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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 19:01
Si vous êtes envahi par les fourmis, plus besoin d’insecticide, un portable suffit !

 

EN TOUT CAS CETTE ANNEE PAS DE MOUSTIQUES ET CHEZ VOUS !

 
 
 

Alors que les connexions Internet mobiles sur les réseaux 4G sont suffisamment rapides pour la plupart des utilisateurs moyens, leur permettant de diffuser des vidéos HD ou de télécharger de la musique, des applications et des jeux en déplacement, la 5G, la prochaine évolution des réseaux sans fil, a vraiment pris le dessus l’année dernière.

Alors que Samsung et plusieurs autres fabricants de smartphones ont sorti leurs premiers combinés 5G en 2019, Apple a sauté dans le train de la 5G à l’automne 2020, en apportant la nouvelle norme à toute la gamme de produits iPhone 12. Comme le rapporte Felix Richter de Statista, ayant vendu plus de smartphones au cours des trois derniers mois de 2020 qu’aucune entreprise n’en a jamais vendu en un seul trimestre, les débuts d’Apple en matière de 5G ont définitivement donné un coup de pouce majeur à la nouvelle technologie.

 
Infographic: Global 5G Adoption to Hit One Billion in 2022 | Statista

Vous trouverez plus d’infographies sur Statista

Selon les estimations du dernier rapport sur la mobilité d’Ericsson, le nombre d’abonnements à des smartphones 5G dans le monde va exploser et dépasser le milliard cette année, doublant presque par rapport à 2021. Cela signifierait que la 5G atteindra cette étape deux ans plus tôt que la 4G après son introduction, et, selon les estimations d’Ericsson, les abonnements doubleront à nouveau d’ici 2024.

Aube Digitale

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 18:13

Le professeur John William Frank est un scientifique reconnu qui possède près d’un demi-siècle d’expérience dans les domaines liés à la santé. Il exhorte le monde à arrêter le déploiement de la 5G jusqu’à ce que nous soyons sûrs que la 5G ne nuit pas aux humains.

 

https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/1/4/6494cd0c81f0e44f5877edf5213dc74fc285d6d3effc3fc8d8c0240375fc6b/les-aventuriers-de-l-entrepot-perdu.jpg?u=https%3A%2F%2Fwww.blagues-et-dessins.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2020%2F09%2Fles-aventuriers-de-l-entrepot-perdu.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1

Dans notre réalité actuelle, il s’agit d’une affirmation controversée, car toute affirmation différente de celles de la presse officielle de l’establishment est “controversée”. Lorsque les médias qualifient une allégation de “controversée”, ils disent : “nous, les médias, sommes impliqués dans une controverse avec la personne qui fait cette allégation, parce qu’elle n’est pas d’accord avec nous”.

 

Si les gens étaient autorisés à demander la preuve que certaines choses auxquelles ils vont être exposés n’auront pas d’effets négatifs à court ou à long terme, la sécurité et les mérites de plusieurs autres choses, y compris le vaccin contre le coronavirus, seraient ouverts aux débats.

La devise que les chefs suprêmes veulent imposer aux masses de gens, en ce moment, est “tirer d’abord, et ne jamais poser de questions”.

Via Study Finds :

Alors que l’humanité entre dans les années 2020, la plupart des pays du monde attendent avec impatience le lancement du nouveau signal de cinquième génération (5G) pour leurs appareils numériques. Alors que les géants des télécommunications promettent que ce nouveau réseau offrira plus de connectivité que jamais, certains s’inquiètent encore des effets de ces signaux à haute intensité sur la santé humaine. Un professeur de l’université d’Édimbourg va encore plus loin en demandant aux pays et aux fournisseurs de réseaux d’arrêter le déploiement de la 5G jusqu’à ce qu’il soit prouvé que ses ondes radio sont sans danger pour l’homme.

Dans un article d’opinion paru dans le Journal of Epidemiology & Community Health, le professeur John William Frank de l’Institut Usher affirme que les champs électromagnétiques de radiofréquence (RF-EMF) peuvent être potentiellement nocifs pour les personnes. Il affirme que la densité d’émission dont le signal 5G a besoin finira par exposer davantage de personnes à des niveaux élevés de RF-EMF.

L’étude note que la 5G est célébrée dans le monde entier comme une nouvelle ère pour les télécommunications, apportant aux utilisateurs du téléphone et de l’internet des avantages à la fois économiques et liés au mode de vie. Les implications sanitaires de ces ondes radio continuent cependant à susciter des débats entre les scientifiques.

Selon le professeur Frank, il y a quatre domaines critiques de préoccupation qui n’ont pas été abordés en ce qui concerne la 5G. Tout d’abord, M. Frank affirme qu’il y a un manque d’informations claires sur la technologie utilisée par les entreprises de télécommunications pour fabriquer le réseau 5G. En même temps, il y a un nombre croissant de recherches qui indiquent que les RF-EMF perturbent la biologie humaine.

Deuxièmement, Frank affirme qu’il y a un manque presque total d’études épidémiologiques sur les impacts de l’exposition aux 5G sur la santé. Le professeur est également préoccupé par les nouvelles études sur la santé qui montrent que l’exposition à des signaux plus anciens (comme les 3G et 4G) peut également causer des problèmes de santé.

Enfin, M. Frank souligne les accusations selon lesquelles certaines autorités nationales de régulation des télécommunications ne basent pas leurs normes de sécurité RF-EMF sur la science moderne, car des politiques plus strictes pourraient entraîner un conflit d’intérêts.

[…]

Malgré d’autres études déclarant généralement les signaux 5G inoffensifs pour l’homme, le professeur Frank affirme que beaucoup d’entre eux sont de “qualité scientifique variable”.

Les chercheurs ajoutent qu’il y a “un nombre croissant d’ingénieurs, de scientifiques et de médecins au niveau international… qui demandent aux gouvernements de relever leurs normes de sécurité pour les RF-EMF, de commander des recherches plus nombreuses et de meilleure qualité, et de retarder toute nouvelle augmentation de l’exposition du public, en attendant des preuves de sécurité plus claires”.

L’étude note que les limites de sécurité maximales actuelles pour l’exposition aux RF-EMF varient considérablement selon le pays dans lequel vous vivez. En outre, la définition de “5G” n’est même pas encore cohérente en ce qui concerne sa technologie et les composants que chaque entreprise utilise.

“Il est fort probable que chacune de ces nombreuses formes de transmission provoque des effets biologiques quelque peu différents, ce qui rend pratiquement impossible une recherche solide, complète et actualisée sur ces effets”, explique Frank dans un communiqué de presse.

L’étude révèle qu’il existe des preuves récentes que l’exposition aux RF-EMF peut avoir des effets très variés sur la santé reproductive, fœtale, oncologique, neuropsychiatrique, cutanée, oculaire et immunologique. Il n’y a cependant aucune preuve que ces ondes radioélectriques sont à l’origine de la propagation du COVID-19.

Le timing du déploiement de la 5G en relation avec la pandémie de coronavirus, l’obsession de tenir Huawei à l’écart des infrastructures des télécommunications et les réactions cinglantes contre les personnes soulevant certaines préoccupations “controversées” devraient au moins faire sourciller.

 

Source

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1 août 2020 6 01 /08 /août /2020 13:17

Je ne posterai pour l'instant pas de grandes informations économiques et financières, pour moi tout est bouclé. Ce qui semble un sursaut n'est qu'un vague soubresaut, dont la fin est assez proche.

 

Que ce soit en Europe ou aux USA, Chine etc... tout le système capitaliste est en recul très net, toutes les tendances virent au rouge violet.

Cette histoire de covid et de vaccin est aussi encore un moyen de se faire de l'argent facilement, toutes les valeurs à part les grosses valeurs comme les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon etc...) s'effondrent littéralement, hors évidement celles concernant le secteur pharmaceutique. Un des derniers secteur prometteur quand aux perspectives de bénéfices.

 

Nous savons que nous sommes à un tournant décisif, mais nous n'en connaissons pas vraisemblablement le dessein final, mais nous avons la trame.

Le capitalisme dans sa forme actuelle est terminé, s'ouvre un nouvel ordre réservé à une élite contrôlant les moyens de communications  qui sont accessoirement des moyens de contrôles. De plus les populations passerons de produit non modifié à OGM comme les plantes, il semble que les liens entre les ondes et le injections a ADN soient liés.

 

Le chaos qui va en résulter va bouleverser bien des plans, dont ceux en cours du gouvernement obscur.

 

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1 août 2020 6 01 /08 /août /2020 12:35
Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

Cet article et une reprise, mais les éléments me semblent assez importants pour être reproduit dans son intégralité. Merci de vous y intéresser.

 

« Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » en date du 13 mai 2020. Je me permet donc de le partager avec vous. Il s’agit d’un document de synthèse pédagogique et d’information à usage interne et à diffusion restreinte.

Officiers de Réserve (logo)En effet, des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la « pandémie » de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant. Toutefois, devant l’urgence et la gravité des faits, ils ont choisi de le communiquer tout de même à la société civile. Nous avons donc entre les mains la version « grand public » expurgée des références au Groupe et des sigles de l’Unité.

Le groupe d’enquête met en garde contre une désinformation qui semble entourer ce dossier, sur lequel beaucoup d’avis sont divergents — notamment entre les « autorités » et les praticiens de terrain.

Toutefois, les éléments semblant former consensus ont été relevés et synthétisés, afin de constituer une bibliothèque de connaissances de nature à aider le lecteur à renforcer son système immunitaire et son hygiène de vie, face à un virus qui n’a rien d’ordinaire. Une évidence cependant : ce virus, s’il existe, n’a rien de naturel ni d’accidentel.

Le groupe d’enquête a relevé des incohérences qui ont débouchées sur la mise en évidence d’une corruption manifeste et d’intentions contraires au bien public, culminant avec des intentions criminelles et génocidaires, et la mise en place d’un état totalitaire, qui sont rapportées dans les conclusions.

Que soit ici remercié le groupe d’enquête, composée de cadres de réserve qui, durant cinquante jours, ont enquêté sans relâche pour y voir plus clair dans la « pandémie de Covid-19 » et ont livré leurs conclusions – toutes recoupées et sourcées -. L’analyse livrée est parfois très éloignées de la thèse officielle. Il a fallu aux enquêteurs faire un choix – à la fois difficile et courageux – entre la servilité d’une posture conventionnelle et sans risques, se bornant au discours officiel, et la loyauté due à des populations civiles touchées au cœur et souvent désinformées par certaines institutions qui se sont avéré inféodées à l’Ordre Marchand. Cette fois encore, les réservistes seront aux côtés de la Nation.


«Le “virus” sur lequel nous avons enquêté ne serait dans les faits qu’une partie d’une vaste opération combinant armes biologiques et armes à radiations, soutenue par une opération d’enfumage et de diversion, orchestrée par une OMS notoirement corrompue ayant contribué à jeter la confusion dans les rangs des soignants, et dont les indications et les recommandations se situent factuellement à l’exact opposé des observations et des préconisations des urgentistes de terrain.

Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Enquête complète, cliquez sur la ligne

 

Les conclusions du rapport d’enquête

Bill Gates - Virus et AntivirusForce est de constater que, factuellement, des incohérences flagrantes et des « vides » inexplicables invalident la théorie officielle et que la gestion de la « crise » sanitaire, tout aussi incohérente, semble plutôt prétexte à une prise de contrôle totalitaire au niveau mondial. Ce qui nous est apparu comme une guerre et biologique et électromagnétique, soutenue par une vaste opération « d’enfumage », dissimule à l’évidence une corruption massive jusqu’au sein de l’OMS et les intentions les plus inavouables.

Si l’existence d’un virus ne peut en aucun cas être écartée, et si donc les « gestes barrières » devront continuer à être appliqués jusqu’à la fin de la « crise » sanitaire, une guerre de type électromagnétique est indéniablement à l’œuvre derrière cet écran de fumée semant la confusion jusque dans les rangs des personnels médicaux et hospitaliers. Ainsi, il est avéré que beaucoup d’antennes ont été mises en place à la faveur du confinement, sans souci du « principe de précaution » pourtant largement évoqué par ailleurs, notamment pour entraver des traitements médicaux.

Bien que des technologies de type HAARP ou SURA viennent immédiatement à l’esprit, les installations de 5G, terrestres et aériennes (satellites d’Elon Musk en orbite à faible altitude), participent à l’évidence à ce projet de « guerre totale ».

A cet égard, il est impossible de ne pas remarquer la similitude des dégâts pulmonaires observés par tous les urgentistes dans le cadre de l’épidémie de COVID-19 avec les dommages causés par l’usage d’une arme à rayonnement, et jusqu’aux maux de tête permanents, fatigue croissante, aux sensations de brûlure dans les poumons, à la thrombose et à la perte de sensibilité aux odeurs et aux goûts cités également comme un des symptômes du COVID-19. A cet égard, le rapport du Docteur Jeremy K. Raynes, ingénieur en champs électromagnétiques – qui fait autorité – indique que des signaux sont utilisés par le corps humain pour réguler ses processus, alertant que des signaux électromagnétiques extérieurs peuvent interférer gravement dans ce processus. Manifestement jusqu’à désorganiser le système immunitaire.

Par ailleurs, les intentions d’imposer au niveau mondial une monnaie dématérialisée, un vaccin comportant des nano puces, et une puce électronique sous-cutanée reflètent à l’évidence des tentations totalitaires.

Mais s’il a été constaté que des activités industrielles (activités minières, extraction de pétrole et de gaz, géothermie) peuvent, dans certains cas, induire des séismes, aucune enquête n’a été diligentée par la réaction de la Terre à l’utilisation massive d’une technologie 5G. Pourtant, depuis les essais de 5G réalisés avec l’aval de l’ARCEP (autorité de régulation des communications électroniques et des Postes), des séismes inhabituels – vite oubliés — ont fait trembler la France notamment en novembre 2019 et des communes ont été reconnues en état de catastrophe naturelle.

Si l’on ajoute à cela le fait que des éruptions solaires – que l’on pense en corrélation étroite avec l’activité volcanique – seraient de nature à rendre brutalement inopérants tous les système électroniques, le jeu d’apprenti-sorcier auquel se livrent certains acteurs internationaux de l’industrie et de la finance pourrait bien nous acheminer vers un avenir des plus incertains.

Quoi qu’il en soit, l’implication de la 5G est hautement suspectée dans le présent désastre sanitaire, soit que l’exposition à ces rayonnements ait hautement potentialisé le pouvoir pathogène du virus ou de la bactérie Prevotella à l’origine du choc cytokinique, soit que l’épisode viral du « COVID-19 » ne soit que la préparation d’une opération combinée de plus grande envergure, conjuguée à un écran de fumée visant à dissimuler des essais en grand de cette arme électromagnétique, à des fins criminelles qui resteront à éclaircir.

«Si, selon la terminologie NRBC, il semble bien s’agir d’une “guerre” comme l’a d’ailleurs affirmé à plusieurs reprises le président de la République française, il se pourrait bien qu’il s’agisse non pas d’un conflit exclusivement biologique, mais bien d’une guerre combinée et biologique et radiologique. Une guerre contre les Peuples.» — Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Les préconisations du Groupe d’enquête

Le Groupe d’enquête préconise solennellement la création d’un « Groupe d’études NRBC » permanent, orienté vers l’étude des agents biologiques et vers l’étude des rayonnements morbides, aux fins de donner aux populations les moyens de se préserver d’un usage éventuel et massif des technologies de 5G qui, une fois en place et poussées à forte puissance, se traduiraient immanquablement par une hécatombe, spécialement si elles sont combinées à des injections pathogènes sous forme vaccinale et à des épandages aériens (chemtrails) de perturbateurs endocriniens ou d’agents viraux.

Ainsi, si les décès provoqués par le COVID-19 ont pu être favorisés par des essais de 5G augmentant le pouvoir pathogène du virus, réciproquement des décès provoqués par une montée en puissance ponctuelle d’antennes de 5G ont pu être attribués au COVID-19.

Au terme de cinquante jours d’enquête et au plan de l’étude des risques, le Groupe d’enquête préconise que devraient être analysés d’urgence par un Groupe Etude des Menaces :

  • l’impact sociologique de la pandémie de COVID-19 sur les libertés publiques et l’économie;
  • le contenu du vaccin obligatoire en préparation et notamment la présence de
    nanotechnologies (puces électroniques de contrôle des populations);
  • les intentions relatives à une abolition de la monnaie physique et son impact sur les
    libertés publiques (
    puçage des populations, qui a déjà commencé en Europe);
  • l’impact sanitaire et sur les libertés publiques du déploiement massif de la 5G, le
    déploiement et le rôle exact des dispositifs HAARP et SURA;
  • la nature exacte des traînées chimiques et leurs objectifs (chemtrails) : les métaux lourds comme perturbateurs endocriniens (aluminium, baryum), l’épandage de virus ethniques;
  • le risque d’affrontement communautaire comme outil de destruction des nations;
  • les risque de guerre mondiale (conflit NRBC généralisé).

Au plan individuel, le G.E. recommande de développer son autonomie (point d’eau naturel à proximité, vivres, potager, poulailler, ruches pour ceux qui le peuvent, huiles essentielles, argile verte, quercétine), de ne pas se soumettre sans réfléchir à un vaccin qui nous serait proposé dans le cadre de la « pandémie » (la Loi interdit des soins sans le consentement éclairé du patient), à se tenir éloigné d’installations de 5G en état de fonctionnement et de prendre garde aux épandages aériens (chemtrails) qui pourraient reprendre à l’issue du confinement : il faudrait alors ne pas sortir de chez soi.

Si on ajoute à cela le risque que soient encouragés des affrontements intercommunautaires pour déstabiliser et détruire les états-nations en vue de conduire les populations vers une gouvernance mondiale non-élue et totalitaire, ainsi que les risques de conflits NRBC (arme nucléaire, radiologique, biologique ou chimique), la situation à venir pourrait bien demander beaucoup de vigilance et de solidarité, dans un esprit fraternel et de complémentarité.

(auteur texte G.B.)

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1 août 2020 6 01 /08 /août /2020 12:31

Je ne dirai pas voyance comme il est dit dans l'intitulé de cette vidéo, mais déductions, qui me paraissent logiques.

En outre cela recoupe bien d'autres éléments dont ceux sur le rapport d'officiers de réserves Français.

 

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9 juillet 2020 4 09 /07 /juillet /2020 09:56

Les dernières élections communales ont vu la progression du parti écologiste, alors pourquoi ne pas profiter de l'opportunité pour développer l'initiative populaire, notamment en ce qui concerne le déploiement de la  5G en France.

C'est donc toujours par décision arbitraire que l'Etat décide d'imposer ses vues surtout quand celles ci coïncident à des intérêts privés qui plus est étranger. Les Usa elle même ont refusées l'implantation de l'entreprise Huawei pour des raisons de sécurité militaire.

Alors l'opportunité se présente donc de refuser l'implantation de la 5 G,  en effet chacun en temps que citoyen est à même de demander à son nouveau maire  l'interdiction de la 5 G sur sa commune, pouvoir qu'il a en effet. Vous verrez à sa réponse s'il est vraiment ce qu'il prétend être ou à ses atermoiements s'il y a lieu.

Au quel cas je pense que l'initiative locale de pétition peut faire fléchir les réticents, le Maire peut également proposer une consultation locale de type référendaire afin de déterminer la volonté populaire.

A la condition que les opinions pour et contre soient équitablement débattues et développées en s'appuyant sur les informations internationales d'études scientifiques et empiriques. (je dis internationales car il faut éviter la l'ingérence de corruptions nationales)

 

Il s'agit par ce biais de contrer le pouvoir central qui n'hésite plus à imposer ses vues de plus en plus technocratiques.

 

Par tous les moyens faites remonter les informations aux élus locaux responsables et décideurs en dernier recours de vos vies au niveau local. Il s'agit désormais d'imprimer une nouvelle forme participative de fait et non de façade pour faire fléchir les politiciens de métiers habitués a l'art de  la diversion souvent pour leur propres intérêts.

 

Vous trouverez donc les éléments nécessaires à la suite, notamment l'action du Maire de Bordeaux qui veut alerter les citoyens sur les dangers de la 5 G.

 

Vous avez ensuite quelques éléments et des sites de renseignements, pétitions étayées par des scientifiques au niveau mondial.

 

 

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6 mai 2020 3 06 /05 /mai /2020 10:36

Pétition signée par 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé Belge

 

" Face au déploiement massif et inconsidéré des technologies sans fil, nous, professionnels de la santé, demandons au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population et plus particulièrement les groupes les plus vulnérables dont font partie, notamment, les femmes enceintes et les enfants."

 

En pleine pandémie, alors que les citoyens sont confinés et que la société est mise à rude épreuve, Proximus a entamé ce 31 mars le déploiement de la future 5G dans 30 communes autour de Bruxelles.

Même s’il pourrait s’agir d’une simple coïncidence, ceci nous semble indécent à un moment où les Belges doivent lutter ensemble pour essayer de vaincre le drame humain qui nous préoccupe tous. Parallèlement, des organismes de défense des consommateurs se sont empressés de publier des articles pour affirmer la non-dangerosité de cette technologie.

L’exposition de la population aux rayonnements électromagnétiques de radiofréquences/micro-ondes (RF/MO) n’a cessé d’augmenter ces dernières décennies. Téléphones sans fil de maison (DECT), smartphones, tablettes en 3G puis 4G, Wi-Fi à la maison, au travail, dans les crèches, les écoles, les transports et les lieux publics…

Et maintenant, on assiste à l’arrivée de la 5G ou à tout le moins de la 4G+.

Pourtant, l’innocuité de cette exposition n’a jamais été démontrée. Au contraire, les preuves de sa nocivité s’accumulent. Depuis 2011 d’ailleurs, les rayonnements électromagnétiques de RF/MO des technologies sans fil sont considérés par l’OMS comme possiblement cancérigènes (classe 2B), en grande partie à cause des risques accrus de gliomes et de neurinomes acoustiques chez les utilisateurs de longue date de téléphones cellulaires.

Le Principe de Précaution n’a nullement été respecté lors du déploiement massif de ces technologies sans fil.

Or, lorsque des risques graves et possiblement irréversibles ont été identifiés, l'absence de certitude ne doit pas servir de prétexte à remettre à plus tard des mesures pour protéger l'environnement et la santé.

Nous avons revu la littérature scientifique indépendante et nous nous référons entre autres, à la Résolution 1815 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe. Nos conclusions rejoignent celles de spécialistes indépendants, et sont que le principe de précaution n’est actuellement pas appliqué et que la protection de la santé des citoyens, et des enfants en particulier, n’est pas assurée face à la surexposition à ces rayonnements électromagnétiques RF/MO.

Les normes censées protéger la population de l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO ne tiennent compte que de l’échauffement des tissus (effet thermique) lors d’une exposition de durée limitée.

Ces normes ne tiennent pas compte des expositions répétées et/ou prolongées, ni de tous les effets biologiques non thermiques qui surviennent à des valeurs nettement inférieures aux valeurs actuellement autorisées. Elles n’ont pas été conçues pour protéger les fœtus, les enfants, les adolescents, les personnes âgées…

Pour les enfants, les risques peuvent être accrus en raison des effets cumulatifs d’une exposition prolongée. Leurs cerveaux, organes et tissus en développement et immatures peuvent être plus sensibles à l’exposition. Et les rayonnements pénètrent proportionnellement plus en profondeur dans leurs organes que dans ceux des adultes puisque leurs dimensions sont plus petites.

Le déploiement généralisé des technologies sans fil comporte des risques sanitaires connus depuis plusieurs décennies.

De nombreuses études (études sur des cellules, des animaux, études épidémiologiques) confirment l’existence d’effets biologiques non thermiques induits par l’exposition à des rayonnements électromagnétiques RF/MO émis par les technologies sans fil. Ces effets biologiques sont, par exemple, des lésions de l’ADN (ruptures), des perturbations de la synthèse des protéines, des altérations des spermatozoïdes, des perturbations de la synthèse d’hormones.

On connait les conséquences des lésions de l’ADN, notamment leur lien avec la survenue de cancers. Les dernières études sur les rats menées en 2018 par deux instituts indépendants différents (NTP et Ramazzini) ont montré que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO augmente la survenue de tumeurs, notamment du cerveau. Suite à cela, en mars 2019, le Centre International de Recherche sur le Cancer a recommandé une réévaluation de la classification de ces rayonnements endéans les 4 ans.

En mai 2019, le Conseil Supérieur de la Santé belge reconnaît, dans un avis sur les rayonnements non-ionisants, l’existence des effets biologiques de ces rayonnements à des niveaux non-thermiques ; leur lien avec le développement de cancers (augmentations importantes et statistiquement significatives du risque de gliomes cérébraux et de neurinomes de l’acoustique homolatéraux); le lien entre l’exposition maternelle aux champs électromagnétiques des fréquences des téléphones mobiles et l’existence de troubles du comportement et du langage chez l’enfant.

Bien qu’il faille plus de 20 ans à certains cancers pour se développer, on constate déjà une augmentation des glioblastomes (cancers du cerveau) dans les populations de certains pays européens. Au vu de ces éléments, il deviendrait dès lors inconvenant, d’oser encore continuer à clamer que tout cela ne représente aucun danger pour la santé.

Et la 5G ?

L’installation de la 5G nécessitera un assouplissement important des normes déjà beaucoup trop élevées.

De plus, cette technologie, qui présente des spécificités techniques différentes des technologies de générations antérieures, n’a pas fait l’objet d’études sanitaires préliminaires. Certains scientifiques craignent une augmentation de survenue des cancers de la peau et des dommages oculaires liés à l’utilisation de fréquences porteuses plus élevées.

Par ailleurs, la multiplication du nombre d’antennes relais nécessaires à l’installation du réseau 5G et l’hyper-connectivité absolue dans laquelle elle précipitera la société imposera une augmentation généralisée et certaine des niveaux d’exposition des populations.

Cela équivaut à prévoir une situation où le risque sanitaire global serait augmenté par un facteur qu’il est impossible de déterminer à l’avance, avec des retombées sanitaires dont nous ne connaissons pas la nature et sur lesquelles nous n’aurions aucun contrôle.

Cela équivaudrait aussi à une infraction au code de Nuremberg puisqu’il s’agirait finalement d’une expérimentation sur l’humain sans son consentement, sans certitude que le bénéfice pour la société soit plus important que le risque encouru…

En tant que médecins, nous déplorons déjà de plus en plus de pathologies pouvant être en lien avec des composants environnementaux tels que cette exposition croissante de la population aux rayonnements électromagnétiques du sans-fil. Nous recevons aussi des témoignages et nous rencontrons de plus en plus de personnes souffrant de troubles physiques potentiellement liés à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques comme des troubles du sommeil, des acouphènes, des palpitations, des maux de tête, des troubles de l’attention et de la concentration, de fortes douleurs...

Nous demandons, en référence à la Résolution 1815 de mai 2011 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, ainsi que dans la lignée des dizaines d’appels de médecins et de scientifiques de par le monde, que les mandataires publics locaux, régionaux et fédéraux prennent leurs responsabilités et les mesures nécessaires afin d’obtenir :
• L’application du Principe de Précaution en vue de protéger la population, surtout les plus jeunes, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées,
• Un moratoire sur le déploiement de la 5G en attendant des études d’impact sanitaire,
• La sensibilisation des citoyens, en particulier des parents, des adolescents et des femmes enceintes à un usage raisonné et responsable des objets connectés sans fil,
• L’établissement de normes d’exposition réellement protectrices basées sur les effets biologiques thermiques et non thermiques des champs et rayonnements électromagnétiques RF/MO,
• La création d’un centre de vigilance ou d’un organisme de recensement de symptômes en lien avec cette exposition.

Par cette carte-blanche, nous rejoignons les milliers de médecins et de scientifiques, issus du monde entier, qui depuis l’année 2000 ont uni leurs voix dans des appels récurrents pour alerter les populations et les politiciens face aux dangers des technologies sans fil.

Aujourd’hui, nous sommes parmi les 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé à signer l’"Hippocrates Electrosmog Appeal" pour demander au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population contre ces dangers. Vous trouverez sur notre site internet toutes les références relatives aux informations communiquées ci-dessus : https://www.hippocrates-electrosmog-appeal.be/ 


L’actualité récente nous inquiète d’autant plus, mais gageons ensemble qu’elle puisse être l’occasion de nouvelles prises de conscience et d’avancées dans le domaine de la prévention, qui doit aujourd’hui et plus que jamais faire l’objet de toute notre attention.

En lien source et liste des signataires.

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5 mai 2020 2 05 /05 /mai /2020 17:26

Une transaction a également eu lieu Xi jinping fournit la France pour près d'un milliard de masques en échange de quoi le gouvernement Français met en oeuvre au mieux l'installation de la 5G

 

Depuis le 23 mars dernier, le gouvernement d’Emmanuel Macron a adopté 25 ordonnances pour lutter contre le coronavirus. Cependant l’une de ces ordonnances ne concerne pas le Covid-19, mais l’installation d’antennes relais sur le territoire pour préparer l’installation de la 5G.

En application de la loi d’urgence n° 2020-290 du 23 mars 2020 pour faire face à l’épidémie de Covid-19, vingt-cinq ordonnances ont été prises par le Conseil des ministres. La 6ème ordonnance, n° 2020-320 du 25 mars 2020, a été confirmée au JORF n°0074 du 26 mars 2020 texte n° 45.

Selon cette ordonnance, « quatre procédures administratives préalables en vue de l’implantation ou de la modification d’une installation de communications électroniques sont ainsi aménagées: la suspension de l’obligation de transmission d’un dossier d’information au maire ou au président d’intercommunalité en vue de l’exploitation ou de la modification d’une installation radioélectrique ; la possibilité pour l’exploitant d’une station radioélectrique de prendre une décision d’implantation sans accord préalable de l’Agence nationale des fréquences ; la réduction du délai d’instruction des demandes de permissions de voirie ; et la dispense d’autorisation d’urbanisme pour les constructions, installations et aménagements nécessaires à la continuité des réseaux et services de communications électroniques ayant un caractère temporaire. »

En d’autres termes, les antennes-relais pourront être maintenant installées sans prévenir les municipalités ni du nombre, ni du lieu. D’après Média pour Tous, l’agence nationale des fréquences contrôlait auparavant scrupuleusement l’installation de chaque antenne. Elle veillait notamment au respect des valeurs limites d’exposition des citoyens aux champs électromagnétiques. Avec cette ordonnance, ce sont les exploitants du réseau qui pourront « prendre une décision d’implantation sans accord préalable de l’agence » sans surveillance sanitaire.

L’installation de la 5G implique une multiplication des antennes-relais. Selon France 24, ces antennes ont une portée courte car leur fréquence est plus haute. Il faudra alors avoir recours à ce que l’on appelle les smallcells, à savoir des petites antennes reliées à une sorte de grosse « antenne-mère » et dissimulables dans le mobilier urbain, beaucoup plus nombreuses que la 4G ou la 3G.

La France laisse entrer une usine d’équipements Huawei pour la 5G, la première usine hors de Chine

On a appris fin février, que le géant chinois Huawei allait installer en France un site de production d’équipements radio pour la 5G, une première hors de Chine. Le site, qui représentera un investissement minimal de 200 millions d’euros et emploiera dans un premier temps 500 personnes, produira des équipements destinés à l’ensemble du marché européen.

« Le site fabriquera dans un premier temps des équipements radio (par exemple des antennes, NDLR) puis s’étendra à d’autres produits dans le futur, en fonction des besoins du marché européen », a indiqué Liang Hua le président du groupe en France. Selon Huawei, l’usine devrait produire environ 1 milliard d’euros d’équipements par an.

Selon le sénateur américain Ted Cruz, Huawei serait pourtant une opération d’espionnage mondiale se faisant passer pour une entreprise de télécommunications.

 

 

 

Dans une publication récente, le Sénateur américain Mark Green a déclaré que le régime chinois aurait exigé de la France de faciliter l’installation de la 5G avec Huawei en échange d’1 milliard de masques pour lutter contre le coronavirus, lors d’un appel téléphonique entre Emmanuel Macron et Xi Jinping.

 

 

 

«En France, on nous a dit hier lors d’une conférence téléphonique que Macron parlait à Xi Jinping et Macron a demandé un milliard de masques. Xi a répondu : «Nous vous les donnerons si vous implémentez la 5G avec Huawei.» a-t-il déclaré. Une information qui n’a pas pu être vérifiée.

 

Source : Epoch Times

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