
En 1954, Phillip Citroen, un ancien officier SS, aurait approché des agents de la CIA pour leur faire part d’une rencontre pour le moins troublante. Citroen affirmait avoir croisé un homme répondant au nom d’Adolf Schuttlemayer dans la ville de Tunja, située à environ 140 kilomètres au nord de Bogota. Selon lui, cet individu, qui ressemblait fortement à Hitler (dont il avait conservé la moustache et la mèche pour un meilleur incognito), était entouré d’anciens nazis qui le saluaient avec le geste hitlérien et lui témoignaient une adoration digne des plus fervents partisans du IIIe Reich. Citroen aurait même fourni une photographie montrant un homme dont la ressemblance avec Hitler était frappante.
D’après les documents, l’homme prétendant être Hitler aurait quitté la Colombie en janvier 1955 pour se réfugier en Argentine. Cependant, les agents de la CIA ont rapidement exprimé leur scepticisme face à ces allégations. Bien que le chef de station de Caracas ait transmis les informations à ses supérieurs, accompagnées de la photo, il a été recommandé de ne pas poursuivre l’enquête, jugée trop incertaine pour justifier des efforts supplémentaires.
Si la majorité des historiens s’accordent à dire qu’Adolf Hitler s’est suicidé dans son bunker berlinois en avril 1945, les théories sur une possible évasion n’ont jamais cessé de circuler. Dès la fin de la guerre, des rumeurs ont émergé, suggérant que le Führer aurait pu fuir à l’étranger. Parmi les hypothèses les plus populaires, certaines évoquent l’utilisation de sosies, de tunnels secrets, voire même d’un sous-marin allemand pour gagner l’Amérique du Sud.
Cette information confirme la thèse selon laquelle Hitler aurait été un agent du nouvel ordre mondial et qu’après avoir atteint son objectif, (détruire l’Allemagne), il aurait été exfiltré jusqu’en Amérique du Sud avec la complicité de la CIA mais aussi des Soviétiques… https://t.co/7yE29tG9Y8 pic.twitter.com/8bPWixlukG
— Stanislas Berton (@StanislasBerton) March 22, 2025
L’Amérique du Sud, et particulièrement l’Argentine, a longtemps été considérée comme un refuge pour les anciens dignitaires nazis. Sous le régime de Juan Perón, connu pour ses sympathies envers Hitler, de nombreux criminels de guerre ont trouvé asile sur le continent. Des villes comme Bariloche, en Argentine, ont même vu s’établir des communautés allemandes reproduisant le mode de vie et l’architecture de l’Allemagne nazie. Des artefacts nazis y ont été découverts, alimentant les spéculations sur une possible présence d’Hitler dans la région.
Les anciens nazis ont emprunté des routes clandestines, appelées « ratlines », pour échapper à la justice après la chute du IIIe Reich. Ces réseaux, souvent soutenus par des sympathisants fascistes en Espagne et en Italie, ont permis à des criminels de guerre notoires comme Josef Mengele et Adolf Eichmann de se réfugier en Amérique du Sud. Une fois sur place, ils bénéficiaient de nouveaux documents d’identité et vivaient souvent dans des communautés isolées, à l’abri des regards indiscrets.
Outre la trace d’Adolf Hitler en Amérique latine, le Daily Mail a récemment retrouvé le monstre du Loch Ness et même des extra-terrestres qu’on nous avait cachés depuis près d’un siècle. Ses analyses politiques — d’un très haut niveau — n’ont rien à envier à celles d’Emmanuel Macron. Comparons.
Extrait du Daily Mail : « Cette semaine, il a été révélé que des agents russes avaient étudié les protocoles d’incendie dans une usine appartenant à une entreprise d’armement allemande, peu avant qu’elle ne prenne feu l’été dernier. Les saboteurs de Poutine cherchaient apparemment à perturber les livraisons d’armes à l’Ukraine. L’incendie qui a paralysé Heathrow hier pourrait être un accident. Mais s’il s’agit d’un sabotage, il relève tout droit du Kremlin. »
« L’Europe a peut-être deux ans pour se préparer à une confrontation frontale avec la Russie, et nous devons nous préparer dès maintenant à une guerre non conventionnelle, faite de sabotages, d’incendies criminels, de cyber-attaques, de propagande et d’assassinats, qui posera les conditions d’une guerre à grande échelle. »Extrait de l’adresse aux Français d’Emmanuel Macron du 5 mars : « La Russie du Président Poutine viole nos frontières pour assassiner des opposants, manipule les élections en Roumanie et en Moldavie. Elle organise des attaques numériques contre nos hôpitaux, pour en bloquer le fonctionnement. La Russie tente de manipuler nos opinions, avec des mensonges diffusés sur les réseaux sociaux. Et au fond, elle teste nos limites et elle le fait dans les airs, en mer, dans l’espace et derrière nos écrans. »
« Et oui, la menace revient à l’est et l’innocence en quelque sorte des trente dernières années depuis la chute du mur de Berlin est désormais révolue. »