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21 septembre 2023 4 21 /09 /septembre /2023 10:23
Voici donc les effets des entreprises du bienfaiteur de l'humanité
Vaccin DTP : décès et lésions cérébrales
 
 
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21 septembre 2023 4 21 /09 /septembre /2023 10:06

 

Cet invité dirige la plate-forme de communication de l’EFPIA (European Pharmaceutical Industry Association) et occupe le poste de Vice-Président « accès au médicament » chez Sanofi depuis 2006.  Il est OBLIGATOIRE de nommer de tels liens avant d'intervenir sur un plateau télé.

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Les médecins savent pertinemment que l'on ne vaccine pas en période épidémique !
 

 

De même, on ne vaccine jamais une femme enceinte !

 

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The Lancet : les vaccins Covid comportent des effets secondaires dangereux !
 

 

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Des documents récents montrent que la pandémie de COVID était un plan du Pentagone depuis l'époque d'Obama! #RévélationCOVID pic.twitter.com/Oi6smoJE3o

— Planetes360 (@Planetes360) September 19, 2023

 

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Une enquête sur les vaccins COVID a révélé que ces vaccins n’étaient « ni sûrs ni efficaces », a déclaré l’organisation à but non lucratif National Citizens Inquiry (NCI) dans un message publié le 15 septembre sur X. L’organisation a publié un rapport jeudi détaillant le mécanisme défectueux par lequel les vaccins ont été « approuvés » au Canada

 

 

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Un rapport secret de Pfizer montre que l’entreprise SAIT depuis février 2021 que son vaxxin COVIDIOT à ARNm tuait des gens.

https://amg-news.com/boom-secret-pfizer-report-shows-company-knew-since-february-2021-that-its-mrna-covid-jab-was-killing-people/

 

 

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21 septembre 2023 4 21 /09 /septembre /2023 10:01

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21 septembre 2023 4 21 /09 /septembre /2023 09:49

Et croyez  vous qu'en France il en fût autrement !

Ariane Bilheran / Le degré zéro du réseau : ma réponse à la RTBF (Radio-TV belge de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
 

 

Je suis citée par la RTBF (La Radio-télévision belge de la Fédération Wallonie-Bruxelles) dans un article intitulé « complotistes, extrême droite et adeptes de théories pédocriminelles », publié le 16 septembre 2023 par la RTBF et relayé au JT du même soir en Belgique.

Cet article, qui n’est pas signé, cite pêle-mêle diverses personnes que l’on tente de regrouper dans « un réseau » auquel sont collées tout un tas d’étiquettes diffamantes.

Je tiens donc à faire respecter mon nom et mes qualités, en réponse à une presse qui cherche plus à diffamer qu’à relayer de l’information.

 

Si je regarde attentivement la cartographie affichée avec les flèches, et sauf erreur de lecture, je serais donc « en réseau » direct avec :

 

1° Karl Zéro, journaliste

2° « Innocence en danger France » et « Innocence en Danger Belgique », deux associations de protection de l’enfance

3° « Étincelles » site internet géré par Senta Depuydt (Senta Depuydt a expliqué dans sa réponse qu’elle ne gérait pas ce site)

4° Frédéric Goaréguer, pédopsychiatre

5° Biotempo Zèbre, un magazine

 

Dans la réalité des faits, j’ai effectivement donné une interview respective à Karl Zéro et à Biotempo Zèbre (que j’invite chacun à aller écouter et lire).

 

Mais cela constituerait un « réseau »…

En matière d’investigation journalistique, vu le niveau, je vais devoir parler simplement : de ce réseau, il n’y en a zéro !

En revanche, oui, j’ai bien un réseau : il s’agit d’un réseau de professionnels de santé mentale de l’enfant et de professionnels du droit.

 

Qui suis-je ?

Je suis normalienne de la rue d’Ulm avec une double spécialisation en lettres classiques et philosophie morale et politique (2 Masters à l’Université La Sorbonne, Paris, France).

Je suis également psychologue clinicienne, avec une première spécialisation dans l’enfance maltraitée.

J’ai, à ce titre, rédigé un livre avec ma collègue Amandine Lafargue, Psychopathologie de la pédophilie, dont la première édition est parue aux éditions universitaires Dunod en 2013.

Soit, il y a dix ans.

En termes concrets, cette spécialisation professionnelle signifie : rédiger des signalements, être confronté à différentes horreurs, réaliser des expertises judiciaires, lutter contre les dysfonctionnements institutionnels de la protection de l’enfance, de la justice et de la police, subir les pressions psychologiques, juridiques et fiscales sur certains dossiers, réfléchir sur les conditions de guérison des traumatismes infantiles.

J’ai, durant de longues années, été aussi en charge des formations sur la « prise en charge de la délinquance sexuelle » pour l’administration pénitentiaire en France.

Je suis également docteur en psychopathologie et psychologie clinique (Université Lyon II, France, sous la direction du Professeur Albert Ciccone), d’un doctorat portant sur « le temps vécu dans la psychose » ce qui m’a valu d’effectuer mes recherches dans des services de psychiatrie adulte, et d’y acquérir une expertise sur la psychose adulte.

J’ai enseigné durant des années, dans différentes universités, tant des cours dirigés que des cours magistraux, en psychopathologie et psychologie clinique.

J’ai, enfin, écrit plus de quarante livres, dont beaucoup sont référencés désormais comme des classiques dans les bibliothèques universitaires, et des centaines d’articles dont certains dans des revues scientifiques à comité de lecture.

J’ai également audité, durant des années, sur des plaintes de harcèlement dans les entreprises et les institutions, ce qui m’a permis de réfléchir aux mécanismes et aux processus psychologiques tant pour les individus que pour les collectifs, et j’ai rédigé (et je rédige encore) de nombreuses expertises et des avis consultatifs produits en Justice. Mes travaux sur le harcèlement sont reconnus internationalement, et m’ont valu d’être invitée à en parler dans différents pays, mais ils ont également été repris en France par le Sénat pour la rédaction de lois sur le sujet.

Si je prends la parole publique depuis 2017 au sujet de ces « programmes » « d’éducation sexuelle »/« éducation à la sexualité », ce n’est donc pas depuis une opinion subjective, mais depuis une posture professionnelle, avec des arguments sérieux. Je subis depuis une campagne de calomnies qui laisse songeur quant à sa virulence.

Revenons donc à mon réseau de professionnels de santé mentale de l’enfant et de professionnels du droit. Ces professionnels, pour certains, se montrent à visage découvert, pour d’autres, préfèrent travailler à la protection de l’enfance sans s’exposer et ce, afin d’éviter les nombreuses et désagréables représailles publiques que nous subissons.

Est-ce un complot contre le pouvoir ?

 

Nous sommes tous indépendants, mais nous travaillons ensemble, pour alerter sur ces programmes dits « d’éducation sexuelle » ou « d’éducation à la sexualité », et affirmer qu’ils ne correspondent en aucune manière au développement psychique de l’enfant ni à sa protection juridique.

 

Nous sommes également très inquiets quant au fait que ces programmes « pédagogiques », qui se déploient dans différents pays en même temps, s’appuient sur le contenu et le référencement de recommandations de l’OMS consignées dans un document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe. Un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé et les spécialistes ».

 

Nous contestons lesdites références « scientifiques » de ce document, au regard de nos connaissances dans le développement psychique de l’enfant et de sa protection face à sa vulnérabilité.

 

Lorsque des professionnels de santé mentale de l’enfance, des professionnels du droit, des associations de protection de l’enfance, s’inquiètent des dangers de cette « éducation à la sexualité » ou « éducation sexuelle », n’y a-t-il pas là matière, dans l’intérêt supérieur de l’enfant, à faire une grande pause pour réfléchir avec prudence et tempérance, sur cet enseignement de masse standardisé de nature à créer des effractions traumatiques sur les enfants ? Pourquoi une telle précipitation dans l’imposition de ces programmes ? Pourquoi le débat est-il interdit, la contestation argumentée, muselée sous l’amalgame et la calomnie ?

Notre posture est la suivante :

Plus les adultes vont exhiber des informations et des images sur la sexualité aux enfants, en groupe, et y initier les enfants, plus nous verrons surgir des abus sexuels entre mineurs, sans compter les interrogations que cela suscite quant à ces projections d'adultes sur une supposée « sexualité infantile »... (et les passages à l’acte qui peuvent en découler en termes « d'initiation sexuelle » des enfants).

Ces projections ne correspondent pas au développement psychique des enfants et se fondent sur des confusions dangereuses.

Ce n’est pas parce que les termes « éducation sexuelle » et « éducation à la sexualité » sont passés dans les mœurs qu'ils ne doivent pas être remis en question. Ils font partie d'une novlangue dangereuse et ouvrent des portes psychiques vers la perversion, que les termes « prévention » ou « protection » des enfants n'ouvrent pas.

Il est important d'étudier en profondeur, de manière méthodique et rationnelle, d’où viennent les textes idéologiques qui encadrent ces « programmes », quelles sont leurs dites « références scientifiques », par quels lobbies ils sont sponsorisés et financés, afin de se clarifier les idées. On ne peut pas se contenter, au regard de la gravité du sujet, d’un « je n’y crois pas », ou « c’est trop gros ». Ou d’une banalisation qui n’entend pas les témoignages, déjà recueillis par les psychologues en cabinet, des enfants traumatisés par cette « pédagogie ». Il en va de notre responsabilité de professionnels (pour ceux qui le sont), d’adultes, de citoyens.

En matière de prévention pour les enfants, il y a aussi d’autres sujets : la sécurité routière, les accidents domestiques, etc. Ils sont aujourd’hui totalement passés à la trappe, tant est grande cette « obsession » politique quant aux informations sur la « sexualité » qu'il faudrait, sans précaution ni prudence, de manière précipitée, délivrer massivement aux enfants dans différents pays en même temps...

Nos analyses professionnelles sont amplement soutenues par un grand nombre de nos pairs (le « réseau »), même s'ils n'osent (pour l'instant) pas intervenir en public, ce que l'on comprend aisément, au vu des représailles, notamment les calomnies et les dénigrements.

Pourquoi la parole des experts est-elle essentielle à relayer ?

1° pour éviter les approximations, notamment dans les interventions médiatiques,

2° pour la distinguer des « opinions » des uns et des autres mais aussi des postures subjectives et affectives,

3° pour servir de base conceptuelle et scientifique aux plaintes juridiques.

Aussi, mes collègues et moi-même de ce « réseau » de professionnels ne sommes pas dupes des invisibilisations systématiques dont nos propos, travaux et interventions font l’objet.

Nous subissons, pour certains déjà, des amalgames nous affublant de l’étiquette de « terroristes ».

Or, revenons au sens des mots : les terroristes sont littéralement ceux qui manipulent les populations à la terreur en les réduisant au silence.

Nous ne terrorisons pas : nous apportons des arguments d’experts sur la protection psychique des enfants.

J’ai sonné l’alerte en 2017 avec mon livre L’imposture des droits sexuels.

Ce livre m’a demandé des mois de travail sur les textes internationaux qui, nous le voyons désormais, encadrent l’idéologie de ces « enseignements » à la sexualité dès le plus jeune âge. Il m’a valu de nombreuses menaces et représailles, mais cela n’a fait que renforcer ma conviction et ma volonté de diffuser son contenu.

Je constate que des agitateurs sont encore là pour faire un sale boulot, que des écoles sont brûlées, et que les médias s’en servent pour décrédibiliser auprès de l’opinion publique, et par amalgame, la parole des professionnels et des associations de protection de l’enfance.

 

Brûler des écoles est une méthode inacceptable.

Mais faire peur, manipuler à l’émotionnel et au sensationnel, pratiquer des interprétations irrationnelles sont aussi des méthodes inacceptables.

Aujourd’hui, les citoyens eux-mêmes ont appris à décrypter les mécanismes de manipulations médiatiques.

Ainsi, en s’attaquant aux professionnels, au lieu de discuter avec honnêteté et rigueur de leurs arguments, cette « presse » du pouvoir se décrédibilise chaque jour davantage.

Beaucoup de citoyens, de parents, de professionnels ont étudié et compris nos arguments. Ils relaient notre travail, nos investigations, nos recherches qui sont particulièrement fouillées.

Comme me le disait l’éminent et regretté Professeur de psychopathologie Jean Louis Pedinielli de l’Université Aix-Marseille : « réjouis-toi toujours de ce que les envieux et les calomniateurs parlent mal de toi, ils sont d’excellents relais pour faire découvrir ton travail. »

Le temps est révolu où nous étions isolés dans notre coin, car effectivement, en tant que professionnels de la psychologie et du droit soucieux de la protection de l’enfance, nous travaillons bel et bien : en réseau.

Et compte tenu de la gravité du sujet, pour ne serait-ce qu'un seul professionnel qui avait émis des réserves, il aurait fallu avoir la prudence : de l’écouter.

Et pour ne serait-ce qu'un seul enfant traumatisé par cette « pédagogie sexuelle », il aurait fallu avoir la prudence : d’arrêter le déploiement massif de ces « enseignements ».

 

Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie.

Pour approfondir :

Araújo-Recchia, V. 2023. Protéger les mineurs de l’idéologie totalitaire. « Éducation sexuelle » et changement de mœurs

Un livre sur le corpus juridique pour la protection des mineurs face à ces inflexions idéologiques.

Bilheran, A. 2017. L’imposture des droits sexuels, Bookelis, 5ème rééd. 2022. Préface du Pr. Judith Reisman et du Dr. Régis Brunod.

Un livre sur les textes internationaux dictant la nature des enseignements sur « l’éducation sexuelle » ou « éducation à la sexualité ».

Bilheran, A., Lafargue, A. 2013. Psychopathologie de la pédophilie, Dunod, 2ème rééd. 2019.

Un livre pour la protection des mineurs face aux transgressions sexuelles infantiles.

Brunod, R. 2021. Préserver l’innocence des enfants, Ed. Le Bien Commun.

Un livre expliquant le développement psychologique de l’enfant, et le danger que représentent ces enseignements « l’éducation sexuelle »/« éducation à la sexualité ».

 

Entretien d’Amandine Lafargue et de moi-même par le média belge Kairos

Un enfant pourrait-il donc avoir un consentement à une sexualité? Interview dans Causeur

Le colloque du 13 mai 2023 à Paris :

Tout est résumé dans le colloque du 13 mai 2023 par les professionnels de santé mentale de l'enfant, notamment ici :

Partie 1

Partie 2

Post-scriptum :

En France, selon les statistiques du Ministère de la Justice (indications données par la journaliste Ceri) en 2021 on a 11.000 plaintes pour viol sur mineur et 700 condamnations.

Donc il y a une hypocrisie certaine du pouvoir politique à impulser ces programmes de « pédagogie sexuelle » issus de l’OMS auprès enfants pour les « protéger » quand 70% des plaintes sont classées sans suite et que seules 6% des plaintes aboutissent par une condamnation pour viol.

Nous professionnels de la santé mentale de mon « réseau » alertons sur le contenu du programme de l’OMS qui chapeaute ces innovations et est cité en référence (avec une reprise de son contenu) par différents gouvernements.

Nous ne jetons pas la pierre aux intervenants qui pour beaucoup sont bien intentionnés.

Mais nous avons recueilli déjà des témoignages d’enfants traumatisés.

Quid de la réelle protection de l’enfance ?

Les institutions fonctionnent-elles correctement ?

Les enseignants sont-ils formés à détecter des traumatismes ?

Nous pourrions égrener le cortège de questions : s’il s’agit réellement de protéger les mineurs, ces programmes d’« enseignements » sur la sexualité dès le plus jeune âge ne sont pas du tout adaptés (méthodes et contenus) au développement psychique des enfants, même s’ils contiennent des modules de prévention au sein du grand corpus.
 
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18 septembre 2023 1 18 /09 /septembre /2023 09:40
Charles-Henri Gallois: « La fin du bouclier tarifaire sur l’électricité et des aides sur les carburants sont bien exigées par Bruxelles comme je l’explique depuis un certain temps. »
 

Charles-Henri Gallois: « La fin du bouclier tarifaire sur l’électricité et des aides sur les carburants sont bien exigées par Bruxelles comme je l’explique depuis un certain temps. »

C'est bien l'Europe qui a demandé la fin du bouclier tarifaire sur l'électricité et le carburant

N. Dupont-Aignan: « j’accuse Monsieur Bruno Le Maire de haute trahison sur le Prix de l’électricité, haute cour de justice… et je vais vous expliquer pourquoi… »

 

 

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18 septembre 2023 1 18 /09 /septembre /2023 09:36

François Asselineau: « La France est un pays colonisé… Nous sommes dirigés par des gens choisis par l’oligarchie et l’État profond américain ! »

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17 septembre 2023 7 17 /09 /septembre /2023 18:48

Lorsqu'on éduque les enfants dans une voie de banalisation de la sexualité on les manipule pour en faire des objets consentants pour des adultes prédateurs ni plus ni moins, ainsi l'ONU, l'OMS, Klaus Schawb qui prônent l'hypersexualisation des enfants et la dépénalisation de la pédophilie (puisque l'enfant doit être consentant) mais également l'Etat et tous les membres de l'Education nationale se font les complices d'une opération mondiale de perversion sexuelle en faveurs des prédateurs dont nous savons que beaucoup font parti de l'élite mondiale.

Les soit disant bergers livrent les agneaux en sacrifices aux loups et ç'est inadmissible !

 

Henry

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intervention de Zoe Sagan sur twitter, mais ça restera sans effet évidemment

 

Seulement 3% des plaintes de viols sur mineurs donnent lieu à une condamnation !
 

 

 

 
"
Plus de 160'000 enfants français victimes de violences sexuelles chaque année. Seulement 3% des plaintes de viols sur mineurs donnent lieu à une condamnation. Ce système est un système d’impunité. Qui voulons-nous protéger ? Voilà, commence le manifeste du juge (lumineux et incorruptible) des enfants Edouard Durand. Il est, si vous voulez, l’opposée du juge pour enfants qui vendait sa fille de 12 ans sur internet et qui est toujours libre. gagne du terrain sur le déni et vient d’expliquer à un million de Français comme personne avant lui, que NOUS AVONS COLLECTIVEMENT UNE DETTE FACE AUX ENFANTS QUE NOUS N’AVONS PAS PROTÉGÉS. Lui, il sait le prix à payer quand on s’engage. Mais il sait aussi qu’il est un point fixe pour les enfants. Il a reçu plus de 27'000 témoignages d’abus en moins de deux ans. Et puis, il est quelqu’un pour qui la loi n’est pas flexible. Autant vous dire que les macronistes ne l’aiment pas des masses. Il ne sait toujours pas si Emmanuel Macron va éteindre ou non ses années de travail acharnées, pour tenter de sauvegarder l’innocence en danger (il a demandé le maintien de la Commission INDÉPENDANTE sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants mais ni Emmanuel ni Brigitte Macron et encore moins le gouvernement n'ont répondu à ses demandes) Parce que oui, le

est l’un des repères fixes des enfants. Et qu’il est le seul à répéter partout "qu’on n'a pas le droit de prendre possession du corps de l’autre." Quand on lui demande pourquoi la société française ne se réveille pas ? C'est parce que, selon lui, nous sommes un groupe d'humains fascinés par le pouvoir, par la violence, qui n’est jamais qu’un instrument pour avoir le pouvoir sur l’autre, pour lui, dire "tu m’appartiens".

Et puis, nous avons peur. Nous interposons toujours entre l’enfant et la protection, des prétextes qui nous permettent de faire croire que nous ne savons pas, que ce n’est pas vrai, que ce n’est pas grave. Que les enfants mentent. Que les mères protectrices inventent. Que les médecins font des signalements abusifs. Parce que nous voulons nous protéger nous, en tant qu’adultes.

 

Et les enfants nous regardent et ils disent "c’est ça le monde des adultes ?" Quand il parle ensuite des chiffres de l’impunité, les macronistes diront que c’est un complotiste qui en rajoute, alors que ce que ces derniers veulent cacher, ce n'est pas un problème privé, mais un problème de santé publique, d’ordre public. C’est une question de politique publique. Et ça, pas un homme de pouvoir ne veut en entendre parler. Pas un. Quinquennat après quinquennat.

 

9.7 milliards d’euros par an, c’est pourtant ce que coûte l’impunité des agresseurs qui violent des enfants. La protection des criminels est donc une large partie des impôts français. Comme les agresseurs vivants dans une impunité totale détruisent dès l’enfance des vies, qui ensuite, coûtent très chères à la société. Le coût, c’est la souffrance tout au long de la vie des personnes. L’empêchement de sortir de chez soi. L’impossibilité de s’accomplir soi-même. L’impossibilité de fonder une famille. Il dit aussi que nous préférons prendre le risque de ne pas protéger. Et qu’il faut d’urgence construire une culture de la protection. Pour entrer dans la culture de la protection, il faut faire un choix de principe, résolu, collectif, de politique publique, il faut croire l’enfant qui révèle des violences. À vous de répondre maintenant

. Si vous n’aidez pas le juge Édouard Durant à aller jusqu’au bout de son œuvre et de son combat, vous savez ce que j’organise à l’Élysée. À bon entendeur.
CitationZoé Sagan
 
@zoesagan
Tant qu’on ne nous répondra pas sur la disparition des 11000 enfants français par an (ça en fait 110000, tous les 10 ans, qu’on ne retrouve jamais) et sur pourquoi on laisse une loge maçonnique assassiner des citoyens ordinaires on ne s’arrêtera pas. Répondez nous et on disparaît
 
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17 septembre 2023 7 17 /09 /septembre /2023 18:47

Auparavant je vous poste une vidéo de France Inter dénonçant l'usage du thème de la pédophilie des élites par les complotistes , ensuite vous avez les 50 témoignages de ces abus sexuels et crimes rituels par ces mêmes élites ; ce qui veut bien dire que l'affaire est éminamment sensible en France puisque la Radio d'Etat essaie de le camoufler !

Henry

témoignages en vidéos ci dessous avec le lien sur Odysée

 

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intervention de Zoe Sagan sur twitter, mais ça restera sans effet évidemment

 

Seulement 3% des plaintes de viols sur mineurs donnent lieu à une condamnation !
 

 

 

 
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Plus de 160'000 enfants français victimes de violences sexuelles chaque année. Seulement 3% des plaintes de viols sur mineurs donnent lieu à une condamnation. Ce système est un système d’impunité. Qui voulons-nous protéger ? Voilà, commence le manifeste du juge (lumineux et incorruptible) des enfants Edouard Durand. Il est, si vous voulez, l’opposée du juge pour enfants qui vendait sa fille de 12 ans sur internet et qui est toujours libre. gagne du terrain sur le déni et vient d’expliquer à un million de Français comme personne avant lui, que NOUS AVONS COLLECTIVEMENT UNE DETTE FACE AUX ENFANTS QUE NOUS N’AVONS PAS PROTÉGÉS. Lui, il sait le prix à payer quand on s’engage. Mais il sait aussi qu’il est un point fixe pour les enfants. Il a reçu plus de 27'000 témoignages d’abus en moins de deux ans. Et puis, il est quelqu’un pour qui la loi n’est pas flexible. Autant vous dire que les macronistes ne l’aiment pas des masses. Il ne sait toujours pas si Emmanuel Macron va éteindre ou non ses années de travail acharnées, pour tenter de sauvegarder l’innocence en danger (il a demandé le maintien de la Commission INDÉPENDANTE sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants mais ni Emmanuel ni Brigitte Macron et encore moins le gouvernement n'ont répondu à ses demandes) Parce que oui, le

est l’un des repères fixes des enfants. Et qu’il est le seul à répéter partout "qu’on n'a pas le droit de prendre possession du corps de l’autre." Quand on lui demande pourquoi la société française ne se réveille pas ? C'est parce que, selon lui, nous sommes un groupe d'humains fascinés par le pouvoir, par la violence, qui n’est jamais qu’un instrument pour avoir le pouvoir sur l’autre, pour lui, dire "tu m’appartiens".

Et puis, nous avons peur. Nous interposons toujours entre l’enfant et la protection, des prétextes qui nous permettent de faire croire que nous ne savons pas, que ce n’est pas vrai, que ce n’est pas grave. Que les enfants mentent. Que les mères protectrices inventent. Que les médecins font des signalements abusifs. Parce que nous voulons nous protéger nous, en tant qu’adultes.

 

Et les enfants nous regardent et ils disent "c’est ça le monde des adultes ?" Quand il parle ensuite des chiffres de l’impunité, les macronistes diront que c’est un complotiste qui en rajoute, alors que ce que ces derniers veulent cacher, ce n'est pas un problème privé, mais un problème de santé publique, d’ordre public. C’est une question de politique publique. Et ça, pas un homme de pouvoir ne veut en entendre parler. Pas un. Quinquennat après quinquennat.

 

9.7 milliards d’euros par an, c’est pourtant ce que coûte l’impunité des agresseurs qui violent des enfants. La protection des criminels est donc une large partie des impôts français. Comme les agresseurs vivants dans une impunité totale détruisent dès l’enfance des vies, qui ensuite, coûtent très chères à la société. Le coût, c’est la souffrance tout au long de la vie des personnes. L’empêchement de sortir de chez soi. L’impossibilité de s’accomplir soi-même. L’impossibilité de fonder une famille. Il dit aussi que nous préférons prendre le risque de ne pas protéger. Et qu’il faut d’urgence construire une culture de la protection. Pour entrer dans la culture de la protection, il faut faire un choix de principe, résolu, collectif, de politique publique, il faut croire l’enfant qui révèle des violences. À vous de répondre maintenant

. Si vous n’aidez pas le juge Édouard Durant à aller jusqu’au bout de son œuvre et de son combat, vous savez ce que j’organise à l’Élysée. À bon entendeur.
CitationZoé Sagan
 
@zoesagan
Tant qu’on ne nous répondra pas sur la disparition des 11000 enfants français par an (ça en fait 110000, tous les 10 ans, qu’on ne retrouve jamais) et sur pourquoi on laisse une loge maçonnique assassiner des citoyens ordinaires on ne s’arrêtera pas. Répondez nous et on disparaît
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17 septembre 2023 7 17 /09 /septembre /2023 18:37
La quasi inutilité du vaccin Covid officiellement admise en Suisse
 

 

Tournant majeur dans les recommandations des vaccins Covid par la plus haute autorité sanitaire suisse : un courrier destiné aux professionnels indique que la vaccination Covid n’influence “guère” la morbidité pour les moins de 65 ans en bonne santé, qu’elle ne protège “que peu” contre l’infection et contre les maladies légères ainsi que contre la transmission. Seules les personnes à risques et de plus de 65 ans sont invitées à faire un rappel. L’authenticité du document est démontrée.

 

Les injections Covid ont fait leur temps

Émises par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), ces “grandes lignes” des recommandations de vaccination Covid destinées aux professionnels de la santé en Suisse pour l’automne 2023 marquent un tournant dans la saga covidienne. Seule la version en allemand est disponible publiquement. Elle a été traduite en français par Viviane Cuendet.

Les extraits les plus marquants du document concernent l’efficacité des vaccins pour les moins de 65 ans en bonne santé: elle serait quasi nulle si l’on en croit l’autorité sanitaire OFSP :

On estime, sur la base de l’historique de vaccination et de l’exposition au virus au cours des trois dernières années, que les personnes de moins de 65 ans sans facteurs de risque sont bien protégées contre les évolutions graves, y compris les hospitalisations, par l’immunité existante. La vaccination n’a donc guère d’influence sur la charge de morbidité dans ce groupe de population.

Dans l’original en allemand, “guère” s’avère le mot “kaum”, qui signifie “à peine” ou “quasiment pas”.

L’efficacité pour les groupes à risque, même si elle est admise, se voit relativisée par l’OFSP :

Toutefois, la vaccination ne protège que peu et brièvement contre l’infection et contre les maladies symptomatiques légères liées à Covid-19. De plus, elle ne peut guère protéger contre la transmission du virus.

Autre fait notable, il n’est plus recommandé de vacciner les personnes des groupes à risque de moins de 16 ans.

Authenticité du courrier confirmée par l’OFSP

Dans le contexte de la surprise créée par un message qui détonne par rapport au discours officiel habituel sur l’importance des injections, l’authenticité de la lettre a été remise en question sur les réseaux sociaux.

Plusieurs preuves tangibles étayent pourtant son existence bien réelle, la plus concrète étant sa  présence – en allemand – sur le site Internet de l’Association des pédiatres suisses.

De plus, les métadonnées informatiques contenues dans le document indiquent qu’il a été créé par un certain Christian Durisch, qui travaille bien à l’OFSP:

Décalage entre les informations de l’OFSP et la scène médiatico-politique

Contacté par le journaliste indépendant Roger Bittel, l’OFSP confirme bel et bien que le courrier émane de ses services. Le porte-parole affirme cependant qu’il n’y a rien de nouveau.  Il précise que les bases scientifiques qui ont mené à ces recommandations figurent sur le site de l’OFSP, notamment dans la partie dédiée aux Foires aux Questions.

Il est vrai que l’OFSP a été honnête sur certains points concernant les vaccins Covid. Ainsi l’ex-responsable des maladies infectieuses, Virginie Masserey avait-elle reconnu en 2021, lors d’une conférence de presse officielle, qu’une étude américaine montrait que les vaccinés étaient tout aussi contagieux que les non-vaccinés.

Ceci n’avait pas empêché le ministre suisse de la Santé, Alain Berset, d’affirmer quelques mois plus tard, juste avant une votation populaire sur la loi Covid, qu’un certificat Covid était la preuve que l’on ne pouvait pas transmettre le virus. De quoi s’interroger sur ce décalage entre les informations de la science et celles transmises à des fins politiques et relayées massivement par les médias.

Président suisse sur la sellette

Une enquête parlementaire visant Alain Berset, actuellement également président de la Confédération, a été ouverte suite à des soupçons entourant la divulgation répétée aux médias durant la pandémie des stratégies du ministre en matière de mesures Covid. Potentiellement pour manipuler l’opinion publique et ses collègues du gouvernement? Selon le Blick, les conclusions de cette enquête sur les fameux Coronaleaks semblent indiquer que «les fuites ont été délibérément utilisées à des fins politiques».

Ceci pourrait-il expliquer pourquoi Alain Berset a récemment annoncé sa démission pour la fin de l’année, alors qu’en 2022 il assurait qu’il allait encore rester plusieurs années, ayant des dossiers à mener à bien? Tout porte à croire qu’en l’absence d’un aveu plus qu’improbable, le doute subsistera longtemps.

Lettre traduite en français, ci-dessous:

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Tweet de Viviane Cuendet

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17 septembre 2023 7 17 /09 /septembre /2023 18:29

Edouard Philippe (Médecin et ministre) a autorisé le Rivotril : Ça s’appelle juste l'euthanasie et c’est passible de prison !
 
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