gens se sont enthousiasmés et les journalistes ont écrit sur cette découverte frappante.
On pense que l’IgG4 est associée à la tolérance aux microbes envahissants, et on pense que cela détourne ou déplace l’attention de la surveillance du système immunitaire des IgG1 et IgG3 plus inflammatoires et combatives, pour ainsi dire, et donc des batailles importantes contre les agents pathogènes envahissants ou même le cancer. Et l’IgG4 est spécifiquement plus tolérante à la protéine de pointe du SARS-CoV-2 parmi d’autres protéines et microbes qui n’appartiennent pas à l’organisme, et cette réaction immunitaire complaisante à la protéine de pointe peut favoriser l’infection et la réplication par le SARS-CoV-2 sans opposition. [28]
Mais toutes ces hypothèses et toute cette attention posent problème. L’IgG4 est un effet en aval et le produit d’un composant infinitésimal des cellules du système immunitaire, c’est-à-dire une petite fraction des molécules produites par les cellules B, qui ne représentent que 0,005 % (soit cinq cellules sanguines sur 100 000).
Autrement dit, il est peu probable que l’IgG4 ait autant d’effet sur le risque de Covid, d’autres risques microbiens ou de cancer. Mais il peut servir de marqueur pratique dans les analyses sanguines, donnant des indices sur les batailles sous-jacentes du système immunitaire qui sont plus importantes.
En fait, la découverte la plus importante sur le risque de cancer induit par le vaccin contre le covid est quelque chose de complètement différent, à savoir la perte de l'interféron de type I et la perte de la signalisation de l'interféron chez les vaccinés contre le covid, ce qui est une perte tragique de nombreuses fonctions immunitaires en aval contre le cancer. La différence dans l'importance de ces deux phénomènes est que l'IgG4 est très rare et très en aval, tandis que l'interféron de type I est le coordinateur central de l'ensemble du système immunitaire, omniprésent chez les personnes en bonne santé et considérablement réduit chez les vaccinés contre le covid. Et c'est la lésion immunitaire centrale à laquelle sont confrontés les vaccinés contre le covid. Ces deux phénomènes inquiètent l'oncologue clinicien britannique Angus Dalgleish, qui a codécouvreur du récepteur CD-4. Lors d'un entretien avec le sénateur américain Ron Johnson, le Dr Dalgleish a fait part de ses inquiétudes concernant les vaccins contre le covid, en ce qui concerne le cancer, à savoir que les rappels du vaccin contre le covid suppriment la réponse des lymphocytes T du système immunitaire et que les immunoglobulines sont passées à la tolérisation, deux mécanismes qui le préoccupent le plus, par lesquels les vaccins contre le covid induisent ou aggravent le cancer. [29] Il a été démontré que le vaccin Pfizer contre la COVID-19 réduisait considérablement l'interféron de type I, également connu sous le nom d'interféron alpha. [30] Cela entraîne un énorme effet en aval sur de multiples pathologies, à la fois des maladies infectieuses et des cancers malins.
L’interféron de type I, la cytokine la plus importante du corps, ne doit pas être sous-estimé pour son effet contre le cancer, et cela est dû à une énorme gamme d’effets anticancéreux. Certains de ces effets sont l’arrêt du cycle cellulaire, l’apoptose ou la mort cellulaire naturelle, ainsi que la stimulation de nos plus grands guerriers contre le cancer, à savoir les cellules tueuses naturelles et les cellules T cytotoxiques (« tueuses ») CD8+. Ainsi, lorsque les personnes vaccinées contre le Covid présentent une forte réduction de l’interféron de type I, par rapport aux personnes non vaccinées, il s’agit d’un niveau de vulnérabilité stupéfiant par rapport au cancer.
L’une de ces fonctions très importantes est l’influence du G-quadruplex sur l’interféron de type I, qui à son tour affecte la transcription, la réplication et la stabilité génomique. L’équipe de recherche Seneff approfondit les détails de ces mécanismes, [31] au-delà du cadre de cet article, et mérite d’être étudiée car il s’agit de l’analyse la plus importante à ce jour de l’énormité de l’assaut du vaccin contre la covid sur la fonction immunitaire globale.
Le cancer attaque le corps de sept manières principales
Au tournant du millénaire, Hanahan et Weinberg ont identifié six « capacités » majeures du cancer à subir des changements pour favoriser sa propre croissance et son immortalité. [32] John Boik a résumé les sept principales catégories d’attaques infligées par le cancer contre le corps. [33] Je discute ici de ces caractéristiques particulières du cancer, et des rôles des vitamines D, C et A contre la plupart de ces voies d’attaque. [34] Il s’agit des dommages ou de la déstabilisation de l’ADN, et des anomalies qui en résultent dans l’expression des gènes, de la signalisation cellulaire anormale et d’autres communications intercellulaires ; de l’angiogenèse, qui est la formation de nouveaux vaisseaux sanguins pour alimenter une tumeur ; de l’invasion et des métastases ; ainsi que de l’évasion/du camouflage immunitaire.
Je montrerai tout au long de cet article que la protéine Spike assure la plupart de ces fonctions, au détriment de la personne présentant un risque ou une charge cancéreuse, et ce au détriment de la personne présentant un risque ou une charge cancéreuse.
Commençons par examiner les dommages à l’ADN.
Les protéines Spike endommagent l'ADN, ce qui constitue un risque majeur de cancer
Lorsque l'ADN est endommagé, le cancer est un risque. [35] Le risque de cancer le plus important lié aux vaccins contre la covid est peut-être l'endommagement de l'ADN. Jiang et al ont découvert que la protéine de pointe se localise dans le noyau cellulaire, où elle était présente en abondance, qu'elle endommage considérablement l'ADN et qu'elle altère les voies de réparation de l'ADN. Les cellules les plus abondantes en protéines de pointe présentaient les dommages les plus importants à l'ADN, y compris l'ADN des cellules T et des cellules B, qui présentaient une altération due à ces dommages. [36] L'effet tragique de cette situation est que lorsque la protéine de pointe reste suffisamment longtemps dans les cellules, comme c'est le cas des protéines de pointe perpétuellement régénérées par l'ARNm, les mécanismes de protection de vos cellules contre le cancer s'arrêtent. Il n'est pas surprenant que, compte tenu du climat politique actuel, et malgré les données méticuleusement rapportées par Jiang et Mei, la revue Viruses ait rétracté son article, et que ceux qui l'aient rétracté aient des liens financiers avec Moderna et Pfizer. [37] Ce que Jiang et Mei avaient prouvé était ce que les experts niaient, mais ce que la documentation de Pfizer avait déjà prouvé : que les protéines de pointe pénètrent effectivement dans les cellules humaines et les noyaux cellulaires, et affectent l’ADN.
Il a été démontré que la protéine Spike du SARS-CoV-2 provoque la fusion des cellules pour former des syncytia, qui sont multinucléés, comme les cellules cancéreuses. Et ce processus est connu pour provoquer le cancer. [38] Cela conduit à une aneuploïdie dans les cellules filles, ce qui est cancérigène. L'aneuploïdie correspond à un nombre différent de chromosomes que les 46 normaux, soit en excès, soit en déficit. Ainsi, l'ADN est également endommagé de cette manière, lors de l'exposition aux protéines Spike. [39]
Le problème est que la réparation de l’ADN est essentielle pour l’immunité des cellules B et T. Elle est au cœur de la capacité de ce système immunitaire adaptatif à défendre l’organisme contre les maladies cancéreuses et infectieuses. [40] La réparation de l’ADN est essentielle pour atteindre la polyvalence nécessaire à ce système immunitaire adaptatif pour pouvoir protéger la personne contre la variété d’agressions infectieuses et cancéreuses auxquelles chacun d’entre nous est confronté au cours de la vie. En effet, ces processus sont si fondamentaux pour une surveillance immunitaire efficace qu’ils sont nécessaires à cette capacité de surveillance omniprésente et même omnisciente du système immunitaire. Les cellules B et T en développement et matures, comme toutes les cellules, doivent casser puis réparer l’ADN afin de se diversifier et de pouvoir atteindre la polyvalence nécessaire pour accomplir cette tâche difficile. [41] [42] Mais les protéines Spike interfèrent avec cette fonction immunitaire hautement complexe, entraînée par l’évolution et essentielle. Toutes ces activités sous-cellulaires sont hautement organisées. Les protéines Spike jettent une sorte d’éclat microscopique dans ce système exquis. Les dégâts sont si importants que les scientifiques de Pfizer ont découvert que les personnes ayant reçu le vaccin contre la covid présentaient une lymphocytopénie (manque de cellules T et B) mesurée deux semaines après l’injection de leur deuxième dose. [43]
Arrêt de la signalisation cellulaire, avec auto-stimulation et immortalité
Voilà une vue d'ensemble des dommages causés à l'ADN par la protéine Spike. Voici quelques-uns des effets génétiques spécifiques en aval de ces dommages.
Les développeurs de vaccins ont placé dans l'ARN du vaccin contre la Covid une teneur en guanine-cytosine plus élevée que celle présente dans le virus sauvage du SARS-CoV-2 ou dans l'ARN humain. Ces bases ont tendance à s'empiler dans des formations denses de bases guanine, qui forment des G-quadruplexes (quatre guanines empilées ensemble). En excès, on a découvert que cela avait des effets en aval de dysrégulation du système de liaison des protéines G4, qui, entre autres maladies, a conduit à des cancers malins, en dysrégulant l'ARN humain. [44] [45]
La protéine Spike a été identifiée comme capable de supprimer un gène dépendant de p53, ce qui conduit à la tumorigenèse. P53 a été surnommée « la gardienne du génome », car sa fonction bien connue est d’empêcher les cellules dont l’ADN a muté ou endommagé de se reproduire. De toutes les protéines du corps, p53 est la plus efficace pour supprimer les tumeurs. P53 accomplit cela en influençant un grand nombre de gènes qui remplissent diverses fonctions contre le cancer. [46] Les trois principales fonctions de p53 sont d’arrêter la croissance, de réparer l’ADN et de s’assurer qu’une cellule meure d’une mort cellulaire normale à la fin de sa vie, plutôt que d’acquérir l’immortalité comme le font les cellules cancéreuses. [47] La perte de p53 supprime ces effets protecteurs pour l’individu contre la croissance rampante du cancer, et près de la moitié des tumeurs contiennent p53 muté. [48] Les cellules cancéreuses qui avaient de grandes quantités de protéines Spike avaient une signalisation p53 réduite et une activité transcriptionnelle p53 réduite, et après ces dommages, aucun contrôle sur la multiplication des cellules cancéreuses n’a été observé. [49] De cette façon, les protéines Spike ont supprimé une importante caractéristique protectrice contre le cancer, et ont alors relâché, pour ainsi dire, les freins à la prolifération des cellules cancéreuses.
Le problème dans le cancer du sein est que la protéine Spike interagit avec BRCA, une protéine suppressive de tumeur reconnue depuis longtemps. Cette protéine régule les gènes qui ont des effets contre le cancer. [50] Les cancers du sein, de l'utérus, des ovaires et de la prostate sont associés à une activité altérée de BRCA1. Les mutations de BRCA2 sont principalement corrélées aux cancers de la prostate, du pancréas ainsi qu'au mélanome.
Le facteur nucléaire kappa B (NFκB) est le nom d'un groupe de protéines qui favorisent la croissance et la multiplication des cellules cancéreuses tout en leur conférant l'immortalité, ce qui en fait une menace pour les organes environnants. On a découvert que les protéines Spike stimulent et favorisent la croissance du cancer du poumon en utilisant cette voie NFκB. [51]
Angiogenèse
Les protéines NFκB évoquées dans le paragraphe précédent créent un autre problème qui renforce le cancer au détriment de la personne, et c'est que NFκB stimule l'angiogenèse, [52] qui est la formation de nouveaux vaisseaux sanguins à proximité de la tumeur ; on pense que cela est dû au métabolisme rapide de la tumeur qui exige du sucre et d'autres carburants, ainsi qu'aux super-autoroutes des vaisseaux sanguins pour satisfaire toute cette demande de carburant, pour ainsi dire.
Le cuivre est un micronutriment essentiel, mais il doit être limité en raison de son rôle dans l'angiogenèse, connu depuis les années 1960. [53] Ma clinique intègre depuis longtemps le zinc dans nos traitements contre le cancer, et nous avons essayé de limiter le plus possible le cuivre pour ne pas stimuler l'angiogenèse, ou pour qu'il y fasse obstacle. Le zinc est un adversaire naturel du cuivre.
Évasion du système immunitaire
Les effets des vaccins contre la Covid-19 sur le système immunitaire posent deux problèmes. Il y a un affaiblissement du système immunitaire et le cancer le camoufle ou l’échappe. Les tumeurs ont plusieurs mécanismes de camouflage ou d’évasion du ciblage par le système immunitaire. [54] Le problème est que notre système immunitaire existe pour rechercher et détruire ce qui est « non-soi », et les tumeurs se déguisent, dans leur exposition et leur dissimulation d’antigènes, en « soi ».
La vaccination contre la Covid a entraîné une perte d'interféron de type I, le principal agent biochimique non nutritif du système immunitaire, qui déclenche une cascade nécessaire de réponses immunitaires en cas d'attaque pathogène ou cancéreuse. Il en résulte des perturbations en aval et des défaillances dans la régulation de la surveillance du cancer. [55]
Cela conduit à une expression accrue de la protéine PD-L1 sur les cellules, ce qui donne au cancer un refuge contre la surveillance du système immunitaire, [56] et fonctionne comme une distraction pour le système immunitaire à l'égard du cancer. La protéine PD-L1 fait en sorte que le cancer ne soit pas appréhendé par les cellules du système immunitaire, en partie en raison de la distraction de l'assaut de la protéine Spike, comme un pathogène envahissant qui doit lui-même être combattu. On a constaté que la protéine PD-L1 était significativement augmentée chez les personnes vaccinées contre le covid. [57]
Cependant, l'autre moitié de l'évasion du système immunitaire résultant de la diminution de l'interféron de type I est la suivante : le système immunitaire, sous l'influence de l'interféron de type I, puis de l'antigène du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) de classe 1 affiché sur les cellules cancéreuses, identifie et cible les cellules cancéreuses pour que le système immunitaire les détruise. [58] Mais hélas, avec la perte de l'interféron de type I, il y a une perte conséquente de la présentation de l'antigène du CMH par les cellules cancéreuses, et ainsi les cellules cancéreuses échappent au système immunitaire sans être détectées.
Les effets directs de l'interféron de type I contre le cancer comprennent les fonctions ci-dessus ainsi que les suivantes : l'arrêt du cycle cellulaire (arrêt de la croissance galopante), la tendance à la différenciation (qui est un développement bénin plutôt que malin), l'initiation de l'apoptose (mort cellulaire normale « à temps » plutôt qu'immortalité cellulaire), la stimulation des cellules tueuses naturelles (« NK ») et l'activité des cellules T tueuses du cancer (CD8+). [59]
De plus, les vaccins anti-Covid inactivés ont été corrélés à la perte des très importants lymphocytes T CD8+. [60] Comme le décrit le Dr Ryan Cole, les vaccins anti-Covid « mettent vos lymphocytes T en sommeil, d'une manière qu'ils ne peuvent pas combattre... parce que ces lymphocytes T se sont endormis à un degré qui leur permettrait normalement de combattre le cancer, et maintenant ils ne sont plus là pour combattre le cancer. » [61] Cela semble également être dû à la perte d'interféron de type I.
Dans mon travail auprès des patients atteints de cancer, il a toujours été essentiel de maintenir le système immunitaire vigilant à la présence du cancer et de réagir contre lui. C’est très difficile à réaliser sur le plan pharmaceutique, car contrairement à un élément manifestement étranger comme un virus ou une bactérie pathogène, les cellules cancéreuses semblent être « autonomes » et sont donc trop souvent tolérées sans opposition par le système immunitaire. Il est donc peu probable qu’une substance synthétique puisse accomplir cette amélioration de la vigilance immunitaire. Les vaccins, malgré leurs trois siècles d’histoire, n’ont jamais réussi un tel exploit.
La vitamine A, en revanche, a permis de démasquer, pour ainsi dire, des cancers jusque-là cachés au système immunitaire et de cibler ces cellules cancéreuses et tumeurs pour les détruire. D'autre part, on a découvert que lorsque la vitamine A est déficiente, le cancer colorectal reste camouflé au système immunitaire. [62] Cela est probablement dû principalement à la suppression par la vitamine A de l'interleukine procancéreuse IL-6. [63]
Le sujet de l’IL-6 mérite d’être examiné car il existe des preuves que le CD-147, qui est abondant sur la protéine de pointe, favorise le TNF-alpha, qui est hautement cancérigène, et qui à son tour favorise fortement l’IL-6. [64]
La vitamine A a été capable de lutter contre le cancer à plusieurs niveaux moléculaires et cellulaires, au-delà du cadre de cette discussion, [65] mais son utilité contre l'IL-6 à elle seule a été utile. Pour cette raison, la vitamine A fait partie intégrante des protocoles de traitement du cancer dans notre clinique depuis 2006, et à des doses bien plus élevées que celles discutées par la FDA. J'ai souvent discuté avec des patients de doses allant de 50 000 à 300 000 unités par jour, selon la personne et les aspects de leur cancer particulier. Le succès des résultats de notre clinique contre le cancer n'est probablement pas dû à l'un des traitements que nous utilisons, mais à la synergie entre des nutriments bien tolérés et compatibles qui ont des effets anticancéreux complémentaires.
Métastase : invasion de tumeurs à des endroits proches et éloignés de la tumeur primaire
En comparaison avec un groupe témoin non exposé, la protéine Spike du SARS-CoV-2 a stimulé la migration des cellules cancéreuses du poumon dans le sang et l’invasion ultérieure de la membrane basale dans un nouvel endroit du corps. [66] Ce processus est connu sous le nom de métastase. Non seulement les cellules cancéreuses se détachent d’une tumeur primaire pour ensuite voyager dans la circulation sanguine, mais les membranes basales fragiles de différents organes du corps sont un terrain fertile pour qu’une nouvelle tumeur secondaire prenne pied. Pensez à cela, par exemple, comme une vieille tasse à café en céramique avec une surface rayée à un endroit. C’est dans cette zone que le café s’infiltrera et se tachera plus que la finition résistante du reste de la tasse. De même, les membranes basales qui protègent nos cellules sont plus vulnérables à une nouvelle cellule cancéreuse métastatique flottant dans le sang dans cette zone fragile plutôt que là où la membrane basale est intacte et donc plus résistante à une telle pénétration.
Depuis 2006, ma clinique lutte contre la fragilité et la faiblesse de la membrane basale. En d'autres termes, notre clinique s'efforce de renforcer la résistance de la membrane basale de nos patients atteints de cancer contre l'invasion métastatique. La vitamine C est une nécessité, et non un luxe, pour la formation du collagène, que je décris aux patients comme l'équivalent des briques et du mortier dont nous sommes faits, car le collagène est de loin la protéine la plus abondante dans le corps. On ne reconnaît jamais ce fait comme la raison de l'effet bénéfique de la vitamine C contre le cancer, mais je pense que c'est l'un de ses mécanismes les plus importants. Il existe des dizaines de types de collagènes. Le pro-collagène nécessite de la vitamine C ainsi que des acides aminés lysine et proline. C'est pourquoi nous préparons des traitements nutritionnels IV pour les patients atteints de cancer qui incluent ces trois ingrédients.
Autres mécanismes des vaccins contre la Covid qui favorisent le cancer
Les mécanismes décrits ci-dessus des vaccins contre le Covid-19 contre le cancer sont ceux pour lesquels on dispose du plus de preuves et qui sont historiquement reconnus comme des voies de promotion du cancer. Cependant, il existe également de plus en plus de preuves de l'existence de facteurs cancérigènes supplémentaires qui sont nouveaux et propres à ces nouvelles injections.
Contamination des vaccins contre le Covid par des plasmides d'ADN
L’ADN étranger, qui provient de l’amplification dans la bactérie E. coli , contamine les vaccins Pfizer et Moderna. Il s’agit d’un problème différent mais lié au problème des dommages causés à l’ADN humain que je décris ci-dessus.
Le Dr Phillip Buckhaults est un expert en génomique du cancer. Il a témoigné, dans une vidéo qui n’est plus visible sur YouTube, devant le Sénat de Caroline du Sud sur cette contamination de l’ADN trouvée dans les vaccins contre le covid. Il a témoigné : « Le vaccin Pfizer est contaminé par l’ADN. Ce n’est pas seulement de l’ARNm. Je suis un peu alarmé par les conséquences possibles de cela… Cela pourrait être à l’origine de certains des effets secondaires rares mais graves comme la mort par arrêt cardiaque. Cet ADN peut s’intégrer et s’intégrera probablement dans l’ADN génomique des cellules qui ont été transfectées avec le mélange vaccinal. Il est différent de l’ARN car il peut être permanent. Il pourrait théoriquement provoquer une attaque auto-immune soutenue contre ce tissu. C’est aussi un risque théorique très réel de cancer futur chez certaines personnes. Il y a probablement environ 200 milliards de morceaux de cet ADN plasmidique dans chaque dose du vaccin… C’est une mauvaise idée … » [67]
Kevin McKernan a été le premier à découvrir et à écrire sur ce problème de contamination par l'ADN plasmidique des vaccins contre la covid. [68] Cela a été confirmé par Speicher et Rose. [69]
« Pourquoi est-ce important ? », demande le pathologiste Ryan Cole. « C’est important parce que cet ADN [ plasmide dérivé d’ E. coli ] peut se loger dans le noyau de votre cellule à côté de votre propre ADN, et se propager dans la génération suivante de cellules, dans la génération suivante de cellules, etc. Alors, peut-il faire partie de la prochaine génération qui naît ? C’est possible… Et cela s’est produit dans des études sur des souris allant jusqu’à quatre portées de souris . » [70]
Méthyl-pseudouridine
Français La N1-méthyl-pseudouridine (M1Ψ) a été insérée dans l'ARNm fabriqué utilisé dans les vaccins contre le covid, qui a produit un ARN génétiquement modifié, afin de stabiliser la protéine de pointe suffisamment longtemps pour l'afficher au système immunitaire, pour qu'il la reconnaisse comme un antigène étranger, afin que le système immunitaire puisse fabriquer des anticorps contre les protéines de pointe. Cependant, cela crée de nouveaux problèmes, notamment en ce qui concerne le risque de cancer. Il s'est avéré que la M1Ψ stimulait en fait à la fois la croissance du cancer et les métastases dans le mélanome. [71] Néanmoins, la N1-méthyl pseudouridine est naturellement présente dans l'ARN humain, représentant 1,4 % de toutes les bases de notre ARN, et est nécessaire à notre synthèse protéique. [72] Je doute donc qu'il s'agisse d'une cause majeure de cancer, sauf par la voie indirecte consistant à protéger la production de protéines de pointe des attaques immunitaires.
D'autres mécanismes possibles expliquant l'augmentation des taux de cancer observés sont une prétendue contamination des vaccins contre la covid par le virus oncogène SV40, la présence de CD147 dans la protéine de pointe favorisant le TNF-alpha cancérigène, [73] ainsi qu'une possible contribution aux processus cancéreux par des microcaillots induits par les protéines de pointe.
PARTIE 3 : Rôles de l'ivermectine contre les cancers induits par le vaccin contre la Covid
L'ivermectine est l'un des médicaments les plus sûrs qui existent. Avant l'ère du Covid, quatre milliards de doses avaient été administrées dans le monde au cours du demi-siècle qui a suivi sa découverte, principalement en Afrique équatoriale, car l'ivermectine a d'excellents effets contre les parasites tropicaux. Cependant, elle a été d'une importance cruciale à l'ère du Covid, car la protéine Spike est la principale toxine à la fois dans l'infection Covid acquise naturellement et dans les vaccins Covid. Dans ce dernier cas, ces protéines Spike pleine longueur sont produites par le modèle d'ARNm. J'ai cité des études en 2021, dans mon livre « The Defeat of Covid », dans lesquelles plusieurs équipes de chercheurs avaient chacune montré que l'ivermectine bloquait efficacement les extrémités gênantes de la protéine Spike, à la fois les fragments S1 et S2, et que l'humanité aurait de la chance si l'ivermectine bloquait ne serait-ce qu'un seul d'entre eux, sans parler de l'effet bien meilleur du blocage des trois.
Depuis lors, de nombreux autres effets de l'ivermectine contre la protéine Spike ont été découverts. Le Dr William Makis, oncologue clinicien, résume quinze d'entre eux. [74]
Essentiellement, l'ivermectine est capable non seulement de bloquer la plupart des pires effets des vaccins à ARNm, mais elle inhibe également la croissance tumorale et arrête le cycle cellulaire du cancer, et à la dose très bien tolérée de 2 mg/kg de poids corporel, ce qui représente environ 136 mg pour une personne de 150 lb ou 182 mg pour une personne de 200 lb, et est compatible avec la chimiothérapie conventionnelle ainsi qu'avec les thérapies nutritionnelles contre le cancer.
Il est remarquable de constater que l’ivermectine s’est révélée efficace contre les cellules souches cancéreuses. [75] Ces cellules souches permettent au cancer de se développer et de réapparaître plus tard. Je dis que c’est remarquable parce qu’auparavant, seule la vitamine C était connue pour tuer les cellules souches cancéreuses, [76] [77] tout en étant inoffensive pour les cellules normales. [78]
Même à des doses plus faibles, les études résumées dans l'article de Makis ont montré une réduction tumorale de 50 à 85 % dans certains des cancers les plus dévastateurs causés par les vaccins contre le Covid, à savoir les glioblastomes et les cancers du côlon et du sein. Des études in vitro ont révélé l'effet de l'ivermectine contre un plus large éventail de cancers, notamment ceux mentionnés ci-dessus, ainsi que contre les cancers du pancréas, des ovaires, de la prostate et le mélanome.
En ce qui concerne le cancer du pancréas, l’ivermectine s’est avérée compatible avec le médicament de chimiothérapie pancréatique standard, la gemcitabine, et plus performante que celui-ci, dans son effet contre ce cancer. [79]
(J'ai hâte d'observer davantage et d'écrire davantage au fil du temps sur les effets salvateurs de l'ivermectine et d'autres interventions inoffensives non seulement contre le covid mais aussi contre les cancers les plus courants de notre époque, en particulier ceux qui ont proliféré depuis le déploiement des vaccins contre le covid.)
[68] K McKernan, Y Helbert, et al. Le séquençage des vaccins bivalents à ARNm Moderna et Pfizer révèle des quantités de nanogrammes à microgrammes d'ADN double brin du vecteur d'expression par dose. Ouvrir le PDF à partir d'ICI .
Colleen Huber est docteure en naturopathie (NMD) en Arizona, aux États-Unis, et possède une expertise dans les problèmes et les événements liés à la sécurité des vaccins. Elle a été témoin experte médicale dans des affaires judiciaires liées à la sécurité des vaccins. Colleen Huber est également oncologue naturopathe et titulaire d'une bourse de recherche au Naturopathic Oncology Research Institute.
Sa clinique, Nature Works Best Cancer Clinic , a obtenu les meilleurs résultats de toutes les cliniques du monde. Elle a été présidente de la Naturopathic Cancer Society, dont l'objectif principal est d'informer le public sur les traitements naturels sûrs et efficaces pour de nombreux types de cancer.
Vaccination par ARNm : rôle des réponses des cellules T régulatrices
ÉTUDE DE DERNIÈRE HEURE – Résultats auto-immuns et néoplasiques après la vaccination par ARNm : le rôle des réponses des cellules T régulatrices
Lorsqu’un antigène stimule le système immunitaire, des sous-populations spécifiques T régulatrices (Treg) et T effectrices (Teff) se développent à partir de cellules T naïves. Un déséquilibre entre les cellules Treg et Teff peut conduire soit au cancer, soit à l’auto-immunité. Les cellules Treg sont bénéfiques dans la mesure où elles protègent de l’auto-immunité. Cependant, ils suppriment la réponse immunitaire aux tumeurs. Dans cette revue, nous analysons les réponses Treg après la vaccination par l’ARNm du SRAS-CoV-2 et trouvons des pathologies distinctes.
L’injection d’ARNm modifié peut conduire à une réponse immunitaire retardée mais très active, entraînant une suractivation de l’inflammasome. Le « vaccin » à ARNm induit une très forte réponse en anticorps IgG, tout en supprimant l’activation des lymphocytes T CD8+.
Les exosomes distribuent la protéine de pointe synthétique recombinante et l’ARNm qui la code dans tout l’organisme.
Chez les patients cancéreux, la progression de la maladie dépend du point de départ du patient atteint de cancer au moment de l’injection et du type de traitement anticancéreux en cours.
La migration des cellules dendritiques et des cellules Treg circulantes vers le thymus, alors qu’elles transportent la protéine Spike, endommage les cellules épithéliales thymiques médullaires. et accélère l’involution thymique, cause directe de l’inflammation et de l’immunosénescence.
En résumé, les réponses des Treg aux injections d’ARNm et à l’expression ultérieure de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 codée par l’ARNm peuvent perturber les capacités immunitaires, entraînant un développement accéléré de maladies auto-immunes et de cancer.
Les processus discutés ici sont cohérents avec les résultats épidémiologiques et les rapports de cas.
• Une pléthore d’incidences de maladies auto-immunes sont survenues après le déploiement des injections d’ARNm contre la COVID-19.
• Des cas de cancer agressif sont survenus dans le corps des receveurs aux sites où l’ARNm a été injecté et à des sites métastatiques éloignés.
• Les vaccins à ARNm provoquent une involution thymique (rétrécissement) et une dysrégulation de l’équilibre homéostatique des cellules T régulatrices (Treg) et T effectrices (Teff).
• Les cellules immunitaires activées délivrent la protéine de pointe aux cellules épithéliales thymiques, les endommageant.
• L’équilibre Treg/Teff peut déterminer le sort de l’auto-immunité et/ou du cancer et est différent pour les patients atteints de cancer par rapport à ceux sans aucun tissu cancéreux.
• Les injections répétées d’ARNm conduisent à des preuves empiriques d’une altération des fonctions immunitaires (IgG4 et PD-L1 élevés), associée à une augmentation des risques d’auto-immunité et de cancer, et à une diminution de la résistance aux infections.
• Chez les receveurs atteints d’un cancer, le vaccin à ARNm peut être associé soit à une auto-immunité, soit à une progression ultérieure du ou des cancers, selon le traitement d’immunothérapie reçu par le patient.
Ceux qui achètent en viager devraient exiger que leur vendeur se fasse injecter Cette étude est Allemande, Aine Umlil a été révoqué pour avoir lancé une alerte similaire. En France l'auteur ...