Les GAFAM sont bien aux ordres du gouvernement Américain à plus ou moins forte pression, Facebook a cédé tout de suite devant les ordres de Trump, Google tient encore, mais souvenons nous que Bill Gates est dans le collimateur de Robert. F Kennedy Junior pour les vaccins. Bill Gates par influence jouait aussi sur Microsoft corporation dont il fût le co créateur et directeur. Le Misanthrope milliardaire s'est reconverti dans la dépopulation via la vaccination de masse, par tous les vecteurs possibles, dont les moustiques ou par pulvérisation, une sorte de génie dégénéré du mal dont l'influence tentaculaire s'étend sur l'OMS, mais aussi sur les Médias européens prosternés devant autant d'arguments financiers.
Ses mannes s'étendent là ou l'on doit faire l'apologie de sa fondation Bill et Mélinda Gates apparemment philanthropique, mais qui n'est qu'un outil d'exonération fiscale opportuniste. Ah oui il étendait ses largesses aussi aux fact-checkeurs ou vérificateurs de faits ( censure en sous traitance qui permet aux états d'agir sans réellement apparaître)
Du coup par cascade dans les semaines qui viennent on risque d'en connaître plus sur les liens de sous traitance, les ordres, les consignes et les commanditaires, bref sur le cinéma covidiste, la vaccination, la pelote se dévide inexorablement pour aller vers des arrestations et jugements
« Ils nous ont mis une énorme pression pour qu’on retire des contenus qui, honnêtement, étaient vrais. Ils nous ont essentiellement poussés à dire que tout ce qui évoquait d’éventuels effets secondaires des vaccins devait être supprimé. Et j’étais là, genre : eh bien, on ne va pas faire ça…
Ensuite, toutes ces différentes agences et branches du gouvernement ont commencé à enquêter et à s’en prendre à notre entreprise. C’était brutal. »
Ces aveux glaçants de Zuckerberg devraient tous nous réveiller ! Il est plus que temps que nos politiques en France arrêtent de jouer à l’autruche et s’attaquent sérieusement aux manipulations de masse autour des vaccins, qui ont coûté des vies. Pendant que tout explose aux États-Unis, ici, on patiente encore… avec trois TGV de retard.
Ça sent le sapin pour Julien Pain
Ça pue le rance pour Tristan Mendès France
Rudy reichstadt n'a plus la patate
Le monde de la résistance s'adresse aux immondes collabos du Forum de Davos.
Facebook se débarrasse des «fact-checkers» en prévision d’une audience à la Cour suprême
par Suzanne Burdick
L’association de Kennedy est déterminée à en finir avec la censure.
Moins de 24 heures après que l’association Children’s Health Defense (CHD) ait demandé à la Cour suprême des États-Unis d’entendre son procès contre la censure exercée par Meta, la société mère de Facebook, Mark Zuckerberg a annoncé que l’entreprise met fin à son programme de «vérification des faits» par des tiers.
«Il est temps de revenir à nos racines autour de la liberté d’expression sur Facebook et Instagram» a déclaré Zuckerberg aux téléspectateurs dans une vidéo de communiqué de presse. Meta possède également Instagram».
CHD a poursuivi Meta en novembre 2020 en raison des innombrables pratiques de censure du géant des réseaux sociaux. L’entreprise a retiré les pages de CHD de Facebook et d’Instagram en août 2022 et n’a jamais rétabli ses comptes.
Commentant les nouvelles déclarations du patron de Meta, la directrice de CHD, Mary Holland, a déclaré à The Defender :
«Il est clair que Mark Zuckerberg s’inquiète des nouvelles politiques anti-censure de la nouvelle administration – comme il se doit. Le dossier de CHD contre Meta montre clairement l’étroite collaboration de Facebook avec la Maison-Blanche pour censurer les informations liées aux vaccins, même avant le Covid».
Holland a ajouté :
«CHD a porté l’affaire devant la Cour suprême, et Facebook se rend sans doute compte qu’il y a des juges qui doutent beaucoup de la légitimité de Facebook à appliquer la censure aux ordres du gouvernement, en particulier avec la nouvelle administration».
«Zuckerberg peut imaginer qu’en faisant cette annonce, il rend l’affaire sujette à débat, ou tente de lui enlever sa pertinence. Ce n’est pas le cas – le pays a besoin que l’on aille jusqu’au bout de cette histoire pour que ce genre d’alliance entre l’État et l’industrie, afin de censurer les informations indésirables, ne se reproduise plus jamais».
Le procès de CHD contre la société mère de Facebook, Meta, et son fondateur et PDG Zuckerberg, allègue que les acteurs gouvernementaux se sont associés à Facebook pour censurer le discours des plaignants – en particulier les discours liés aux vaccins et au Covid-19 – qui auraient dû être protégés en vertu du premier amendement.
Les entreprises de «vérification des faits» Science Feedback, ainsi que l’Institut Poynter et son site Web PolitiFact sont également cités à comparaître. Le 9 août 2024, la Cour d’appel du 9ème circuit s’était prononcée contre l’association.
Mais les avocats de CHD ont exhorté la Cour suprême à reconsidérer la décision. Ils ont écrit dans leur demande, déposée lundi :
«Cette affaire va au cœur de notre conception constitutionnelle, soulevant des questions critiques à l’ère d’Internet sur la possibilité d’un débat ouvert sans censure gouvernementale par procuration.
Les conséquences du maintien d’une telle décision sont énormes : les leviers de la censure sur les méga-plateformes seront toujours une tentation douloureuse pour les titulaires de postes de direction – et pas seulement sur les vaccins ou le Covid».
Rick Jaffe, avocat national en matière de soins de santé a qualifié l’annonce de Meta de «très grosse affaire pour le pays et pour l’association CHD».
«Au cours des cinq dernières années et plus, CHD – en grande partie par l’intermédiaire de Robert F. Kennedy Jr., de Mary Holland et des partisans du groupe – a été à l’avant-garde de la défense de la liberté d’expression sur les médias sociaux… L’action de Meta aujourd’hui montre l’effet de l’évolution du point de vue du public sur la censure par les sociétés de médias sociaux que Meta ne pouvait plus ignorer».
«Alors, félicitations à CHD et à son équipe juridique qui ont contribué à ce que cela se produise. Mais le travail n’est pas encore terminé, nous devons aller de l’avant».
Meta se déplace vers le modèle de modération de contenu utilisé sur X
Plutôt que de se tourner vers des tiers pour vérifier les faits, Meta utilisera un «modèle de notes communautaires» dans lequel les utilisateurs sociaux décident eux-mêmes quand les messages sont potentiellement trompeurs et nécessitent plus de contexte, a déclaré Joel Kaplan, directeur des affaires mondiales de Meta, dans un communiqué. «Nous avons vu cette approche fonctionner sur X», a déclaré Kaplan.
«Le changement prendra quelques semaines à mettre en œuvre», selon Kaplan.
Meta lèvera également les restrictions sur des sujets tels que l’immigration et l’identité de genre.
«Ce n’est pas juste que les choses puissent être dites à la télévision ou au Congrès, mais pas sur nos plateformes», a déclaré Kaplan.
The Defender a demandé à Meta s’ils lèveraient les restrictions sur les discussions sur la sécurité des vaccins et le Covid-19, mais n’a pas reçu de réponse.
Meta change également la façon dont elle applique ses politiques.
«Jusqu’à présent», a déclaré Kaplan, «nous avons utilisé des systèmes automatisés pour rechercher toutes les violations de nos politiques, mais cela a entraîné trop d’erreurs et trop de contenu censuré qui n’aurait pas dû l’être».
Zuckerberg a déclaré qu’il y a «de mauvaises choses légitimes au dehors – drogues, terrorisme, exploitation des enfants». L’entreprise continuera à prendre ces choses «très au sérieux» en utilisant des systèmes automatisés pour les rechercher.
Cependant, pour les violations moins graves, Meta s’appuiera sur une personne qui signale un problème avant de prendre des mesures contre un utilisateur de compte.
Zuckerberg a déclaré qu’il s’était toujours soucié de la liberté d’expression, mais que ces dernières années, son entreprise a répondu à la pression pour des restrictions d’expression plus strictes.
«Les gouvernements et les médias mainstream ont poussé à censurer de plus en plus», a déclaré Zuckerberg. «Une grande partie de cela est clairement politique».
Il a reconnu que certains des «systèmes complexes» que Meta a construits pour modérer le contenu ont commis des erreurs. «Nous avons atteint un point où il y a trop d’erreurs et trop de censure».
Les changements de politique de Meta tiendront-ils ?
Zuckerberg a déclaré que les changements politiques de Meta ont également été motivés par les récentes élections américaines qui étaient un «point de basculement culturel pour donner à nouveau la priorité à la liberté d’expression».
Jenin Younes, une avocate des droits civils qui a représenté certains des plaignants dans l’affaire de censure historique Murthy c. Missouri, a déclaré à The Defender qu’elle était «prudemment optimiste» quant à l’annonce de Meta.
Meta semblait apporter les changements à cause d’une nouvelle administration présidentielle, a déclaré Younes. «Cela signifie que Meta pourrait changer de cap dans quatre ans sous une administration différente. Nous avons besoin de grandes plateformes de médias sociaux – la place publique moderne – pour adopter des positions de liberté d’expression fondées sur des principes qui ne changent pas avec le vent».
Si les plateformes n’adoptent pas de fortes positions de liberté d’expression, le dialogue public en pâtira, a déclaré Younes.
«La censure sur Meta, en particulier à l’époque du Covid, a étranglé le débat public et est même allée jusqu’à empêcher les personnes blessées par le vaccin de correspondre dans des groupes privés».
Kim Mack Rosenberg, avocat général de CHD, a déclaré que l’annonce de Meta n’annule pas les années de dommages causés à CHD et à de nombreux autres individus et groupes.
«Ce qui est important, c’est non seulement que Meta apporte ces changements, mais aussi que des mesures soient prises pour s’assurer que cela ne puisse pas être répété, ce qui rend les procès en cours – y compris la pétition récemment déposée devant la Cour suprême des États-Unis, d’une importance cruciale».
Google a annoncé qu’il n’avait « absolument pas l’intention » de réduire sa censure envers les Américains, malgré le sentiment public croissant contre la censure.
Cette déclaration sourde de Google intervient quelques jours seulement après que le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a annoncé son intention d'éliminer la vérification professionnelle des faits sur les plateformes Meta et d'introduire des politiques de modération assouplies.
« Nous allons revenir à nos racines et nous concentrer sur la réduction des erreurs, la simplification de nos politiques et la restauration de la liberté d'expression sur nos plateformes », a déclaré Zuckerberg dans une vidéo publiée mardi matin. « Plus précisément, nous allons nous débarrasser des vérificateurs de faits et les remplacer par des notes communautaires similaires à X, à partir des États-Unis », a indiqué Outkick.com .
Les Américains peuvent donc enfin s’exprimer librement sur Internet sans craindre de représailles pour avoir partagé de mauvaises opinions politiques ? Pas exactement.
Même si cela est vrai pour Facebook et Twitter/X, la plus puissante entreprise technologique du monde reste déterminée à contrôler la liberté d'expression. Google, filiale d'Alphabet Inc., n'a montré aucune volonté de se joindre à la campagne visant à restaurer la liberté d'expression sur Internet.
Google a une immense influence
Sans Google, Internet ne sera jamais ouvert et libre. Aucune entité sur Internet n’a plus de pouvoir que Google. En septembre 2024, Google représentait 90 % de toutes les recherches aux États-Unis. La plateforme effectue 8,5 milliards de recherches chaque jour, soit 99 000 recherches par seconde.
En moyenne, une personne effectue des recherches sur Google trois à quatre fois par jour. Plus de 66 % des références de trafic Web proviennent de Google, ce qui signifie que la plupart des pages vues des sites Web dépendent de Google.
De plus, YouTube, filiale de Google, détient 97,95 % du marché des lecteurs de vidéos en ligne. À ce jour, YouTube démonétise arbitrairement des chaînes qui partagent des idées politiques erronées, utilisent des pronoms erronés et offensent les mauvais groupes.
Tout cela n’est qu’une farce, une farce qui coûte chaque année des millions de dollars aux entreprises de médias.
Le moteur de recherche Google fonctionne de la même manière. En mai dernier, le géant des moteurs de recherche a confirmé l’authenticité de près de 2 500 documents internes divulgués qui appartiendraient au service. En résumé, les documents détaillaient la manière dont Google manipule son algorithme étroitement surveillé en attribuant aux sites Web des « scores d’autorité ». Ces scores attribués déterminent où se trouve un lien après une recherche, un facteur crucial si l’on considère que seulement 1 % des utilisateurs de Google font défiler la page au-delà de la première page.
Quels sites Google privilégie-t-il ? Une étude récente d’AllSides a cherché à le savoir. Selon les résultats, 63 % des articles sur Google News proviennent de « médias de gauche », contre seulement 6 % de « sources de droite ».
Plus précisément, les méthodes truquées de Google ont contribué à propager le tristement célèbre canular du « bain de sang » en mars dernier, forçant les utilisateurs à faire défiler la deuxième et la troisième page pour trouver un titre présentant le contexte complet des commentaires de Donald Trump.
Regardez ci-dessous :
Pas seulement les « médias traditionnels ». Google donne comme résultat « bain de sang de Trump ». Inondé de mensonges, il faut creuser pour trouver la vérité. pic.twitter.com/LVaDUqIs0Q
Les résultats de recherche biaisés qui ressemblent aux avertissements les plus orwelliens ne sont pas nouveaux.
Le Dr Robert Epstein, psychologue de recherche ostracisé qui a témoigné devant la commission judiciaire du Sénat en 2019 que « les résultats de recherche biaisés générés par l'algorithme de recherche de Google » ont fait basculer « au moins 2,6 millions de votes en faveur d'Hillary Clinton ». En 2020, Epstein a conclu que Google avait fait basculer « au moins 6 millions de votes en faveur » de Joe Biden.
En septembre, le Media Research Center a découvert des données montrant que les résultats du moteur de recherche Google étaient en très grande majorité « négatifs » pour l’expression de recherche « course présidentielle de Donald Trump 2024 » et « positifs » pour l’expression « course présidentielle de Kamala Harris 2024 ».
En réponse à l’étude, Trump a appelé à des poursuites pénales contre Google.
« Il a été déterminé que Google a utilisé illégalement un système permettant de révéler et d'afficher uniquement de mauvaises histoires sur Donald J. Trump, certaines inventées à cette fin, tout en ne révélant que de bonnes histoires sur la camarade Kamala Harris », a-t-il écrit sur Truth Social.
Et une action en justice contre Google pourrait exister.
Comme l’a expliqué OutKick plus tôt cette semaine, Facebook et Twitter n’ont pas agi seuls lorsqu’ils ont censuré les Américains au profit du Parti démocrate. Selon Zuckerberg et les documents que Musk a publiés à la presse, les deux plateformes ont été fortement influencées par le FBI, le Comité national démocrate et l’administration Biden.
Autrement dit, Facebook et Twitter ont permis au gouvernement de contourner le Premier Amendement en censurant les Américains ordinaires en son nom. Ce faisant, les analystes juridiques du Wall Street Journal estiment que Facebook et Twitter n’ont pas agi comme des « entreprises privées » mais comme des « acteurs étatiques », qui peuvent être poursuivis en justice en tant que tels.
Trump devrait donc lancer une enquête agressive pour déterminer si une collusion similaire a existé entre le gouvernement et Google. C’est certainement le cas. Et c’est probablement toujours le cas.
La fascination de Google pour le contrôle et la censure est à la fois répugnante et autoritaire. Elle constitue une menace pour la capacité des Américains à comprendre ce qui se passe dans leur propre pays.
Et contrairement à Mark Zuckerberg, les tyrans sans visage derrière Google n’ont aucune intention de mettre un terme à la manipulation d’Internet. Ils ne voient aucune raison de se plier à cette volonté.
En tant qu’Américains, nous ne pouvons tolérer cela. Nous et les responsables que nous avons élus devons exercer une pression féroce et rapide sur Google, le principal obstacle à un Internet libre, honnête et ouvert auquel l’Amérique doit avoir accès.
La liberté d’expression est la pierre angulaire d’une société libre. Comment pouvons-nous honnêtement nous considérer comme libres alors que l’entité la plus puissante de la technologie et des médias tente activement de limiter notre liberté d’expression ?
Ayant fait ses armes dans les médias grand public, notamment à la BBC, Sean a été témoin de la corruption du système et a développé un désir ardent de révéler les secrets qui protègent l'élite et lui permettent de continuer à faire la guerre à l'humanité. Dérangé par l'agenda des élites et insatisfait des médias alternatifs, Sean a décidé qu'il était temps de faire bouger les choses. Knight of Joseon (https://joseon.com)